Un schéma Volumes finis MUSCL pour les équations d Euler compressibles en axisymétrique
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1 Un schéma Volumes finis MUSCL pour les équations d Euler compressibles en axisymétrique Rachid Touzani, David Rochette Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand, France Stéphane Clain Université de Toulouse, France 8 avril 2009 Séminaire EPFL R. Touzani 1/35
2 Objectif : Simulation numérique de torches à plasma inductives (ICP : Inductively Coupled Plasma Torch) L étude fait partie d un TRP (Technology Research Program) de l ESA (European Space Agency) Principe : La torche à plasma est une méthode d analyse chimique permettant de doser les éléments d un échantillon. Elle consiste à ioniser l échantillon en l injectant dans un plasma (en général d Argon) : Les atomes sont ionisés par une flamme chaude (6 000 à K). L échantillon subit ainsi une fusion (solide), une vaporisation, puis une ionisation. La température est entretenue par induction magnétique (à l aide d un générateur HF). Les ions sont détectés soit par spectrométrie de masse soit par spectrométrie d émission. Séminaire EPFL R. Touzani 2/35
3 Objectif : Simulation numérique de torches à plasma inductives (ICP : Inductively Coupled Plasma Torch) L étude fait partie d un TRP (Technology Research Program) de l ESA (European Space Agency) Principe : La torche à plasma est une méthode d analyse chimique permettant de doser les éléments d un échantillon. Elle consiste à ioniser l échantillon en l injectant dans un plasma (en général d Argon) : Les atomes sont ionisés par une flamme chaude (6 000 à K). L échantillon subit ainsi une fusion (solide), une vaporisation, puis une ionisation. La température est entretenue par induction magnétique (à l aide d un générateur HF). Les ions sont détectés soit par spectrométrie de masse soit par spectrométrie d émission. Séminaire EPFL R. Touzani 2/35
4 Séminaire EPFL R. Touzani 3/35
5 Sommaire Un modèle pour les ICP Équations d Euler axisymétriques Une méthode de volumes finis Les schémas MUSCL Application aux équations d Euler Solutions stationnaires radiales Essais numériques Séminaire EPFL R. Touzani 4/35
6 Un modèle pour les ICP La modélisation mathématique de ce procédé tient en compte des différents effets entrant en jeu : Induction électromagnétique : On utilise un modèle de courants de Foucault (on néglige les courants de déplacement) quasi-statiques. La difficulté réside dans le fait qu une partie (inconnue) du gaz se transforme en plasma et devient donc conductrice. Dynamique des gaz : Il s agit d un écoulement compressible que l on suppose stationnaire. On utilise une description axisymétrique à cause de la géométrie du dispositif. Séminaire EPFL R. Touzani 5/35
7 Un modèle pour les ICP La modélisation mathématique de ce procédé tient en compte des différents effets entrant en jeu : Induction électromagnétique : On utilise un modèle de courants de Foucault (on néglige les courants de déplacement) quasi-statiques. La difficulté réside dans le fait qu une partie (inconnue) du gaz se transforme en plasma et devient donc conductrice. Dynamique des gaz : Il s agit d un écoulement compressible que l on suppose stationnaire. On utilise une description axisymétrique à cause de la géométrie du dispositif. Séminaire EPFL R. Touzani 5/35
8 Un modèle pour les ICP La modélisation mathématique de ce procédé tient en compte des différents effets entrant en jeu : Induction électromagnétique : On utilise un modèle de courants de Foucault (on néglige les courants de déplacement) quasi-statiques. La difficulté réside dans le fait qu une partie (inconnue) du gaz se transforme en plasma et devient donc conductrice. Dynamique des gaz : Il s agit d un écoulement compressible que l on suppose stationnaire. On utilise une description axisymétrique à cause de la géométrie du dispositif. Séminaire EPFL R. Touzani 5/35
9 Un modèle pour les ICP 1. L électromagnétisme Les équations des courants de Foucault s écrivent en régime quasi-statique (harmonique en temps) : 8 >< rot H = J iωµ 0 H + rot E = 0 >: J = σ E + J 0 J : Densité de courant J 0 : Courant source E : Champ électrique H : Champ magnétique ω : Pulsation du courant σ : Conductivité électrique µ 0 : Perméabilité magnétique du vide Séminaire EPFL R. Touzani 6/35
10 Un modèle pour les ICP 1. L électromagnétisme Les équations des courants de Foucault s écrivent en régime quasi-statique (harmonique en temps) : 8 >< rot H = J iωµ 0 H + rot E = 0 >: J = σ E + J 0 J : Densité de courant J 0 : Courant source E : Champ électrique H : Champ magnétique ω : Pulsation du courant σ : Conductivité électrique µ 0 : Perméabilité magnétique du vide Séminaire EPFL R. Touzani 6/35
11 Ici on a négligé le transport du courant par le fluide (En fait, on a J = σ (E + u B) + J 0 ). Dans ce modèle, on choisit de formuler le problème en champ électrique. On a ( rot rot E + iωµ0 σe = iωµ 0 J 0 dans R 3 E(x) = O( x 1 ) x où σ = σ(e) avec σ(e) = ( 0 si e e 0, > 0 sinon où e est l énergie interne et e 0 est l énergie nécessaire pour l ionisation. Séminaire EPFL R. Touzani 7/35
12 Ici on a négligé le transport du courant par le fluide (En fait, on a J = σ (E + u B) + J 0 ). Dans ce modèle, on choisit de formuler le problème en champ électrique. On a ( rot rot E + iωµ0 σe = iωµ 0 J 0 dans R 3 E(x) = O( x 1 ) x où σ = σ(e) avec σ(e) = ( 0 si e e 0, > 0 sinon où e est l énergie interne et e 0 est l énergie nécessaire pour l ionisation. Séminaire EPFL R. Touzani 7/35
13 Un modèle pour les ICP 2. L écoulement du gaz plasma On utilise les équations d Euler compressibles (on néglige les effets de la viscosité et de la diffusion thermique) avec les caractéristiques suivantes : Le mouvement du gaz est généré par la force de Lorentz (que l on moyenne sur une période). La source d énergie est donnée par l effet de Joule (moyennée également). (ρ u u) + p = ρ g + µ 0 Re (J H) 2 (ρ u) = 0 ((E + p) u) = 1 Re (J E) R 2 p = p(ρ, e) où u est la vitesse, p est la pression, ρ est la densité, g est le vecteur gravité, e est l énergie interne spécifique et E est l énergie totale définie par E = ρe ρ u 2, R est une source de rayonnement. Dans ce qui suit, on restreint au cas d un gaz idéal p = (γ 1) ρe γ : rapport des chaleurs spécifiques Séminaire EPFL R. Touzani 8/35
14 Un modèle pour les ICP 2. L écoulement du gaz plasma On utilise les équations d Euler compressibles (on néglige les effets de la viscosité et de la diffusion thermique) avec les caractéristiques suivantes : Le mouvement du gaz est généré par la force de Lorentz (que l on moyenne sur une période). La source d énergie est donnée par l effet de Joule (moyennée également). (ρ u u) + p = ρ g + µ 0 Re (J H) 2 (ρ u) = 0 ((E + p) u) = 1 Re (J E) R 2 p = p(ρ, e) où u est la vitesse, p est la pression, ρ est la densité, g est le vecteur gravité, e est l énergie interne spécifique et E est l énergie totale définie par E = ρe ρ u 2, R est une source de rayonnement. Dans ce qui suit, on restreint au cas d un gaz idéal p = (γ 1) ρe γ : rapport des chaleurs spécifiques Séminaire EPFL R. Touzani 8/35
15 Un modèle pour les ICP 2. L écoulement du gaz plasma On utilise les équations d Euler compressibles (on néglige les effets de la viscosité et de la diffusion thermique) avec les caractéristiques suivantes : Le mouvement du gaz est généré par la force de Lorentz (que l on moyenne sur une période). La source d énergie est donnée par l effet de Joule (moyennée également). (ρ u u) + p = ρ g + µ 0 Re (J H) 2 (ρ u) = 0 ((E + p) u) = 1 Re (J E) R 2 p = p(ρ, e) où u est la vitesse, p est la pression, ρ est la densité, g est le vecteur gravité, e est l énergie interne spécifique et E est l énergie totale définie par E = ρe ρ u 2, R est une source de rayonnement. Dans ce qui suit, on restreint au cas d un gaz idéal p = (γ 1) ρe γ : rapport des chaleurs spécifiques Séminaire EPFL R. Touzani 8/35
16 Équations d Euler axisymétriques On considère les équations d Euler compressibles évolutives. La géométrie du domaine suggère l utilisation d un modèle axisymétrique. On ne tient pas compte des sources (Joule et Lorentz) En notant par (r, θ, z) les coordonnées cylindriques et par (u r, u θ, u z ) les composantes d un vecteur dans ce système, on obtient le système d équations (tenant compte de l invariance en θ) : t (rρ) + r (rρur ) + z (rρuz ) = 0 t (rρur ) + r (rρu2 r + rp) + z (rρur uz ) = ρu2 θ + p t (rρuz ) + r (rρur uz ) + z (rρu2 z + rp) = 0 t (rρu θ) + r (rρu θu r ) + z (rρu θu z ) = ρu θ u r t (re) + r (rur (E + p)) + (ruz (E + p)) = 0 z p = (γ 1)ρe Séminaire EPFL R. Touzani 9/35
17 Équations d Euler axisymétriques On considère les équations d Euler compressibles évolutives. La géométrie du domaine suggère l utilisation d un modèle axisymétrique. On ne tient pas compte des sources (Joule et Lorentz) En notant par (r, θ, z) les coordonnées cylindriques et par (u r, u θ, u z ) les composantes d un vecteur dans ce système, on obtient le système d équations (tenant compte de l invariance en θ) : t (rρ) + r (rρur ) + z (rρuz ) = 0 t (rρur ) + r (rρu2 r + rp) + z (rρur uz ) = ρu2 θ + p t (rρuz ) + r (rρur uz ) + z (rρu2 z + rp) = 0 t (rρu θ) + r (rρu θu r ) + z (rρu θu z ) = ρu θ u r t (re) + r (rur (E + p)) + (ruz (E + p)) = 0 z p = (γ 1)ρe Séminaire EPFL R. Touzani 9/35
18 On peut écrire ce système sous la forme conservative : t (ru) + r (rfr (U)) + (rfz (U)) = G(U) z où : ρ ρu r ρu z 0 ρu r ρur 2 + p ρu r u z ρu U = Bρu z C, Fr (U) = B z u r C, Fz (U) = B ρuz ρu θ ρu θ u + p C r θ u A, G(U) = θ 2 + p B 0 z ρu θ u A r E u r (E + p) u z (E + p) 0 Cette formulation fait intervenir une forme divergentielle pouvant être traitée par volumes finis, le reste étant traité comme terme source. Séminaire EPFL R. Touzani 10/35
19 Une méthode de volumes finis Considérons une triangulation du domaine Ω des paramètres (r, z). On note : T i : Triangle, 1 i n T e ij : Arête commune aux triangles T i et T j n ij = (n ij,r, n ij,z ) : Normale unité au triangle T i dirigée vers T j ν(i) : Ensemble des indices des (3) triangles voisins de T i En intégrant le système d équations sur un triangle T i et en utilisant le théorème de la divergence, on obtient Z Z Z d U(r, z, t) r dr dz + (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ = G(U) dr dz dt T i T i T i Soit (t n = n δt) n N une subdivision uniforme de l intervalle [0, ). On a Z Z U(r, z, t n+1 ) r dr dz = U(r, z, t n ) r dr dz T i T i Z t n+1 Z (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt t n T i Z t n+1 Z + G(U) dr dz dt t n T i Séminaire EPFL R. Touzani 11/35
20 Une méthode de volumes finis Considérons une triangulation du domaine Ω des paramètres (r, z). On note : T i : Triangle, 1 i n T e ij : Arête commune aux triangles T i et T j n ij = (n ij,r, n ij,z ) : Normale unité au triangle T i dirigée vers T j ν(i) : Ensemble des indices des (3) triangles voisins de T i En intégrant le système d équations sur un triangle T i et en utilisant le théorème de la divergence, on obtient Z Z Z d U(r, z, t) r dr dz + (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ = G(U) dr dz dt T i T i T i Soit (t n = n δt) n N une subdivision uniforme de l intervalle [0, ). On a Z Z U(r, z, t n+1 ) r dr dz = U(r, z, t n ) r dr dz T i T i Z t n+1 Z (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt t n T i Z t n+1 Z + G(U) dr dz dt t n T i Séminaire EPFL R. Touzani 11/35
21 Une méthode de volumes finis Considérons une triangulation du domaine Ω des paramètres (r, z). On note : T i : Triangle, 1 i n T e ij : Arête commune aux triangles T i et T j n ij = (n ij,r, n ij,z ) : Normale unité au triangle T i dirigée vers T j ν(i) : Ensemble des indices des (3) triangles voisins de T i En intégrant le système d équations sur un triangle T i et en utilisant le théorème de la divergence, on obtient Z Z Z d U(r, z, t) r dr dz + (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ = G(U) dr dz dt T i T i T i Soit (t n = n δt) n N une subdivision uniforme de l intervalle [0, ). On a Z Z U(r, z, t n+1 ) r dr dz = U(r, z, t n ) r dr dz T i T i Z t n+1 Z (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt t n T i Z t n+1 Z + G(U) dr dz dt t n T i Séminaire EPFL R. Touzani 11/35
22 On note Z Z Z Z T i = dr dz, T i r = r dr dz, e ij = dσ, e ij r = r dσ, T i T i e ij e ij et on définit l approximation Soit le flux approché : F n ij 1 δt e ij r Ui n 1 Z U(r, z, t n ) r dr dz. T i r T i Z t n+1 t n Z e ij (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt et le terme source G n i 1 δt T i Z t n+1 Z t n T i G(U) dr dz dt. On définit alors le schéma T i r U n+1 i = T i r U n i δt X j ν(i) e ij r F n ij + δt T i G(U n i ) 1 i n T. Séminaire EPFL R. Touzani 12/35
23 On note Z Z Z Z T i = dr dz, T i r = r dr dz, e ij = dσ, e ij r = r dσ, T i T i e ij e ij et on définit l approximation Soit le flux approché : F n ij 1 δt e ij r Ui n 1 Z U(r, z, t n ) r dr dz. T i r T i Z t n+1 t n Z e ij (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt et le terme source G n i 1 δt T i Z t n+1 Z t n T i G(U) dr dz dt. On définit alors le schéma T i r U n+1 i = T i r U n i δt X j ν(i) e ij r F n ij + δt T i G(U n i ) 1 i n T. Séminaire EPFL R. Touzani 12/35
24 On note Z Z Z Z T i = dr dz, T i r = r dr dz, e ij = dσ, e ij r = r dσ, T i T i e ij e ij et on définit l approximation Soit le flux approché : F n ij 1 δt e ij r Ui n 1 Z U(r, z, t n ) r dr dz. T i r T i Z t n+1 t n Z e ij (F r (U)n ij,r + F z (U)n ij,z ) r dσ dt et le terme source G n i 1 δt T i Z t n+1 Z t n T i G(U) dr dz dt. On définit alors le schéma T i r U n+1 i = T i r U n i δt X j ν(i) e ij r F n ij + δt T i G(U n i ) 1 i n T. Séminaire EPFL R. Touzani 12/35
25 Le schéma volumes finis est donc entièrement déterminé par le choix de Fij n et Gi n. Par exemple, le schéma de Rusanov contient à définir les flux : F n ij = 1 2 (Fr (U i ) + F r (U j ))n ij,r (Fz (U i ) + F z (U j ))n ij,z λ ij (U j U i ) où λ ij est assez grand pour garantir la stabilité. Autres schémas possibles : Godunov : Il consiste à résoudre exactement les problèmes de Riemann ainsi posés. HLL (Harten, Lax, Van Leer) : Résolution approchée des problèmes de Riemann HLLC (+ Contact) : Adaptation du schéma HCC aux discontinuités de contact. Séminaire EPFL R. Touzani 13/35
26 Le schéma volumes finis est donc entièrement déterminé par le choix de Fij n et Gi n. Par exemple, le schéma de Rusanov contient à définir les flux : F n ij = 1 2 (Fr (U i ) + F r (U j ))n ij,r (Fz (U i ) + F z (U j ))n ij,z λ ij (U j U i ) où λ ij est assez grand pour garantir la stabilité. Autres schémas possibles : Godunov : Il consiste à résoudre exactement les problèmes de Riemann ainsi posés. HLL (Harten, Lax, Van Leer) : Résolution approchée des problèmes de Riemann HLLC (+ Contact) : Adaptation du schéma HCC aux discontinuités de contact. Séminaire EPFL R. Touzani 13/35
27 Un schéma de deuxième ordre (MUSCL) Le premier schéma MUSCL (Monotonic Upwind Scheme for Conservation Laws) est dû à Van Leer ( 79) pour le cas 1-D. Il existe dans la littérature plusieurs extensions au cas multidimensionnel. T. Buffard, S. Clain et V. Clauzon ont proposé une nouvelle extension basée sur le calcul de dérivées directionnelles. Nous présentons cette extension pour le cas axisymétrique. Séminaire EPFL R. Touzani 14/35
28 Un schéma de deuxième ordre (MUSCL) Le premier schéma MUSCL (Monotonic Upwind Scheme for Conservation Laws) est dû à Van Leer ( 79) pour le cas 1-D. Il existe dans la littérature plusieurs extensions au cas multidimensionnel. T. Buffard, S. Clain et V. Clauzon ont proposé une nouvelle extension basée sur le calcul de dérivées directionnelles. Nous présentons cette extension pour le cas axisymétrique. Séminaire EPFL R. Touzani 14/35
29 Un schéma de deuxième ordre (MUSCL) Le premier schéma MUSCL (Monotonic Upwind Scheme for Conservation Laws) est dû à Van Leer ( 79) pour le cas 1-D. Il existe dans la littérature plusieurs extensions au cas multidimensionnel. T. Buffard, S. Clain et V. Clauzon ont proposé une nouvelle extension basée sur le calcul de dérivées directionnelles. Nous présentons cette extension pour le cas axisymétrique. Séminaire EPFL R. Touzani 14/35
30 Les schémas MUSCL Considérons la loi de conservation : u t + f (u) = 0 x R, t > 0 x Le schéma de base de volumes finis utilise une approximation constante par morceaux. Soit, par exemple, un schéma décentré du 1 er ordre : du i dt + f (u i ) f (u i 1 ) = 0 δx Ce schéma est connu pour être diffusif i.e. il lisse les chocs et discontinuités. Pour obtenir moins de diffusion numérique, on peut considérer une approximation linéaire par morceaux du type : du f (u i dt + i+ 1 ) f (u 2 i 1 ) 2 = 0 δx où u i+ 1 2 := 1 2 (u i + u i+1 ), u i 1 2 := 1 2 (u i 1 + u i ). Ce schéma est plus précis mais est oscillant (i.e. non TVD). Séminaire EPFL R. Touzani 15/35
31 Les schémas MUSCL Considérons la loi de conservation : u t + f (u) = 0 x R, t > 0 x Le schéma de base de volumes finis utilise une approximation constante par morceaux. Soit, par exemple, un schéma décentré du 1 er ordre : du i dt + f (u i ) f (u i 1 ) = 0 δx Ce schéma est connu pour être diffusif i.e. il lisse les chocs et discontinuités. Pour obtenir moins de diffusion numérique, on peut considérer une approximation linéaire par morceaux du type : du f (u i dt + i+ 1 ) f (u 2 i 1 ) 2 = 0 δx où u i+ 1 2 := 1 2 (u i + u i+1 ), u i 1 2 := 1 2 (u i 1 + u i ). Ce schéma est plus précis mais est oscillant (i.e. non TVD). Séminaire EPFL R. Touzani 15/35
32 Les schémas MUSCL Considérons la loi de conservation : u t + f (u) = 0 x R, t > 0 x Le schéma de base de volumes finis utilise une approximation constante par morceaux. Soit, par exemple, un schéma décentré du 1 er ordre : du i dt + f (u i ) f (u i 1 ) = 0 δx Ce schéma est connu pour être diffusif i.e. il lisse les chocs et discontinuités. Pour obtenir moins de diffusion numérique, on peut considérer une approximation linéaire par morceaux du type : du f (u i dt + i+ 1 ) f (u 2 i 1 ) 2 = 0 δx où u i+ 1 2 := 1 2 (u i + u i+1 ), u i 1 2 := 1 2 (u i 1 + u i ). Ce schéma est plus précis mais est oscillant (i.e. non TVD). Séminaire EPFL R. Touzani 15/35
33 SKIP : Schémas TVD La variation totale discrète est définie par : TV (u) = X i u i+1 u i. Un schéma est dit TVD (Total Variation Diminishing) si ou, après discrétisation en temps : d TV (u) 0 dt TV (u n+1 ) TV (u n ). Séminaire EPFL R. Touzani 16/35
34 On peut alors utiliser un schéma de type MUSCL : Les flux numériques f i± 1 2 et du 2ème ordre de f (u). f du i dt + i+ 1 f i δx = 0 correspondent à une combinaison non-linéaire d approximations du 1 er u u L j 1/ u R j 1/2. i-1. i. i+1. i+2... x Séminaire EPFL R. Touzani 17/35
35 On définit : u i± 1 2 = u i± 1 (u L i± 2 1, u R i± 2 1 ) 2 u L i+ 1 2 = u i φ(r i )(u i+1 u i ) u R i+ 1 2 = u i φ(r i+1)(u i+2 u i+1 ) r i = u i u i 1 u i+1 u i Le fonction φ est un limiteur de pente permettant d assurer que la solution obtenue est TVD, avec φ(r) = 0 si r 0, φ(1) = 1. Il existe dans la littérature une multitude de limiteurs de pente. Par exemple le limiteur minmod est défini par φ(r) = max(0, min(1, r)), lim φ(r) = 1. r Séminaire EPFL R. Touzani 18/35
36 On définit : u i± 1 2 = u i± 1 (u L i± 2 1, u R i± 2 1 ) 2 u L i+ 1 2 = u i φ(r i )(u i+1 u i ) u R i+ 1 2 = u i φ(r i+1)(u i+2 u i+1 ) r i = u i u i 1 u i+1 u i Le fonction φ est un limiteur de pente permettant d assurer que la solution obtenue est TVD, avec φ(r) = 0 si r 0, φ(1) = 1. Il existe dans la littérature une multitude de limiteurs de pente. Par exemple le limiteur minmod est défini par φ(r) = max(0, min(1, r)), lim φ(r) = 1. r Séminaire EPFL R. Touzani 18/35
37 Limiteurs de pente Séminaire EPFL R. Touzani 19/35
38 Les schémas MUSCL pour les équations d Euler Pour un triangle T i on note par B i son barycentre et par Q ij l intersection du segment [B i, B j ] avec l arête e ij pour tout j ν(i). B k. B i Q ij. Bj. B l. On introduit les coordonnées barycentriques (ρ ij ) j ν(i) par X X ρ ij B j = B i, ρ ij = 1. j ν(i) j ν(i) On suppose que B i est strictement à l intérieur du triangle formé par les barycentres des triangles voisins. Ainsi ρ ij > 0. On définit la direction t ij = B i B j B i B j Séminaire EPFL R. Touzani 20/35
39 Les schémas MUSCL pour les équations d Euler Pour un triangle T i on note par B i son barycentre et par Q ij l intersection du segment [B i, B j ] avec l arête e ij pour tout j ν(i). B k. B i Q ij. Bj. B l. On introduit les coordonnées barycentriques (ρ ij ) j ν(i) par X X ρ ij B j = B i, ρ ij = 1. j ν(i) j ν(i) On suppose que B i est strictement à l intérieur du triangle formé par les barycentres des triangles voisins. Ainsi ρ ij > 0. On définit la direction t ij = B i B j B i B j Séminaire EPFL R. Touzani 20/35
40 Les schémas MUSCL pour les équations d Euler Pour un triangle T i on note par B i son barycentre et par Q ij l intersection du segment [B i, B j ] avec l arête e ij pour tout j ν(i). B k. B i Q ij. Bj. B l. On introduit les coordonnées barycentriques (ρ ij ) j ν(i) par X X ρ ij B j = B i, ρ ij = 1. j ν(i) j ν(i) On suppose que B i est strictement à l intérieur du triangle formé par les barycentres des triangles voisins. Ainsi ρ ij > 0. On définit la direction t ij = B i B j B i B j Séminaire EPFL R. Touzani 20/35
41 On obtient ainsi une décomposition t ij = X j ν(i) k i β ijk t ik, β ijk = ρ ik B i B k ρ ij B i B j On veut maintenant reconstruire les valeurs U ij sur l arête e ij. Soit v une composante quelconque de U (constante par triangle). On définit un premier ensemble de pentes aval par : p + ij = v j v i B i B j j ν(i), 1 i n T. Ainsi p + ij est une approximation de la dérivée de v dans la direction t ij. La pente amont est définie par : p ij = X β ijk p + ik j ν(i), 1 i n T. k ν(i) k j Les pentes p ij sont alors obtenues par un limiteur. Par exemple p ij := minmod (p + ij, p ij ) Séminaire EPFL R. Touzani 21/35
42 On obtient ainsi une décomposition t ij = X j ν(i) k i β ijk t ik, β ijk = ρ ik B i B k ρ ij B i B j On veut maintenant reconstruire les valeurs U ij sur l arête e ij. Soit v une composante quelconque de U (constante par triangle). On définit un premier ensemble de pentes aval par : p + ij = v j v i B i B j j ν(i), 1 i n T. Ainsi p + ij est une approximation de la dérivée de v dans la direction t ij. La pente amont est définie par : p ij = X β ijk p + ik j ν(i), 1 i n T. k ν(i) k j Les pentes p ij sont alors obtenues par un limiteur. Par exemple p ij := minmod (p + ij, p ij ) Séminaire EPFL R. Touzani 21/35
43 On obtient ainsi une décomposition t ij = X j ν(i) k i β ijk t ik, β ijk = ρ ik B i B k ρ ij B i B j On veut maintenant reconstruire les valeurs U ij sur l arête e ij. Soit v une composante quelconque de U (constante par triangle). On définit un premier ensemble de pentes aval par : p + ij = v j v i B i B j j ν(i), 1 i n T. Ainsi p + ij est une approximation de la dérivée de v dans la direction t ij. La pente amont est définie par : p ij = X β ijk p + ik j ν(i), 1 i n T. k ν(i) k j Les pentes p ij sont alors obtenues par un limiteur. Par exemple p ij := minmod (p + ij, p ij ) Séminaire EPFL R. Touzani 21/35
44 On obtient ainsi une décomposition t ij = X j ν(i) k i β ijk t ik, β ijk = ρ ik B i B k ρ ij B i B j On veut maintenant reconstruire les valeurs U ij sur l arête e ij. Soit v une composante quelconque de U (constante par triangle). On définit un premier ensemble de pentes aval par : p + ij = v j v i B i B j j ν(i), 1 i n T. Ainsi p + ij est une approximation de la dérivée de v dans la direction t ij. La pente amont est définie par : p ij = X β ijk p + ik j ν(i), 1 i n T. k ν(i) k j Les pentes p ij sont alors obtenues par un limiteur. Par exemple p ij := minmod (p + ij, p ij ) Séminaire EPFL R. Touzani 21/35
45 et la reconstruction de v sur e ij est donnée par v ij := v i + p ij B i Q ij Remarques Cette reconstruction est exacte pour les fonctions affines : v(q ij ) = v ij si v est linéaire par morceaux Le principal intérêt est que la reconstruction est 1-D. Ceci permet d utiliser les limiteurs de pente 1-D les plus populaires. La propriété ρ ij > 0 implique β ijk < 0. Donc si v i est un extrémum local on a p + ij p ij 0. Donc p ij = 0. Ainsi, les extréma ne croissent pas. Pour des raisons de positivité, la reconstruction doit se faire sur les variables physiques et non conservatives. Séminaire EPFL R. Touzani 22/35
46 et la reconstruction de v sur e ij est donnée par v ij := v i + p ij B i Q ij Remarques Cette reconstruction est exacte pour les fonctions affines : v(q ij ) = v ij si v est linéaire par morceaux Le principal intérêt est que la reconstruction est 1-D. Ceci permet d utiliser les limiteurs de pente 1-D les plus populaires. La propriété ρ ij > 0 implique β ijk < 0. Donc si v i est un extrémum local on a p + ij p ij 0. Donc p ij = 0. Ainsi, les extréma ne croissent pas. Pour des raisons de positivité, la reconstruction doit se faire sur les variables physiques et non conservatives. Séminaire EPFL R. Touzani 22/35
47 et la reconstruction de v sur e ij est donnée par v ij := v i + p ij B i Q ij Remarques Cette reconstruction est exacte pour les fonctions affines : v(q ij ) = v ij si v est linéaire par morceaux Le principal intérêt est que la reconstruction est 1-D. Ceci permet d utiliser les limiteurs de pente 1-D les plus populaires. La propriété ρ ij > 0 implique β ijk < 0. Donc si v i est un extrémum local on a p + ij p ij 0. Donc p ij = 0. Ainsi, les extréma ne croissent pas. Pour des raisons de positivité, la reconstruction doit se faire sur les variables physiques et non conservatives. Séminaire EPFL R. Touzani 22/35
48 et la reconstruction de v sur e ij est donnée par v ij := v i + p ij B i Q ij Remarques Cette reconstruction est exacte pour les fonctions affines : v(q ij ) = v ij si v est linéaire par morceaux Le principal intérêt est que la reconstruction est 1-D. Ceci permet d utiliser les limiteurs de pente 1-D les plus populaires. La propriété ρ ij > 0 implique β ijk < 0. Donc si v i est un extrémum local on a p + ij p ij 0. Donc p ij = 0. Ainsi, les extréma ne croissent pas. Pour des raisons de positivité, la reconstruction doit se faire sur les variables physiques et non conservatives. Séminaire EPFL R. Touzani 22/35
49 et la reconstruction de v sur e ij est donnée par v ij := v i + p ij B i Q ij Remarques Cette reconstruction est exacte pour les fonctions affines : v(q ij ) = v ij si v est linéaire par morceaux Le principal intérêt est que la reconstruction est 1-D. Ceci permet d utiliser les limiteurs de pente 1-D les plus populaires. La propriété ρ ij > 0 implique β ijk < 0. Donc si v i est un extrémum local on a p + ij p ij 0. Donc p ij = 0. Ainsi, les extréma ne croissent pas. Pour des raisons de positivité, la reconstruction doit se faire sur les variables physiques et non conservatives. Séminaire EPFL R. Touzani 22/35
50 Solutions stationnaires radiales Afin de tester le schéma numérique, on construit une solution stationnaire radiale des équations : On cherche une solution (u r, u θ, u z, p, e) ne dépendant que de r et telle que u z = u θ = 0. On obtient le système d dr (rρur ) = 0 d dr (r(ρu2 r + p)) = 0 d (rur (e + p)) = 0 dr p = (γ 1)ρe On en déduit, pour α, β R : dρ dr = ρ αρ 2 r 2 γ+1 2(γ 1), u r = β (γ 1)r ρr Séminaire EPFL R. Touzani 23/35
51 Solutions stationnaires radiales Afin de tester le schéma numérique, on construit une solution stationnaire radiale des équations : On cherche une solution (u r, u θ, u z, p, e) ne dépendant que de r et telle que u z = u θ = 0. On obtient le système d dr (rρur ) = 0 d dr (r(ρu2 r + p)) = 0 d (rur (e + p)) = 0 dr p = (γ 1)ρe On en déduit, pour α, β R : dρ dr = ρ αρ 2 r 2 γ+1 2(γ 1), u r = β (γ 1)r ρr Séminaire EPFL R. Touzani 23/35
52 Solutions stationnaires radiales Afin de tester le schéma numérique, on construit une solution stationnaire radiale des équations : On cherche une solution (u r, u θ, u z, p, e) ne dépendant que de r et telle que u z = u θ = 0. On obtient le système d dr (rρur ) = 0 d dr (r(ρu2 r + p)) = 0 d (rur (e + p)) = 0 dr p = (γ 1)ρe On en déduit, pour α, β R : dρ dr = ρ αρ 2 r 2 γ+1 2(γ 1), u r = β (γ 1)r ρr Séminaire EPFL R. Touzani 23/35
53 Essais numériques 1 Solution stationnaire radiale 2 Tube à choc (SOD) : Plusieurs configurations 3 Écoulement supersonique dans un canal Séminaire EPFL R. Touzani 24/35
54 Solution radiale stationnaire Solution Density (kg.m 3 ) 2.1 Stationary solution Second order HLLC First order HLLC Radial direction (m) Séminaire EPFL R. Touzani 25/35
55 Tube à choc Soit le domaine des paramètres Ω = {(r, z); r [0, 1), z (0, 1)}. On définit Ω L = (0, 1) (0, 1 2 ), Ω R = (0, 1) ( 1, 1) et les conditions initiales : 2 ( U L dans Ω L U(t = 0) = U R dans Ω R Séminaire EPFL R. Touzani 26/35
56 Tube à choc : Test 1 On teste une configuration avec une onde de raréfaction à gauche, une discontinuité de contact et une onde de choc à droite. On prescrit pour cela : ρ L = 1, ρ R = 0.125, u L = u R = 0, p L = 1, p R = ,8 Exact solution First-order Rusanov First-order HLLC 2,8 2,6 Exact solution First-order Rusanov First-order HLLC Density 0,6 0,4 Internal energy 2,4 2,2 2 0,2 1, ,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 1,6 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 1 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/100 Séminaire EPFL R. Touzani 27/35
57 Tube à choc : Test ,8 Exact solution First-order Rusanov First-order HLLC Exact solution First-order Rusanov First-order HLLC Density 0,6 0,4 Internal energy 2,5 2 0, ,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 1,5 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 1 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/200 Séminaire EPFL R. Touzani 28/35
58 Tube à choc : Test ,8 Exact solution Second-order Rusanov Second-order HLLC Exact solution Second-order Rusanov Second-order HLLC Density 0,6 0,4 Internal energy 2,5 2 0, ,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 1,5 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 2 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/100 Séminaire EPFL R. Touzani 29/35
59 Tube à choc : Test ,8 Exact solution Second-order Rusanov Second-order HLLC Exact solution Second-order Rusanov Second-order HLLC Density 0,6 0,4 Internal energy 2,5 2 0, ,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 1,5 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 2 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/200 Séminaire EPFL R. Touzani 30/35
60 Tube à choc : Test 2 On teste maintenant une configuration avec un double choc et une détente. Ceci est obtenu avec les conditions : ρ L = ρ R = 6, u L = 19.6, u R = 6.2, p L = 460, p R = Exact solution Minmod van Leer van Albada 200 Density Internal energy 100 Exact solution Minmod van Leer van Albada 0 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 0 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 2 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/200 Séminaire EPFL R. Touzani 31/35
61 Tube à choc : Test 3 On teste maintenant une configuration avec 2 raréfactions et une discontinuité de contact où la solution présente un état proche du vide. Ceci on obtenu avec les conditions : ρ L = ρ R = 1, u L = 2, u R = 2, p L = 1, p R = ,8 Exact solution Minmod van Albada van Leer 0,8 Exact solution Minmod van Albada van Leer Density 0,6 0,4 Internal energy 0,6 0,4 0,2 0, ,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction 0 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 Axial direction Ordre 2 : Schémas de Rusanov et HLLC. Maillage 1/200 Séminaire EPFL R. Touzani 32/35
62 Écoulement supersonique dans un canal On considère un écoulement dans un canal avec un obstacle oblique (10 degrés) formant un cône. Données du problème : Maillage : 5176 triangles. P = 10 5 Pa, ρ = 1.16Kg/m 3, M = 2 Séminaire EPFL R. Touzani 33/35
63 Cône : Courbes iso-densité Animation Séminaire EPFL R. Touzani 34/35
64 Cône : Courbes iso-mach Animation Séminaire EPFL R. Touzani 35/35
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