Les filiales de groupe, source de développement économique pour la Bourgogne Franche-Comté
|
|
- Rachel Alarie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FILIALES DE GROUPE Les filiales de groupe, source de développement économique pour la Bourgogne Franche-Comté KPMG
2 Edito KPMG réalise régulièrement des études sur le tissu économique régional, dans le but de mieux comprendre les enjeux auxquels sont confrontées les PME et ainsi pouvoir anticiper leurs attentes. La Bourgogne Franche-Comté, comme la majeure partie du territoire national, constate, suite à des rachats successifs, l émergence d un nombre de plus en plus significatif de filiales de groupe. Celles-ci sont ainsi devenues un acteur incontournable et contribuent massivement à la création de richesses au sein de leur territoire. Bruno Paillard Associé, Directeur Régional Bourgogne Franche-Comté L étude a été menée auprès des managers de filiales et des directeurs administratifs et financiers. Nous les avons interrogés sur les trois thématiques suivantes : - les éléments déterminants de leur implantation, - le degré d autonomie du directeur dans sa gestion, - la politique de croissance, développement, rentabilité de la société. Même si l enquête nous révèle que les filiales de groupe considèrent leur implantation en Bourgogne Franche-Comté comme une véritable opportunité, il convient cependant de continuer à travailler l attractivité de la région. Le succès de cette enquête, matérialisé par l importance du taux de réponse obtenu, démontre l intérêt porté à ce sujet. Je vous souhaite une agréable lecture, et profite de l occasion qui m est offerte pour remercier tous ceux et celles qui ont contribué à sa réalisation. Les filiales de groupe, source de développement économique 1
3 Sommaire Présentation de l étude et méthodologie...4 Implantation en Bourgogne Franche-Comté, à l origine une opportunité pérennisée par des atouts forts De l autonomie sous contrôle Une exigence de croissance et de rentabilité accompagnée par le groupe Les filiales de groupe, source de développement économique 3
4 Présentation La France est plus ouverte aux capitaux étrangers que ses voisins européens. Un salarié sur sept travaille dans une filiale de groupe étranger (hors secteur financier et administration). L Union Européenne et les Etats-Unis sont les 1 ers investisseurs étrangers en France. Les implantations sont d abord industrielles : ce secteur, et celui de l énergie, représentent la moitié des effectifs. Une filiale de groupe se définit comme une société dont le capital est détenu pour plus de 50% par une autre société, dite société mère. Les filiales de groupes étrangers représentent un poids croissant au sein du tissu économique régional. KPMG Bourgogne Franche-Comté, de par son implantation et son expérience, a jugé nécessaire la réalisation de cette étude afin d identifier les caractéristiques spécifiques de cet acteur incontournable. Manager L environnement des filiales de groupe s articule autour de 3 acteurs : Le manager (directeur de la filiale), la région et le groupe. Groupe Région 1. Comment les filiales perçoiventelles la Bourgogne Franche-Comté? 2. Comment la société mère pilote-t-elle ses filiales? 3. Quelles sont les interactions entre les 3 partenaires de la filiale? 4 Les filiales de groupe, source de développement économique
5 Méthodologie Le nombre de filiales de groupes étrangers recensées est de 364. Elles sont réparties sur l ensemble des départements de Bourgogne Franche-Comté. L échantillon a été constitué à partir de Diane, base de données (Bureau Van Dijk Editions Electroniques). Les filiales ont une maison mère étrangère et sont de tailles significatives. L enquête a été menée en 2009 sous la forme d entretiens téléphoniques auprès des managers de filiales ou des directeurs administratifs et financiers. Répartition de l échantillon par secteur d activité Services 10% Transport 2% Le secteur d activité le plus représenté est celui de l Industrie. Négoce 10% Industrie 66% Plus de Chiffre d affaires (K ) 38% 62% Moins de Le chiffre d affaires moyen des filiales étrangères interrogées est de K. Supérieur à 200 pers. Effectif de la filiale 24% L effectif moyen des filiales étrangères est de 144 salariés. 75% Inférieur à 200 pers. Les filiales de groupe, source de développement économique 5
6 Implantation en Bourgogne Franche-Comté, à l origine une opportunité La croissance externe, vecteur principal d implantation Dans 56% des cas, l implantation des groupes en Bourgogne Franche-Comté est liée à une opportunité d acquisition d une entreprise. Les filiales évoquent à 17% le tissu économique local favorable pour justifier leur implantation, mais seulement 7% d entre elles ont choisi la région pour leurs ressources locales. Infrastructures Compétences locales Critères d implantation Autres 4% 7% 17% 16% 56% Croissance externe Tissu économique local Des filiales satisfaites de leur environnement de travail D une manière générale, 47% des filiales implantées en Bourgogne Franche-Comté considèrent que la région a été un atout et une source d opportunité pour leur implantation. Les filiales qui associent leur implantation en Bourgogne Franche-Comté à un handicap, ou à un succès, sont marginales. Vision des managers de leur implantation en Bourgogne Franche-Comté Handicap Opportunité / atout 2% Neutre 47% 50% 1% Une clé de succès 6 Les filiales de groupe, source de développement économique
7 pérennisée par des atouts forts Critères de satisfaction liés à l implantation des filiales de groupe en Bourgogne Franche-Comté Qualité des prestataires locaux Formation dispensée Qualité de la main d œuvre et climat social Adéquation des infrastructures Recherche et pôle de compétitivité Soutien des collectivités téritoriales Attractivité région pour recrutement 0% 20% 40% 60% 80% 100% Non satisfait Plutôt pas satisfait Plutôt satisfait Très satisfait La Bourgogne Franche-Comté dispose d atouts significatifs Des infrastructures considérées comme adaptées Les infrastructures de la région répondent aux mieux aux exigences des filiales. Même si elles ne sont pas l un des critères déterminants à l implantation dans la région, leur nature et leur qualité sont reconnues. Cependant, des disparités existent d un territoire à l autre. Une main d œuvre et un climat social de qualité Pour 82% des filiales, la main d œuvre régionale est de qualité et le climat social serein. Ces satisfactions sont renforcées par une offre de formation jugée adaptée dans 62% des cas. Des prestataires locaux jugés très performants 79% des filiales sont satisfaites de la qualité des prestataires locaux. Les bonnes relations entre les filiales de groupe et leurs fournisseurs locaux permettent de renforcer la fidélité des groupes à la région.... mais doit travailler pour renforcer son attractivité Le recrutement Près de la moitié des sociétés consultées considère insuffisante l attractivité de la région dans le cadre des recrutements externes. Les sociétés de Bourgogne Franche-Comté ont des difficultés à attirer les collaborateurs dont les profils ne sont pas disponibles dans la région. Le soutien des collectivités locales 42% des filiales interrogées considèrent le soutien des collectivités territoriales comme insuffisant. Peu d échanges existent entre les sociétés et les collectivités. Dans un objectif de développement du territoire, il conviendrait d accentuer le dialogue entre ces deux partenaires. Les filiales de groupe, source de développement économique 7
8 Implantation en Bourgogne Franche-Comté, à l origine une opportunité Des perspectives de croissance tirées par les ventes à l international Les filiales réalisent leur chiffre d affaires à l international. Cette tendance devrait s accroître dans les années à venir comme l indique le graphique suivant. Répartition géographique du chiffre d affaires actuel et croissance prévue En BFC 6.0% 5.5% En France En Europe 27.6% 30.0% 44.8% 41.8% Activité actuelle Croissance de l activité Amérique 8.2% 7.3% Asie 6.0% 6.4% Reste du monde 7.5% 9.1% Peu de filiales en Bourgogne cantonnent leur activité à l échelle régionale. En effet, la majorité d entre elles réalisent principalement leur chiffre d affaires actuel sur l ensemble du territoire français ou en Europe grâce à l export. Une baisse d activité est prévue en France et en Amérique, au profit de l Europe, de l Asie et du reste du Monde, considérés comme des zones d opportunités et de croissance. 8 Les filiales de groupe, source de développement économique
9 pérennisée par des atouts forts malgré le ralentissement économique et ses incidences 90,8% des filiales se disent touchées par le ralentissement économique actuel. Les principales incidences sont la recherche de réduction des coûts et la réduction des effectifs. Dans ce contexte, plus de la moitié des filiales ne se sont pas prononcées sur leurs futures opérations d investissements. Seulement 28,4% d entre elles projettent d investir dans des opérations de renouvellement, et 17% dans des opérations de croissance. Pour plus de la moitié des filiales, ces investissements sont prévus pour l année en cours. Les investissements à long terme ne sont pas la priorité de ces dernières dans le contexte économique actuel. Incidences du ralentissement économique Opérations d investissement à venir Recherche de réduction des coûts 70,9% Autres 8,9% 50,6% Effectif Opérations de croissance 17% 28,4% 54,5% Non réponses Opérations de renouvellement Les filiales de groupe, source de développement économique 9
10 De l autonomie Des mandataires sociaux peu impliqués dans l opérationnel Seulement 35% des filiales ont un mandataire social présent sur le site implanté en Bourgogne Franche-Comté. Les conseils d administration (ou autre organe représentatif) ne se réunissent qu une fois par an dans 44% des cas, ce qui traduit une implication limitée dans l opérationnel. Le comité de direction : un organe au cœur du fonctionnement de la filiale Dans 59% des filiales interrogées, il existe un comité de direction qui se réunit au moins une fois par mois. Cette organisation traduit une implication collégiale des principaux cadres de l entité sous l impulsion du manager. On constate par ailleurs une corrélation entre la taille de la filiale et la présence d un comité de direction. La fonction de direction au sein de la filiale : l expérience du groupe prévaut 65% des managers interrogés affirment avoir exercé une autre fonction au sein du groupe avant celle qu ils exercent actuellement. Pour 30% d entre eux, le poste précédent se situait au niveau du siège. Les managers ont donc une expérience opérationnelle interne forte et une bonne connaissance du fonctionnement du groupe dans lequel ils évoluent. La mobilité des managers reste une spécificité des filiales de groupe. Cependant la moitié d entre eux est en poste depuis plus de 5 ans. Ancienneté du manager au sein de la filiale < 3 ans > 10 ans 14% 24% 3 à 5 ans 32% 30% 5 à 10 ans 10 Les filiales de groupe, source de développement économique
11 sous contrôle Un contrôle de la filiale essentiellement basé sur un reporting financier mensuel 80,2% des filiales adressent un reporting mensuel formalisé à leur maison mère. L information demandée par le groupe est au minimum de nature financière Données principales du reporting Les entreprises du secteur industriel sont celles qui présentent les reportings les plus complets tant au niveau de l information quantitative que qualitative. En matière de Qualité, Sécurité, Environnement (QSE), leurs données sont beaucoup plus détaillées que dans les autres secteurs d activité Industrie Négoce Services Transport 0 Finance Commerce RH Production QSE Une autonomie perçue sur les domaines de responsabilité du manager, mais une dépendance dans les domaines réservés à l actionnaire Perception d autonomie des managers par rapport à leur groupe Politique de recrutement Gestion de la production Politique de communication Politique commerciale Définition de la stratégie Politique financière Aucune Plutôt pas Plutôt Totale Une autonomie forte perçue en matière de : - Politique de Ressources Humaines - Organisation et gestion de production - Politique de communication - Politique commerciale Une dépendance marquée en matière de : - Définition de la stratégie - Politique financière L autonomie opérationnelle pour le manager, la stratégie et la finance pour le groupe La contrepartie de l autonomie réside dans l obligation de transmettre un reporting aux standards du groupe, fréquent, régulier et complet. En garantissant une autonomie sous contrôle essentiellement financier, les modalités de pilotage et de gouvernance des filiales assurent une séparation entre les responsabilités de l actionnaire et celles du manager. 83,5% des managers de filiales interrogés considèrent ces règles de gouvernance comme pertinentes et adaptées. Les filiales de groupe, source de développement économique 11
12 Une exigence de croissance et de rentabilité Des préoccupations proches de celles de tout dirigeant d entreprise La principale préoccupation des managers de filiale de groupe est d ordre financier (32,9 % des réponses). Les managers exposent lors de cette étude des enjeux liés à la rentabilité, aux résultats financiers, à la maîtrise des coûts, à l optimisation de la trésorerie, à la croissance et la conquête de nouveaux marchés. En d autres termes, ils sont particulièrement sensibles et concernés par l amélioration de la performance des entités qu ils dirigent. Cependant, en cette période de ralentissement économique, le manager doit trouver des solutions face à la crise, pour s adapter et éviter de réduire le personnel. C est sa seconde préoccupation. 35% 30% 25% 20% 15% 10% Principales préoccupations du dirigeant de filiale La stratégie de l entreprise ne ressort pas comme une des principales préoccupations des managers de filiales, celle-ci étant en général définie par le groupe. En outre, les autres préoccupations citées sont les suivantes : l approvisionnement, la gestion des informations et la solvabilité des clients. 5% 0% Financières Crise financière Commerciales Ressources humaines Satisfaction client Autres Il ressort de notre enquête que les appuis qui permettent de répondre à ces préoccupations sont essentiellement recherchés au sein du groupe plutôt que dans le tissu économique local. Une faible implication du manager dans la vie de la cité 61,6% des managers sondés ne sont pas présents au sein d un réseau, cercle ou association. Implication du dirigeant dans la vie de la cité Parmi les filiales représentées dans le tissu local, 45% sont dans les Chambres de Commerce et d Industrie et 17% dans les associations professionnelles. L implication des managers dans le tissu local reste orientée sur des relations très professionnelles (CCI, Syndicats professionnels,...). NON 61,6% OUI 38,4% 12 Les filiales de groupe, source de développement économique
13 accompagnée par le groupe Le groupe : appui apprécié Les principaux appuis fournis par les groupes concernent les ressources financières, la stratégie commerciale et les approvisionnements permettant ainsi de répondre aux principales préoccupations des managers de filiales. En revanche, en matière de compréhension du marché, de production, ainsi que de gestion des ressources humaines, le niveau d implication des groupes est considéré comme insuffisant. Ces thèmes complexes à mettre en œuvre pourraient être confiés à des prestataires externes de la filiale et ainsi pallier au manque de soutien ressenti par les managers. Ressources financières Stratégie commerciale Approvisionnement Questions environnementales Démarche qualité R&D Compréhension du marché Production Gestion des ressources humaines Niveau d implication du groupe 0% 20% 40% 60% 80% 100% Néant Faible Fort Total De manière générale, il ressort de cette étude un niveau de satisfaction très élevé des managers de filiales. Ces derniers veulent conserver leur autonomie et leur liberté d action dans certains domaines. A titre d exemple, l organisation de la production est souvent très peu appuyée par le groupe, et malgré tout, plus de la moitié des filiales se disent satisfaites de cette faible implication. Même constat pour la compréhension du marché et la gestion des ressources humaines. Les avantages d être une filiale Le soutien financier du groupe est perçu comme le principal avantage par les managers de filiales et notamment pour l accès aux moyens de financement. Les autres bénéfices identifiés sont liés à des réductions de coûts : économies d échelle, conditions d approvisionnement et moyens logistiques communs. L appartenance à un groupe est perçue comme une opportunité commerciale, elle apporte notoriété et garanties. Les inconvénients d une filiale de groupe sont principalement le manque d autonomie et les reportings récurrents à réaliser. Cependant, le mode de fonctionnement des filiales de groupe apparaît adapté aux objectifs de croissance et de rentabilité, le groupe étant sollicité pour offrir à sa filiale une sécurité qui lui permette de concentrer ses ressources sur son métier et son développement. Les avantages d être une filiale Autres Synergies 3.6% 13,1% Financiers Notoriété 15,4% 16,7% 51,2% Garanties Les filiales de groupe, source de développement économique 13
14 Conclusion Les filiales de groupe implantées en Bourgogne France-Comté considèrent leur implantation dans notre région comme une véritable opportunité. Elles ont aussi des objectifs et des exigences similaires à toute autre société commerciale, quelque soit son implantation géographique : croissance et rentabilité. Ce constat, d autant plus marqué dans un contexte de crise économique, nous amène à évoquer quelques recommandations permettant de favoriser leur implantation et leur développement dans notre région. Développer l attractivité de la Région Les filiales sont demandeuses de personnel bien formé et de prestataires locaux efficaces. Globalement, la région Bourgogne France-Comté offre des conditions d implantation propices sur ces deux points majeurs. Cependant, un point d amélioration demeure quant à l attractivité de la région dans le cadre de recrutements externes. Les sociétés interrogées rencontrent des difficultés pour convaincre les collaborateurs dont les profils ne sont pas disponibles sur notre territoire. A ce titre, les filiales de groupe pourraient intervenir dans le cadre d échanges avec les Collectivités Locales sur des thèmes tels que la formation, la recherche, etc. L essor des pôles de compétitivité serait un appui certain. Notons par ailleurs, que les filiales attendent un soutien affirmé des Collectivités Locales dans le cadre du développement du territoire. Il convient donc de favoriser le dialogue entre ces deux partenaires. Favoriser la communication Les filiales communiquent très largement avec leur groupe d appartenance, soit en terme de contrôle que celui-ci opère (reportings mensuels ), soit par l intermédiaire de son soutien essentiellement financier. On constate une faible communication entre la filiale et son environnement proche. Plus de 60% des managers ne sont présents dans aucun réseau, association ou autre cercle. Or, ces partenaires locaux auraient intérêt à favoriser ce contact afin de fidéliser davantage les sociétés au sein de la région. Le manager semble plus isolé que les dirigeants de sociétés familiales. Volontaire ou subie, cette situation doit évoluer vers une intégration plus forte. 14 Les filiales de groupe, source de développement économique
15 Les co-auteurs de l étude KPMG d octobre 2009 "Les filiales de groupe, source de développement économique pour la Bourgogne Franche-Comté" Sandrine Boillod Michel Durieux Les filiales de groupe, source de développement économique 15
16 kpmg.fr Contacts KPMG 3, avenue de Chalon Les Chavannes BP Chalon-sur-Saône Cedex Tél : Fax : contactbfc@kpmg.fr Les informations contenues dans ce document sont d'ordre général, elles ne peuvent ni ne doivent servir de support à des décisions sans validation préalable par les professionnels ad hoc. Conformément aux règles déontologiques de la profession, nous vous prions de bien vouloir réserver ce document à votre usage personnel. KPMG S.A., société anonyme d'expertise comptable et de commissariat aux comptes à directoire et conseil de surveillance au capital social de euros RCS Nanterre. Siège social : Immeuble Le Palatin, 3, cours du Triangle, La Défense Cedex. KPMG International est une coopérative de droit suisse qui ne propose pas de services à des clients. Les services décrits dans les présentes sont fournis par les cabinets membres. KPMG International et ses cabinets membres légalement distincts ne sont pas des sociétés parentes, des filiales, des agents, des partenaires ou des joint-ventures, et rien de ce qui est stipulé dans les présentes ne doit être interprété comme établissant une telle relation entre les parties. Aucun cabinet membre n'a le droit d'engager KPMG International ou les autres cabinets membres KPMG S.A., cabinet français membre de KPMG International, une coopérative de droit suisse. Tous droits réservés. Imprimé en France. Conception - Réalisation : Xerox Creative Services - Septembre 2009
Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr
Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,
Plus en détailTendance et développement des. de l e-commerce. TPE/PME / PME sur le marché. Novembre 2014. Novembre 2014
Tendance et développement des TPE/PME / PME sur le marché de l e-commerce Novembre 2014 Novembre 2014 Point de vue de l expert KPMG On constate une certaine frilosité des chefs d entreprise à vendre en
Plus en détailOrganismes mutualistes Activités d assurance Relevons ensemble vos défis. kpmg.fr
Organismes mutualistes Activités d assurance Relevons ensemble vos défis kpmg.fr Les défis du futur Une réponse adaptée Les mutuelles du livre II du Code de la mutualité font face à de réelles mutations,
Plus en détailFAF.TT Groupe de travail paritaire «Services»
Secteur non marchand FAF.TT Groupe de travail paritaire «Services» Comptes-rendus des groupes de travail du 15 septembre et 24 septembre 2009 KPMG Entreprises Isabelle Le Loroux Associée KPMG Entreprises
Plus en détailTechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012. Novembre 2012
TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012 Novembre 2012 Sommaire 3 7 9 12 14 19 25 27 31 Présentation du baromètre Profil des entreprises Contexte économique Ressources humaines Financement
Plus en détailVous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole EXPERTISE COMPTABLE & CONSEIL
Vous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole EXPERTISE COMPTABLE & CONSEIL Vous accompagner dans la gestion et les projets de votre exploitation agricole KPMG accompagne
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailBusiness Emergency Solutions. kpmg.fr
Business Emergency Solutions kpmg.fr Des situations de plus en plus complexes et délicates dans des environnements souvent dégradés Les entreprises doivent de plus en plus souvent faire face à des situations
Plus en détailVotre Conseil patrimonial
Votre Conseil patrimonial KPMG à votre écoute pour...... vous conseiller dans la gestion financière et fiscale de votre patrimoine Vos questions > Comment développer mon patrimoine privé et professionnel
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailJuin 2014. Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain
Juin 2014 Fonction consolidation A la recherche des frontières de demain Intervenants Caroline MARROT Associée Deloitte José BAGHDAD Directeur Deloitte Vincent Michelet SODEXO Hervé Cardelli SANOFI Stéphane
Plus en détailComment améliorer sa productivité commerciale?
STRATEGIES MANAGEMENT Comment améliorer sa productivité commerciale? KPMG ENTREPRISES Le 23 octobre 2007 Conférence Réseaudencia Intervenants : Christine Berengolc - Gérard Crepel - Marc Leroy La relation
Plus en détailCREATIVE WORK VALORISATION DE LA PI
CREATIVE WORK VALORISATION DE LA PI ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES REGION TOULOUSE MIDI-PYRENEES Julien DUFFAU, Expert-Comptable Les facteurs de croissance et de compétitivité de nos PME se déplacent aujourd
Plus en détailUN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE
UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailIII.2 Rapport du Président du Conseil
III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales
Plus en détailLe Cloud en France, les vrais chiffres
Le Cloud en France, les vrais chiffres 21 mai 2013 Stéphanie Ortega, Associée Technologies KPMG Eric Lefebvre, Associé Technologie KPMG Croissance du chiffre d affaires des acteurs majeurs du Cloud sur
Plus en détailBenchmark sur les risques de fraude
AUDIT COMMITTEE INSTITUTE Benchmark sur les risques de fraude Septembre 2014 kpmg.fr EN SYNTHÈSE De nombreuses révélations dans l'actualité récente illustrent la recrudescence des actes de fraude auxquels
Plus en détailFCPR LCL PME EXPANSION 2. Compartiment BP INVESTIR DANS DES SOCIÉTÉS NON COTÉES POUR ACCOMPAGNER LE DÉVELOPPEMENT DE PME
FCPR LCL PME EXPANSION 2 Compartiment BP INVESTIR DANS DES SOCIÉTÉS NON COTÉES POUR ACCOMPAGNER LE DÉVELOPPEMENT DE PME Placement de diversification, l investissement dans un FCPR (Fonds Commun de Placement
Plus en détailBien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?
18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailLes lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés
COMMUNIQUE DE PRESSE Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés Sondage Harris Interactive pour Gecina Enquête réalisée en ligne du 5 au 11 mai 2011. Echantillon représentatif
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailBaromètre EFM 2009 Enterprise Feedback Management (EFM) Enjeux et perspectives de la remontée et de l'analyse d information
Baromètre EFM 2009 Enterprise Feedback Management (EFM) Sommaire I. Contexte et objectifs de l étude 3 II. La qualité des outils de recueil de l information 4 III. Le concept d Enterprise Feedback Management
Plus en détailles ateliers dirigeants programme 2014 Entrez dans l excellence!
les ateliers dirigeants programme 2014 Entrez dans l excellence! L équipe d experts métier de la CCI Territoriale de la Moselle est à votre service tout au long de l année. Pour toute information sur les
Plus en détailL externalisation des activités bancaires en France et en Europe
ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme
Plus en détailUSAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS
USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailBâle III : les impacts à anticiper
FINANCIAL SERVICES Bâle III : les impacts à anticiper Mars 2011 2 Bâle III Bâle III 3 1. Contexte Bâle III a été entériné en novembre 2010 lors du sommet du G20 de Séoul. De nouvelles règles annoncées
Plus en détailLe secteur bancaire confronté au défi FATCA. Juillet 2013. kpmg.fr
Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Juillet 2013 kpmg.fr 1 Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Sommaire Contexte et enjeux opérationnels de la réglementation FATCA... 2 Cinq grands chantiers
Plus en détailLes fondamentaux de la gestion en période de turbulence 5 actions d urgence 5 pistes de réflexion 1 opportunité
Les fondamentaux de la gestion en période de turbulence 5 actions d urgence 5 pistes de réflexion 1 opportunité KPMG ENTREPRISES 1 Février 2009 «Si on ne prend pas la crise par la main, c est elle qui
Plus en détailRapport Développement Durable
2014 Rapport Développement Durable Inventy s engage dans la RSE! Notre conviction est que la Responsabilité Sociale et Sociétale de notre entreprise (RSE) relève avant tout d un engagement. Cet engagement,
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailPRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE
PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE ETUDE RHÔNE Septembre 2015 CCI LYON - DIRECTION DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET TERRITORIAL Page 1 I CCI DDIT Page 2 I CCI DDIT ommaire Avant-propos page
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailUn rayonnement transfrontalier Des rencontres d affaires utiles entre décideurs et donneurs d ordres JTELEC, le rendez-vous de toutes les énergies
www.fistexpo.com Un rayonnement transfrontalier Plus de 14 % des exposants et 15 % des visiteurs sont internationaux. Près de 40 entreprises et délégations commerciales originaires de différents pays européens
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailA. Secteur des services aux entreprises
A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271
Plus en détailCe rapport a été établi en s appuyant sur les systèmes d informations gérés par la direction générale de la Société OCTO TECHNOLOGY.
OCTO TECHNOLOGY Société anonyme à directoire et conseil de surveillance Au capital de 305.556,60 Siège : 50 avenue des Champs Elysées 75008 Paris RCS : Paris B 418166096 RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailLe banquier idéal des Français et des Américains
pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailEnquête nationale sur le développement commercial des PME. Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés
Enquête nationale sur le développement commercial des PME Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 1. SYNTHESE DE L ENQUÊTE...
Plus en détailAtelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?
Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle
Plus en détailBusiness Plan. Belfort 21 décembre 2012. Frédéric de Thezy / Laetitia B.
Business Plan Belfort 21 décembre 2012 Frédéric de Thezy / Laetitia B. 0 Sommaire Résumé... 2 Portrait de l entreprise... 3 Les prestations... 4 SWOT... 5 Le marché... 6 Les acteurs... 9 Business modèle...
Plus en détailLa relation des PME avec leurs banques : constats et solutions
DOSSIER : Gestion d entreprise 37 La relation des PME avec leurs banques : constats et solutions Olivier AVRIL Gérant Associé d Acting-finances oavril@acting-finances.com 35, rue Arthème Genteur 92150
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailL association française des docteurs
L association française des docteurs Promouvoir le doctorat Les docteurs constituent des ressources rares et précieuses pour les économies et les sociétés du XXIème siècle, de sorte que les pays pleinement
Plus en détailDIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE. Ensemble, agissons pour des achats responsables
DIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE Ensemble, agissons pour des achats responsables CONVICTIONS De l intention à l action systématique André SÉPANIAK Directeur des achats Le
Plus en détailLes entreprises françaises et le coworking
Les entreprises françaises et le coworking Perceptions, pratiques et attentes Novembre 2011 A la demande de Mobilitis, l institut Opinionway a mené une étude sur la perception, les pratiques et les perspectives
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailGROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG
GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23
Plus en détailLa communication financière et extra-financière des ESN. Gestion des risques. Mars 2015. kpmg.fr
La communication financière et extra-financière des ESN Mars 2015 kpmg.fr Gestion des risques Edito Ce 3 ème volet de notre édition 2015 de l étude sur l information financière et extra-financière des
Plus en détailBaromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client LES ENQUÊTES SOLUCOM. The power of simplicity. Juillet 2010
Juillet 2010 LES ENQUÊTES SOLUCOM Baromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client The power of simplicity «Ce qui est simple est fort» Baromètre banque / client 2010 Sommaire Avant-propos
Plus en détailLes chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle
INSTITUT DE RECHERCHE EN PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE HENRI-DESBOIS Octobre 2005 Les chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle Dans un contexte de mondialisation, face à une compétitivité
Plus en détailEtude tendancielle de la SaarLB sur les énergies renouvelables
Etude tendancielle de la SaarLB sur les énergies renouvelables Sommaire Etude tendancielle de la SaarLB 1. Principales données du sondage 2. Évaluation générale des énergies renouvelables : opportunités
Plus en détailERP SURVEY 2014 1 ÈRE ENQUÊTE EN FRANCE AUTOUR DE LA SATISFACTION DES UTILISATEURS D ERP ET DE PROGICIELS DE GESTION
ERP SURVEY 2014 1 ÈRE ENQUÊTE EN FRANCE AUTOUR DE LA SATISFACTION DES UTILISATEURS D ERP ET DE PROGICIELS DE GESTION SURVEY ERP : LES OBJECTIFS Mesurer la satisfaction des utilisateurs d ERP / de progiciels
Plus en détailComment répondre aux nouvelles exigences relatives aux règles destinées à assurer la protection de la clientèle?
FINANCIAL SERVICES Comment répondre aux nouvelles exigences relatives aux règles destinées à assurer la protection de la clientèle? Mai 2013 kpmg.fr TABLE DES MATIERES.CONTEXTE 2.ARCHITECTURE DU QUESTIONNAIRE
Plus en détailComment réduire mes impôts tout en diversifiant mon patrimoine?
Épargne Comment réduire mes impôts tout en diversifiant mon patrimoine? AXA Entrepreneurs & Croissance 2013 Fonds Commun de Placement dans l Innovation Durée de blocage : 6 ans minimum pouvant aller jusqu
Plus en détailVotre implantation à l étranger
Votre implantation à l étranger Afin de déterminer la forme de présence la plus adaptée à la commercialisation de vos produits et de vos services, un choix est nécessaire entre quelques grandes options
Plus en détailLes compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD
Les dossiers de l Obser vatoire du Travail Temporaire Juillet 2009 Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Sommaire 1 Introduction 3 1.1
Plus en détailÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS
ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailPROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim
RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailContrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats
Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailLes conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI
Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI Jiawei Ye Pramex International Université Paris-Dauphine - 1 - - 2 - Pramex International (cabinet
Plus en détailAnalyse géographique et sectorielle de dimension régionale
Analyse géographique et sectorielle de dimension régionale Etude des attentes clients/marchés et des potentialités d une offre industrielle transversale sur l aménagement des espaces de vie en Aquitaine
Plus en détailGuide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication
MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques
Plus en détailComportement client et promesse des marques sur les réseaux sociaux
Comportement client et promesse des marques sur les réseaux sociaux secteurs d activité multiculturels. Le Customer Experience Lab -«CX Lab»- de Teleperformance ouvert en 2013 à Lisbonne, mène des recherches
Plus en détailQuestion 1: Informations sur la personne ou entité interrogée
Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations
Plus en détailMise en conformité de vos régimes santé, et prévoyance, êtes-vous prêts!
GRAS SAVOYE I CONSEIL & COURTAGE EN ASSURANCES Mise en conformité de vos régimes santé, et prévoyance, êtes-vous prêts! Votre entreprise dispose d un régime complémentaire de protection sociale (frais
Plus en détailachat shopping fidèlisation animation magnétic communication magnétic communication magnéti CENTRES COMMERCIAUX VILLAGES trafic DE MARQUES
achat animation fidèlisation shopping CENTRES COMMERCIAUX & DE MARQUES VILLAGES trafic Partenaire des Centres Commerciaux La promesse d un centre de vie Aujourd hui, les centres commerciaux évoluent dans
Plus en détailGLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS
GLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS GLOBALISATION ET TRANSFORMATION RH UNE RÉPONSE FACE À L EXIGENCE DE PERFORMANCE ET DE COMPÉTITIVITÉ La globalisation des entreprises, accélérée par
Plus en détailCOMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour
COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailLe temps est venu d implanter un CRM et un système de gestion de la connaissance
LIVRE BLANC Le temps est venu d implanter un CRM et un système de gestion de la connaissance Une vision détaillée des fonctions de CRM etde Gestion de Connaissances dansl environnement commercial actuel.
Plus en détailBTP 2014 1. Secteur du bâtiment. Étude et analyse Regard d Experts. Édition 2014
BTP 01 1 Secteur du bâtiment Étude et analyse Regard d Experts Édition 01 Éditorial La 1 e édition KPMG des Moyennes Professionnelles du Bâtiment paraît dans un contexte économique fragilisé, où pour la
Plus en détailÉcouter et accompagner
Gérer durablement Écouter et accompagner > Prestataire de services Le Groupe Dauchez s adresse aux propriétaires immobiliers souhaitant confier la gestion de leur investissement à des professionnels indépendants
Plus en détailDu marketing dans ma PME!
Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailRapport d audit interne
Exercice social clos au 31/12/2004 Rapport d audit interne du Président du Conseil d administration de la Compagnie Financière de Deauville en application de l article 117 de la loi n 2003-706 du 1 er
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailSynthèse des résultats de l enquête Mindjet La collaboration au sein de l entreprise: moteur ou frein pour la productivité?
1 Synthèse des résultats de l enquête Mindjet La collaboration au sein de l entreprise: moteur ou frein pour la productivité? Février 2013 2 INTRODUCTION: Perception et tendances du travail collaboratif
Plus en détailAgir ensemble au cœur de la finance et de la gouvernance AUDIT & ADVISORY
Agir ensemble au cœur de la finance et de la gouvernance AUDIT & ADVISORY KPMG en un regard Premier cabinet français d audit, d expertise et de conseil *, KPMG met à votre disposition un ensemble de compétences
Plus en détailLa perception de l ISR par les Français. Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012
La perception de l ISR par les Français Principaux résultats de l enquête Ipsos pour EIRIS & FIR Octobre 2012 L enquête Enquête nationale conduite en ligne par Ipsos du 14 au 16 sept. 2012 dans le cadre
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailLa pratique des comités d audit en France et dans le monde
AUDIT COMMITTEE INSTITUTE FRANCE La pratique des comités d audit en France et dans le monde Enquête internationale Mars 2015 Avant-propos Ces dernières années, les épisodes de crise ont contribué à mettre
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailLe règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité
Le règlement REACH Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Impacts économiques, risques extra-financiers et opportunités pour les entreprises Résumé de l étude réalisée par EthiFinance,
Plus en détailBanque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale
Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du
Plus en détailFonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI
Fonds Commun de Placement dans l Innovation Fcpi innovation pluriel 2 Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Qu est-ce qu un FCPI? Créé par la Loi de finances de 1997, le Fonds
Plus en détailLes micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:
Plus en détail