Stabilité - Critères algébriques
|
|
- Bérengère Lepage
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Stabilité - Critères algébriques BTS CIRA Lycée René Descartes, Saint Genis Laval
2 Programme de l exposé 1 Introduction 2 Stabilité d une fonction de transfert Définition Pôles d une fonction de transfert Définition Pôles d une fonction de transfert Critère général de stabilité 3 Cas des systèmes bouclés pôles de la FTBF robustesse 4 annexe
3 0, 2 H 1 (p) = p(1 + 6p) On souhaite déterminer : Si le système en boucle fermée sera stable. Les valeurs de A, Td, Ti, qui permettront d obtenir des performances optimales pour la boucle. H 2 (p) = W p + 3p X Régulateur ε C(p) Y Procédé H(p)
4 Définiton Un procédé est stable quand, après une variation W de consigne ou Z de perturbation, la mesure atteint une valeur constante quand t tend vers l infini.
5 Définiton Un procédé est stable quand, après une variation W de consigne ou Z de perturbation, la mesure atteint une valeur constante quand t tend vers l infini. Pôles d une fonction de transfert Soit une fonction de transfert H(p) = N(p) pouvant être mise sous la D(p) forme d une fraction rationnelle. Les pôles d une fonction de transfert sont les racines de l équation D(p) =0 annulant le dénominateur.
6 Critère général de stabilité Im p Zone interdite ZI Re p
7 Critère général de stabilité Im p Zone interdite ZI Re p Critère général de stabilité Un système quelconque (bouclé ou non bouclé), de fonction de transfert G(p), est stable si tous les pôles de G(p) sont à partie réelle strictement négative (R(p) < 0).
8 Critère général de stabilité Im p Zone interdite ZI Re p Critère général de stabilité Un système quelconque (bouclé ou non bouclé), de fonction de transfert G(p), est stable si tous les pôles de G(p) sont à partie réelle strictement négative (R(p) < 0). Si un seul pôle est à R(p)(> ou =)0 système instable.
9 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO
10 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 :
11 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 : p 1 = 0; p 1 = 1 6
12 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 : p 1 = 0; p 1 = 1 6 donc H 1 instable en B.O.
13 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 : p 1 = 0; p 1 = 1 6 donc H 1 instable en B.O. pôles de H 2 :
14 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 : p 1 = 0; p 1 = 1 6 donc H 1 instable en B.O. pôles de H 2 : p 2 = i 3 ; p 2 = i 3
15 Critère général de stabilité Exemple : Stabilité des fonctions de transfert H 1 et H 2 en BO pôles de H 1 : p 1 = 0; p 1 = 1 6 donc H 1 instable en B.O. pôles de H 2 : p 2 = i 3 ; p 2 = i 3 donc H 2 stable en B.O.
16 Critère général de stabilité Im 1 Pôles de H(p) 0.5 Re
17 Critère général de stabilité Im 1 Pôles de H(p) p p 1 p1' Re p 2 '
18 pôles de la FTBF On sait que la fonction de transfert en boucle fermée (FTBF) s écrit : F (p) = T (p) où T (p) est la fonction de transfert en boucle ouverte 1 + T (p) (FTBO) de la boucle de régulation. De ce qui précède, on déduit que :
19 pôles de la FTBF On sait que la fonction de transfert en boucle fermée (FTBF) s écrit : F (p) = T (p) où T (p) est la fonction de transfert en boucle ouverte 1 + T (p) (FTBO) de la boucle de régulation. De ce qui précède, on déduit que : stabilité des systèmes en BF Un système en boucle fermée est stable si les racines de l équation 1 + T (p) sont à partie réelle négative (R(p) < 0).
20 pôles de la FTBF On sait que la fonction de transfert en boucle fermée (FTBF) s écrit : F (p) = T (p) où T (p) est la fonction de transfert en boucle ouverte 1 + T (p) (FTBO) de la boucle de régulation. De ce qui précède, on déduit que : stabilité des systèmes en BF Un système en boucle fermée est stable si les racines de l équation 1 + T (p) sont à partie réelle négative (R(p) < 0). T (p) = N(p), alors les pôles de F(p) sont les racines de l équation D(p) N(p)+D(p) =0
21 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = 10
22 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 :
23 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 : p 1 = i 12 ; p 1 = i 12
24 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 : p 1 = i 12 ; p 1 = i 12 donc H 1 stable en B.F.
25 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 : p 1 = i 12 ; p 1 = i 12 donc H 1 stable en B.F. 1 + T 2 (p) =0 :
26 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 : p 1 = i 12 ; p 1 = i 12 donc H 1 stable en B.F. 1 + T 2 (p) =0 : p 2 = i ; p 2 = i 4 2 3
27 pôles de la FTBF Exemple : Stabilité en BF des fonctions de transfert H 1 et H 2 avec un gain proportionnel A = T 1 (p) =0 : p 1 = i 12 ; p 1 = i 12 donc H 1 stable en B.F. 1 + T 2 (p) =0 : p 2 = i ; p 2 = i 4 2 donc H 2 3 stable en B.F.
28 robustesse Robustesse En pratique, les pôles ne doivent pas être trop proches de l axe des imaginaires pour que la régulation soit robuste. Im Pôles de H(p) Re
29 robustesse Robustesse En pratique, les pôles ne doivent pas être trop proches de l axe des imaginaires pour que la régulation soit robuste. Im Pôles de H(p) Zone Robuste Re
30 robustesse Robustesse En pratique, les pôles ne doivent pas être trop proches de l axe des imaginaires pour que la régulation soit robuste. Im Pôles de H(p) Exemple : Oscillations de H 1 en B.F. avec un gain A = 10. La réponse indicielle de la boucle est stable, mais présente de nombreuses oscillations. Détail Les pôles de F 1 (p) sont en effet trop proches de l axe des imaginaires. Zone Robuste Re
31 robustesse Robustesse En pratique, les pôles ne doivent pas être trop proches de l axe des imaginaires pour que la régulation soit robuste. Im p1 1 Pôles de H(p) Exemple : Oscillations de H 1 en B.F. avec un gain A = 10. La réponse indicielle de la boucle est stable, mais présente de nombreuses oscillations. Détail Les pôles de F 1 (p) sont en effet trop proches de l axe des imaginaires. 0.5 Zone Robuste p1' Re
32 20 Réponse à un échelon 15 w(t),x(t) t(s) Réponse à une rampe 80 w(t),x(t) t(s)
Analyse des Systèmes Asservis
Analyse des Systèmes Asservis Après quelques rappels, nous verrons comment évaluer deux des caractéristiques principales d'un système asservi : Stabilité et Précision. Si ces caractéristiques ne sont pas
Plus en détailAutomatique (AU3): Précision. Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr
Automatique (AU3): Précision des systèmes bouclés Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr Plan de la présentation Introduction 2 Écart statique Définition Expression Entrée
Plus en détailPRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.
PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.. Donner les erreurs en position, en vitesse et en accélération d un système de transfert F BO = N(p) D(p) (transfert en boucle ouverte) bouclé par retour
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN
Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 1A ISMIN
Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 Sommaire. I. Introduction, définitions, position du problème. p. 3 I.1. Introduction. p. 3 I.2. Définitions. p. 5 I.3. Position du problème. p. 6 II. Modélisation
Plus en détailSYSTÈMES ASSERVIS CORRECTION
SYSTÈMES ASSERVIS CORRECTION //07 SYSTÈMES ASSERVIS CORRECTION ) Introduction... 3.) Les différents systèmes de commande... 3.2) Performances des systèmes asservis... 4.3) Fonction de transfert en boucle
Plus en détailCours de Systèmes Asservis
Cours de Systèmes Asservis J.Baillou, J.P.Chemla, B. Gasnier, M.Lethiecq Polytech Tours 2 Chapitre 1 Introduction 1.1 Définition de l automatique Automatique : Qui fonctionne tout seul ou sans intervention
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailRapport de projet de fin d étude
Rapport de projet de fin d étude Réalisé Par : Encadré Par : -Soumya sekhsokh Mohammed RABI -Kawtar oukili Année Universitaire 2010/2011 ETUDE D UNE BOUCLE DE REGULATION DE NIVEAU : - IMPLEMENTATION DU
Plus en détailNotions d asservissements et de Régulations
I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a
Plus en détailGlossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...
Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7
Plus en détailErreur statique. Chapitre 6. 6.1 Définition
Chapitre 6 Erreur statique On considère ici le troisième paramètre de design, soit l erreur statique. L erreur statique est la différence entre l entrée et la sortie d un système lorsque t pour une entrée
Plus en détailReprésentation et analyse des systèmes linéaires
ISAE-NK/Première année présentation et analyse des systèmes linéaires Petite classe No Compléments sur le lieu des racines. Condition sur les points de rencontre et d éclatement Les points de rencontre,(les
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailPartie 1 - Séquence 3 Original d une fonction
Partie - Séquence 3 Original d une fonction Lycée Victor Hugo - Besançon - STS 2 I. Généralités I. Généralités Définition Si F(p) = L [f(t)u (t)](p), alors on dit que f est l original de F. On note f(t)
Plus en détailBaccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e
Plus en détailCommande Prédictive des. Convertisseurs Statiques
Commande Prédictive des Convertisseurs Statiques 1 Classification des méthodes de commande pour les convertisseurs statiques Commande des convertisseurs Hystérésis MLI Cde Linéaire Fuzzy Logic Sliding
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailMémoire de Juin 2010. PID versus PFC
Mémoire de Juin 21 PID versus PFC Joëlle.Mallet. IRA Jacques.Richalet. Guy Lavielle. Consultants Philippe.D.Perrichon - Sylvain.Girault. Sanofi-Aventis. Vitry sur Seine Introduction : L automatique industrielle
Plus en détailModule : systèmes asservis linéaires
BS2EL - Physique appliquée Module : systèmes asservis linéaires Diaporamas : les asservissements Résumé de cours 1- Structure d un système asservi 2- Transmittances en boucle ouverte et ermée 3- Stabilité
Plus en détailRESTRUCTURATION DU SERVICE DE RESTAURATION
CP 12-742 Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2012 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france LYCEE COLBERT A LA CELLE
Plus en détailMathématiques financières
Mathématique financière à court terme I) Les Intérêts : Intérêts simples Mathématiques financières - Intérêts terme échu et terme à échoir - Taux terme échu i u équivalent à un taux terme à échoir i r
Plus en détailProbabilités conditionnelles Exercices corrigés
Terminale S Probabilités conditionnelles Exercices corrigés Exercice : (solution Une compagnie d assurance automobile fait un bilan des frais d intervention, parmi ses dossiers d accidents de la circulation.
Plus en détailPremier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K
Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K + τ.p. K.e τ K.e /τ τ 86% 95% 63% 5% τ τ 3τ 4τ 5τ Temps Caractéristiques remarquables de la réponse à un échelon e(t) = e.u(t). La valeur
Plus en détail= constante et cette constante est a.
Le problème Lorsqu on sait que f(x 1 ) = y 1 et que f(x 2 ) = y 2, comment trouver l expression de f(x 1 )? On sait qu une fonction affine a une expression de la forme f(x) = ax + b, le problème est donc
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailSciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot
Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une
Plus en détailCommande Prédictive. J. P. Corriou. LSGC-ENSIC-CNRS, Nancy. e-mail : corriou@ensic.inpl-nancy.fr
Commande Prédictive J P Corriou LSGC-ENSIC-CNRS, Nancy e-mail : corriou@ensicinpl-nancyfr Ý Consigne Trajectoire de référence Ý Ö Réponse Ý Horizon de prédiction À Ô ¹ Ù ¹ Temps Entrée Ù Horizon de commande
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailREGLEMENT DU JEU «KDO2Mobile» SMS 73700
REGLEMENT DU JEU «KDO2Mobile» SMS 73700 Article 1 : DENOMINATION SOCIALE La société MOOV MOBILE, Sarl au capital de 10 000 euros, immatriculée au RCS de PARIS sous le numéro en cours, ayant son siège social
Plus en détailLa régulation. Principe de régulation p. 2. La régulation PID p. 5. La régulation à modèle p. 12. Autres types de régulation p. 15
Le magazine Schneider Electric de l'enseignement technologique et professionnel Juin 2004 La régulation Principe de régulation p. 2 La régulation PID p. 5 La régulation est au cœur de toutes nos actions
Plus en détailDiable monte-escalier électrique
Diable monte-escalier électrique - SANO TRANSPORTGERAETE GmbH. Liftkar HD Le diable pour charges lourdes Liftkar HD Universal Avec la série Liftkar HO, SAND élargit sa gamme de diables monte-escaliers
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailIV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations
IV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations 1- Equation à une inconnue Une équation est une égalité contenant un nombre inconnu noté en général x et qui est appelé l inconnue. Résoudre l équation
Plus en détailRÉFÉRENTIEL TECHNIQUE
SYSTÈMES ÉNERGÉTIQUES INSULAIRES RÉFÉRENTIEL TECHNIQUE CONTRÔLES DES PERFORMANCES AVANT LA MISE EN EXPLOITATION DEFINITIVE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION D ÉNERGIE ÉLECTRIQUE RACCORDÉES EN HTB DANS LES
Plus en détailLimitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing
Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailRapport d'analyse des besoins
Projet ANR 2011 - BR4CP (Business Recommendation for Configurable products) Rapport d'analyse des besoins Janvier 2013 Rapport IRIT/RR--2013-17 FR Redacteur : 0. Lhomme Introduction...4 La configuration
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailCorrigé des TD 1 à 5
Corrigé des TD 1 à 5 1 Premier Contact 1.1 Somme des n premiers entiers 1 (* Somme des n premiers entiers *) 2 program somme_entiers; n, i, somme: integer; 8 (* saisie du nombre n *) write( Saisissez un
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailSYSTEMES LINEAIRES DU PREMIER ORDRE
SYSTEMES LINEIRES DU PREMIER ORDRE 1. DEFINITION e(t) SYSTEME s(t) Un système est dit linéaire invariant du premier ordre si la réponse s(t) est liée à l excitation e(t) par une équation différentielle
Plus en détailLes 11 métiers présents dans les Travaux Publics
Les 11 métiers présents dans les Travaux Publics Conducteur de travaux //////////////////////////////////////////////////////////////////// page 2 Chef de chantier /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLYCEE LEONARD DE VINCI A SAINT- GERMAIN-EN-LAYE (78)
Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2014 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france LYCEE LEONARD DE VINCI A SAINT- GERMAIN-EN-LAYE (78)
Plus en détailProbabilités. Rappel : trois exemples. Exemple 2 : On dispose d un dé truqué. On sait que : p(1) = p(2) =1/6 ; p(3) = 1/3 p(4) = p(5) =1/12
Probabilités. I - Rappel : trois exemples. Exemple 1 : Dans une classe de 25 élèves, il y a 16 filles. Tous les élèves sont blonds ou bruns. Parmi les filles, 6 sont blondes. Parmi les garçons, 3 sont
Plus en détailIII- Raisonnement par récurrence
III- Raisonnement par récurrence Les raisonnements en mathématiques se font en général par une suite de déductions, du style : si alors, ou mieux encore si c est possible, par une suite d équivalences,
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailTwincat PLC Temperature Controller. Régulation de Température à l aide de TwinCAT PLC.
Twincat PLC Temperature Controller Régulation de Température à l aide de TwinCAT PLC. VERSION : 1.0 / JYL DATE : 28 Novembre 2005 1 Installation...4 2 Présentation :...4 3 Schéma fonctionnel :...5 4 Générateur
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailReprésentation et analyse des systèmes linéaires. 1 Compléments sur l analyse fréquentielle des systèmes
ISAE-N6K/Première année Représentation et analyse des systèmes linéaires Petite classe No 6 Compléments sur l analyse fréquentielle des systèmes bouclés. Stabilité relative et marges de stabilité Dans
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailSIMPL'VOX. Notice d'utilisation. Transmetteur téléphonique vocal. Version 1.1
Transmetteur téléphonique vocal Version 1.1 SIMPL'VOX Photo non contractuelle Notice d'utilisation Les produits de la gamme ALTEC sont conçus et fabriqués en France par la société ATLS SIMPL VOX et ALTEC
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détailENSPS 3A ISAV Master ISTI AR. J. Gangloff
Commande prédictive ENSPS 3A ISAV Master ISTI AR J. Gangloff Plan 1.Introduction / Historique 2.Modélisation du système 3.Fonction de coût 4.Équations de prédiction 5.Commande optimale 6.Exemples 7.Réglage
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailRèglement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016
Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016 Ces règles en vigueur à l école Ste Anne ont été établies dans l intérêt des élèves. Leur respect participera au bien-être et à la sécurité de chacun.
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailSystèmes Multivariables - Partie II
Systèmes Multivariables - Partie II Olivier BACHELIER E-mail : Olivier.Bachelier@univ-poitiers.fr Tel : 05-49-45-36-79 ; Fax : 05-49-45-40-34 Dernière version : 17 novembre 2006 Résumé Ces notes de cours
Plus en détailVotre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise.
Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Guide de la prévoyance professionnelle (2 e pilier): Assurance accidents obligatoire selon la LAA Complément à l assurance accidents
Plus en détailCHAPITRE 1 : ETAT DE L ART.
CHAPITRE 1 : ETAT DE L ART. 1. INTRODUCTION De nos jours, les machines tournantes sont de plus en plus performantes notamment en terme de rapport masse/puissance. Cela implique qu elles deviennent de plus
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailProcédure prêt du matériel de la Ligue Bourgogne Roller Sports
Procédure prêt du matériel de la Ligue Bourgogne Roller Sports Objet de la procédure Cette procédure vise à décrire l'organisation et le fonctionnement du prêt de matériel occasionnel de la Ligue Bourgogne
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailLukas Gisbert Photographie
Lukas Gisbert Photographie Service Nouveau-né Ver 1.4 About us & Experience D origine bayonnaise, et après avoir passé ces dix dernières années en Angleterre comme photographe de mariage et portraitiste,
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailDéroulement. Evaluation. Préambule. Définition. Définition. Algorithmes et structures de données 28/09/2009
Déroulement Algorithmes et structures de données Cours 1 et 2 Patrick Reuter http://www.labri.fr/~preuter/asd2009 CM mercredi de 8h00 à 9h00 (Amphi Bât. E, 3 ème étage) ED - Groupe 3 : mercredi, 10h30
Plus en détailFibonacci et les paquerettes
Fibonacci et les paquerettes JOLY Romain & RIVOAL Tanguy Introduction Quand on entend dire que l on peut trouver le nombre d or et la suite de Fibonacci dans les fleurs et les pommes de pin, on est au
Plus en détailToute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation.
Mentions légales Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation. I CONDITIONS D UTILISATION DU SITE Ce Site est soumis à la loi française. En consultant
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailPROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES
Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détail351 cours de la Libération, Bât A31, 33405 TALENCE cedex
Plateforme AEROfan, Plateforme Aquitaine pour l'enseignement et la Recherche sur les moteurs aéronautiques turbofan : un exemple d'utilisation en automatique à travers l'identification et la commande du
Plus en détailConstruction de 2 classes en remplacement de 2 bâtiments modulaires à l'école primaire
PROJET 76 rue de l'eglise PROJET Section AT Parcelle n 4 DOSSIER DE CONSULTATION DES ENTRRISES PLAN DE SITUATION/CADASTRE Tél : 03 35 38 08 Tél : 03 88 45 03 DCE0 Date : Echelle : 5/0/04 : 5 000 Cour N
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailLoi binomiale Lois normales
Loi binomiale Lois normales Christophe ROSSIGNOL Année scolaire 204/205 Table des matières Rappels sur la loi binomiale 2. Loi de Bernoulli............................................ 2.2 Schéma de Bernoulli
Plus en détailAtelier sur l Analyse des Réseaux Madagascar
Atelier sur l Analyse des Réseaux Madagascar Patrick Imam Fonds Monétaire International 21 Juillet 2015 Les vues exprimées dans cette présentation sont celles du Représentant Résident du FMI et ne reflètent
Plus en détailSub CalculAnnuite() Const TITRE As String = "Calcul d'annuité de remboursement d'un emprunt"
TD1 : traduction en Visual BASIC des exemples du cours sur les structures de contrôle de l'exécution page 1 'TRADUCTION EN VBA DES EXEMPLES ALGORITHMIQUES SUR LES STRUCTURES 'DE CONTROLE DE L'EXECUTION
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE CANTINE SCOLAIRE
REGLEMENT DU SERVICE DE CANTINE SCOLAIRE Préambule : Le présent règlement approuvé par le Conseil Municipal de Tende régit le fonctionnement de la cantine scolaire. La cantine scolaire est un service facultatif,
Plus en détailReprésentation d une distribution
5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailRèglement du Jeu SMS CASINO
Règlement du Jeu SMS CASINO ARTICLE 1 ORGANISATION La Société Procter & Gamble France SAS, dont le siège social est situé 163 quai Aulagnier, 92665 Asnières-sur-Seine, immatriculée au RCS de Nanterre 391
Plus en détailSAUTER EY-modulo 5. La gestion technique des bâtiments à la perfection.
SAUTER EY-modulo 5 La gestion technique des bâtiments à la perfection. Le nouveau SAUTER EY-modulo 5 ouvert, efficace, multifonctionnel. La technologie de pointe SAUTER pour les exigences les plus élevées
Plus en détailComplément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailOrdonnance sur les formulaires et registres à employer en matière de poursuite pour dettes et de faillite et sur la comptabilité
Ordonnance sur les formulaires et registres à employer en matière de poursuite pour dettes et de faillite et sur la comptabilité (Oform) 281.31 du 5 juin 1996 (Etat le 1 er janvier 1997) Le Tribunal fédéral
Plus en détailSEO 200. Banc d étude du positionnement angulaire d une éolienne face au vent DESCRIPTIF APPLICATIONS PEDAGOGIQUES
Banc d étude du positionnement angulaire d une éolienne face au vent DESCRIPTIF Le banc SEO 200 permet d étudier et de paramétrer les boucles d asservissement de vitesse et position d une nacelle d éolienne
Plus en détail