Le partenariat Grow Africa

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1 Coopération pour le développement 2015 Faire des partenariats de véritables coalitions pour l action OCDE 2015 PARTIE II Chapitre 16 Le partenariat Grow Africa par Arne Cartridge, directeur exécutif, Grow Africa Le secteur agricole de l Afrique recèle un vaste potentiel de génération de croissance économique et de création d emplois, en particulier pour les agriculteurs, les femmes et les jeunes. L investissement du secteur privé joue un rôle crucial pour donner l impulsion à une croissance rapide et durable de l agriculture, et ce d autant plus efficacement qu il est déployé en partenariat avec l État et des apporteurs de coopération pour le développement. Le présent chapitre décrit les efforts de Grow Africa pour permettre aux pays de tirer parti du potentiel de leur secteur agricole. Un aspect crucial du travail de Grow Africa réside dans l incubation de nouveaux partenariats public-privé, et dans le renforcement des partenariats existants. Ce chapitre met en lumière plusieurs modèles ayant donné de bons résultats, ainsi que divers enseignements tirés au fil de l expérience. 157

2 Si un vaste consensus se dégage autour du fait que l investissement du secteur privé joue un rôle crucial pour induire une croissance rapide et durable dans le secteur agricole de l Afrique, la coopération pour le développement demeure un ingrédient essentiel de cette croissance. La dynamique de ce secteur est marquée par de nombreuses difficultés systémiques qui freinent la croissance, comme le manque d intérêt des circuits de financement commerciaux pour le secteur de l agriculture. Ce type de problème ne peut être surmonté que si les pouvoirs publics, les apporteurs de coopération pour le développement, le secteur privé et les organisations paysannes travaillent de concert. Le partenariat public-privé : un concept relativement récent pour le secteur agricole. Toutefois, l idée de partenariat public-privé dans le secteur agricole est encore relativement neuve, et il reste beaucoup à apprendre sur les modalités de mise en œuvre efficace des modèles de partenariats public-privé. Néanmoins, on commence à cerner certaines des meilleures pratiques en la matière, comme en témoigne ce chapitre. Grow Africa vise à libérer le potentiel de l agriculture Le partenariat Grow Africa se trouve dans une position privilégiée pour tirer les enseignements de ces évolutions. Fondé conjointement par l Union africaine, le Nouveau partenariat pour le développement de l Afrique (NEPAD) et le Forum économique mondial en 2011, Grow Africa s attache à renforcer l investissement du secteur privé dans l agriculture et à accélérer l exécution des engagements d investissement afin que leur impact se fasse sentir plus rapidement. Il a pour objectif de permettre aux pays de concrétiser le potentiel que recèle le secteur agricole en matière de croissance économique et de création d emplois, en particulier pour les agriculteurs, les femmes et les jeunes. Grow Africa facilite la collaboration entre pouvoirs publics, entreprises agricoles nationales et étrangères, et petits exploitants, afin de réduire les risques et les coûts de l investissement dans l agriculture, et d apporter un rendement plus rapide à toutes les parties prenantes. Pour ce faire, Grow Africa : travaille avec les pays qui ont signé des accords de coopération (au nombre de dix actuellement) afin de cerner et de pallier les insuffisances du cadre d action auxquelles il convient de remédier si l on veut attirer un investissement du secteur privé qui conduise à une croissance économique inclusive travaille avec des investisseurs du secteur privé nationaux et étrangers essentiellement des entreprises agro-alimentaires au déploiement d investissements, qui se montent actuellement au total à 10 milliards USD, émanant de plus de 200 entreprises inventorie les obstacles systémiques au déploiement des investissements du secteur privé qui se rencontrent sur tout le continent africain et organise des groupes de travail afin d élaborer des solutions facilite l échange des meilleures pratiques via de multiples canaux, notamment des communautés de pratique et un forum annuel sur l investissement. 158

3 Un autre aspect central du travail de Grow Africa porte sur l incubation de nouveaux partenariats public-privé et le renforcement des partenariats existants par la facilitation de nouveaux contacts. Par ses travaux, Grow Africa a pu mettre en évidence plusieurs facteurs de réussite pour les partenariats public-privé, ainsi que quelques difficultés auxquelles il convient de remédier. Les partenariats public-privé, un bon moteur pour la coordination et un vecteur d accélération de l investissement La réussite des partenariats public-privé dépend de la bonne collaboration entre les partenaires. Pourtant, la collaboration au sein de chaque groupe de partenaires est généralement tout aussi essentielle pour faciliter l investissement et accélérer la mise en œuvre des projets. Ainsi, la transformation agricole à grande échelle nécessite, en règle générale, une coordination avec différents ministères, et pas uniquement avec celui de l Agriculture. Cela étant, les entreprises agricoles du secteur privé, même celles qui se trouvent dans le pays, peuvent juger les structures publiques opaques et avoir du mal à s y retrouver. La création d un point de contact unique avec le secteur public peut permettre de surmonter cette difficulté. L Agricultural Transformation Agency (ATA), en Éthiopie, constitue un bon exemple. Cette agence a pour mandat de «remédier aux goulets d étranglement systémiques dans le secteur agricole par le soutien du ministère de l Agriculture et d autres partenaires de mise en œuvre publics, privés et non gouvernementaux et l amélioration de leurs capacités» (ATA, 2015). Son conseil de gouvernance, présidé par le Premier ministre, regroupe des membres du ministère de l Agriculture, du ministère des Finances et du Développement économique, et du ministère de l Eau et de l Énergie. L ATA fait office d intermédiaire et facilite les investissements qui cadrent avec le programme agricole global du gouvernement éthiopien. Elle a, par exemple, apporté un appui crucial à la mise en place d un projet pilote de culture d orge de la brasserie Diageo (Royaume-Uni)*. Du côté du secteur privé, la coordination des divers investissements dans des corridors ou des pôles géographiquement ciblés spécialisés dans une chaîne de valeur peut permettre d accélérer significativement leur mise en œuvre au sein du pôle. À cet égard, le centre Southern Agricultural Growth Corridor of Tanzania (SAGCOT, corridor austral de croissance agricole de Tanzanie) offre un modèle prometteur. Ce partenariat multipartite inclusif vise à développer rapidement le potentiel agricole de la région. Il appuie les entreprises agro-alimentaires inclusives commercialement performantes, de sorte qu elles bénéficient aux petits exploitants agricoles de la région et, ce faisant, il améliore la sécurité alimentaire, réduit la pauvreté rurale et assure la durabilité environnementale. Le centre coordonne les investissements réalisés par des organismes du secteur privé à l intérieur du corridor de croissance au moyen d un «investment blueprint» (modèle de plan d investissement), qui met en évidence les opportunités ; il définit ensuite un cadre grâce auquel ces investissements pourront livrer tout le potentiel qu ils recèlent en termes de développement. Le modèle de partage du risque retenu par SAGCOT lui a permis d atteindre ses objectifs ; c est le premier partenariat publicprivé d une telle ampleur dans l histoire de l agriculture de la Tanzanie. Essentiellement financé par des apporteurs de coopération pour le développement, le centre est juridiquement indépendant, c est-à-dire qu il n est pas affilié à l une ou l autre des entreprises opérant dans le corridor et n est régi par aucune d entre elles. * Pour plus de précisions, voir : 159

4 L engagement politique et un cadre d action porteur sont essentiels à la réussite Toute initiative véritablement transformatrice nécessite impérativement un engagement politique au plus haut niveau, comme le démontre le programme d appui à l amélioration de la croissance (Growth Enhancement Support Scheme) du Nigéria, qui rencontre un grand succès. Ce programme, qui a mis à mal le statu quo politique en démantelant les immenses cadres de corruption dans l approvisionnement en intrants agricoles, a été créé par le ministre de l Agriculture et du Développement rural du Nigéria, M. Akinwumi Adesina. Toutefois, ce dernier n aurait pas pu mener à bien ce projet sans le soutien ferme et constant du Président du pays, M. Goodluck Jonathan. Toute initiative véritablement transformatrice passe par un engagement politique au plus haut niveau. Le Nigéria propose des subventions à grande échelle pour les engrais depuis les années 70, l approvisionnement en engrais représentant le poste de dépenses le plus important du compte de capital fédéral. Jusqu en 2012, la totalité des engrais étaient achetés par l État et vendus à des prix subventionnés aux distributeurs, qui, à leur tour, les revendaient aux agriculteurs. Ce modèle a pâti d inefficiences et d une corruption massive, coûtant chaque année au pays plus de 26 milliards NGN (naira, soit millions USD) en moyenne. Le programme Growth Enhancement Support s est donné pour but de mettre un terme à cette situation en confiant l achat et la distribution d intrants au secteur privé. Aujourd hui, les fournisseurs privés s enregistrent auprès de l administration, et chacun est affecté à un centre de distribution (privé ou public), où les agriculteurs peuvent obtenir des engrais en échange de bons électroniques, bénéficiant de financements apportés par l administration de l État fédéral ou des États fédérés (chacun versant une contribution équivalant à 25 % du coût des engrais sur un fonds gardé en dépôt à la Banque centrale). Lorsque les distributeurs de produits agricoles présentent les bons pour en obtenir le remboursement, ces derniers sont examinés par une tierce partie dont l approbation est nécessaire à l autorisation de paiement au bénéfice du distributeur. En 2012, première année pleine de mise en œuvre, le programme Growth Enhancement Support a permis au gouvernement fédéral d économiser 25 milliards NGN (122 millions USD). L ouverture au secteur privé du dispositif d approvisionnement en intrants a déjà généré des promesses d investissement sur le segment des engrais se montant à 5 milliards USD, et le nombre de semenciers participants est passé de 3 à 80. La fiabilité du cadre de politiques publiques est également cruciale pour la réussite des différents investissements. Cela prend généralement des années aux entreprises agricoles pour commencer à dégager un bénéfice, mais ces efforts peuvent être anéantis du jour au lendemain par un changement inopiné de politique publique par exemple une réduction des droits de douane appliqués aux importations, qui sape la compétitivité des producteurs locaux. Certains changements dans la politique agricole découlent de l évolution du contexte politique général, mais d autres résultent du fait que les responsables de l action publique n ont pas une connaissance approfondie de la dynamique complexe du secteur, ou que les parties prenantes, notamment du secteur privé, ne sont pas consultées. Faciliter les contacts, soutenir une formation adéquate et diffuser l information et les bonnes pratiques sont autant de moyens d éviter de tels écueils. Une approche systématique est nécessaire pour transposer ces réussites à une échelle supérieure Les modèles décrits plus haut sont prometteurs, et reproductibles. Néanmoins, des difficultés demeurent lorsqu il s agit de les transposer à une échelle supérieure. 160

5 Grow Africa observe qu il est crucial, dès le début d un projet, de définir clairement les motivations et les attentes de chacun des partenaires, et d établir qui est comptable de quoi au sein du partenariat. Outre les partenaires immédiats, il est également fondamental de prendre soin de consulter toutes les parties prenantes associées à un point ou à un autre de la chaîne de valeur agricole, notamment les petits exploitants qui fournissent les entreprises agro-alimentaires et les communautés locales, en particulier lorsqu il est question d acquisition de terres. Cependant, la plupart des modèles d activité et des mesures en usage aujourd hui se focalisent sur la diligence raisonnable préalable à l investissement ; on dispose de relativement peu de données homogènes sur l impact et la valeur d une consultation multipartite régulière sur toute la durée de vie d un investissement. La consolidation de cette base de connaissances pourrait aider à instaurer des pratiques reproductibles, et d un coût abordable allant de cadres juridiques ou de dispositifs de gouvernance adéquats à des modèles permettant d harmoniser les incitations des secteurs privé et public afin de mettre en place et de gérer des chaînes de valeur agricoles auxquelles participent des partenaires du secteur public et du secteur privé, ou pour travailler avec les petits exploitants. Il est crucial de définir clairement les motivations et les attentes de chacun des partenaires, et d établir qui est comptable de quoi. Une approche plus systématique de la collaboration est également nécessaire dans deux autres domaines. En premier lieu, pour s attaquer à la question épineuse du commerce des matières premières agricoles. Le regroupement de petits exploitants est la formule la plus efficace pour faciliter les échanges entre acheteurs et petits producteurs, lesquels représentent approximativement 80 % des agriculteurs en Afrique. Pourtant, seulement 10 % environ des petits exploitants africains sont actuellement regroupés. Il y a aussi beaucoup à faire pour identifier des modèles de regroupement fructueux, et pour s assurer que ces groupes, constitués en personnes morales, ont les compétences commerciales requises pour servir leurs membres et agir en interlocuteurs efficaces. Du côté des acheteurs, il existe de modèles prometteurs pour regrouper les demandes. Cela évite aux agriculteurs de devenir dangereusement tributaires d un seul gros acheteur, ce qui peut avoir des conséquences désastreuses si cet acheteur devient insolvable ou trouve une nouvelle source d approvisionnement. L autre aspect qui nécessite une approche systématique est la transposition à une échelle supérieure d une collaboration multipartite en matière de financement de l agriculture. Ce point est particulièrement critique pour les entreprises agro-alimentaires du pays qui sont trop petites pour obtenir des prêts commerciaux à des taux d intérêt abordables, mais trop grandes pour être éligibles à d autres modèles de financement, tels que les micro-crédits. On trouve de nombreux exemples d initiatives de financement public-privé innovant qui font appel aux capitaux de la coopération pour le développement afin de garantir des prêts commerciaux aux entreprises agro-alimentaires assortis de taux abordables. Ainsi, une facilité de partage des risques dotée de 5 millions USD, mise en place par l Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA, Alliance pour une révolution verte en Afrique), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le gouvernement du Kenya, garantit les prêts commerciaux que l Equity Bank of Kenya accorde aux petits et grands exploitants agricoles, ainsi qu aux entreprises agro-alimentaires. Par ce biais, on ne compense pas le risque de défaut supporté par l Equity Bank en appliquant aux emprunteurs des taux d intérêt élevés solution habituellement adoptée dans le cas des financements commerciaux, mais on utilise du capitalrisque fourni par des organisations internationales et l État. La difficulté est de transposer efficacement ces dispositifs à une échelle supérieure de manière à combler le substantiel déficit de financement dans le domaine agricole, déficit qui entrave la croissance, pourtant fort nécessaire, du secteur privé intérieur. 161

6 La collaboration va stimuler la transformation Pour résumer, tant les partenaires à la coopération pour le développement que les pays africains comprennent bien l intérêt de l investissement du secteur privé dans l agriculture. L accent doit désormais être placé sur l amélioration de la collaboration entre les parties prenantes, en particulier dans le triangle que forment les pouvoirs publics, le secteur privé et les regroupements de petits exploitants, afin d accélérer la mise en œuvre des investissements et d induire une réelle transformation dans le secteur agricole. Référence ATA (2015), «Our mandate», page web de l Ethiopian Agricultural Transformation Agency, our-mandate (consultée le 3 mars 2015). 162

7 Extrait de : Coopération pour le développement 2015 Faire des partenariats de véritables coalitions pour l'action Accéder à cette publication : Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2015), «Le partenariat Grow Africa», dans Coopération pour le développement 2015 : Faire des partenariats de véritables coalitions pour l'action, Éditions OCDE, Paris. DOI: Cet ouvrage est publié sous la responsabilité du Secrétaire général de l'ocde. Les opinions et les interprétations exprimées ne reflètent pas nécessairement les vues officielles des pays membres de l'ocde. Ce document et toute carte qu il peut comprendre sont sans préjudice du statut de tout territoire, de la souveraineté s exerçant sur ce dernier, du tracé des frontières et limites internationales, et du nom de tout territoire, ville ou région. Vous êtes autorisés à copier, télécharger ou imprimer du contenu OCDE pour votre utilisation personnelle. Vous pouvez inclure des extraits des publications, des bases de données et produits multimédia de l OCDE dans vos documents, présentations, blogs, sites Internet et matériel d enseignement, sous réserve de faire mention de la source OCDE et du copyright. Les demandes pour usage public ou commercial ou de traduction devront être adressées à rights@oecd.org. Les demandes d autorisation de photocopier une partie de ce contenu à des fins publiques ou commerciales peuvent être obtenues auprès du Copyright Clearance Center (CCC) info@copyright.com ou du Centre français d exploitation du droit de copie (CFC) contact@cfcopies.com.

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