Beyrouth, 25 mars 2013

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1 Beyrouth, 25 mars 2013 Lignes directrices sur l application du dialogue interreligieux dans le travail, le commerce international, la finance et l entreprenariat Projet pilote promu par l UCID (Union Chrétienne Entrepeneurs et Dirigeants) et par la COREIS (Communauté Religieuse Islamique) Italienne à la Bibliothèque Ambrosienne de Milan La prestigieuse Bibliothèque Ambrosienne de Milan a confirmé son «service universel» et «la passion pour les études orientales» instituées par son fondateur, le Cardinal Federico Borromeo, en accueillant au cours des dernières années une série de rencontres organisées par l UCID (Union Chrétienne Entrepreneurs et Dirigeants) et la COREIS (Communauté Religieuse Islamique) Italienne. En 2011, le Rabbin Sandro Di Castro de l UCEI (Union des Communautés Juives d Italie), le préfet Mgr Franco Buzzi et l imam Yahya Pallavicini ont inauguré ce parcours avec une réflexion publique sur le rôle de l éthique dans l économie pour le judaïsme, le christianisme et l islam. Des citations tirées de l encyclique papale «Caritas in Veritate» ont été commentées par les intervenants devant un public intéressé. A partir de 2012, une série de quatre rencontres thématiques a été initiée, réunissant chaque fois un expert chrétien et un expert musulman pour échanger sur le travail, le commerce international, la finance et l entreprenariat. Lors de la première et de la dernière rencontres, des orateurs de la France sont intervenus : Pierre Lecocq, administrateur de Inergy Automotive Systems et Président de l UNIAPAC (Union des Associations d Entrepreneurs Chrétiens) et AbdAllah Yahya Darolles, administrateur du cabinet JED et Vice-Président de l IHEI (Institut des Hautes Etudes Islamiques). Les intervants italiens des quatre rencontres ont été les suivants: sur le travail, Stefano Colli Lanzi (administrateur Gi Group) et Paolo Abd al-ghafur Masotti (ENI); sur le commerce international, Mario Boselli (président de la Chambre de la Mode de Milan) et Roberto Hamid Abd al-qadir Distefano (administrateur délégué Halal Italia); sur la finance, Paolo Cusmano (directeur Mit.Fin) et Giuseppe Mansur Abd al-hayy Baudo (Unipol); sur l entreprenariat, Alberto Bombassei (président Brembo) et Gianenrico Abd al-sabur Turrini (président Studio Meda). Outre les deux présidents, Franco Nava (UCID Milan) et shaykh Abd al-wahid Pallavicini (COREIS Italienne), de nombreux entrepreneurs, dirigeants, et professionnels chrétiens et musulmans ont participé à ces rencontres. Prendre conscience du contexte La crise du travail, de l économie et de la finance mondiale amène à prendre conscience d une crise profonde du monde moderne et de l homme qui tend à oublier les valeurs universelles et spirituelles de la religion. Les moyens et les occasions permettant à chacun de développer ses compétences et qualifications comme entrepreneur et comme travailleur dans les secteurs politique, commercial et des services risquent de devenir de l esclavage ou des idoles s ils prennent la place des finalités véritables et de la pratique des vertus dans la vie de tout croyant. Dans un monde globalisé, chercher à respecter les principes universels de la foi et leur déclinaison sur le plan des responsabilités temporelles constitue une occasion de dialogue, de coopération et de fraternité entre croyants. Nous reprenons ci-après certaines citations tirées du document de l Organisation Internationale du

2 Travail de Genève Decent Work and Social Justice in Religious Traditions, auquel ont contribué le Conseil Pontifical Justice et Paix, l ISESCO et la COREIS Italienne. Le travail dans la Tradition catholique Dans la doctrine catholique, le sens du travail découle du sens de la vie humaine. L homme et la femme sont appelés à collaborer avec Dieu et ont la responsabilité de la création, de la nature, de l environnement et de tout ce qui est «visible et invisible». Cette relation englobe toutes les activités humaines, de l agriculture à l industrie et des services à l administration publique. Cela a été réitéré par le pape Jean Paul II dans Laborem Exercens (LE): «Dans les paroles de la Révélation divine, on trouve très profondément inscrite cette vérité fondamentale que l homme, créé à l image de Dieu, participe par son travail à l oeuvre du Créateur, et continue en un certain sens, à la mesure de ses possibilités, à la développer et à la compléter, en progressant toujours davantage dans la découverte des ressources et des valeurs incluses dans l ensemble du monde créé.» (LE 25). Le travail apporte joie et satisfaction, mais aussi douleur et souffrance. «S il est vrai que l homme se nourrit du pain gagné par le travail de ses mains, c est-à-dire non seulement du pain quotidien qui maintient son corps en vie, mais aussi du pain de la science et du progrès, de la civilisation et de la culture, c est également une vérité permanente qu il se nourrit de ce pain en le gagnant à la sueur de son front, autrement dit par son effort et sa peine personnels, et aussi au milieu de multiples tensions, conflits et crises qui, en rapport avec la réalité du travail, bouleversent la vie de chaque société et même de toute l humanité.» (LE 4) La doctrine sociale catholique a toujours accordé une attention particulière aux conditions de travail et à la façon d intégrer les principes de justice dans le travail. La solution la plus appropriée pour ce faire consiste à faire attention à la dimension subjective du travail. La dimension objective subit des changements dramatiques au fil du temps, avec le développement et l expansion de la technologie, la production industrielle, le commerce et la communication. Cependant, «l homme est le sujet du travail», et ses actions doivent toutes servir à la réalisation de son humanité. C est pourquoi le travail n est pas et ne peut pas être traité comme une marchandise mais, comme le pape Jean-Paul II l a rappelé, le danger de traiter le travail comme une «marchandise», ou comme une «force anonyme», existe toujours. Enfin, une expression du sens du travail peut être trouvée dans le débat sur les salaires. La doctrine sociale de l Église a toujours insisté sur le fait qu un salaire équitable ne peut pas faire référence uniquement à la tâche accomplie. Le salaire doit garantir que le travailleur et sa famille vivent audessus du seuil de pauvreté et leur permettre de subvenir à leurs besoins en nourriture, logement et repos et d assumer ses responsabilités familiales, y compris l éducation des enfants. Le travail dans la Tradition islamique L équivalent arabe du mot «travail» est 'amal, un mot qui renvoie à une forme de culte au sens islamique large. Dans cette perspective, les rituels religieux de l Islam ne sont pas satisfaits uniquement par la prière, le jeûne et le pèlerinage, mais aussi par le travail loyal. Dans le Coran, nous lisons que «ceux qui auront cru et accompli de bonnes oeuvres, le Miséricordieux sera pour eux plein de sollicitude» (19/96). Plusieurs hadiths (paroles du prophète Muhammad) réitèrent ce point de vue. Le Prophète a dit: «Celui qui, à la fin de la journée, est épuisé par le travail de ses mains, reçoit le pardon divin» (Tabarani). Les musulmans ne sont donc pas encouragés à cesser de travailler et de gagner leur vie, même pour vénérer Dieu. Un autre équivalent arabe du mot «travail» est sun', «création et production artisanale». Dans la tradition islamique, il y a des différences significatives entre les actes de Dieu et ceux des êtres humains. Contrairement aux actes divins, les actes humains ne sont jamais une création ex nihilo, mais une transformation, parfois de façon créative: matière en matière, matière en énergie, énergie en matière ou énergie en énergie.

3 Par ailleurs, Dieu ne s attend pas à être récompensé. En revanche, le travail humain est motivé par la récompense et est effectué en échange d un salaire (appelé ajr en arabe), qui fournit les moyens de subsistance des travailleurs et de leurs familles. Le travail peut aussi inclure la charité gratuite, la bonté étant récompensée dans l au-delà. Dans la tradition islamique, le travail représente un effort et est considéré comme une charge positive, et non comme une charge négative. Toute activité est vue comme un travail si elle a un sens et est guidée par un but et réalisée d une manière légale. Toute activité nuisible est illégale, même si elle produit des richesses considérables. Synthèse des quatre rencontres Le Travail, s il n a pas pour seul objectif le succès et le gain matériel, est une occasion de se confronter à la réalité, de se connaître soi-même et de connaître son prochain. L épanouissement professionnel est complet seulement lorsque le travail est régi par des principes éthiques et spirituels, en se concentrant sur la valeur et sur la gestion de la personne en tant que telle et non comme simple outil de production. Le travail est sacrifice dans le sens étymologique du terme: rendre un service «sacré» parmi plusieurs personnes directement et indirectement impliquées, l entrepreneur, ses collaborateurs et les stakeholders de l entreprise. C est la production pratique d un service utile à la collectivité qui doit être inspiré par une intention qui va au-delà de l action ou du résultat extérieur, et qui donne toute leur noblesse aux efforts nécessaires accomplis pour atteindre un but supérieur, à travers la mise en pratique d un service professionnel. Le Commerce correspond au lancement et à l exercice d une activité d échange de biens et services, mais aussi de relations interculturelles et interreligieuses au niveau local, national ou international. La globalisation et la libre concurrence dans le commerce représentent un défi pour l homme pour «rivaliser dans les bonnes œuvres» et saisir l occasion de rencontres et d échanges entre personnes de différentes cultures et religions, et mettre à l épreuve les qualités de fiabilité et d honnêteté dans la gestion correcte de son produit ou service. Si l Europe veut se tourner vers les marchés orientaux et moyen-orientaux, et inversement, cela ne peut se faire sans intention de connaissance et de compréhension de la réalité. Il faut respecter les croyants et les différentes sensibilités, en proposant des biens et des services qui ne soient pas contraire aux exigences religieuses et rituelles des divers acteurs, que ceux-ci soient juifs, chrétiens, musulmans ou autres, voire non croyants. Il faut également apprendre à ne pas confondre l exigence de cette sensibilité et ce respect de la dimension sacrée avec ses contrefaçons comme, par exemple, ce que nous pourrions appeler l instrumentalisation des symboles religieux à des fins mercantiles. Le commerce international, s il représente donc une base importante pour favoriser la croissance culturelle et civile de la communauté islamique européenne, constitue également un instrument utile pour soutenir le développement interreligieux et interculturel des citoyens d Europe qui se reconnaissent dans une orientation religieuse ou dans la perspective largement répandue de la sécularisation contemporaine. La Finance est l occasion de respecter la valeur, même symbolique, de l argent dans la gestion du capital pour soutenir une entreprise et donc respecter la valeur du travail. Il faut valoriser le rôle de la finance comme instrument, en reconnaissant le bien inhérent à la richesse et en soulignant le fait

4 que la pauvreté n est pas un mal: ce qui est mal, c est l avidité des biens matériels et la misère spirituelle. Par ailleurs, la finance islamique, dont le volume d affaires représente près de deux pour cent du volume global, apparaît comme une réalité nouvelle, destinée à devenir de plus en plus visible. La conception propre à la finance islamique, comparée à la mentalité occidentale qui prévaut à l époque moderne, sera sûrement fondamentale pour dépasser la crise économique en Europe. L esprit d entreprise dans le Management et dans l Entreprenariat consiste à assumer une responsabilité, c est un comportement mental qui s oppose à l assistancialisme et à la passivité. L entrepreneur doit toujours savoir étudier des synergies de travail fiables à l intérieur comme à l extérieur de l entreprise, en utilisant les ressources, non seulement humaines, qui sont présentes sur son territoire. Le regard de l entrepreneur doit pouvoir embrasser les horizons de pays différents du sien, et donc savoir investir dans la communication avec une attention culturelle nouvelle par rapport à ses propres standards. L action économique, le projet opérationnel, «l entreprise» amorce une dynamique qui permet la circulation de ressources financières selon une perspective éthique appliquée à la réalité commerciale, en fournissant une grille d évaluation des projets basés sur l économie réelle. Entreprendre est une responsabilité qui concerne différents niveaux étendus à toute la filière commerciale: le rapport entre entrepreneur-financeur et le mandataire ou société, qui met en œuvre l activité professionnelle, les salariés, les fournisseurs, et enfin le marché qui fait fructifier le produit ou le service. La dimension éthique qui sous-tend la filière commerciale élargit un bénéfice général qui se rapporte toujours aux principes de légitimité, de clarté, de «bien réel» et concret. Conclusions Les rencontres qui se sont tenues ont amené principalement à une nouvelle vision de la responsabilité d entreprise tendant à établir la centralité de l homme religieux, dont l initiative d entreprendre oriente l identification de stakeholders, c est-à-dire tous ces sujets à l égard desquels les entreprises doivent être responsables. Toutefois, la responsabilité fondamentale est celle de reconnaître que le premier porteur d intérêt est l homme lui-même, conçu dans son statut «spirituel» dont dépend la «valeur» de l entreprise et de sa retombée «publique». La méconnaissance de cette responsabilité par l entrepreneur, celle d être principalement le «porteur d un intérêt spirituel», renverse le concept même de profit, d intérêt général, de relation publique et de retombée sociale, en s exposant au risque d un échec réel sur le plan du profit et de la réussite économique. Le scénario dramatique de la situation économique et financière actuelle montre qu il est nécessaire de retrouver un véritable entreprenariat où il ne sera pas utopique, mais actuel et réel, d unir profit et considération authentique de l homme. Il sera fondamental de lancer une formation à la réorientation, à la reconversion constante, dans laquelle les stakeholders ne sont plus vus comme sujets passifs de l activité d entreprise mais sujets actifs qui participent collégialement avec l entreprise au processus de l activité économique, et en bénéficient par conséquent par le biais d une rémunération plus équitable. L opportunité, aujourd hui, est de constituer un réseau d entrepreneurs et dirigeants, représentants politiques et financiers, partageant une vision «éclairée» de l entreprise, et qui puissent, à partir de cette optique «réorientée», mettre à profit des opportunités et complémentarités professionnelles. Les investissements peuvent être placés dans la capitalisation ou participation sociétaire à l excellence made in Italy ou Europe, dans la valorisation des fonds immobiliers et d assets significatifs, ou dans la promotion des sociétés occidentales dans l exportation de leurs produits aux nouveaux marchés en Occident et en Orient.

5 Cette vision partagée, dans le travail lancé à Milan par la COREIS et l UCID, constitue la première étape d une formation à l entreprise centrée sur une perspective éthique, d économie réelle, et de responsabilité active du travail. Notre proposition est que le meeting de l UNIAPAC de Beyrouth 2013 soit le début d un parcours dont les résultats opérationnels pourront être recueillis déjà l année prochaine, en 2014, dans une nouvelle rencontre à Milan, en attendant l EXPO Nous devrons savoir nous préparer à saisir une nouvelle valeur de l entreprise, laquelle, avant même de se traduire en termes de ressources, d actions, de compétences professionnelles et d infrastructures, devra se fonder sur la responsabilité spirituelle renouvelée de l entrepreneur.

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