Surveillance des infections du site opératoire. Dr Amélie MORIN, PH hygiène CHU RENNES DIU IOA, 31 janvier 2017

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1 Surveillance des infections du site opératoire Dr Amélie MORIN, PH hygiène CHU RENNES DIU IOA, 31 janvier 2017

2 Définition de la surveillance «Action d observer attentivement pour mieux contrôler» Par le passé : surveillance des individus souffrant de maladies contagieuses et/ ou mis en quarantaine puis surveillance des maladies transmissibles dans une population Evolution à partir des années 1950 sous l impulsion des CDC (Centers for Diseases Control and Prevention) surveillance de la dynamique des maladies dans les populations par une démarche d épidémiologie analytique recherche des facteurs de risques Nouvelle définition : «processus continu et systématique de collecte, de compilation et d analyse de données de santé ainsi que leur diffusion à tous ceux qui ont contribué à la collecte et à tous ceux qui ont besoin d être informés»

3 Définition ISO Infection du site opératoire : survient dans le mois suivant l intervention dans les 12 mois suivant l intervention en cas de pose d implant ou de prothèse 3 niveaux d infection : Superficielle (peau et tissu SC) Profonde (fascia et muscles) Organe/espace (infection d organe ou de cavité)

4 Contexte ISO : source majeure de morbidité et de mortalité pour les patients ; 3 ème IAS en termes de fréquence (ENP 2012) Conséquence : Augmentation de la durée de séjour hospitalier Interventions supplémentaires, traitement antibiotique Séquelles potentielles, diminution de la qualité de vie Coûts supplémentaires (directs et indirects) Fréquence variable en fonction des établissements, des disciplines, des procédures chirurgicales, des facteurs de risque patients Une partie de ces infections est évitable

5 Projet SENIC Diminution des ISO grâce à la surveillance Etude SENIC SENIC : Study on the Efficacy of Nosocomial Infection Control Conduite par le CDC Intérêt de la surveillance épidémiologique associée à la rétro information des acteurs dans la prévention des infections nosocomiales avec une diminution de 35 % des ISO Haley ; Am J Epidemiol 1985 Détection plus précoce de phénomènes anormaux ou d épidémie Effet Hawthorne : le fait de se savoir surveillé modifie le comportement

6 Pourquoi surveiller : Connaître ; Évaluer ; Alerter Connaissance des phénomènes infectieux : Estimer les taux d infection Estimer les taux de complications issues de ces infections Estimer des variations de distribution temporo-spatiale Identifier les facteurs de risque d infection Évolution des caractéristiques cliniques, microbiologiques et épidémiologiques Définir les priorités en termes d action de contrôle et de prévention

7 Pourquoi surveiller : Connaître ; Évaluer ; Alerter Évaluation des politiques et des stratégies de contrôle et de prévention en se basant sur les données recueillies lors de cette surveillance qui permettent de préciser l impact de ces stratégies Mettre en place des investigations pour expliquer ces variations Instaurer des mesures de contrôle et déterminer leur efficacité Mesurer l observance des mesures de prévention Détecter les situations ou les secteurs dans lesquels des déviances existent Evaluer les changements de pratiques et identifier les domaines à étudier en profondeur Alerte par la détection précoce de l émergence de nouvelles pathologies et la survenue de phénomènes épidémiques ou inhabituels

8 Pourquoi surveiller Fait partie des indicateurs qualité : ICA-LISO «Les chirurgiens sont systématiquement impliqués dans la validation clinique des ISO» «Toutes les disciplines de chirurgie font l objet d une surveillance» : 16 pt/100!! Résultats accessibles au grand public sur le site

9 Recommandations 2010 : surveiller et prévenir les IAS

10 PROPIAS AXE 1 - Thème 5 : Renforcement du système de surveillance des IAS tout au long du parcours de santé Objectif 5 - Action 1 : Développer la surveillance automatisée à partir des systèmes d information hospitalière (SIH), notamment pour des actes invasifs ciblés (ex : chirurgie prothétique)

11 PROPIAS AXE 3 - Thème 2 : Surveiller les infections associées aux actes invasifs dont les dispositifs médicaux implantables tout au long du parcours de santé Objectif 2 : Disposer d outils de surveillance des infections associées aux actes invasifs dans les trois secteurs de l offre de soins Action 2 : En ES, utiliser les entrepôts de données (PMSI, SIH) et développer des méthodes/outils pour surveiller les infections associées à certains actes invasifs (ex : ISO après pose de prothèse articulaire ou autres dispositifs implantés, )

12 PROPIAS AXE 3 - Thème 3 : Améliorer la surveillance et la prévention des infections du site opératoire tout au long du parcours de santé du patient (ES-EMS-Ville) Action 1 : Améliorer la surveillance et la déclaration des infections graves associées à la chirurgie Généraliser la surveillance des ISO graves (profondes ou nécessitant une reprise chirurgicale) sur des actes ciblés définis en lien avec les professionnels ; utiliser le SIH pour fournir des taux d ISO par acte/procédure, en débutant par la chirurgie orthopédique prothétique (PTH, PTG); Valoriser les données issues des structures de prise en charge des infections ostéo-articulaires (CIOA) pour préciser les facteurs de risque d infection et optimiser leurs prévention et prise en charge ;

13 Utilisation du SIH Utilisation des données du PMSI pour : la détection des infections de prothèses ostéoarticulaires (hanche / genou) la mise en évidence de facteurs de risque d IPOA

14

15 Organisation en France Surveillance par les établissements : Protocole particulier validé par le CLIN ou la CME, ou protocole du CCLIN Surveillance à l échelon inter-régional CCLIN Surveillance nationale RAISIN - Santé publique France Différentes façons de surveiller Protocole de surveillance «agrégée» Protocole de surveillance «prioritaire»

16 Les chiffres en France Surveillance prioritaire RAISIN incidence 7 millions d interventions en France chaque année

17 La surveillance en pratique

18 Comment surveiller L idéal : surveillance continue, prospective, de toutes les interventions, recueil exhaustif, informatisé Demande beaucoup de temps et de moyens humains En pratique : essayer de cibler les interventions à surveiller ou une période de surveillance et être reproductible d une année sur l autre pour permettre la comparaison Existence de protocoles nationaux du réseau ISO- RAISIN comme base de travail

19 Recueil des données Doit être Simple et reproductible Facilement interprétable Nécessite d avoir Des données complètes, et pertinentes pour les cliniciens Une implication des professionnels Actions d améliorations à la clef

20 Surveillance agrégée Toutes interventions chirurgicales incluses sur une période de 2 mois consécutifs Recueil de données réduit, uniquement en cas d ISO : Données patient (âge, sexe, état du patient à la sortie) Données séjour (service, date de sortie) Données intervention (date, type d intervention) Données infection (date, type, germes et résistances) Aucune donnée recueillie en l absence d ISO.

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22 Surveillance prioritaire Surveillance d une ou plusieurs interventions considérées comme prioritaires sur l établissement (interventions traceuses) Ex : suivi des prothèses de hanche / de genou Recueil des données patient, séjour, intervention même en l absence d infection Existence de modules optionnels : facteurs de risque individuels patient évaluation de l antibioprophylaxie préparation cutanée de l opéré

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24 Suivi post hospitalisation : - pas toujours simple - en cas d ISO : hospitalisation / reprise dans une autre structure?

25 Ajustement des données Prise en compte des facteurs de risque liés au patient ou à l intervention Intervention en urgence Comorbidités : immunodépression, diabète, obésité, dénutrition, alcool, tabac Durée d hospitalisation pré-opératoire Complications per opératoire : hémorragie, bas débit + certains facteurs variables en fonction du type de chirurgie Ajustement avec le score NNIS (National Nosocomial Infection Surveillance system)

26 Le score NNIS Permet d ajuster le risque d infection lié au patient, de la classe de contamination et de la durée de l intervention

27 Risque infectieux en chirurgie orthopédique EMC-Rhumatologie Orthopédie 2 (2005) National Nosocomial Infections Surveillance (NNIS) System Report, data summary from January 1992 through June 2003, issued August 2003 ; Am. J. Infect. Control, 31 (2003), pp

28 Surveillance prioritaire des Infections du site opératoire Résultats interrégion Ouest 2015

29 Score de BOZIC Utilisé comme facteur prédictif de mortalité et d infection suite à une pose de prothèse totale de hanche 29 comorbidités analysées, et critères démographiques

30 Validation des ISO, analyse et restitution

31 Validation des ISO Nécessité d avoir une validation chirurgicale, et idéalement un spécialiste en maladies infectieuses pour une meilleure qualité des données Avoir des critères fiables et reproductibles pour la pose du diagnostic Définitions les plus utilisées : celles du CDC Horan TC et al. CDC definitions of nosocomial surgical site infections, 1992: a modification of CDC definitions of surgical wound infections. Infect Control Hosp Epidemiol 1992;13:606-8.

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33 Analyse et restitution des données Par discipline chirurgicale, et par type de procédure Analyse en fonction des facteurs de risque Intérêt de la surveillance en réseau : permet de se comparer aux autres établissements Les données de surveillances doivent être restituées aux équipes chirurgicales selon une périodicité donnée (en fonction de la surveillance réalisée)

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35 Recommandations NIH (USA) Pour la prévention des ISO Réaliser une surveillance des ISO Augmenter son efficacité en l informatisant Effectuer un retour aux équipes ICHE juin 2014

36 Proposition de pistes d amélioration Objectif de la surveillance : Dégager des pistes d amélioration des pratiques pour les équipes chirurgicales et d anesthésie Diminuer la part évitable d infections du site opératoire (voire d autres complications en fonction de la surveillance réalisée) en mettant en place des stratégies de prévention Préopératoire Per opératoire Post opératoire Améliorer la prise en charge du patient

37 QUESTIONS?

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