ENSEMBLE POUR LE DON D'ORGANE POUR LA VIE 1 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT LA REVUE DES TECHNOLOGISTES MÉDICAUX DU QUÉBEC

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1 À IN PREMIÈRE VIVO VUE LA REVUE DES TECHNOLOGISTES MÉDICAUX DU QUÉBEC Numéro de convention de la Poste-publication ENSEMBLE POUR LE DON D'ORGANE POUR LA VIE 1 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT DÉCEMBRE 2014 VOL. 5 N O 4

2 UN PROGRAMME FINANCIER POUR VOTRE VIE APRÈS LE TRAVAIL La Banque Nationale a un programme financier 1 adapté aux technologistes médicaux qui donne accès à des privilèges sur un ensemble de produits et de services, tels que : Le compte bancaire 2 en $ CA ou en $ US; La carte de crédit Platine MasterCard MD Banque Nationale 3 ; Les solutions de financement comme la marge de crédit 3 et le Tout-En-Un MD1, 3 ; Les solutions de placement et de courtage offertes par nos filiales. bnc.ca/specialistesante Adhésion en succursale Fière partenaire de 1 Le programme financier de la Banque Nationale constitue un avantage offert aux spécialistes de la santé (audiologistes, denturologistes, ergothérapeutes, hygiénistes dentaires, inhalothérapeutes, opticiens, orthophonistes, pharmacologues, physiothérapeutes, psychologues, sages-femmes, technologistes médicaux et technologues en imagerie médicale, en radio-oncologie ou en électrophysiologie médicale), qui détiennent une carte Platine MasterCard de la Banque Nationale et qui sont citoyens du Canada ou résidents permanents canadiens. Une preuve de votre statut professionnel vous sera demandée. 2 Compte bancaire avec privilège de chèques. 3 Financement octroyé sous réserve de l approbation de crédit de la Banque Nationale. Certaines conditions s appliquent. MD MasterCard est une marque déposée de MasterCard International Inc. Usager autorisé : Banque Nationale du Canada. MD1 Tout-En-Un Banque Nationale est une marque déposée de la Banque Nationale Banque Nationale du Canada. Tous droits réservés. Toute reproduction totale ou partielle est strictement interdite sans l autorisation préalable écrite de la Banque Nationale du Canada.

3 LA REVUE DES TECHNOLOGISTES MÉDICAUX DU QUÉBEC Éditeur L Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec Gestion Comité des communications Rédaction Personnel de l OPTMQ info@optmq.org Conception et graphisme Prétexte communications ENSEMBLE POUR LE DON D'ORGANE POUR LA VIE Impression Impression Groupe Litho Abonnement 75 $ / année Y , poste 3003 Y , poste 3003 Publicité Dominique Roberge et Jean Thibault CPS Média Inc. Y , poste 312 Y , poste 312 mi droberge@cpsmedia.ca Dépôt légal 4 e trimestre 2014 Bibliothèque nationale du Canada Bibliothèque nationale du Québec ISSN ISSN (version en ligne) Numéro de convention de la Poste-publication Note L OPTMQ n est pas responsable du contenu des articles soumis par les auteurs pour publication dans la rubrique In Vivo de la revue Le LabExpert. Il ne fait aucune représentation ou recommandation, quelle qu elle soit, quant à tout produit ou service qui y est mentionné. La reproduction de la revue Le LabExpert est autorisée avec mention de la source. SOMMAIRE 04 À PREMIÈRE VUE MOT DE LA PRÉSIDENTE 06 IN VIVO ENSEMBLE POUR LE DON D'ORGANE, POUR LA VIE 14 FORMATION + FORMALINE, BIEN PLUS QU'UN SIMPLE RETOUR EN CLASSE 16 DE FACTO LE POINT SUR LA MALADIE À VIRUS EBOLA (MVE) 20 SENTINELLE UNE JOURNÉE REMARQUÉE ET REMARQUABLE DANS UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE 22 ET CÆTERA L'ORDRE Y ÉTAIT 25 QUORUM LES T.M. SE FONT CONNAÎTRE! LE LABEXPERT DÉCEMBRE

4 À PREMIÈRE VUE BEAUCOUP DE MOUVEMENT DES RÉSULTATS ESPÉRÉS! Nathalie Rodrigue, T.M., R.T., présidente de l OPTMQ MOT DE LA PRÉSIDENTE Chers membres, Eh oui, mon titre vous semblera peut-être spécial, mais c est ce que je constate depuis le retour de la période de vacances. Je vous écris mon éditorial en octobre et donc, lorsque vous le lirez en décembre, des développements positifs dans certains de nos dossiers seront peut-être survenus. Suite à une rencontre avec Me Jean-Paul Dutrisac, président de l Office des professions du Québec (OPQ) lors de l assemblée des membres du Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ) le 26 septembre dernier, nous avons appris que le projet de loi sur les sciences appliquées ne serait pas reconduit avant l hiver C est dans ce projet de loi que se retrouve la réserve de l activité : «6 /.../ f) exécuter, en laboratoire, les étapes des phases préanalytique, analytique et postanalytique;». Aussi, concernant la formation universitaire en macroscopie, nous avons appris en date du 5 septembre que le MSSS avait demandé à la doyenne de la faculté de médecine de l Université de Montréal de cesser toutes activités en lien avec ce dossier. Selon la Direction générale des services de santé et médecine universitaire et la Direction générale personnel réseau et ministériel, on considère que cette formation aura un impact important sur l organisation des soins et le MSSS veut s assurer que les actes d assistance aux pathologistes puissent répondre adéquatement aux besoins des différentes régions du Québec. Ainsi, le MSSS a l intention de mettre en place un comité de travail qui devrait réunir l OPQ, le Collège des médecins, le ministère de l Enseignement supérieur, de la Recherche et de la Science, l OPTMQ, les facultés de médecine, etc. Selon mes informations, le comité devait tenir une première rencontre à la fin octobre. Étant donné que le projet de règlement avait été publié en juin 2013, je souhaite que ces travaux soient propices à enfin faire avancer ce dossier. En ce qui a trait au dossier de l optimisation des laboratoires (OPTILAB), l OPTMQ a été sollicité pour siéger à deux instances pour la suite des travaux. Ainsi, notre responsable des dossiers scientifiques, Anne-Marie Martel, T.M., a participé en septembre à la première rencontre du Comité de suivi de la table de concertation et pour ma part, j ai participé le 16 octobre à la Table de concertation de biologie médicale. Je suis très heureuse que nous soyons enfin impliqués dans ce dossier crucial qui aura un impact majeur sur nos pratiques et pour lequel nous devons nous assurer du maintien de la qualité des services et de vos prestations professionnelles. Aussi, il sera intéressant de voir les orientations qui seront prises suite au dépôt du projet de loi no 10, loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales. Donc voilà, il se passe beaucoup de choses, mais pour le moment, les résultats se font toujours attendre. Je souhaite sincèrement pouvoir vous écrire dans mon prochain éditorial que nous avons obtenu de nouvelles concrètes dans ces différents dossiers. UN NUMÉRO SUR LES DONS D ORGANES Je suis très fière de ce numéro qui porte sur les dons d organes, car à mon avis c est un geste de générosité incomparable qui permet de changer la vie de milliers de personnes au Québec et dans le monde. J ai deux amis à moi qui ont reçu qui un rein, qui un foie, et sans ces greffes leur vie n aurait pas été la même. Un autre ami ce printemps a donné un rein à sa fille lui évitant de poursuivre de lourds traitements de dialyse. Je souhaite que ce numéro puisse vous convaincre, si ce n est déjà fait, de vous inscrire au registre des donneurs de la Régie de l assurance maladie du Québec (RAMQ). 4 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

5 À PREMIÈRE VUE Voici le lien : Un petit geste qui pourrait permettre de changer bien des vies lorsque la nôtre est terminée. Je tiens à souligner l excellent travail que fait Transplant Québec pour informer la population et les professionnels de la santé au Je veux aussi profiter de l'occasion pour remercier les technologistes médicaux des hôpitaux du Québec qui, par leur travail et leur professionnalisme à toute heure, contribuent activement à la réalisation du don d'organes. À cet égard, je veux souligner le travail accompli à l'hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, dans le cadre d'un projet pilote de centre de prélèvement régional implanté depuis un an, où des résultats très intéressants émergent par une organisation des soins prometteuse à maints égards. La qualité du travail d'équipe et la mobilisation de chacun des intervenants et bien entendu des technologistes médicaux pour la réalisation des tests de compatibilité et la recherche de pathologie dont le cancer, sont au coeur de ces succès. COALITION PRIORITÉ CANCER AU QUÉBEC Il y a déjà 7 ans que l Ordre est membre de la Coalition Priorité Cancer et j ai l honneur de présider la Coalition depuis juin À ce titre, je suis souvent invitée à des événements pour présenter cette dernière. En juin, j ai participé au congrès de Conseil pour la protection des malades (CPM) et à celui de la Fédération de l âge d or du Québec (FADOQ). En septembre, suite à une invitation de l Ambassadeur du Danemark au Canada, j ai participé à une table ronde sur la prévention du cancer de la peau. La rencontre s est déroulée à Ottawa et j ai eu le plaisir de rencontrer et d échanger avec Son Altesse Royale, la princesse du Danemark, Mary Donaldson, à propos de la situation du cancer de la peau au Québec. Aussi, j ai eu le privilège d être la présidente d honneur du 4 e Congrès international de l Ordre des acupuncteurs du Québec. Cet automne, nous avons participé à deux conférences de presse et nous présenterons en novembre, un symposium sur les cancers rares. À chaque occasion, je me fais un point d honneur de mentionner mon titre de présidente de l OPTMQ et la fierté que j ai à vous représenter. UN BEAU TEMPS DES FÊTES Nous voilà donc en décembre, avec ou sans neige, mais assurément à l aube des congés du temps des fêtes. Je vous souhaite à tous un très joyeux temps des fêtes, entourés de ceux que vous aimez. Mes vœux de paix, de santé, d amour, de bonheur et de prospérité vous accompagnent. Nathalie Rodrigue, T.M., R.T. Naturellement sov.qc.ca Le plus grand CSSS de toute l île de Montréal! CSSS du Sud-Ouest Verdun Technologiste médical(e) À titre de technologiste médical(e), vous ferez partie d une équipe qualifiée et dynamique composée de technologistes, de médecins et de biochimistes œuvrant dans différentes sphères de la biologie médicale. Les laboratoires du CSSS du Sud-Ouest Verdun offrent des services dans les domaines suivants: hématologie, coagulation, prélèvements sanguins, banque de sang, biochimie, microbiologie, pathologie et cytologie. Le service de biologie médicale compte plus de 85 technologistes médicaux, répartis sur deux sites. Le laboratoire de l Hôpital de Verdun opère également un laboratoire d urgence et un centre de prélèvement à l Hôpital LaSalle. Avec des équipements à la fine pointe de la technologie, les laboratoires du CSSS du Sud-Ouest Verdun offrent un environnement de travail enrichissant et une perspective de carrière attrayante. Garantie d'emploi à temps complet d'une durée de deux ans! Faites-nous parvenir votre CV! Par courriel rh.sov@ssss.gouv.qc.ca Par télécopieur Par la poste Direction des ressources humaines 5500, boul. LaSalle, Montréal, H4N 1N9 Exigences: DEC avec une spécialisation en technologie médicale Membre de l Ordre des Technologistes Médicaux du Québec (OPTMQ) Salaire: 739,90$ à 1082,90$ / semaine (selon l expérience) HÔPITAL CLSC installations et 1 point de service soutien à domicile centres d hébergement en chiffres À proximité du centre-ville de Montréal À la fine pointe de la technologie (plan de soins informatisés - PTI) Affilié à l Université de Montréal Accueille chaleureusement ses nouveaux employés 10 stations de métro, pistes cyclables et espaces verts Joignez-vous aux meilleurs... Faites partie de notre équipe! LE LABEXPERT DÉCEMBRE

6 À IN PREMIÈRE VIVO VUE Les dons d organes changent la vie de milliers de personnes au Québec. Les technologistes médicaux, qui travaillent en étroite collaboration avec l équipe médicale, font partie de cette grande chaîne. Leur travail est essentiel dans la réalisation du processus de don, car sans leurs compétences dans les différents champs de pratique, ainsi que leur collaboration avec différentes équipes, la réalisation de transplantations sécuritaires et de qualité serait quasi impossible. Cet article présente le processus menant à la réalisation du don d'organes, dans lequel les technologistes médicaux sont étroitement impliqués. 6 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

7 À IN PREMIÈRE VIVO VUE été mal perfusés entraînent la destruction de cellules. Le temps est un atout contrairement à la croyance, car certains organes peuvent récupérer une fonction optimale et devenir aptes à la transplantation. La famille sous le choc tente de son mieux de comprendre et d assimiler la situation, il est donc trop tôt pour offrir l option du don d organes. Ce qui est important pour cette famille, c est qu elle soit mise au courant de la suite des événements et du moindre changement de l état de santé de l être cher et ce, au fur et à mesure, afin de l aider à bien comprendre la situation. Laisser du temps à la famille est primordial avant d offrir l option du don d organes. Cette histoire, plusieurs familles l ont vécue. Confrontées à la mort imminente ou subite d un proche, plusieurs familles acceptent de faire le don d organes. Cette mise en situation est le point de départ d une longue chaîne d opérations successives et du travail de collaboration de nombreux intervenants. Les technologistes médicaux, qui travaillent en étroite collaboration avec l équipe médicale, font partie de cette grande chaîne. Leur travail est essentiel à la réalisation du processus de don, car sans leurs compétences dans les différents champs de pratique ainsi que leur collaboration avec différentes équipes, la réalisation de transplantations sécuritaires et de qualité serait quasi impossible. Leur travail consiste à effectuer en laboratoire des analyses sur différents échantillons en vue de permettre à l équipe médicale d assurer un suivi adéquat du donneur potentiel et traiter certaines anomalies au niveau des organes, le cas échéant. Plus précisément, tout au long du processus de don, le travail soutenu des technologistes permet aux équipes médicales de s assurer, dans la mesure où la technologie le permet, que l organe disponible pour la transplantation est adéquat pour le patient en attente ciblé et qu il améliorera sa santé voire lui sauvera la vie. À cette fin, les technologistes médicaux doivent, entre autres, préparer les spécimens et analyser les échantillons. Ils doivent s assurer de la précision et de l exactitude des résultats afin de permettre aux médecins de prendre la meilleure décision. Les champs d activité reliés au processus de don d organes et de transplantation sont, entre autres, la biochimie, la microbiologie, l hématologie, l immunologie, la pathologie et la cytologie. AFIN DE FAIRE BIEN COMPRENDRE L IMPORTANCE DE VOTRE TRAVAIL POUR L ACCOMPLISSEMENT DU NÔTRE, VOICI UN BREF APERÇU DE NOTRE TRAVAIL CHEZ TRANSPLANT QUÉBEC. La mission de Transplant Québec a pour finalité de sauver des vies ou d améliorer l état de santé des personnes qui ont besoin d une transplantation. Sur mandat du ministre de la Santé et des Services sociaux, Transplant Québec doit satisfaire quatre grands volets qui se divisent et s expliquent comme suit : coordonner le processus du don d organes, de l identification jusqu au prélèvement, favorisant ainsi une plus grande disponibilité d organes de qualité ; gérer la liste unique des personnes en attente d une transplantation au Québec, car, contrairement à d autres provinces, il existe une seule liste de personnes en attente et elle est gérée par Transplant Québec ; assurer l équité d attribution des organes, selon les critères éthiques et cliniques pertinents. il existe des règles rigoureusement appliquées lors de la qualification du donneur pour s assurer de la qualité et de la sécurité de l organe à transplanter et ce, en conformité avec les exigences de Santé Canada. Les différents comités médicaux (les comités de rein, pancréas-rein, de foie, de cœur) se réunissent régulièrement afin de s entendre sur les règles d attribution ou discuter de solutions communes pour toutes les situations problématiques survenues lors d un processus ou de tout autre problème susceptible de se présenter. La transparence repose sur la transmission de toutes les informations nécessaires à la prise de décision d accepter ou non l organe à transplanter. Transplant Québec à la chance de compter sur son comité d éthique. Ce comité, qui relève du Conseil d administration, est unique au Canada. Il pose un regard indépendant et objectif qui donne un éclairage sur toute question qui soulève une interrogation d ordre éthique tout comme pour les procédures d opération normalisée de Transplant Québec ; promouvoir le don d organes dans la société. LA COLLABORATION EST AU CŒUR DE NOTRE TRAVAIL. Nous travaillons en étroite collaboration avec plus de 90 centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés au Québec. La bonne entente avec les différents professionnels est primordiale pour mener à bien notre mission. Nous rencontrons régulièrement les professionnels en exercice, donnons de la formation aux futurs professionnels, notamment dans les cégeps et les universités. Nous collaborons avec plusieurs ordres professionnels, en plus de participer aux activités de sensibilisation et d éducation auprès de la population. Le rôle du coordonnateur-conseiller clinique ressemble à celui d un chef d orchestre dans un processus ou chaque geste compte, dans le respect des intervenants et professionnels. QUI PEUT ÊTRE DONNEUR? Les donneurs d organes sont rares. En 2013, 165 donneurs = 20,2 dpmh (donneur par million d habitants) : meilleure année dans l histoire de Transplant Québec Le don d organes: un effort collectif qui nous concerne tous. Chaque consentement compte. Population du Québec en 2012 (Source : Bilan démographique du Québec, édition 2012) 90% des Québécois adultes se disent favorables au don d organes et de tissus. (Sondage Impact Recherche, 2009) Un Québécois sur deux a clairement exprimé son consentement en faveur du don d organes. (Sondage Impact Recherche, 2009) Nombre de décès dans les hôpitaux, toutes causes confondues, au Québec. (Source : CMQ, 2010) 1,4% des décès survenant à l hôpital répondent aux critères du pour le don d organes. Nombre de donneurs en 2013, ce qui constitue un taux de 20,2 donneurs par million d habitants. 8 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

8 IN VIVO Si toutes les conditions médicales et légales étaient réunies à toutes les fois qu il est envisageable de réaliser le don, le nombre maximal de donneurs par année avoisinerait un peu plus de 300, selon les estimations du Collège des médecins du Québec. Ce chiffre correspond à 1 % des décès survenant à l hôpital. Ce pourcentage est la statistique reconnue à travers le monde. En raison de la rareté des donneurs, Transplant Québec évalue systématiquement toute référence de donneur potentiel. Aucun antécédent médico-social n exclut d emblée un donneur potentiel au Québec. Si le coordonnateurconseiller clinique qui reçoit et traite l appel de la référence, a un doute sur l admissibilité du donneur potentiel, il en référera au directeur médical de Transplant Québec et suivra les recommandations dictées ou, si nécessaire, fera la vérification auprès des centres de transplantation susceptibles d être intéressés à recevoir les organes du donneurs potentiel. Pour que le processus de don d organes débute officiellement, le donneur potentiel d organes doit répondre à trois critères médicaux et légaux : 1. Patient en décès neurologique ou avec pronostic nul sans possibilité de récupération ; 2. Consentement de la famille ; 3. Accord du coroner, le cas échéant. Insuffisances organiques terminales* les plus fréquentes pouvant mener à la nécessité d'une transplantation Cœur Cardiomyopathie virale Insuffisance cardiaque globale Dysfonction cardiaque Patient sous cœur mécanique *Énumération non-exhaustive Poumons Fibrose kystique Foie Hépatite fulminante Cirrhose Pancréas Diabète en phase terminale Reins Insuffisance rénale chronique (sous dialyse) Reins polykystiques La transplantation d organe (s) est un traitement médical reconnu et efficace pour les patients aux prises avec une insuffisance organique terminale. Afin d être inscrit sur la liste d attente de Transplant Québec, chaque patient doit se soumettre à plusieurs examens, que ce soit physique, physiologique ou psychologique. Les résultats de tous ces examens sont pris en considération au sein d une équipe de spécialistes en transplantation afin de déterminer si le patient est apte à être inscrit sur la liste d attente ou s il doit se soumettre à des analyses supplémentaires avant d être considéré pour une éventuelle transplantation. LE PROCESSUS Le processus de don comporte plusieurs étapes et chacune plusieurs séquences successives et interdépendantes, allant de l identification d un donneur potentiel jusqu au prélèvement : la durée du processus peut varier de 24 à 48 heures, selon le nombre d organes à évaluer et les examens requis. Le délai peut paraître long pour les familles des donneurs, mais très court pour les équipes de transplantation qui ont à prendre des décisions pour leurs patients en attente du précieux organe. La famille du donneur est avisée de la durée probable du processus et peut en tout temps retirer son consentement. Transplant Québec s assure que les demandes des familles soient respectées tout en faisant tout ce qui est en son pouvoir afin que la durée du processus ne se prolonge pas inutilement. LE LABEXPERT DÉCEMBRE

9 À IN PREMIÈRE VIVO VUE L ÉVALUATION DU PATIENT Lorsque le donneur potentiel répond à tous les critères, (voir encadré p.9), un coordonnateur-conseiller clinique de Transplant Québec se rend à l hôpital où est admis celui-ci afin de rencontrer la famille pour effectuer avec elle le Questionnaire médico-social (QMS). Le QMS sert à tracer un tableau complet des habitudes sociales et de l histoire médicale du donneur ainsi que de ses hospitalisations antérieures. Les analyses de laboratoire effectuées depuis l arrivée du patient seront des indicateurs précieux pour l évaluation et le suivi de la fonction des organes. Le coordonnateur-conseiller clinique procèdera à l évaluation complète du dossier d hospitalisation en cours et s assurera que tous les critères médicaux et légaux sont respectés. Le coordonnateur-conseiller clinique est appelé à conseiller les équipes médicales afin que les organes consentis pour la transplantation soient maintenus de manière optimale. L ÉVALUATION DES ORGANES En plus d être très intense, l étape de l évaluation est cruciale. La collaboration du technologiste médical est requise en tout temps afin de savoir, par le biais des résultats sanguins obtenus, si les organes ayant subi le choc du décès neurologique auront ou non, la capacité de récupérer. De plus, pour certains patients ayant eu des antécédents médicaux pouvant compromettre les résultats de la greffe, des examens supplémentaires pourraient être demandés, par exemple une biopsie pour un patient chez qui on aurait découvert une lésion, et ce, afin d éliminer tout risque de transmission de maladie ou de cancer. L évaluation de tous les organes consentis pour le prélèvement par la famille sera prise en considération afin de débuter, le moment venu, l attribution des organes, selon les protocoles établis par les comités médicaux. LE MAINTIEN DU DONNEUR Le décès neurologique est un stress immense qui entraîne une cascade d événements physiologiques particuliers. L intensité de cette phase est en relation directe avec un niveau d instabilité hémodynamique et proportionnelle à la lésion cérébrale. Par exemple, un violent traumatisme crânien qui mène à un décès neurologique entraînera rapidement une phase d instabilité très importante tandis qu une hémorragie cérébrale qui s installe tranquillement entraînera peu ou pas d instabilité chez le donneur potentiel mais aura comme effet direct divers atteintes des fonctions des organes vitaux. L ÉVALUATION DU DONNEUR Cette étape du processus est obligatoire pour tous les donneurs potentiels. LABORATOIRES DE VIROLOGIE ET SÉROLOGIE Les services des laboratoires de virologie et sérologie sont très importants afin de s assurer par des analyses que le donneur identifié n est pas porteur d une maladie transmissible par la transplantation d organes, comme le VIH, l'hépatite B et C, la syphilis et le HTLV. Ces analyses sanguines sont effectuées obligatoirement chez tous les donneurs afin de s assurer de la qualité des organes à transplanter et de protéger la santé souvent fragile des receveurs. Les laboratoires autorisés pour effectuer ces examens sont : CHUM Hôtel-Dieu de Montréal CHU de Québec CHUL CHU de Québec L Hôtel-Dieu de Québec Héma-Québec Laboratoire d analyses réglementaires (tests supplémentaires à la demande des équipes de transplantation) Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) ANALYSES GÉNÉRALES Tout au long du processus, des analyses sanguines et urinaires sont aussi requises afin de bien vérifier l évolution du fonctionnement des organes. Les laboratoires qui seront grandement sollicités sont les départements de biochimie, hématologie et de microbiologie. Tous les donneurs, sans exception, sont soumis à une série de tests complets, c està-dire, bilan de base, rénal, hépatique et de coagulation. Les résultats des tests obtenus influenceront la décision ultime des équipes ayant accepté un organe pour un de leurs patients en attente. La collaboration des banques de sang sera aussi requise afin de déterminer hors de tout doute la compatibilité sanguine avec les patients en attente ciblés car dans presque tous les cas, la compatibilité ABO est nécessaire pour éloigner le plus possible les risques de rejet. Dans certains cas en particulier, comme dans les cas de très jeunes patients en attente, la compatibilité ABO n est pas un enjeu majeur à la réussite de la transplantation d un cœur ou d un foie par exemple, car il est prouvé que les très jeunes receveurs n ont pas encore de code génétique défini. LABORATOIRES D HISTOCOMPATIBILITÉ Des épreuves d histocompatibilité tissulaires sont requises pour tous les donneurs d organes, afin de déterminer le degré de compatibilité entre les organes disponibles et les personnes en attente sur la liste. Cette compatibilité dépend des patrimoines génétiques du donneur et du patient en attente, c'est pourquoi il est très important de conserver la plus grande compatibilité possible entre les deux parties. À quelques exceptions près, plus la compatibilité est grande, meilleure sera la survie du greffon et celle du receveur. Pour effectuer ces épreuves, trois laboratoires sont mandatés par Transplant Québec. Ces laboratoires ont l expertise pour produire des résultats justes afin de pouvoir évaluer la compatibilité et générer une liste d attribution des organes de patients en attente. Les trois laboratoires sont : CHU de Québec CHUL CUSM Hôpital Royal Victoria Centre INRS Institut Armand-Frappier 10 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

10 IN VIVO SERVICE DE PATHOLOGIE L expertise des technologistes médicaux qui œuvrent en pathologie, est parfois nécessaire pour confirmer que l organe se qualifie pour la transplantation. Le technologiste médical devra préparer au préalable le spécimen de biopsie aux fins d analyse par le pathologiste. Par exemple, avant d accepter le foie d un donneur corpulent, une biopsie hépatique s avérera utile pour vérifier le pourcentage de gras présent dans les cellules du foie, puisque plus le pourcentage est élevé moins l organe sera fonctionnel après la transplantation. Lors du prélèvement, le foie est refroidi, le sang est expulsé des vaisseaux et remplacé par un liquide de conservation très froid. Par la suite, l organe est mis sur la glace afin d être conservé ainsi jusqu à la transplantation. Des analyses de tissus suspects peuvent être demandés afin d éliminer tout risque de transmission de maladie. L ATTRIBUTION DES ORGANES L attribution des organes peut débuter aussitôt que le coordonnateur-conseiller clinique aura recueilli toutes les informations nécessaires pour pouvoir tracer le portrait le plus complet du donneur (notamment son histoire médicosociale et la révision complète de son hospitalisation actuelle). Lorsque l organe est accepté par le médecin, le patient est rejoint et la possibilité de greffe lui est alors offerte. Le patient en attente doit alors se rendre à son centre hospitalier et subir une dernière évaluation afin de s assurer qu il est en mesure de recevoir la transplantation. LE PRÉLÈVEMENT DES ORGANES Lors du prélèvement, l expertise du technologiste médical est parfois requise afin de compléter l évaluation demandée par les médecins ayant au préalable accepté l organe tant convoité. Ces évaluations permettent de vérifier que les organes auront d excellentes chances de reprendre leurs fonctions après la transplantation. Par exemple, les reins étant composés principalement de glomérules (unités de filtration du rein), il est important qu ils soient en quantité suffisante et de qualité. Ces résultats peuvent s obtenir par le biais d une biopsie rénale pour confirmer le pourcentage d atteinte glomérulaire des reins en fonction des antécédents du donneur (âge, diabète ou hypertension artérielle). Dans de plus rares cas, une demande d analyse d une masse suspecte découverte fortuitement lors du prélèvement nécessite l avis d un spécialiste, puisque les résultats obtenus peuvent mettre en jeu les éventuelles greffes et la sécurité des receveurs. À la lumière de ce qui précède, il est donc facile de conclure que votre collaboration est essentielle à la bonne réalisation du processus de don car sans votre participation, il serait difficile d assurer à tous les patients en attente des organes de qualité et sécuritaires pour la greffe. Merci de votre collaboration et de votre engagement. Vous êtes un maillon d une chaîne incroyable qui permet à la vie de se poursuivre autrement. En savoir plus : www. transplantquebec.ca Formation en ligne : www. transplantquebec.ca/ professionnels/formationenligne RECEVEURS Vincent a reçu un cœur en Marie-Louise a reçu un rein en Gaston a reçu un cœur en Sa petite-fille Mégane est née en LE LABEXPERT DÉCEMBRE

11 IN VIVO LETTRE D'UN RECEVEUR AUX MEMBRES DE LA FAMILLE DU DONNEUR Nous avons longuement réfléchi aux mots qui devraient vous être adressés, vous les membres de cette famille, par qui tout est redevenu possible. Pourquoi est-ce si difficile ou si douloureux d exprimer en mots cette reconnaissance aux dimensions à peine imaginables? Sans doute parce que cette renaissance inespérée et tellement attendue est intimement liée au poids causé par la perte d un être aimé et chéri. Sans doute parce qu au final, la joie des uns est fortement imprégnée du chagrin des autres. Assurément, parce que les mots doivent obligatoirement provenir de ce cœur qui bat toujours et par qui l échéance a été repoussée, le sort déjoué et l issue modifiée. Il nous est impossible de qualifier avec justesse le geste que vous avez posé en janvier dernier. Un geste porteur d espoir. Un geste porteur d avenir. Un geste qui éveille des consciences. Un geste qui bouscule des valeurs. Un geste profondément humain. Un geste qui a profondément transformé la vie d une autre famille, la nôtre. Nous sommes infiniment reconnaissants du geste que vous avez posé en permettant à une famille de rester unie. C est la reconnaissance de tous les nôtres et de tous ceux qui nous entourent que nous tenions à exprimer. Un merci infini d un receveur, d une conjointe et d une famille privilégiés ADN Lily Duchesne, inf., coordonnatrice-conseillère clinique, Transplant Québec Lily Duchesne est infirmière et, à ce titre, travaille comme coordonnatrice-conseillère clinique chez Transplant Québec depuis Auparavant, elle a exercé au CHU de Québec - Pavillon Saint- François d'assise, principalement dans les unités spécialisées et à l'urgence. Madame Duchesne est membre du comité Formation de Transplant Québec et elle participe activement à celles s'adressant aux futurs professionnels cliniques et à ceux en exercice, sans oublier les activités de sensibilisation auprès du public. 12 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

12 CHRONIQUE L ACHAT D UNE PREMIÈRE MAISON, ÇA SE PRÉPARE! L achat d une maison est sans doute l investissement le plus important que vous effectuerez au cours de votre vie. C est pourquoi il est primordial de bien vous préparer, afin que ce rêve puisse devenir réalité! En suivant les étapes proposées, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour réussir votre projet : 1. Évaluez votre capacité d emprunt 1 Il faut avant tout déterminer à combien pourrait s élever votre prêt. Utilisez la calculatrice hypothécaire disponible sur bnc.ca/maison pour vous faire une idée de votre capacité d emprunt. 2. Déterminez votre mise de fonds La mise de fonds varie généralement entre 5 % et 20 % du prix d achat et vous permettra notamment de réduire vos versements hypothécaires. Si elle se situe sous les 20 %, vous devrez par ailleurs souscrire à une assurance-prêt auprès d un assureur-prêt autorisé par la Banque Nationale Prévoyez les coûts additionnels Vous devrez assumer un certain nombre de frais lors de l achat de votre maison, par exemple les frais d évaluation et d inspection, les assurances, les taxes municipales et scolaires, les frais de condo, les frais juridiques, etc. Comme ces frais peuvent avoir un effet sur la somme que vous prévoyez consacrer à votre mise de fonds, il est important d en tenir compte dans votre démarche d achat. 4. Obtenez un certificat de préautorisation hypothécaire Ayez l esprit tranquille et augmentez votre crédibilité auprès des vendeurs et des agents d immeubles grâce à un certificat de préautorisation hypothécaire. Mieux encore, ce certificat garantit votre taux d intérêt pendant 90 jours, vous protégeant ainsi d une hausse éventuelle durant vos recherches. 5. Trouvez votre propriété Voici le moment de trouver la demeure de vos rêves! En ville ou en campagne? Un condo ou un duplex? En rangée ou détachée? L achat d une propriété soulève un certain nombre de questions, il est donc important de bien cerner vos besoins. 6. Effectuez votre offre d achat L offre d achat est un document juridique qui vous engage à respecter toutes les conditions qui y paraissent. Il est donc important de la préparer avec soin en étant épaulé par un notaire ou un avocat. 7. Choisissez votre solution hypothécaire Prêt ouvert ou fermé, durée d amortissement, assurance choisir le prêt hypothécaire qui vous convient n est pas une mince affaire. Votre conseiller vous aidera à choisir la solution la mieux adaptée à vos besoins. 8. Protégez votre prêt Vous êtes jeune et en santé? C est le moment d adhérer à l assurance-prêt (par exemple, l assurance-vie, l assurance invalidité et l assurance maladies graves), puisque les primes sont basées sur l âge au moment de l adhésion. N hypothéquez pas votre avenir, assurez votre prêt! 9. Obtenez vos clés! Ça y est, c est le grand jour! Au préalable, la Banque Nationale aura fait parvenir le montant de votre prêt à votre notaire ou à votre avocat. Il ne vous reste qu à lui verser le montant de votre mise de fonds et des frais juridiques, puis direction votre nouveau chez-vous! N hésitez pas à consulter votre conseiller pour obtenir des renseignements supplémentaires et pour obtenir de l aide dans la préparation de ce projet. Découvrez tous les avantages auxquels vous avez droit ici : bnc.ca/specialistesante 1 Financement octroyé sous réserve de l approbation de crédit de la Banque Nationale. 2 Les assureurs autorisés par la Banque Nationale sont la Société canadienne d hypothèque et de logement (SCHL) et Genworth Banque Nationale du Canada. Tous droits réservés. Toute reproduction totale ou partielle est strictement interdite sans l autorisation préalable écrite de la Banque Nationale. Les informations contenues dans la présente communication le sont uniquement à titre informatif. La présente communication ne crée aucune obligation légale ou contractuelle pour la Banque Nationale ou les entités de son groupe. Fière partenaire : LE LABEXPERT DÉCEMBRE

13 FORMATION + FORMATION + FORMALINE, BIEN PLUS QU UN SIMPLE RETOUR EN CLASSE Mamour Diouf, T.M. Coordonnateur du dévelopement professionnel LA FORMATION CONTINUE LA FORMATION CONTINUE, C EST L OCCASION DE SE PERFECTIONNER, DE SE RÉORIENTER OU DE REPRENDRE SES ÉTUDES ABANDONNÉES. Qui aborde le monde de Formaline et fait le tour des formations offertes est rapidement surpris par l ampleur de l offre : Nous proposons plus de 200 formations sur Formaline accessibles en tout temps et de partout. Et là ne s arrête pas l offre, car lorsqu un hôpital ou une entreprise a au moins 18 personnes ou plus à former, il est souvent moins coûteux pour elle que nous nous rendions sur place. En plus, sur place, nous avons l avantage de pouvoir ajuster la formation aux besoins des T.M. de l hôpital. Nous offrons aussi des formations en groupe où l employeur a la possibilité, entre autres, de suivre lui-même une formation avec son équipe ou de savoir si les employés suivent une formation ou non. La formation en groupe permet de choisir une formation et de la visionner en groupe sur l heure du midi par exemple ou dans une salle de classe. Nous avons pensé aussi aux équipes de soir qui ont la chance de visionner la même formation que les équipes de jour et le responsable de la formation n aura qu à attester la formation par la suite pour que le membre inscrive ses heures de formation continue dans son portfolio. La formation continue, c est précisément cela : des cours donnés pour assurer une mise à jour des connaissances ou pour outiller le professionnel technologiste médical en vue de l exécution des nouveaux programmes adoptés par un hôpital ou imposés par une fusion ou une réorientation des modes de fonctionnement. Mais comment redéfinira-t-on et, surtout, comment renouvellera-t-on un secteur décidément appelé à connaître un essor considérable? 14 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

14 FORMATION + Si les principes directeurs de la politique de la formation continue des technologistes sont louables, tout comme les actions qui y sont associées, l avenir de cette politique repose sur l élargissement de ses horizons pour mieux s adapter aux besoins des technologistes en constante mutation. La politique de l OPTMQ en matière de formation continue devra aussi s adapter à toutes les tranches d âge de la population. Ainsi à chaque période le comité de développement professionnel révisera la politique de la formation continue afin de mieux s adapter aux besoins d accompagnements des technologistes. N oublions pas que les personnes de 45 ans et plus ont devant elles de 20 à 25 années de travail. Il faut leur permettre à mi-parcours de leur chemin professionnel de se remettre à jour ou encore de se relancer dans la vie selon leurs intérêts respectifs. D autant, dit-il, que le marché et l organisation du travail est en constante mutation, notamment avec la venue prochaine d'optilab. Quand on parle de développement des compétences, il s agit en fait de combler l écart entre ce qu on perçoit de nos compétences et ce qu on souhaiterait. La plupart des formations sont de courte durée d une heure à deux jours et portent sur un sujet précis identifié comme besoin d apprentissage par des membres. Nos formations étant très courtes, les sujets qu on y traite sont par conséquent très ciblés, Par exemple, le cours sur les frottis sanguins est spécifiquement conçu pour les technologistes qui font de la lecture de lame en hématologie en leur fournissant tous les outils pertinents. Ce que nous voulons, c est outiller ceux que nous formons avec des compétences et des moyens concrets. Nos formations sont donc surtout constituées de conférences, de cours, d études de cas, de simulations, etc., parce que ce qu on souhaite avant tout, c est que les gens acquièrent des compétences à l intérieur de nos formations. Il y a donc un côté pratico- pratique, ce qui est très important pour nous, parce que notre but est qu après une heure ou quelques jours de formation, la personne soit en mesure d utiliser les outils qu on lui a donnés dans son milieu de travail. IMPORTANTS RAPPELS SUR LES ACTIVITÉS DE FORMATION CONTINUE, LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SE TERMINE DANS MOINS DE 5 MOIS. Si vous avez des formations à entrer dans Formaline c est le moment, car cette deuxième période tire à sa fin. Rappelons que toutes les activités de formation admissibles peuvent être déclarées, et non pas seulement le minimum de 20 heures dans votre portfolio dans Formaline vous pouvez même y télécharger vos attestations. Voici quelques erreurs souvent retrouvées dans les microportfolios suite à la première période de référence et qui sont à éviter : Activités de formations enregistrées dans une mauvaise section. Toutes les lectures doivent apparaître dans la section «Autoapprentissage», les réunions de comité dans «Membre de comité»; Le monitorat de stage est reconnu pour sa préparation seulement, à raison de 5 heures par période indépendamment de la durée de la formation. L enseignement aux étudiants fait partie du travail du moniteur de stage ; L enregistrement en double des formations faites à partir de Formaline. Nul besoin d enregistrer soi-même ces formations, elles le sont automatiquement lorsque terminées et réussies. Ceci inclut également «L Approche ou la démarche réflexive»; La formation sur les appareils n est pas reconnue comme de la formation, car cela fait partie du travail du T.M. de savoir comment ils fonctionnent ; Les activités de promotion de la profession (ateliers ou kiosques lors de la semaine des technologistes médicaux, etc.) ne sont pas reconnues comme de la formation ; La formation sur un banc de travail n est pas de la formation, mais de l orientation ; Faire le résumé de PowerPoint d une présentation n est pas reconnu. Ce n est pas considéré comme de la lecture, ni comme une formation. Ce document est un résumé et il n est pas complet. Il ne faut pas oublier de mentionner les droits d auteur ; Atelier, congrès, colloque, etc. : les temps de pauses, les activités sociales ou l assemblée générale ne peuvent être comptabilisés. Finalement, nous recommandons fortement de ne pas attendre à la dernière minute pour faire une demande de dispense de formation. Le formulaire se trouve dans info- Formaline vous devait présenter votre demande avant le 1 er mars Cette section présente également les questions les plus fréquentes ainsi que les réponses. Bonne formation. LE LABEXPERT DÉCEMBRE

15 DE FACTO DE FACTO LE POINT SUR LA MALADIE À VIRUS EBOLA (MVE) Anne Marie Martel, T.M. Chargée de dossiers scientifiques Depuis mars 2014, une épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) sévit en Afrique de l Ouest. La situation est suivie de près par l Organisation mondiale de la santé ainsi que par de nombreux professionnels de la santé à travers le monde. L OPTMQ a été alerté du fait que cette situation provoque beaucoup d inquiétude chez les technologistes médicaux qui doivent manipuler des échantillons biologiques provenant de patients chez qui la MVE est suspectée. L Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et plus particulièrement le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) sont impliqués depuis le tout début dans la gestion de cette situation. Le LSPQ a publié un Guide pratique pour les demandes d analyses de laboratoire pour des patients chez qui une MVE est suspectée. Ce guide est disponible en ligne sur le site de l INSPQ à l adresse suivante ainsi que sur le site Internet de l OPTMQ. Il a également été largement diffusé dans les laboratoires de biologie médicale à travers le Québec. Au moment d écrire ces lignes, une 3 e version (3.0) datée du 19 septembre 2014 était en vigueur. Ce guide est révisé au fur et à mesure de l évolution de la situation; il est donc nécessaire de se référer à la dernière version publiée. Afin d outiller convenablement nos membres lors de la manipulation de ces échantillons, nous collaborons avec l INSPQ dans le but de transmettre en temps opportun les renseignements d intérêt pour les technologistes médicaux en ce qui concerne la MVE. Voici donc certains points importants concernant la manipulation d échantillons contenant potentiellement le virus Ebola, agent du groupe de risque 4, qui sont tirés du Guide pratique pour les demandes d analyses de laboratoire pour des patients chez qui une MVE est suspectée du LSPQ : La période d incubation du virus Ebola peut varier de 2 à 21 jours, avec une moyenne de 8 jours. Le contact direct avec du sang, des sécrétions, des organes ou d autres fluides corporels provenant de personnes ou d animaux infectés, vivants ou morts, est considéré comme le principal mode de transmission. Le contact indirect par exposition à des objets contaminés par du sang, comme les aiguilles ou du matériel tranchant, est bien décrit et est une cause possible de transmission de la MVE en laboratoire. Le prélèvement et la manipulation des échantillons provenant d une personne que l on soupçonne d être atteinte de la MVE requièrent des précautions additionnelles à celles normalement appliquées. Il est important de consulter et de suivre les indications du guide du LSPQ. Aucune culture virale de l Ebola n est permise à l extérieur d un laboratoire de niveau de confinement 4 et aucune culture cellulaire ne doit être entreprise, par exemple des cultures pour le C.difficile sur cellules Vero ou pour la recherche de SLT (Shiga-like toxins) sur lignée cellulaire. 16 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

16 DE FACTO Il faut respecter le Règlement sur le transport des marchandises dangereuses, qui inclut des exigences à respecter pour les agents pathogènes de catégorie A (tel que l Ebola) en terme d emballage, de documentation, etc. La formation à jour sur le transport des marchandises dangereuses est obligatoire pour toute personne qui manutentionne, demande le transport ou transporte des échantillons suspectés de contenir ces agents pathogènes. La formation et la certification du personnel sont la responsabilité de chaque employeur et des supérieurs immédiats. Un plan d intervention d urgence (PIU) est également nécessaire; une équipe provinciale certifiée par Transport Canada pour les envois requérant un PIU est en place au LSPQ. Les membres de cette équipe vous accompagneront dans vos démarches. QU EST-CE QUE L EBOLA? Note : Les renseignements qui suivent proviennent de la Fiche technique santé-sécurité: agents pathogènes : Virus Ebola de l Agence de santé publique du Canada. La fiche complète est disponible à l adresse suivante : phac-aspc.gc.ca/lab-bio/res/psds-ftss/ebola-fra.php. Le virus Ebola, qui a été découvert en 1976, fait partie de la famille des Filoviridae (ses membres faisaient autrefois partie de la famille des Rhabdoviridae, mais ont été classés dans une famille distincte d après leur structure génétique). Les chauves-souris sont considérées comme un réservoir potentiel du virus. Le virus Ebola est un virus allongé et filamenteux d une longueur variant de 800 à nm, mais pouvant atteindre nm. Ce virus pénètre dans les cellules hôtes par endocytose et se réplique dans le cytoplasme. Une fois l hôte infecté, le virus affecte son système de coagulation et son système immunitaire et provoque une grave immunodépression. Les premiers signes de l infection sont la fièvre, de l asthénie, de la diarrhée, des céphalées, de la myalgie, de l arthralgie, des vomissements et des douleurs abdominales. Les symptômes initiaux peuvent inclure l injection conjonctivale, les maux de gorge, les éruptions cutanées et les saignements. Des symptômes hémorragiques peuvent débuter 4 à 5 jours après l infection et comprendre la conjonctivite hémorragique, la pharyngite, le saignement des gencives, l ulcération de la bouche et des lèvres, l hématémèse, le méléna, l hématurie, l épistaxis et les saignements vaginaux. Les lésions hépatocellulaires, la dépression médullaire (comme la thrombocytopénie et la leucopénie), l augmentation des taux de transaminases sériques et la protéinurie sont également possibles. Nous désirons remercier sincèrement Mme Micheline Fauvel, M.Sc., directrice adjointe intérimaire au LSPQ pour la révision scientifique de cet article. Nous sommes heureux de vous annoncer que Docteure Cécile Tremblay, directrice scientifique du LSPQ, sera conférencière lors du congrès de la Société canadienne de science de laboratoire (LABCON) qui se déroulera à Montréal du 22 au 24 mai Dre Tremblay fera une présentation sur le thème de l Ebola. NOUVEAU MEMBRE AU SEIN DU COMITÉ DES NORMES DE LA PRATIQUE C est avec plaisir que nous vous informons que madame Michèle Pellerin, technologiste médicale, a été nommée membre du comité des normes de la pratique de l OPTMQ. Madame Pellerin exerce depuis plusieurs années dans divers secteurs du laboratoire de biologie médicale. Elle travaille présentement à l hôpital de Gatineau ainsi qu à l hôpital Mémorial de Wakefield. Elle a été impliquée dans plusieurs projets et comités afin de promouvoir la profession de technologiste médical et d améliorer la qualité des analyses effectuées au laboratoire de biologie médicale. Nous lui souhaitons beaucoup de succès dans la réalisation de son mandat. Le comité des normes de la pratique LE LABEXPERT DÉCEMBRE

17 DE FACTO Décembre 2014 Le ministère de la Santé et des Services sociaux a publié un guide intitulé Unité du laboratoire de biologie médicale - Répertoire des guides de planification immobilière. Il expose les performances attendues concernant la programmation, la conception et la construction de l unité du laboratoire de biologie médicale. Ce guide traite du volet immobilier seulement et est disponible à l adresse suivante : Le ministère de la Santé et des Services sociaux a procédé à la mise à jour de publications destinées aux professionnels de la santé qui dépistent les ITSS et réalisent d autres interventions préventives telles que le counseling, le traitement et la vaccination. Cette mise à jour présente des nouveautés qui impliqueront un changement des pratiques (ex. : indications de dépistage, choix des analyses de laboratoire). La mise à jour touche les publications suivantes : Le Guide québécois de dépistage des ITSS qui regroupe l information technique et scientifique nécessaire pour réaliser adéquatement l'intervention de dépistage; Le Supplément Dépistage du VIH dans les points de service à l aide de trousses de dépistage rapide qui définit les normes de bonne pratique pour l utilisation des trousses de dépistage rapide quel que soit le lieu de pratique; Les outils Intervention préventive relative aux ITSS qui visent à soutenir les activités préventives en matière d ITSS. Ces publications sont disponibles uniquement en version électronique sur le site du ministère de la Santé et des Services sociaux à l adresse : dans la section «Documentation», onglet «Professionnels de la santé», rubriques «Guides» et «Outils». Le Comité sur les analyses de laboratoire en lien avec les ITSS (CALI) qui relève de l INSPQ et l Association des médecins microbiologistes-infectiologues du Québec (AMMIQ) ont publié deux nouvelles publications de la série Guide de pratique pour les analyses de laboratoire en lien avec les ITSS. Le premier guide, intitulé Détection du virus du papillome humain à haut risque, décrit les procédures de détection des virus du papillome humain à haut risque (VPH HR), aussi appelés VPH oncogènes, à partir de spécimens de brossage du col utérin. Le second guide, intitulé Détection de Neisseria gonorrhoeae par culture, décrit les méthodes de détection de N. gonorrhoeae par culture à partir d échantillons anaux, génitaux, pharyngés et oculaires. Il permet de réaliser adéquatement la recherche de N. gonorrhoeae par culture et rappelle l importance diagnostique de même que thérapeutique de cette détection sur le plan de la santé publique (traitement des partenaires, surveillance de la résistance, surveillance des échecs aux traitements) et parfois sur le plan médicolégal. Ces documents peuvent servir de guides à la rédaction et à la révision de procédures opérationnelles normalisées par les responsables des laboratoires et sont disponibles à l adresse suivante : 18 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

18 DE FACTO LE LABEXPERT DÉCEMBRE

19 SENTINELLE SENTINELLE UNE JOURNÉE REMARQUÉE ET REMARQUABLE DANS UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MÉDICALE Par Rose-Marie Moreno, T.M., coordonnatrice de l inspection professionnelle DANS LES SOULIERS D UN INSPECTEUR! Tout le travail qui se fait en une seule journée dans un laboratoire de biologie médicale est remarquable, mais rien ne découle ni de l insolite ni de la fiction. Les technologistes médicaux (T.M.) le savent bien! Ce sont des gens passionnés, curieux et minutieux qui s attellent à la tâche vingt-quatre heures par jour. Si le silence semble y régner, le bourdonnement constant des travailleurs et des appareils vient trahir cette fausse quiétude et témoigne de toute l activité qui se vit dans cet univers. La motivation de cet entrain des T.M. réside principalement dans leur souci d effectuer des analyses de routine, mais aussi des analyses de pointe, et de rendre en tout temps, des résultats justes et fiables. Mais qu en est-il lorsque cette fourmilière de chaque instant est observée par un inspecteur de l Ordre? Quelle couleur prend tout cet univers à travers ses yeux? Suivons notre inspecteur Géraldine*, l espace d une journée pour avoir un aperçu de sa perspective à elle. BONJOUR! Lundi matin, il est presque huit heures. Je me dirige fébrilement vers le service de biologie médicale. À quelques pas de l ascenseur, deux étages plus bas j y suis, enfin! Je me retrouve tout comme à chaque visite, dans un service différent du mien, mais qui m est très familier. Je connais bien l univers dans lequel je suis plongée. Accueillie par le chef du service, parfois c est un de ses collègues, je me présente : «Bonjour! Je m appelle Géraldine, je suis technologiste médicale et je suis mandatée par l OPTMQ en tant qu inspecteur». Nous faisons ensemble le tour de tous les laboratoires, pour me présenter à tous et me permettre de me familiariser avec les alentours. Il me dresse par la suite un bref portrait de leur réalité quotidienne, qui ressemble beaucoup à celle de mon propre lieu de travail. De mon côté, j explique le rôle de l inspection professionnelle au cœur du système professionnel. Je déploie son concept basé sur l encadrement de la pratique et j insiste sur la notion de surveillance générale pour laquelle je suis là. Celle-ci repose sur la philosophie propre à la technologie biomédicale, centrée sur la responsabilité et les compétences professionnelles. C est ce que je viens observer. Dans quelques minutes, j irai aussi m entretenir avec le directeur des services professionnels de l établissement, un de ses adjoint(e)s ou un délégué(e). Je tiendrai des propos semblables quant à l objectif de ma visite, son déroulement ainsi que de la suite de la démarche d inspection. À l occasion, comme c est le cas aujourd hui, j ai un coéquipier-inspecteur. Nous faisons équipe dans le même établissement, mais allons faire nos visites chacun de notre côté. Nous convenons alors de notre horaire pour les prochaines heures. Une fois ces premiers entretiens terminés, je consulte ma liste des personnes présentes dans chaque département. INCURSION DANS UN LABORATOIRE Dès que j arrive au laboratoire de Biochimie, je me présente au T.M. que je viens rencontrer. Je lui tends la main. Je sens immédiatement une certaine appréhension de sa part, ce qui est normal, j ai l habitude. J essaie de mettre le T.M. à l aise en créant une ambiance conviviale. Je lui explique le but de ma présence et de la démarche, qui n est pas celui de le prendre en défaut, mais bien celui de revoir avec lui, de façon pratique, les notions de savoir-faire et de savoir-être, basées sur ses savoirs! Bien sûr, je dérange 20 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

20 SENTINELLE un peu sa routine, puisque notre rencontre a lieu dans son environnement de travail, au poste qu il occupe ce matin. Je l invite alors à me montrer son espace de travail, à m expliquer par exemple ce qu il a fait en arrivant ce matin et ce qu il faisait à mon arrivée. La gêne et le stress se dissipent tranquillement pour faire place à une confiance mutuelle. Ceci facilite évidemment nos échanges. Nous revoyons le trajet qu un échantillon fait de sa réception jusqu à son élimination et/ou sa conservation, et les gestes que le T.M. pose, à chacune des étapes. Il m expose ce qu il ferait dans une situation d urgence ou ce qu il doit faire à la suite d un résultat critique. Il est en mesure de me montrer ce qu il a documenté aujourd hui, mais aussi la semaine dernière. C est un T.M. nouvellement diplômé, mais il sait où se référer lorsqu il n est pas certain de la prochaine marche à suivre. Moins expérimenté, il n en demeure pas moins professionnel. Nous communiquons ouvertement. J en profite pour recueillir ses commentaires et ses suggestions que je transmettrai par la suite aux responsables de l inspection de l Ordre. À LA PROCHAINE! Au terme de notre rencontre, trois quarts d heure à une heure plus tard, je le salue cordialement en le remerciant de sa disponibilité et en lui mentionnant qu un rapport sera dressé suite à ma visite. Il sera avisé dès que son rapport sera diffusé confidentiellement, selon la politique établie, dans trois mois environ. Sur son rapport seront indiqués notamment, les points d amélioration que j ai observés et desquels j ai discuté brièvement avec lui. Comme j étais en visite de surveillance générale et que tout s est bien déroulé, je prends soin de lui souligner que nous nous reverrons dans cinq ans! Le service d inspection professionnelle de l Ordre quant à lui, verra à faire un suivi. Je me retire quelques instants à peine, le temps de finaliser le compte rendu. Et je recommence ainsi jusqu à 18 h parfois. Je ne vois pas le temps passer et je souhaite rencontrer le plus de gens possible, tout en prenant le temps qu il faut pour chacun. Il est déjà 17 h, mais je ne quitte pas immédiatement. J aimerais rencontrer un T.M. qui débute son quart de travail de soir. Mon coéquipier de son côté, reviendra demain matin, assez tôt pour rencontrer à son tour un T.M. qui est à la fin de son quart de nuit. Le domaine dans lequel travaille un T.M. est tout à fait particulier. Celui-ci travaille de façon individuelle, mais continuellement en collectivité, en équipe. En tant que T.M., quand je revêts mon habit d inspecteur je suis en terrain connu, par contre, chaque rencontre est unique. C est à la fois l univers organisationnel qui teinte l environnement du T.M., auquel s ajoute la propre nuance personnelle de chacun. Je dois donc faire preuve d une grande adaptabilité, force majeure du milieu et de la profession. Chaque personne visitée m apporte un peu de son vécu et moi, à mon tour, j essaie de lui transmettre un peu de mon expertise! L univers de la biologie médicale est loin d être fictif ou insolite, mais il s opère assurément une magie entre les quatre murs d un laboratoire malgré les contraintes présentes au quotidien. La synergie de tous les éléments essentiels, combinés à l attention accordée à chaque échantillon humain, se concrétise par un résultat qui exprimera au médecin requérant, l état de santé réel de son patient. En tant qu inspecteur, je ressors de mon expérience satisfaite. Je suis à même de pouvoir témoigner de cette belle réalité où tout le monde est gagnant et dans laquelle la protection du public est assurée par l encadrement de la pratique des technologistes médicaux! *Nom fictif REMERCIEMENTS Le comité d inspection professionnelle de l Ordre désire remercier Madame Jacynthe Boudreau, T.M. pour son implication au sein du comité et en tant qu inspecteur pendant près de dix ans. Son esprit critique, sa curiosité et sa rigueur scientifiques de même que le partage de ses expériences, notamment dans le domaine de la cytologie ont été grandement appréciés. Nous désirons la remercier chaleureusement et lui souhaitons le meilleur des succès dans tous ses projets futurs. LABORATOIRE DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC CONTRÔLE EXTERNE DE LA QUALITÉ Une compilation des résultats des derniers contrôles externes de la qualité, effectuée par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ), peut être obtenue auprès de l Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec. Il s agit des contrôles externes suivants : Rubéole (mars 2014) Bactériologie (avril 2014) Recherche des virus Herpès simplex (VHS) Virologie (juin 2014) Parasitologie intestinale (juin 2014) Si vous désirez obtenir un exemplaire de ces documents, veuillez communiquer avec Rose-Marie Moreno, T.M., coordonnatrice de l inspection professionnelle, au ou au , poste Il est également possible de la joindre par courriel à rmmoreno@optmq.org. LE LABEXPERT DÉCEMBRE

21 ET CÆTERA ET CÆTERA Alain Collette, Avocat Directeur général et secrétaire L ORDRE Y ÉTAIT 14 AVRIL 2014 : Réunion de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de technologiste médical. 25 AVRIL 2014 : Colloque de l Association québécoise des registraires en oncologie, à Trois-Rivières : Le cancer colorectal, l importance du rôle des bénévoles en cancer. 29 AVRIL 2014: Remise du Prix étudiant de l OPTMQ au Cégep de Shawinigan. 30 AVRIL 2014 : Conseil d administration du Consortium de recherche en oncologie clinique du Québec (Q-CROC). 9 MAI 2014 : Colloque annuel du Collège des médecins : Médecine privée ou privé de médecine? À Québec. 14 MAI : Coalition Priorité Cancer, symposium. Assurances et cancer : sommes-nous à la croisée des chemins? 14 MAI 2014 : Comité de liaison TAB, Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu. 16 MAI 2014 : Assemblée annuelle du Conseil interprofessionnel du Québec. 22 MAI 2014 : Cérémonie de la passation des pouvoirs de la Chambre des notaires du Québec. Le nouveau président est Me Gérard Guay. 24 MAI 2014 : Remise du Prix mérite du CIQ pour l Ordre professionnel des inhalothérapeutes du Québec. 28 MAI 2014 : Journée annuelle de l inspection professionnelle Conseil interprofessionnel du Québec 1 er JUIN ET 2 JUIN 2014 : Colloque du Conseil de la protection des malades. 40 e anniversaire de la création du Conseil. 3 JUIN 2014 : Conférencière à une journée de réflexion sur l Accès à la santé en toute égalité organisé par l Université du Québec à Montréal et l Alliance des Communautés culturelles pour l égalité dans la Santé et les Services sociaux. 6 JUIN 2014 : Remise du prix Mérite du CIQ pour l Ordre des conseillers en orientation à Québec. 10 JUIN 2014 : Conférence au Colloque de la FADOQ. 11 JUIN 2014 : Petitdéjeuner-conférence des Compagnies de recherche pharmaceutique du Canada sous le thème : Le patient partenaire : une nécessité pour l efficience du système de santé dans son ensemble. 16 JUIN 2014 : Premier rendezvous national sur l avenir du système public de santé et de services sociaux à Laval. Organisé par l Association des établissements en santé et services sociaux, la CSN et l Institut du Nouveau Monde. 18 JUIN : Réunion Professional Standard Council de la SCSLM. 20 JUIN : Réunion de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de technologiste médical. 20 AU 23 JUIN 2014 : Congrès de la Société canadienne des sciences de laboratoire médical (LABCON 2014). 14 AOÛT 2014 : Dîner engagé avec l Institut du Nouveau Monde. Rencontre avec des étudiants à l Université McGill pour parler de nos professions. 17 SEPTEMBRE 2014 : Table ronde sur la prévention du cancer de la peau au Canada au Château Laurier à Ottawa. 19 SEPTEMBRE 2014 : Atelier de planification stratégique du lymphœdème, à Québec. 26 SEPTEMBRE 2014 : réunion du Conseil interprofessionnel du Québec. 30 SEPTEMBRE 2014 : Comité de suivi de la table de concertation de biologie médicale dans le cadre du projet OPTILAB 14 OCTOBRE 2014 : Atelier Point-of-care Testing : Today and Tomorrow à Toronto, organisé par l IQMH OCTOBRE 2014: Observateur lors de la réunion d ISO/TC 212 Clinical Laboratory Testing and In Vitro Diagnostic Tests Systems à Toronto 15 AU 17 OCTOBRE 2014 : Salon de l Éducation, Place Bonaventure, Montréal 16 OCTOBRE 2014 : Colloque «Les pratiques professionnelles à distance» dans le cadre de la 6 e édition de la Semaine des professionnels, organisée par le Conseil interprofessionnel du Québec. 17 OCTOBRE 2014 : Réunion de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de technologiste médical. 22 AU 25 OCTOBRE 2014 : Salon Carrière Formation, au Centre de foires, Québec 28 OCTOBRE 2014 : Consultation sur les obstacles liés à l emploi des nouveaux Canadiens, Emploi et développement social Canada et Multiculturalisme Canada 3 NOVEMBRE 2014 : Symposium «Les cancers rares : assembler les pièces du casse-tête» 5 NOVEMBRE 2014 : Gala pour la remise des Prix du Réseau des femmes d affaires du Québec 6-7 NOVEMBRE 2014 : 7 e Colloque sur l interdisciplinarité «Quand partage d activités rimes avec conflit interprofessionnel. Peut-on mieux faire?» 21 NOVEMBRE 2014 : Colloque de la Direction québécoise de cancérologie : Les pratiques exemplaires du réseau de cancérologie du Québec 5 DÉCEMBRE 2014 : 2 e Rendezvous national sur l avenir du système public de santé et de services sociaux 22 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

22 ET CÆTERA RAPPEL DE L IMPORTANCE DE L OFFRE DE DÉPISTAGE DES INFEC- TIONS TRANSMISSIBLES SEXUELLEMENT ET PAR LE SANG AUPRÈS DES FEMMES ENCEINTES Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a révisé tout récemment les formulaires du suivi obstétrical, soit AH 266, 267 et 268, et profite de cette révision pour rappeler l importance de l offre de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des femmes enceintes. Pour les professionnels, deux dépliants sont disponibles : Programme d intervention sur l infection par le VIH et la grossesse; Un aide-mémoire «Que doit savoir une femme enceinte à propos des tests de dépistage du VIH et des autres ITSS?». Ces outils sont disponibles sur le site Internet du MSSS ( à la section «Documentation», sous la rubrique «Professionnels de la santé». Des copies sont diffusées par les agences de la santé et des services sociaux dans le réseau des services de santé et des services sociaux. Pour les femmes enceintes ou en âge de procréer, le dépliant suivant est disponible : «Enceinte ou vous pensez le devenir et les infections transmissibles sexuellement et par le sang?». Ce dépliant les informe sur le dépistage du VIH et des autres ITSS pendant la grossesse. Il est également disponible en version anglaise «Having a baby or thinking about it What about sexually transmitted and blood-borne infections?». Ces deux versions sont déposées sur le site Internet du Ministère ( à la section «Documentation/Publications». Les intervenants du réseau peuvent commander des copies par courriel à diffusion@msss.gouv.qc.ca ou avec le bon de commande en ligne. Vous pouvez accéder directement à ces documents sur le site Internet du Ministère AVIS DE DÉCÈS DÉCÈS DU DR ALEXANDER MEISELS, UNE FIGURE MARQUANTE DE LA CYTOLOGIE AU QUÉBEC C est avec regret que nous avons appris le décès du Dr Alexander Meisels, MD, FIAC, qui s est éteint paisiblement en septembre 2014 à l âge de 88 ans. Membre du Conseil exécutif de l Académie Internationale de Cytologie pendant 39 ans, il en a été successivement secrétaire-trésorier, président, trésorier et membre jusqu à De plus, il a été responsable de l organisation, comme président ou secrétaire, de six congrès internationaux de cytologie organisée par l IAC (Miami 1974, Tokyo 1977, Munich 1980, Montréal 1983, Bruxelles 1986, Buenos Aires 1989). Sa contribution dans le domaine de la cytopathologie a été déterminante autant en recherche, qu en enseignement et en gestion. Le Dr Meisels a notamment établi la relation entre l infection par papillomavirus (HPV) et le développement de carcinome cervical, ce qui constitue sa contribution la plus significative et dont il était tout naturellement fier. PRIX RFAQ NATHALIE RODRIGUE, LAURÉATE DU CONCOURS PRIX FEMMES D AFFAIRES DU QUÉBEC, DANS LA CATÉGORIE BÉNÉVOLE FORTEMENT ENGAGÉE À l occasion de son 14 e gala Prix Femmes d affaires du Québec, en novembre, le Réseau des Femmes d affaires du Québec a décerné le Prix Femmes d affaires du Québec, dans la catégorie Bénévole fortement engagée, à Nathalie Rodrigue, présidente de l Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec. L implication de madame Rodrigue, notamment à la Coalition Priorité Cancer, a ainsi été reconnue. Cet événement rend hommage à des femmes actives s étant particulièrement illustrées dans le monde des affaires et le secteur socioéconomique, et qui ont apporté une contribution à l essor de la société québécoise. Dans une première étape, 27 femmes ont été sélectionnées. Le Réseau des Femmes d affaires du Québec a remis 9 prix dans autant de catégories lors de son gala. Félicitations à madame Rodrigue pour cet honneur! En 1976 il a postulé que les changements de koilocytotic de cellules épithéliales cervicales représentaient une expression d infection virale et l étape initiale de carcinogenèse, une hypothèse au départ controversée et maintenant reconnue. Né à Berlin, il s est installé au Québec en 1960 et a travaillé jusqu à sa retraite à l Hôpital Saint-Sacrement et l Université Laval, comme Directeur du Département de pathologie et de l École de cytotechnologie. Il a dirigé de nombreux cytotechnologistes, les résidents de pathologie et des invités étrangers. Maîtrisant quatre langues, le Dr Meisels était éloquent et a largement fait rayonner son domaine d expertise partout dans le monde, particulièrement en Amérique latine. Son travail a été reconnu par l attribution de nombreux prix et distinctions : il a reçu le Goldblatt Award de l IAC (1975), le Papanicolaou Award de l ASC (1982) et membre de l Ordre du Canada (2000). Nous nous joignons aux membres de l IAC pour rendre hommage à ce grand homme. LE LABEXPERT DÉCEMBRE

23 ET CÆTERA Canadian Society for Medical Laboratory Science Société canadienne de science de laboratoire médical Découvrez votre lien à la profession de laboratoire Tranquillité d esprit Assurance responsabilité professionnelle Économisez de l argent Accès aux subventions et aux bourses d études Programmes d escompte exclusifs Tarifs réduits à LABCON (à Montréal en 2015!) Restez branchés e-nouvelles toutes les deux semaines Publication trimestrielle du Journal canadien de science de laboratoire médical Forum en ligne, les Communautés 24 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT Rehaussez votre carrière Formation continue et perfectionnement professionnel Offres d emploi dans le Centre des carrières Occasions de bénévolat La SCSLM offre également Défense des intérêts de la profession Accès aux documents de référence Double adhésion auprès de l International Federation of Biological Laboratory Sciences devenez membre! scslm.org

24 QUORUM QUORUM LES T.M. SE FONT CONNAITRE! Sur diverses tribunes, l OPTMQ fait la promotion de la profession de technologiste médical. En voici un aperçu. AUPRÈS DES JEUNES L OPTMQ était présent au Salon de l Éducation, à la Place Bonaventure, à Montréal, du 15 au 17 octobre dernier, et au Salon Carrière-Formation, au Centre de foires, à Québec, du 22 au 26 octobre dernier. Les T.M. ont fait connaître leur profession à des jeunes visiteurs, à leurs professeurs et aux conseillers en orientation scolaire. LES PRIX RECONNAISSANCE ET IMPLICATION RELÈVE : POURQUOI PAS VOUS? C est le temps de poser votre candidature ou d inciter vos collègues technologistes médicaux à le faire pour le Titre Fellow, les Prix Reconnaissance Innovation et Élite et le Prix Implication Relève! En plus de symboliser l excellence, ces prix constituent une reconnaissance de l implication concrète des technologistes médicaux dans leur milieu de travail. La période de mise en candidature pour le Titre Fellow se termine le 15 février Pour les Prix Reconnaissance et Implication Relève, les candidatures seront acceptées jusqu au 2 mars Vous trouverez les détails, de même que les formulaires de candidatures, sur le site Internet de l OPTMQ en cliquant sur le lien suivant : OFFRES D EMPLOI RAPPEL L Ordre met à la disposition de ses membres, une liste d offres d emploi en lien avec la profession. Les membres peuvent la consulter en ligne au à la page d accueil. L OPTMQ a attiré de nombreux étudiants lors du Salon de l Éducation, à Place Bonaventure, à Montréal. Sur la photo,les T.M. Myhanh Ngo et Voltaire dela Cerna ont partagé leur passion de leur profession. Photo : OPTMQ DANS LES ÉCOLES Les T.M. sont allés à la rencontre des jeunes du secondaire dans les écoles, dans les classes ou à l occasion de journéescarrière. Ces ambassadeurs ont pour mission d attirer leur attention sur cette profession. En voici un aperçu. École secondaire d Iberville, Rouyn-Noranda, 26 septembre 2014 École des Trois Saisons, Terrebonne, 6 novembre 2014 École Félix-Leclerc, Repentigny, 13 novembre 2014 École Jean-Baptiste-Meilleur, Repentigny, 20 novembre 2014 École secondaire de Mortagne, Boucherville, 25 novembre 2014 École secondaire Paul-Arseneau, L Assomption, 3 décembre 2014 CHANGEMENT D ADRESSE? Si vous avez déménagé, l OPTMQ tient à rappeler aux technologistes médicaux qu ils doivent aviser l'ordre de tous changements, qu'il s'agisse d'un changement d'adresse professionnelle ou personnelle. En l absence d un lieu de travail, c est l adresse personnelle qui est considérée comme lieu de travail et c est cette information qui est diffusée publiquement. N attendez pas, faites-le maintenant, avant le 15 janvier 2015! LE LABEXPERT DÉCEMBRE

25 QUORUM SANS MOT DE PASSE, ÇA NE PASSE PAS! Les technologistes médicaux désirant obtenir un mot de passe afin d accéder à la section réservée aux membres du site Internet de l Ordre ou de Formaline doivent se créer une adresse électronique et envoyer leur demande par Internet à info@optmq.org. Il est important d indiquer les nom et prénom ainsi que le numéro de membre afin de recevoir un mot de passe. Ceux ayant déjà une adresse électronique, peuvent faire leur demande de mot de passe via le site Internet de l Ordre au Pour les membres n ayant pas d adresse électronique, il est facile de s en créer une, et ce gratuitement, par l intermédiaire de fournisseurs tels que Yahoo, Hotmail ou Gmail. Joyeuses fêtes! L Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec vous souhaite de Joyeuses Fêtes! Profitez de ces moments en famille et entre amis afin de célébrer et revenez-nous en forme pour la prochaine année! HORAIRE DES FÊTES Le siège social de l Ordre sera fermé du 20 décembre 2014 au 4 janvier POURQUOI J AIME MA PROFESSION? Vous êtes passionné par votre profession parce que Dites-nous pourquoi! Profitez de cet espace dans chaque numéro du LabExpert pour partager votre passion. En quelques mots, exprimez ce que vous aimez dans la profession de technologiste médical. Faitesnous parvenir un bref texte et une photo, qui seront publiés dans le LabExpert. Vos expériences pourraient en inspirer d autres! Faites-parvenir le tout à Michelle Gosselin, responsable des communications, à l adresse courriel mgosselin@optmq.org. ASHLEY PELLETIER-SIMARD, GAGNANTE DU CONCOURS «C EST À NOTRE TOUR DE PRENDRE SOIN DE VOUS» DE LA BANQUE NATIONALE Dans le cadre du concours «C est à notre tour de prendre soin de vous», la Banque Nationale a remis un chèque d une valeur de $ à Mme Ashley Pelletier- Simard, résidente de Saint-Eustache. Le concours s est déroulé du 1 er mai au 15 juin 2014 et s adressait à tout professionnel œuvrant dans le domaine de la santé et admissible aux programmes financiers de la Banque Nationale. La sélection au hasard d une inscription valide s est effectuée le 30 juin dernier. En tant qu acteur économique de premier plan au Québec et au Canada, la Banque soutient chaque année, sous forme de dons et commandites, des centaines d organismes canadiens. À ce titre, la Banque Nationale offre des programmes financiers conçus pour répondre aux besoins de divers professionnels du domaine de la santé depuis près de 10 ans et est partenaire de l Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec (OPTMQ) depuis Sur la photo (de gauche à droite) : Carmen Zakko, conseillère, Finances personnelles, succursale de Saint-Eustache; Julie Pombert, directrice, Programmes financiers et groupes d affinité; Ashley Pelletier-Simard, récipiendaire du concours; et Carla Constatin, directrice, Service à la clientèle, succursale de Saint-Eustache. 26 DÉCEMBRE 2014 LE LABEXPERT

26 Développement professionnel 5 heures de formation reconnues par l OPTMQ Au programme Du compteur cellulaire au frottis sanguin M. Yvon Bussière, spécialiste en sciences biologiques HMR Découvrez comment les règles de la validation et de décision de la FSC peuvent maximiser l efficience des ressources techniques. Pour l examen du frottis sanguin, la qualité passe sans contredit par la standardisation à tous les niveaux, de la confection jusqu à son interprétation finale. Nous vous partagerons l expérience HMR et CellaVision. La classification des leucémies aiguës et des hémopathies (FAB et WHO) Dre Julie Bergeron, hématologue HMR La classification WHO succédant à la classification FAB maintenant révolue pour le diagnostic des leucémies aiguës et des hémopathies malignes amène le morphologiste et le clinicien à porter un regard neuf sur l examen du frottis sanguin. Les principes de base de la cytométrie de flux Mme Franca Pulice, spécialiste en immunologie HMR Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la cytométrie de flux et n avez jamais osé demander; ses principes de base, l analyse en une ou plusieurs couleurs et les panels d anticorps. L amélioration et la standardisation de la cytométrie de flux clinique par le concept EuroFlow M. Rafik Terra, Ph.D. en immunologie HMR EuroFlow est un consortium scientifique qui a pour but d innover et de standardiser le diagnostic des néoplasies hématologiques par cytométrie de flux clinique. Ce concept est appliqué actuellement à l Hôpital Maisonneuve-Rosemont et aspire à améliorer la qualité des soins des patients. La cytogénétique : au cœur de la cellule les chromosomes parlent Mme Amélie Giguère, Ph.D. en cytogénétique HMR L apport de la cytogénétique dans le diagnostic, le pronostic et le choix de traitement pour les hémopathies malignes est maintenant indiscutable en hématologie. Découvrez ce que les chromosomes ont à raconter. 28 mars h30 à 15h00 Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Montréal Amphithéâtre J.A.-DeSève Symposium 2015 Mot du président AGENDA Les laboratoires d hématologie La morphologie cellulaire, la cytogénétique et l immunologie Le symposium des laboratoires d hématologie de l Hôpital Maisonneuve-Rosemont tenu en février 2014 fut un succès et c est avec enthousiasme que le comité organisateur relève le défi de renouveler l événement en Au coeur de nos discussions, la cellule dans tous ses états; de sa morphologie et des techniques pour la révéler, de son identité immunologique pour mieux la définir jusqu à son intimité nucléaire par l étude de ses chromosomes. Le symposium s adresse à tous les professionnels(les) œuvrant de près ou de loin dans les laboratoires de biologie médicale; professeurs(es), chercheurs(es), technologistes médicaux(les) ou toutes personnes intéressées de près ou de loin à la cellule. Mentionnons que ce symposium est rendu possible grâce à un soutien financier d un généreux donateur à la Fondation de l Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Nous avons hâte de vous accueillir dans notre pavillon de l enseignement pour une journée remplie d échanges enrichissants. Dr Lambert Busque Inscription (SVP en lettres moulées) Coût du symposium : 40.00$ non remboursable (inclus : goûter d accueil, les pauses-santé et le dîner) Payable par chèque seulement libellé à l ordre de : HMR - Symposium hématologie 2015 Nom : Prénom : Nom : Lieu de travail : Laboratoire : Adresse courriel (en lettres moulées) : OU Adresse personnelle (en lettres moulées) : Numéro civique et rue : Ville : Date limite d inscription 31 janvier 2015 Pour information : Monsieur Yvon Bussière poste 7805 ybussiere.hmr@ssss.gouv.qc.ca Code postal: Poster à : Hôpital Maisonneuve-Rosemont Secrétariat d hématologie, Pavillon Marcel-Lamoureux, sous-sol, porte 039 A/S : Madame Elisa Squires 5415 boulevard de l Assomption Montréal QC H1T 2M4 Les préinscriptions peuvent être acheminées par courriel à : esquires.hmr@ssss.gouv.qc.ca Télécopieur : Ce symposium est rendu possible grâce à un généreux donateur à la Fondation HMR. Nous le remercions de tout cœur! LE LABEXPERT DÉCEMBRE

27 Qu est-ce qu un ordre professionnel? Comment les ordres professionnels protègent-ils le public? Quelle est la contribution sociale et économique des ordres et des professionnels qui en sont membres? Le Conseil interprofessionnel du Québec et les 45 ordres professionnels répondent à vos questions. Questions?

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