Enquête auprès des ménages sinistrés par les inondations à Niamey, République du Niger
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- Adrien Ducharme
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1 Enquête auprès des ménages sinistrés par les inondations à Niamey, République du Niger Septembre 2012 ACTED BUREAU DE NIAMEY Niamey, BP , rue Issa Béri, IB 32, 4eme et 5eme porte à droite, Tel: SIEGE 33, rue Godot de Mauroy F Paris Tel Fax E- mail paris@acted.org Site Web Site sinistré CEG 9, commune 5, 13 septembre 2012 Présenté par ACTED et OXFAM Niamey, République du Niger En partenariat avec OXFAM BUREAU DE NIAMEY Rue YN- 5, porte 76 PO Box: Tel: Fax: Site Web 1
2 SOMMAIRE EXECUTIF Objectif général Déterminer les profils socio- économiques, les besoins à court terme et les stratégies de relèvement des sinistrés des inondations à Niamey i) Analyser le profil socio- économique et professionnel des ménages Objectifs spécifiques ii) Mesurer la satisfaction des ménages sinistrés bénéficiaires quant à (articles non alimentaires et cash) iii) Evaluer la vulnérabilité des ménages iv) Identifier les besoins prioritaires v) Analyser les stratégies de relèvement et perspectives des sinistrés Lieu Echantillon Sites sinistrés dans les 5 communes de Niamey, région de Niamey, République du Niger 510 ménages ont été interrogés sur les sites sinistrés parmi 4788 ménages, représentant environ personnes Les questionnaires ont été administrés par 6 enquêteurs durant 7 jours de distributions sur les sites sinistrés des communes 1 à 5 de la capitale Niamey au Niger Date/Période Du 13 au 25 septembre 2012 qui se sont mobilisées pour cette opération et en particulier les partenaires DICKO et FCMN Niya. 2
3 CARTOGRAPHIE DES COMMUNES DE NIAMEY 3
4 Résumé Dans le cadre des distributions de kit de articles non alimentaires, composé de couvertures, nattes, accès gratuit aux soins (gouvernorat) dans les sites sinistrés de Niamey, ACTED et OXFAM, en partenariat avec UNICEF, ont réalisé une enquête auprès des ménages sinistrés des inondations à Niamey. Cette étude avait pour objectifs la satisfaction des ménages quant à cette distribution et nalyser les caractéristiques économiques et professionnelles des sinistrés. Elle vise également à évaluer la vulnérabilité et les besoins des ménages. Enfin, elle cherche à déterminer les stratégies de relèvement des sinistrés pour les mois à venir. 510 ménages sinistrés, soit près de 11% de la population sinistrée ciblée, ont ainsi été interrogés durant les distributions qui ont eu lieu du 13 au 25 septembre ns, de nombreux ménages ont aussi perdu leur source de revenu principale, et ont maintenant recours à des stratégies.
5 LES DONNEES CLES PARTICULARITES Taille ménage : 8,6 personnes 62% des ménages sinistrés sont propriétaires de leur maison SOURCES DE REVENU Caractéristiques des ménages Post distribution monitoring Impact des inondations Besoins prioritaires Stratégies de relèvement et perspectives Le revenu mensuel moyen des ménages sinistrés était de 75,000 CFA avant les inondations, les sources principales de revenu étant le petit commerce, les métiers spécialisés et le travail journalier 18% des ménages sinistrés ont perdu leur principale source de revenus suite aux inondations, ce qui représente plus de 1000 ménages à Niamey Les raisons de surfaces maraichères, la destruction du matériel et la perte du capital économique pour faire du petit commerce Les métiers les plus touchées par cette perte de revenus sont les travailleurs journaliers, les maraichers et les personnes faisant du petit commerce DISTRIBUTION DE NFI 96% des ménages sinistrés 99% des ménages déclarent que le kit distribué était adapté à leurs besoins Parmi les articles mentionnés comme manquant, il faut citer les ustensiles de cuisine, les vêtements, un kit hygiénique féminin, une bouilloire ou encore des matelas DISTRIBUTION DE CASH Le cash distribué sera hauteur de 38% du montant reçu en moyenne), pour la reconstruction de leur maison (à hauteur de 27% du montant de cash distribué) et encore pour les habits (à hauteur de 11% du montant reçu) PERTES DE BIENS ustensiles de cuisine, des stocks alimentaires et des habits. HABITUDES ALIMENTAIRES Le le nombre de ménages prenant encore 3 repas par jour a diminué, ces derniers tendent à prendre maintenant seulement 2 repas par jour Les trois besoins priorita médicaux STRATEGIES Pour ceux qui ne peuvent recourir à leur activité principale habituelle pour répondre aux besoins essentiels Endettement depuis les inondations : 44% des ménages se sont endettés depuis les inondations, pour un montant moyen de 48,500 CFA RECONSTRUCTION 57% pensent pouvoir la reconstruire par leurs propres moyens Le temps de reconstruction est le plus souvent méconnu RELEVEMENT ET PERSPECTIVES P souhaitent continuer à exercer leur activité principale habituelle 39,5% des propriétaires comptent retourner dans leur maison sous peu de temps alors que seulement 18,8% des locataires expriment cette perspective gouvernement 5
6 TABLE DES MATIERES A) CONTEXTE... 7 B) OBJECTIFS... 9 C) METHODOLOGIE... 9 D) LIMITES DE L ENQUETE CARACTERISTIQUES DU MENAGE POST DISTRIBUTION MONITORING A) DISTRIBUTION DE ARTICLES NON ALIMENTAIRES B) DISTRIBUTION DE CASH IMPACT DES INONDATIONS A) PERTE DE BIENS PERSONNELS B) SOURCES D EAU C) HABITUDES ALIMENTAIRES BESOINS PRIORITAIRES ION ET PERSPECTIVES A) STRATEGIES D ADAPTATION UTILISEES B) HABITAT ET RECONSTRUCTION C) DISPONIBILITE EN LATRINES D) PERSPECTIVES CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS A) RECOMMANDATIONS A COURT TERME B) RELEVEMENT C) PERSPECTIVES A LONG TERME... 24
7 1. C a) Contexte 1. Inondations au Niger En 2012, le Niger est confronté à une succession et superposition de crises et défis qui affectent globalement la population nigérienne et menace acridienne. A cette situation déjà complexe, se sont ajoutées ces dernières semaines des inondations destructrices. En effet, depuis le début de la période hivernale au Niger, de fortes pluies se sont abattues sur tout le pays. Essentielles pour le rendement de la campagne agricole (juin à septembre), leur intensité a cependant provoqué une crue considérable du fleuve Niger et des inondations sans précédent, en Niger précise ainsi que le fleuve avait atteint le 22 août 2012 à Niamey une hauteur de 618 cm, correspondant à un débit de 2473 m3/s, soit un record inégalé depuis Au 23 août 2012, OCHA estimait à plus de le nombre de personnes affectées par ces inondations, et au moins 43 le nombre de décès 2. OCHA révisait 3 semaines plus tard ces chiffres à la hausse pour personnes affectées et 81 pertes en vies humaines 3 matériels ont également résulté de ces inondations : des milliers de maisons ont été détruites, de nombreuses écoles se sont effondrées. Les familles sinistrées, qui se sont retrouvées sans toit, ont trouvé un refuge temporaire chez leurs proches ou dans des écoles mises à leur disposition pour la circonstance. Les inondations sont s cas de paludisme comme a alerté le 4 ). Les membres du cluster santé à Niamey ont également fait part de leur inquiétude, le 22 août 2012, concernant le risque élevé de prolifération de maladies, comme le choléra et la rougeole, suite aux récentes précipitations. Pour rappel, le pays a déploré 3709 cas de choléra et 80 décès depuis le début de 5. Vue du deuxième pont de Niamey, 26 août DESSOUASSI Y. Robert, responsable de Alerte de crues maximales : situation du 8 au 24 août 2012» 2 OCHA, La saison hivernale au Niger : Les pluies et les inondations, 23 août OCHA, Bulletin humanitaire numéro 36, 11 septembre Bulletin 5 Situation épidémiologique nationale30 août 2012 (sources : DS/REet OMS) 7
8 2. articles non alimentaires En réponse aux besoins des sinistrés de la ville de Niamey, ACTED et OXFAM, en partenariat avec UNICEF et et la stratégie définie par le gouvernorat de Niamey, ont distribué 4788 kits NFI (kits «hygiène», «ménage» et «abri») aux ménages sinistrés. vre en partenariat avec les ONG nigériennes Dicko et FCMN Niya. La coordination des différents partenaires a conduit objectif commun qui était de couvrir les besoins immédiats de tous les ménages sinistrés des communes 1 à 5, soit 6288 ménages, avec notamment la contribution de CRS à hauteur de 1500 kits. Les ménages sinistrés ont également bénéficié vivres (100kg de riz par ménage), opéré par le gouvernorat, ou 50,000CFA selon la taille du ménage), opéré par le PAM. Distribution Ecole de Tassikonou, Niamey, 21 Septembre 2012 Distribution au CEG SAGA,Niamey, 25 septembre 2012 Distribution Tassikonou, Niamey, 21 septembre
9 b) Objectifs En charge articles non alimentaires, ACTED et OXFAM ont réalisé cette étude avec comme objectifs de faire un suivi post- distribution de cette distribution hygiène et de cash, de dresser les profils professionnels des populations sinistrées et de mettre en évidence la vulnérabilité et les besoins futurs de ces ménages. c) Méthodologie 1. Outils et équipe déterminées et effectuées par ACTED et OXFAM. Les questionnaires ont été rédigés pour obtenir des informations sur 6 différentes thématiques : Caractéristiques du ménage ; Post Distribution Monitoring ; Impact des inondations ; Besoins prioritaires ; Stratégies /perspectives ; Pour permettre une analyse pertinente, les questions comportent des réponses à choix unique et à choix multiples ainsi que des questions ouvertes. Les variables sont codifiées pour faciliter le traitement des données ainsi recueillies auprès des personnes enquêtées. Une équipe de 6 enquêteurs répartis sur tous les sites étaient présents chaque jour de distribution pour interroger un échantillon aléatoire de ménages bénéficiaires à la sortie de la distribution. Afin de personnes interrogées a été choisi proportionnellement au nombre de ménage sinistrés présents sur le site. 2. Cette enquête porte sur les sinistrés des inondations à Niamey. L débuté le 13 septembre 2012, lors de la première distribution sur les sites sinistrés (écoles et CEG) de la commune 5 à Niamey. Les enquêtes suivantes se sont inscrites dans la continuité d articles non alimentaires sur les sites sinistrés. Le nombre total de questionnaires traités pour est de 510, soit soit près de 11% de la population bénéficiaire de ce projet. Les personnes, principalement les chefs de ménage, ont été interrogées individuellement, mais les réponses et informations collectées reflètent la situation du ménage dans son ensemble. d) Cette enquête comporte les limites inhérentes à une évaluation rapide des profils socio- temps (7 jours de distribution des ménages sinistrés des inondations à Niamey et une représentation paritaire homme/femme. Par ailleurs, les équipes ont pu, par contrainte de temps, de confirmer les analyses. Les informations présentées dans ce rapport ne sont donc pas une représentation exhaustive de la situation des sinistrés et doivent donc être considérées comme des ordres de grandeur. Dans les limites méthodologiques nous n'avons pas inclus le genre car le champ par nature limité de cette étude rapide ne visait pas à rentrer dans une compréhension de la dynamique interne des ménages affectés. 9
10 2. Caractéristiques du ménage taille moyenne des ménages sinistrés est de 8,6 personnes. 22% des ménages ont affirmé avoir 11 ou plus de membres dans leur ménage, ce qui leur donnait droit à FCFA, et 78% des ménages ont moins de 11 membres dans leur ménage, ce qui leur donnait droit à FCFA. Revenu mensuel total (en CFA) Pourcentage % % % % % Plus de % Total 100% Tableau 1 : Tranches de revenu mensuel moyen Le revenu moyen mensuel FCFA, avec 45% des ménages ayant un revenu mensuel compris entre et FCFA. Il faut noter que le revenu moyen mensuel est plus important dans la commune 3, ou le revenu mensuel moyen à FCFA, alors que le revenu moyen mensuel est compris entre et FCFA dans les autres communes (1,2, 4 et 5). Cela pourrait r (41% des ménages sinistrés de cette commune) dans la commune 3 et que ceux- ci génèrent un revenu plus important. fonctionnaires, moins vulnérables à Sources de revenu avant les inondations Comme indique le graphique suivant, le petit commerce représente la principale source de revenus pour 36% des ménages sinistrés. Les principales autres sources de revenu sont : - 18% pour les - 15% pour le travail journalier ; - 12,5% pour le travail salarié ; et - 14% pour la vente de produits agricoles ou maraichers. 10
11 Vente de produits animaliers 1% Maraichage 4% Vente de produits agricoles 10% Commercant 2% Salarié 12,5% Enseignant Pecheur 0,6% 1% Travail journalier 15% Metier Specialise 18% Petit commerce 36% Mendicite 0,2% Pensionnaire 1% Exode 0,2% Emprunt 0,2% Graphique 1 : Principale source de revenu avant les inondations tés par commune : - En commune 1, le petit commerce ne représente que 15% des ménages et les métiers spécialisés plus de 28% ; - En commune 2, le travail journalier représente la source principale pour 27,3% des sinistrés, suivi par le petit commerce pour 20% ; - En commune 3, 41,4% des ménages exercent un métier spécialisé, suivi par 34% qui font du petit commerce ; - En commune 4, le petit commerce prédomine avec 31% des ménages sinistrés, suivi par le travail journalier (21%) et les métiers spécialisés (18,9%) ; - En commune 5, 36% des ménages font du petit commerce, 18,6% des métiers spécialisés pour et 15% du travail journalier. NB : Il convient de souligner que la faible proportion de ménages vivant du maraichage représentée dans le graphique ci- dessus ne doit pas sous- nombre de maraichers ayant perdu leur périmètre maraicher. Cependant, c pour la plupart pas perdu leur maison ils étaient en minorité dans les écoles abritant les sinistré à avoir été gravement touchés. Parmi les ménages interrogés, seuls 33% ont une deuxième source de revenu, principalement dans les communes 1 et 5. Ainsi, 86% des ménages de la commune 1 ont habituellement une deuxième source de revenus, contre 38% dans la commune 5 27% en commune 3 et 18% dans les communes 2 et 4. en seconde source de revenus demeure le petit commerce (pour 44% des ménages ayant une deuxième source), suivi des métiers spécialisés (16,2%), du travail journalier (15,6%) et de la vente de produits agricoles (8,4%). Les ménages ayant habituellement accès à deux sources de revenu peuvent être décrits comme les moins touchés économiquement par les inondations car dans la majorité des cas ceux- ci ont encore accès à une source sur deux, comme détaillé ci- dessous. 11
12 Sources de revenu après les inondations Près de 82% des ménages sinistrés interrogés affirment avoir toujours accès à leur source de revenu principale. Parmi ces ménages, 35% avaient deux sources de revenu avant les euls 46 pu conserver leurs deux sources de revenu. En ce qui concerne ou pour ceux qui en ont perdu une sur deux leur matériel et perte du capital permettant de faire du petit commerce (les économies ayant été utilisées pour faire face aux inondations). Il faut néanmoins être prudent sur les Les métiers les plus touchés par cette perte de revenus sont le travail journalier (les opportunités de travail devenant moindres suite aux inondations affectant toutes les catégories socio- économiques), le maraichage (inondation des parcelles) et le petit commerce (perte du capital). Il est à noter que les sinistrés des communes 1, 4 et 5, soit les arrondissements mitoyens du fleuve, sont ceux qui ont le plus vu leur source de revenu principale affectée. Environ 50% des sinistrés dont la source principale ou secondaire de revenus était le maraichage ou la plus accès à cette source de revenus. En effet, au capital nécessaire pour, ou doivent attendre la décrue du fleuve. Il convient de souligner que 3. Post distribution monitoring a) Distribution d 1. Satisfaction des bénéficiaires vis- à- vis de cette distribution dans un premier temps que 96% des ménages bénéficiaires sont satisfaits de. Néanmoins, un suivi post- distribution intervient généralement dans les deux semaines qui succèdent à la fin de la distribution. Dans ce cas précis, il a été décidé départ programmé des sinistrés des sites rendait un suivi post- distribution classique difficile. Parmi les personnes interrogées ayant répondu par la négative (4%), 53% ont fait part de leur insatisfaction sur 16% ont regretté la distance à parcourir pour se rendre au être expliqués ainsi : - La décision des partenaires de coordonner et synchroniser le commencement de la distribution a eu pour conséquence un retard occasionné par un partenaire impactait tous les autres partenaires, retardant tout le processus et allongeant malheureusement le te ; - Le choix opérationnel et logistique de regrouper les petits sites sinistrés, comprenant seulement quelques ménages, vers un plus grand site a induit le déplacement de plusieurs ménages. 12
13 Enfin les 31% restant ont cité les raisons suivantes: - - Beaucoup de monde inscrit (notamment sur les premières listes de recensement effectuées par Oxfam) mais pas nécessairement servis (16,5%) - (16,5%) - Argent insuffisant (16,5%) (référence à la distribution de cash détaillée ci- dessous) 2. Satisfaction des bénéficiaires quant au contenu des kits Les ménages ont confirmé à plus de 99% que le contenu des kits était adapté à leur situation et besoin. Il était également important et intéressant de connaître les articles qui manqueraient selon ats sont présentés en pourcentage dans le graphique suivant : Articles manquants Kit hygienique pour filles et femmes Ustensiles de cuisine Vetements Autres Graphique 2 : Articles cités comme manquant dans le kit distribué Dans la catégorie «autres», les personnes interrogées ont cité : des vivres (36%) 6 ; des matelas (21%) ; des bouilloires (16%) ; du matériel de construction et des piquets pour les tentes (12%) ; des b (3%) ; ; des f (3%) ; du matériel de jardinage (3%) ; des médicaments antipaludéens (3%) et du mobilier (3%). b) Distribution de cash 7 Le montant du cash variait en fonction de la taille du ménage : FCFA pour une famille comprenant moins de 11 membres et FCFA pour une famille ayant 11 ou plus de membres. Il apparait que 83% des ménages bénéficiaires ont reçu FCFA et que 17% ont reçu FCFA. enquête sur la taille de leur ménage il ressortirait que 5% des ménages auraient été défavorisés, ne recevant 6 personnes de ce site ont signalé le manque de nourriture. 7 La prise en compte de ces informations est intervenue lors de la 6 ème journée de distribution et donc 190 personnes interrogées. 13
14 que 25,000 CFA au lieu de CFA dans leur ménages enquête. Cette observation met éventuellement en lumière un problème lié au recensement et à la vérification effective des ménages bénéficiaires, notamment au niveau des tailles de ménages. A la question «comment allez- vous utiliser ce montant?», les ménages sinistrés affirment vouloir utiliser le cash principalement pour acheter de la nourriture (en moyenne 38% du montant reçu utilisé à cette fin) et pour reconstruire leur maison (en moyenne 27% du montant reçu). Les autres sources de dépense restent marginales, avec tout de même 11% du montant destiné à (ou rachat pour ceux ayant perdu des vêtements dans les inondations) et 3% du montant destiné aux soins médicaux. En effet, les personnes ayant cité cette source de dépense assurent entre 10 et 50% du montant reçu pour les soins médicaux, notamment du fait de la forte prévalence de paludisme sur les sites de sinistrés. La répartition des dépenses apparait dans le graphique ci- dessous : AUTRES 17% NOURRITURE 38% RECONSTRUCTION 27% PARTAGE 0,16% HABITS 11% DETTE 1% IMPOT 0% BETAIL 0,16% EVENEMENT SOCIAL 1% SEMENCES 1% MOBILIER 1% USTENSILES 0,5% SOINS 3% Graphique 3 : Sources de dépense du cash reçu Analyse des sources de dépense anticipées du cash reçu : - Achat de nourriture : 40% des ménages interrogés dépenseront au moins 50% du cash reçu (soit FCFA ou FCFA pour les grands ménages) dans la nourriture et 5% dépenseront tout le cash reçu ; - Reconstruction de la maison : 7% des ménages interrogés affirment 100% du montant reçu dans la reconstruction de leur maison et 29% plus de 50% de leur cash reçu pour cette dépense ; - Paiement de la dette : Bien que la proportion moyenne dépensée pour rembourser la dette soit de 1%, il faut noter que 3 sinistrés ont parlé de plus de 30% du montant qui servirait à cela. - Soins médicaux : 19% des ménages affirment que plus de 10% du cash reçu servira aux dépenses médicales. 14
15 Les principales autres dépenses sont ( ) : 1) Fournitures scolaires ; 2) Condiments ; 3) Epargne ; 4) Avance pour la. 4. Impact des inondations a) Perte de biens personnels 50% 40% 30% 20% 10% 0% 3% Biens personnels perdus 40% 26% 12% Graphique 4 : Bien personnels perdus pendant les inondations 1% 14% 4% Autres Mobilier La plupart de ménages sinistrés interrogés affirment avoir perdu du mobilier dans les inondations (pour 40% ), suivi par des ustensiles de cuisine (pour 14% des ménages sinistrés), confirmant le besoin identifié dans les articles manquants au kit, et des stocks alimentaires (12% des ménages) ; Il faut tout de même souligner que 26% des ménages sinistrés réussissant ainsi à sauver leurs biens personnels durant les inondations (il faut noter les gens de sécuriser les biens portables). Rien Stock alimentaire Stock de semences Ustensiles de cuisine Vetements b) Source d'eau avant les inondations Adduction d'eau à domicile Achat d'eau Borne fontaine Source d'eau après les inondations Adduction d'eau à domicile Achat d'eau Borne fontaine Fleuve Graphiques 5 et 6 : ions 15
16 Les ménages sinistrés interrogés résidant presque essentiellement dans les écoles au enquête, il est normal de voir que leur source pour la plupart une borne fontaine (la majorité des écoles en étant équipées), alors que la i urbain. c) Habitudes alimentaires 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Un repas Deux repas Trois repas Avant les inondations Après les inondations Graphique 7 : Nombre de repas par jour avant et après les inondations Il est remarquable que face à repas par jour a augmenté depuis les inondations, et le nombre de ménages prenant encore 3 repas par jour depuis les inondations a diminué, ceux la tendent à prendre maintenant seulement 2 repas par jour faute de revenus suffisants ou de stock alimentaire disponible pour accéder à 3 repas par jour. Répartition du nombre de repas par jour par commune après les inondations La répartition du nombre de repas par jour en moyenne chez la même dans toutes les communes et révèle encore une fois une situation relativement bonne en commune 3 (avec 87% des ménages ayant encore accès a 3 repas par jour) et une situation critique en commune 5 (10% des ménages n 3% Commune 3 10% 1 repas 1% Commune 4 21% 1 repas Commune 5 10% 1 repas 87% 2 repas 3 repas 78% 2 repas 3 repas 57% 33% 2 repas 3 repas Graphique 8 : Nombre de repas par jour dans les communes 3, 4 et 5 après les inondations 16
17 5. Besoins prioritaires Il a été demandé à chaque personne de prioriser ses besoins et ceux de son ménage. Les personnes interrogées ont ainsi classé par ordre de priorité trois types de besoins parmi la liste suivante : accès à un abri ; nourriture ; santé, ; source de revenu ; ; argent et sécurité. Ordre de priorité er besoin Accès à un abri (49%) Nourriture (32%) Santé (9%) 2 ème besoin Nourriture (42%) Santé (20%) Argent (16%) 3 ème besoin Santé (29%) Argent (22%) Nourriture (14%) Tableau 2 : Besoins prioritaires des ménages sinistrés Accès à un abri se révèle être le besoin prioritaire pour près de la moitié des ménages sinistrés, ceux- vec la représente une préoccupation majeure pour les sinistrés Nourriture : la baisse des revenus liée aux inondations et la perte de stock alimentaire a entrainé et de disponibilité de nourriture. Les ménages sinistrés ont donc besoin prioritaire. La distribution de vivres opérée par le gouvernement complétée par la argent du PAM permettra de combler ce déficit pour quelques semaines, mais ce besoin sera encore accru si les sources de revenu ne sont toujours pas recouvrées. Santé : La santé représente le besoin prioritaire pour 9% des ménages sinistrés interrogés, 20% prévalence de paludisme sur les sites de sinistrés, touchant particulièrement les enfants, explique peut être ar la baisse de revenus qui ne permet pas accéder économiquement à tous les soins médicaux nécessaires. compréhension accès gratuit aux services Ceci vient cependant confirmer la pertinence du dispositif mis en place pour assurer la gratuité des soins pour les sinistrés. Argent également parmi les besoins prioritaires des sinistrés, ceux- ci ayant perdu leurs sources de revenus, entièrement ou en partie, et étant dans la nécessité de reconstruire leurs maisons et/ou de racheter des biens personnels perdus lors des inondations. 17
18 Répartition des besoins en fonction du statut foncier Vetements Sante Motopompe Mobilier Argent Locataire Proprietaire Nourriture Abri qui met en lumière la situation difficile dans laquelle ceux- 6. et perspectives a) Stratégies utilisées Stratégies de réponse aux besoins essentiels Recours a l'emprunt Petit commerce Envoi d'un membre du ménage en exode Poursuite de l'activité principale Autres Graphique 8 : Stratégies de réponse aux besoins essentiels depuis les inondations 18
19 Pour 67% des ménages sinistrés interrogés, la partie de leur stratégie de subsistance. En effet, pour ceux qui le peuvent encore, la poursuite de cette activité permet de subvenir aux besoins essentiels même pas encore retourner dans leur maison. Par ailleurs, 15% des sinistrés se sont lancés dans le petit commerce, certaines femmes profitant de la concentration de population sur les sites pour vendre des beignets, des à un petit revenu. Enfin, le recours à stratégies bétail ou encore la vente de nourriture, ont également été mentionnées. Endettement peut être décomposé ainsi : Montant moyen de la dette contractée depuis les inondations (en CFA) Pourcentage de Plus de FCFA par ménage (48,500 FCFA). Malgré la néfastes pour leur remboursement. crédit est une pratique courante, il convient cependant de nuancer le lien entre les inondations et la dette, de plus les enquêtés peuvent avoir tendance à gonfler le montant e b) Habitat et reconstruction En ce qui concerne le statut foncier, il ressort que 62% des ménages sinistrés étaient propriétaire de leur maison. Il y a une proportion importante de propriétaires dans les communes 1, 4 et 5, et de locataires dans les - économique privilégiée. 19
20 plus ou moins long terme une fois les eaux parties, 71% des personnes interrogées répondent. réponse met en lumière accru pour les propriétaires, qui sont plus de 90% à affirmer compter revenir chez eux. Les locataires sont seulement 45%, ceux- là à n sinistrée. 45.7% 91.6% 54.3% Locataire 8.4% Propriétaire Non Oui Graphique 9 : Intention affirmée de retourner dans sa maison alternative offert à ces ménages, malgré le souhait ou de se relocaliser Les inondations étant fréquentes au Niger (la dernière datant de 2010), il conviendrait de vivant dans les zones les plus à risque pour éviter un Reconstruction de la maison : - A la question «pensez- vous que votre maison va être reconstruite?», 57% - Parmi ceux qui ont répondu oui, 65% indiquent que le propriétaire, vivant ou non dans la maison, devrait prendre en charge la reconstruction de la maison. 18% des propriétaires espèrent une aide dans la reconstruction (famille, Etat, etc.). Enfin, 5% la reconstruction de la maison. - Le temps de reconstruction estimé par les personnes interrogées est présenté dans le graphique ci- dessous : 20
21 Temps estimé de reconstruction Ne sait pas Un an et plus Entre 5 et 8 mois Entre 2 et 5 mois Entre 1 et 2 mois Jusqu'à 1 mois Une fois les eaux parties 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% Graphique 9 : Temps estimé de reconstruction La majorité des personnes interrogées ne savent pas combien de temps la reconstruction de liée à leur avenir. Certains ménages pourraient maison ou de prendre une décision. Abri provisoire et reconstruction dans un quartier sinistré 21
22 c) Disponibilité en latrines 87% avaient des latrines avant les inondations. Parmi eux, 78% confient que les latrines ont été détruites par les inondations. Il serait reviendraient dans ces sites inondés. Latrine improvisée dans un quartier sinistré d) Perspectives Perspective pour le mois à venir Autres Retourner dans la maison Gagner de l'argent pour le logement Relocalisation par le gouvernement Trouver refuge dans une famille d'accueil Ne sait pas Graphique 10 : Perspectives pour le mois à venir 7% 7% 10% 11% 31% 34% Il est important de noter que malgré la pression du gouvernement sur la nécessité pour ces familles de trouver une famille comme une véritable option. eux est néanmoins une option à nuancer et qui ne semble pas être prévu sur le court- terme, en effet en moyenne seulement 31% des sinistrés parlent de revenir dans leur maison au 22
23 cours du prochain mois. Parmi ces 31%, reconstruction donc prévoit de de vivre dans les décombres dans une tente ou sous un abri de fortune. Parmi les autres perspectives mentionnées, on peut signaler que certains entendent trouver une nouvelle maison en location et envisagent de construire un abri provisoire, dans leur ancienne maison ou sur un autre site, aide de tentes ou de bâches. Désagrégation des perspectives par statut foncier : 33.3% 34.3% 11.5% 18.8% 8.3% 14.6% 13.5% Locataire Propriétaire 5.2% 39.5% 5.5% 7.8% 7.4% Trouver refuge dans une famille d accueil Trouver de l'argent pour logement Retourner dans ma maison Relocalisation par le gouvernement Ne sait pas Autres Graphique 11 : Perspectives pour le mois à venir par statut foncier On doit relever que la proportion de ménages sinistrés qui comptent retourner dans leur maison est plus importante chez les propriétaires que chez les locataires (39.5% des propriétaires contre 18,8% seulement de locataires), la possibilité de partir ailleurs étant beaucoup plus simple chez les locataires Il y a une proportion à peu près égale (33.3% pour les locataires contre 34.3% pour les propriétaires 7. Conclusion et recommandations a) Recommandations à court terme sinistrée vers leurs anciennes maisons en zones inondées, et ce malgré les sensibilisations du gouvernorat pour encourager les ménage manque de ressources financières explique en grande partie ce choix risqué mais jugé inéluctable Ce constat est nt plus alarmant que la crue annuelle des eaux de novembre/décembre approche et risque 23
24 conséquences désastreuses. : 1. Mobilisation civique sinistrée, notamment à travers des activités de Cash for Work des digues permettrait également aux exploitants maraîchers de relancer leurs activités sans crainte eaux. Enfin, des conditions de salubrité adéquates devront être assurées parallèlement pour les ménages demeurant dans ces zones. 2. Relocalisation temporaire Cette seconde option implique également des coûts importants mais nécessaires pour assurer une protection aux ménages retournés dans leurs maisons situées en zones inondables. La mise en place de relocalisation temporaire peuvent être envisagées (p.ex. logements vacants). Ce processus (approvisionnement en eau, infrastructures sanitaires, protection, etc.). b) Relèvement Cette enquête a également mis en exergue la perte des revenus de ménages pour certains secteurs spécifiques. A ce titre, les exploitants des surfaces maraichères et agricoles, qui ont été détruites lors ence. En effet, certains ménages ont perdu leurs champs ou jardins et par conséquent leur source de revenu bénéficier susmentionnée. envisageable. Des sensibilisations à la réduction des risques et catastrophes devra également faire partie des activités à entreprendre à court et moyen terme afin de renforcer les capacités des c) Perspectives à long terme Les interventions proposées précédemment ne doive sur le long terme, plus globale et approfondie des causes et conséquences de la vulnérabilité à ce futures crues et un plaidoyer auprès du gouvernement pour éviter que de telles zones soient habitées est à encourager. La relocalisation permanente des ménages vivant dans ces zones inondables inscrit donc dans une vision à long terme. Enfin, ces zones inondables pourraient être propriétaires de ces parcelles. 24
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