INTRODUCTION GÉNÉRALE

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1 Le traitement médiatique de la vieillesse offre des images contrastées : les journaux télévisés mettent en scène aussi bien de jeunes retraités, investis dans leur nouveau rôle de grands-parents ou se dévouant bénévolement à des tâches caritatives ou citoyennes, que de très grands vieillards, abandonnés dans des hôpitaux gériatriques ou des maisons de retraite. Oscillant entre admiration et apitoiement, ils rendent cependant compte de manière assez fidèle des représentations sociales actuelles de ce «nouvel âge de la vie» (A.-M. Guillemard, 1980), partagées entre une jeune vieillesse, qui se démarque à peine de la maturité, si ce n est par l inactivité (économique) de ses représentants, et «un nouveau modèle de la vraie vieillesse, celle qui ne peut qu aller mal (sinon elle n est pas la vieillesse) en passe de devenir le seul modèle autorisé pour la grande vieillesse, la vieillesse dépendante» (B. Ennuyer, 1998). Au premier abord, les maisons de retraite semblent le lieu privilégié de cette vieillesse dépendante. Dans l imaginaire social, elles rassemblent des individus dépendants, handicapés, incapables de vivre seuls et donc placés dans ces institutions par les réseaux d assistance sociale, le corps médical, ou encore, de manière plus ou moins brutale, par leur famille. Même les représentations un peu moins frustes des établissements d hébergement pour personnes âgées opèrent une partition entre d une part les foyers-logements et les résidences-services, facilitant l existence de personnes appartenant à un troisième âge encore autonome, et d autre part, les maisons de retraite médicalisées et les longs séjours hospitaliers qui recueilleraient les représentants du quatrième âge devenus dépendants. Ces représentations sont d autant plus fantasmées que leur mise en lumière ponctuelle se fait à l occasion de journées emblématiques (journées des maisons de retraite, ou «dimanches savoureux») ou en raison de faits divers plus ou moins sordides (incendies, maltraitance par des personnels), voire d une catastrophe sanitaire comme la canicule de l été Le reste du temps, les maisons de retraite se referment sur elles-mêmes comme autant de mondes clos. Le fait qu elles soient, après l hôpital, un lieu désigné de la mort ne contribue 7

2 sans doute pas peu à leur invisibilité sociale, dans un monde où la mort est très largement évacuée de la scène sociale. Adopter un regard sociologique sur ce monde encore fermé des maisons de retraite conduit à remettre en cause ces différentes représentations. Étudier sociologiquement les manières dont les personnes très âgées organisent leur existence en institution permet ainsi d ouvrir ce monde à un public plus large que celui qui le côtoie habituellement (les directeurs et le personnel des maisons de retraite, les bénévoles qui y interviennent, les parents et amis des résidents), en essayant de présenter une image fidèle des différentes manières d habiter en maison de retraite. Surtout, la maison de retraite constitue un laboratoire social, non expérimental, du vieillissement. Lorsqu on a pénétré dans une maison de retraite autrement que pour une visite ponctuelle à un ami ou à un parent, ce qui frappe, c est la diversité des états de vieillesse représentés. L œil est bien sûr immédiatement attiré par les grabataires, entraperçus à travers une porte ouverte, ou par les invalides et les désorientés, rassemblés dans le hall ou devant une télé dans une salle commune. Mais, après un certain temps passé dans les lieux, lorsque se fait la mise au point, apparaissent également des groupes de joueurs de cartes, assez animés, ou encore des individus, parfois un peu à l écart, repliés dans leur chambre, traversant rapidement les espaces communs pour vaquer à leurs occupations, dans la maison ou à l extérieur, recevant amis et parents. Les maisons de retraite apparaissent alors comme des lieux de vieillissements pluriels, et plus seulement comme des espaces de relégation de l extrême vieillesse, conçue exclusivement comme une vieillesse dépendante. Une manière de décentrer le regard communément (et parfois théoriquement) porté sur les institutions consiste à saisir la manière dont elles fonctionnent à travers l expérience qu en font les résidents. Elles ne sont plus appréhendées uniquement comme des collectivités contraignantes, mais de façon plus neutre comme des espaces, privés et collectifs, intimes et publics, où se déroule la fin de l existence des personnes âgées, comme les structures qui accueillent le dernier «chez-soi» de ces vieilles personnes. Se pose ainsi un questionnement double : dans quelle mesure les personnes âgées qui vivent en maison de retraite parviennent-elles à recréer un «chez-soi», qui soit plus qu un refuge hors de la collectivité, et qui articule de manière singulière «des lieux, des biens et des liens» (pour reprendre, en la modifiant à la marge, une formule d O. Schwartz, 1990, p. 92)? Il s agit alors de caractériser ce «chez-soi», à l intersection de deux univers, l ancien monde privé et l institution, en montrant comment il s insère, selon des modalités et avec des difficultés variables, dans la collectivité. Par suite, comment le vieillissement s opère-t-il dans les univers ainsi recréés par les résidents des institutions? Même si on ne peut présupposer théoriquement que la manière de recréer une vie privée au sein d une maison de retraite conditionne le vieillissement du résident, il n en demeure pas 8

3 moins que la reconstruction du «chez-soi» et la construction de soi sont intimement liées. En rupture avec le sens commun et au moins une partie du savoir sociologique, l enquête retracée dans cet ouvrage crédite donc a priori les personnes âgées d une autonomie dans la conduite et l organisation de leur vie. Elle montre que les résidents des maisons de retraite parviennent, inégalement certes, à recréer plus qu un domaine privé, un monde personnel au sein de ces collectivités. Elle s attache à décliner les différentes manières dont ces résidents conservent ou préservent leur identité sociale et personnelle dans un lieu qui leur impose un statut déprécié, celui de résidant en institution. Pour autant, penser que les personnes âgées sont capables, en maison de retraite, de reconstruire un monde privé et de maintenir leur identité, sociale et personnelle, est une option de recherche forte. Pour qui connaît le monde des institutions d hébergement pour personnes âgées, il apparaît nettement qu une grande majorité des résidents ont les plus grandes difficultés à organiser leur existence de manière autonome ; les grabataires, les aphasiques, les désorientés semblent incapables de reconstruire un chezsoi dans la collectivité qui les accueille, tant ils subissent l institution. Que dire alors du maintien de leur identité? À l épreuve du terrain, la perspective initiale s est trouvée remise en cause, nuancée, amendée, mais elle n a pas été invalidée. Les individus qui résident en maison de retraite ne peuvent être uniquement et unilatéralement définis par la dépendance, une dépendance qui les placerait sous la domination des contraintes collectives et du personnel. Au contraire, sont mises en lumière les manières diverses d habiter en institution, et pour des individus présentant des propriétés sociales particulières, les modalités de recréation d un «chez-soi», en continuité ou en rupture avec la vie privée auparavant menée au domicile. La stabilité ou l instabilité des existences au sein de la collectivité est en effet fonction des trajectoires des individus. De manière similaire, le vieillissement, c est-à-dire la construction de soi aux âges élevés de la vie, au sein d une maison de retraite, ne saurait se réduire à la conformation des identités aux vues de l institution ou aux contraintes qu elle fait peser sur les résidents. Là encore, les propriétés individuelles et sociales des personnes âgées les conduisent à reformuler leur identité de manière variable, au sein d une institution qui présente trois traits originaux : La prise en charge de tous les besoins potentiels des résidents au moyen de services collectifs, ce qui les décharge des rôles domestiques et familiaux éventuellement conservés au domicile. Rôles et identité entretenant des rapports étroits, la construction de soi est nécessairement affectée par cette situation. La confrontation permanente qu elle organise avec le handicap, la maladie et la mort. L affrontement individuel à ces réalités habituellement refoulées hors de la scène sociale dessine des parcours de vieillissement typiques, variables selon les trajectoires sociales des individus. 9

4 La collectivité, enfin, qui entre inégalement dans les univers privés des individus. Le recours à l institution, aux autres résidents, aux membres de la famille pour valider la construction de soi engagée par les résidents est, là encore, variable selon leurs parcours sociaux. La sociologie mobilisée ici a comme projet de définir, le plus précisément possible, qui parvient à recréer une vie équilibrée en institution, et quelles sont les logiques sociales qui permettent la reconstitution de mondes équilibrés. Elle s attache également à rendre compte des mécanismes qui empêchent les individus de retrouver un équilibre dans l institution. Comprendre les efforts d adaptation des personnes âgées au nouvel univers qu elles rencontrent en entrant en maison de retraite, retracer leurs stratégies et leurs tactiques pour s intégrer à l institution ou au contraire se mettre hors de sa portée, décliner les vieillissements multiples à l œuvre dans ce cadre, telles sont les réflexions auxquelles invite cette enquête. Ce voyage dans l univers des maisons de retraite adopte le point de vue des personnes âgées, pour rendre compte du sens de leurs activités en ce lieu. Il retrace les manières diverses dont elles vivent en collectivité et met en lumière leurs capacités, inégalement distribuées, à maintenir ou à reconstruire leur identité dans un lieu en coulisses de la grande scène du monde social. Il s agit moins de déterminer ce que l institution «fait» aux résidents que ce que les résidents font de l institution. Le souci de porter un regard nuancé et juste (au sens de la justesse, et non de la justice) m a conduite à privilégier l usage du terme [résident] pour dénommer les personnes âgées vivant en maison de retraite. Ce terme banal contribue à neutraliser les représentations sociales (les prénotions) véhiculées par les appellations habituelles des ressortissants des établissements d hébergement pour personnes âgées. Il suspend les jugements de valeurs du sens commun, notamment de celui véhiculé par les professionnels des institutions, par son orthographe : les établissements parlent de [résidants] 1, insistant finalement, dans la proximité du terme avec le participe présent, sur le caractère transitoire de la résidence. Et Le Petit Robert reprend dans les exemples qu il donne la distinction implicite entre ces termes homonymes : les [résidants] «d une maison de retraite» ne sont pas les [résidents] «d une cité universitaire» (même si la similarité de ces équipements collectifs est frappante, au-delà des similitudes architecturales, dans leur fonction même de logement d une catégorie d âge déterminée). Les résidents des maisons de retraite ne sauraient être comparés à des résidents plus normaux, plus banals, moins à l écart de la société et donc mieux intégrés. Le terme de [résident] rompt également avec les présupposés théoriques associés à d autres dénominations. Les résidents ne sont pas tous des 1. Lorsque le terme apparaît ainsi orthographié dans l ouvrage, c est qu il émane des documents institutionnels, ou fait référence à des points de vue du sens commun. 10

5 reclus (E. Goffman, 1968); ils ne se considèrent pas nécessairement comme des pensionnaires ; ils ne se comportent pas forcément comme des usagers ou des clients. La neutralité du terme en permet donc l usage sociologique : sa souplesse permet de rendre compte de la diversité des manières de vivre l institution. La réflexion s articule en trois temps. La première partie, composée d un unique chapitre, propose de porter un autre regard sur les maisons de retraite. Retraçant le questionnement et les démarches d enquête au principe de cet ouvrage, elle présente une analyse «par le bas» (J.-F. Bayart, 1985) des maisons de retraite, en déplaçant le regard de l institution aux résidents. La deuxième partie détermine les manières différentes dont les personnes âgées s intègrent à ces institutions ou s y insèrent, en tentant d y recréer une existence équilibrée. L exploration des formes matérielles et des relations sociales, des personnes, des espaces et des objets, mobilisés par les personnes âgées pour construire un chez-soi au sein de la collectivité fait apparaître des mondes privés qui articulent de manière singulière l ancien monde du domicile quitté au nouvel univers de la maison de retraite. Ces mondes privés sont distingués de manière typologique selon deux axes : leur inscription dans ou hors de l établissement, et le rapport des résidents à l institution, qu ils l instrumentalisent ou qu ils la subissent. Enfin, la dernière partie explore les différentes façons dont les personnes âgées tentent de maintenir leur identité au sein de cette collectivité particulière. Les manières singulières dont les personnes âgées affrontent le vieillissement, qui sont fonction de leurs propriétés et leurs appartenances sociales, pèsent sur les évolutions identitaires des résidents, bien autant que l institution elle-même. 11

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