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1 T6 énergie ch4 Mécanique quantique Exercice 15 p 417 a. Le schéma du bas représente une absorption (l atome est initialement dans l état fondamental) et le schéma du haut 1 une émission (atome initialement dans l état excité). b. b. Il peut y avoir émission spontanée mais elle est peu probable : entre les niveaux E 3 et E 1 car le niveau E 3 se désexcite très vite vers le niveau E pour réaliser l inversion de population ; entre les niveaux E et E 1 car le niveau E a été choisi de telle sorte que sa durée de vie soit grande (durée de vie = temps moyen de désexcitation spontanée). Exercice 19 p 417 L énergie du photon est liée à la fréquence de la radiation associée par la relation E = hν. Par ailleur ν= c/λ λ = hc E A.N:λ = 6, , =3, m soit 350nm. C est une radiation ultraviolette 1 3 c. Il s agt d une émission stimulée, l atome est désexcité par le photon incident. Exercice 16 p 417 a. Le pompage permet de faire passer les atomes du niveau fondamental au niveau excité E 3 (flèche à gauche sur le schéma). L émission stimulée qui Exercice 4 p nm correspond à la longueur d onde d une lampe émettant dans le rouge (visible).. On utilise les relations E = hν et ν= c/λ On obtient E = hc/λ A.N : E= 6, =3, J 3. Chaque seconde l énergie transporté est E T =Px t= =10-3 J Le nombre de photons transportés est égale à l énergie transporter divisé par l énergie d un photon. n= E 3 T E = 10 photons 3, =3,

2 Exercice 7 p 40 On utilise l expression : λ= c ν c=λν A.N : c = ,67x10 6 x3, x10-6 =, x10 8 m s -1 Exercice 36 p a. On peut citer la monochromaticité, la directivité du faisceau et une grande puissance surfacique (concentration spatiale de l énergie). Dans le cas d un laser pulsé, il y a aussi une concentration temporelle de l énergie. b. Non, il émet de la lumière infrarouge (1067 nm > 800 nm). c. L irradiance est la puissance par unité de surface : I=P/S=P/πR On peut calculer la puissance à partir de l énergie délivrée pendant la durée t : P= E t I= P S = E π R² t A.N : I= W cm =3,1GW.cm π ( ) =3,1 109 L irradiance est suffisante pour créer un plasma car le résultat est supérieur à 1,0 GW.cm - (Cf doc.1) 5 7 Exercice 9 p 40 Chaque seconde l énergie transporté est E T =Px t= = 10-3 J L énergie de chaque photon émis est donné par : E=hν = hc λ A.N: E= 6, , =3, J Le nombre de photons transportés est égale à l énergie transporter divisé par l énergie d un photon. n= E T E = 10 3 photons L ordre de grandeur est de 3, =6, l ordre de photons. a. Chaque atome possède des niveaux d énergie bien déterminés, différents d un atome à l autre (c est la quantification). L énergie changée lors des différentes transitions est donc quantifiée et les longueurs d onde correspondantes λ=hc/ Ε sont caractéristiques des niveaux d énergie de l atome. Le spectre est donc différent d un atome à l autre.. b. E= hc λ =6, =4, J soit 4, / 1, =,94 ev Il s agit du retour au niveau fondamental à partir du deuxième état excité. 6 8

3 . c. Si l analyseur spectral fonctionne correctement, on doit retrouver dans le spectre les raies de l ion calcium, ce qui est le cas. Exercice 18 p437 a. λ= c ν =3,0.108,4.10 9=0,13m E=hν =6, , =1, J En électron-volt E= 1, , =9, ev b. Pour un photon de longueur d onde λ = 600 nm, son énergie est donnée par la relation : E=hν = h c λ = 6, , =,1eV L énergie d un photon visible est beaucoup plus grande que celle d un photon utilisé en Wi-Fi Ex 37 p44 Ex 1p437 a. Pour l électron λ= h 6, = m p e 9, , =, Pour le proton λ= h 6, = 3=, m p p 1, ,64.10 b. Pour des ondes électromagnétiques, les longueurs d onde correspondent au domaine des rayons X. 10 1

4 Ex 3p437 a. À la date t = 10 s, la position de l impact d un photon semble aléatoire. b. À la date t = 500 s, la figure qui apparaît est celle des interférences : des franges apparaissent. c. Les zones les plus claires correspondent à une probabilité de présence maximale des photons alors que les plus sombres correspondent à une probabilité de présence minimale. d. Dans cette expérience, le caractère ondulatoire des photons se manifeste lorsqu ils sont en nombre important. Ex 33p441 a. E 0 =hν = h c λ λ 0 = h c 34 0 E =6, , =, m=77nm 4,49 1, b. D après le texte, le photon doit apporter une énergie supérieure au travail d extraction E > E 0 Or on a E 0 = h c λ 0 On en déduit que la longueur d onde des photons doit être inférieure à la longueur d onde seuil. λ<λ Exercice 3 p 440 Le phénomène de diffraction intervient lorsque la longueur d onde et et la taille de l objet diffractant sont de même ordre de grandeur. La longueur d onde associée à un grain de sable est donné par la relation de de Broglie : λ = h p avecp=mv On a v=1 m s -1, m=1mg= kg λ = 6, =6, m Il n existe pas «d objet» de cette dimension permettant de mettre en évidence par diffraction le caractère ondulatoire d un grain de sable. (ordre de grandeur de la taille d un atome m) 14 Exercice 34 p 441 La masse d une molécule est calculée à partir de sa masse molaire et de la M C60 constante d Avogadro N A : m= N A Par ailleurs λ = h p et p=mv v= p m = h h N λ m = A 6, , v= 60 M C λ ,5 10 1=m s1 Exercice 44 p Le point A est au centre d une frange brillante : interférences constructives. Le point B est au centre d une frange sombre : interférences destructives.. Les interférences constructives observées en A sont obtenues pour des ondes en phase donc pour les ondes a et c ; les interférences destructives sont obtenues pour des ondes en opposition de phase donc pour les ondes a et b ou les ondes b et c. 16

5 3. a. Sur le document 3, on remarque que pour une cinquantaine d impacts les positions semblent aléatoires. Il n est donc pas possible de prévoir la position d un électron, le phénomène pourra être interprété en terme de densité de probabilité de présence pour un grand nombre d impacts. 3. b. À partir de impacts, on voit se dessiner sur les figures du document 3 les figures d interférences, avec l équivalent de franges sombres qui correspondent à un faible nombre d impacts, de franges brillantes qui correspondent à un grand nombre d impacts. Le phénomène d interférence est caractéristique du comportement ondulatoire des électrons. Pour un faible nombre d impacts, les impacts semblent aléatoires et traduisent le caractère corpusculaire (particulaire) des électrons. U(λ)=λ ( U(i) i ) +( U(b) b ) A.N : U(λ )=4, ( λ = (4,6 ± 1,3) 10 1 m. +( U(D) D ) 0,,0) +( 0, 0,8) +( 0,1 1, ) 1 m On avait par le calcul: λ = (5,6 ± 0,5) 10 1 m. Ces deux valeurs sont cohérentes car les deux intervalles de confiance se recoupent. 4. b. Le phénomène observé est la diffraction de l onde; l onde de matière traverse ici une ouverture de petite dimension. D après le schéma de l expérience sur le document 4, tanθ= OM D ;Pour un petit angle exprimé en radian : θ= OM D a. La relation de de Broglie : λ= h avec p=mv p 6, A.N : λ = 8=5,6 101 m 9, ,3 10 Vérification expérimentale : Sur le document, pour impacts, on détermine l interfrange: 4i = 8,0 µm soit i =,0 µm. L interfrange est par ailleurs donné par la relation i= λ D b λ =ib D A.N : λ =, , =4, m 35,0 10 On utilise la formule donnée pour calculer l incertitude sur la longueur d onde : On mesure OM sur la figure de densité de probabilité de présence des électrons du document 4, OM = 8,0 µm soit θ= 8, ,0 10 =,3 104 rad Par ailleurs : θ= λ a A. N. : donc λ =θ a λ=, , 10 6 =4, m= m. On obtient un ordre de grandeur de 10 1 m identique à l ordre de grandeur de la longueur d onde de l onde de matière déterminée précédemment. Ex 45p Ec= 1 m p v avec v=c/10 car le proton est animé d une vitesse de valeur égale à 10% de la vitesse de la lumière dans le vide. Ec= 1 m ( c p 10 ) = 1 1, ( 3, ) =7, J

6 Ec= 7, , =4,7Mev. D après la question 1, les protons non relativistes les plus énergétiques ont une énergie cinétique de 4,7 MeV. Le document nous indique que les protons les plus énergétiques des rayons cosmiques ont une énergie de 10 GeV, bien supérieure à 4,7 MeV, ces protons sont donc relativistes. 3.a p=m p v=m p c 10 =1, , =5, kg.m.s b λ= h =6, p 5, =1, m 1

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