SOMMEIL ET NUTRITION : APPROCHE CHRONOBIOLOGIQUE PAR LES RYTHMES HORMONAUX
|
|
- Abel Leblanc
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 45 ème J.A.N.D. 28 janvier 2005 SOMMEIL ET NUTRITION : APPROCHE CHRONOBIOLOGIQUE PAR LES RYTHMES HORMONAUX E. Challet Laboratoire de Neurobiologie des Rythmes CNRS UMR Université Louis Pasteur, 12, rue de l Université Strasbourg
2 Résumé Les noyaux suprachiasmatiques, site de notre horloge circadienne principale, modulent le sommeil et la prise alimentaire de telle sorte que l un et l autre ne surviennent pas aux mêmes moments du cycle journalier. Les rythmes hormonaux sont influencés, certains plus que d autres, par le sommeil et/ou l horloge suprachiasmatique. Des changements radicaux de l homéostasie du sommeil (par ex., privation) ou de l apport calorique (par ex., restriction) influent sur le fonctionnement de l horloge suprachiasmatique et les rythmes hormonaux. De plus, une désynchronisation chronique retentit sur le sommeil et peut provoquer des altérations métaboliques. Les interactions entre rythmicité circadienne, homéostasie veille-sommeil et prise alimentaire sont donc multiples et réciproques, et leur dérèglement a des conséquences pathogènes sur notre physiologie quotidienne. 1
3 De multiples aspects de notre physiologie varient en fonction de l heure du jour. L un des exemples les plus apparents est le cycle veille-sommeil. De nombreuses autres variables biologiques présentent également une organisation rythmique à l échelle des 24 h; il s agit notamment de la prise alimentaire ou encore de la température corporelle. La plupart de ces variations biologiques journalières sont générées par une horloge interne. Chez les mammifères, l horloge interne principale est localisée dans le cerveau, à la base de l hypothalamus, plus précisément dans les noyaux suprachiasmatiques. L horloge suprachiasmatique joue un rôle primordial dans l organisation temporelle globale de l organisme, en particulier par la synchronisation d oscillateurs périphériques présents notamment dans le foie (1). Le cycle lumière-obscurité est le facteur synchroniseur le plus puissant de l horloge suprachiasmatique. La photothérapie, qui consiste à exposer les sujets à des lumières de très forte intensité, peut être utilisée à des fins biomédicales pour soigner les troubles du sommeil, synchroniser les travailleurs de nuit ou en horaires tournants, traiter certaines formes de dépressions saisonnières (2). D autres facteurs que la lumière, dits facteurs non-photiques, participent à la synchronisation de l horloge suprachiasmatique et/ou des oscillateurs périphériques. Bien qu elles soient de diverse nature, les variables affectant l homéostasie du sommeil (par exemple, privation de sommeil) ou de la prise alimentaire (par exemple, faible disponibilité alimentaire) sont parmi les facteurs non-photiques les mieux caractérisés. Autrement dit, le cycle veille-sommeil et la prise alimentaire sont régulés à la fois par des processus homéostatiques et circadiens. Ainsi, les relations entre sommeil et prise alimentaire sont modulées par la fonction circadienne. Cependant, l état de veille-sommeil, d une part, et les facteurs nutritionnels, d'autre part, peuvent rétroagir à leur tour sur le système circadien (Fig. 1). Rétine Noyaux Suprachiasmatiques Cycle Veille-Sommeil Prise alimentaire Figure 1 : Représentation schématique des interactions entre sommeil, prise alimentaire et horloge circadienne (noyaux suprachiasmatiques). 2
4 Influence du sommeil et de l horloge suprachiasmatique sur les rythmes hormonaux La plupart des hormones sont sécrétées d une manière rythmique. Des facteurs circadiens et l état de veille-sommeil interagissent pour contrôler ces rythmes hormonaux. Le sommeil agit sur la sécrétion de plusieurs hormones, comme la prolactine et l hormone de croissance (GH). Les pics de sécrétion de prolactine et de GH sont corrélés positivement aux ondes lentes de l activité électro-encéphalographique (caractérisant le sommeil profond et survenant en majorité en début de nuit). La sécrétion journalière de GH dépend largement du premier épisode de sommeil lent en début de nuit (3). La sécrétion nocturne de thyrotropine (TSH) est fortement influencée à la fois par le sommeil (ou sa privation) et l horloge suprachiasmatique (4). D autres rythmes hormonaux, comme la mélatonine et le cortisol, sont plus directement contrôlés par l horloge suprachiasmatique (5). La mélatonine, synthétisée dans la glande pinéale, a la particularité d être sécrétée uniquement durant la période nocturne. Cette sécrétion rythmique peut donc véhiculer des signaux circadiens aux structures-cibles de l organisme. La sécrétion nocturne de mélatonine est sous le contrôle étroit des noyaux suaprachiasmatiques (6,7) ; elle est ainsi utilisée couramment comme marqueur de la phase de l horloge suprachiasmatique, sous réserve que la synthèse de mélatonine endogène ne soit pas inhibée par une exposition à la lumière (7). Chez l humain, la mélatonine exogène a un effet légèrement sédatif et permet non seulement de traiter certains troubles du sommeil (6-8), mais aussi d accélérer la resynchronisation après un voyage transméridien (6-7). Le cortisol (et les corticostéroïdes en général) est sécrété par les glandes surrénales juste avant l heure habituelle de réveil et durant les premières heures de la phase active. Si le cortisol peut lui aussi transmettre des signaux temporels à des tissus-cibles, sa sécrétion est aussi stimulée par des situations de stress et d exercice physique, indépendamment de la régulation circadienne. Ainsi, le suivi des profils hormonaux journaliers fournit des informations relatives à l organisation temporelle en général des sujets étudiés. Des anomalies plus ou moins marquées de ces profils hormonaux permettent donc d évaluer des perturbations circadiennes telles qu elles peuvent survenir lors du vieillissement et chez des travailleurs de nuit ou en horaires tournants. Conséquences nutritionnelles et circadiennes d une privation de sommeil De prime abord, le sommeil peut apparaître simplement comme un état de repos. Il constitue néanmoins un état physiologique complexe, caractérisé par différentes phases de sommeil profond (ondes lentes électro-encéphalographiques) et de sommeil paradoxal (REM pour rapid-eye movement, à ondes rapides). Même si son rôle n'est pas encore parfaitement identifié, le sommeil est nécessaire à la survie de l organisme. Chez l animal, une privation totale de sommeil est léthale à moyen terme (9). Une privation de sommeil de courte durée ou chronique est néanmoins une pratique expérimentale courante pour faire varier l aspect homéostatique du sommeil. En effet, la durée du sommeil de récupération est corrélée à la durée de la privation. La privation de sommeil est une situation associée à une forte dépense énergétique, conduisant à une balance énergétique négative en conditions chroniques (9). Chez l humain, une privation partielle de sommeil pendant 6 nuits consécutives est suffisante pour provoquer une moins bonne tolérance au glucose, une baisse de la TSH et une augmentation du cortisol en fin de journée (10). L effet synchroniseur (c est-à-dire de remise à l heure) de la lumière sur l horloge suprachiasmatique est basé sur des déphasages qui surviennent d un jour sur l'autre en présence d un cycle lumière-obscurité (1). Parallèlement à son impact sur le métabolisme et les sécrétions 3
5 hormonales, un manque de sommeil agit également sur l horloge suprachiasmatique en réduisant les déphasages induits par la lumière (Fig. 2). Cette réduction n est plus détectable si la privation de sommeil est associée à une administration de glucose (11). Déphasages (h) Privation de sommeil Témoin Lumière Obscurité Figure 2 : Chez des souris maintenues à l obscurité, la privation de sommeil réduit les déphasages du rythme circadien d activité-repos provoqués par un créneau de lumière (100 lux pendant 10 min) appliqué en début de période d activité («Lumière»). Les souris maintenues en obscurité permanente (pas d exposition à la lumière), qu elles soient témoins ou privées de sommeil, ne présentent pas de déphasages significatifs («Obscurité»). D après (11). Conséquences d une restriction alimentaire sur le cycle veille-sommeil et le système circadien La prise alimentaire spontanée présente une rythmicité journalière en opposition de phase à celle du sommeil. Lorsque la nourriture est disponible à volonté, l organisation temporelle des grandes fonctions et des oscillations dans les organes périphériques dépend à la fois de signaux temporels (nerveux et hormonaux) distribués par l horloge suprachiasmatique et d autres facteurs, comme la prise alimentaire. Chez les rongeurs nocturnes, un accès limité à la nourriture pendant la période de repos (c està-dire, de jour) est un puissant synchroniseur des oscillations des tissus périphériques, comme le foie (12,13). Les décalages de phase des oscillations hépatiques en réponse à un accès diurne à la nourriture n affectent pas le fonctionnement des noyaux suprachiasmatiques et peuvent même persister lorsque ceux-ci sont lésés (13). Ces données indiquent ainsi que les processus de synchronisation alimentaire des organes périphériques ne sont pas dépendants de l horloge suprachiasmatique. Chez l humain également, des altérations dans l expression des rythmes journaliers ont été constatées lorsque les prises alimentaire et hydrique sont limitées à la période de repos (de nuit, dans ce cas), comme cela se fait pendant le Ramadan (14). Ces altérations concernent en particulier un décalage de phase important du rythme journalier de glycémie, décalage qui pourrait résulter d'un effet direct sur le foie. De plus, un unique repas riche en glucides pris le matin ou le soir modifie la phase du rythme de température corporelle (effets périphériques?), mais n entraîne pas de changement significatif du rythme de mélatonine, suggérant que cette restriction alimentaire temporelle n a pas de propriété synchronisatrice suffisante pour modifier la phase de l horloge suprachiasmatique (15). 4
6 Rythme de synthèse de mélatonine Mélatonine (ng/pinéale) Ad libitum Nourrissage hypocalorique Jour Nuit Temps (h) Figure 3 : Avance de phase du rythme circadien de sécrétion de mélatonine chez des rats exposés à un cycle lumière-obscurité et nourris avec seulement une ration hypocalorique quotidienne (flèche verticale) comparés à des rats ayant un accès ad libitum à la nourriture. D après (16). Chez l animal cependant, contrairement à la restriction alimentaire temporelle évoquée ci-dessus, un nourrissage hypocalorique diurne est un synchroniseur suffisamment efficace pour modifier la synchronisation des noyaux suprachiasmatiques par la lumière, en provoquant une avance de phase des rythmes de synthèse de mélatonine (Fig. 3) et du cycle veille-sommeil (Fig. 4). Autrement dit, une restriction calorique conduit à un changement d organisation temporelle du cycle veille-sommeil: les animaux nocturnes présentent alors une activité partiellement diurne (16-17). La privation de nourriture s'accompagne d une augmentation de la veille et d une réduction du sommeil aussi bien paradoxal que lent (18). Rythme d activité-repos Nourriture ad libitum Nourrissage hypocalorique (une ration par jour) Activité (Tours de roue) Jour Nuit Jour Nuit Temps (h) Temps (h) Figure 4 : A gauche, rythme d activité-repos chez des rats exposés à un cycle lumière-obscurité et nourris ad libitum. A droite, avance de phase de ce rythme quand les animaux ont un nourrissage hypocalorique quotidien, fourni de jour (flèche verticale). D après [16,17]. 5
7 Conséquences d une désynchronisation sur le métabolisme et le sommeil Chez des personnes travaillant de nuit, les paramètres des rythmes de glycémie et d insuline sont altérés et il en est de même pour la corrélation entre ces deux variables (19,20). Après une inversion du cycle veille-sommeil, un déphasage a été noté pour d autres rythmes hormonaux: TSH, cortisol et mélatonine (21). En outre, la structure du sommeil (diurne) est perturbée et la somnolence nocturne est fréquente (22). Des animaux soumis à une inversion chronique du cycle lumière-obscurité présentent une désynchronisation du rythme veille-sommeil. De plus, la régulation de l insuline est perturbée par rapport à des témoins maintenus en cycle lumière-obscurité normal (23). Par ailleurs, une surcharge lipidique se traduit fréquemment par de légères modifications de l organisation temporelle du cycle veille-sommeil (24-26). Cependant, chez l animal, la surcharge lipidique causée par un régime riche en graisse saturée n est pas augmentée par une désynchronisation du cycle veille-sommeil. En conclusion, les relations entre sommeil, prise alimentaire et horloge circadienne sont complexes. Les exemples évoqués révèlent la plasticité des interactions existant entre ces trois facteurs, leur contribution respective pouvant varier grandement en fonction des circonstances. A l heure actuelle, ces interactions sont encore peu explorées. Une meilleure connaissance des mécanismes impliqués permettrait de proposer de nouveaux traitements, notamment nutritionnels, avec un contrôle temporel de leur administration pour prévenir ou corriger les dysfonctionnements circadiens et les troubles du sommeil observés chez un nombre sans cesse croissant d individus (vieillissement, travail en horaire tournant, travail de nuit, ). Bibliographie 1. Lowrey P.L., Takahashi J.S. - Mammalian circadian biology: elucidating genome-wide levels of temporal organization. Annu. Rev. Genomics Hum. Genet., 2004, 5, Rosa R.R., Bonnet M.H., Bootzin R.R., Eastman C.I., Penn P.E., Tepas D.I., Walsh J.K. - Intervention factors for promoting adjustement to nightwork and shiftwork. Occupat. Med., 1990, 5, Van Cauter E., Plat L., Copinschi G. - Interrelations between sleep and the somatotropic axis. Sleep, 1998, 21, Gronfier C., Brandenberger G. - Ultradian rhythms in pituitary and adrenal hormones: their relations to sleep. Sleep Med. Rev., 1998, 2, Weibel L., Brandenberger G. - The start of the quiescent period of cortisol remains phase locked to the melatonin onset despite circadian phase alterations in humans working the night schedule. Neurosci. Lett., 2002, 318, Skene D.J., Lockley S.W., Arendt J. - Use of melatonin in the treatment of phase shift and sleep disorders. Adv. Exp. Med. Biol., 1999, 467, Cajochen C., Kräuchi K., Wirz-Justice A. - Role of melatonin in the regulation of human circadian rhythms and sleep. J. Neuroendocrinol., 2003, 15, Jan J.E., Espezel H., Appleton R.E. - The treatment of sleep disorders with melatonin. Dev. Med. Child. Neurol., 1994, 36, Everson C.A. - Functional consequences of sustained sleep deprivation in the rat. Behav. Brain Res., 1995, 69, Spiegel K., Leproult R., Van Cauter E. - Impact of a sleep debt on metabolic and endocrine function. Lancet, 1999, 354,
8 11. Challet E., Turek F.W., Laute M.A., Van Reeth O. - Sleep deprivation decreases phase-shift responses of circadian rhythms to light in the mouse: role of serotonergic and metabolic signals. Brain Res., 2001, 909, Damiola F., Le Minh N., Preitner N., Kornmann B., Fleury-Olela F., Schibler U. - Restricted feeding uncouples circadian oscillators in peripheral tissues from the central pacemaker in the suprachiasmatic nucleus. Genes Dev., 2000, 14, Hara R., Wan K., Wakamatsu H., Aida R., Moriya T., Akiyama M., Shibata S. - Restricted feeding entrains liver clock without participation of the suprachiasmatic nucleus. Genes Cells, 2001, 6, Iraki L., Bogdan A., Hakkou F., Amrani N., Abkari A., Touitou Y. - Ramadan diet restrictions modify the circadian time structure in humans. A study on plasma gastrin, insulin, glucose, and calcium and on gastric ph. J. Clin. Endocrinol. Metab., 1997, 82, Kräuchi K., Cajochen C., Werth E., Wirz-Justice A. - Alteration of internal circadian phase relationships after morning versus evening carbohydrate-rich meals in humans. J. Biol. Rhythms, 2002, 17, Challet E., Pévet P., Vivien-Roels B., Malan A. - Phase-advanced daily rhythms of melatonin, body temperature, locomotor activity in food-restricted rats fed during daytime. J. Biol. Rhythms, 1997, 12, Challet E., Solberg L.C., Turek F.W. - Entrainment in calorie-restricted mice: conflicting zeitgebers and free-running conditions. Am. J. Physiol., 1998, 274, R Dewasmes G., Duchamp C., Minaire Y. - Sleep changes in fasting rats. Physiol. Behav., 1989, 46, Simon C., Weibel L., Brandenberger G. - Twenty-four-hour rhythms of plasma glucose and insulin secretion rate in regular night workers. Am. J. Physiol., 2000, 278, E Qin L.Q., Li J., Wang Y., Wang J., Xu J.Y., Kaneko T. - The effects of nocturnal life on endocrine circadian patterns in healthy adults. Life Sci., 2003, 73, Goichot B., Weibel L., Chapotot F., Gronfier C., Piquard F., Brandenberger G. - Effect of the shift of the sleep-wake cycle on three robust endocrine markers of the circadian clock. Am. J. Physiol., 1998, 275, E Akerstedt T., Torsvall L., Gillberg M. - Sleepiness in shiftwork. A review with emphasis on continuous monitoring of EEG and EOG. Chronobiol. Int., 1987, 4, Bartol-Munier I., Gourmelen S., Pévet P., Challet E. - Combined effects of high-fat feeding and circadian desynchronization. Soumis, Fukagawa K., Sakata T., Yoshimatsu H., Fujimoto K., Uchimura K., Asano C. - Advance shift of feeding circadian rhythm induced by obesity progression in Zucker rats. Am. J. Physiol., 1992, 263, R Van Cauter E., Polonsky K. S., Scheen A. J. - Roles of circadian rhythmicity and sleep in human glucose regulation. Endocrine Rev., 1997, 18, Mistlberger R.E., Lukman H., Nadeau B.G. - Circadian rhythms in the Zucker obese rat: Assessment and intervention. Appetite, 1998, 30,
9 ERRATUM fig 2 Chez des souris maintenues à l obscurité, la privation de sommeil réduit les déphasages du rythme circadien d activité-repos provoqués par un créneau de lumière (100 lux pendant 10 min) appliqué en début de période d activité («Lumière»). Les souris maintenues en obscurité permanente (pas d'exposition à la lumière), qu elles soient témoins ou privées de sommeil, ne présentent pas de déphasages significatifs («Obscurité»). D après [11].
Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailEn cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour.
ORIGINES Saviez-vous que les astronautes séjournant à bord de la Station Spatiale Internationale voient le soleil se lever et se coucher toutes les 90 minutes? Oui. 16 fois par jour de quoi avoir du mal
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détail«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes
Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Introduction Les troubles du sommeil et de la vigilance interviennent de façon importante dans le monde du travail et notamment dans le travail à horaires
Plus en détailLA LUMIERE DYNAMIQUE DESORMAIS A LA PORTEE DE TOUS
Lumière dynamique LA LUMIERE DYNAMIQUE DESORMAIS A LA PORTEE DE TOUS L apport de dynamique dans l intensité, la couleur et la répartition de la lumière (artificielle) a de nombreuses applications. Vous
Plus en détailDésynchronisation de l'horloge interne, lumière et mélatonine
Désynchronisation de l'horloge interne, lumière et mélatonine Yvan TOUITOU Unité de Chronobiologie, Fondation A. de Rothschild, 25 rue Manin, 75019-Paris. RESUME L horloge interne est synchronisée par
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailparis descartes le sommeil le 16 mars!
de l université paris descartes LE SOMMEIL Qu est-ce que le sommeil? Sommeil et culture Les 10 règles du sommeil Bien dormir pour bien réussir La sieste au travail La journée du sommeil : le 16 mars! ÉDITO
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailA. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg
Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailSOMMEIL ET TRAVAIL 6
6 SOMMEIL ET TRAVAIL AVANT-PROPOS En médecine du travail, 20 à 40% des salariés se plaignent de leur sommeil avec pour principale conséquence la somnolence et son corolaire la baisse de vigilance. Les
Plus en détailCet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l INSERM dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux
Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l INSERM dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées par la CANAM (Caisse nationale d assurance
Plus en détailXavier ESTRUCH, Cours de Maîtrise STAPS, février 2003
Applications de la chronobiologie à la planification des cours et aux rythmes scolaires. Revue de la littérature. Xavier ESTRUCH*, Denis THEUNYNCK* *Recherche Littorale en Activités Corporelles et Sportives,
Plus en détailMadame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.
Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE
LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailObésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention. PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV
Obésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV Menu du jour Épidémie de l obésité chez l enfant Epidémiologie Facteurs
Plus en détailPOLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE
POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailRAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL :
RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : Notre besoin de sommeil est rythmé comme une horloge (rythme chronobiologique ). Ce rythme nous impose des périodes de veille et de sommeil qui alternent au cours
Plus en détailUnité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL o p t i o n 5 Ergonomie
Plus en détailVIVAGO WELLNESS DOSSIER DE PRESSE
VIVAGO WELLNESS DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : 01.43.03.03.67 Didier Jardin 06.60.32.56.87 Olivier Bessières 06.65.51.32.99 Documentations et photographies disponibles sur demande. Espace Presse sur
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détaildmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès
dmt TD notes de congrès 168 Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 L Institut national de médecine agricole (INMA), situé à Tours, a organisé un colloque sur le thème «Sommeil et rythme de
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailTable des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...
Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailL ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.
L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détailMarseille 21 > 23. Novembre
Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailDiplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours
Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours Santé Publique Santé Travail Travail d Application Tutoré année 2010 Quatrième
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailLe sommeil Des milliards de neurones en activité
Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailComment Améliorer le sommeil des patients en Réanimation?
Comment Améliorer le sommeil des patients en Réanimation? Sophie Cayot-Constantin, Jean-Michel Constantin Service de Réanimation Adulte, CHU Estaing, Clermont-Ferrand. Service de réanimation adulte et
Plus en détailGina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!
Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailPrévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP
Prévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP Les facteurs de pénibilité applicables au 1 er janvier 2015 T R A V A I L D E N U I T T R A V A I L E N É Q U I P E S S U C C E S S I V
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailLa gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies
U S D Union Sports & Diabète La gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies Journées nationales des diabétiques qui bougent, Vichy 17-18-19 mai 2013 Docteur Muriel TSCHUDNOWSKY
Plus en détailLe rôle des émotions et de la motivation dans la stratégie de régulation de l allure:
Le rôle des émotions et de la motivation dans la stratégie de régulation de l allure: Les auteurs emploient parfois le terme de sensation, parfois d émotion. Les nuances entre ces notions sont subtiles
Plus en détailRôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue entre structures cérébrales
Laboratoire Neurobiologie des Processus adaptatifs, UMR 7102, Université Pierre et Marie Curie Ecole Thématique CNRS, Berder 7 avril 2011 Rôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailLe bien - être connecté enfin accessible à tous
INFORMATION PRESSE NOUVEAU Le bien - être connecté enfin accessible à tous Surveiller sa forme et son activité physique, améliorer son sommeil ou apprendre à gérer son stress sont autant de préoccupations
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sante@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailThierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea.
Thierry DELZESCAUX «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France Thierry.Delzescaux@cea.fr Thierry DELZESCAUX Ingénieur chercheur CEA Experience Since 2008:
Plus en détailPrise en charge des troubles du sommeil chez la femme enceinte à l issue d une demande spontanée : intérêt du conseil officinal
Année universitaire 2012-2013 THÈSE pour le DIPLÔME D'ÉTAT DE DOCTEUR EN PHARMACIE par Julie TAILLEZ née le 19 novembre 1988 à Senlis (60) ---------------- soutenue publiquement le 13 novembre 2013 ----------------
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailManuel des réglementeurs
Doc 9966 Systèmes de gestion des risques de fatigue Manuel des réglementeurs Édition de 2012 Publié séparément en ligne, en français, en anglais, en arabe, en chinois, en espagnol et en russe par l ORGANISATION
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A
MANAGEMENT DE L SONORE WWW.ACOUPHEN-.COM CONTACT@ACOUPHEN-.COM SIEGE SOCIAL LYON CAMPUS DE LA DOUA 66, BD NIELS BOHR B.P. 52132 69603 VILLEURBANNE CEDEX TEL / 33 (0)4 72 69 01 22 FAX / 33 (0)4 72 44 04
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailFaites marcher votre cerveau, il a besoin d exercice!
L aide d aujourd hui. L espoir de demain... MD Faites marcher votre cerveau, il a besoin d exercice! Ce qu il faut savoir sur la santé du cerveau, l Alzheimer et les maladies apparentées Votre cerveau
Plus en détailBemer assure son avance par la recherche. L importance de la microcirculation. bemer-sets :: Pro & Classic.
:: know-how :: technology :: technology www.bemergroup.com :: know-how www.bemergroup.com L importance de la microcirculation. La microcirculation a lieu au sein de l immense et fin réseau des microvaisseaux
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPolitique du sommeil
Politique du sommeil Centre de la Petite Enfance Beauce-Sartigan Politique du sommeil Novembre 2012 Objectif; L objectif de cette politique est de guider le personnel éducateur et d informer les parents
Plus en détailThe Dream by Henri Matisse Approche cognitive du sommeil et du rêve : Thérapie cognitivo-comportementale dans Les insomnies chroniques primaires
The Dream by Henri Matisse Approche cognitive du sommeil et du rêve : Thérapie cognitivo-comportementale dans Les insomnies chroniques primaires Université Victor Segalen Bordeaux 2 Laboratoire de physiologie
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailBesoin de dormir et de se reposer
BACHELIER EN SOINS INFIRMIERS 1 re Année Année académique 2013-2014 Soins infirmiers généraux et exercices Besoin de dormir et de se reposer Auteur : Titulaire : M.J. Tichon V. Struelens M.J. Tichon Institut
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailSystème intégré. Prévenir, aider et sécuriser.
Système intégré. Prévenir, aider et sécuriser. IST International Security Technology Une technologie avancée au service de votre bien-être IST International Security Technology est une entreprise finlandaise
Plus en détailTroubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble
Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 22 juillet 2011 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la pertinence des travaux menés par
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détail