La terre et les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté.
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- François-Xavier Laporte
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1 Vers un monde ou le bilan dégradation des terres serait nul Cover photo: Marcin Bondarowicz La terre et les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté. Présentation du Secrétariat de la CLD dans le cadre du processus préparatoire de Rio+2o
2 1 La terreet les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement 2 durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté Le rôle essentiel des terres productives/des sols fertiles dans le cadre du développement durable Prévisions des futures sécheresses à l échelle mondiale : le monde fait face à une menace grandissante d importantes sécheresses Les terres 3 peutvent se définir comme un système destiné à générer de la productivité biologique. C est l infrastructure naturelle qui supporte la vie sur la planète. La quantité et la qualité de cette production dépendent du principal composant de la terre : le sol et sa fertilité. La matière organique du sol, qui provient de la végétation portée par ce dernier, est le principal composant influençant la fertilité du sol. Les sols génèrent des services non seulement pour leurs utilisateurs directs, mais également pour les utilisateurs indirects que sont les consommateurs des produits de la terre ainsi que l ensemble de la population humaine qui bénéficie également d autres avantages générés par les sols par le biais de sa couverture végétale, comme l oxygène atmosphérique, la régulation climatique et les réserves hydrologiques. Ainsi, les fonctions du sol et les services qu il rend en font un bien public mondial. Dés lors, la prévention de sa dégradation est l affaire de tous, et nécessite un partenariat et une coopération à l échelle mondiale. La dégradation des terres constitue une sérieuse menace à la vie sur terre, y compris la vie humaine. Lorsqu elle survient dans des zones arides où la productivité est limitée en raison du manque d eau, cela s appelle la désertification. La dégradation des terres résulte de plusieurs facteurs, parmi lesquels les activités humaines et les catastrophes provoquées par les variations climatiques, comme les sécheresses et les inondations. Elle se traduit par une diminution régulière de la productivité biologique engendrée par une surexploitation des ressources de la terre par des utilisateurs s efforçant d augmenter la productivité économique, avec pour résultat une perte de la fertilité et un épuisement des sols. Les facteurs tels que la croissance de la population, l augmentation de la consommation ou encore les inégalités sont à l origine de cette demande excessive vis-à-vis de la productivité de la terre, conduisant ainsi à sa dégradation. Ses répercussions à la fois biophysiques et socio-économiques sont ressenties au niveau local, transfrontalier, mais également global en affectant le climat et la sécurité alimentaire mondiales, et générant des problèmes de santé publique et d instabilité politique. Les régions en bleu ou en vert sont susceptibles d être exposées à un risque faible de sécheresse, alors que celles en jaune et en violet seraient menacées par des conditions de sécheresse inhabituellement extrêmes. (Source: University Corporation for Atmospheric Research (UCAR) National Center for Atmospheric Research (NCAR) & National Science Foundation
3 De cette poignée de terre dépend notre survie. Protégez la et elle pourvoira nos aliments, notre combustible, notre abris et elle nous ceindra de sa beauté. Malmenez-la et la terre succombera et périra, en emportant l humanité avec elle. 4 L ampleur du défi Malgré les effets dévastateurs de la dégradation des terres ou de l épuisement des nutriments des sols, le monde a continué son inexorable progression vers un «pic des sols» 5, dont les conséquences seront bien plus graves que celles d un éventuel «pic pétrolier». Les menaces et les répercussions de grande envergure causées par la dégradation des terres sont encore largement ignorées. Il s agit en effet d une question encore peu étudiée par la communauté internationale, en dépit de la quête affichée pour un développement toujours plus durable. C est un fait, notre ressource terrestre non renouvelable la plus importante est constituée par les terres productives et les sols fertiles. Pourtant, chaque année, on estime que 24 milliards de tonnes de sols fertiles disparaissent. Ce taux de disparition des terres arables est estimé être 30, voire 35 fois plus rapide que le taux historique. La dégradation des terres touche directement 1,5 milliards de personnes dans le monde. Si on évalue la pauvreté en termes de taux de mortalité infantile, 74 % des populations pauvres (42 % des populations très pauvres et 32 % des populations modérément pauvres) sont directement touchées par la dégradation des terres dans le monde La désertification, la dégradation des terres et la sécheresse (DDTS) ont un impact disproportionné sur les femmes et les enfants. Ils portent directement le fardeau de la dégradation et sont les derniers à quitter leurs terres. La terre est une ressource limitée. Sa dégradation épuise les réserves de ressources naturelles indispensables à notre sécurité alimentaire commune. Dans les zones arides, en raison de la sécheresse et de la désertification et de techniques d exploitation inadaptées, ce sont 12 millions d hectares qui sont transformés en nouveaux déserts chaque année. Cela représente une surface en mesure de produire 20 millions de tonnes de grain chaque année. La désertification et la dégradation des terres sont aujourd hui omniprésentes dans tous les écosystèmes et rongent les trois piliers du développement durable 6. Il ne fait aucun doute que la dégradation des terres est un phénomène planétaire, 78 % de cette dégradation se constatant dans des zones non arides. La détérioration de ces zones tampons que sont les zones sèches 7 augmente leur vulnérabilité face à la dégradation. La demande de terres productives est importante et la concurrence relative aux diverses utilisations des terres est rude. Les récentes crises alimentaires ne sont pas fortuites et ne sont pas terminées. Mais dans un monde de plus en plus interdépendant, les crises liées à la terre ont un potentiel accru à muer en de nouvelles crises globales. L Afrique est la région la plus vulnérable face au phénomène de la désertification. Plus de 45 % du continent africain est touché par la désertification, dont 55 % à un niveau élevé ou très élevé. 2/3 des terres arables africaines pourraient disparaître d ici 2025 si cette tendance se confirme. Par ailleurs, le pourcentage de terres frappées par des sécheresses sévères a plus que doublé entre les années 1970 et le début des années 2000, et le monde doit à présent envisager la possibilité d une sécheresse généralisée dans les décennies à venir ; mais tout cela n a pas encore été reconnu pleinement par la communauté internationale. Hélas, de nos jours encore, la sécheresse continue d engendrer des famines et de coûter des vies. A cet égard La situation tragique de la Corne de l Afrique nous rappelle de façon brutale qu il nous reste encore un long chemin à parcourir. Au cours des deux dernières décennies, nous avons assisté à une récupération et une amélioration considérables des terres dans les zones arides. Dans de nombreux cas, ce sont les populations des zones arides qui sont à l origine de ces innovations et progrès. Par exemple, la régénération naturelle et les techniques d agroforesterie consistant à planter des «arbres fertilisants» sur les terres agricoles et les pâturages ont déjà été adoptées par les agriculteurs dans de nombreuses régions. Ils ont permis de réhabiliter plus de six millions d hectares en Afrique. Ces systèmes devraient être renforcés partout, en améliorant les politiques et les institutions publiques et en mobilisant les potentiels de la société civile et du secteur privé. En outre, plus de 2 milliards d hectares dans le monde offrent encore des opportunités de réhabilitation par le biais de la restauration de
4 forêts ou des paysages forestiers. 1,5 milliards d hectares seraient plus adaptés à une restauration en mosaïque, dans laquelle les forêts et les arbres sont associés à d autres utilisations de la terre telles que l agroforesterie et l agriculture de petite échelle. Cela constitue «une grande opportunité pour réduire la pauvreté, améliorer la sécurité alimentaire, atténuer les changements climatiques et protéger la biodiversité». La réponse de politique internationale issue du «Sommet de la Terre de Rio» et de son Agenda 21 La CCNUCC, la CDB et la CNULD 8 (les Conventions de Rio) sont les fruits du Sommet de la Terre qui s est tenu à Rio de Janeiro en Alors que la CCNUCC et la CDB abordent respectivement les questions relatives à l atmosphère et à la vie sur terre, la CNULD traite de la dégradation de l infrastructure vitale de la planète, la terre, avec un mandat spécifique pour les terres sèches (zones arides, semi-arides et subhumides sèches) où la productivité est limitée en raison du manque d eau. Alors que la prise de conscience de la communauté mondiale face aux changements climatiques et à la perte de biodiversité a considérablement évolué depuis le Sommet de Rio, le rôle essentiel des terres et des sols pour l humanité demeure encore obscur pour beaucoup, et les risques liés à leur dégradation pesant sur les moyens de subsistance des populations ne reçoivent pas toute l attention qu ils méritent. Cela peut en partie être attribué au caractère limité d une part du mandat officiel de la CNULD et d autre part de sa couverture géographique. Malheureusement, ce manque d attention a pour effet d augmenter de façon continue la dégradation et la pauvreté, plus particulièrement dans les zones sèches. Le but principal de la CNULD est de résoudre le problème de la désertification et de la dégradation des terres et d atténuer les effets des sécheresses (DDTS). Les objectifs spécifiques visés par son plan stratégique décennal consistent à préserver les écosystèmes des zones sèches, à améliorer le bien-être des populations de ces zones, à générer des bénéfices à l échelle mondiale découlant de cette préservation, et à mobiliser les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs de la Convention. Faire face à la DDTS dans le contexte d une économie verte pour le développement durable et l éradication de la pauvreté : la nécessité d agir lors de la CDD ou Rio+20 La pauvreté, l insécurité alimentaire et la vulnérabilité face aux bouleversements climatiques constitueront probablement les principaux défis du développement durable à l échelle mondiale pour les décennies à venir. Pour une grande majorité des populations pauvres parmi les plus vulnérables ainsi que pour les écosystèmes dont elles dépendent, l adaptation et la résilience seront d autant mieux garanties en nous attaquant aux problèmes de la DDTS. La spirale infernale de la DDTS (taux par minute) 9 Causes Accroissement de la population : 150 personnes Augmentation du CO 2 : 6150 tonnes Déforestation tropicale (ensemble des zones arides et non arides) : 25 ha Désertification : 23 ha Empiétement urbain : 5,5 ha Effets Dégradation des sols : 10 ha Décès dus à la faim : 16 personnes (dont 12 enfants) Conséquences Instabilité politique Troubles civils Si nous ne prenons pas des mesures décisives pour protéger, restaurer et gérer durablement les terres et les sols, nous n atteindrons pas les objectifs relatifs à l adaptation et à l atténuation du changement climatique, à la préservation de la biodiversité, au maintien des forêts et aux OMD ; nous ne pourrons pas réduire la pauvreté rurale, assurer la sécurité alimentaire sur le long terme, ou encore renforcer la résistance aux sécheresses et au stress hydrique. Cela aura pour conséquences une multiplication des conflits politiques liés aux ressources rares et des migrations forcées continues. «La stratégie consiste à produire davantage avec moins de terres, à améliorer le rendement par goutte d eau et le rendement par unité d intrant des engrais et des pesticides, à produire plus de nourriture par unité d énergie et plus de biomasse par unité d empreinte Carbone et environnementale». 10 En d autres termes, d être écologiquement intensif. L économie verte vise à saisir les opportunités offertes par la gestion durable des terres (GDT) utilisée pour prévenir la dégradation des terres et restaurer celles qui sont dégradées, à condition que le cadre institutionnel nécessaire soit en place. L établissement de schémas de paiement pour les services environnementaux ou la création de
5 mécanismes de marchés pour ces services dérivés de l exploitation des terres permettraient de compenser les coûts économiques de court terme et inciteraient les exploitants à pratiquer l agriculture de conservation, et ainsi générer des revenus durables et des bénéfices de long terme au niveau local, régional et mondial. Par conséquent, l utilisation des terres pour l agriculture, la production d énergie et la sylviculture devrait constituer une des pierres angulaires de l économie verte pour assurer la sécurité alimentaire, le développement durable et l éradication de la pauvreté. Lors de la réunion de haut niveau organisée par l Assemblée Générale des Nations-Unies, de nombreux dirigeants ont «souligné le fait que si la communauté internationale était sérieuse dans sa détermination de renverser le processus de dégradation des terres et de désertification, le temps était alors venu de s engager dans la construction d un monde où chaque hectare dégradé serait compensé par un hectare restauré, afin de fixer des objectifs de développement durable mesurables et ainsi atteindre un bilan dégradation/restauration équilibré au niveau mondial, montrant ainsi son engagement dans la construction d un monde où le «bilan dégradation des terres» serait nul.» 12 Les actions requises sur le terrain pour atteindre globalement un «bilan dégradation des terres» nul de sont en accord avec l approche de la gestion durable des terres (GDT), qui peut être intégrée de manière efficace dans l initiative pour une économie verte, de manière à en faire un instrument permettant d atteindre le développement durable dans les zones rurales du monde entier. La GDT et l économie verte internalisent toutes les deux l approche de l Évaluation des cosystèmes pour le millénaire, qui consiste à considérer l agriculture comme un ensemble d écosystèmes cultivés fournissant de nombreux services. Ces services incluent les produits de valeur commerciale, mais également d autres services essentiels au bien-être de l humanité, comme la régulation climatique au niveau local et mondial et la création d habitats pour la biodiversité. Moyens de mise en œuvre L état actuel de la DDTS et ses sombres perspectives nécessitent que la Conférence Rio+20 approuve la mise en place d un ensemble de nouvelles mesures décisives. Il s agit tout d abord de fixer un objectif ambitieux mais atteignable, tel qu un «bilan dégradation des terres» nul à l échelle mondiale. La réalisation de cet objectif nécessite la mise en œuvre de mesures de prévention couplées à des actions en faveur de la réhabilitation et de la restauration des terres déjà dégradées. Il est en outre nécessaire de disposer d un cadre international dédié aux questions relatives à la terre et aux sols, afin d agréger les volontés politiques permettant de renforcer un régime international actuellement faible et fragmenté. Les initiatives visant à mettre au point un nouvel instrument juridiquement contraignant pour les sols et les terres ont échoué, et aucun des instruments environnementaux existants ne peut se concentrer sur les questions relatives à la terre en sus de son mandat actuel. La CNULD est toutefois le seul instrument juridiquement contraignant qui soit dédié à la terre, et ne nécessite que quelques aménagements afin de fonctionner comme cette plateforme dédiée à la terre. Lors de la réunion de haut niveau organisée par l Assemblée Générale des Nations-Unies, de nombreux dirigeants ont également mis l accent sur le fait qu au moment où nous avons des preuves tangibles d une accélération des tendances en matière de dégradation des terres dans tous les écosystèmes, la planète ne peut pas se permettre que les leaders mondiaux limitent leurs efforts aux zones sèches. Comme vu précédemment, si nous attendons que d autres écosystèmes se dégradent et se désertifient avant d agir, d autres problèmes interdépendants tels que la sécurité alimentaire, la migration forcée, les répercussions néfastes du changement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l instabilité politique et les conflits pourraient être exacerbés, et le développement durable et les OMD en seraient compromis. Il a été demandé de renforcer et d encourager la mise en œuvre de la Convention des Nations-Unies sur la lutte contre la désertification (CNULD) comme un cadre globale de politique et de suivi à même de faire face à la problématique des sols et à la dégradation des terres. 13 Plusieurs mécanismes pourraient être envisagés pour atteindre cet objectif sans que la CNULD ne soit pour autant amendée, par exemple à travers l établissement d un protocole dédié au problème de la dégradation des terres et des sols au niveau mondial. Le suivi et le monitorage de la progression vers l objectif précédemment défini nécessitent des moyens permettant d évaluer la dégradation et les modes de gestion des terres qui préviennent la dégradation et favorisent la restauration. Les connaissances sont disponibles, mais une grande partie d entre elles est fragmentée et non consensuelle. Plus précisément, aucune évaluation consensuelle et référentielle de la dégradation des terres et de la surveillance de ses tendances n existe à ce jour. Il y a près de 25 ans, le rapport Bruntland intitulé «Notre avenir à tous» nous avait déjà prévenus que si nous voulions subvenir
6 aux besoins humains, il était indispensable de préserver les ressources naturelles de la planète, en ajoutant que l utilisation des terres dans l agriculture et la sylviculture devait s appuyer sur une évaluation scientifique de la capacité des terres et de l appauvrissement annuel de la couche arable. La question des terres et des sols au niveau mondial nécessite donc une évaluation scientifiquement crédible, transparente et indépendante des connaissances existantes en matière d aide à la décision politique (mais sans valeur prescriptive), qui soit réalisée par une structure à l interface sciences/politique qui soit crédible, efficace et reconnue à l échelle mondiale, comparable à celles du GIEC et de l IPBES portant respectivement sur le climat et la biodiversité. Parmi les tâches urgentes à aborder l on pourrait envisager la question de la sècheresse en lien avec les changements climatiques, la mesure des taux de dégradation des terres, le suivi de la sécurité alimentaire au Conclusion Les sols constituent la ressource terrestre non renouvelable la plus importante dont nous disposons pour assurer un apport en eau et en énergie, et une sécurité alimentaire pour les générations présente et future, pendant que nous adaptons et construisons une résilience aux catastrophes climatiques. Mais la capacité du sol est souvent négligée et constitue généralement le lien manquant dans nos cadres et politiques pour le développement durable. regard des disponibilités réduites et d une demande accrue des terres, ou encore l utilisation de l agriculture pour la production d énergie en provenance de la biomasse et du biodiesel. Pour finir, une évaluation détaillée des «aspects économiques de la dégradation des terres» (Economics of Land Degradation) est nécessaire afin de sensibiliser le public aux coûts et aux bénéfices des décisions collectives et individuelles qui touchent la terre et les écosystèmes terrestres. Elle est également requise dans le but d élever l intendance des terres ou la gestion durable de celles-ci à un niveau de priorité supérieur sur les agendas nationaux et mondiaux, mais aussi dans le but de traduire les connaissances économiques, sociales et écologiques en instruments visant à soutenir l élaboration de politiques et de pratiques améliorées dans la gestion des terres à plusieurs niveaux. «Nous insistons donc sur le fait qu il est temps, pour la communauté internationale, de s engager pour un monde où le bilan de dégradation des terres serait nul à travers la définition et la mise en œuvre d objectifs de développement durable concernant l utilisation des terres». 14 Réferénces 1) «Terre» correspond dans ce document à la traduction de «land» qui, en anglais, recouvre une acception plus large incluant la notion de paysage, d écosystème, d hydrologie et se distingue ainsi des sols. 2) Présentation du Secrétariat de la CLD dans le cadre du processus préparatoire de Rio+20. 3) Cf. Article 1 er de la Convention des Nations unies sur la Lutte Contre la Désertification (CLD). 4) Extrait du Vedas Ecrits Sanskrit. 5) Traduit de l anglais «soil peak» en référence à «oil peak». 6) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies ; op. cit. 7) De l anglais «drylands» qui correspondent à une zone géo-climatique définie. 8) Respectivement : Convention Cadre des NU sur les Changements Climatique, Convention sur la Diversité Biologique et Convention des NU sur la Lutte contre la Désertification. 9) Rattan Lal, discours-programme prononcé lors de la réunion de haut niveau de la COP-10 de la CLD ; Changwon, 18 oct ) Rattan Lal, op. cit. 11) «land degradation neutral world» en anglais. 12) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies, op. cit. 13) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies, op. cit. 14) Op. cit. UNCCD Secretariat P.O. Box D Bonn, Germany Tel.: / Web:
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