GROUPE DE TRAVAIL N 4 MAITRES D OUVRAGE. Certifié ISO 14001

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1 GROUPE DE TRAVAIL N 4 MAITRES D OUVRAGE

2 Agence régionale de l énergie et de l environnement en Rhône-Alpes Domaines d activité Utilisation Rationnelle de l Énergie, Promotion des énergies renouvelables, Protection de l environnement, Mise en pratique du développement durable. Objectifs de Rhônalpénergie-Environnement informer, conseiller, accompagner

3 PROGRAMME Tour de table Actions de CHP Goes Green Point sur les projets en cours Retour sur les appels à projets et aides 2013 Contrats génériques Communication sur les projets Échanges entre porteurs de projet

4 Tour de table Nom / Structure Votre projet de méthanisation Attentes pour ce groupe de travail

5 COGEN GOES GREEN Formations 2 jours 3 Visites de site 2 Groupes de travail Financement MOA 8 Etudes d opportunité 2013 Brochure 1 Film Fiches projet 2 visites de site 1 suivi exploitation

6 FRANCE : différentes filières Effluents industriels : 84 sites MW 350 GWh th, 7 GWh e Station d épuration : 64 unités 12 MW CET : Environ 90 unités?? MW Ordures ménagères : 10 unités pour t traitées 20 MW 50 GWh th et 15 GWhe 540 GWh th, 97 GWh e Agricole : 83 unités 15 MW 150 GWh th et 120 GWhe

7 Progression filière agricole

8 Progression filières biogaz Type d'installation Réalisé Projet Total général AGRICOLE ISDND 9 9 STEP TERRITORIAL 7 7 OM 1 1 INDUSTRIEL Total général

9 Projets agricoles et territoriaux En ICPE En construction En service

10 ETAPES DE PROJET faisabilité conception ICPE Fin ICPE construction exploitation, suivi formation 11 3/4 ans MOURRIERE -BOURSIER BE -St LOUIS -AUCLAIR -BIOTEPPES -SYSE 42 -SYSE 01 -AGRITEXIA 1 -AGRITEXIA 2 -FOREZ ENR -SARL SIB UPB SIMOND SCEA ROBIN SIPER 17 En noir : déjà financé CHATELETS MERCIER LEGTA METHANEA

11 PROJET MSI Département PUISSANCE en kw Tonnes de MO INVESTISSEMENTS en k SUBVENTIONS en k Société projet TOTAL ENJEUX ICPE ICPE ICPE ICPE ICPE EF AE ICPE ST LOUIS SIPER St DENIS CHÂTEAU COLOMBIER DOMES SIMOND AUCLAIR juin-14 juin janv-13 mars SAS SAS SAS SAS SAS SAS SARL SAS ICPE ICPE ICPE ICPE CONS MSI MSI CONS MSI MOURR BOURS BIOTEPPES AGRITEX METHAN MERCIER CHATELETS ROBIN LEGTA juin-13 juin aout 2012 févr-10 oct-09 aout 2012 juin SARL SARL SAS SARL SAS / / / /

12 APPELS A PROJETS 2012 RRA 2009 k 2010 k 2011 k 2012 k ADEME DRAAF BUDGET JURY 1 CHATELETS 46,8 SIPER 200 SIMOND 200 GAEC chalamelle (42) MERCIER 150 AGRITEXIA 200 BOURGIER (01) JURY 2 METHANEA 150 ROBIN 25 ROUTIN (73) POMMAREL 0 UPB 0 AUCLAIR (69) SIMOND 0 STEP Vercors 100 BOURSIER (38) #REF! 0 STEP ARAVIS 31,4 xx POMMAREL 200 gaec bereyziat (01) BOURSIER 0 Sibert (01) SDED 200 ROBERT FOREZ (42) 196, dossiers, 2 retenus manque appropriation des dossiers Manque de maturité (trop en amont)

13 Méthanisation : Appels à Projet Région : reconduit à budget équivalent, AAP ENR ADEME / DRAAF : reconduit avec possible budget rehaussé Points de vigilance : ( à cause du délai d instruction) - dossier en IPCE (avec récépissé complétude) - société dédiée créée le cas échéant - respect des critères régionaux AAP 2013 : FEADER, MSI max avril 2015

14 Contrats génériques Travail en commun avec ATEE pour la création de document type pour les unités de méthanisation : -Contrat de MOE -Contrat d AMO -Contrat d intrant -Contrat de vente de chaleur -Contrat d analyse biologique

15 2) COMMUNICATION

16 Information/communication ROLE DE L ACCOMPAGNATEUR

17 Information/communication

18 COMMUNICATION Quelle sera l entrée pour le projet? : Circuit de la matière? Gestion du digestat? Développement des ENR? Opportunité économique? La recherche «d alliés de terrain» est LA condition de réussite d un projet

19 DESINFORMATIONS Communication prématurée Communication non-coordonnée induit une valse de données techniques et économique troublant la perception du projet LE MOA NE DOIT PAS DONNER L IMPRESSION QU IL GERE SON PROJET DANS SON COIN

20 ETAPES DE COMMUNICATION P R O J E T idée opportunité faisabilité conception construction Identification acteurs clés Cahier des charges exploitation formation DCE Contrats Réception des installations C O P I L Suivi C O M Acteurs projet Grand public Presse

21 DEMARRAGE PROJET : ACTEURS Au démarrage du projet, les initiateurs se lancent dans une phase de repérage avec les objectifs suivants : 1. Identifier les gisements de substrats sur le territoire et leur coût de mobilisation agriculteurs / collectivités / industriels / collecteurs / 2. Identifier les valorisations possibles du biogaz, surtout la chaleur issue de cogénération, industriels / collectivités / opérateurs / 3. Identifier les possibilités de retour au sol du digestat (éventuellement traité), agriculteurs / STEP de collectivités 4. Identifier les acteurs accompagnateurs et les compétences utiles au projet 5. Analyser le contexte politique et décisionnel, collectivités locales 6. Identifier les autres acteurs potentiels relais et supports du projet 7. Vérifier l adéquation avec les autres projets de territoires et autres projets agence régionale / PCET / syndicats / CA / autres MOA /

22 REGLES DE COMMUNICATION N 1 : ETRE PRÊT À RÉPONDRE AUX INTERROGATIONS N 2 : SE METTRE A LA PLACE DE L INTERLOCUTEUR N 3 : ETRE CLAIR ET TRANSPARENT N 4 : UTILISER TOUTE LA PANOPLIE POSSIBLE (VISITE, BROCHURE, INTERNET, FACEBOOK!) Principes de communication : - Les Hommes ne peuvent accepter que ce qu ils comprennent - Et ils ne comprennent que ce qu ils connaissent - Ils ne peuvent connaître quelque chose que s ils sont informés ou ont accès à l information!

23 COMMUNICATION N 1 : ETRE PRÊT À RÉPONDRE AUX INTERROGATIONS ET QUESTIONS. -Vérifier que le site et l activité sur les lieux sont compatibles avec l arrivée d une unité de méthanisation (espèces protégées, zone inondable, accès, autres projets en cours, ) - Faire preuve de pédagogie, savoir vulgariser : de nombreux domaines sont connectés (biologie, agronomie, énergie, ) - Savoir adapter son discours à la grande variété de population (habitants, élus, service de l état, techniciens, associations, ).

24 COMMUNICATION N 2 : SE METTRE A LA PLACE DE L INTERLOCUTEUR De par son vécu, chaque personne possède une perception subjective différente. Par conséquent, une même question sera souvent formulée pour des raisons très différentes. Aussi, tout porteur de projet doit s efforcer de comprendre les différents points de vue des habitants / interlocuteurs sans aucun préjugé. En se mettant à la place de son interlocuteur, le porteur pourra mieux exposer ses arguments, s assurer que la conversation démarre du bon pied et se mettre au niveau de connaissance de son interlocuteur.

25 COMMUNICATION N 3 : ETRE CLAIR ET TRANSPARENT -Il faut utiliser des arguments objectifs et transparents dès le départ. Et admettre que certains aspects sont au départ incertains ou difficiles à estimer. LA TRANSPARENCE -Il ne faut pas oublier qu une fois des promesses ou affirmations formulées, les habitants mettront du temps à les oublier (même oralement). L exploitant sera constamment évalué et jaugé en fonction de ses dires. LE DIALOGUE - L erreur capitale de toute forme de communication est d énoncer de fausses déclarations ou de répandre des imprécisions (perte de crédibilité). DES DONNEES PRECISES - Un voisinage qui ne se sent pas en sécurité sera toujours sceptique vis-àvis d un projet et surveillera toutes les activités de l exploitant de très près. LA REGLEMENTATION EN APPUIS

26 COMMUNICATION N 4 : UTILISER TOUTE LA PANOPLIE POSSIBLE Une communication réussie et active est la clé d une coopération constructive. Si la communication est indispensable, elle ne doit pas être envisagée comme une obligation, mais plutôt comme une opportunité. Communiquer, c est se parler ; Communiquer, c est échanger des informations ; Communiquer, c est s adresser à son interlocuteur en fonction de son niveau de connaissances ; Communiquer, c est répondre précisément à toutes les questions ; Communiquer, c est trouver des accords et négocier ; Communiquer, c est informer ; Communiquer, c est consulter ; Communiquer, c est coordonner ; Communiquer, c est être ouvert aux opinions divergentes ; Communiquer, c est savoir évoluer avec les outils disponibles

27 EN RHONE-ALPES CONTRE EXEMPLES : - Industriel chimiste qui a théorisé» son projet de 2 MW sans le monde agricole = ha nécessaire!! - SIPER (26) : désinformation et absence de communication amont - EXEMPLES : - AGRITEXIA (07) : travail collaboratif entre GAEC et avec communes - CHATELETS (74) : intégration du voisinage - SIPER (26) : approvisionnement des industriels locaux et intégration de la commune au COPIL - SIMOND (74) : synergie filière bois - St LOUIS (38) : réunion d information acteurs clés - SIMOLY (69) : réunion de restitution étude, 100 personnes

28 EXEMPLE PROJET SIPER Réunion publique Mars 2011 Projet SIPER 450 personnes Dont 80 % de pseudo opposants POURTANT

29 EXEMPLE FACEBOOK SIPER SITE INTERNET SIPER

30 EXEMPLE BLOG SITE INTERNET DE LA COMMUNE

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