Ere secondaire. Pin sylvestre : Arbre à écorce orangée qui s écaille. Aiguilles par deux, vert-grisâtre légèrement torsadées, 5 cm maximum.

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1 Pin sylvestre : Arbre à écorce orangée qui s écaille. Aiguilles par deux, vert-grisâtre légèrement torsadées, 5 cm maximum. Pin noir d autriche : Arbre à écorce grisâtre. Aiguilles par deux, vert foncé, plus longues que celles du pin sylvestre. Ere secondaire Période Jurassique En effet, à partir du milieu de la période jurassique, les sédiments charriés par les cours d eau vont s accumuler pendant une trentaine de millions d années dans la Fosse Vocontienne, vaste et très profonde dépression marine entre Massif Central et ce qui sera Vercors et Ventoux-Lure (4000 m de profondeur au niveau de Valence et jusqu à 9000 m dans le sud du département). Ces Terres noires ou marnes, celles de Rémuzat et de la Motte- Chalacon, composées de 65% d argile et 35% de calcaire, ont une épaisseur de plusieurs milliers de mètres, ce qui fait que progressivement notre Fosse Vocontienne est devenue moins profonde. Les conditions climatiques au cours de ces millions d années changent évidemment. Evoluant vers un régime de type tropical, faune et flore marines augmentent considérablement (1). Leur dépôt constituera une couche de calcaire de 10 à 50 m d épaisseur. C est le calcaire Tithonique visible sur les crêtes de Couspeau ou d Angèle. Fin de la période Jurassique il y a 130 millions d années. Période Crétacé Nous entrons dans la période crétacé. Peu à peu la mer vocontienne se réduit à une fine pellicule d eau. Mais pour arriver à ce résultat, il a fallu que s accumulent d abord pendant une trentaine de millions d années une épaisseur de 1000 m environ de couches alternées de calcaire dur et de marnes. Des récifs coralliens se construisent sur les bordures maritimes peu profondes (Vercors-Ventoux et sur une fine bande allant de Crupies à Rosans ; Paul Plèche* a trouvé des coraux au-dessus de Chabas), et comme le climat est plus chaud, se déposent au fond de la mer ce qui deviendra des calcaires détritiques et coquilliers. Mais voilà que la mer s approfondit (poids des sédiments accumulés et soulèvement de la Provence due à la phase d émersion pyrénéoprovençale il y a 80 millions d années). A nouveau ce sont des marnes, gris-bleutées cette fois, sur une épaisseur qui peut atteindre 600 m, marnes de Crupies avec intercalations calcaires ou grésosableuses provenant de l érosion du Massif Central. L épaisseur de ces grès varie d un endroit à l autre de quelques centimètres à quelques dizaines de mètres comme à la Piarotte ou aux Sibours. Roux, ils ont été colorés par du fer ferrique, verdâtres par du magnésium mais à de grandes profondeurs. Notre région commence à émerger par suite de la dérive des continents (rapprochement de l Afrique et de l Europe). C est de cette époque que datent les synclinaux de Dieulefit et de Saou, orientés Est-Ouest. C est la fin de la période crétacé et de l ère secondaire il y a 65 millions d années. (1) Quand la mer est froide, faune et flore sont peu développées. Les sédiments sont en majorité d origine minérale. Quand la mer se réchauffe, les débris végétaux et animaux sont plus importants. Additionnés aux sédiments d origine minérale, ils forment des strates (des couches) plus épaisses de couleur plus claire (alternance de couches de marnes et de calcaire). * Paul Plèche habite le quartier La Combe à Crupies. Nous trouverons ainsi dans les pages suivantes les noms de plusieurs personnes vivant ou ayant vécu à Crupies ou dans les environs. 4

2 Ere tertiaire L ère tertiaire va durer un peu plus de 63 millions d années. La Drôme, et donc le Diois, continue à émerger à cause de la poussée pyréno-provençale qui continue. Les grandes lignes du relief se mettent en place définitivement avec la surrection des alpes (phase alpine). Notre région ne sera plus jamais recouverte par l eau alors que la mer molassique il y a à peu près 37 millions d années baignera les rivages de Nyons, Rousset les Vignes jusqu à Crest et même plus au nord. Se déposeront des grès qu on appelle molasse mais aussi safres dans la région de Nyons-Valréas. L ère tertiaire se caractérise par une formidable érosion des reliefs, que ce soit ceux du Massif Central ou ceux de notre région. Par exemple, les eaux venues du Massif Central charrient des sables chargés de mica et de kaolin qu on retrouve à Dieulefit ou à Saou. Cette érosion organise pour une grande part le relief actuel de notre région. Les anticlinaux (les dômes, les bosses) sont érodés, évacués. C est ainsi que se sont formés les bassins de Bourdeaux ou le synclinal de Dieulefit. Notre région est une mosaïque de plissements et de failles. Grandes lignes du relief actuel (modelé à l ère tertiaire). Entre les structures (régions de Dieulefit, Forêt de Saou et la Montagne de Couspeau) se trouve notre région de Bourdeaux plissée bien entendu! Au sud-est, la Montagne de Vesc (1121m) et Miélandre (1450m), puis le synclinal (1) de Bourdeaux et à l ouest la flexure (2) d Orcinas qui forme une sorte de balcon belvédère au-dessus de Bourdeaux et de la vallée du Roubion. Le Roubion coule dans le sens sud-est / nord-ouest sur environ 30 km du col de la Sausse jusqu à Saou et s infléchit carrément estouest jusqu au Rhône à Montélimar sur également 30 km environ. Le pays de Bourdeaux, loin d être une cuvette plus ou moins régulière, est presque partout accidenté de mamelons, de buttes à pentes raides, de côtes, de ravins taillés à vif dans les grès peu résistants et dans les marnes et argiles de couleur sombre et bleutée. Il existe une dépression (3) entre Couspeau, massif régulier et imposant qui barre l horizon est sur plus de 12 km, et une ligne de moins hauts reliefs qui lui est à peu près parallèle (Montagne de Mourelle, Jumel, Côte Belle, Couguon). Ces reliefs sont coupés par les affluents du Roubion (Rif de la Vialle, Soubrion, Bine). La dépression elle-même coupée par le Col Soubeyran est occupée par les villages de Bouvières, des Tonils et de leurs hameaux. (1)Synclinal : Partie en creux d un pli (2)Flexure : Forme de transition entre un pli et une faille. Sous l action d un effort tectonique, les couches sédimentaires peuvent s étirer sans casser. Elles s infléchissent en s amincissant : c est la flexure. (3) Dépression : Creux. effondrement Pin Laricio : Aiguilles groupées par deux, vertes plus ou moins foncées, lâches, souples, frisées, non piquantes. Ecorce grise, argentée, avec de profondes fissures rouge violacé. Cyprès : Feuilles en écailles opposées sur quatre rangs. Rameaux ronds. 5

3 Houx : Feuilles vertes persistantes, coriaces, luisantes, parfois entières, bordées de dents épineuses. Baies rouges sur pieds femelles. Buis : Arbuste très commun pouvant atteindre plusieurs mètres de hauteur. Feuilles persistantes opposées, petites, ovales, brillantes sur le dessus. Bois très dur. Ere quaternaire L ère quaternaire a commencé, il y a 1,8 millions d années. Elle est caractérisée par d importantes périodes de glaciation mais le Diois n a pas été atteint par les glaciers. Par contre, il a connu des variations climatiques (refroidissements, réchauffements) jusqu à basse altitude. D après Marianne Achard-Gagny, Il garde aujourd hui une forte empreinte des processus extra-glaciers ayant agi au cours des oscillations climatiques quaternaires, empreinte s étant manifestée ainsi : alluvions fluviatiles formant des terrasses glissements de terrains lors de périodes humides accumulation d éboulis Les terrasses Pendant presque tout le quaternaire, c est-à-dire pendant un peu plus de 1,7 millions d années, l érosion fluviatile entrecoupée certainement par 2 glaciations dont il ne reste aucune trace, est extrêmement importante. Les cours d eau ont progressivement creusé leur lit en emportant des masses énormes d alluvions. Puis nous arrivons à la dernière glaciation, celle dite de Würm et qui a duré de ans à ans. Il est évident qu il y a eu des crues et des décrues et, comme nous pouvons le constater à notre époque lorsque le Roubion est en colère, celui-ci dépose hors de son lit des alluvions faites de boues et de galets. Il en a été toujours de même. Le témoin le plus ancien de ces dépôts sur la commune de Crupies est une terrasse alluvionnaire d à peine 100 m 2 au point le plus élevé du virage des marnes. Elle a plus de ans. D autres terrasses ont environ ans. On les trouve à Saint- Jean (la vigne), dans le virage des marnes, aux Valentins et à Plan- Sorbier. Par contre, les alluvions de pied de versant peuvent être datées de ans environ (versant ouest de Saint-Jean). 6

4 Quelle que soit l époque concernée, les galets présentent les mêmes caractéristiques : 80% environ sont des calcaires, 15% des grès et 5% des quartzs. D autre part, ils sont très peu émoussés. Ils ont donc la même origine et leur transport par les eaux courantes n a porté que sur de courtes distances. LES TERRASSES FLUVIATILES Les glissements de terrain Au cours des périodes sèches, les zones marneuses sont profondément craquelées et les terrains peuvent ainsi être profondément imbibés d eau par les fissures. Une forte période pluvieuse peut provoquer l engorgement et la désolidarisation d avec la roche en place lorsque les couches sont suffisamment inclinées. Plus simplement, les eaux des violents orages suffisent parfois à provoquer des coulées de boue (il y en a tous les ans) ou des glissements de terrain (Marianne Achard-Gagny). Les deux plus importants ces dernières années ont eu lieu sur la route des Tonils en 1995 et à Bourdeaux la même année sur la route des Chapelles où tout un pan de colline a glissé et provoqué une faille de 10 m de hauteur. Mais des mouvements beaucoup plus anciens, ont façonné le paysage que nous connaissons aujourd hui. Par exemple dans le secteur Jumel-Le Peyrouti, un glissement qui a dû avoir lieu juste avant le début de la dernière glaciation, il y a ans et qui a créé les replats de Jumel, de Chabas, de la Combe et du Perouty. Ce glissement a dû nécessiter, pour se déclencher, de l eau en abondance. Le climat ne devait pas être plus humide qu actuellement, mais le froid hivernal favorisait l accumulation d eau sous forme de neige ou de glace qui imbibait les terrains lors du réchauffement printanier. A ceci s ajoutait la dislocation des roches pendant l hiver sous l action du gel. L abondance de l eau libérée par le dégel engendrait le glissement des formations imbibées. Ceux-ci avaient lieu dans des zones préférentielles, là où des facteurs annexes concouraient à la déstabilisation des formations ; il s agit des facteurs : lithologique, la marne ayant un pouvoir de rétention d eau élevée. tectonique, car les fractures fragilisent les formations géologiques concernées structural car des pendages géologiques avoisinant ceux des versants rendent les formations plus sensibles à la déstabilisation. Quant au rôle de la sismicité, il ne peut être que fortuit (Marianne Achard-Gagny). If : Aiguilles souples, disposées sur deux rangs, avec deux lignes claires sur la face inférieure, extrémité en pointe. Rameau de l année vert. Ne pas confondre avec le sapin. Baies rouges extrêmement toxiques. Genèvrier : Feuilles en aiguilles, piquantes, par trois autour du rameau. Fruits verdâtres la première année, bleuâtres la seconde. 7

5 Epicéa : poussant autour des rameaux comme une brosse. On peut dire que le glissement de Jumel est encore en pleine dynamique. En effet, dès qu il y a une forte concentration d eau dans les ter-rains, ceux-ci ne pouvant en retenir davantage malgré les résurgences nombreuses, glissent encore de nos jours. GLISSEMENT DE JUMEL EN COUPE OUEST EST Sapin pectiné : opposées sur les rameaux comme un peigne avec deux bandes blanchâtres sur la face inférieure. Extrémités arrondies. Rameau de l année marron foncé. Un autre grand glissement de masse, étudié par Marianne Achard-Gagny eut lieu à la même époque à Côte Belle. On peut penser que le même processus s est déroulé au Châtelas et sur le versant ouest de la montagne de Vesc. Les éboulis Au pied des falaises gréseuses ou calcaires, nous trouvons souvent une accumulation d éboulis. Ceux-ci proviennent de la désagrégation et de l érosion des niveaux rocheux. Ces grands amas détritiques peuvent être datés d une période froide pendant laquelle la dislocation des roches s exerce au maximum (dernière glaciation). Epoque contemporaine Les trois processus évoqués ci-dessus se poursuivent de nos jours à une échelle certainement plus réduite, à cause entre autres de l action de l homme qui cherche à canaliser, voire parfois à lutter contre la nature. Les alluvions Le domaine dans lequel l homme semble avoir le dessus sur les éléments, est celui de la lutte contre l eau, contre les crues, contre les inondations. En effet, il endigue, il enroche, il crée des barrages pour régulariser les cours d eau grands ou petits. Mais la nature parfois se venge : Vaison la Romaine ou tout simplement le Roubion qui emporte une partie de la route en 1995 Mais la pluie, les orages continuent à arracher terre et cailloux et à les déposer sur leur parcours. A notre échelle, on ne voit pas grand chose, mais à l échelle géologique...! 8

6 Epicéa : poussant autour des rameaux comme une brosse. On peut dire que le glissement de Jumel est encore en pleine dynamique. En effet, dès qu il y a une forte concentration d eau dans les ter-rains, ceux-ci ne pouvant en retenir davantage malgré les résurgences nombreuses, glissent encore de nos jours. GLISSEMENT DE JUMEL EN COUPE OUEST EST Sapin pectiné : opposées sur les rameaux comme un peigne avec deux bandes blanchâtres sur la face inférieure. Extrémités arrondies. Rameau de l année marron foncé. Un autre grand glissement de masse, étudié par Marianne Achard-Gagny eut lieu à la même époque à Côte Belle. On peut penser que le même processus s est déroulé au Châtelas et sur le versant ouest de la montagne de Vesc. Les éboulis Au pied des falaises gréseuses ou calcaires, nous trouvons souvent une accumulation d éboulis. Ceux-ci proviennent de la désagrégation et de l érosion des niveaux rocheux. Ces grands amas détritiques peuvent être datés d une période froide pendant laquelle la dislocation des roches s exerce au maximum (dernière glaciation). Epoque contemporaine Les trois processus évoqués ci-dessus se poursuivent de nos jours à une échelle certainement plus réduite, à cause entre autres de l action de l homme qui cherche à canaliser, voire parfois à lutter contre la nature. Les alluvions Le domaine dans lequel l homme semble avoir le dessus sur les éléments, est celui de la lutte contre l eau, contre les crues, contre les inondations. En effet, il endigue, il enroche, il crée des barrages pour régulariser les cours d eau grands ou petits. Mais la nature parfois se venge : Vaison la Romaine ou tout simplement le Roubion qui emporte une partie de la route en 1995 Mais la pluie, les orages continuent à arracher terre et cailloux et à les déposer sur leur parcours. A notre échelle, on ne voit pas grand chose, mais à l échelle géologique...! 8

7 Epicéa : poussant autour des rameaux comme une brosse. On peut dire que le glissement de Jumel est encore en pleine dynamique. En effet, dès qu il y a une forte concentration d eau dans les ter-rains, ceux-ci ne pouvant en retenir davantage malgré les résurgences nombreuses, glissent encore de nos jours. GLISSEMENT DE JUMEL EN COUPE OUEST EST Sapin pectiné : opposées sur les rameaux comme un peigne avec deux bandes blanchâtres sur la face inférieure. Extrémités arrondies. Rameau de l année marron foncé. Un autre grand glissement de masse, étudié par Marianne Achard-Gagny eut lieu à la même époque à Côte Belle. On peut penser que le même processus s est déroulé au Châtelas et sur le versant ouest de la montagne de Vesc. Les éboulis Au pied des falaises gréseuses ou calcaires, nous trouvons souvent une accumulation d éboulis. Ceux-ci proviennent de la désagrégation et de l érosion des niveaux rocheux. Ces grands amas détritiques peuvent être datés d une période froide pendant laquelle la dislocation des roches s exerce au maximum (dernière glaciation). Epoque contemporaine Les trois processus évoqués ci-dessus se poursuivent de nos jours à une échelle certainement plus réduite, à cause entre autres de l action de l homme qui cherche à canaliser, voire parfois à lutter contre la nature. Les alluvions Le domaine dans lequel l homme semble avoir le dessus sur les éléments, est celui de la lutte contre l eau, contre les crues, contre les inondations. En effet, il endigue, il enroche, il crée des barrages pour régulariser les cours d eau grands ou petits. Mais la nature parfois se venge : Vaison la Romaine ou tout simplement le Roubion qui emporte une partie de la route en 1995 Mais la pluie, les orages continuent à arracher terre et cailloux et à les déposer sur leur parcours. A notre échelle, on ne voit pas grand chose, mais à l échelle géologique...! 8

8 Les glissements Les deux glissements les plus importants de ces dernières années ont été cités. Rappelons celui de 1856 qui emporta 14 maisons à Bézaudun, celui de 1951 à Bouvières, celui de 1977 à Félines. Et puis chacun peut voir à tel ou tel endroit, chaque année, de micro-glissements. De même lorsque l Equipement cure les fossés, à la première grosse pluie qui imbibe bien les terrains, ceux-ci sont inexorablement comblés. Les éboulis Des blocs plus ou moins gros n arrêtent pas de descen-dre des falaises ou des talus escarpés. Gare aux cailloux sur la route des gorges après le tunnel après un orage ou au dégel! L érosion dans les marnes Les versants marneux peu fertiles ne sont que partiellement couverts par une végétation herbacée et buisson-neuse où les arbustes sont rares. Ils sont érodés et laissent paraître la roche à nu. Ils étaient certainement complètement recouverts autrefois de végétation mais le surpâturage et les coupes de bois, pour se chauffer, alimenter les poteries, les tuileries familiales (vers Roulet, Chabanes, le Peyrouti, le Col Sabatier...) L érosion dans les marnes ont eu raison de la protection de ces terrains. La tendance s inverse actuellement puisque les facteurs de dégradation n existent quasiment plus. Il était temps car dans les années 1800 ou même au début du XXe siècle, le moindre orage devenait catastrophique, au point que l Office des Forêts planta aux Tonils dans les années 1880 plusieurs hectares de pins qui ont retenu le sol. Dans ces terrains peu fertiles, les arbres ont mis près de 100 ans pour atteindre une taille convenable permettant l exploitation rationnelle de cette forêt. De la même façon, l érosion à Pied Marre a été enrayée par une plantation de pins noirs d Autriche dans les années 60. Mélèze : Aiguilles caduques en automne, allongées, minces, vert-bleuâtre, douces au toucher, non piquantes, en touffes. Cèdre : Feuillage persistant. Aiguilles assez rigides, un peu arquées, vert foncé argenté. Rameaux longs portent des feuilles isolées disposées tout autour dont la base est soudée au rameau. Rameaux courts, nombreux, cylindriques portent des touffes d aiguilles. 9