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1 MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES SECRETARIAT GENERAL REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple-Un But - Une Foi CADRE DES RESSOURCES EXTERNES A MOYEN-TERME (CRMT) ANALYSE DES DECAISSEMENTS D AIDE PUBLIQUE AU DEVELOPPEMENT EN 2013, ET DES PREVISIONS DE DECAISSEMENTS SUR LA PERIODE Juin

2 Table des matières Table des matières... 2 Sigles et Acronymes... 3 Avant-Propos... 4 Résumé exécutif... 5 A. Méthodologie... 7 B. Analyse des décaissements de Engagements et conventions signées Décaissement de l aide par instrument Aide Budgétaire Générale (ABG) Appui Budgétaire Sectoriel (ABS) Aide projets inscrits au budget d Etat Aide projets hors budget d Etat Décaissement de l aide par nature de financement Décaissement de l aide par type de partenaire technique et financier Analyse par secteur a. Répartition Prêt/Don par secteur Concentration de l aide par secteur C. Analyse des prévisions de décaissement D. Prévisions de l aide Analyse des prévisions des décaissements de l aide par instrument Prévisions d aide par nature de financement Prévisions de l aide par type de partenaire technique et financier Prévisions d aides par secteur Répartition sectorielle des prêts Répartition sectorielle des dons Répartition Prêt/Dons par secteur Concentration des partenaires techniques et financiers actifs par secteur Analyse des contributions des PTF par secteur CONCLUSION Annexe 1 : Convention signée, décaissements 2013,prévisions 2015 à 2017 par PTF. Montant en milliards de FCFA Annexe 2 : Matrice PTF/Secteur pour les décaissements en 2013 (en milliards de FCFA) Annexe 3 : Récapitulatif par secteur des décaissements en 2013 : Contribution des PTF Annexe 4 : Récapitulatif de la contribution des PTF par secteur pour la période

3 Sigles et Acronymes ABG ABS BAD BADEA BID BIT BM BOAD CEDEAO CRMT FAO FIDA FMI FMSTP FNUAP OCHA OIM OMS ONU FEMMES ONUDI ONUSIDA OPEP PAM PNUD PRED PTF SHA SNU UE UEMOA UNESCO UNHCR UNICEF UNMAS UNOPS Appui Budgétaire Général Appui Budgétaire Sectoriel Banque Africaine de Développement Banque Arabe pour le Développement en Afrique Banque Islamique de Développement Bureau International du Travail Banque Mondiale Banque Ouest-Africaine de Développement Communauté Economique des Etats de l Afrique de l Ouest Cadre des Ressources Externes à Moyen-Terme Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture Fonds International pour le Développement Agricole Fonds Monétaire International Fonds mondial de lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme Fonds des Nations Unies pour la Population Bureau de Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies Organisation Internationale des Migrations Organisation Mondiale de la Santé Organisation des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des Femmes Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel Organisation des Nations Unies contre le SIDA Organisation des Pays Producteurs et Exportateurs de Pétrole Programme Alimentaire Mondiale Programme des Nations Unies pour le Développement Plan de Relance Economique Durable Partenaires Techniques et Financiers Secrétariat à l'harmonisation de l'aide Système des Nations Unies Union Européenne Union Economique et Monétaire Ouest Africaine Organisation des Nations Unies pour la Science, la Culture et l Education Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés Fonds des Nations Unies pour l Enfance Service d Action des Nations Unies contre les Mines Bureau des Nations Unies pour les Services d'appui aux Projets 3

4 Avant-Propos Le premier Cadre des Ressources Externes à Moyen Terme (CRMT) a été élaboré en septembre 2009 par les Partenaires Techniques et Financiers (PTF) du Mali et s inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre de leur Stratégie Commune d Assistance Pays (SCAP I, devenue dans phase II Stratégie Commune d Accompagnement Pays ) suite à leur adhésion à la Déclaration de Paris en mars A la faveur de l opérationnalisation effective du Secrétariat à l Harmonisation de l Aide (SHA) en 2010 et dans le cadre de la mise en œuvre du principe de l Appropriation prôné par la Déclaration de Paris, le Gouvernement du Mali et ses Partenaires Techniques et Financiers ont convenu de confier au SHA la mission d élaboration du Cadre des Ressources Extérieures à Moyen Terme. C est ainsi que depuis 2011, le rapport CRMT est élaboré par le Secrétariat à l Harmonisation de l Aide du Ministère de l Economie et des Finances. Le présent Rapport, à l instar des précédents, a été réalisé grâce à la participation active des différents partenaires techniques et financiers qui ont bien voulu renseigné le questionnaire qui leur a été adressé par le SHA. C est le lieu de remercier vivement tous ces PTF pour cette collaboration exemplaire et l engagement dont ils font preuve pour soutenir le Mali dans ses efforts de développement socio économique. Le cadre des ressources externes à moyen terme est l un des principaux outils permettant au Gouvernement et aux PTF d améliorer la prévisibilité de l aide qui favorise une gestion optimale des flux d aide au développement. Aussi, est-il important de noter que la prévisibilité de l aide fait partie intégrante d une part, des engagements majeurs pris par la communauté internationale dans le cadre de la Déclaration de Paris (2005) et du Programme d Action d Accra sur l efficacité de l aide (2008) et d autre part, du Plan National d Actions pour l Efficacité de l Aide adopté par le Gouvernement du Mali en 2007, ainsi que de la Stratégie Commune d Assistance Pays des PTF (SCAP I, ). Cet engagement sur l amélioration de la prévisibilité s accompagne également d une exigence en matière de transparence de l aide, comme souligné dans le partenariat de Busan pour une coopération efficace au service du développement à l occasion du quatrième forum de haut-niveau sur l efficacité de l aide en République de Corée (2011). La transparence et la prévisibilité de l aide font partie des engagements renouvelés par le Gouvernement et les Partenaires Techniques et Financiers au sein de la Stratégie Commune d Accompagnement Pays, phase 2 ( ) qui est en cours d élaboration. Enfin, il y a lieu de souligner que la redevabilité mutuelle est indispensable pour garantir l obtention de résultats et que des pratiques transparentes constituent le socle d une redevabilité renforcée. Le CRMT, à travers la diffusion d informations sur l utilisation des financements reçus, concourent justement à une meilleure redevabilité. Mamadou Igor DIARRA, Officier de l ordre National Ministre de l Economie et des Finances 4

5 Résumé exécutif L aide publique au développement a atteint un niveau particulièrement important en Cette mobilisation exceptionnelle de la communauté internationale en faveur du développement du Mali est faite notamment autour du Plan de Relance Economique Durable (PRED, ) adopté par le Gouvernement du Mali afin de permettre au pays de surmonter rapidement les effets néfastes de la crise multidimensionnelle qu il a connues en 2012 et de créer les conditions pour la relance économique. Cette mobilisation exceptionnelle s est manifestée le 15 mai 2013 à Bruxelles lors de la conférence internationale Ensemble pour le Renouveau du Mali dont les travaux se sont déroulés autour du PRED. Au terme de cette conférence, cinquante-cinq (55) partenaires techniques et financiers ont fait des annonces en faveur du Mali à hauteur 3,885 milliards d euros, soit environ milliards de F CFA. Pour la concrétisation de ces annonces, un mécanisme rigoureux de suivi a été mis en place par le Gouvernement et ses Partenaires (réunion internationale de suivi chaque trimestre et dont la cinquième et la dernière a eu lieu à Bamako le 17 février 2015). Il ressort des conclusions de la deuxième réunion internationale de suivi tenue à Bamako en février 2014, que les décaissements globaux réalisés au titre de l année 2013 dans le cadre de la mise en œuvre du PRED s élève à milliards de FCFA constitués à près de 75% par des dons. Il faut noter que les engagements financiers pris à Bruxelles le 15 mai 2013 étaient systématiquement liés au PRED. Ce qui fait que les chiffres du CRMT sont plus élevés que ceux du PRED, parce qu englobant tous les engagements pris en faveur du Mali, à l exception des données concernant quelques pays émergents. Ainsi, sur la période , le montant total des prévisions se chiffre à milliards de F CFA, contre une réalisation de Mrds pour la seule année 2013 qui reste fortement marqué par la mise en œuvre du PRED. A cela, il faudrait ajouter le fait que nombre de PTF ont des difficultés à donner plus de précisions sur leur prévision d aide audelà d une année. Alors que la part des décaissements réalisés en 2013 par les partenaires nontraditionnels était de 3%, les prévisions de ces derniers sur la période représentent 10% de l ensemble des prévisions. La part de l appui budgétaire (général et sectoriel) est de 7%. Ainsi, la très grande majorité des appuis attendus sur la période serait octroyée sous forme d aide projets/programmes inscrits ou non au budget d Etat. Par ailleurs, 56% des aides financières attendues sur la période seraient octroyés sous forme de dons. Les appuis prévus sont concentrés autour des secteurs 5

6 suivants : Développement rural, Energie, Santé, Environnement (dont Eau et Assainissement). Il ressort de l analyse des données chiffrées de 2013 et des prévisions de décaissements sur la période , la nécessité de renforcer le dialogue avec les PTF autour des points suivants afin de favoriser les conditions de réalisation d une première programmation indicative conjointe entre PTF : le renforcement de la prévisibilité des appuis financiers, une plus grande utilisation des systèmes et procédures nationaux par les PTF, une meilleure coordination entre PTF intervenant dans un même secteur d activités, la rationalisation des appuis en fonction des avantages comparatifs de chaque partenaire technique et financier, etc. 6

7 A. Méthodologie Pour la collecte des données financières, un questionnaire a été élaboré puis validé par le Gouvernement et ses Partenaires. Ainsi, sur la base dudit questionnaire, une opération de collecte des données a été entamée par le SHA suivant le chronogramme ci-après: - Avril 2014 : envoi du questionnaire aux PTF par le SHA ; - Mai 2014 : présentation des principales données à l occasion de la 3ème réunion internationale de suivi de la Conférence de Bruxelles ; - Juin 2014 : intégration des données dans le Projet de Loi de Finances rectificatives pour 2014 ainsi que dans le Cadrage budgétaire à Moyen-Terme (CBMT). L édition 2014 du CRMT concerne 53 PTF, contre 36 en 2013 et 34 en De là, on peut noter que le nombre de PTF pris en compte dans le CRMT a tendance à augmenter d année en année. Cette évolution du nombre de partenaires techniques et financiers impliqués dans le CRMT est imputable en partie au fait que d une part, de nouveaux PTF sont intervenus au Mali à la suite de la crise que le pays a connue en 2012 et d autre part, aux acquis du processus de suivi des engagements pris par certains PTF lors de la conférence internationale Ensemble pour le renouveau du Mali tenue à Bruxelles le 15 mai Aussi, est-on tenté de dire qu au fil des ans, le CRMT se rapproche de plus en plus de l exhaustivité. Les 53 PTF concernés par le présent CRMT se répartissent comme suit : 24 PTF bilatéraux : Abu Dhabi, Allemagne, Arabie Saoudite, Autriche, Belgique, Canada, Chine, Corée du Sud, Danemark, Espagne, Etats-Unis, France, Inde, Italie, Japon, Koweït, Luxembourg, Maroc, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède, Suisse et Turquie ; 28 PTF multilatéraux : Banque Africaine de Développement (BAD), Banque Arabe pour le Développement Economique de l Afrique (BADEA), Banque Islamique de Développement (BID), Bureau de Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies (OCHA), Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS), Bureau International du Travail (BIT), Communauté Economique des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO), Banque mondiale (BM), Banque Ouest- Africaine de Développement (BOAD), Fonds International pour le Développement Agricole (FIDA), Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme (FMSTP), Fonds Monétaire International (FMI), Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR), Organisation des Pays Producteurs et Exportateurs de Pétrole (OPEP), Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP), Fonds des Nations Unies pour l Enfance (UNICEF), Organisation Internationale des Migrations (OIM), Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), Organisation des Nations Unies pour l égalité des 7

8 sexes et l autonomisation des Femmes (ONU-FEMMES), Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture (FAO), Organisation des Nations Unies pour la Science, la Culture et l Education (UNESCO), Organisation des Nations Unies contre le SIDA (ONUSIDA), Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Programme Alimentaire Mondiale (PAM), Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Service d Action des Nations Unies contre les Mines (UNMAS), Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), et Union Européenne (Commission Européenne et Banque Européenne d Investissement). 1 PTF au statut unique : la Fondation Aga Khan. Le questionnaire validé 1 a été envoyé par le SHA à toutes les parties concernées pour renseignement et renvoi à l expéditeur. Une fois les données collectées, leur traitement et leur analyse ont été réalisés par le. Il y a lieu de noter toutefois que la méthode de collecte a varié selon le type de PTF : - pour les PTF traditionnels, le SHA a envoyé le questionnaire à leurs représentations locales et a appuyé celles-ci pour qu elles puissent au mieux le renseigner. Dans la plupart des cas, ces représentations l ont rempli en lien avec leur siège. - pour les PTF émergents, les questionnaires ont été remplis par le SHA, à partir des données collectées auprès de la Direction Nationale de la Planification et du Développement et de la Direction Générale de la Dette Publique. 1 La composition du questionnaire est détaillée en annexe. 8

9 B. Analyse des décaissements de Engagements et conventions signées Les engagements des partenaires techniques et financiers à travers des conventions signées avec le Gouvernement du Mali ont été de 2 551,32 Mrds de F CFA. Les PTF multilatéraux ont signé des conventions à hauteur de 1 443,04 Mrds de F CFA (soit 57% du total), contre 1 108,28 Mrds de F CFA (43%) pour les PTF bilatéraux. Les 5 premiers PTF dans la catégorie des multilatéraux ont été les suivants : - Banque mondiale : 633 Mrds de F CFA (soit 43% des multilatéraux) ; - Commission de l Union Européenne : 444 Mrds de F CFA (soit 31%) ; - BAD : 246 Mrds de F CFA (soit 17%) ; - BID : 35 Mrds de F CFA (soit 2,3%) ; - BOAD : 20 Mrds de F CFA (soit 1,4%). Dans cette catégorie de multilatéraux, quelques PTF appartenant au Système des Nations Unies (SNU) se sont distingués. Il s agit notamment de : - la FAO : 15 Mrds de F CFA (soit 40 % du SNU) ; - l UNHCR : 9,7 Mrds de F CFA (soit 26%) ; - l ONU Femmes : 4,9 Mrds de F CFA (soit 13%) ; - l UNIMAS : 3,7 Mrds de F CFA soit (9,5%) ; - l OCHA : 3 Mrds de F CFA (soit 8%). Les cinq PTF bilatéraux les plus importants en termes d engagements ont été : - le Canada : 267 Mrds de F CFA (soit 24% des PTF bilatéraux) ; - la France : 169 Mrds de F CFA (soit 15%) ; - l Allemagne : 131 Mrds de F CFA (soit 12%) ; - le Danemark : 110 Mrds de F CFA (soit 10%) ; - Japon : 66 Mrd de F FCFA (soit 6%). 9

10 2. Décaissement de l aide par instrument En 2013, les décaissements des PTF pris en compte dans le CRMT ont atteint un niveau record. En effet, les décaissements ont atteint milliards de F CFA en 2013, ce qui représente une augmentation de 92% par rapport aux décaissements recensés en 2011 (554 Mrds de F CFA) et de 248% par rapport à ceux de 2012 (305 Mrds de F CFA). Ceci témoigne l élan de solidarité de la communauté internationale en faveur du Mali pour accélérer la sortie du pays de la crise multiforme qu il a connue en 2011 et Sur les Mrds décaissés en 2013, 251 Mrds ont transité via un autre bailleur public. Ces 251 Mrds ont pour l essentiel été fournis par des bailleurs bilatéraux (à hauteur de 75%) à des bailleurs multilatéraux. Cependant, force est de constater que ces appuis financiers octroyés en 2013 ont été majoritairement délivrés à travers des projets non-inscrits au budget d Etat. En effet, 659,6 Mrds de FCFA, soit près des deux tiers (63%) de l aide totale, ont été délivrés au travers de cet instrument. Près d un cinquième de l aide (195 milliards de F CFA, soit 18%) ont été fournis via l aide/projets inscrits au budget d Etat. L Appui Budgétaire Général (ABG) s est élevé à 188,5 Mrds, soit environ 18% du total. L Appui Budgétaire Sectoriel (ABS) a représenté moins d un pour cent de l ensemble des appuis, soit 10 Mrds de FCFA. Bien que le volume d Appui Budgétaire (global et sectoriel) décaissé en 2013 ait augmenté de 32% entre 2011 et 2013, la part relative de cet instrument par rapport au total a connu une diminution (27% en 2011 à 18% en 2013). Figure 1: Répartition des décaissements 2013 par instrument 2.1 Aide Budgétaire Générale (ABG) En 2013, huit partenaires techniques et financiers ont pratiqué l ABG pour un montant total de 188,5 Mrds de F CFA, dont la quasi-intégralité (95%) a été fournie par la 10

11 Commission Européenne (41,8%), la Banque Africaine de Développement (16,2%), la Banque Mondiale (13,1%), la France (12,7%) et le Fonds Monétaire International (11,1%). PTF Tableau 1 : Contributions des PTF à l ABG en milliards de FCFA Décaissements effectifs 2013 Contribution en% Banque Africaine de Développement 30,6 16,2 Banque Mondiale 24,6 13,1 Commission Européenne 78,8 41,8 Danemark 5,4 2,9 Fond Monétaire International 21,0 11,1 France 24,0 12,7 Maroc 2,0 1,1 UEMOA 2,0 1,1 Total général 188,5 100,0 2.2 Appui Budgétaire Sectoriel (ABS) En 2013, deux partenaires techniques et financiers (Pays Bas et Danemark) ont fait de l ABS pour un montant total de 10 milliards de F CFA, dont 83% pour les Pays Bas et 17% pour le Danemark. Figure 2 : Contribution des PTF à l'aide budgétaire sectorielle 2.3 Aide projets inscrits au budget d Etat En 2013, vingt-trois partenaires techniques et financiers ont apporté un appui financier pour des projets qui ont fait l objet d inscription au budget d Etat pour un montant de 195 milliards de F CFA. Les trois-quarts (3/4) de ce montant ont été apportés par la Banque Mondiale (27%), l UNICEF (17%), la Banque Africaine de Développement (9%), l Allemagne (9%), la Chine (8%), la Banque Islamique de Développement (5%). 11

12 Figure 3 : Contribution des PTF à l'aide-projet inscrit au budget de l'etat 2.4 Aide projets hors budget d Etat Trente-six partenaires techniques et financiers ont décaissé 659,6 milliards de FCFA en 2013 pour mettre en œuvre des projets non-inscrits au budget d Etat. Plus de la moitié de ce montant a été fournie par les Etats-Unis (27%), la Commission Européenne (14%), et le Programme Alimentaire Mondial (10%). Plus de 3/5 de l aide (62%) sont acheminés à travers cet instrument, contre 54% en 2011 et 75% en Cette tendance à la hausse par rapport à 2011 pourrait dénoter un certain écart par rapport au principe de l alignement édicté dans la Déclaration de Paris sur l efficacité de l aide. 12

13 Tableau 2 : Contribution des PTF à l'aide projet hors budget en milliards de FCFA Total général en milliards de FCFA = 659,6 Etats-Unis 177,30 Espagne 7,91 Commission Européenne 94,99 OMS 5,32 PAM 68,64 Chine 5,00 Japon 45,06 FAO 4,47 Allemagne 32,31 Luxembourg 4,35 Canada 30,98 UNMAS 3,66 Fonds Mondial 20,63 OCHA 3,08 France 19,39 The Aga Khan Foundation 2,70 Suède 18,93 UNFPA 2,20 UNICEF 17,29 OIM 2,06 RU 16,00 ONU FEMMES 1,98 Suisse 14,08 Italie 1,17 PNUD 13,81 UEMOA 1,00 Norvège 13,64 Turquie 0,50 Pays Bas 10,49 BIT 0,27 Danemark 10,32 UNESCO 0,18 UNHCR 9,77 ONUSIDA 0,15 3. Décaissement de l aide par nature de financement En 2013, plus de 4/5 des décaissements (1 063 Mrds de F CFA) étaient constitués de dons (83,6%), soit 890 milliards de F FCA. Le reste était constitué d emprunts (16,4%) pour un montant de 173 milliards de F CFA. En 2011, ces ratios étaient respectivement de 71% et 29%. Ainsi, la part des dons a augmenté de 13 points de pourcentage entre 2011 et Ceci s explique essentiellement par la forte mobilisation de la communauté internationale pour accompagner le Mali dans la mise en œuvre du Plan de Relance Economique Durable. La contribution des partenaires bilatéraux a été évaluée à plus de 90% de dons. Cette part a été relativement plus faible pour les partenaires multilatéraux (75%). Figure 4 : Répartition des dons et des prêts entre PTF bilatéraux et multilatéraux 13

14 Ainsi, on peut noter que : L ABG a été financé à concurrence de 2/3 par des dons ; L ABS a été intégralement financé par des dons ; les projets inscrits au budget d Etat ont été financés environ pour moitié par des emprunts ; enfin, la presque totalité des projets non-inscrits au budget d Etat (98%) ont été financés par des dons. Photo: Puits moderne à Zambougou dans la Commune de Massantola. Banque Africaine de Développement 4. Décaissement de l aide par type de partenaire technique et financier La contribution des partenaires techniques et financiers bilatéraux en 2013 a atteint 548,8 Mrds de FCFA (soit 52% des décaissements totaux), légèrement supérieure à celle des PTF multilatéraux (514 Mrds de FCFA, soit 48% du total). Par le passé, la contribution des partenaires techniques et financiers bilatéraux était généralement plus élevée. La part des partenaires techniques et financiers émergents a connu une baisse entre 2009 (10%) et 2013 (3%). Tableau 3: Répartition PTF bi/multi, traditionnel/émergent Types de PTF PTF bilatéraux 54% 57% 50% 52% PTF multilatéraux 46% 43% 50% 48% Total 100% 100% 100% 100% PTF traditionnels 90% 94% 94% 97% PTF dits non traditionnels 3% 10% 6% 6% (émergents) Total 100% 100% 100% 100% 14

15 Les partenaires bilatéraux, tout comme les multilatéraux, ont fourni la majorité de leurs appuis via l aide hors budget d Etat. Seuls les partenaires bilatéraux ont été actifs dans l ABS, contrairement à l ABG où les multilatéraux ont été plus actifs. Figure 5 : Répartition par instrument entre PTF bilatéraux et multilatéraux Pour les besoins de l analyse, les partenaires techniques et financiers ont été regroupés en différentes catégories : Union Européenne et ses Etats-Membres, Système des Nations Unies, Banques de développement internationales et Organisation sous régionale (UEMOA), Partenaires techniques et financiers dits non-traditionnels, Autres PTF traditionnels 2. Figure 6 : Part des décaissements par type de PTF 2 Etats-Unis, Japon, Canada, Fond Mondial, Norvège, Suisse 15

16 Sur le graphique ci-après, on peut observer les différentes pratiques de livraison de l aide par type de partenaires techniques et financiers. Ainsi, il ressort de ce graphique que la catégorie «autres PTF» a utilisé presqu exclusivement l aide projet hors budget d Etat. Figure 7 : Décaissement par instrument et catégorie de PTF L Union Européenne et ses Etats-Membres : Ils ont décaissé 387,6 milliards de FCFA en 2013, soit un peu plus de 36% des décaissements totaux. Plus de la moitié de leurs aides (58%) ont servi à financer des projets non-inscrits au budget d Etat. La part de l ABG fourni a été de 28% de leurs décaissements. Par contre, celle de l ABS a été de 3%. Les principaux contributeurs de ce groupe de PTF sont : la Délégation de l UE (UE), l Allemagne et la France dont les parts respectives ont été de 45%, 13% et 11%. Figure 8 : Décaissement de PTF Européens Pays Bas 6% RU 4% Suède 5% Belgique 4% Luxembourg 3% Italie 0% UE 45% Autriche 0% France 11% Allemagne 13% Espagne Danemark 3% 6% 16

17 Les autres PTF ont contribué à hauteur de 29% de l ensemble des décaissements pour un montant de 310 milliards de F CFA, dont la quasi-intégralité (301 milliards de F CFA) ont servi à financer des projets n ayant pas été inscrits au budget d Etat. Dans cette catégorie, on retrouve les Etats-Unis qui ont contribué pour plus de la moitié (57%) des financements octroyés par lesdits PTF. Le Japon et le Canada ont contribué respectivement à hauteur de 15% et de 12%. Figure 9 : décaissement des autres PTF Le Système des Nations-Unies (dont le FMI et la Banque mondiale) a décaissé 271 milliards de F CFA, soit 26% des décaissements totaux. La moitié de ce montant a servi à financer des projets non-inscrits au budget d Etat. Le montant des projets inscrits au budget d Etat a été évalué à un tiers de la contribution de ce groupe de PTF. Le reste (17%) a été délivré sous forme d appui budgétaire général. Les principaux contributeurs des membres du Système des Nations Unies sont la Banque Mondiale, le Programme Alimentaire Mondial, et l UNICEF qui ont contribué respectivement à hauteur de 28%, 25% et 18%. 17

18 Figure 10 : Contribution des PTF du SNU au décaissement Organisations sous régionales et autres Banques internationales de développement : Elles ont décaissé environ 6% du total, soit 63 milliards de F CFA. Plus de la moitié de ce montant (52%) a été décaissé sous forme d ABG. Près de 47% des décaissements ont servi à financer des projets inscrits au budget d Etat. Le reste (1%) a servi à financer des projets non-inscrits au budget d Etat. La Banque Africaine de Développement a été de loin le premier contributeur de ce groupe avec 77% de leurs décaissements totaux. La Banque Islamique de Développement s est classée en seconde position avec 17%. PTF Tableau N 4 : décaissement et contribution des PTF banques Décaissement effectifs 2013 Contribution en % BAD 48,7 77 UEMOA 3,0 4,8 BADEA 0,6 1,0 BID 10,7 17 BOAD 0,1 0,1 Total général 63,0 100,0 Les partenaires techniques et financiers dits non-traditionnels : Ils ont contribué à hauteur de 3% de l ensemble des aides octroyées au Mali, soit 30,8 milliards de FCFA. Plus des deux-tiers de ce montant ont servi à financer des projets qui sont inscrits au budget d Etat, contre 28% pour des projets non-inscrits au budget d Etat. Six pour cent (6%) de la contribution desdits PTF ont été apportés sous forme d appui budgétaire général. Dans ce groupe, le principal PTF est la Chine qui a contribué à hauteur de 69%. La Fondation Aga Kahn, avec 9%, s est classée en deuxième position. 18

19 Figure 11 : Contribution des PTF non traditionnels au décaissement 5. Analyse par secteur Sans tenir compte des appuis identifiés comme «multi-priorités (dont ABG)» et «Autres», l aide apportée en 2013 a été majoritairement concentrée (75%) dans 4 secteurs qui illustrent les défis conjoncturels (Urgences Humanitaires, Paix et la Sécurité) et structurels (Développement rural et Santé) auxquels le Pays est confronté. En effet, pour faire face à la crise politique et sécuritaire qui a marqué la période , un nombre important de partenaires techniques et financiers ont apporté leurs appuis au Mali dans le domaine des urgences humanitaires devenu ainsi le premier secteur de concentration de l aide au cours de cette période. En effet, le montant total alloué à ce secteur a été de 257 milliards de F CFA, soit environ 32% du montant total. En 2013, les appuis visant à promouvoir la paix et la sécurité ont constitué environ 17% de l ensemble. Ainsi, près de la moitié de l aide (49%) recensée en 2013 a été mobilisée pour atténuer les conséquences de la crise. Sur les 251 Mrds de F CFA mobilisés via un autre PTF public, 109 Mrds de F CFA (soit 43% du montant total) ont servi à financer des activités relatives au secteur des urgences humanitaires. 19

20 Photo : Batteuse de riz - PNUD Mali/O.Diop Le développement rural et l amélioration du niveau de santé des populations constituent des défis classiques de développement auxquels le Mali est confronté. Ainsi, environ 16% et 13% des décaissements totaux ont été orientés respectivement vers les secteurs du Développement rural et de la Santé. Tous les autres secteurs ont vu leur part diminuer par rapport à 2011, et cela au profit des nouveaux besoins en matière humanitaire et sécuritaire. Figure: 12 Répartition par secteur des décaissements de

21 a. Répartition Prêt/Don par secteur Trois secteurs ont été majoritairement financés par des prêts : Technologie de l Information et de la Communication (100%), Energie (95%), Secteur privé et Climat des Affaires (67%). Le secteur du développement rural est financé à part quasi-égale par des dons (52%) et par des prêts (48%). Les autres secteurs sont très majoritairement financés par des dons. Figure 13 : Répartition Prêt/Don par secteur 5.2 Concentration de l aide par secteur La majorité de l aide est fournie par quelques partenaires techniques et financiers. Ainsi, le pourcentage cumulé des 5 plus grands PTF par secteur varie de 64% à 100%, avec une moyenne qui s établit à 89%. Culture : The Aga Khan Foundation (38%), Unesco (20%), Suisse (18%), Luxembourg (15%), France (9%). Total = 100%. Développement rural : Banque Mondiale (20%), Programme Alimentaire Mondial (14%), Chine (12%), Banque Africaine de Développement (10%), Etats-Unis (8%). Total = 64% Education : Unicef (25%), Pays-Bas (21%), Suisse (17%), Canada (10%), Luxembourg (10%). Total=83%. Elections : PNUD (38%), Commission Européenne (30%), Suède (9%), Norvège (9%), Pays-Bas (6%). Total=92% Energie : Banque Mondiale (78%), Banque Islamique de Développement (16%), France (3%), Banque arabe pour le développement économique de l Afrique (1%), FIDA (1%). Total=99% 21

22 Environnement (dont Eau et Assainissement) : Commission Européenne (29%), Suède (16%), Danemark (13%), Canada (13%), Banque Africaine de Développement (8%). Total=79%. Genre : ONUFEMMES (54%), Espagne (17%), Suède (14%), FNUAP (12%), Belgique (2%). Total=99% Finances publiques : France (100%) Gouvernance et Décentralisation : Etats-Unis (37%), Banque Mondiale (10%), Commission Européenne (7%), PNUD (6%). Total = 60% Justice et Lutte anti-corruption : Pays-Bas (57%), Commission Européenne (22%), Canada (21%). Total = 100% Paix et Sécurité : Etats-Unis (56%), Commission Européenne (25%), Allemagne (14%), Luxembourg (2%), Pays-Bas (1%). Total=98% Santé : Etats-Unis (33%), Fond Mondial (19%), Canada (18%), Unicef (9%), Pays- Bas (8%). Total=87% Secteur privé et Climat des Affaires : France (70%), Danemark (26%), Suisse (3%), Allemagne (1%). Total=100% Photo : Unité de filature financée par le PAFICOT. Banque Africaine de Développement. Technologie de l Information et de la Communication : Chine (100%) Urgences Humanitaires : Programme Alimentaire Mondial (20%), Etats-Unis (17%), Japon (16%), Commission Européenne (8%), UNICEF (7%). Total = 68%. 22

23 Le nombre de PTF actifs dans les différents secteurs est particulièrement hétérogène. Il varie de 1 à 25. On peut notamment distinguer 3 groupes : Secteurs où le nombre de PTF est inférieur ou égal à 5 : Gestion des Finances Publiques, Technologie de l Information et de la Communication, Justice et Lutte Anti- Corruption, Culture, Secteur privé et climat des affaires ; Secteur où le nombre de PTF est compris entre 6 et 15 : Genre, Energie, Education, Elections, Paix-Sécurité, Multi-priorités, Gouvernance et Décentralisation, Environnement (dont Eau et Assainissement) ; Secteur où le nombre de PTF est supérieur à 15 : Santé, Urgences Humanitaires, Développement rural, Autres. Figure 14: Répartition du nombre de PTF par secteur 23

24 C. Analyse des prévisions de décaissement 2014 Les prévisions de décaissement en 2014 ont été évaluées à 900 milliards de F CFA, soit une diminution de plus de 150 Mrds de F CFA par rapport aux décaissements de 2013 qui se sont chiffrés à Mrds F CFA. Trois quarts du montant des prévisions d aide seront apportés par 10 partenaires et techniques et financiers. Figure 12: Répartition des prévisions de décaissement 2014 par PTF Ces prévisions de décaissements sont concentrées à près de 80% sur cinq secteurs : Urgence Humanitaire (27%), Multi-priorités, dont ABG (16%), Développement rural (16%), Santé (11%), Environnement dont Eau et Assainissement (8%). 24

25 Figure 16: Répartition des prévisions de décaissement par secteur Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan de Relance Durable du Mali, le dispositif de suivi des engagements des partenaires techniques et financiers a révélé que les décaissements globaux (Bruxelles et hors Bruxelles) effectuées en 2014 s élevaient à 833 milliards de F CFA. L analyse détaillée des décaissements effectifs de 2014 sera présentée dans le prochain rapport du cadre des ressources externes à moyen-terme

26 D. Prévisions de l aide Le montant des prévisions d aide publique au développement recueillies auprès des partenaires techniques et financiers a été évalué à milliards de F CFA sur la période A titre de comparaison, les décaissements enregistrés dans le cadre de la mise en œuvre du Plan de Relance Durable du Mali sur la période ont atteint milliards de F CFA sur une prévision de Mrds de F CFA. La programmation budgétaire prévue dans le cadre des dépenses à moyen-terme indique que les dépenses en capital financées sur les ressources domestiques s élèvent à milliards de F CFA, contre milliards de F CFA pour l aide au développement au titre de la même période. Figure 17: Evolution des prévisions d'aides et de dépenses en capital financées sur ressources internes sur la période Source : SHA, DGB Toutefois, il convient de noter que la baisse des prévisions d aides sur la période est beaucoup plus liée aux contraintes des partenaires techniques et financiers à s inscrire dans une approche programmatique pluriannuelle, plutôt que le signe d un essoufflement de l aide. En effet, sur les données collectées auprès de 53 partenaires techniques et financiers, il convient de signaler que seuls 36 PTF ont été en mesure d indiquer leurs prévisions d aide pour 2015, seulement 24 pour 2016, et 14 pour Ceci pose avec acuité la problématique de la prévisibilité de l aide. 26

27 1. Analyse des prévisions des décaissements de l aide par instrument Sur les milliards de F CFA programmés par les partenaires techniques et financiers sur la période , l aide à délivrer via des projets inscrits au budget d Etat est la plus importante. En effet, sa part dans les prévisions d aides sur ladite période s élèverait à 59%. Quant aux projets non-inscrits au budget d Etat, leur part ne dépasserait pas un tiers de l ensemble des prévisions d aides. Ainsi, les appuis prévus transitant directement par le budget de l Etat (aide budgétaire générale et aide budgétaire sectorielle), constitueraient pratiquement une exception. En effet, l aide budgétaire globale et l aide budgétaire sectorielle feraient moins de 10% des prévisions d aides sur la période , alors que cette part était de 21,4% dans le cadre du financement du Plan de Relance Durable du Mali ( ). Tableau 5 : Prévisions d'aide par instrument Instruments /ans Contribution en % ABG 39,8 12,8 7,6 60,3 4,7 ABS 17,7 7,0 4,4 29,2 2,3 Projet dans le Budget d'etat 316,2 268,3 165,6 750,1 59 Aide hors budget d'etat 266,8 129,6 34,7 431,1 33,9 Total général 640,4 417,8 212, ,6 100 Figure 18: Prévisions de l'aide par instrument L appui budgétaire général (ABG) : Quatre partenaires techniques et financiers (Banque Mondiale, Banque Africaine de Développement, France et Commission Européenne) ont annoncé des prévisions d appui budgétaire général sur la période. Le montant total annoncé par ces quatre PTF s élèverait à 60,3 milliards de F CFA (soit 4.7%) du volume total sur la période , dont 39,8 milliards de F CFA pour L appui budgétaire général 27

28 serait majoritairement constitué de prêts (86%). Les discussions dans le cadre des revues budgétaires conjointes devraient permettre d affiner ces chiffres pour les années 2016 et L appui budgétaire sectoriel (ABS) prévu sur la période atteindrait 29,2 milliards (2.3% du total) de F CFA, dont 17,7 milliards pour l année Deux partenaires techniques et financiers (Canada et Pays-Bas) ont prévu d intervenir dans l ABS au profit des secteurs suivants : Education, Santé, Justice et Lutte contre la corruption. L appui budgétaire sectoriel est intégralement constitué de dons. Les projets intégrés dans le budget d Etat constitueraient la majorité des appuis programmés par les partenaires techniques et financiers. Le financement attendu se chiffrerait à 750 milliards de F CFA (59% du total) sur les trois années ( ), dont plus de la moitié (55%) serait fournie sous forme de prêts. Vingt-trois partenaires techniques et financiers apporteraient leurs appuis via cet instrument. Enfin, les prévisions d aide hors-budget d Etat atteindraient 431 Milliards de F CFA (soit 40% du total) sur la période , dont 267 milliards en Vingt et un partenaires techniques et financiers ont prévu d intervenir via cet instrument. 2. Prévisions d aide par nature de financement Sur Mrds de F CFA de prévisions d aide publique au développement sur la période , plus de la moitié (56%) seraient octroyés sous forme de dons. Il y a lieu de signaler toutefois une tendance à la baisse de la part des dons dans l aide publique au développement. En effet, au cours des années 2011 et 2012, cette part représentait respectivement 71% et 78%. Sur la période , elle était de l ordre de 75% en moyenne. Figure 19: Evolution des prévisions des prêts et des dons sur la période

29 3. Prévisions de l aide par type de partenaire technique et financier Les partenaires multilatéraux fourniraient plus de la moitié (59%) des prêts contre 41% pour les bilatéraux. Concernant les dons, 57% seraient fournis par les PTF multilatéraux contre 43 % par les bilatéraux. Figure 20: Répartition des prêts et des dons entre PTF bilatéraux et multilatéraux Le Système des Nations Unies contribuerait à hauteur d un tiers des prévisions d aide publique au développement. La contribution des partenaires techniques et financiers dits «non-traditionnels» atteindrait près d un cinquième de l ensemble des prévisions (18%), légèrement plus que celle de l Union Européenne et de ses Etats-Membres (17%). La part des organisations sous régionales et des banques internationales de développement se chiffrerait à 12% de l ensemble des prévisions d aides. Enfin, la contribution des autres partenaires techniques et financiers (Canada, Etats- Unis, Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme) s élèverait à 21%. Figure 21: Prévisions des décaissements sur la période par type de partenaires techniques et financiers 29

30 Figure 22 : Répartition des prévisions de décaissements par type de PTF a. Les prévisions d aides du Système des Nations-Unies atteindraient 407 milliards de F CFA, soit près d un tiers du total (32%). Sur ce montant, 252 milliards de F CFA seraient apportés par la Banque Mondiale (62%) et l UNICEF (près de 100 milliards de F CFA, soit 24%). Figure 23: Prévisions des PTF, membres du système des Nations-Unies b. Les prévisions des partenaires techniques et financiers dits «non-traditionnels» sont évaluées à 226 Mrds de FCFA, soit près d un cinquième (18%) de l ensemble des prévisions d aides. Sur ce montant, la Chine apporterait plus de la moitié (56%), soit environ 127 Mrds de F CFA. 30

31 Figure 24 : Prévisions d'aide des partenaires techniques et financiers dits non-traditionnels c. La contribution de la Délégation de l Union Européenne et des Etats Membres de l Union : Elle se chiffrerait à 220 milliards de F CFA (soit 17% du total), dont la moitié devrait provenir des Institutions de l Union Européenne. La France et l Allemagne contribueraient chacune à hauteur de 15% du total. Figure 25 : Prévisions d'aide de l Union Européenne et de ses Etats membres d. Les contributions des organisations sous régionales et des autres banques Internationales de développement (Banque Mondiale exclue) devraient représenter 12% de 31

32 l ensemble des prévisions, soit 151 milliards de F CFA, dont plus de la moitié devrait être apportée par la Banque Africaine de Développement. Figure 26 : Prévisions d'aide des organisations régionales et des banques internationales de développement e. Les autres partenaires techniques et financiers : Il s agit essentiellement de la coopération bilatérale hors Union-Européenne, du Fonds Mondial de Lutte contre la Tuberculose, le Sida et le Paludisme. Elles contribueraient à hauteur de 267 milliards de F CFA, soit 21% des prévisions d aides sur la période Les trois cinquième (3/5) de ce montant seraient apportés par le Canada (43%) et les Etats-Unis (19%). Figure 27 : Prévisions d'aide des autres PTF 4. Prévisions d aides par secteur Sans tenir compte des appuis prévus dans les secteurs «multi-priorités, dont ABG» et «Autres», l aide serait concentrée majoritairement dans 5 secteurs qui absorberaient les trois quarts de l aide totale prévue. 32

33 Figure 28 : Répartition sectorielle des prévisions Le Développement rural serait le principal secteur bénéficiaire avec un quart des appuis financiers totaux prévus. Le secteur de l énergie arriverait en deuxième position avec 19% du total. Les parts relatives des secteurs de la santé, de l environnement (dont l Eau, et l Assainissement) et de l «équipement et du transport» seraient respectivement de 14,5%, 11%, 8% des prévisions de décaissement. La paix et de la sécurité, ainsi que les interventions dans les urgences humanitaires qui constituaient une part prépondérante dans les appuis sur la période , ne représenteraient plus que 1,3% de l ensemble des appuis sur la période ; ce qui pourrait traduire un transfert progressif des appuis d un contexte de crise vers un contexte plus classique du développement. 4.1 Répartition sectorielle des prêts Les prêts seraient de l ordre de près de 557 milliards de F CFA, soit 45% du total des appuis. Sans prendre en compte ceux identifiés comme «multi-priorités, dont ABG», les prêts seraient concentrés majoritairement dans trois secteurs, à savoir : Energie, Développement rural et Equipement/Transport. Plus d un tiers (37%) des prêts contractés concerneraient le secteur de l énergie, un quart (25%) serait alloué au développement rural et 14% au secteur «Equipement et Transport». 33

34 Figure 29: Répartition sectorielle des prêts 4.2 Répartition sectorielle des dons L aide octroyée sous forme de don sur la période serait concentrée à hauteur de 90% dans les cinq secteurs clés ci-après. Les secteurs sociaux de base Santé et Education bénéficieraient respectivement de 29% et 15% du total des dons. La part du secteur Développement rural serait de l ordre de 25%, tandis que celle des secteurs de la «Gouvernance et Décentralisation» et de l Environnement (dont Eau et Assainissement) serait chacune de 10% du montant total des dons prévus sur la période

35 Figure 30: Répartition sectorielle des dons 4.3 Répartition Prêt/Dons par secteur Certains secteurs seraient exclusivement ou quasiment financés par des prêts (TIC, Energie, Equipement-Transport). Par contre, d autres seraient financés uniquement par des dons. Il s agit des secteurs suivants : Paix et Sécurité, Secteur privé et Climat des Affaires, Education, Santé, Culture, Genre, Urgence Humanitaire, Justice, Gestion des Finances Publiques. Les secteurs ci-après seraient financés de façon plus ou moins équilibrée par des dons et des prêts : Environnement (44% de dons et 56% de Prêts), Développement rural (51% de dons et 49% de Prêts). Figure 31: Répartition sectorielle des dons et des prêts 35

36 4.4 Concentration des partenaires techniques et financiers actifs par secteur Le nombre de PTF actifs par secteur varierait de 19 à 1. Trois types de secteurs pourraient ainsi être répertoriés : - secteur ayant le plus grand nombre d intervenants : Développement rural avec l implication de 19 partenaires techniques et financiers ; - secteurs dont le nombre d intervenants serait égal ou supérieur à 7 mais inférieur à 19 : Santé (12) ; Environnement (11) ; Gouvernance et Décentralisation (10) ; Equipement et Transport (8) ; Energie (8) ; Education (7) ; - secteurs dont le nombre d intervenants serait inférieur à 7 : Paix et Sécurité 4, Secteur privé 3, Genre 3, Justice 3, TIC 2, Urgences 1, Culture 1, Finances Publiques 1. Figure 32: Concentration des PTF actifs par secteur 36

37 Tableau N 6 : Partenaires actifs par secteur Développement rural Santé Environnement (dont Eau et Assainissement) Gouvernance et Décentralisation Equipement et Transport Energie Education Paix et Sécurité Secteur Privé Genre Justice et Lutte contre la corruption Technologie de l'information et de la Communication Urgences humanitaires Culture Finances Publiques Allemagne, Arabie Saoudite, Banque Africaine de Développement (BAD), Banque Arabe pour le Développement Economique de l'afrique (BADEA), Banque Mondiale, Belgique, Banque Ouest- Africaine de Développement (BOAD), Banque d'investissement et de Développement Communautaire (BIDC/CEDEAO), Commission Européenne, Corée du Sud, Etats-Unis, Organisation des Nations Unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO), Fonds International pour le Développement de l'agriculture (FIDA),,France, Koweït, Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP), Pays-Bas, Suisse, Luxembourg Autriche, Banque Mondiale, Belgique, Canada, Espagne, Etats- Unis, Fonds Mondial, France, Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Pays-Bas, UNFPA, UNICEF, Luxembourg Allemagne, BADEA, Banque Mondiale, BOAD, BIDC/CEDEAO, Commission Européenne, France, ONUDI, OPEP, Suède Allemagne, Banque Mondiale, Belgique, Canada, Commission Européenne, Etats-Unis, PNUD, Suède, Suisse, Luxembourg BIDC/CEDEAO, Commission Européenne, BAD, Banque Mondiale, BADEA, Chine, OPEP BAD, BADEA, Banque Mondiale, BOAD, CEDEAO/BIDC, Chine, Commission Européenne, OPEP Allemagne, Banque Mondiale, Canada, Etats-Unis, France, Suisse, UNICEF Allemagne, Pays-Bas, Commission Européenne, Suisse, Luxembourg Allemagne, Canada, France Belgique, ONU-FEMME, UNFPA Canada, Commission Européenne, Pays-Bas Chine et Corée du Sud UNHCR, Luxembourg UNESCO BAD 37

38 4.5 Analyse des contributions des PTF par secteur Croissance économique et secteur productif Dans le secteur du développement rural, dix-neuf partenaires techniques et financiers ont prévu d intervenir à hauteur de 251 milliards de F CFA sur la période Cinq partenaires techniques et financiers apporteraient plus des trois quarts de ce montant (Banque Mondiale 28,5%, Banque Africaine de Développement 12,5%, Canada 12,5%, Banque Ouest-Africaine de Développement 9,4%, Fonds International pour le Développement Agricole 5,8%). Huit partenaires techniques et financiers ont envisagé d intervenir financièrement dans le secteur de l Energie pour un montant de 189 milliards de F CFA. La Chine (41,2%), l Inde (17,7%), la Banque Mondiale (17,5%) et Abu Dhabi (16,5%), contribueraient à eux quatre au financement de ce secteur pour près de 93% du total. Il est prévu un montant de 85 milliards de F CFA pour le secteur de l Equipement et du Transport, dont les trois quarts seraient apportés par la Banque Ouest Africaine de Développement (35%), la Chine (26%), et l Union Européenne (15,4%). Au total, 8 partenaires techniques et financiers seraient impliqués dans ce secteur. Le secteur des technologies de l information et de la communication ne bénéficierait que de l appui financier de la Chine (26,2 Mrds de F CFA) et de la Corée du Sud (9,3 Mrds de F CFA). En vue de soutenir le secteur privé et le climat des affaires, trois partenaires techniques et financiers ont prévu un appui de près de 10 Mrds de F CFA, dont le Canada (5,62 Mrds de F CFA) et la France (4,16 Mrds de F CFA) Développement social inclusif Dans le secteur de l éducation, sept partenaires techniques et financiers ont prévu de mobiliser la somme de 74,4 Mrds de F CFA. Les trois-quarts de ce montant seraient octroyés par le Canada (36%), la Banque Mondiale (22%) et l UNICEF (17%). Douze partenaires techniques et financiers ont prévu d intervenir dans le secteur de la santé pour un montant total de 145 Mrds de FCFA. Les trois plus grands contributeurs de ce secteur seraient le Fonds Mondial de Lutte contre la Tuberculose, le Sida et le Paludisme (51,1Mrds de F CFA), le Canada (35,1 Mrds de F CFA) et les Etats-Unis (26,6 Mrds de F CFA). Ils apporteraient à eux seuls plus de 75% de ce montant. Le Haut-Commissariat aux Réfugiés est le seul PTF qui à prévu d intervenir dans les opérations humanitaires et d urgence pour un montant de 8,5 Mrds de F CFA. Plus de 111 milliards de FCFA devraient être alloués au secteur de l Environnement (dont l Eau et l Assainissement). Les quatre cinquième de ce montant seraient apportés 38

39 par 4 partenaires techniques et financiers : Banque Mondiale (41,5%) ; Banque Africaine de Développement (14,6%) ; France (12,8%) et Union Européenne (11,5%). Dans le secteur du Genre, trois partenaires techniques et financiers (ONU-Femmes, FNUAP, Belgique) ont prévu de financer ledit secteur à hauteur de 1,5 milliards de FCFA, dont plus des deux-tiers seraient apportés par l ONU-Femme. Dans le secteur de la Culture, seul l UNESCO a prévu d apporter une contribution d un montant de 0,24 Mrds de FCFA Gouvernance et Développement institutionnel Dix partenaires techniques et financiers ont prévu d être actifs dans le secteur de la gouvernance et de la décentralisation. Leurs prévisions de décaissements d aides pour la période s élèveraient à 75 milliards de FCFA, dont les trois quarts seraient mobilisés par quatre partenaires techniques et financiers : Banque Mondiale (31%), Allemagne (22%), Canada (12%) et Suisse (11%). Le secteur de la gestion des finances publiques serait appuyé par un seul partenaire technique et financier, à savoir la Banque Africaine de Développement pour un montant de 5,3 Mrds de F CFA. En ce qui concerne la justice et la lutte contre la corruption, trois partenaires techniques et financiers contribueraient à hauteur de 12,6 Mrds. Il s agit de la Commission de l Union Européenne (6,1 Mrds de F CFA), le Canada (5,17 Mrds de F CFA) et les Pays- Bas (1,3 Mrds de F CFA). Le Secteur de la Paix et de la Sécurité serait soutenu par quatre partenaires techniques et financiers pour un montant total de 5,4 Mrds de F CFA. Ce sont : l Allemagne (2,3 Mrds de F CFA), la Commission de l Union Européenne (2 Mrds de F CFA), les Pays- Bas (0,75 Mrds de F CFA) et la Suisse (0,42 Mrds de F CFA). 39

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