Les établissements de l économie sociale et solidaire

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les établissements de l économie sociale et solidaire"

Transcription

1 L économie sociale et solidaire Les établissements de l économie sociale et solidaire L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE (ESS) DANS LA RÉGION L économie sociale et solidaire : 13 % des établissements bourguignons 6 Les associations : sports, culture et loisirs en tête 8 Les coopératives : souvent en lien avec l agriculture 10 Les mutuelles : souvent de grands groupes 11 LES ÉTABLISSEMENTS EMPLOYEURS Seul un établissement sur trois est employeur 12 L ESS DANS LES DÉPARTEMENTS Plus forte implantation dans la Nièvre et l Yonne 14 LES ÉVOLUTIONS SUR 5 ANS Forte hausse du nombre d associations immatriculées 15 Établissement, entreprise : deux notions différentes Un établissement est une unité de production localisée géographiquement, individualisée, mais dépendant juridiquement d une entreprise. Une même entreprise ou association peut donc compter plusieurs établissements. Ceci est fréquent pour les mutuelles et les coopératives de crédit. Dans cette partie, chaque établissement immatriculé compte pour un établissement quelle que soit sa taille (sans salarié ou établissement «gros» employeur). 5

2 L économie sociale et solidaire L économie sociale et solidaire : 13 % des établissements bourguignons Avec établissements, le secteur de l économie sociale et solidaire (ESS) représente 13 % des établissements bourguignons. La Bourgogne se place ainsi dans une position médiane parmi les régions françaises. Les activités de l ESS relèvent avant tout des services et, dans une moindre mesure, du secteur agricole. Les deux tiers des unités de l ESS sont des associations, suivies de loin par les coopératives et les mutuelles. Au 1 er janvier 2004, la Bourgogne compte établissements relevant de l économie sociale et solidaire (ESS). Ils représentent 12,8 % des établissements régionaux, toutes activités confondues, contre 10,6 % en France métropolitaine. Cette moyenne française est marquée par deux régions, Ile-de- France et Provence-Alpes-Côte-d Azur, fortes économiquement, mais où l ESS est moins représentée. La Bourgogne se situe donc dans la médiane des régions, à la 12 e place avec Rhône-Alpes. L ESS, 13 % des établissements régionaux Etablissements de l ESS en Bourgogne au 1 er janvier 2004 Nombre d établissements Répartition (%) Ensemble ESS ,8 Services hors ESS ,8 Autres secteurs hors ESS * ,4 Ensemble tous secteurs ** ,0 * Agriculture-industrie-construction-commerce ** Y compris établissements publics La Bourgogne, région médiane Part des établissements relevant de l économie sociale et solidaire en 2004 (en %) 14 ou plus de 13 à moins de 14 de 12 à moins de 13 moins de 12 Bretagne 13,7 Pays de la Loire 15,7 11,8 Haute- Normandie 12,7 Poitou- Charentes 14,4 Aquitaine Centre 13,3 Limousin 13,2 Midi-Pyrénées 13,5 Picardie 12,5 Auvergne 15,7 Basse- Normandie 13,1 Nord-Pasde-Calais 13,4 Languedoc- Roussillon 12,1 Bourgogne 12,8 12,8 Île-de- Champagne Lorraine France -Ardenne 13,2 Alsace 10 11,6 9,8 Franche- Comté 14,9 Rhône-Alpes Provence-Alpes- Côte d'azur 10,5 IGN-Insee 2004 Corse 8,6 Sur les établissements de l ESS en Bourgogne, la grande majorité ont une dimension régionale puisque 94 % d entre eux dépendent de structures ayant leur siège social dans la région. Seules 900 unités sont dans le cas contraire. 6

3 L économie sociale et solidaire Dans la région, établissements de l ESS relèvent du secteur des services, soit 80 % des établissements de l ESS, loin devant l agriculture (17 %). Les autres secteurs (commerce et industrie) sont très peu présents. L ESS représente ainsi plus du quart des établissements des services. Agriculture Industrie Commerce Huit établissements de l ESS sur dix dans les services Répartition des établissements de l ESS par secteur d activité Services 80 % Quatre grandes «familles» dans l ESS : associations, coopératives, mutuelles et autres Les deux tiers des établissements de l ESS, soit établissements, sont des associations. Ce sont en général de petites structures comprenant un seul établissement. L ESS comprend aussi établissements de coopératives, qui ont souvent une dimension locale. Ils exercent surtout dans le domaine de l agriculture (57 %) et celui des activités fi nancières (19 %). L ESS regroupe également 310 établissements mutualistes. Ceux-ci dépendent souvent de grands groupes, contrairement aux autres «familles» de l ESS. Enfi n, sont présents dans l ESS 420 «autres établissements». Les deux tiers rendent des services aux entreprises par la mise à disposition de personnel (hors travail temporaire), d autres ont des activités associatives, principalement syndicales. Les «autres établissements» se composent de 280 groupements d employeurs, 67 comités d entreprise, 31 fondations, 25 comités d établissements et 20 congrégations. Les «autres établissements» ayant le plus de salariés sont l Hôtel-Dieu au Creusot et la fondation Clément Drevon à Dijon. Les associations représentent les deux tiers des établissements de l ESS Nombre d établissements Répartition (%) Associations ,7 Coopératives ,6 Mutuelles 311 2,0 Autres établissements de l ESS 422 2,7 Ensemble ESS ,0 Pour connaître les établissements de l ESS : le répertoire SIRENE et ses limites Le Système national d Identifi cation du Répertoire des ENtreprises et de leurs Établissements (répertoire SIRENE), dont la gestion a été confi ée à l INSEE, enregistre l état civil de toutes les entreprises et de leurs établissements, quelle que soit leur forme juridique et quel que soit leur secteur d activité. L établissement est une unité de production localisée géographiquement, individualisée, mais dépendant juridiquement d une entreprise. L INSEE attribue à chaque entreprise et à chaque établissement un code APE, représentant l Activité Principale Exercée. Ce code, constitué de 3 chiffres et d une lettre, est attribué par l Insee en référence à la Nomenclature d Activité Française (NAF). Chaque établissement dispose aussi d un code tiré de la Nomenclature des Catégories Juridiques. Le répertoire SIRENE couvre les établissements privés et publics. Certaines petites structures en particulier associatives ne sont pourtant pas forcément enregistrées dans le répertoire SIRENE : seules celles ayant des salariés ou soumises à des obligations fi scales, réglementaires ou déclaratives sont immatriculées de façon sûre. A l inverse, des structures, notamment associatives, peuvent rester enregistrées, alors qu elles ne sont plus actives. 7

4 L économie sociale et solidaire Les associations : sports, culture et loisirs en tête Les associations constituent les deux tiers des établissements de l économie sociale et solidaire en Bourgogne. Très variées, elles sont présentes dans tous les domaines d activités : sportsculture-loisirs, action sociale, éducation, santé... Leur siège social est généralement localisé dans la région. Début 2004, les associations représentent les deux tiers des établissements de l ESS. Ce sont très souvent des établissements uniques ou à dimension régionale, puisque 96 % ont leur siège en Bourgogne. Ce sont des associations de type loi 1901 ou assimilé. Plus de 30 % des associations dans les sports, culture, loisirs Le premier groupe important d associations relève du domaine des sports, de la culture et des loisirs. Il comprend près de établissements, soit 30 % des associations. Dans ce groupe, six unités sur dix ont des activités liées au sport et trois des activités liées au spectacle. On y trouve, entre autres, des maisons des jeunes et de la culture (MJC), des foyers des jeunes, des offi ces municipaux des sports Les deux établissements ayant le plus de salariés sont le Centre de recherche artistique du château de Chevannay à Dijon et le Centre de loisirs éducatifs de Mâcon. Une association sur dix dans le «social» Le deuxième grand groupe déploie son activité dans le domaine social : établissements. Les trois-quarts concernent l aide à domicile, les crèches ou les Centres d Aide par le Travail (CAT) ; le quart restant concerne l hébergement dans le cadre d accueil de personnes âgées ou d adultes handicapés entre autres. Les établissements ayant le plus de salariés sont l Association des aides-ménagères de Montceaules-Mines (Saône-et-Loire), l Association pour adultes Sports, culture, loisirs dont activités sportives activités de spectacle Domaines d activité Nombre d établissements au Répartition (%) Social ,2 Education dont formation permanente - enseignement divers Accueil, hébergement, restauration dont cantines autres moyens d hébergement de courte durée Services aux entreprises dont activités comptables et de conseil de gestion services divers fournis aux entreprises Santé dont pratique médicale Associations de personnes * dont organisations religieuses Insertion par l économique 46 0,4 Autres associations dont organisations associatives ** agences de voyages Beaucoup d associations sportives et culturelles Ensemble des associations ,0 * comprennent la plupart, des organisations religieuses et quelques organisations syndicales et politiques ** hors organisations patronales, consulaires et professionnelles. 30,6 6,1 4,2 2,9 1,6 1,5 41,5 8

5 L économie sociale et solidaire et jeunes handicapés de Sens (Yonne), la Fédération dijonnaise des œuvres et soins à domicile et Acodège à Dijon et Marsannay-la-Côte (Côte-d Or). Viennent ensuite les associations liées à l éducation, principalement la formation continue pour adultes et autres enseignements. Celles ayant le plus de salariés sont le Centre de Formation Professionnelle pour Adultes (CFPA) de Chevigny-Saint-Sauveur (Côted Or), le Centre de Formation pour Apprentis (CFA) de Longvic (Côte-d Or) et le groupe Saint-Joseph de Dijon. De l accueil-hébergement-restauration, des services aux entreprises et de la santé Des associations moins nombreuses travaillent dans l accueil-hébergement-restauration, avec 58 % de cantines et restaurants d entreprises et un tiers d hébergement de courte durée (hors hôtel, camping et auberge de jeunesse). On trouve par exemple les foyers de jeunes travailleurs, les œuvres de pupilles, les résidences pour personnes âgées et les centres de rencontres internationales. D autres associations rendent des services aux entreprises, comme les centres de gestion agréés des exploitants agricoles ou interprofessionnels des métiers. Près de la moitié pratiquent des activités administratives, essentiellement comptables, et 30 % s occupent de services divers fournis principalement aux entreprises, comme l organisation de foires et salons ou des services annexes à la production. Le domaine d activité de la santé compte 160 établissements souvent axés sur la pratique médicale (63 %) et, dans une moindre mesure, sur les activités hospitalières (18 %), comme le centre hospitalier Leclerc de Dijon, et aussi sur le travail d auxiliaires médicaux (15 %). Des associations de personnes et d insertion par l économique Les associations de personnes sont principalement des organisations religieuses, comme les associations diocésaines et les Sœurs de la Charité de Nevers. On trouve aussi des syndicats de salariés et des organisations politiques pour une petite part. Peu nombreuses, les associations d insertion par l économique travaillent dans les services fournis aux entreprises (39 %) - sélection et mise à disposition de personnel (hors travail temporaire) -, dans les autres formes d action sociale (17 %) et dans les services personnels (13 %). Ce sont par exemple Amidon 89 dans l Yonne et les régies de quartiers en Saône-et- Loire. D autres associations avec des activités très diverses Avec établissements, soit plus de 40 % des associations, le groupe le plus important est celui des autres associations, centrés sur les activités associatives (90 %). Il comprend aussi quelque 150 agences de voyages. Parmi les «autres associations» ayant le plus de salariés, se trouvent l Insertion pour la promotion des accompagnateurs et le Fongécif de Bourgogne à Dijon, les Unions départementales des associations familiales de Nevers et d Auxerre, les Eclaireuses et Eclaireurs de France à Chalon-sur- Saône et le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne à Beaune. Association : C est un regroupement par lequel deux ou plusieurs personnes mettent en commun leurs connaissances ou leurs activités dans un but autre que de partager des bénéfi ces. Il existe plusieurs types d associations. L association déclarée a une capacité juridique : elle peut effectuer des transactions commerciales et recevoir des subventions. L association non déclarée n a pas la capacité juridique ou commerciale. Certaines associations sont reconnues d utilité publique. Cette reconnaissance est accordée par décret du Conseil d État. Elle concerne les associations ayant pour mission l intérêt général, en particulier dans les domaines philanthropique, social, sanitaire, scientifi que, culturel, 9

6 L économie sociale et solidaire dans la région Les coopératives : souvent en lien avec l agriculture Les coopératives constituent 29 % des établissements de l ESS. Leur siège social est principalement localisé en Bourgogne. Elles se composent de coopératives agricoles, de crédit, de production, ainsi que d autres coopératives relevant surtout de l agriculture. Avec établissements, les coopératives représentent 29 % des établissements de l ESS. Comme les associations, elles ont une dimension régionale : presque toutes ont leur siège social en Bourgogne. Les coopératives, le plus souvent dans l agriculture Domaines d activité Nombre d établissements au De grosses coopératives de crédit Viennent ensuite les établissements des coopératives de crédit, principalement des banques mutualistes (68 %) et des caisses d épargne (27 %). Ils ont davantage une dimension nationale : près de 4 établissements sur 10 ont leur siège social en dehors de la région contre 1 sur 10 pour le reste des coopératives. Plus de 850 établissements de crédit font ainsi partie Répartition (%) Coopératives agricoles ,8 dont services aux cultures productives 456 location de matériel agricole 427 Coopératives de crédit ,3 dont banques mutualistes 579 caisses d épargne 230 Coopératives de production 62 1,4 Autres coopératives dont agriculture ,5 Ensemble des coopératives ,0 de l économie sociale et solidaire en Bourgogne, essentiellement des agences (rarement des établissements-sièges uniques). Ces établissements dépendent de 187 entreprises, telles la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté, la Caisse d Épargne et de Prévoyance de Bourgogne et le Crédit Mutuel du Sud-Est. Des coopératives de production travaillent dans l édition-imprimerie, comme le journal «L Yonne Républicaine» à Auxerre, mais aussi des sociétés coopératives ouvrières dans les services aux entreprises ou la construction. Beaucoup de coopératives agricoles Près de coopératives relèvent de la catégorie juridique des coopératives agricoles. Leur activité concerne essentiellement les services aux cultures productives (36 %), la location de matériel agricole (33 %) et le commerce de gros de céréales et aliments pour bétail (15 %). Pour 70 % d entre elles, le statut juridique correspond à des Coopératives d Utilisation de Matériel Agricole en commun (CUMA). Peu de coopératives se trouvent dans l industrie agro-alimentaire mais celles-ci ont en général beaucoup de salariés. Les coopératives agricoles ayant le plus de salariés sont Dijon Céréales à Longvic (Côte-d Or), Régilait à Saint-Martin-Belle-Roche (Saône-et-Loire) et Cap Nièvre à Nevers. D autres coopératives orientées vers l agriculture Constituant la moitié des coopératives, les «autres coopératives» ont principalement le statut juridique de société civile (c est-à-dire ni commerciale, ni coopérative) ou de société coopérative commerciale. Leur activité relève pour la plupart du domaine agricole (culture et/ou élevage) : plus de 90 % d entre elles sont des Groupements Agricoles d Exploitation en Com mun (GAEC). Les deux plus importantes sont la SICA (Société d Intérêt Collectif Agricole) de viandes de l Yonne et du Loiret à Migennes (Yonne) et le Journal du Centre à Nevers. Coopérative : C est un regroupement de personnes (consommateurs, salariés ou entrepreneurs) poursuivant des buts économiques, sociaux ou éducatifs communs par le moyen d une entreprise, gérée par ses membres et à leurs risques, sur la base de l égalité de leurs droits et obligations. La propriété est collective et le pouvoir démocratique. 10

7 L économie sociale et solidaire dans la région Les mutuelles : souvent de grands groupes La région compte 64 mutuelles régies par le code de la mutualité ainsi que 18 mutuelles régies par le code des assurances. En comptabilisant les sièges sociaux, les agences, les centres de soins et de services, 310 établissements exercent une activité mutualiste en Bourgogne, dont plus des deux-tiers sont régis par le code de la mutualité. La région Bourgogne est forte de 82 mutuelles, dont 64 régies par le code de la mutualité et 18 par le code des assurances. En Bourgogne, 64 mutuelles sont régies par le code de la mutualité. Alors que les coopératives et les associations sont pour la plupart des établissements uniques, les mutuelles gèrent souvent plusieurs établissements : agences, centres de soins et de services, foyers. Les établissements régis par le code de la mutualité sont ainsi au nombre de 221, dont près des trois-quarts ont leur siège social dans la région. A côté des unités exerçant des activités fi nancières (120 établissements), d autres pratiquent des activités variées, services d aide et de soins à domicile, aide aux personnes âgées, centres d optique, cabinets dentaire, Centre d Aide par le Travail (CAT), foyers d accueil ou de logement, maisons de retraite, cliniques Souvent de grands groupes Parmi les unions de mutuelles ou les mutuelles régies par le code de la mutualité se trouvent la Mutualité Française de Côte-d Or qui regroupe 57 établissements*, la Mutualité Française de Saône-et- Loire (26 établissements*), la mutuelle nationale MCD Médico-Chirurgico-Dentaire (10 établissements), la Mutualité Française de l Yonne (8 établissements*), la Mutuelle Unio (6 établissements), la Mutualité Française de la Nièvre (5 établissements), la Mutuelle Releya, des mutuelles destinées à des publics particuliers : éducation, police, étudiants, entre autres. Enfi n, la Mutualité Sociale Agricole (MSA) compte une caisse dans chaque département. Mutuelles d assurance : siège social hors de la région Une autre forme de mutualité, régie par le code des assurances, regroupe 18 entreprises mutualistes, dites mutuelles d assurance. Ces mutuelles forment un ensemble de 90 établissements qui ont cette fois tous une activité fi nancière, et presque tous leur siège social hors de la région. Les deux tiers ont le statut juridique de société d assurance mutuelle, comme la MATMUT, Mutuelle d Assurance du Travailleur Mutualiste (17 établissements), la MACIF, Mutuelle d Assurance des Commerçants et de l Industrie (14 établissements), la MAIF, Mutuelle d Assurance des Instituteurs de France (4 établissements) ou la Caisse Mutuelle d Assurance et de Prévoyance. Un autre tiers a le statut juridique d assurance mutuelle agricole, essentiellement Groupama (ou CRAMA) qui compte 26 établissements bourguignons. * dont certains se trouvent à la même adresse mais avec des activités différentes Catégories juridiques Mutuelles régies par le code de la mutualité dont mutuelles mutualité sociale agricole et autre organisme mutualiste Mutuelles régies par le code des assurances dont société d assurance mutuelle assurance mutuelle agricole Les mutuelles appartiennent à de grands groupes Nombre d établissements au dont monoétablissements** (%) dont le siège social est en Bourgogne (%) 20,4 72,4 3,3 10,0 Ensemble des mutuelles ,4 54,3 ** Établissement appartenant à une entreprise constituée d'un unique établissement Mutuelles : Les mutuelles mènent, notamment au moyen de cotisations versées par leurs membres et dans l intérêt de ces derniers et de leurs ayants droit, une action de prévoyance, de solidarité et d entraide, afi n de contribuer au développement culturel, moral, intellectuel et physique de leurs membres et à l amélioration de leur condition de vie. Ainsi, les mutuelles agissent dans le cadre de la prévention des risques de dommages corporels liés à des accidents ou à la maladie, ainsi que la protection de l enfance, de la famille, des personnes âgées, dépendantes ou handicapées. 11

8 Les établissements employeurs Seul un établissement sur trois est employeur Au 1 er janvier 2004, 36 % des établissements bourguignons immatriculés appartenant à l économie sociale et solidaire emploient des salariés soit une part proche de celle observée dans l ensemble de l économie régionale. Dans l ESS, les coopératives et les associations emploient moins souvent des salariés que les mutuelles et les autres établissements de l ESS. Toutefois, les associations dans le domaine social comptent des établissements de taille importante. Au 1 er janvier 2004, sur les établissements immatriculés de l ESS implantés en Bourgogne, emploient des salariés soit 36 %. Cette part est voisine de celle observée dans l ensemble des secteurs d activités publics et privés de l économie bourguignonne : 38 %. De fortes disparités existent entre les familles de l ESS. Seulement 20 % des coopératives et 41 % des associations immatriculées emploient des salariés alors que le salariat est très répandu pour les mutuelles. Seules deux coopératives sur dix ont des salariés C est dans le secteur des coopératives que le salariat est le moins fréquent : seules 900 coopératives ont des salariés, soit 20 % de ces établissements. Cette part est encore moindre pour les coopératives agricoles (10 %) et les autres coopératives (8 %) composées principalement de GAEC (Groupement Agricole d Exploitation en Commun). Les autres formes de coopératives sont plutôt employeurs, celles de production étant proportionnellement de taille plus importante que celles de crédit. Quatre associations sur dix ont des salariés Près de quatre associations immatriculées sur dix emploient des salariés (41 %). Mais le nombre d associations qui n emploient pas de salarié est probablement sous-estimé (cf. encadré page 7). De plus, le poids prépondérant des associations de sports-culture-loisirs et des «autres associations» infl uence largement ce secteur hétérogène. Les «autres associations» ont peu d établissements employeurs : 27 % soit la part la plus faible des domaines associatifs. Quand elles ont des salariés, elles en ont peu : 66 % des établissements employeurs en ont seulement un ou deux. Les associations de sports-culture-loisirs sont de petites structures La part des établissements employeurs dans les secteurs associatifs des sports-culture-loisirs, de l éducation et des services aux entreprises est proche de celle observée dans l ensemble des associations : 42 %. Mais les associations de sports-culture-loisirs ayant des salariés sont de petites structures alors que les établissements de taille moyenne sont plus représentés dans les autres types d associations cités. Moins d établissements employeurs parmi les coopératives Part des établissements qui emploient des salariés en Bourgogne par secteur de l ESS Coopératives Mutuelles Associations Autres Ensemble ESS 36 Ensemble tous secteurs 38 %

9 Les établissements employeurs Les associations dans le domaine social sont de taille plus importante A l inverse, 73 % des associations dans les domaines santé et social emploient des salariés. Les associations du «social» sont composées de structures de taille importante : 480 unités ont 10 salariés ou plus soit 57 % des associations employeuses de ce secteur. L association d aide ménagère AGAPA de Montceaules-Mines et le Centre d Aide par le Travail de Sens sont les deux plus importantes d entre elles avec un effectif compris entre 250 et 500 salariés. Les associations dans le domaine de la santé sont de taille moyenne : 40 % ont entre 3 et 9 salariés. Un établissement dépasse les 250 salariés : le Centre Georges-François Leclerc de Dijon. Les mutuelles : souvent de grands établissements Les mutuelles sont composées à la fois d établissements de taille importante - plutôt des mutuelles régies par le code de la mutualité - et de petites structures, principalement des petites agences de mutuelles régies par le code des assurances d implantation nationale. Enfi n, les «autres établissements de l ESS», composés aux deux tiers de groupements d employeurs, emploient le plus souvent des salariés. Dans la majorité des cas (huit sur dix), ces établissements employeurs sont de petites structures d un ou deux salariés. Dans l ESS, établissements ont dix salariés ou plus Répartition des établissements bourguignons de l ESS par tranche d effectif salarié et secteur détaillé 0 salarié* 1 à 2 salariés 3 à 9 salariés 10 salariés et plus Ensemble Coopératives Coopératives agricoles Coopératives de crédit Coopératives de production Autres coopératives Mutuelles Mutuelles régies par le code de la mutualité Mutuelles régies par le code des assurances Associations Éducation Santé Social Sports-culture-loisirs Accueil-hébergement-restauration Services aux entreprises Associations de personnes Insertion par l économique Autres associations Autres ** Ensemble ESS * Les établissements dont les effectifs sont non déclarés sont inclus dans la tranche 0 salarié ** Comités d établissements, Groupements d employeurs, Congrégations, Fondations 13

10 L ESS dans les départements Plus forte implantation dans la Nièvre et l Yonne Au 1 er janvier 2004, 14 % des établissements de la Nièvre et de l Yonne relèvent de l ESS, soit un point de plus que la moyenne régionale. Ces deux départements comptent davantage d établissements ayant un statut d associations, la Saône-et-Loire de coopératives et la Côte-d Or de mutuelles. Sur les établissements de l ESS, un grand nombre se trouvent en Saône-et-Loire et en Côte-d Or. Mais c est dans la Nièvre et dans l Yonne que la part des établissements relevant de l ESS parmi l ensemble des établissements est la plus élevée : 14 % contre 13 % en Côte-d Or et 12 % en Saône-et-Loire. Rapporté à la population, le nombre d établissements est aussi plus élevé dans ces deux départements de l ouest bourguignon (respectivement 11,1 et 10,4 pour habitants) et plus faible en Côte-d Or (9,3 ) et en Saône-et-Loire (8,9 ). L ESS, plus implantée dans la Nièvre et l Yonne Densité d établissements de l ESS pour 1000 habitants Les associations sont plus fréquentes dans la Nièvre et dans l Yonne (7 établissements de l ESS sur 10). Ces deux départements ont relativement plus d associations de sports, culture, loisirs et d»autres associations». L Yonne se signale aussi par le poids plus élevé au sein de l ESS d associations sociales et d insertion par l économique, ainsi que de coopératives de crédit et de production. Par contre, les coopératives, notamment agricoles et «autres», sont davantage présentes en Saône-et- Loire que dans l ensemble de l ESS bourguignon. La Saône-et-Loire se distingue aussi par une part importante des associations d accueil et d hébergement et des «autres établissements» au sein de l ESS. En Côte-d Or, l ESS se caractérise par la présence plus importante d établissements mutualistes, mais aussi d associations relevant de l éducation. Yonne 10,4 Nièvre 11,1 Côte-d'Or 9,3 Saône-et-Loire 8,9 Plus d établissements employeurs en Saône-et-Loire Le salariat dans l ESS est plus répandu en Saôneet-Loire. En effet, les établissements employeurs y représentent 39 % des établissements de l ESS, contre 32 % dans l Yonne et 36 % dans les deux autres départements. Ce constat se vérifi e aussi au niveau des associations. IGN-Insee 2004 Près de établissements de l ESS en Saône-et-Loire comme en Côte-d Or Répartition des établissements (employeurs ou non) par département Côte-d Or Nièvre Saôneet-Loire Yonne Bourgogne Coopératives Mutuelles Associations Autres établissements de l ESS Ensemble ESS Ensemble tous secteurs Part ESS dans l ensemble des secteurs * (%) Ensemble ESS employeur * Part de l ensemble ESS d un département sur l ensemble tous secteurs du même département (en %). 14

11 Les évolutions sur 5 ans Forte hausse du nombre d associations immatriculées En Bourgogne, le nombre d établissements de l ESS immatriculés dans SIRENE a augmenté de façon spectaculaire entre 1999 et 2004 : + 25 %. Cet important essor a été plus marqué dans le domaine associatif et particulièrement les sports, la culture et les loisirs. Cette hausse du nombre d établissements a entraîné l emploi de salariés supplémentaires dont près de la moitié dans les associations du domaine social. En cinq ans, le nombre d établissements bourguignons immatriculés relevant de l ESS a fortement augmenté : + 25 %. Il passe de au 1 er janvier 1999 à au 1 er janvier 2004 soit établissements supplémentaires. Sur la même période, le nombre d établissements immatriculés de l ensemble des secteurs (public et privé) de l économie bourguignonne n a progressé que de 6 %. La croissance des établissements de l ESS a été particulièrement importante en début et en fi n de période d observation (+ 6 % annuels). Forte hausse du nombre d associations immatriculées Augmentation importante du nombre d établissements immatriculés de l ESS Evolution en indice base 100 au 1/1/1999 Ensemble ESS Ensemble tous secteurs 1/1/1999 1/1/2000 1/1/2001 1/1/2002 1/1/2003 1/1/2004 La hausse du nombre d établissements immatriculés relevant de l ESS a été particulièrement marquée pour les associations (+ 33 %) devant les mutuelles (+ 30 %) et les coopératives (+ 7 %). Sur les nouveaux établissements, sont des associations. Plusieurs raisons sont à l origine de cette forte croissance. Des obligations fi scales, déclaratives et sociales (demande de subventions, embauche de salariés, ) ont amené les anciennes associations non répertoriées à «offi cialiser» leur existence et à s immatriculer au répertoire SIRENE. L engouement pour la vie associative, le passage aux 35 heures et le centenaire de la loi de 1901 peuvent aussi être mis en avant. A l inverse, des associations peuvent rester enregistrées dans SIRENE alors qu elles ne sont plus actives. Source : INSEE - SIRENE du au Hausse spectaculaire du nombre d associations immatriculées de sports-culture-loisirs Le nombre d associations immatriculées œuvrant dans le domaine sports-culture-loisirs a particulièrement augmenté : + 55 % en cinq ans passant de en 1999 à en Parmi ces associations supplémentaires, 650 relèvent du seul domaine sportif. Le nombre d «autres associations» immatriculées a également progressé de façon importante : + 37 % soit établissements supplémentaires. Près de associations supplémentaires en cinq ans Nombre d établissements immatriculés en Bourgogne en 1999 et en Évolution Nombre Nombre Valeur % Coopératives ,6 Mutuelles ,1 Associations ,4 Autres ,6 Ensemble ESS ,2 Ensemble tous secteurs ,8 Source : INSEE - SIRENE au et

12 Les évolutions sur 5 ans Par ailleurs, le nombre de coopératives s est accru de 280 unités en cinq ans dont la plus grande part appartient au domaine agricole. Associations dans le domaine social : la moitié des emplois créés Cette croissance du nombre d établissements de l ESS a été accompagnée d un surcroît d emploi mais de moindre ampleur. Entre 1999 et 2004, l emploi salarié dans l ESS a progressé de 14 % soit emplois supplémentaires. Il atteint emplois au 1 er janvier La hausse n a été que de 8 % pour l ensemble des secteurs de l économie bourguignonne. La moitié de cette croissance provient des associations du domaine social : emplois supplémentaires. Parmi eux, ont été créés dans des associations d aide à domicile, 950 dans des formes diverses d action sociale, 540 dans des associations d accueil d adultes handicapés et 340 dans celui des personnes âgées. D autres secteurs créent des emplois Le nombre d emplois dans les associations sportives, culturelles et de loisirs a lui aussi augmenté : en cinq ans soit + 49 %. Cette hausse est principalement liée à l essor du nombre d établissements. Plus de la moitié de ces emplois concerne les activités culturelles et 42 % les associations sportives. Enfi n, les mutuelles régies par le code de la mutualité et les «autres» établissements de l ESS ont aussi accru leurs effectifs. Forte création d emploi dans les nouveaux établissements Des établissements présents au 1 er janvier 2004, étaient déjà actifs au 1 er janvier 1999 et correspondent à de nouvelles immatriculations. Ces nouveaux établissements ont créé près de emplois salariés. Les établissements pérennes ont augmenté leurs effectifs de 12 % (4 300 salariés). D autre part, établissements ont cessé leur activité entre 1999 et Ils ont entraîné la perte de emplois. L essor de l emploi de l ESS provient pour moitié des associations du domaine social Évolution du nombre d établissements et de l effectif salarié de l ESS en Bourgogne entre 1999 et 2004 Coopératives Mutuelles Associations dont sports-culture-loisirs dont social Établissements Effectif salarié Autres Ensemble ESS Source : INSEE - SIRENE au et

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

PANORAMA. Economie sociale et solidaire dans l'entente. Décembre 2013. Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS

PANORAMA. Economie sociale et solidaire dans l'entente. Décembre 2013. Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS Economie sociale et solidaire dans l'entente PANORAMA Décembre 2013 Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble les entreprises qui cherchent à

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Qu est ce que l Economie Sociale?

Qu est ce que l Economie Sociale? Fiche n 2 Les entreprises : Qu est ce que l Economie Sociale? Les de toutes natures (salariés, usagers, ), les mutuelles (assurance ou prévoyance santé), les associations et les fondations constituent

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

4.1. Sources. Champs. et méthodes. de l ESS. Liste des catégories juridiques incluses dans le champ de l économie sociale

4.1. Sources. Champs. et méthodes. de l ESS. Liste des catégories juridiques incluses dans le champ de l économie sociale 4.0 Sources et méthodes Le périmètre a été établi en collaboration avec l INSEE et les méthodologies de traitement sont harmonisées au sein du réseau national des observatoires des Chambres Régionales

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS)

NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS) NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS) Nomenclature ESS Nomenclature d'activité Nomenclature Catégorie Juridique 100 Coopérative 110 Coopérative secteur agricole 111 Sociétés de coop. agricole 112

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

L Economie Sociale et Solidaire

L Economie Sociale et Solidaire 1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) -

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) - La mutualité Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 1/10 Table des matières SPECIFIQUES :... 3 I Introduction et historique :... 4 II Objet d une mutuelle :...4

Plus en détail

au service de chacun!

au service de chacun! Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes. Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé

Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes. Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé 70.000 salariés 2 ième Région de France pour le taux des emplois E.S. sur l ensemble des emplois. 14,3%

Plus en détail

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

Carte d identité du secteur de la mutualité

Carte d identité du secteur de la mutualité Carte d identité du secteur de la mutualité Données mises à jour- DADS 2010 Mickaële Molinari-Perrier, Céreq Octobre 2012 1 SOMMAIRE RAPPEL DE LA COMMANDE ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Un dispositif d appui aux très petites entreprises

Un dispositif d appui aux très petites entreprises Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

La création d entreprise en milieu rural

La création d entreprise en milieu rural La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise 50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection

Plus en détail

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.

Plus en détail

PANORAMA DE L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

PANORAMA DE L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE PREFET Chambre Régionale de l'économie Sociale et Solidaire Languedoc-Roussillon S'associer I Coopérer I Mutualiser PANORAMA DE L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Languedoc-Roussillon édition 2013 Chambre

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Impact d une restructuration sur l adhésion aux institutions de retraite complémentaire

Impact d une restructuration sur l adhésion aux institutions de retraite complémentaire Mois AAAA Mois AAAA sur l adhésion aux institutions En bref Mise à jour décembre 2008 Cette fiche a un caractère informatif et permettra de mieux cerner les conséquences qu une restructuration peut engendrer

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Un profil singulier. écoute, performance et innovation, Des réponses adaptées. Un peu d histoire pour éclairer le présent

Un profil singulier. écoute, performance et innovation, Des réponses adaptées. Un peu d histoire pour éclairer le présent Profondément humain Un peu d histoire pour éclairer le présent Créée depuis 1999 en région Rhône-Alpes par des mutuelles interprofessionnelles partageant les mêmes valeurs mutualistes de solidarité, de

Plus en détail

LES AINES RURAUX. 8677 adhérents. : 191 clubs. En Saône-et

LES AINES RURAUX. 8677 adhérents. : 191 clubs. En Saône-et LES AINES RURAUX Fédération Départementale de Saône-et-Loire 46 rue de Paris 71000 MACON Tél. : 03.85.39.51.34 e-mail : aines.ruraux71@orange.fr Site internet national : www.ainesruraux.org départemental

Plus en détail

statuts Mutuelle substituée par la Mutuelle Nationale Territoriale Mutuelle régie par le livre II du code de la Mutualité - Numéro SIREN 444 042 303

statuts Mutuelle substituée par la Mutuelle Nationale Territoriale Mutuelle régie par le livre II du code de la Mutualité - Numéro SIREN 444 042 303 statuts 2014 Adoptés par l Assemblée générale constitutive du 11 septembre 2002 Modifiés par les Assemblées générales des 9 décembre 2003, 25 juin 2005, 24 juin 2006, 23 juin 2007, 22 septembre 2009, 16

Plus en détail

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Présentation effectuée dans le cadre du plan académique de formation (PAF) proposé par les inspecteurs d académie.

Présentation effectuée dans le cadre du plan académique de formation (PAF) proposé par les inspecteurs d académie. Présentation effectuée dans le cadre du plan académique de formation (PAF) proposé par les inspecteurs d académie. Journées de conférences organisées par le programme de formation des enseignants d économie

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes

Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire

Plus en détail

La Mutualité en chiffres Édition 2011

La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française

Plus en détail

en toute simplicité!

en toute simplicité! BIEN COMPRENDRE LES NOUVELLES RÉFORMES DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ. en toute simplicité! 1 LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ D ici le 1 er janvier 2016, toutes les entreprises devront mettre

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

L épargne de tous au service de l intérêt général

L épargne de tous au service de l intérêt général L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur

Plus en détail

L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire

L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire Rapport d étude Observatoire National de l ESS CNCRES Elisa Braley, responsable de l Observatoire Arnaud Matarin, chargé d études observatoire@cncres.org

Plus en détail

Pour une économie démocratique. Douze propositions de l économie sociale et solidaire

Pour une économie démocratique. Douze propositions de l économie sociale et solidaire Pour une économie démocratique Douze propositions de l économie sociale et solidaire Novembre 2011 Le Conseil des Entreprises, Employeurs et Groupements de l Economie Sociale (CEGES) regroupe les entreprises,

Plus en détail

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti?

Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? L apprenti est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle ou de l entreprise

Plus en détail

L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Définitions Un peu d histoire Quelques chiffres, les acteurs La finance solidaire Définitions L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble deux concepts, rappelé dans

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Economie Sociale et Solidaire

Economie Sociale et Solidaire PORTRAIT DE TERRITOIRE Economie Sociale et Solidaire L ESS DANS LE PAYS DU VAL D ADOUR L ESS dans le Pays du Val d Adour : un poids considérable dans l emploi local Source : Observatoire régional de l

Plus en détail

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne 1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation

Plus en détail

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

FICHE TYPE DE DEMANDE DE SUBVENTION DOSSIERS ENVIRONNEMENT - ENERGIES

FICHE TYPE DE DEMANDE DE SUBVENTION DOSSIERS ENVIRONNEMENT - ENERGIES FICHE TYPE DE DEMANDE DE SUBVENTION Présentation du maître d ouvrage : DOSSIERS ENVIRONNEMENT - ENERGIES - Porteur de projet :.. - Adresse :... - Code postal/ Ville :... - Nom et qualité du ou des représentant(s)

Plus en détail

Une association qui entreprend au service de l intérêt général

Une association qui entreprend au service de l intérêt général Une association qui entreprend au service de l intérêt général Des métiers au service du lien social L UFCV, UNE ASSOCIATION QUI ENTREPREND AU SERVICE DE L INTÉRÊT GÉNÉRAL 1907 Naissance de l Union Parisienne

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR. Une conférence annuelle réunira l ensemble des Présidents et membres des bureaux des conseils territoriaux d Eovi-Mcd mutuelle.

REGLEMENT INTERIEUR. Une conférence annuelle réunira l ensemble des Présidents et membres des bureaux des conseils territoriaux d Eovi-Mcd mutuelle. REGLEMENT INTERIEUR Règlement intérieur adopté à l assemblée générale du 15 juin 2013 Préambule Le règlement intérieur est établi par le conseil d administration, approuvé par l assemblée générale. Il

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Alpesolidaires.org le site et l association des acteurs de l économie sociale et solidaire de l agglomération grenobloise

Alpesolidaires.org le site et l association des acteurs de l économie sociale et solidaire de l agglomération grenobloise Conception/rédaction : SCOP La péniche / Julia LOPEZ, Agnès BOURDAIS Association Alpesolidaires, Impression : Alias, 3000 ex. Réalisé en septembre 2007. Imprimé sur papier recyclé. Alpesolidaires.org le

Plus en détail

La Population des Exploitants agricoles en 2011

La Population des Exploitants agricoles en 2011 Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES

Plus en détail

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés JAPON Nomenclature CHIHO-KOMUIN-KYOSAI CHIHO-KOMUIN-ONKYU CHIHO-KOMUIN-SAIGAI HOSYO CHIHO-KOKUMINN-KYOSAI- KYUGYO-KYUFU-TO IZOKU-NENKIN JIDEO-TEATE JIDO-FUYO-TEATE KOKKA-KOMUIN-KYOSAI KOKKA-KOMUIN-ONKYU

Plus en détail

Données au 1 er janvier 2015

Données au 1 er janvier 2015 2015 Données au 1 er janvier 2015 Sommaire Chapitres ELEMENTS DE CADRAGE ALSACE - TOUS SECTEURS Etablissements et effectifs en 2015 pp. 3 à 7 pp. 5 à 6 Etablissements par tranche d effectifs salariés en

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes

Plus en détail

J ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel.

J ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel. RASSURCAP SOLUTIONS J ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel. Assurance décès Capital à partir de 7500 mgen.fr Mutuelle Santé Prévoyance Autonomie Retraite RASSURCAP SOLUTIONS Le pouvoir de

Plus en détail

«Panorama transfrontalier de l économie sociale et solidaire»

«Panorama transfrontalier de l économie sociale et solidaire» Une implantation forte de l Economie Sociale et Solidaire de part et d autre de la frontière. Forte de plus de 13 000 établissements et de plus de 200 000 emplois sur le territoire transfrontalier, l économie

Plus en détail

Le guide pour comprendre

Le guide pour comprendre ENTREPRISES D INSERTION ENTREPRENEURS SOCIAUX Le guide pour comprendre Une loi sur l Economie Sociale et Solidaire (ESS) pour permettre son changement d échelle Après plus de deux ans de travaux, la loi

Plus en détail