I. Les triades de Johann Wolfgang Döbereiner
|
|
- Florine Dupuis
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le tableau périodique des éléments représente tous les éléments chimiques, classé en groupe ou en catégorie d après les propriétés similaires. Plusieurs classifications furent adoptées avant d arriver au tableau périodique qui est utilisé de nos jours. I. Les triades de Johann Wolfgang Döbereiner En 189, Johann Wolfgang Döbereiner, chimiste allemand, remarqua l existence de similitudes entre des éléments groupés par trois qu il nomma «triades». Il montra en outre que la masse atomique du second élément de la triade est intermédiaire entre celle des deux autres tels que : - La triade du lithium (Li), du sodium (Na) et du potassium (K) Li (masse atomique 6,9) Na (masse atomique 3,1) K (masse atomique 9,0) masse atomique moyenne de Na = 6,9 39,1 = 3,0 - La triade du béryllium (Be), du magnésium (Mg) et du calcium (Ca) Be (masse atomique 9,0) Mg (masse atomique 4,3) Ca (masse atomique 40,1) masse atomique moyenne de Mg = 9 40,1 = 4,55 II. La loi des octaves avec John NEWLANDS En 1860, le chimiste anglais John Newlands mit en évidence une certaine répétition dans les propriétés des éléments. Il fut ridiculisé lorsqu il proposa la «loi des octaves» : le huitième élément qui suit un élément donné, ressemble au premier comme la huitième note de l octave ressemble à la première. Mais cette loi ne pouvait s appliquer aux éléments au-delà du calcium. Cette classification restait donc insuffisante, mais le tableau périodique commençait à se dessiner. 1
2 H He Li Be B C N O F Ne Na Mg Al Si P S John Newlands propose une organisation par masse atomique croissante en regroupant sur une ligne. On trouve une certaine répétition, tel que le huitième élément qui suit un élément donné, ressemble au premier (sans compter H et les gaz rares). Li Be B C N O F Na Mg Al Si P S Cl K Ca III. La loi de la périodicité des propriétés avec Mendeleïev En 1869, Mendeleïev, chimiste russe, présenta une première version de son tableau périodique. Ce tableau fut la première représentation cohérente de l ensemble des éléments. Il se rendu compte qu en classant les éléments selon leurs masses atomiques on voyait apparaître une périodicité en ce qui concerne certaines propriétés des éléments. Le premier tableau contenait 63 éléments. Ce tableau fut conçu de manière à faire apparaître la périodicité des éléments. Ainsi les éléments y sont classés verticalement. Les rangées horizontales se succèdent représentant les éléments de la même famille. Pour pouvoir appliquer la loi qu il croyait juste, il dut parfois modifier l ordre déterminé par la progression des masses atomiques et laisser certaines cases vides. Il prédit ainsi l existence d une série d éléments, dont il précisa certaines propriétés et leur nom : - L élément placé en dessous de bore portant le nom de l éka-bore, correspond au scandium (Sc), découvert en L élément placé en dessous de l aluminium portant le nom de l ékaaluminium, correspond au gallium (Ga), découvert en L élément placé en dessous du silicium portant le nom de l ékasilicium, correspond au germanium (Ge), découvert en En 1869, le chimiste allemand Julius Lothar Meyer avait préparé un tableau extensif et comparable à celui de son collègue russe, en disposant des éléments dans la table par masse atomique croissante.
3 IV. Le numéro atomique avec Henry Moseley En 191, le physicien anglais Henry Moseley réussit, à la suite d études faites au moyen des rayons X, à déterminer le nombre de protons de chacun des éléments. On en conclut que la structure atomique serait une base de classification plus appropriée que la masse atomique. Les éléments sont maintenant disposés en ordre croissant des numéros atomiques (nombre de protons) et on observe la même périodicité concernant les propriétés. C était une évolution majeure, qui résolvait toutes les incohérences issues du classement en fonction de la masse atomique, lesquelles devenaient gênantes depuis les travaux de systématisation de Dimitri Mendeleïev. L argon (de masse atomique 18) était ainsi placé entre le chlore (de masse atomique 17) et le potassium (de masse atomique 19), et non plus entre le potassium et le calcium, tandis que le cobalt (de masse atomique 7) était clairement positionné avant le nickel (de masse atomique 8) bien qu il soit un peu plus lourd. Il confirma que le tellure (de masse atomique 5) devait être placé avant l iode (de masse atomique 53). Le numéro atomique devient alors le critère de classement des éléments. V. Le tableau périodique actuel des éléments Les principales caractéristiques du tableau périodique actuel sont : 1. Les éléments sont disposés en ordre croissant des numéros atomiques de gauche à droite.. Les rangées horizontales dans le tableau périodique forment les périodes. Il y a 7 périodes dans le tableau périodique standard. 3. Un groupe du tableau périodique est une colonne verticale du tableau. Il y a 18 colonnes possédant 8 groupes principales numérotés de IA à VIIIA et 8 groupes secondaires situés entre les groupes IIA et IIIA classés de IIB à VIIIB et IB, IIB. Tous les éléments du groupe secondaires sont appelés des éléments de transition. 3
4 Il est important de remarquer les deux lignes en bas du tableau qui semblent en être exclues ne sont déplacées que pour une raison pratique. En fait, la première ligne fait partie de la sixième période et la deuxième ligne fait partie de la septième période. - On appelle les lanthanides, les éléments qui ont un numéro atomique entre 57 (Ce) et 71 (Lu), situés dans le groupe IIIB et période 6. - On appelle les actinides, les éléments qui ont un numéro atomique entre 90 (Th) et 103 (Lr), situés dans le groupe IIIB et période 7. Ces deux lignes sont appelées les métaux de transition interne. Voici le nom des quatre groupes principaux : - Les éléments du groupe IA (colonne 1) à l exception de l hydrogène constituent la famille des «métaux alcalins». - Les éléments du groupe IIA (colonne ) constituent la famille des «métaux alcalino-terreux». - Les éléments du groupe VIIA (colonne 17) constituent la famille des «halogènes». - Les éléments du groupe VIIIA (colonne 18) constituent la famille des «gaz rares ou gaz inertes». Le tableau périodique se divise en trois grandes régions : les métaux, les non-métaux et les métalloïdes. Les éléments d une même région possèdent des propriétés communes. - Les métaux sont les plus nombreux du tableau périodique. On retrouve ces éléments à gauche d une ligne allant du bore (B) à l astate (At) dans le tableau périodique. Tous les métaux, sauf le mercure (Hg), sont solides à la température de la pièce. Ils sont luisants, malléables, ductiles ; ils conduisent l électricité et la chaleur. - Les non-métaux se trouvent dans la partie droite du tableau de la classification périodique. Ils ont des aspects très variés et ils possèdent des propriétés fortes différentes de celles des métaux. Ils sont ternes, ne conduisent ni l électricité ni la chaleur ; ils ne peuvent être laminés et ne sont pas ductiles. - Les métalloïdes se situent le long de la frontière en forme d escalier (ligne zigzag) séparant les deux groupes précédents. 4
5 5 Tableau périodique des éléments VIIIA IA IIA IIIA IVA VA VIA VIIA He 4,0 3 Li 6,9 4 Be 9,0 5 B 10,8 6 C 1,0 7 N 14,0 8 O 16,0 9 F 19,0 10 Ne 0, 11 Na 3,0 1 Mg 4,3 IIIB IVB VB VIB VIIB VIIIB IB IIB 13 Al 7,0 14 Si 8,1 15 P 31,0 16 S 3,1 17 Cl 35,5 18 Ar 39,9 17 K 39,1 0 Ca 40,1 1 Sc 45,0 Ti 47,9 3 V 50,9 4 Cr 5,0 5 Mn 54,9 6 Fe 55,8 7 Co 58,9 8 Ni 58,7 9 Cu 63,5 30 Zn 65,4 31 Ga 69,7 3 Ge 7,6 33 As 74,9 34 Se 79,0 35 Br 79,9 36 Kr 83,8 37 Rb 85,5 38 Sr 87,6 39 Y 88,9 40 Zr 91, 41 Nb 9,9 4 Mo 95,9 43 Tc 98,9 44 Ru 101,1 45 Rh 10,9 46 Pd 106,4 47 Ag 107,9 48 Cd 11,4 49 In 114,8 50 Sn 118,7 51 Sb 11,8 5 Te 17,6 53 I 16,9 54 Xe 131,3 55 Cs 13,9 56 Ba 137,3 57 * La 138,9 7 Hf 178,5 73 Ta 180,9 74 W 183,9 75 Re 186, 76 Os 190, 77 Ir 19, 78 Pt 195,1 79 Au 197,0 80 Hg 00,6 81 Tl 04,4 8 Pb 07, 83 Bi 09,0 84 Po (09) 85 At (10) 86 Rn () 87 Fr (3) 88 Ra (6) 89 ** Ac (7) 104 Unq (61) 105 Unp (6) 106 Unh (63) * 58 Ce 140,1 59 Pr 140,9 60 Nd 144, 61 Pm (145) 6 Sm 150,4 63 En 15,0 64 Gd 157,3 65 Tb 158,9 66 Dy 16,5 67 Ho 164,9 68 Er 167,3 69 Tm 168,9 70 Yb 173,0 71 Lu 175,0 ** 90 Th 3,0 91 Pa 31,0 9 U 38,0 93 Np Pu (44) 95 Am (43) 96 Cm (47) 97 Bk (47) 98 Cf (51) 99 Es (55) 100 Fm (57) 101 Md (58) 10 No (55) 103 Lw (56) H 1,008 6 C 1,0 Numéro atomique Symbole de l élément Masse atomique Éléments de transition Ligne zig zag
6 1. D après le tableau donné : B C N Al Si P 65,4 X Y 74,9 Zn As En déduire : a) la masse atomique de l élément X. b) les électrons périphériques de l élément Y. c) le groupe et la période de l élément X. Pourquoi le tableau périodique possède-t-il de la ligne zigzag en forme d escalier? 3. Quel chimiste peut résoudre le problème de la classification périodique de Mendeleïev et à quel point?
Viandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailCommission juridique et technique
Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003
Plus en détailDécouvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité. une histoire d électrøns
Découvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité une histoire d électrøns Vous trouverez au milieu du livret les pliages et les instructions à détacher pour les fabriquer. Il
Plus en détailTransmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier
Transmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier Méthodologie Le format CSV est un format texte, les données sont séparées par des
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailGRILLE TARIFAIRE 2014. Service Exceptionnel. Expertise en Analyse.
GRILLE TARIFAIRE 2014 Service Exceptionnel. Expertise en Analyse. .COM Bienvenue chez Accurassay La version 2014 de notre Grille Tarifaire vous fournit une mise à jour de l étendue de nos services et de
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailPROBABILITES ET STATISTIQUE I&II
PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailM2 20.00% 6.09 UN 20.00% 13.40 M 20.00% 10.11 M 20.00% 31.69 M 20.00% 21.79 M2 20.00% 95.51 UN 20.00% 222.62 UN 20.00% 292.91 UN 20.00% 444.
ou n identification fiscal pays hors CEE Aménagement de stand l Décoration DS01 Fourniture et pose de moquette type tapis aiguilleté (norme M3) M2 20.00% 6.09 DS02 Pose de tenture murale norme M1 M2 20.00%
Plus en détailnucléaire 11 > L astrophysique w Science des étoiles et du cosmos
LA COLLECTION w 1 w L atome 2 w La radioactivité 3 w L homme et les rayonnements 4 w L énergie 5 w L énergie nucléaire : fusion et fission 6 w Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 w Le cycle du
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailprotection antideflagrante
protection antideflagrante Protection antiexplosion Valves pour la technique fluidique pour l utilisation dans les domaines avec danger d explosion Protection antiexplosion contre gaz, poussière et pour
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailVotre succès notre spécialité!
V ccè pécé! C Cchg Fm Igé Rcm V ccè pécé! L p mbx mché. E MPS I C g démq p ff pé pf d chq c : p é. N Fc: EMPSI Cg éé céé 2010 P Bddd Bchb q pé p d 8 d md d p. I dévpp N cmp xgc d é d. N c pfm mé d q gg
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailFASCICULE DES BILANS ET COMPTES DE RESULTAT DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE DU SENEGAL
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ---------------- MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------- DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DE LA SUPERVISION DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailDIRECTION DE L ' É N E R G I E N U C L É A I R E DIRECTION DES SCIENCES DU VIVANT DIRECTION DE LA RECHERCHE TECHNOLOGIQUE
CEA-R-6026 ISSN 0429-3460 DIRECTION DE L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE DIRECTION DE LA RECHERCHE TECHNOLOGIQUE DIRECTION DES SCIENCES DU VIVANT C O M M I S S A R I A T A L ' É N E R G I E A T O M I Q U E BASE DE DONNÉES
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailLe package bibleref-french
Le package bibleref-french Maïeul Rouquette & Raphaël Pinson raphink@gmail.com 3 novembre 2014 Résumé Le package bibleref-french fournit une traduction français du package bibleref. Table des matières
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailComment chercher des passages dans la Bible à partir de références bibliques?
Feuillet 3 CAHIER DE CATÉCHÈSE famille Dans le noir, je l'entends qui m'appelle ÉTAPE1 Comment chercher des passages dans la Bible à partir de références bibliques? (livre, chapitre et verset) Le mot «Bible»
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailLA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES
LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et
Plus en détailLa santé de votre entreprise mérite notre protection.
mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détailSCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR. Partie I - Analyse système
SCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR COMPORTEMENT DYNAMIQUE D UN VEHICULE AUTO-BALANCÉ DE TYPE SEGWAY Partie I - Analyse système Poignée directionnelle Barre d appui Plate-forme Photographies 1 Le support
Plus en détailGASMAN II MANUEL D UTILISATION
ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------
Plus en détailNormes au feu des applications électrotechniques et électroniques :
Normes au feu des applications électrotechniques et électroniques : Conséquences sur les mécanismes d ignifugation retenus Innov Days : Les plastiques ignifugés 7 Novembre 2013, Lyon Jean-Marie MALDJIAN
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailVILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo-
VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010 -ooo- La s é a n c e e s t o u v e r t e s o u s l a p r é s i d e n c e d e M o n s i e u r J e a n - P a u l BR E T, M a i r e d e V i l l e u r
Plus en détail1S Modèles de rédaction Enoncés
Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détail(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)
Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailII 2G EEx ia IIC T6. Mode de protection
Informations générales Selon la directive 94/9/CE, un appareil destiné à être utilisé en zone à atmosphère explosible ne doit être mis sur le marché que s il satisfait aux caractéristiques définies dans
Plus en détailCARTES EMPLOI-FONCTION
Observatoire Prospectif des Métiers et des Qualifications des Organismes de Tourisme Document issu des travaux et livrables de la mission intitulée : Analyse des métiers de la branche organismes de tourisme
Plus en détailTechnique RSR. 27.6.08 /DCo
La : -35 collaborateurs -120 applications métiers -2 services de piquet -1 service desk commun avec la TSR -Un parc véhicule -Un parc de matériel extérieur -Une très forte diversité d outil et de connaissances
Plus en détailINFORMATIONS DIVERSES
Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailPERMA FRANCE S.A.S. Un partenariat unique depuis plus de 30 ans
FRANCE S.A.S. Un partenariat unique depuis plus de 30 ans La référence du soudage spécialisé Nos atouts Nos compétences en soudage, diagnostique et mise en chantier des applications Nos pôles de formation
Plus en détailCompression Compression par dictionnaires
Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une
Plus en détailInscription en ligne FQSC. Guide d utilisation
Inscription en ligne FQSC Guide d utilisation Ce Guide est rédigé comme aide-mémoire pour l achat de votre licence sur le site internet de la FQSC. Dans un prem ier temps, vous devrez vous rendre sur le
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT
MM1(F) ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL RELEVANT EXCLUSIVEMENT DE L ARRANGEMENT DE MADRID (Règle 9 du règlement
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailLes rayons cosmiques primaires chargés
Les rayons cosmiques primaires chargés Historique de leur découverte Spectre en énergie Composition: abondance Electrons/positons Muons Antiprotons Processus d accélération Expériences Ballons (BESS) Satellites
Plus en détailQu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détail