Conseil exécutif Cent soixante-dix-septième session

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1 Conseil exécutif Cent soixante-dix-septième session 177 EX/INF.10 EX/00 PARIS, le 28 septembre 2007 Anglais et français seulement Point 4 de l'ordre du jour provisoire RAPPORT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL SUR L EXÉCUTION DU PROGRAMME ADOPTÉ PAR LA CONFÉRENCE GÉNÉRALE RAPPORT D ÉTAPE SUR LA PARTICIPATION DE L UNESCO AUX PROCESSUS DE RÉFORME DES NATIONS UNIES, EN PARTICULIER AU NIVEAU DES PAYS Résumé Le processus complexe de la réforme des Nations Unies demeure au premier rang des préoccupations de la quasi-totalité des organismes du système des Nations Unies. Bien des initiatives de réforme sont déjà en cours de mise en œuvre au niveau des pays à la demande des États membres. C est en effet là que se situe l axe principal de la réforme des Nations Unies. Cohérence, efficacité et exécution accrue de haute qualité, tels sont les objectifs principaux de ces efforts. Ils auront nécessairement un impact majeur sur l action de l UNESCO aux niveaux mondial, régional et national. Le présent document fait le point sur l état d avancement de la réforme des Nations Unies, ainsi que sur la place de l UNESCO et son implication dans ce processus, en accordant une attention particulière aux activités pilotes menées autour du concept «d Unité d action». Aucune décision requise.

2 177 EX/INF.10 I. INTRODUCTION 1. Les processus de réforme des Nations Unies sont au premier rang des préoccupations de tous les organismes du système des Nations Unies. L action au niveau des pays est l axe principal de cette réforme. Cohérence, efficacité et exécution accrue de haute qualité, tels sont les objectifs primordiaux des diverses initiatives. Celles-ci auront nécessairement des effets majeurs sur l action de l UNESCO aux niveaux mondial, régional et national. Le présent document fait le point de l état d avancement de la réforme des Nations Unies, ainsi que de la place de l UNESCO et de son implication dans ce processus, en accordant une attention particulière aux activités pilotes menées autour du concept «d Unité d action». 2. L UNESCO est convaincue que la réforme revêt une importance cruciale, non comme une fin en soi, mais pour renforcer la pertinence, la cohérence, l efficience et l efficacité des Nations Unies et de leur action au service à la fois des priorités nationales de développement et des objectifs de développement convenus au niveau international, notamment des OMD. Au cours des deux dernières années, le Directeur général a fait part au Conseil exécutif à chacune de ses sessions et lors des réunions d information pour le Conseil et des réunions informelles tenues avec les délégués permanents, de sa vision de la réforme des Nations Unies fondée sur une adhésion totale aux objectifs de cette réforme, en particulier pour ce qui concerne une cohérence accrue à l échelle du système aux niveaux mondial et régional et «l Unité d action» au niveau des pays pour répondre aux priorités nationales. La cohérence doit être assurée à tous les niveaux : intergouvernemental, interinstitutions, national et au sein de chaque organisme, ainsi que verticalement entre les donateurs. Il ne peut y avoir «d Unité d action» au niveau national sans l engagement solide et l adhésion totale du gouvernement concerné, sans le plein appui de la communauté des donateurs et sans la participation efficace, axée sur les résultats, de tous les organismes des Nations Unies, qu ils aient ou non une présence permanente dans le pays concerné. 3. Dans le cadre de la réforme des Nations Unies, les huit activités pilotes menées autour du concept «d Unité d action» depuis janvier 2007 en Albanie, au Cap-Vert, au Mozambique, au Pakistan, au Rwanda, en Tanzanie, en Uruguay et au Viet Nam, à la demande des chefs d État ou de gouvernement de ces pays, retiennent particulièrement l attention. Fondées sur les dispositions de la résolution 59/250 que l Assemblée générale des Nations Unies a adoptée par consensus en 2004 au sujet de l Examen triennal complet des activités opérationnelles de développement du système des Nations Unies, ces activités pilotes visent à permettre l élaboration et la mise en œuvre de quatre éléments de «l Unité d action» au niveau national qui, par ordre d importance et de mise en oeuvre, sont les suivants : Un plan/programme unique en tant que document de programmation commun des organismes du système des Nations Unies pour le pays, s appuyant sur un choix stratégique des éléments de programme à mettre en œuvre, dans la mesure du possible, grâce à la programmation commune de plusieurs organisations. Un cadre budgétaire unique chiffrant de manière transparente, rigoureuse et réaliste les coûts des divers éléments du plan/programme unique, avec indication des fonds disponibles provenant des ressources ordinaires et extrabudgétaires des organismes participants en vue de repérer les déficits de financement éventuels que la communauté des donateurs sera appelée à combler par des contributions à des fonds pour l Unité d action des Nations Unies/la réalisation des OMD établis au niveau des pays. Un responsable unique de l équipe de pays des Nations Unies en la personne d un coordonnateur résident des Nations Unies doté de pouvoirs, d un rôle et d une autorité accrus. Un bureau unique pour les organisations représentées dans l équipe de pays des Nations Unies dans le pays concerné, dans le but de les réunir dans les mêmes locaux,

3 177 EX/INF.10 - page 2 lorsque cela est possible, d harmoniser les pratiques de gestion et de créer des services communs (par exemple pour l informatique, les voyages, les opérations bancaires, le versement d allocations, la sécurité et les ressources humaines). 4. La participation de l UNESCO à la réforme des Nations Unies, en particulier à l initiative «unis dans l action», s appuie sur un ensemble de principes que l UNESCO considère comme indispensables pour assurer la cohérence au niveau national : Les activités doivent répondre à une demande précise du pays concerné, qui les conduit et en a la maîtrise, et être dictées par les priorités nationales. Ce sont les priorités nationales et les objectifs de développement du pays qui doivent toujours primer, jamais les priorités, les intérêts ou les programmes de tel ou tel organisme. La démarche suivie doit rassembler toutes les parties constituantes du système des Nations Unies, y compris les organismes qui ne sont pas représentés en permanence dans un pays donné, et l ensemble des compétences analytiques, normatives, techniques et opérationnelles du système des Nations Unies. Les mandats, leaderships thématiques, expertises et compétences sectorielles des organismes des Nations Unies participants, notamment des institutions spécialisées doivent être respectés, en particulier s agissant des questions classées comme thèmes transversaux, en évitant de créer des compétences parallèles ou concurrentes. «Pas de taille unique» - c est la diversité et non l uniformité qui doit l emporter étant donné que des pays différents peuvent adopter des approches différentes pour collaborer avec les organismes du système des Nations Unies et renforcer la cohérence. Un programme des Nations Unies doit être le produit de choix stratégiques faits par l ensemble de l équipe de pays des Nations Unies dans le cadre d un processus intégrateur et en coopération étroite avec les autorités du gouvernement concerné, ainsi que dans le respect du rôle des ministères de tutelle ; il ne s agit pas simplement d additionner de manière aléatoire les plans, les programmes ou les activités des différents organismes (orientation stratégique). Il n y a pas de dichotomie entre orientation stratégique et intégration, ces deux éléments se complètent et se soutiennent mutuellement. «L Unité d action» devrait inclure une démarche que l on pourrait appeler l «intégration stratégique». Des liens normatifs opérationnels, qui s appuient les uns sur les autres (boucle de la rétro-action), sont au cœur des contributions des institutions spécialisées. Différents organismes des Nations Unies s emploieront à élaborer des programmes communs constructifs, ce qui est la nature même de l Unité d action, en particulier pour les questions considérées comme transversales (égalité des sexes et VIH/sida). Les effets des programmes mondiaux et régionaux doivent être intégrés dans les plans et programmes de pays. Un programme fondé sur l Unité d action du système des Nations Unies doit être axé sur les résultats, tenir compte des objectifs de développement convenus au niveau international, y compris les OMD, et d autres cadres et critères et assurer l efficacité, l efficience et le respect du principe d obligation redditionnelle pour avoir un impact maximum sur le développement.

4 177 EX/INF.10 - page 3 Un programme des Nations Unies à orientation stratégique devrait être assorti d indications sur les ressources nécessaires chiffrées rigoureusement et identifier clairement les déficits de financement (cadre budgétaire). Les équipes de pays des Nations Unies devraient éviter tout type de programmation à deux filières au niveau national prévoyant la division et le classement en catégories des contributions des différents organismes du système (par exemple en un plan unique et un plan unique plus). Des limites strictes ou «pare-feu» devraient être mises en place pour le PNUD, y compris la dissociation du rôle de coordination du Coordonnateur résident de la fonction programmatique du Représentant résident en vue d éviter les conflits d intérêt. 5. Dans le contexte des contributions aux opérations de programmation par pays, l UNESCO donne la priorité aux pays préparant leur bilan commun de pays (BCP)/plan-cadre des Nations Unies pour l aide au développement (PNUAD) en 2007 et 2008 (appelés les «pays auxquels le PNUAD est étendu», le cycle du plan-cadre commençant en 2009). Ces pays sont les suivants : Angola, Bénin, Botswana, Équateur, Haïti, Kenya, Liban, Niger, Nigéria, République du Congo et Soudan. Le plan-cadre des Nations Unies pour l aide au développement (PNUAD) reste pour l UNESCO un moyen important de mettre ses compétences de base au service des priorités nationales de développement, ainsi qu un point de départ pour l élaboration ultérieure d un programme/plan unique. Il est d une importance critique que l UNESCO soit un acteur dynamique et participe à toutes les étapes de ces processus. L identification des contributions de l Organisation à des documents communs de programmation par pays comme le PNUAD ou le plan/programme unique, là où ils existent, figure dans les résultats attendus énoncés dans le Projet de programme et de budget de l UNESCO (projet de 34 C/5) ainsi que dans les effets recherchés contenus dans le Projet de stratégie à moyen terme pour (projets de 34 C/4 et de 34 C/11). La résolution que l Assemblée générale des Nations Unies a adoptée en 2004 sur l Examen triennal complet des activités opérationnelles de développement du système des Nations Unies, ainsi que les rapports du Secrétaire général de l ONU relatifs à cet examen, soulignent que le PNUAD, et d autres opérations de programmation du système des Nations Unies, conservent toute leur pertinence. Étant donné que les débats et les décisions du Conseil exécutif du PNUD à sa session de septembre 2007 au sujet du cadre stratégique du PNUD n ont pas été concluants, l UNESCO s emploiera à conclure un accord bilatéral de partenariat stratégique avec le programme. Cet accord reflétera une compréhension commune des domaines et fonctions sectoriels et thématiques de l UNESCO pour lesquels l Organisation se considère comme chef de file et premier prestataire de services et d aide aux États membres et s agissant desquels le PNUD, pour sa part, devrait s engager à ne pas lui faire concurrence ni s impliquer (ligne rouge). En outre, les institutions spécialisées sont convenues de suivre de près les négociations sur la résolution de 2007 relative à l Examen triennal en vue de veiller à ce que les gouvernements adhèrent aux orientations et principes concernant la mise en place de pare-feux et de lignes rouges. La compréhension et le soutien des États membres seront cruciaux pour atteindre cet objectif. II. LE RÔLE DE L UNESCO AUX NIVEAUX MONDIAL, RÉGIONAL ET NATIONAL 6. Dans un système des Nations Unies soucieux d améliorer la coordination et la cohérence générale, l UNESCO joue désormais un rôle actif aux côtés de ses partenaires du système des Nations Unies, en particulier des autres institutions spécialisées du système des Nations

5 177 EX/INF.10 - page 4 Unies, sur la base de positions communes. De manière générale, l action se passe à quatre niveaux : Au niveau du Directeur général, qui depuis deux ans rencontre tous les trois ou quatre mois ses homologues de l OIT, de l OMS, de la FAO et de l ONUDI pour des échanges de vues sur les problèmes actuels et les faits nouveaux, pour arrêter des positions communes et prendre des initiatives mues par des intérêts partagés du point de vue des institutions spécialisées et pour donner des orientations à leur secrétariat, notamment aux bureaux hors Siège sur les politiques de réforme et mesures à mettre en œuvre autant que possible par le biais d initiatives conjointes ou harmonisées des institutions spécialisées. La dernière réunion des directeurs généraux s est tenue à New York le 23 septembre 2007, suivie le même jour d une réunion conjointe des directeurs généraux avec les chefs de secrétariat du PNUD, de l UNICEF, du FNUAP et du PAM (Comité exécutif du GNUD) pour examiner les problèmes de réforme qui les préoccupent et pour renforcer la compréhension mutuelle et la coopération. L une et l autre de ces réunions se tenaient à l invitation du Directeur général de l UNESCO. Lors de la réunion des chefs de secrétariat des institutions spécialisées et du Comité exécutif (ExCom) du GNUD, il a été convenu, notamment, que la qualité, les compétences et les connaissances des coordonnateurs résidents étaient d une importance cruciale pour qu une réforme aboutisse au niveau des pays et pour que l action des organisations du système des Nations Unies soit cohérente. De plus, s agissant de la réforme des mécanismes interinstitutions, le sentiment prédominant était que le GNUD devrait fusionner avec le CCS, ce qui permettrait de disposer d un cadre unique pour la coopération interinstitutions, le CCS apportant une légitimité au système des coordonnateurs résidents géré par le PNUD. Au niveau mondial, l UNESCO est devenue un membre reconnu des principaux organismes interinstitutions, aux travaux desquels elle contribue activement, qu il s agisse du Conseil des chefs de secrétariat (CCS), du Groupe des Nations Unies pour le développement (GNUD) ou de leurs organes subsidiaires, où elle intervient sur l ensemble des questions programmatiques, financières et managériales intéressant le système des Nations Unies. Le personnel de l UNESCO est de plus en plus appelé à assumer des responsabilités importantes dans des groupes interinstitutions. L UNESCO y contribue à la définition des cadres d action et des priorités de la coopération interinstitutions aux niveaux mondial, régional et national. Ces groupes apportent aussi un soutien et des orientations d action aux équipes de pays des Nations Unies pour des activités opérationnelles, en particulier pour l élaboration des exercices de programmation commune par pays tels que les projets pilotes «unis dans l action», le PNUAD, les stratégies de réduction de la pauvreté, les approches sectorielles, les stratégies conjointes d assistance, et ils suivent les évolutions à cet égard. L UNESCO a également été désignée pour faire partie du groupe informel de soutien au niveau ASG/ADG du GNUD pour les projets pilotes «unis dans l action», groupe composé de représentants de quatre fonds et programmes, quatre institutions spécialisées et deux programmes moins importants des Nations Unies (groupe dit «G-10»), où l UNESCO est représentée par le Directeur de BSP. Dans ce groupe, l UNESCO a été chargée de diriger un processus de consultation sur la question de l équilibre à trouver entre le besoin de concentration stratégique et la demande de participation de l ensemble des organisations du système des Nations Unies au niveau des pays. C est là une question fondamentale, qui a dominé nombre de débats de divers sous-groupes du CCS et du GNUD, ainsi que lors d une série de réunions consultatives avec les coordonnateurs résidents des huit pays pilotes du projet «unis dans l action». La réforme actuelle du CCS et du GNUD devrait aboutir à une certaine restructuration au niveau mondial ; c est là un point qui sera examiné plus avant, et qui aboutira peut-être à une décision lors de la prochaine session du CCS, prévue à la fin du mois d octobre 2007 à New York. Le Directeur général de l UNESCO a proposé que soit également examinée

6 177 EX/INF.10 - page 5 l éventualité d une intégration du Comité exécutif pour les affaires humanitaires, qui deviendrait un pilier distinct de la structure interinstitutions d ensemble. Jusque-là, l UNESCO en est exclue, en dépit de son engagement sur le terrain humanitaire et en matière d aide dans les situations de post-conflit/post-catastrophe. Il conviendrait également de prendre note des programmes mondiaux conduits par des institutions spécialisées qui, sans faire partie des processus de programmation nationale, sont utiles pour les politiques et les capacités nationales. Ces programmes mondiaux, et l appui qu ils apportent à un pays, devraient également être pris en compte à l avenir dans les documents de programmation au niveau des pays. Les quatre systèmes existants d alerte rapide aux tsunamis et de mitigation, pour lesquels une structure cohérente de gouvernance est actuellement mise en place par un groupe de travail de la COI, sont une initiative mondiale importante qui a des retombées au niveau des pays. Dans un autre domaine, l UNESCO parraine, conjointement avec le CIUS et l UNU, le groupe spécial chargé de recenser les lacunes en matière de savoirs scientifiques sur la base du Bilan du Millénaire relatif aux écosystèmes ( L Organisation s attache également à promouvoir la réflexion sur la résilience en renforçant les capacités permettant de réagir aux perturbations. L UNESCO fait également partie du Conseil international pour les initiatives écologiques locales (ICLEI) qui fournit des conseils et un appui pour la contribution des villes à l objectif consistant à réduire sensiblement le risque d appauvrissement de la diversité biologique d ici à Dans le cadre du Comité de haut niveau du CCS sur les programmes, l UNESCO contribue activement à une nouvelle priorité essentielle du système des Nations Unies, à savoir l élaboration d une stratégie commune à l ensemble du système pour faire face au changement climatique mondial. Le CCS examinera cette question fin octobre, sur la base des propositions formulées par le Comité de haut niveau à sa session des 20 et 21 septembre 2007 ainsi que des conclusions de la réunion de haut niveau sur le changement climatique convoquée par le Secrétaire général de l ONU le 24 septembre Ce sujet devrait également jouer à l avenir un rôle important dans les processus de programmation commune par pays. À cet égard, l UNESCO a d ores et déjà suggéré lors de missions récentes dans les pays pilotes de l initiative «unis dans l action» que l on envisage d inclure un volet changement climatique dans les plans/programmes uniques. Au niveau mondial, l UNESCO a également joué un rôle dynamique au sein des réseaux interinstitutions et des équipes spéciales dans le domaine de l égalité entre les sexes, qui est devenu une priorité dans l ensemble du système. Les membres de ces mécanismes ont élaboré une politique et une stratégie pour l égalité entre les sexes à l échelle du système et une feuille de route pour la parité entre les sexes à l intention des équipes de pays des Nations Unies. Ces deux instruments ont été entérinés par les principales unités du GNUD. Au niveau régional, l UNESCO maintient une étroite collaboration avec les organisations régionales telles que l Union africaine et les communautés économiques régionales africaines, l ASEAN ou le Mercosur. Bien que l initiative «unis dans l action» soit essentiellement centrée sur les pays, l importance que continue de revêtir la dimension régionale de l action du système des Nations Unies a été soulignée, notamment dans les conclusions et recommandations relatives à la résolution sur l examen triennal des activités opérationnelles de développement. Étant donné que l UNESCO et les autres institutions spécialisées interviennent dans de nombreuses régions dans le cadre de programmes régionaux, l UNESCO a suggéré récemment - pour la première fois au Viet Nam - que le Plan/Programme unique comporte également un volet sur les activités régionales à l appui des priorités nationales. Toutefois, on reconnaît qu il ne sera pas possible à ce stade d inclure le financement de ces activités dans le cadre budgétaire unique.

7 177 EX/INF.10 - page 6 S agissant des programmes régionaux qui sont utiles pour les politiques et le renforcement des capacités au niveau national, il existe de nombreux programmes de ce type dans les différentes régions. On peut citer les exemples suivants : o le Réseau de réserves de biosphère d Asie du Sud-Est (SeaBRnet) et les études sur les écotones, en coordination avec les réseaux MAB dans la région, notamment le Réseau de réserves de biosphère d Asie de l Est (EABRN), le Réseau MAB pour l Asie du Sud et l Asie centrale (SACAM) et le Réseau MAB pour le Pacifique (PacMAB) ; o l UNESCO soutient les réseaux de femmes dans la région Asie-Pacifique, en appliquant une double stratégie visant à mettre la science et la technologie au service des femmes et à amener celles-ci vers la science et la technologie, en faisant en sorte que les acquis de la science et de la technologie contribuent à l autonomisation des femmes dans les communautés rurales pauvres et en incitant à faire davantage appel aux femmes dans les secteurs scientifiques et technologiques ; grâce au travail de sensibilisation mené par le secrétariat régional pour les femmes, la science et la technologie (RESGEST), des comités nationaux ont été créés en Indonésie, aux Philippines et au Viet Nam et des points focaux ont été définis dans 11 autres pays ; o les Archives de l eau pour l Asie et le Pacifique sont une structure informatisée destinée à appuyer la recherche hydrologique dans la région en facilitant l accès des utilisateurs de différents pays à des données fiables couvrant une vaste aire géographique. Le nœud central est implanté au Centre régional sur l hydrologie des zones tropicales humides et les ressources en eau pour l Asie du Sud-Est et le Pacifique, situé en Malaisie ; deux nœuds sont opérationnels au niveau national, l un au Japon et l autre en Australie. Les Archives stockent des données concernant 46 bassins hydrographiques dans 12 pays de la région. En ce qui concerne les orientations et le suivi, les équipes des directeurs régionaux assument de plus en plus un rôle à l échelle du système pour l examen et l assurance de la qualité des documents de programmation commune, l appui global aux processus de programmation commune par pays, notamment dans les pays pilotes de l initiative «unis dans l action», et l évaluation des résultats des coordonnateurs résidents et de l équipe de pays. Étant donné que les différentes organisations n ont pas les mêmes structures ni les mêmes approches de la décentralisation, et dans la mesure où les fonctions des directeurs régionaux ne couvrent pas toute la gamme des activités sectorielles qui relèvent de leur mandat, certaines institutions spécialisées - dont l UNESCO - n ont participé que de façon ponctuelle et partielle aux activités des équipes des directeurs régionaux. C est là un domaine dans lequel l UNESCO devra réexaminer les modalités de sa participation et mettre en place les mécanismes pour que celle-ci soit régulière. Au niveau des pays, l UNESCO a, ces dernières années, progressivement renforcé sa participation et sa contribution aux processus conjoints de programmation des Nations Unies. Afin de soutenir la participation efficace de l'organisation aux exercices de programmation au niveau des pays et de susciter des apports et contributions concrets aux domaines thématiques fondamentaux de l UNESCO, le Directeur général avait décidé, au moment de valider les plans de travail pour le 33 C/5, que 2 % des ressources du Programme ordinaire mises à la disposition des cinq grands programmes seraient affectés au renforcement de la participation de l UNESCO aux opérations de programmation menées au niveau des pays, y compris sa participation aux activités pilotes axées sur «l Unité d action» et dans les pays où serait mis en route un processus PNUAD. La moitié, soit 1 %, a été réservée pour des activités des secteurs à l appui des processus hors Siège, l autre moitié (1 %) étant mise en commun pour la participation générique de l UNESCO et les contributions des bureaux hors Siège concernés. Les détails de ce mécanisme sont exposés dans la récente note bleue du Directeur général (DG/Note/07/28 Rev.). L UNESCO participe actuellement de façon dynamique aux

8 177 EX/INF.10 - page 7 activités axées sur «l Unité d action» du système des Nations Unies dans les huit pays pilotes (dont trois où l'organisation n est pas résidente). Toutes les activités et toutes les mesures de soutien financées par «la formule des 2 %» concernent uniquement la préparation des opérations communes de programmation par pays - y compris les missions d appui, les missions effectuées par du personnel hors Siège, notamment pour la programmation dans des pays où l'organisation n est pas résidente, la formation (en matière de gestion du changement, de gestion axée sur les résultats et d intégration de l égalité entre les sexes) et le renforcement temporaire des capacités des bureaux hors Siège - afin de participer à de multiples réunions supplémentaires de coordination et groupes de travail sectoriels, à l exclusion de la mise en œuvre des documents de programmation une fois qu ils ont été approuvés et adoptés. La décentralisation des ressources mises en commun (1 %, soit près d un million de dollars) pour la collaboration de l UNESCO à des opérations conjointes de programmation sur le terrain est désormais presque achevée ; elle devrait entraîner une nette augmentation de la participation de l UNESCO et une manifestation tangible de sa présence et de l efficacité de son engagement dans les 21 pays concernés. Après adoption du 34 C/5, le Directeur général fera le point des résultats obtenus avec la formule des 2 % et décidera de la méthode à suivre pendant la période couverte par le 34 C/5 pour soutenir les activités de programmation au niveau des pays. La formule des 2 % est complétée par une formation spécifique financée par des fonds au titre de la formation interne, afin de renforcer les capacités et la compréhension du personnel des bureaux hors Siège ainsi que du personnel au Siège en vue des exercices communs de programmation par pays et de l implication de l UNESCO dans ces opérations. Cette formation est offerte à l échelle mondiale, au plan régional et dans certains pays. Le prochain atelier mondial auquel participera du personnel venu de tous les pays pilotes et de nombreux pays où un processus PNUAD est mis en route aura lieu au Siège les 13 et 14 octobre Des fonds extrabudgétaires fournis par le Royaume-Uni contribuent à couvrir les frais de cette activité et d autres mesures prises dans ce contexte (voir également la section VI ci-après sur les Documents de programmation par pays de l UNESCO). Il est permis d espérer que des contributions volontaires supplémentaires seront versées par les États membres à cette fin dans un proche avenir. Dans le domaine de l éducation, l UNESCO a mis au point l outil de planification UNESS, qui s apparente à une approche sectorielle, pour élaborer, en coopération avec toutes les organisations compétentes du système des Nations Unies dans un pays donné, des stratégies communes en matière d éducation et des programmes conjoints destinés à répondre aux priorités nationales. L UNESCO travaillera en étroite coopération avec les partenaires de l EPT et d autres organisations intéressées du système des Nations Unies afin que l UNESS - présentée comme une stratégie globale et commune au système des Nations Unies en matière d éducation - devienne une composante essentielle des plans/programmes uniques ainsi que de la prochaine génération de PNUAD. À ce jour, l UNESCO a préparé des projets d UNESS dans 12 pays. Ils vont maintenant servir de base à l élaboration plus poussée d une stratégie à l échelle du système des Nations Unies pour l éducation dans les pays concernés. Dans le domaine de la culture, les efforts accomplis pour renforcer la présence de l UNESCO au niveau des pays ont été intensifiés grâce à une allocation sectorielle supplémentaire de 1 % du budget du programme ordinaire de CLT aux bureaux hors Siège bénéficiant des services de spécialistes du programme Culture, afin de leur permettre de susciter et de mettre en œuvre des activités de programmation au niveau des pays. CLT a publié une note d orientation sur la promotion de la culture dans le contexte des exercices communs de programmation des Nations Unies au niveau des pays. D importantes contributions ont été apportées à la programmation au niveau des pays et autres opérations de planification nationales, notamment au Bhoutan, au Costa

9 177 EX/INF.10 - page 8 Rica, à Cuba, en Jordanie, au Mozambique (en particulier pour élaborer une approche sectorielle) et en Tanzanie, y compris Zanzibar. De même, la protection et la promotion de la diversité culturelle fait désormais partie des BCP et PNUAD dans un certain nombre de pays d Asie et d Afrique. En Somalie, par exemple, une étude d évaluation des besoins culturels menée par l UNESCO a été validée dans le cadre de l Évaluation conjointe des besoins. En outre, en 2007, l UNESCO a apporté son concours dans le domaine culturel pour la mise en route du processus d élaboration du PNUAD en Angola, au Bénin, au Burundi, en Côte d Ivoire, en Équateur, au Kenya, au Niger, au Nigéria, au Soudan et au Timor-Leste. En Afghanistan, dans le cadre du Pacte afghan et de la Stratégie nationale de développement de l Afghanistan, le Bureau de l UNESCO à Kaboul a participé aux activités de coopération et de planification conjointes au niveau du pays par le biais du Groupe consultatif. Dans le cadre de la mise en œuvre de la plate-forme intersectorielle relative au renforcement des systèmes nationaux de recherche et d innovation, SC et SHS s efforceront d aider les États membres à faire le point des capacités existantes des systèmes de recherche et des politiques scientifiques afin de renforcer leur contribution au développement durable et de formuler des politiques et stratégies dans ce domaine. Parallèlement, la coopération et une coordination accrue au niveau national seront assurées entre les différents programmes scientifiques intergouvernementaux et internationaux et leurs comités nationaux, là où il en existe. Tout au long de l évolution des processus axés sur «l Unité d action» et des efforts de réforme du système des Nations Unies aux niveaux mondial et national, l UNESCO a souligné le rôle crucial que jouent les commissions nationales dans ses travaux et l intérêt qu il y aurait à les associer plus étroitement à la programmation au niveau des pays effectuée par les équipes des Nations Unies. En conséquence, l UNESCO a préconisé d inclure les commissions nationales dans différents exercices au niveau des pays. Cependant les réactions, de même que les résultats, ont été inégaux dans la mesure où ils dépendaient, d une part, des décisions des pouvoirs publics quant à la désignation de leurs principaux représentants auprès des équipes de pays des Nations Unies et de l autre, de l aptitude de ces dernières à intégrer des représentants de commissions nationales. La Section III ci-après fournit des informations détaillées sur certaines mesures prises ainsi que sur l évolution intervenue dans les pays pilotes où est appliqué le principe de l «Unité d action», le soutien du Siège de l UNESCO ayant notamment consisté à recenser les priorités nationales de développement des différents pays et les priorités des PNUAD, là où il en existe, pour les mettre en regard des objectifs stratégiques et des priorités de programme de l Organisation. III. EXPÉRIENCE DES PAYS PILOTES DE L INITIATIVE «UNITÉ D ACTION» DES NATIONS UNIES 7. L UNESCO s est engagée à s investir systématiquement et concrètement dans les huit pays pilotes de l initiative l «Unité d action» des Nations Unies, le principal objectif étant de mettre à profit les compétences thématiques de l Organisation dans le cadre du programme/plan unique commun des Nations Unies, compte tenu des priorités de développement nationales et en concertation avec les partenaires des Nations Unies. Plan/programme unique 8. Pour l UNESCO, ainsi que pour l ensemble du système des Nations Unies, le programme/plan unique joue un rôle central, voire moteur, dans l initiative axée sur l «Unité d action», en orientant et en appuyant la mise au point des trois autres «éléments uniques», à

10 177 EX/INF.10 - page 9 savoir le cadre budgétaire unique, le responsable unique et le bureau unique, s il y a lieu. Dans cet esprit, l Organisation a participé activement et contribué à une série de missions de planification stratégique des programmes effectuées dans les huit pays pilotes où sont menées des activités axées sur l «Unité d action». Du personnel de bureaux hors Siège, en tant que membres d équipes de pays des Nations Unies, ainsi que du personnel du Siège, en tant que membres invités d équipes d experts interinstitutions (mandatés et financés par le GNUD), ont pris part à l élaboration d orientations pour les divers éléments uniques. Dans tous les pays pilotes, l UNESCO s est acquittée de responsabilités et de rôles importants au sein de l équipe de pays des Nations Unies, et se trouve donc bien placée pour participer à la formulation des résultats escomptés ainsi que des produits et de la matrice de résultats commune correspondants. 9. L évolution récente des activités pilotes axées sur l «Unité d action» des Nations Unies est favorable à plusieurs égards : En Tanzanie, le processus est pleinement inclusif et participatif pour tous les organismes du système des Nations Unies. Le programme unique est subordonné à la programmation conjointe par plusieurs organismes des Nations Unies, et les initiatives strictement sectorielles resteront en dehors du cadre commun. L UNESCO a réussi à inclure dans les résultats du programme unique des éléments relatifs à l éducation (ESMIS) et à la culture illustrant les priorités du pays. En outre, elle a été priée par le Président du pays d aider, en tant que chef de file de l équipe de pays des Nations Unies, à l élaboration d une politique et d une stratégie scientifiques et technologiques nationales innovantes qui, une fois mises au point, feront également partie du plan unique. Au Viet Nam, l évolution récente de la situation est des plus encourageantes. Il y a quelques jours, le gouvernement et l équipe de pays ont décidé qu une deuxième version du plan unique (approuvé en juin 2007) serait établie d ici à décembre. Toutes les institutions spécialisées ont été invitées à contribuer à la révision, en proposant des résultats ajustés illustrant leurs contributions thématiques, et à définir des produits pour la matrice de résultats. La collaboration avec toutes les organisations résidentes se poursuit actuellement. Il s agit là d un fait nouveau rassurant parce que l approche initiale de la programmation conjointe par pays était plutôt limitée et que la première version du plan unique ne représentait en fait que la fusion des programmes de pays approuvés émanant de trois organismes du Comité exécutif du GNUD, n accordait pas une large place à la programmation conjointe et excluait de grandes parties du système des Nations Unies, en particulier les institutions spécialisées. Les activités pilotes sont désormais menées de manière parfaitement inclusive, avec la pleine participation de toutes les institutions spécialisées. En tant que membre des groupes de travail chargés d établir la nouvelle version du plan, l UNESCO est bien placée pour jouer un rôle central dans les domaines de l éducation et de la culture, ainsi qu en matière de sciences et de technologies. En outre, elle a élaboré activement un programme conjoint sur l égalité des sexes, qui vise à fournir une assistance technique stratégique, coordonnée et multisectorielle afin de renforcer les capacités des responsables nationaux et locaux de promouvoir l égalité des sexes. L équipe de pays des Nations Unies au Viet Nam s est vu allouer des fonds au titre de la fenêtre thématique pour la culture du Fonds espagnol pour la réalisation des OMD. Au Pakistan, les programmes conjoints seront le principal vecteur d exécution des programmes des Nations Unies. Les programmes conjoints - qui couvriront la fourniture de services, les travaux de synthèse et les activités normatives - représenteront au moins 80 % de toutes les ressources des Nations Unies affectées au Pakistan d ici à 2010, et pas plus de 20 % des ressources seront consacrés à des activités autonomes menées par des entités des Nations Unies. Compte tenu de son expertise sectorielle dans ce domaine, l UNESCO a assumé la coprésidence (avec l UNICEF) du Groupe de travail thématique sur l éducation, chargé d élaborer des programmes d éducation conjoints. Par ailleurs, le Directeur du Bureau de l UNESCO à Islamabad a été invité à faire partie du Groupe de direction du système des Nations Unies responsable de la gestion des

11 177 EX/INF.10 - page 10 activités pilotes. Il conviendrait de noter que la COI agit dans le cadre du processus axé sur l Unité d action des Nations Unies pour diriger les activités qu elle mène au niveau des pays en vue de l élaboration et de la mise en œuvre du Système d alerte aux tsunamis et de mitigation dans l océan Indien (IOTWS). En Albanie, l UNESCO a proposé des activités aux fins d intégration sous divers résultats du programme unique, notamment une contribution dans des domaines tels que l enseignement supérieur, la parité des sexes et la recherche, le développement territorial durable, et l établissement de liens entre le patrimoine culturel et naturel et le tourisme culturel, ainsi que pour l élaboration d une stratégie scientifique à la suite d une requête adressée récemment à l Organisation par le Ministère albanais de l éducation et des sciences. L UNESCO œuvre activement en faveur de l égalité des sexes au moyen d un projet axé sur l égalité consacré aux «femmes dans le domaine scientifique». Des progrès sensibles sont également réalisés au Mozambique, où, après une mission du GNUD à laquelle l UNESCO a concrètement participé, le PNUAD a été révisé pour y inclure un quatrième pilier sur le développement économique qui reflète d une manière plus précise les contributions spécifiques, ainsi que l action normative, des organismes spécialisés et non résidents venant appuyer les efforts de développement déployés au Mozambique, et qui offre un cadre stratégique d ensemble auquel tous les organismes des Nations Unies opérant au Mozambique sont attachés. S appuyant sur le PNUAD, le programme unique accorde une importance particulière à un sous-ensemble de résultats stratégiques choisis qui mettent en lumière l action conjointe menée dans les domaines où les Nations Unies possèdent un avantage comparatif avéré, lesquels offrent aux organismes des Nations Unies la meilleure occasion de collaborer aux fins d une plus grande efficacité. Il s agit là d une évolution clairement positive dont rend pleinement compte le plan opérationnel relatif aux activités pilotes qui vient d être publié. Au Rwanda, le système des Nations Unies a élaboré pour la première fois un document opérationnel commun capable d intégrer sous un format unique les activités de l ensemble du système. Ce format intégrateur est probablement appelé à se substituer à des documents plus limités comme le Plan d action commun pour la mise en œuvre des programmes de pays (CPAP commun) des organismes de l ExCom du GNUD. Il est important de réunir toutes les organisations du système représentées au sein de l équipe de pays des Nations Unies dans un document opérationnel commun unique car l existence de filières parallèles conduit trop souvent à marginaliser les institutions spécialisées et les organismes non résidents. On relève également des progrès en Uruguay, où l équipe de pays s achemine vers l élaboration du plan unique, et où un membre de l équipe de programmation du Siège (BSP) est venu renforcer temporairement le Bureau hors Siège de l UNESCO. L UNESCO apporte sa contribution au programme unique sous la forme d éléments «effets» ressortissant à plusieurs de ses domaines d action, notamment l éducation et la protection de la petite enfance (en liaison avec l UNICEF), les industries culturelles et la société de l'information. L équipe de pays des Nations Unies a récemment approuvé l organisation par l UNESCO d actions immédiates destinées à répondre à certaines des nouvelles priorités du gouvernement au-delà du PNUAD de qui ont été introduites dans le programme unique. Ces activités appellent une contribution de la part d autres organismes en vue d une éventuelle programmation conjointe et de l introduction d une perspective sous-régionale ainsi que régionale dans le cas des politiques scientifiques et technologiques relatives à l innovation et en ce qui concerne la préparation aux catastrophes. D autres composantes encore sont les politiques de la culture et l e-gouvernance.

12 177 EX/INF.10 - page 11 Au Cap-Vert, l action pilote s est développée à partir d une initiative lancée en janvier 2006 concernant la mise en place d un bureau commun, qui ne comprenait à l origine que les quatre organismes de l ExCom du GNUD (FNUAP, PAM, PNUD et UNICEF) et qui a établi - sur la base du PNUAD et de sa matrice de résultats - un «plan d action commun de pays» comportant un programme unique et un budget unique (avec un ensemble de pratiques de gestion unique), et selon lequel un représentant habilité unique et toutes les organisations résidentes se partagent un bureau unique. Depuis peu, un effort est fait pour parvenir à une meilleure intégration des institutions spécialisées et des nombreux organismes non résidents opérant au Cap-Vert, notamment par leur représentation au sein de l équipe des directeurs régionaux. L équipe de pays des Nations Unies présente au Cap-Vert s efforce actuellement de mettre en place de nouveaux programmes communs auxquels participeront des institutions spécialisées et des organismes non résidents, en vue d aboutir finalement à une révision du plan unique. L UNESCO, aux côtés d autres organismes non résidents, étudie avec l équipe de pays des Nations Unies les points d entrée et l orientation stratégique d une révision du programme unique de nature à répondre aux priorités nationales. Il est prévu que ce nouveau programme unique et son cadre budgétaire seront adoptés lors de la prochaine réunion de l équipe de pays des Nations Unies prévue pour les 22 et 23 octobre Ce nouveau programme inclurait la programmation ExCom figurant dans le Plan d action pour la mise en œuvre des programmes de pays (CPAP) du bureau commun, les programmes conjoints et les programmes d organismes individuels non compris dans le CPAP. L UNESCO a proposé des activités aux fins d intégration dans le programme unique au titre de divers effets, notamment des contributions dans les domaines suivants : enseignement supérieur, éducation de la petite enfance (en liaison avec l UNICEF), communication au service du développement (activité transversale pour tous les organismes participants), environnement (avec le PNUD et d autres organisations), gestion des transformations sociales, culture. Il est à noter aussi que le Coordonnateur résident des Nations Unies a proposé, dans l esprit de l approche «Unis dans l action», d héberger dans le bâtiment de l ONU le nouvel institut ouest-africain de recherche sur l intégration régionale dont la création devrait être proposée à l issue de la conférence sur l intégration régionale qu organise SHS au Cap-Vert, dans le cadre de MOST, le 26 septembre 2007, conjointement avec la CEDEAO. 10. Être un organisme non résident, dans le contexte des processus axés sur la demande des pays de l initiative Unité d action des Nations Unies, pose à beaucoup d institutions spécialisées un défi particulier (l UNESCO est résidente dans cinq des huit pays pilotes et a le statut de non-résidente en Albanie, au Cap-Vert et au Rwanda). À ce jour, la création - que le PNUD s est engagé à financer au nom du GNUD - de postes d «analystes de la coordination avec les organismes non résidents», ayant pour tâche de promouvoir l inclusion de ces organismes dans l activité des équipes de pays des Nations Unies, n est effective que dans un nombre limité de pays pilotes et de pays concernés par les BCP/PNUAD. Il faudra donc que l UNESCO trouve d autres solutions innovantes. Au Rwanda, l UNICEF a offert d héberger l UNESCO dans son Bureau de Kigali pendant des phases essentielles du processus de planification, pour pouvoir tirer parti de l expertise de l UNESCO concernant l éducation de qualité - celle-ci étant l un des effets en rapport avec l éducation de base dans le PNUAD/le Plan unique. Un cadre budgétaire unique 11. Le cadre budgétaire unique vient en complément des plans uniques dans les pays pilotes où est mis en œuvre le principe de l «Unité d action». Il est lié à un Fonds unique (des Nations Unies/de cohérence/des OMD) destiné à recevoir des contributions additionnelles de la part des donateurs afin de pouvoir remédier aux insuffisances de financement et atteindre les résultats escomptés dans le Plan/Programme unique. Ce sera là pour les donateurs un défi particulier à relever pour assurer le complet succès de la réforme. Plusieurs points restent encore à résoudre et à éclaircir avant que le fonds ne devienne opérationnel et puisse servir à combler les déficits de financement. L un d eux est celui des calculs de coûts rigoureux qui devront être faits par des

13 177 EX/INF.10 - page 12 professionnels pour chiffrer les besoins financiers afférents à chaque composante et chaque programme conjoint. Un autre point concerne le processus et les priorités d attribution des fonds, sans oublier la question des responsabilités quant aux résultats et à l emploi des ressources financières. Un problème central qui devra être résolu dans le cadre de consultations interinstitutions et par chaque organisation et celui des frais généraux. Sous l impulsion des organismes de l ExCom du GNUD, il est proposé d appliquer au Fonds unique un taux de 7 %, ce qui ne correspond pas à la politique actuelle de plusieurs organisations, dont l UNESCO. Il est envisagé de renforcer le processus de proposition de projets en considérant comme coûts directs tous les éléments identifiables possibles, ce qui pourrait éventuellement permettre - afin d aller de l avant dans les pays pilotes et d éviter que l UNESCO ne se trouve exclue du bénéfice des ressources du Fonds unique - d adopter une approche pragmatique à l égard des pays pilotes n acceptant que le taux de 7 %. Les pays pilotes ont commencé à élaborer des scénarios (locaux) et des mémorandums d accord concernant le cadre budgétaire unique et les règles de gouvernance du Fonds unique ; c est le cas par exemple au Pakistan où l UNESCO préside le groupe de travail s occupant de cette question. D autres pays pilotes ont également progressé dans ce domaine, avec la pleine participation et la contribution de l UNESCO. 12. Le lancement au premier trimestre 2007 du nouveau Fonds PNUD/Espagne pour la réalisation des OMD, doté d un total de 528 millions d euros dont la répartition se fera au cours des quatre prochaines années selon une procédure de mise en concurrence de propositions de projets concrètes présentées par les équipes de pays des Nations Unies dans des pays déterminés, a injecté un nouvel élément de programmation en coopération (et compétition) dans l activité des équipes de pays, y compris dans les pays pilotes désignés pour la mise en application de l approche «Unis dans l action». L UNESCO a réussi, dans certains pays, à participer à l élaboration de propositions de l équipe de pays auxquelles des fonds ont déjà été attribués, au Viet Nam par exemple dans la fenêtre thématique de l égalité entre les sexes et de l autonomisation des femmes. Un autre fait valant reconnaissance de l expertise de l UNESCO est la désignation de l ADG/CLT comme convocateur du Sous-Comité technique pour la fenêtre thématique culture et développement, qui vient d achever l examen et l évaluation préalable de quelque 45 projets, comportant dans leur écrasante majorité une participation de l UNESCO. Les décisions finales concernant l approbation des projets devraient être prises à la mi-octobre par le Comité directeur du Fonds pour les OMD, composé du Gouvernement espagnol et du PNUD, pour un budget total de quelque 90 millions de dollars des États-Unis. Le PNUD a également invité l UNESCO à assurer le suivi et l évaluation de la mise en œuvre des projets pendant toute la durée du prochain exercice biennal. Certaines propositions de programmes conjoints soumises au Fonds vont dans le sens du programme unique, par exemple au Cap-Vert où l UNESCO est partie prenante d un programme conjoint présenté au titre de la fenêtre thématique sur l environnement et le changement climatique du Fonds PNUD/Espagne, qui est dans la ligne du domaine prioritaire «Améliorer la gestion et la mise à disposition locales des ressources et des services liés à l environnement» du Plan unique. Dans la fenêtre, l UNESCO a été en Chine l organisme chef de file pour l élaboration d un projet sur «l amélioration des capacités et l élaboration de politiques pour la compréhension des impacts de l évolution des ressources en eau sur l environnement et le développement humain de la Chine et pour l adaptation à ces impacts», en partenariat avec l UNICEF et d autres organisations. Un responsable unique 13. Les progrès concernant le volet du «Responsable unique» renvoient aux enjeux fondamentaux que sont le leadership et la responsabilisation. Ils ont déjà été longuement examinés, d abord au cours des deux dernières années par le Groupe traitant des questions relatives aux coordonnateurs résidents (RCIG) du GNUD puis, de manière plus intensive dans chaque pays. Les questions relatives aux coordonnateurs résidents ayant une pertinence et une applicabilité mondiales, il semble difficile d imaginer que des modèles notablement différents puissent être appliqués dans les pays pilotes. À moins que le RCIG ne parvienne à un accord, que l UNESCO voudrait voir réalisé d ici à la fin de 2007, il faudra peut-être que le renforcement du volet «responsable unique» se fasse de manière pragmatique, notamment par l adoption de

14 177 EX/INF.10 - page 13 codes de conduite par les équipes de pays des Nations Unies, comme ce fut le cas dernièrement au Rwanda. La politique relative à ce volet devra aussi traiter de questions telles que la définition claire des fonctions du coordonnateur résident, par une séparation bien nette entre les fonctions de coordination assurées pour le compte de l ensemble du système des Nations Unies et les fonctions de programmation que le représentant résident du PNUD exerce pour le compte de son organisation, en respectant les compétences de base des autres organisations du système des Nations Unies liées à leurs thématiques et problématiques propres. La nomination de directeurs de programme de pays du PNUD dans de nombreux pays au cours des quelques derniers mois a constitué un pas dans la bonne direction. Un bureau unique (et des services et pratiques communs) 14. S agissant du volet «Bureau unique» (locaux communs) et des services et pratiques communs (services bancaires, pratiques de remise d espèces, agence de voyages, systèmes de sécurité communs, fichier commun de traducteurs et d interprètes, équipes de gestion opérationnelles interorganisations, etc.) qui doivent être créés d un commun accord, le cas échéant, dans les pays pilotes de l initiative «Unis dans l action», des progrès sont enregistrés même si différentes questions demeurent à clarifier pour faciliter le regroupement physique effectif, notamment l harmonisation des procédures financières ou des systèmes informatiques. En Tanzanie, par exemple, l UNESCO vient d emménager dans un nouveau bâtiment proche de ceux du coordonnateur résident des Nations Unies et du PNUD, dans un complexe bien équipé comportant plusieurs bâtiments distincts occupés par des organismes des Nations Unies, généreusement mis à disposition par le gouvernement. La Tanzanie a également été retenue par le GNUD en tant que pays où une nouvelle approche commune serait élaborée, ainsi que les outils et techniques correspondants. Au Viet Nam, l UNESCO a fait savoir qu elle était disposée à envisager de déménager dans des locaux communs une fois qu ils auront été achevés, en 2009, la décision définitive à cet égard étant toutefois tributaire d un accord sur des conditions financières acceptables. S agissant des pratiques communes, il a été convenu que toutes les activités pilotes des Nations Unies adopteraient l Approche harmonisée des remises d espèces (HACT), qui constituerait le mécanisme standard commun de financement dans les rapports avec les partenaires exécutants nationaux. Cette approche repose sur l évaluation du risque, le contrôle de la qualité et les examens périodiques sur site. Les organisations disposent de quatre modalités de remise d espèces pour transférer des fonds aux partenaires exécutants, en fonction des résultats de l évaluation du risque. Le risque est défini à l issue d une évaluation globale des systèmes financiers du pays ainsi que d une évaluation spécifique des partenaires proposés pour l exécution des programmes ou projets. L UNESCO compte appliquer ce mécanisme aux bureaux hors Siège dans les pays pilotes de l initiative «Unis dans l action» et pour tous les autres projets appropriés, essentiellement chaque fois que l UNESCO exécute un projet en coopération avec un partenaire. On pourra trouver plus de détails sur l approche HACT à l adresse : IV. UNESCO - GÉRER LE CHANGEMENT INDUIT PAR LES EXIGENCES DE LA RÉFORME DES NATIONS UNIES 15. Il est communément admis dans tout le système des Nations Unies que la transition vers «l Unité d action» s accompagne de défis considérables pour les pays pilotes. Il pourrait donc s avérer utile d élaborer un recueil systématique des techniques de gestion du changement pour faciliter la mise en œuvre de celui-ci. Ce recueil pourra servir à l avenir dans d autres pays qui procèdent à des réformes. À long terme, le soutien aux activités pilotes des Nations Unies relevant de l initiative «Unis dans l action» devrait être fourni dans toute la mesure possible par le système des Nations Unies lui-même et non sous-traité à des entités extérieures, sous le contrôle et avec la participation d un large éventail d organismes, de fonds et de programmes des Nations Unies. L UNESCO est associée à une initiative interorganisations prise récemment pour dresser un bilan des techniques et bonnes pratiques existantes de gestion du changement dans le système des Nations Unies et commencer à élaborer un programme commun d apprentissage de la gestion du changement. L UNESCO a été également invitée à faire

15 177 EX/INF.10 - page 14 partie d une équipe spéciale interorganisations et à contribuer à un fichier d experts sur la gestion du changement pour les pays pilotes. Par ailleurs, l UNESCO a été invitée par le GNUD à faire partie, à la fin de septembre 2007, d un groupe chargé d évaluer les sous-missions en vue de l adjudication d un marché du GNUD portant sur le recrutement d un expert extérieur qui fournirait à l échelle mondiale un soutien aux huit pays pilotes sur divers aspects de la gestion du changement. 16. Dans le cadre de l UNESCO elle-même, un aspect important de la gestion du changement induit par la réforme des Nations Unies réside dans une communication efficace et la sensibilisation d une partie plus large du personnel aux réalités de cette réforme. Cette question a été réglée par la création par le Directeur général d un groupe de travail sur la réforme des Nations Unies, ayant à sa tête le Directeur exécutif d ODG. De même, l Équipe spéciale sur la décentralisation, présidée par le DDG, examine systématiquement et règle les questions relatives à la réforme des Nations Unies et leurs incidences au niveau des pays. Les travaux menés dans ce domaine ont notamment consisté à formuler un document sur les compétences thématiques de base de l UNESCO, établi par BSP à l intention des coordonnateurs résidents et des équipes de pays des Nations Unies. L UNESCO a accueilli diverses réunions d information et de débat sur les incidences du processus de réforme des Nations Unies sur l UNESCO (notamment deux manifestations de la série «Soixante minutes pour convaincre»). L UNESCO a également élaboré un site Web détaillé sur la réforme des Nations Unies contenant une information constamment mise à jour sur les faits nouveaux concernant le CCS, le GNUD et les huit pays pilotes de l initiative «Unis dans l action» ( TOPIC&URL_SECTION=201.html). V. ÉVALUER LES ACTIVITÉS PILOTES RELEVANT DE L UNITÉ D ACTION DES NATIONS UNIES 17. L UNESCO a insisté dès le lancement de l initiative «Unis dans l action» sur le fait que les activités pilotes devraient servir à expérimenter - pour en tirer les enseignements - différentes façons de travailler ensemble et d être «unis dans l action» au niveau des pays. Les approches et les pratiques adoptées dans ces activités pilotes ne constitueront pas des précédents ni des modèles à transposer ou reproduire «automatiquement» par d autres pays. À ce titre, les activités pilotes devront faire l objet, dans un cadre interorganisations, d un examen, d une analyse et d une évaluation minutieux. Partant de là, ces activités pourront faire l objet d un examen et d une décision dans un cadre intergouvernemental. De ce fait, le degré de réussite de l initiative «Unis dans l action» sera très fortement tributaire de l aptitude du système des Nations Unies à cerner et évaluer la première étape de la phase de pilotage. Pour y parvenir, le CCS a demandé au Groupe des Nations Unies pour l évaluation (GNUE) - qui regroupe tous les bureaux de l évaluation des organismes des Nations Unies, UNESCO comprise - d engager un processus de consultation interorganisations et d élaborer une méthode d évaluation. Ce travail est actuellement en préparation et fait l objet de discussions dans le cadre du CCS. Comme il semble que le GNUE ne sera peut-être pas en mesure d achever cette évaluation de fond avant la période de , l UNESCO est en train de préparer, avec d autres membres du G-10 et l équipe du Bureau du GNUD, un bilan factuel du processus élaboré et mis en œuvre pour les activités pilotes en VI. PRÉPARATION DES DOCUMENTS DE L UNESCO RELATIFS À LA PROGRAMMATION PAR PAYS (UCPD) 18. L UNESCO a décidé de faire de ses documents relatifs à la programmation par pays (UCPD) des outils destinés à saisir de manière globale les activités de l UNESCO dans un pays donné. L UCPD brosse dans un seul document un tableau de toutes les activités de l Organisation dans le pays, qu elles soient financées par des ressources budgétaires ou extrabudgétaires. Plus précisément, ce document :

16 177 EX/INF.10 - page 15 (a) (b) (c) (d) (e) fournit, pour un pays donné, un bref aperçu des faits nouveaux pertinents au regard des domaines de compétence de l UNESCO (analyse de situation) ; fournit une description succincte, en termes de résultat, de l état d avancement de toutes les activités d appui et autres en cours ou récentes de l UNESCO dans le pays (y compris les apports des instituts de catégorie 1 de l UNESCO) et met en évidence les contributions de l UNESCO à la réalisation des produits prévus dans les documents de programmation par pays existants (BCP/PNUAD, Plan/Programme unique, DSRP, approches sectorielles, etc.) ; décrit la coopération en cours avec d autres partenaires du système des Nations Unies et avec les donateurs extérieurs ; identifie des éléments et des produits à inclure dans les opérations communes de programmation par pays en cours ou futures, notamment grâce à des outils et approches de programmation communs ; et propose des points d ancrage pour une coopération et une programmation futures avec d autres entités des Nations Unies. L UCPD devrait également viser à promouvoir la cohérence entre les apports sectoriels de l UNESCO et ceux d autres partenaires et à favoriser la recherche de l intersectorialité et de l interdisciplinarité. Ce document servira aussi de base à une approche stratégique, axée sur les résultats, de la mobilisation de fonds extrabudgétaires. Au final, l UCPD devrait aboutir à une visibilité accrue de l UNESCO pour ce qui est de ses contributions au développement du pays. Accordant la priorité aux huit pays pilotes de l initiative «Unis dans l action» ainsi qu aux pays où le système BCP/PNUAD a été déployé en 2007, les bureaux hors Siège de l UNESCO, avec le soutien technique et financier de BSP, sont en train de rédiger une première série de 10 UCPD qui devraient être publiés à la mi-octobre au plus tard. Ce document est imprimé sur du papier recyclé.

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