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1 ATELIER 2 - DU SYMPTÔME À LA MALADIE Syndrome des jambes sans repos et mouvements périodiques du sommeil Sandrine LAUNOIS, CHU de Grenoble 16 et 17 Janvier 2015 FORMULAIRE DE DÉCLARATION DE LIENS (afin d éviter le conflit d intérêt) DE L INTERVENANT Je soussigné(e) (nom-prénom-adresse de l intervenant) Dr Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Université Grenoble Alpes, Laboratoire HP2 INSERM U1042, Faculté de Médecine de Grenoble Clinique Universitaire de Physiologie, Pôle Thorax et Vaisseaux, CHU de Grenoble Centre Santé et Sommeil, Grenoble Auteur de la communication (titre de l exposé ou de l atelier) Syndrome des jambes sans repos et mouvements périodiques du sommeil Déclare les liens suivant: Société ou laboratoires RESMED, RESMED NARVAL, ORTHOM, RESPIRONICS, BIOPROJET, AGIR A DOM, BASTIDE, ONIRIS VITALAIRE, UCB PHARMA, AGIR A DOM Type de liens* Investigateur Invitation à des congrès *Emploi, consulting, détention de brevets, intérêts personnels dans des entreprises, produits, procédés ou marques M engage à ce que mon intervention ne présente aucun conflit d intérêt. Fait à: Grenoble le 14/01/2015 Signature SJSR, RLS, PLM, MPJ, MEW, EWM, impatiences. Maladie de Willis-Ekbom (MWE) depuis janvier 2011 Thomas Willis, 1672 Karl Axel Ekbom,

2 Généralités Diagnostic positif: SJSR: diagnostic clinique MPJ: diagnostic électrophysiologique Sur le plan thérapeutique: Faut-il traiter? Evaluation de la sévérité Quelles conséquences morbides? Comment traiter? SJSR: critères diagnostiques Critères A à C présents A. Le besoin de bouger les membres inférieurs accompagné ou non de sensations désagréables. Ces symptômes doivent Débuter ou s aggraver durant les périodes de repos ou d inactivité Être améliorés ou disparaître lors du mouvement Survenir exclusivement ou principalement dans la soirée ou la nuit B. Ces caractéristiques ne doivent pas être confondues avec des signes d autres pathologies (myalgies, insuffisance veineuse, œdème, arthrite) C. Ces symptômes de syndrome des jambes sans repos entraînent des troubles du sommeil; des conséquences physiques, psychologiques, socioprofessionnelles, comportementales ICSD-3 SJSR: critères diagnostiques Par ailleurs Les symptômes peuvent atteindre les membres supérieurs Si le SJSR est très sévère, l amélioration par le mouvement et/ou la survenue à prédominance vespérale ne sont plus forcément retrouvées mais l interrogatoire doit retrouver ces caractéristiques au début de la maladie La notion de MPJ, d antécédents familiaux et de réponse au traitement par agoniste dopaminergique sont des éléments d orientation. ICSD-3 2

3 Sévère: score > 21 et/ou 3j/7 MPJ: critères diagnostiques Mouvement stéréotypé: extension du gros orteil, et flexion du pied, parfois flexion du genou et de la hanche Durée: 0.5 à 5 secondes Zucconi et al, Sleep Med Amplitude: 25% calibration 2006 Séquence: 4 mouvements en 90 secondes Syndrome de MPJ: critères diagnostiques ICSD-3 3

4 Syndrome de MPJ: critères diagnostiques Par ailleurs L index de MPJ doit être interprété en fonction du contexte clinique (plaintes liées au sommeil) L insomnie et la somnolence diurne excessive sont rarement causées par les MPJ et ne sont pas un élément diagnostique du syndrome de MPJ Les MPJ sont fréquents, le syndrome de MPJ est rare Pas de diagnostic de syndrome de MPJ en cas de SJSR, narcolepsie, SAS, trouble du comportement en SP ICSD-3 MPJ: exemple ICSD-3 Diagnostic différentiel «Douleurs dans les jambes» Insuffisance veineuse: amélioration au repos Artérite des membres inférieurs: aggravation lors de la marche Douleurs neuropathiques: pas d aggravation vespérale Crampes «Jambes sans repos» Myoclonies d endormissement Troubles anxieux ICSD-3 4

5 Formes cliniques de la MEW Forme secondaire/idiopathique/familiale Formes douloureuses Formes motrices/sensitives Formes résistante au traitement Formes à début précoce/tardif Formes étiologiques MEW idiopathiques MEW secondaires carence martiale diabète, insuffisance rénale iatrogènes: ISRS, tricycliques, neuroleptiques neuropathies, myélopathies maladies neurodégénératives (Parkinson, SLA, ataxie spino-cérébelleuse) grossesse, surtout 3ème trimestre Epidémiologie SJSR: 10% population générale, 3% sévère MPJ: 80% + dans SJSR (Montplaisir, 1998) INSTANT Study (France) : Tison et al, Neurology

6 Physiopathologie du SJSR Terrain génétique avec rôle probable de facteurs environnementaux Implication des noyaux gris centraux (effet des dopaminergiques, études en imagerie fonctionnelle) et de l aire A11 Rôle du fer? fréquence élevée du SJSR dans les carences martiales effet bénéfique de la supplémentation ferrique sur le SJSR,en présence ou non d une carence martiale diminution de la ferritine dans le LCR Physiopathologie des MPJ Rôle important de la moelle MPS fréquents en cas de lésions médullaires Désinhibition d un générateur (ou pace maker)? Facteurs favorisants Carence martiale Caféine Nicotine Alcool (vin blanc+++) Exercice physique Stress, mauvaise hygiène de sommeil Formes iatrogènes: ISRS 6

7 Conséquences Insomnie ± retentissement diurne Retentissement diurne isolé??? Dépression? Morbidité cardiovasculaire? Bilan minimal Recherche d une carence martiale Ferritine (recos HAS) PSG SJSR recherche de MPJ associés quand diagnostic difficile si somnolence diurne ou sommeil non récupérateur sous traitement suspicion de SAS associé MPJ: diagnostic positif MEW: to treat or not to treat? Avant tout traitement Expliquer la pathologie au patient Traquer les facteurs favorisants Rechercher une carence martiale Indication du traitement du SJSR: sévère des MPJ??? Index> 15/h et SF Si traitement médicamenteux, traitement personnalisé (Silber et al, EWD Foundation, Mayo Clin Proc 2013) 7

8 MEW: traitements non pharmacologiques Activités intellectuelles stimulantes Hygiène de sommeil Massages, douches Etirements Balnéothérapie Cure thermale MEW: traitements pharmacologiques Plusieurs molécules testées Niveau de preuve d efficacité variable Peu d études au long cours Balance bénéfice/risques? En France, quels traitements sont Disponibles? Remboursés? AMM/hors AMM? Recommandations récentes: AASM (Sleep 2012), IRLSSG (Sleep Medicine 2013) Niveau de preuve de l efficacité des traitements disponibles Amélioration du score de sévérité du SJSR Hornyak, Sleep Medicine Reviews

9 Niveau de preuve de l efficacité des traitements disponibles Amélioration de l index de MPJ Hornyak, Sleep Medicine Reviews 2013 Niveau de preuve de l efficacité des traitements disponibles MPJ au cours du sommeil ME??? Rôle des MPJ dans la somnolence/comorbidité CV Aurora, Sleep 2012 Traitements disponibles en France en 2015 Molécule AMM Remboursement Commentaires Ropinirole (ADARTREL, REQUIP) oui Non Pramipexole (SIFROL) oui Oui Forme retard disponible Rotigotine (NEUPRO) oui Imminent Pas de patch de 1mg Opiacés non Non (oui ) Gabapentine (NEURONTIN) non Non (oui ) Prégabaline (LYRICA) non Non (oui ) Clonazépam (RIVOTRIL) non Non (oui ) Sans 9

10 Agonistes dopaminergiques et MEW Après échec des mesures non pharmacologiques SJSR sévère MPJ éveillants en cas de SDE ou d insomnie AMM/hors AMM Après information éclairée du patient (effets indésirables pfs graves) Eviter ++ l escalade thérapeutique Surveillance étroite Agonistes dopaminergiques et MEW Effets indésirables: Nausées Insomnie, irritabilité Lésions cutanées (rotigotine) Augmentation Accès de sommeil Comportements compulsifs Abus Phénomène d augmentation Apparition plus précoce (2h au minimum) des symptômes dans la journée Aggravation paradoxale de l intensité des symptômes sous traitement Latence d apparition plus courte des symptômes lors du repos Extension des symptômes à d autres parties du corps 10

11 Phénomène d augmentation Conduite à tenir Vérifier la ferritinémie Diminuer la posologie Si les spts persistent, changement de molécule, sous couvert d un opiacé si nécessaire Diagnostic différentiel: fluctuations «normales» du SJSR, «tolérance» Ne pas oublier En conclusion Pathologie bénigne qui peut gâcher la vie (ou au moins les nuits) SJSR MPJ Primum non nocere! 11

12 MERCI DE VOTRE ATTENTION Mayo Clin Proc 2013 Sleep Medicine Reviews 2013 Sleep Medicine 2013 Sleep

13 Augmentation: Critères diagnostiques du Max Planck Institute A Plus B ou C A: Critères indispensables: Aggravation de la sévérité des symptômes ressentie au moins 5j/7 dans la semaine précédente Aggravation de la sévérité des symptômes non expliquée par d autres facteurs, tels qu une modification de l état de santé, une modification du mode de vie ou une évolution naturelle de la maladie On part du principe qu il y a eu une réponse favorable au traitement auparavant Garcia-Borreguero et al, Sleep Medicine, 2007 Augmentation: Critères diagnostiques du Max Planck Institute A Plus B ou C B: Réponse paradoxale au traitement (pas forcément immédiate) les symptômes s aggravent après une augmentation de la dose et s améliorent après une diminution de la dose C: Début plus précoce des symptômes Garcia-Borreguero et al, Sleep Medicine, 2007 Silber, Mayo Clin Proc

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