Les GN événementiels dénotent-ils des entités spatiales?

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1 Les GN événementiels dénotent-ils des entités spatiales? Richard Huyghe EA 3967 CLILLAC-ARP Université Paris Diderot Paris 7 Introduction Dans la plupart des travaux linguistiques consacrés à l espace, les GN exprimant le localisé (ou cible, relativement à un repère de localisation, le site) dénotent des entités physiques êtres (1a), objets (1b), habitations (1c), portions du sol terrestre (1d), matières (1e), portions d espace (1f), etc. (cf. Dervillez-Bastuji 1982, Talmy 1983, Herskovits 1986, Vandeloise 1986 et 2001, Vieu 1991, Svorou 1994, Borillo 1998, Levinson 2003, Aurnague 2004 inter alia). Ces GN peuvent désigner la cible dans des phrases thétiques introduites par Il y a : (1) a. Il y a un homme dans l entrée. b. Il y a une lampe sur la table. c. Il y a une maison en haut de la colline. d. Il y a un champ derrière chez Pierre. e. Il y a de l eau dans le vase. f. Il y a un espace entre les sièges. D autres types de GN peuvent figurer dans la même position : (2) a. Il y a une réunion dans le bureau du directeur. b. Il y a un concert dans le parc. c. Il y a une conférence de presse du ministre des affaires étrangères dans le hall de l hôtel. Les GN cibles dans (2) dénotent des événements, comme en témoigne leur distribution avec avoir lieu (cf. Balibar-Mrabti 1990, Godard & Jayez 1996, Gross 1996) : (3) a. Une réunion a lieu dans le bureau du directeur. b. Un concert a lieu dans le parc. c. Une conférence de presse du ministre des affaires étrangères a lieu dans le hall de l hôtel. Quelles sont les propriétés descriptives spatiales des GN événementiels [GNev]? Enjeux : - extension du champ d étude des expressions spatiales - description sémantique des noms d événements - relation entre propriétés nominales de description temporelle et spatiale Nous mettrons en évidence (i) la spécificité et (ii) l hétérogénéité des GNev quant à la dénotation d entités spatiales. NB : Seuls sont considérés ici comme GNev ceux qui peuvent être sujet de avoir lieu. Sont exclus les «événements faibles» (Godard & Jayez 1996), e.g. symphonie, comédie, chanson considérés comme noms d événements en vertu de leur compatibilité avec les constructions nominales de durée et les prépositions temporelles (cf. Berthonneau 1989). 1

2 1. Des cibles spatiales non prototypiques Ontologie : contrairement à leur relation au temps, la relation des événements à l espace paraît confuse (cf. Casati & Varzi 1999). Vendler (1967) défend l idée que les événements n ont qu une relation indirecte à l espace. Davidson (1967), Quinton (1979), Hacker (1982) admettent que les événements sont des entités spatiales, mais divergent sur leurs propriétés spatiales délimitation notamment. Selon Van de Velde (2006), les événements, tels qu ils sont décrits linguistiquement, sont directement ancrés dans l espace. Les noms d événements peuvent apparaître dans la question Où est le N? : (4) Où est (la réunion / le concert / la conférence de presse)? Les GNev dénotent-ils des entités spatiales au même titre que les GN décrivant des entités matérielles [GNobj]? 1.1. Absence de description de l étendue Contrairement aux GNobj, les GNev se construisent difficilement avec les expressions décrivant l étendue spatiale. Les GNev rejettent les compléments de mesure spatiale en de : (5) a. une maison de cent mètres carrés, une lampe de trente centimètres de haut, un champ de trente hectares b. *une réunion de trente mètres carrés, *un concert de cinquante mètres de large, *une cérémonie de dix hectares Les GNev ne sont pas sujet de mesurer / faire + mesure spatiale : (6) a. L usine fait quinze mille mètres carrés. b. Un terrain de foot mesure cent mètres de long. (7) a. *La conférence de presse du ministre fait deux cents mètres carrés. b. *Un match de foot mesure cent mètres de long. Les GNev ne complètent pas les noms de dimensions spatiales : (8) a. les dimensions de l armoire, la superficie de l habitation, la circonférence du lac b. *les dimensions du mariage, *la superficie du festival, *la circonférence du tournage du documentaire Localisation vs extension Du point de vue de la description linguistique, l ancrage spatial n implique pas l étendue spatiale. L absence d extension peut toutefois contribuer à justifier l existence de modes de localisation différents Différents modes de localisation spatiale L expression de la localisation dans l espace n est pas la même pour les GNev et les GNobj (cf. Huyghe 2009). GNev et GNobj se combinent avec des noms de localisation distincts : 2

3 (9) (la place / *le lieu) de Marion, (la place / *le lieu) de la lampe, (la place / *le lieu) de l armoire (10) (le lieu / *la place) de la réunion, (le lieu / *la place) de la cérémonie, (le lieu / *la place) du tournage du documentaire Place indique un schéma d occupation de l espace, i.e. de saturation potentielle de l étendue. La mise en profil par place de l étendue spatiale explique ses emplois massifs (cf. Franckel 1993, Vandeloise 2001). Lieu indique une localisation qui s accompagne de la réalisation d un procès, comme en témoignent les expressions de la forme lieu de Nactivité : (11) un lieu de (travail / méditation / entraînement / discussion / promenade / recherche) Avec lieu, l espace n est pas envisagé comme un réceptacle, mais comme un cadre d action. L espace de localisation s appréhende différemment selon qu on envisage le ciblage des événements ou des objets. Les verbes employés pour introduire la localisation spatiale diffèrent également. Les GNobj se construisent avec se trouver, les GNev avec avoir lieu (cf. Godard & Jayez 1996) : (12) a. Pierre (se trouve / *a lieu) à Helsinki. b. Ce livre (se trouve / *a lieu) sur l étagère. (13) a. Un concert (a lieu / *se trouve) dans le parc. b. L avant-première du film (a lieu / *se trouve) dans une salle d art et d essai. Contrairement à se trouver, avoir lieu exprime la réalisation de quelque chose. Il peut s employer sans complément : (14) a. La rencontre entre les deux hommes a (effectivement) eu lieu. b. Cette conversation a (effectivement) eu lieu. (15) a. *Pierre se trouve (effectivement). b. *L armoire se trouve (effectivement). X a eu lieu à tel endroit contient deux informations : (i) X s est réalisé, (ii) X était localisé à tel endroit. Avoir lieu présuppose la dynamicité du sujet. Aux GNev et aux GNobj correspondent deux expressions de l ancrage spatial différentes. La spécificité des cibles événementielles tient à leur absence d extension spatiale et à leur caractère dynamique, i.e. à leur relation directe au temps. 2. Les GNev en position de site La dépendance entre propriétés descriptives spatiales et temporelles des GNev apparaît dans leur emploi comme complément de lieu. Les GNev peuvent exprimer le lieu, dans des phrases de localisation statique ou dynamique : (16) Où est Sophie? Elle est (à un colloque sur les adverbes / à une réunion des alcooliques anonymes / au concert de Kurt Wagner). (17) Pierre va (au mariage de son collègue / au match France-Argentine / à la conférence de presse du ministre des affaires étrangères). 3

4 2.1. Localisation spatio-temporelle Contrairement aux GNobj, les GNev en complément de lieu comportent une spécification temporelle, d où la différence de conditions de vérité entre (18a) et (18b) : (18) a. Sophie est au meeting. b. Sophie est sur le lieu du meeting. Les GNev en position de lieu ne désignent pas de purs repères spatiaux, comme le montre l impossibilité de reprise anaphorique par cet endroit : (19) a. Pierre va au Jardin des Plantes. Il trouve cet endroit incroyable. b. Pierre va au match France-Argentine. *Il trouve cet endroit incroyable. En position d adjoint, les GNev peuvent répondre à la fois aux questions Où? et Quand? : (20) Les deux réalisateurs se sont rencontrés à la cérémonie des Oscars. (21) a. Où les deux réalisateurs se sont-ils rencontrés? A la cérémonie des Oscars. b. Quand les deux réalisateurs se sont-ils rencontrés? A la cérémonie des Oscars. Les GNev dans (16)-(17) ne dénotent pas des sites types. Leurs propriétés descriptives temporelles affectent leurs propriétés descriptives spatiales. Remarques Choix de la préposition : les GNev en complément de lieu s emploient principalement avec à plus rarement dans ou sur. La préposition à convient à la fois au repérage spatial et temporel, et permet une localisation sans configuration (simple coïncidence cible / site). Spécification de la localisation spatiale : elle dépend des caractéristiques de l événement mais n est pas directement connue. Elle présuppose donc la spécificité de l événement les GNev à interprétation générique sont exclus dans (16)-(17). Pertinence informative : les phrases du type (16)-(17) peuvent servir à décrire l action du sujet, en indiquant sa participation à un événement (cf. lien entre localisation et statut / action des cibles). (22) Que fait Vincent? Il est (à un concert / au gymnase / (?)dans la rue) Hétérogénéité des GNev Autre différence avec les GNobj, tous les GNev ne peuvent pas s employer comme complément de lieu. Aux GNev sous (23) s opposent ceux sous (24) : (23) réunion, concert, conférence de presse du ministre des affaires étrangères, mariage d un collègue, avant-première du film, cérémonie en hommage aux victimes de la catastrophe, colloque sur les adverbes, festival de théâtre, manifestation contre le projet de loi, cocktail, fête, exposition Monet, vente aux enchères, entraînement de l équipe de France, dîner de gala, office religieux, vernissage, grand prix automobile, congrès international de la critique, séance extraordinaire du conseil des ministres, enterrement, inauguration de la salle des fêtes, rétrospective Fritz Lang, session de rattrapage, meeting électoral, concours, visite de l appartement, forum antimondialisation, communion de Pierre, réception, compétition de kayak, assemblée générale des actionnaires, tirage au sort des gagnants, célébration œcuménique, procès d assises, tournoi d escrime 4

5 (24) éclipse, explication avec Vincent, explosion de la bombe, séisme, panne de voiture, suppression de cette aide publique, scène improbable, rupture du câble d alimentation, drame, agonie du chef d état, discussion animée, crash du Concorde, perfusion du patient, augmentation du prix du gaz, avalanche, déclenchement de la procédure d urgence, crime, suicide de Vincent, agression, détournement de fonds, séparation du groupe, exploit du champion, découverte d un vaccin, ajustement budgétaire, adhésion de Vincent au club alpin, arrangement, invasion de fourmis, diffamation, rupture idéologique, malentendu, démantèlement du consortium, suspension des expériences, miracle, aventure incroyable, décomposition du produit, déraillement du train, dispute, contamination des cellules souches Seuls les GNev sous (23) peuvent s employer dans : - Pierre était à un / le + GNev. - Pierre est allé à un / le + GNev. - Où se sont-ils rencontrés? A un / le + GNev. (25) *Pierre était (à l éclipse / à une explication avec Vincent / à l explosion de la bombe / au séisme / à une panne de voiture / à la suppression de cette aide publique / à une scène improbable / à la rupture du câble d alimentation). (26) *Pierre est allé (au drame / à l agonie du chef d état / à une discussion animée / au crash du Concorde / à une perfusion du patient / au déclenchement de la procédure d urgence / à une avalanche / à l augmentation du prix du gaz). (27) Où se sont-ils rencontrés? *(A un crime / au suicide de Vincent / à un détournement de fonds / à la séparation du groupe / à une agression / à un exploit du champion / à la découverte d un vaccin / à un ajustement budgétaire). Les GNev sous (23) doivent remplir deux conditions. Ils dénotent des événements duratifs (28) (cf. Haas et al. 2008) et programmés (29). (28) a. (une réunion / un concert / une vente aux enchères / un meeting électoral) de trois heures b. (La conférence de presse du ministre des affaires étrangères / le dîner de gala / l entraînement de l équipe de France / l assemblée générale des actionnaires) a duré trois heures., (29) a. (Une rétrospective Fritz Lang / l inauguration de la salle des fêtes / une session de rattrapage / la communion de Pierre) est prévu(e) le mois prochain. b. (Le concours / la cérémonie en hommage aux victimes de la catastrophe / le tirage au sort des gagnants / la fête) est reporté(e) au mois prochain. La description d une certaine stabilité temporelle est nécessaire pour qu un GNev puisse jouer le rôle de lieu. La catégorie des GNev qui récusent le rôle de site spatial est elle-même hétérogène. On peut distinguer (entre autres) deux conditions suffisantes de l appartenance à cette catégorie. Evénements non contrôlés (30) séisme, explosion de la bombe, avalanche, crime, crash du Concorde, éclipse, rupture du câble d alimentation, panne de voiture, drame, agression, disparition inquiétante, miracle, incident nucléaire, décès de Pierre, éclosion de l œuf, réaction en chaîne, 5

6 catastrophe, coup d état, collision entre les deux véhicules, miracle, meurtre, révolte des prisonniers, violente secousse, effraction, choc frontal, délit mineur, aventure incroyable, invasion de fourmis, crevaison, propagation du virus Ces GNev se distinguent de ceux sous (23) par leur distribution avec se produire, qui exprime la réalisation d un événement accidentel (cf. Gross 1996) : (31) a. (L avalanche / le crash du Concorde / l explosion de la bombe / le crime / un miracle / une violente secousse / un incident nucléaire / l effraction) s est produit(e) en fin d après-midi. b. *(La réunion / un concert / la conférence de presse du ministre / une cérémonie en hommage aux victimes de la catastrophe / une compétition de kayak / le vernissage / le concours / l assemblée générale des actionnaires) s est produit(e) en fin d après-midi. Non programmés par l ensemble de leurs participants, les événements décrits dans (30) sont généralement constatés après coup la plupart sont ponctuels. Ils ne constituent pas des repères spatiaux stables. Evénements non physiques (32) augmentation du prix du gaz, suppression de cette aide publique, ajustement budgétaire, détournement de fonds, déclic, prolongation du congé maternité, coïncidence, fusion entre les deux entreprises, étincelle, cessation de paiement, mouvement de protestation, adhésion de Vincent au club alpin, rupture idéologique, dévalorisation de l université, mutation technologique, chute du système, renouvellement de la classe dirigeante, annulation de la procédure judiciaire, mélange des genres, renversement des valeurs, malentendu, suspension des expériences, rêve, hausse de la criminalité, démantèlement du consortium Ces GNev ne désignent pas nécessairement des événements non contrôlés : (33)??(La suppression de cette aide publique / la prolongation du congé maternité / une fusion entre les deux entreprises / l adhésion de Vincent au club alpin / une dévalorisation de l université / un mélange des genres / une suspension des expériences) s est produit(e) l an dernier. Les GNev sous (32) se distinguent des précédents par une référence spatiale moins saillante. Leur emploi comme cible spatiale paraît moins favorisé. Il est certes permis de dire : (34) Il y a eu (une augmentation du prix du gaz / une suppression de cette aide publique / un malentendu / une annulation de la procédure judiciaire / une suspension des expériences / un déclic / une rupture idéologique / un ajustement budgétaire) en France l an dernier. Cependant, ils se construisent difficilement avec le nom lieu. (36) contraste avec (10) et (35) : (35) Pierre est retourné sur le lieu (du séisme / de l avalanche / du crash du Concorde / du crime / de l incident nucléaire / de la collision entre les deux véhicules / du drame / de l explosion de la bombe). (36) *Pierre est retourné sur le lieu (de l augmentation du prix du gaz / de la suppression de cette aide publique / du malentendu / de l annulation de la procédure judiciaire / de la suspension des expériences / du déclic / de la rupture idéologique / de l ajustement budgétaire). 6

7 Les propriétés descriptives spatiales ne sont pas les mêmes pour tous les GNev. Le critère spatial peut contribuer à la distinction entre différents types d événements. Conclusion Tels qu ils sont décrits par les GNev, les événements : (i) sont des entités spatiales d un genre particulier, (ii) n ont pas tous la même relation à l espace. (i) : Les GNev décrivent des entités : - sans étendue spatiale, - faisant l objet d un mode de localisation spatiale particulier, - impliquant une spécification temporelle lorsqu ils jouent le rôle de lieu. La spécificité descriptive spatiale des GNev tient en grande partie à leurs propriétés temporelles. Les entités spatiales prototypiques sont dénotées par les GNobj, qui n impliquent pas de description temporelle. (ii) : La dénotation spatiale varie selon les GNev. On peut distinguer trois sous-classes (hypothèse de travail), selon que les GNev dénotent : - des événements localisés dans l espace et pouvant servir de sites (e.g. une réunion), - des événements non contrôlés, localisés dans l espace mais ne pouvant pas servir de sites (e.g. un crime), - des événements non physiques, moins clairement liés à l espace que les précédents (e.g. un malentendu). Si on considère l espace comme un critère de distinction concret / abstrait (cf. Asher 1993, Moltmann à paraître), alors les GNev intègrent différents degrés d abstraction. Espace et temps dans la constitution des événements Si, d une part, les propriétés spatiales des événements sont déterminées par leurs propriétés temporelles et si, d autre part, tous les événements n ont pas la même relation à l espace, alors qu ils ont tous une relation claire au temps, alors la composante temporelle dans la structure spatio-temporelle des événements est l élément dominant. Pistes - élargir le corpus des GNev étudiés - affiner la distinction entre GNev sites et GNev non sites - établir une classification satisfaisante des GNev non sites - autonomie syntaxique et description spatiale : le degré de dépendance syntaxique d un nom événementiel est-il corrélé à son aptitude à décrire des entités spatiales? Quel rôle incombe au déterminant dans la référence spatiale des GNev? 7

8 Références bibliographiques Asher, Nicholas Reference to Abstract Objects in Discourse. A Philosophical Semantics for Natural Language Metaphysics. Dordrecht : Kluwer. Aurnague, Michel Les structures de l espace linguistique. Regards croisés sur quelques constructions spatiales du basque et du français. Louvain / Paris : Editions Peeters. Balibar-Mrabti, Antoinette Analyse d adverbes en dans. Langue Française 86, Paris : Larousse. Berthonneau, Anne-Marie Composantes linguistiques de la référence temporelle. Les compléments de temps, du lexique à l énoncé. Thèse de doctorat d état, Université de Paris VII. Borillo, Andrée L espace et son expression en français. Paris : Ophrys. Casati, Roberto ; Achille Varzi Parts and Places. The Structures of Spatial Representation. Cambridge Mass. : The MIT Press. Davidson, Donald [1993]. La forme logique des phrases d action. In Actions et événements, Paris : PUF. Franckel, Jean-Jacques Il y a lieu de prendre place dans un endroit facilement localisable. In Opérations énonciatives et interprétation de l énoncé. Mélanges offerts à Janine Bouscaren, L. Danon-Boileau, J.-L. Duchet (éds), Paris : Ophrys. Godard, Danièle ; Jacques Jayez Types nominaux et anaphores : le cas des objets et des événements. In Anaphores temporelles et (in-)coherence, W. De Mulder, L. Tasmowski-De Ryck, C. Vetters (éds), Cahiers Chronos 1, Amsterdam : Rodopi. Gross, Gaston Prédicats nominaux et compatibilité aspectuelle. Langages 121, Paris : Larousse. Haas, Pauline ; Richard Huyghe ; Rafael Marín Du verbe au nom : calques et décalages aspectuels. In Congrès Mondial de Linguistique Française CMLF 08, J. Durand, B. Habert, B. Laks (éds), Paris : Institut de Linguistique Française. Hacker, Peter Michael Stephan Events and objects in space and time. Mind 91, Oxford : Oxford University Press. Herskovits, Annette Language and Spatial Cognition. An Interdisciplinary Study of the Prepositions in English. Cambridge : Cambridge University Press. Huyghe, Richard Les noms généraux d espace en français. Enquête linguistique sur la notion de lieu. Bruxelles : De Boeck Duculot. Levinson, Stephen C Space in Language and Cognition. Explorations in Cognitive Diversity. Cambridge : Cambridge University Press. Moltmann, Friederike. A paraître. Abstract Objects and the Semantics of Natural Language. Oxford : Oxford University Press. Quinton, Anthony Objects and events. Mind 88, Oxford : Oxford University Press. Svorou, Soteria The Grammar of Space. Amsterdam / Philadelphia : John Benjamins Publishing Company. Talmy, Leonard How language structures space. In Spatial Orientation. Theory, Research and Application, H.L. Pick, L.P. Acredolo (éds), New York : Plenum Press. Vandeloise, Claude L espace en français. Paris : Editions du Seuil. Vandeloise, Claude Aristote et le lexique de l espace. Rencontres entre la physique grecque et la linguistique cognitive. Stanford : CSLI Publications. Van de Velde, Danièle Grammaire des événements. Villeneuve d Ascq : Presses Universitaires du Septentrion. Vendler, Zeno Facts and Events. In Linguistics in Philosophy, Ithaca N.Y. : Cornell University Press. Vieu, Laure Sémantique des relations spatiales et inférences spatio-temporelles. Une contribution à l étude des structures formelles de l espace en langage naturel. Thèse de doctorat, Université Paul Sabatier, Toulouse. 8

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