A la recherche de vents porteurs

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1 OCTOBRE 2014 A la recherche de vents porteurs Le bilan d activité des TPE-PME pour le troisième trimestre s inscrit dans le prolongement des trimestres précédents. Après avoir été un peu plus favorable au printemps, l activité a été plus décevante durant l été. Huit chefs d entreprise sur dix ne sont désormais pas, ou plutôt pas, confiants dans la situation économique générale. Le climat est resté morose, sans qu une reprise d activité ne se dessine. Les entreprises, notamment dans le BTP, disent toujours souffrir avant tout du manque de vigueur de l activité. Les difficultés de trésorerie apparaissent stables. On ne constate guère d évolution non plus en matière d emploi. Comme précédemment, les perspectives pour le prochain trimestre sont globalement négatives, mais elles sont équilibrées dans l industrie et les services aux entreprises. Pour le premier semestre 2015, les TPE-PME manquent de visibilité mais sont globalement un peu moins pessimistes ; les perspectives sont meilleures pour les PME que pour les TPE. Les entreprises sont en quête de vents porteurs. Elles s engagent toujours plus en matière d innovation ou de conquête de nouveaux marchés. Elles semblent maintenir leur effort d investissement ; début octobre, la moitié des TPE-PME comptait réaliser des investissements avec - il faut le souligner - une part plus importante d entreprises se lançant dans de nouveaux projets. Les résultats présentés sont issus d une enquête téléphonique réalisée du 1 er au 13 octobre 2014 par la CCI de région et les CCI de Rhône-Alpes auprès d un panel de 386 entreprises représentatives du tissu de TPE-PME de l industrie, du BTP, du commerce et des services de l ensemble des départements de Rhône-Alpes.

2 L activité Au troisième trimestre, un chiffre d affaires stable ou en hausse pour six TPE-PME sur dix Pour le troisième trimestre, 39 % des TPE-PME de Rhône-Alpes ont déclaré un chiffre d affaires en baisse par rapport à la même période de Elles sont presque deux fois moins nombreuses à faire état d une hausse (22 %), soit un solde «part à la hausse - part à la baisse» de - 17, plus négatif que ceux enregistrés aux premier et deuxième trimestres (respectivement - 13 et - 11). L activité reste donc morose et se serait même dégradée, ainsi que le laissaient présager les prévisions exprimées par les chefs d entreprise au début de l été. Globalement, six TPE-PME sur dix ont vu leur chiffre d affaires se maintenir ou augmenter. C est dans le commerce de gros (solde «hausses - baisses» de - 31) et le transport-logistique (- 37) que les résultats ont été les plus défavorables. Dans ces deux secteurs, une entreprise sur deux a subi une baisse de chiffre d affaires, ce qui est conforme aux prévisions de début juillet. Pour l ensemble des services aux entreprises, le solde «hausses - baisses», qui tend à se dégrader depuis le début de l année, s établit à Pour les activités tertiaires tournées vers les particuliers, le solde demeure négatif (- 18), sans évolution notable. Près de la moitié des TPE-PME du secteur du tourisme - qui a souffert de conditions météorologiques défavorables - a observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à l été 2013 (solde «part à la hausse - part à la baisse» de - 23) ; ce résultat est cependant meilleur que ce que laissaient présager les prévisions des entreprises début juillet. Dans le commerce de détail, les baisses de chiffres d affaires ont été sensiblement plus nombreuses que les hausses. La situation semble s améliorer pour l immobilier. Dans l industrie, le solde entre hausses et baisses de chiffre d affaires est de - 13, alors qu il était équilibré au deuxième trimestre. Un peu plus d un tiers des TPI-PMI a été affecté par une baisse. Dans le BTP, quatre TPE- PME sur dix accusent une baisse et le solde entre hausses et baisses est très largement négatif (- 23), mais la situation ne se dégrade pas par rapport aux trimestres précédents. Le troisième trimestre a été moins favorable qu attendu pour les entreprises exportatrices. 29 % d entre elles ont enregistré une hausse de chiffre d affaires et le solde entre hausses et baisses est négatif (- 9), même s il reste meilleur que pour l ensemble des TPE-PME. Alors que les PME d au moins 50 salariés avaient bénéficié d une situation plus favorable au premier semestre, on n observe pas au troisième trimestre de différence marquante dans l évolution des chiffres d affaires suivant la taille des TPE-PME. OCTOBRE

3 Un peu plus de la moitié des TPE-PME disent utiliser normalement ou en totalité leurs capacités de production Début octobre, plus de la moitié (54 %) des TPE-PME disaient utiliser normalement, voire en totalité, leurs capacités de production. Cette proportion est pratiquement stable par rapport à celle observée au début de l été (- 3 points) ; elle est en retrait de 7 points par rapport au niveau constaté un an auparavant, en octobre A noter que la part des entreprises déclarant utiliser en totalité leurs capacités de production, sans pouvoir faire face à toute la demande, progresse de 4 points par rapport au mois de juillet pour s établir à 10 %. Dans l industrie, 48 % seulement des entreprises ont utilisé normalement ou en totalité leurs capacités de production. Le pourcentage est aussi inférieur à la moyenne dans le BTP (44 %). La part des entreprises disant souffrir d une large sous-utilisation de leurs capacités de production s établit à 11 % (- 1 point en 3 mois). Cette proportion est plus forte dans le BTP et l industrie où, comme au deuxième trimestre, elle est de 18 %. Si l utilisation des capacités de production varie en fonction des secteurs d activité, on n observe pas de différence notable suivant la taille des entreprises. Le manque de vigueur de l activité reste le premier frein au développement des entreprises Interrogés sur les freins au développement de leur entreprise, les deux tiers (67 %, + 2 points en 3 mois) des responsables de TPE-PME mettent en avant le manque de vigueur de l activité. Celui-ci reste donc de très loin le principal problème auquel ils sont confrontés. Cette proportion monte à 88 % dans le BTP et à 83 % dans le commerce de gros. Le deuxième frein, par ordre d importance, est toujours l instabilité/complexité réglementaire. Il est un peu moins cité que début juillet (33 %, - 3 points), mais sensiblement plus qu un an auparavant (27 % en octobre 2013). Ce résultat tend donc plutôt à confirmer l importance particulière prise par cette question depuis plusieurs trimestres, en particulier dans l immobilier et le tertiaire supérieur où plus d une entreprise sur deux en fait état. Les entreprises d au moins 50 salariés sont moins affectées que les PME de petite taille. OCTOBRE

4 La rentabilité insuffisante demeure le troisième frein le plus mentionné. Comme début juillet, 28 % des TPE-PME disent en souffrir. Le BTP (47 %, + 10 points en 3 mois) est particulièrement touché, ainsi que dans une moindre mesure le transport-logistique (40 %). 19 % des TPE-PME signalent des difficultés de recrutement, c est 4 points de plus qu au début de l été mais deux points de moins qu en 2013, à la même époque de l année. Plusieurs entreprises, par exemple dans le secteur du transport, soulignent dans leurs commentaires spontanés des difficultés réelles. Il n y a pas d évolution marquante pour les autres freins qui sont tous cités par moins de 10 % des entreprises. Les difficultés de trésorerie demeurent à un haut niveau Début octobre, 38 % des TPE-PME disaient faire face à une situation de trésorerie difficile ou très difficile. Ce pourcentage est comparable à celui enregistré début juillet, il est un peu inférieur à celui observé un an auparavant, au début de l automne Par rapport à juillet, les difficultés de trésorerie sont moindres dans le transport-logistique et dans le BTP, même si elles demeurent à un niveau très élevé dans ce dernier secteur (44 % des TPE-PME disent en souffrir). La part des entreprises affectées a par contre nettement augmenté dans le tertiaire supérieur (53 %, + 16 points). La fréquence des difficultés de trésorerie est inversement proportionnelle à la taille des entreprises, et ce de manière plus marquée qu au début de l été : 44 % des TPE font état de difficultés contre seulement 27 % des PME d au moins 50 salariés. 34 % des entreprises exportatrices (+ 5 points) disent être touchées par des difficultés de trésorerie. OCTOBRE

5 Les raisons invoquées par les TPE-PME pour expliquer leurs difficultés de trésorerie sont globalement les mêmes que début juillet. Les trois principales raisons demeurent l insuffisance du chiffre d affaires - citée par six entreprises sur dix la réduction des marges et les retards de règlement des clients. On observe néanmoins une sensible diminution de ce dernier facteur (40 %, - 12 points en 3 mois) mais il touche les deux tiers des entreprises du BTP et les trois quarts des sociétés de services informatiques/tic. Il faut relever la progression des impayés clients (20 %, + 3 points par rapport à juillet et + 7 points par rapport à janvier). Dans les secteurs du commerce de gros et du transport-logistique, environ quatre entreprises sur dix sont affectées. Le problème de financement de la croissance de l activité progresse de 3 points à 15 %. Il est toujours plus fréquent dans l industrie où il touche 21 % des TPI-PMI, mais il faut relever qu en octobre 2013, ce pourcentage était de 29 %. A noter encore la très forte augmentation de la fréquence de citation des «délais de règlement des fournisseurs réduits du fait du durcissement de l assurance-crédit» (17 % contre 6 % en juillet). OCTOBRE

6 Les perspectives à court terme sont équilibrées dans l industrie et les services aux entreprises Début octobre, 16 % des TPE-PME interrogées prévoyaient une augmentation de leur chiffre d affaires au dernier trimestre de 2014, 34 % anticipaient une baisse, soit un solde «part à la hausse - part à la baisse» de Si ces prévisions sont négatives, elles ne le sont pas plus que celles qui avaient été formulées en début d été pour le troisième trimestre. Les perspectives sont très variables suivant les secteurs d activité. Très négatives dans l hôtellerierestauration (solde «hausses - baisses» de - 41), le BTP (- 38), le commerce de gros (- 31) ou le commerce de détail (- 29), elles sont par contre équilibrées dans l industrie (- 1) et dans l ensemble des services aux entreprises (- 2). Pour les entreprises exportatrices, le solde entre prévisions à la hausse (28 %) et prévisions à la baisse (27 %) est même très légèrement positif (+ 1), même si c est de manière un peu moins nette que pour les prévisions du précédent trimestre. Plus les TPE-PME sont de grande taille, moins elles sont pessimistes quant à l évolution de leur chiffre d affaires au quatrième trimestre : le solde «hausses - baisses» est de - 31 pour les TPE, il est seulement de - 14 pour les PME de moins de 50 salariés et de - 5 pour les PME de 50 salariés ou plus. La défiance des chefs d entreprise quant au climat économique général continue de se renforcer. Aucun d entre eux ne se dit «très confiant» et ils ne sont plus que 19 % à se dire «plutôt confiant» (- 4 points par rapport à début juillet). 79 % ne sont «plutôt pas ou pas du tout confiant» ; un an auparavant en octobre 2013, ils étaient 64 % à avoir ce ressenti. La proportion d entrepreneurs n étant pas confiants est largement majoritaire dans tous les secteurs ; elle culmine dans le tourisme et le BTP. Depuis l enquête précédente de début juillet, cette part des «pas confiant» a progressé dans l industrie, le transport-logistique et le bâtiment. Elle a par contre diminué dans les services informatiques et l immobilier. OCTOBRE

7 Beaucoup d incertitude pour le premier semestre 2015 avec des entreprises exportatrices plus optimistes que les autres Interrogées début octobre sur leurs perspectives de chiffre d affaires pour le premier semestre 2015, les TPE-PME rhônalpines font preuve de prudence. Un quart d entre elles ne répond pas à la question, ce qui témoigne de la faible lisibilité dont elles disposent. Il faut cependant observer que ce taux de non-réponse est comparable à ceux enregistrés pour 2012 et 2013, à la même époque de l année. Les entreprises sont plus nombreuses à anticiper une baisse de chiffre d affaires qu une hausse (26 % contre 16 %, soit un solde «part à la hausse - part à la baisse» de - 10). La moitié des TPE-PME très exactement prévoit un chiffre d affaires stable ou en hausse. OCTOBRE

8 Dans le détail des activités, les prévisions pour le premier semestre 2015 sont variables. Le BTP apparait très pessimiste (solde «hausses - baisses» de - 35), de même que l hôtellerie-restauration. De manière générale, les entreprises tournées vers les particuliers (commerce de détail et services aux personnes) sont moins optimistes (- 18) que celles du commerce de gros et des services dédiés aux entreprises (- 7). Dans l industrie, les hausses attendues de chiffre d affaires sont légèrement supérieures aux baisses envisagées (solde de + 2). Les prévisions sont encore nettement plus favorables pour les entreprises exportatrices (+ 16). Le solde entre prévisions à la hausse et prévisions à la baisse est de - 23 pour l ensemble des TPE. Pour les PME, les perspectives à défaut d être totalement équilibrées sont sensiblement plus encourageantes (solde de - 6 pour les PME d au moins 50 salariés et de - 4 pour celles de 10 à 49 salariés). A défaut de dynamisme de la demande, les entreprises comptent toujours sur la conquête de nouveaux marchés et l innovation Pour assurer leur développement, les TPE-PME misent toujours en premier lieu sur la conquête de nouveaux marchés en France. Elles sont 52 % à évoquer cet élément (+ 2 points par rapport à juillet). L innovation figure toujours au deuxième rang de leurs priorités (+ 2 points à 42 %). La diversification de l activité, en léger recul, demeure au troisième rang. L évolution la plus marquante est le sensible recul de l item «dynamisme de la demande» qui n est plus cité que par 20 % des TPE-PME (- 6 points en 3 mois). Il retrouve ainsi le niveau qui était le sien au printemps. Dans le BTP, la diversification de l activité est citée par la moitié des entreprises et constitue désormais le premier levier de développement des TPE-PME, juste devant la conquête de nouveaux marchés en France (47 %). Dans le commerce de détail, les deux principaux facteurs de développement sont l innovation des produits et services et la modernisation de l entreprise (citées toutes les deux par 34 % des TPE-PME). L innovation est également le premier élément mis en avant par les entreprises du tourisme (38 %), au même niveau que la conquête de nouveaux marchés en France. Si la conquête de nouveaux marchés à l international n est citée que par 24 % de l ensemble des TPE-PME, il faut observer qu elle est citée par près de la moitié des industriels. Avec un taux de citation de 60 %, la conquête de nouveaux marchés à l international demeure le levier le plus fréquemment cité par les entreprises exportatrices. OCTOBRE

9 Peu d évolution en matière d emploi Début octobre, 13 % des TPE-PME pensaient augmenter leur effectif dans les trois mois à venir, 14 % pensaient le réduire. Le solde 1 «part à la hausse» - «part à la baisse» s établit ainsi à - 1 et est très proche de ceux observés les trimestres précédents. Cet équilibre global masque des différences marquées entre secteurs d activité. Dans l ensemble du tertiaire tourné vers les particuliers, le solde «hausses - baisses» est de - 8. Il est en sensible recul dans l informatique/tertiaire supérieur mais reste pratiquement équilibré (- 2). Il est également négatif dans le BTP (- 6), même s il s améliore de près d une dizaine de points par rapport à la précédente enquête. Dans plusieurs secteurs, les entreprises pensant augmenter leur effectif sont légèrement plus nombreuses que celles pensant le réduire. C est le cas dans le commerce de détail (solde «hausses - baisses» de + 2), le commerce de gros (+ 3, en augmentation de 18 points en 3 mois) et encore plus l industrie (solde de + 5, pratiquement stable par rapport au trimestre précédent). Comme les trimestres précédents, on n observe pas de différence marquée dans les perspectives d emplois suivant la taille des entreprises. Globalement, en matière d heures supplémentaires, il n y a début octobre aucune évolution par rapport à la situation constatée en début d été ; le solde entre les TPE-PME qui augmentent le recours aux heures supplémentaires (6 %) et celles qui le diminuent (10 %) est toujours de - 4. Alors que le recours aux heures supplémentaires était en net recul début juillet dans le BTP, le secteur présente désormais un solde «hausses - baisses» légèrement positif (+ 3). L intérim reste orienté à la baisse : 5 % des TPE-PME disent l augmenter, 12 % signalent au contraire une baisse. Début juillet, les hausses étaient inférieures de 3 points aux baisses. Le solde «hausses - baisses» est de - 10 dans l industrie, alors qu il était positif (+ 8) au début de l été. Dans le BTP, l intérim est toujours en sensible repli (- 15), mais de manière moins marquée qu au trimestre précédent. 1 Il s agit d un solde en nombre d entreprises et non en nombre d emplois. OCTOBRE

10 L investissement résiste et plus d entreprises se lancent dans de nouveaux projets Au début de l automne, 50 % des TPE-PME interrogées étaient dans une logique d investissement : pour 38 % il s agissait de réaliser des investissements programmés et pour 12 % de lancer de nouveaux investissements. Comme au début de l été, la moitié exactement des entreprises compte donc investir. En octobre 2013, la proportion d entreprises étant dans une logique d investissement était également de 50 %. Le point positif à souligner est que la proportion d entreprises déclarant lancer de nouveaux projets d investissement qui était très faible au printemps et à l été (8 %) progresse de 4 points à 12 %. La part des entreprises comptant investir est supérieure à la moyenne dans l industrie (58 %). La part des entreprises désirant lancer de nouveaux investissements est également au-dessus de la moyenne dans l industrie (16 %) ; elle est par contre inférieure dans le transport-logistique et dans le BTP. Dans ce dernier secteur, 56 % des entreprises déclarent ne pas être dans une logique d investissement ; le niveau est élevé mais inférieur de 10 points à ce qu il était début juillet. OCTOBRE

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