La terre et les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La terre et les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté."

Transcription

1 Vers un monde ou le bilan dégradation des terres serait nul Cover photo: Marcin Bondarowicz La terre et les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté. Présentation du Secrétariat de la CLD dans le cadre du processus préparatoire de Rio+2o

2 1 La terreet les sols dans le contexte d une économie verte pour le développement 2 durable, la sécurité alimentaire et l éradication de la pauvreté Le rôle essentiel des terres productives/des sols fertiles dans le cadre du développement durable Prévisions des futures sécheresses à l échelle mondiale : le monde fait face à une menace grandissante d importantes sécheresses Les terres 3 peutvent se définir comme un système destiné à générer de la productivité biologique. C est l infrastructure naturelle qui supporte la vie sur la planète. La quantité et la qualité de cette production dépendent du principal composant de la terre : le sol et sa fertilité. La matière organique du sol, qui provient de la végétation portée par ce dernier, est le principal composant influençant la fertilité du sol. Les sols génèrent des services non seulement pour leurs utilisateurs directs, mais également pour les utilisateurs indirects que sont les consommateurs des produits de la terre ainsi que l ensemble de la population humaine qui bénéficie également d autres avantages générés par les sols par le biais de sa couverture végétale, comme l oxygène atmosphérique, la régulation climatique et les réserves hydrologiques. Ainsi, les fonctions du sol et les services qu il rend en font un bien public mondial. Dés lors, la prévention de sa dégradation est l affaire de tous, et nécessite un partenariat et une coopération à l échelle mondiale. La dégradation des terres constitue une sérieuse menace à la vie sur terre, y compris la vie humaine. Lorsqu elle survient dans des zones arides où la productivité est limitée en raison du manque d eau, cela s appelle la désertification. La dégradation des terres résulte de plusieurs facteurs, parmi lesquels les activités humaines et les catastrophes provoquées par les variations climatiques, comme les sécheresses et les inondations. Elle se traduit par une diminution régulière de la productivité biologique engendrée par une surexploitation des ressources de la terre par des utilisateurs s efforçant d augmenter la productivité économique, avec pour résultat une perte de la fertilité et un épuisement des sols. Les facteurs tels que la croissance de la population, l augmentation de la consommation ou encore les inégalités sont à l origine de cette demande excessive vis-à-vis de la productivité de la terre, conduisant ainsi à sa dégradation. Ses répercussions à la fois biophysiques et socio-économiques sont ressenties au niveau local, transfrontalier, mais également global en affectant le climat et la sécurité alimentaire mondiales, et générant des problèmes de santé publique et d instabilité politique. Les régions en bleu ou en vert sont susceptibles d être exposées à un risque faible de sécheresse, alors que celles en jaune et en violet seraient menacées par des conditions de sécheresse inhabituellement extrêmes. (Source: University Corporation for Atmospheric Research (UCAR) National Center for Atmospheric Research (NCAR) & National Science Foundation

3 De cette poignée de terre dépend notre survie. Protégez la et elle pourvoira nos aliments, notre combustible, notre abris et elle nous ceindra de sa beauté. Malmenez-la et la terre succombera et périra, en emportant l humanité avec elle. 4 L ampleur du défi Malgré les effets dévastateurs de la dégradation des terres ou de l épuisement des nutriments des sols, le monde a continué son inexorable progression vers un «pic des sols» 5, dont les conséquences seront bien plus graves que celles d un éventuel «pic pétrolier». Les menaces et les répercussions de grande envergure causées par la dégradation des terres sont encore largement ignorées. Il s agit en effet d une question encore peu étudiée par la communauté internationale, en dépit de la quête affichée pour un développement toujours plus durable. C est un fait, notre ressource terrestre non renouvelable la plus importante est constituée par les terres productives et les sols fertiles. Pourtant, chaque année, on estime que 24 milliards de tonnes de sols fertiles disparaissent. Ce taux de disparition des terres arables est estimé être 30, voire 35 fois plus rapide que le taux historique. La dégradation des terres touche directement 1,5 milliards de personnes dans le monde. Si on évalue la pauvreté en termes de taux de mortalité infantile, 74 % des populations pauvres (42 % des populations très pauvres et 32 % des populations modérément pauvres) sont directement touchées par la dégradation des terres dans le monde La désertification, la dégradation des terres et la sécheresse (DDTS) ont un impact disproportionné sur les femmes et les enfants. Ils portent directement le fardeau de la dégradation et sont les derniers à quitter leurs terres. La terre est une ressource limitée. Sa dégradation épuise les réserves de ressources naturelles indispensables à notre sécurité alimentaire commune. Dans les zones arides, en raison de la sécheresse et de la désertification et de techniques d exploitation inadaptées, ce sont 12 millions d hectares qui sont transformés en nouveaux déserts chaque année. Cela représente une surface en mesure de produire 20 millions de tonnes de grain chaque année. La désertification et la dégradation des terres sont aujourd hui omniprésentes dans tous les écosystèmes et rongent les trois piliers du développement durable 6. Il ne fait aucun doute que la dégradation des terres est un phénomène planétaire, 78 % de cette dégradation se constatant dans des zones non arides. La détérioration de ces zones tampons que sont les zones sèches 7 augmente leur vulnérabilité face à la dégradation. La demande de terres productives est importante et la concurrence relative aux diverses utilisations des terres est rude. Les récentes crises alimentaires ne sont pas fortuites et ne sont pas terminées. Mais dans un monde de plus en plus interdépendant, les crises liées à la terre ont un potentiel accru à muer en de nouvelles crises globales. L Afrique est la région la plus vulnérable face au phénomène de la désertification. Plus de 45 % du continent africain est touché par la désertification, dont 55 % à un niveau élevé ou très élevé. 2/3 des terres arables africaines pourraient disparaître d ici 2025 si cette tendance se confirme. Par ailleurs, le pourcentage de terres frappées par des sécheresses sévères a plus que doublé entre les années 1970 et le début des années 2000, et le monde doit à présent envisager la possibilité d une sécheresse généralisée dans les décennies à venir ; mais tout cela n a pas encore été reconnu pleinement par la communauté internationale. Hélas, de nos jours encore, la sécheresse continue d engendrer des famines et de coûter des vies. A cet égard La situation tragique de la Corne de l Afrique nous rappelle de façon brutale qu il nous reste encore un long chemin à parcourir. Au cours des deux dernières décennies, nous avons assisté à une récupération et une amélioration considérables des terres dans les zones arides. Dans de nombreux cas, ce sont les populations des zones arides qui sont à l origine de ces innovations et progrès. Par exemple, la régénération naturelle et les techniques d agroforesterie consistant à planter des «arbres fertilisants» sur les terres agricoles et les pâturages ont déjà été adoptées par les agriculteurs dans de nombreuses régions. Ils ont permis de réhabiliter plus de six millions d hectares en Afrique. Ces systèmes devraient être renforcés partout, en améliorant les politiques et les institutions publiques et en mobilisant les potentiels de la société civile et du secteur privé. En outre, plus de 2 milliards d hectares dans le monde offrent encore des opportunités de réhabilitation par le biais de la restauration de

4 forêts ou des paysages forestiers. 1,5 milliards d hectares seraient plus adaptés à une restauration en mosaïque, dans laquelle les forêts et les arbres sont associés à d autres utilisations de la terre telles que l agroforesterie et l agriculture de petite échelle. Cela constitue «une grande opportunité pour réduire la pauvreté, améliorer la sécurité alimentaire, atténuer les changements climatiques et protéger la biodiversité». La réponse de politique internationale issue du «Sommet de la Terre de Rio» et de son Agenda 21 La CCNUCC, la CDB et la CNULD 8 (les Conventions de Rio) sont les fruits du Sommet de la Terre qui s est tenu à Rio de Janeiro en Alors que la CCNUCC et la CDB abordent respectivement les questions relatives à l atmosphère et à la vie sur terre, la CNULD traite de la dégradation de l infrastructure vitale de la planète, la terre, avec un mandat spécifique pour les terres sèches (zones arides, semi-arides et subhumides sèches) où la productivité est limitée en raison du manque d eau. Alors que la prise de conscience de la communauté mondiale face aux changements climatiques et à la perte de biodiversité a considérablement évolué depuis le Sommet de Rio, le rôle essentiel des terres et des sols pour l humanité demeure encore obscur pour beaucoup, et les risques liés à leur dégradation pesant sur les moyens de subsistance des populations ne reçoivent pas toute l attention qu ils méritent. Cela peut en partie être attribué au caractère limité d une part du mandat officiel de la CNULD et d autre part de sa couverture géographique. Malheureusement, ce manque d attention a pour effet d augmenter de façon continue la dégradation et la pauvreté, plus particulièrement dans les zones sèches. Le but principal de la CNULD est de résoudre le problème de la désertification et de la dégradation des terres et d atténuer les effets des sécheresses (DDTS). Les objectifs spécifiques visés par son plan stratégique décennal consistent à préserver les écosystèmes des zones sèches, à améliorer le bien-être des populations de ces zones, à générer des bénéfices à l échelle mondiale découlant de cette préservation, et à mobiliser les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs de la Convention. Faire face à la DDTS dans le contexte d une économie verte pour le développement durable et l éradication de la pauvreté : la nécessité d agir lors de la CDD ou Rio+20 La pauvreté, l insécurité alimentaire et la vulnérabilité face aux bouleversements climatiques constitueront probablement les principaux défis du développement durable à l échelle mondiale pour les décennies à venir. Pour une grande majorité des populations pauvres parmi les plus vulnérables ainsi que pour les écosystèmes dont elles dépendent, l adaptation et la résilience seront d autant mieux garanties en nous attaquant aux problèmes de la DDTS. La spirale infernale de la DDTS (taux par minute) 9 Causes Accroissement de la population : 150 personnes Augmentation du CO 2 : 6150 tonnes Déforestation tropicale (ensemble des zones arides et non arides) : 25 ha Désertification : 23 ha Empiétement urbain : 5,5 ha Effets Dégradation des sols : 10 ha Décès dus à la faim : 16 personnes (dont 12 enfants) Conséquences Instabilité politique Troubles civils Si nous ne prenons pas des mesures décisives pour protéger, restaurer et gérer durablement les terres et les sols, nous n atteindrons pas les objectifs relatifs à l adaptation et à l atténuation du changement climatique, à la préservation de la biodiversité, au maintien des forêts et aux OMD ; nous ne pourrons pas réduire la pauvreté rurale, assurer la sécurité alimentaire sur le long terme, ou encore renforcer la résistance aux sécheresses et au stress hydrique. Cela aura pour conséquences une multiplication des conflits politiques liés aux ressources rares et des migrations forcées continues. «La stratégie consiste à produire davantage avec moins de terres, à améliorer le rendement par goutte d eau et le rendement par unité d intrant des engrais et des pesticides, à produire plus de nourriture par unité d énergie et plus de biomasse par unité d empreinte Carbone et environnementale». 10 En d autres termes, d être écologiquement intensif. L économie verte vise à saisir les opportunités offertes par la gestion durable des terres (GDT) utilisée pour prévenir la dégradation des terres et restaurer celles qui sont dégradées, à condition que le cadre institutionnel nécessaire soit en place. L établissement de schémas de paiement pour les services environnementaux ou la création de

5 mécanismes de marchés pour ces services dérivés de l exploitation des terres permettraient de compenser les coûts économiques de court terme et inciteraient les exploitants à pratiquer l agriculture de conservation, et ainsi générer des revenus durables et des bénéfices de long terme au niveau local, régional et mondial. Par conséquent, l utilisation des terres pour l agriculture, la production d énergie et la sylviculture devrait constituer une des pierres angulaires de l économie verte pour assurer la sécurité alimentaire, le développement durable et l éradication de la pauvreté. Lors de la réunion de haut niveau organisée par l Assemblée Générale des Nations-Unies, de nombreux dirigeants ont «souligné le fait que si la communauté internationale était sérieuse dans sa détermination de renverser le processus de dégradation des terres et de désertification, le temps était alors venu de s engager dans la construction d un monde où chaque hectare dégradé serait compensé par un hectare restauré, afin de fixer des objectifs de développement durable mesurables et ainsi atteindre un bilan dégradation/restauration équilibré au niveau mondial, montrant ainsi son engagement dans la construction d un monde où le «bilan dégradation des terres» serait nul.» 12 Les actions requises sur le terrain pour atteindre globalement un «bilan dégradation des terres» nul de sont en accord avec l approche de la gestion durable des terres (GDT), qui peut être intégrée de manière efficace dans l initiative pour une économie verte, de manière à en faire un instrument permettant d atteindre le développement durable dans les zones rurales du monde entier. La GDT et l économie verte internalisent toutes les deux l approche de l Évaluation des cosystèmes pour le millénaire, qui consiste à considérer l agriculture comme un ensemble d écosystèmes cultivés fournissant de nombreux services. Ces services incluent les produits de valeur commerciale, mais également d autres services essentiels au bien-être de l humanité, comme la régulation climatique au niveau local et mondial et la création d habitats pour la biodiversité. Moyens de mise en œuvre L état actuel de la DDTS et ses sombres perspectives nécessitent que la Conférence Rio+20 approuve la mise en place d un ensemble de nouvelles mesures décisives. Il s agit tout d abord de fixer un objectif ambitieux mais atteignable, tel qu un «bilan dégradation des terres» nul à l échelle mondiale. La réalisation de cet objectif nécessite la mise en œuvre de mesures de prévention couplées à des actions en faveur de la réhabilitation et de la restauration des terres déjà dégradées. Il est en outre nécessaire de disposer d un cadre international dédié aux questions relatives à la terre et aux sols, afin d agréger les volontés politiques permettant de renforcer un régime international actuellement faible et fragmenté. Les initiatives visant à mettre au point un nouvel instrument juridiquement contraignant pour les sols et les terres ont échoué, et aucun des instruments environnementaux existants ne peut se concentrer sur les questions relatives à la terre en sus de son mandat actuel. La CNULD est toutefois le seul instrument juridiquement contraignant qui soit dédié à la terre, et ne nécessite que quelques aménagements afin de fonctionner comme cette plateforme dédiée à la terre. Lors de la réunion de haut niveau organisée par l Assemblée Générale des Nations-Unies, de nombreux dirigeants ont également mis l accent sur le fait qu au moment où nous avons des preuves tangibles d une accélération des tendances en matière de dégradation des terres dans tous les écosystèmes, la planète ne peut pas se permettre que les leaders mondiaux limitent leurs efforts aux zones sèches. Comme vu précédemment, si nous attendons que d autres écosystèmes se dégradent et se désertifient avant d agir, d autres problèmes interdépendants tels que la sécurité alimentaire, la migration forcée, les répercussions néfastes du changement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l instabilité politique et les conflits pourraient être exacerbés, et le développement durable et les OMD en seraient compromis. Il a été demandé de renforcer et d encourager la mise en œuvre de la Convention des Nations-Unies sur la lutte contre la désertification (CNULD) comme un cadre globale de politique et de suivi à même de faire face à la problématique des sols et à la dégradation des terres. 13 Plusieurs mécanismes pourraient être envisagés pour atteindre cet objectif sans que la CNULD ne soit pour autant amendée, par exemple à travers l établissement d un protocole dédié au problème de la dégradation des terres et des sols au niveau mondial. Le suivi et le monitorage de la progression vers l objectif précédemment défini nécessitent des moyens permettant d évaluer la dégradation et les modes de gestion des terres qui préviennent la dégradation et favorisent la restauration. Les connaissances sont disponibles, mais une grande partie d entre elles est fragmentée et non consensuelle. Plus précisément, aucune évaluation consensuelle et référentielle de la dégradation des terres et de la surveillance de ses tendances n existe à ce jour. Il y a près de 25 ans, le rapport Bruntland intitulé «Notre avenir à tous» nous avait déjà prévenus que si nous voulions subvenir

6 aux besoins humains, il était indispensable de préserver les ressources naturelles de la planète, en ajoutant que l utilisation des terres dans l agriculture et la sylviculture devait s appuyer sur une évaluation scientifique de la capacité des terres et de l appauvrissement annuel de la couche arable. La question des terres et des sols au niveau mondial nécessite donc une évaluation scientifiquement crédible, transparente et indépendante des connaissances existantes en matière d aide à la décision politique (mais sans valeur prescriptive), qui soit réalisée par une structure à l interface sciences/politique qui soit crédible, efficace et reconnue à l échelle mondiale, comparable à celles du GIEC et de l IPBES portant respectivement sur le climat et la biodiversité. Parmi les tâches urgentes à aborder l on pourrait envisager la question de la sècheresse en lien avec les changements climatiques, la mesure des taux de dégradation des terres, le suivi de la sécurité alimentaire au Conclusion Les sols constituent la ressource terrestre non renouvelable la plus importante dont nous disposons pour assurer un apport en eau et en énergie, et une sécurité alimentaire pour les générations présente et future, pendant que nous adaptons et construisons une résilience aux catastrophes climatiques. Mais la capacité du sol est souvent négligée et constitue généralement le lien manquant dans nos cadres et politiques pour le développement durable. regard des disponibilités réduites et d une demande accrue des terres, ou encore l utilisation de l agriculture pour la production d énergie en provenance de la biomasse et du biodiesel. Pour finir, une évaluation détaillée des «aspects économiques de la dégradation des terres» (Economics of Land Degradation) est nécessaire afin de sensibiliser le public aux coûts et aux bénéfices des décisions collectives et individuelles qui touchent la terre et les écosystèmes terrestres. Elle est également requise dans le but d élever l intendance des terres ou la gestion durable de celles-ci à un niveau de priorité supérieur sur les agendas nationaux et mondiaux, mais aussi dans le but de traduire les connaissances économiques, sociales et écologiques en instruments visant à soutenir l élaboration de politiques et de pratiques améliorées dans la gestion des terres à plusieurs niveaux. «Nous insistons donc sur le fait qu il est temps, pour la communauté internationale, de s engager pour un monde où le bilan de dégradation des terres serait nul à travers la définition et la mise en œuvre d objectifs de développement durable concernant l utilisation des terres». 14 Réferénces 1) «Terre» correspond dans ce document à la traduction de «land» qui, en anglais, recouvre une acception plus large incluant la notion de paysage, d écosystème, d hydrologie et se distingue ainsi des sols. 2) Présentation du Secrétariat de la CLD dans le cadre du processus préparatoire de Rio+20. 3) Cf. Article 1 er de la Convention des Nations unies sur la Lutte Contre la Désertification (CLD). 4) Extrait du Vedas Ecrits Sanskrit. 5) Traduit de l anglais «soil peak» en référence à «oil peak». 6) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies ; op. cit. 7) De l anglais «drylands» qui correspondent à une zone géo-climatique définie. 8) Respectivement : Convention Cadre des NU sur les Changements Climatique, Convention sur la Diversité Biologique et Convention des NU sur la Lutte contre la Désertification. 9) Rattan Lal, discours-programme prononcé lors de la réunion de haut niveau de la COP-10 de la CLD ; Changwon, 18 oct ) Rattan Lal, op. cit. 11) «land degradation neutral world» en anglais. 12) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies, op. cit. 13) Le Président de la 66 ème session de l Assemblée générale des Nations unies, op. cit. 14) Op. cit. UNCCD Secretariat P.O. Box D Bonn, Germany Tel.: / Web:

Traité de Copenhague nécessaire

Traité de Copenhague nécessaire Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

La Desertification. Résumé du rapport de l Evaluation des Ecosystèmes pour le Millénaire

La Desertification. Résumé du rapport de l Evaluation des Ecosystèmes pour le Millénaire La Desertification Résumé du rapport de l Evaluation des Ecosystèmes pour le Millénaire LA DÉSERTIFICATION est la dégradation persistante d écosystèmes des zones sèches. Elle menace les moyens d existence

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

Une planète. Six engagements.

Une planète. Six engagements. Une planète. Six engagements. Nous ne pouvons plus continuer ainsi L humanité est confrontée à son plus grand défi Chaque jour, notre planète se réveille avec 200 000 nouvelles bouches à nourrir. 1 Chaque

Plus en détail

REDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.

REDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques. REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus

Plus en détail

La terre, source de vie

La terre, source de vie La terre, source de vie préserver notre avenir commun Une publication conjointe des Secrétariats du FEM et de la CNULD en collaboration avec la Fondation GoodPlanet et le Gouvernement de la République

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

L état des ressources en terres et en eau pour l alimentation et l agriculture dans le monde

L état des ressources en terres et en eau pour l alimentation et l agriculture dans le monde RAPPORT DE SYNTHÈSE L état des ressources en terres et en eau pour l alimentation et l agriculture dans le monde Gérer les systèmes en danger ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE

Plus en détail

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE

Plus en détail

PROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT

PROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT PROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT (PNUD) FONDS POUR L ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT I. INFORMATIONS DE BASE

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION. Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006

COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION. Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006 Avril 2006 F COMMISSION EUROPÉENNE DES FORÊTS TRENTE-TROISIÈME SESSION Zvolen (Slovaquie), 23-26 mai 2006 ÉVÉNEMENTS ET INITIATIVES DE PORTÉE INTERNATIONALE, Y COMPRIS LA COLLABORATION FUTURE ENTRE LA

Plus en détail

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE PNUE LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE SEXOSPÉCIDU CHANGEMENT CLIMATIQUE RISQUES FIQUES ET ESPOIRS ÉVALUATION RAPIDE DE LA SITUATION 2 AVANT-PROPOS Les femmes tiennent un rôle beaucoup plus important que

Plus en détail

Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction

Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines

Plus en détail

Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes

Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes Cadre d action de Hyogo pour 2005-2015: Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes À sa 9 e séance plénière, le 22 janvier 2005, la Conférence mondiale sur la prévention des

Plus en détail

Texte final de la Convention. Note du secrétariat

Texte final de la Convention. Note du secrétariat NATIONS UNIES A Assemblée générale Distr. GENERALE A/AC.241/27 12 septembre 1994 FRANCAIS Original: ANGLAIS COMITE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION CHARGE D ELABORER UNE CONVENTION INTERNATIONALE SUR

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel

Plus en détail

Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h

Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h Édito En route pour la COP21! Dans six mois, le 30 novembre 2015, le coup d envoi de la 21 e conférence internationale pour le climat sera donné

Plus en détail

Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012. www.uncsd2012.org

Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012. www.uncsd2012.org Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012 www.uncsd2012.org «Rio+20 sera l une des plus importantes réunions internationales sur le développement durable de notre époque. À Rio, notre vision doit être claire

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE

DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),

Plus en détail

Nations Unies A/CONF.216/L.1* L avenir que nous voulons I. Notre vision commune *1238165* Distr. limitée 19 juin 2012 Français Original : anglais

Nations Unies A/CONF.216/L.1* L avenir que nous voulons I. Notre vision commune *1238165* Distr. limitée 19 juin 2012 Français Original : anglais Nations Unies A/CONF.216/L.1* Distr. limitée 19 juin 2012 Français Original : anglais Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012 Point 10 de l ordre du jour Résultats de la Conférence L avenir que nous voulons

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Déclaration du Capital naturel

Déclaration du Capital naturel Déclaration du Capital naturel Une déclaration du secteur financier démontrant notre engagement au sommet de Rio +20 pour tendre vers l intégration des considérations liées au capital naturel dans les

Plus en détail

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts

Plus en détail

PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES ZOOGÉNÉTIQUES et la DÉCLARATION D INTERLAKEN

PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES ZOOGÉNÉTIQUES et la DÉCLARATION D INTERLAKEN PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES ZOOGÉNÉTIQUES et la DÉCLARATION D INTERLAKEN COMMISSION DES RESSOURCES GÉNÉTIQUES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES

Plus en détail

Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales

Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales Forum international sur les paiements pour services liés aux écosystèmes des forêts tropicales San José (Costa Rica) - Du 7 au 10 avril 2014 Messages principaux, résumé et recommandations 1 1 Le présent

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8 Note explicative 1. Ce document est l avant-projet préliminaire du cadre de réduction des risques de catastrophe pour l après-2015. Il servira de base aux consultations informelles ouvertes à mener en

Plus en détail

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :

Plus en détail

Plan d orientations stratégiques 2012-2016

Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser

Plus en détail

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 VERSION FINALE Centre de Coopération pour la Méditerranée de l UICN Septembre 2012 2 Sommaire Liste d acronymes... 3 Avant-propos... 4 Introduction... 5

Plus en détail

FAO-Adapt. Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique

FAO-Adapt. Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique FAO-Adapt Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique FAO-Adapt Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE

Plus en détail

Chapitre Paragraphes Page

Chapitre Paragraphes Page Table des matières Résolution 2* Plan d application du Sommet mondial pour le développement durable Le Sommet mondial pour le développement durable, S étant réuni à Johannesburg (Afrique du Sud) du 26

Plus en détail

Stratégie Régionale harmonisée de mise en œuvre de l initiative «Grande muraille verte pour le Sahara et le Sahel»

Stratégie Régionale harmonisée de mise en œuvre de l initiative «Grande muraille verte pour le Sahara et le Sahel» Stratégie Régionale harmonisée de mise en œuvre de l initiative «Grande muraille verte pour le Sahara et le Sahel» Document produit avec le concours financier et technique de : Remerciements La Commission

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

Site Internet : www.africa-union.org

Site Internet : www.africa-union.org AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA P.O. Box 3243, Addis-Abeba, ba, ÉTHIOPIE Téléphone : +251-115-517 517 700 ADDIS-ABEBA Site Internet : www.africa-union.org POSITION COMMUNE AFRICAINE SUR LE

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

La science derrière le changement climatique souligne l impératif pour nos sociétés de mitiger

La science derrière le changement climatique souligne l impératif pour nos sociétés de mitiger Déclaration commune de l industrie de l assurance Adaptation au changement climatique dans les pays en développement Quatre initiatives principales pour le changement climatique dans le secteur de l assurance,

Plus en détail

L ATTÉNUATION ET L ADAPTATION

L ATTÉNUATION ET L ADAPTATION LIENS ENTRE LA BIODIVERSITÉ, L ATTÉNUATION ET L ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES Principaux Messages du Rapport du deuxième Groupe spécial d experts techniques sur la diversité biologique et les

Plus en détail

Transition vers un nouveau paradigme

Transition vers un nouveau paradigme Transition vers un nouveau paradigme Droit à l'alimentation, souveraineté alimentaire, limites planétaires, gouvernance et rapports de forces Project Collectif La fin de la faim d ici 2050? Étudiants de

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

EVALUATION FINALE BKF/012

EVALUATION FINALE BKF/012 EVALUATION FINALE BKF/012 Projet d Appui à la Gestion participative des Ressources naturelles dans la Région des Hauts-Bassins FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre du projet Code LuxDev Burkina Faso Projet d Appui

Plus en détail

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA

Plus en détail

Consensus Scientifique sur la. Biodiversité. et le bien-être humain

Consensus Scientifique sur la. Biodiversité. et le bien-être humain page 1/90 Consensus Scientifique sur la Biodiversité et le bien-être humain Source : EM (2005) Résumé & Détails: GreenFacts Niveau 2 - Détails sur la Biodiversité 1. Biodiversité: Qu est-ce que c est,

Plus en détail

CBD. Distr. GÉNÉRALE. UNEP/CBD/COP/12/14 25 août 2014 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS

CBD. Distr. GÉNÉRALE. UNEP/CBD/COP/12/14 25 août 2014 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS CBD CONFÉRENCE DES PARTIES A LA CONVENTION SUR LA DIVERSITÉ BIOLOGIQUE Douzième réunion Pyeongchang, République de Corée, 6-17 octobre 2014 Point 15 de l ordre du jour provisoire* LE MÉCANISME DE FINANCEMENT

Plus en détail

Women s Major Group/Groupe Majeur des Femmes. Dernière déclaration du grand groupe des femmes - 21 juillet 2014

Women s Major Group/Groupe Majeur des Femmes. Dernière déclaration du grand groupe des femmes - 21 juillet 2014 Women s Major Group/Groupe Majeur des Femmes Les «8 drapeaux rouges» des femmes suite à la conclusion du groupe de travail ouvert sur les objectifs de développement durable Dernière déclaration du grand

Plus en détail

PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION

PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans

Plus en détail

République de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion

République de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion République de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion Projet de développement des capacités des Pays les moins avancés

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

Afin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :

Afin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées : D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.

Plus en détail

Rapport du Sommet mondial pour le développement durable

Rapport du Sommet mondial pour le développement durable ** Nations Unies Rapport du Sommet mondial pour le développement durable Johannesburg (Afrique du Sud), 26 août-4 septembre 2002 ** Rapport du Sommet mondial pour le développement durable Johannesburg

Plus en détail

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,

Plus en détail

VERS L AVENIR QUE NOUS VOULONS

VERS L AVENIR QUE NOUS VOULONS VERS L AVENIR QUE NOUS VOULONS En finir avec la faim et engager la transition vers des systèmes agro-alimentaires durables ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE Rome, 2012

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Evaluation des ressources forestières mondiales 2010 Rapport principal

Evaluation des ressources forestières mondiales 2010 Rapport principal ÉTUDE FAO: FORÊTS ISSN 1014-2894 163 Evaluation des ressources forestières mondiales 2010 Rapport principal Photos de couverture: Les sept thèmes de la gestion durable des forêts A gauche, de haut en bas:

Plus en détail

Développement durable : QU est-ce que c est?

Développement durable : QU est-ce que c est? Dossier pédagogique 5 Langues, géographie, sciences naturelles Développement durable : QU est-ce que c est? developpement durable, consommation, population, mondialisation, impacts environnementaux, empreinte

Plus en détail

CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES NATIONS UNIES FCCC/INFORMAL/84 GE.05-62221 (F) 180705 260705

CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES NATIONS UNIES FCCC/INFORMAL/84 GE.05-62221 (F) 180705 260705 CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES NATIONS UNIES 1992 FCCC/INFORMAL/84 GE.05-62221 (F) 180705 260705 -2- CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

Plus en détail

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL:

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: Comment REDD+ peut soutenir une Economie Verte Ce texte est une traduction provisoire de la synthèse à l intention des décideurs politiques. La version finale de cette synthèse

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid

asdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Sécurité des moyens d existence. Changements climatiques, migrations et. Programme des Nations Unies pour l environnement

Sécurité des moyens d existence. Changements climatiques, migrations et. Programme des Nations Unies pour l environnement Sécurité des moyens d existence Changements climatiques, migrations et Programme des Nations Unies pour l environnement Ce rapport a été réalisé grâce à un partenariat technique entre le Programme des

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.

Plus en détail

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002

Plus en détail

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI

Commission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI 35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte

Plus en détail

Le fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org

Le fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon

Plus en détail

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences

Plus en détail

La crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre

La crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?

Plus en détail

Contributions Prévues Déterminées au Niveau National (INDC) pour le secteur de l Utilisation des terres:

Contributions Prévues Déterminées au Niveau National (INDC) pour le secteur de l Utilisation des terres: Contributions Prévues Déterminées au Niveau National (INDC) pour le secteur de l Utilisation des terres: Atelier régional sur les contributions des secteurs de l agriculture, de l élevage et des forêts

Plus en détail

Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST

Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ

Plus en détail

19, 1. Mrd. Mrd. Financement de l action pour le climat

19, 1. Mrd. Mrd. Financement de l action pour le climat Financement de l action pour le climat En tant que banque de l Union européenne (UE), la Banque européenne d investissement (BEI) a inscrit l action en faveur du climat au premier rang de ses priorités.

Plus en détail

LES ÉCOSYSTÈMES ET LE BIEN-ÊTRE HUMAIN : LA CONDUITE ET L UTILISATION DES ÉVALUATIONS INTÉGRÉES

LES ÉCOSYSTÈMES ET LE BIEN-ÊTRE HUMAIN : LA CONDUITE ET L UTILISATION DES ÉVALUATIONS INTÉGRÉES LES ÉCOSYSTÈMES ET LE BIEN-ÊTRE HUMAIN : LA CONDUITE ET L UTILISATION DES ÉVALUATIONS INTÉGRÉES MANUEL DE FORMATION TABLE DES MATIÈRES Remerciements.....3 Comment utiliser ce manuel de formation.....4

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail