COMMUNES DE : CHOLONGE LAFFREY SAINT-THEOFFREY. Rapport final

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1 SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU BASSIN VERSANT DE LA ROMANCHE COMMUNES DE : CHOLONGE LAFFREY SAINT-THEOFFREY Rapport final /v2 Février 213 HYDRATEC IMMEUBLE L ORIENT - 1, PLACE CHARLES BERAUDIER LYON CEDEX 3 TEL. : FAX : hydratec_lyon@hydra.setec.fr

2 SOMMAIRE 1 PREAMBULE CONTEXTE GENERAL CONTEXTE GEOGRAPHIQUE CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE CONTEXTE SOCIO-ECONOMIQUE L agriculture L hydroélectricité Les activités industrielles et artisanales Le tourisme 8 3 ETAT DES LIEUX DU SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE RESSOURCES EN EAU Les ressources Etat réglementaire Qualité des eaux brutes et traitement La vulnérabilité des ressources naturelles Les risques potentiels Synthèse des ressources actuelles jugées vulnérables et conséquence sur l alimentation AEP PATRIMOINE, OUVRAGES ET RESEAUX Commune de Cholonge Commune de Laffrey Commune de Saint-Théoffrey CAMPAGNES DE MESURES Campagne de mesures en période de forte consommation Sectorisation nocturne des fuites ANALYSE DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION Production - Besoins Volumes et structure de la consommation Indicateurs de fonctionnement du réseau Définition des termes utilisés pour caractériser un réseau d eau potable Calcul des indicateurs Bilan ressources / besoins Situation actuelle Situation future QUALITE DE L EAU DISTRIBUEE Rapport final 2

3 3.6 SECURITE INCENDIE Réglementation Les textes en vigueur Normes en vigueur En pratique Etat des ouvrages pour la protection incendie (poteaux incendie ou borne incendie) Conclusions LA GESTION ET LE PRIX DE L EAU POTABLE SUR LE SECTEUR D ETUDE SYNTHESE ET PROGRAMME D ACTIONS SYNTHESE DE L ETAT DES LIEUX PROGRAMME D ACTIONS Objectifs généraux Actions hiérarchisées Impact sur le prix de l eau 48 ANNEXES Annexe 1 Bibliographie Annexe 2 Schémas altimétriques des systèmes d alimentation en eau potable de chaque commune Annexe 3 Plans des réseaux structurants d eau potable de chaque commune au 1/15 Annexe 4 Fiches ouvrages Annexe 5 Synthèse de la qualité de l eau distribuée sur chaque commune de 26 à 28 Annexe 6 Résultats cartographiques des sectorisations nocturnes de fuites Annexe 7 Fiches actions du Contrat de Rivière Rapport final 3

4 1 PREAMBULE Le Contrat de rivière Romanche fait suite au Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) du Drac et de la Romanche, voté par la Commission Locale de l Eau en mars 27. Ce Contrat de rivière est porté juridiquement et financièrement par le Syndicat d Assainissement du Canton de l Oisans (SACO) et piloté par un Comité de Rivière instauré grâce à un arrêté interpréfectoral. Les objectifs poursuivis et les actions envisagées dans le Contrat découlent des préconisations du SAGE Drac Romanche : Améliorer la qualité des eaux des rivières Améliorer le partage de l eau Préserver la ressource et sécuriser l alimentation en eau potable Préserver les milieux aquatiques et les zones humides Organiser la fréquentation et l accès à la rivière Dans le cadre de l élaboration du Contrat de rivière et afin de déterminer les actions à intégrer, plusieurs études préalables sont menées. Concernant l eau potable, l ambition n 3 du SAGE («Préserver la ressource et sécuriser l alimentation en eau potable») se décline en plusieurs objectifs, entre autres : Objectif n 16 Mieux connaître la ressource en eau potable et mieux la gérer (étude diagnostique, schéma directeur, interconnexions ) Objectif n 17 Améliorer et sécuriser la qualité de l eau distribuée dans les communes à l amont (traitement, travaux autour des périmètres de protection ) Objectif n 18 Mutualiser le personnel et les moyens financiers pour gérer les ressources en eau potable. Pour définir au mieux les actions à intégrer au Contrat de rivière vis-à-vis de la problématique de l alimentation en eau potable, il s avère nécessaire d établir des schémas directeurs d alimentation en eau potable sur l ensemble du bassin versant de la Romanche tel qu il est représenté sur la carte ci-après. Notons toutefois que les communes de Saint- Colomban-des-Villards et Brié-et-Angonnes n ont pas été intégrées à l étude car leurs ressources en eau ne se situent pas sur le bassin versant de la Romanche tandis que la commune de Saint-Sorlin-d Arves a été exclue de l étude en raison de l élaboration très récente d un schéma directeur d alimentation en eau potable propre à la commune et de la situation de ses secteurs urbanisés à l extérieur du bassin versant de la Romanche. Rapport final 4

5 Bassin versant de la Romanche Communes concernées par l'étude Bassin versant de la Romanche SAINT-COLOMBAN-DES-VILLARDS Eau d'olle VAUJANY SAINT-SORLIN-D'ARVES ALLEMOND VIZILLE CHAMP-SUR-DRAC NOTRE-DAME-DE-MESAGE BRIE-ET-ANGONNES VAULNAVEYS-LE-HAUT JARRIE MONTCHABOUD SAINT-PIERRE-DE-MESAGE VAULNAVEYS-LE-BAS SECHILIENNE SAINT-BARTHELEMY-DE-SECHILIENN LAFFREY LA MORTE CHAMROUSSE LIVET-ET-GAVET Romanche OULLES Lignarre Ferrand OZ BESSE CLAVANS-EN-HAUT-OISANS HUEZ VILLARD-RECULAS LE FRENEY-D'OISANS LA GARDE AURIS MIZOEN ORNON LE BOURG-D'OISANS VILLARD-REYMOND MONT-DE-LANS LA GRAVE Romanche CHOLONGE VILLARD-NOTRE-DAME VILLAR-D'ARENE SAINT-THEOFFREY VENOSC Vénéon SAINT-CHRISTOPHE-EN-OISANS L objectif de ces schémas directeurs portés par le groupement de commandes du Contrat de rivière Romanche est donc double : Collecter, mettre à jour et harmoniser les données concernant les systèmes d alimentation en eau potable de la zone d étude, Définir les investissements et leur priorité en vue de garantir la continuité et l amélioration du service d eau potable, en cohérence avec les préconisations du SAGE Drac Romanche. Pour chaque commune, l étude est décomposée en 4 phases : Phase 1 : Recueil de données Diagnostic de la situation actuelle Phase 2 : Campagnes de mesures Phase 3 : Bilan besoins / ressources Etude technico-économique des scénarios Phase 4 : Programme de travaux et schéma directeur Le présent rapport final concerne les communes de Cholonge, Laffrey et Saint-Théoffrey. Rapport final 5

6 2 CONTEXTE GENERAL 2.1 CONTEXTE GEOGRAPHIQUE Les communes de Cholonge, Laffrey et Saint-Théoffrey se situent dans le département de l Isère, en bordure Nord du plateau Matheysin, en rive gauche de la Romanche, comme le précise le plan de situation ci-après : Les bourgs principaux des communes de Cholonge, Laffrey et Saint-Théoffrey se situent respectivement à 1 6 m, 91 m et 931 m d altitude. Au cœur du plateau de la Matheysine, le glacier primitif de la Romanche a créé une série de lacs naturels : le lac de Laffrey, le lac de Petichet, le lac de Pierre Châtel et le lac Mort. Longé par la route impériale et doté d une base nautique, le grand lac de Laffrey est un site à la fois touristique et historique. A l exception du lac Mort, aux berges non accessibles, les autres plans d eau de la Matheysine présentent tous un intérêt touristique. Rapport final 6

7 2.2 CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE L évolution démographique de chacune des communes depuis 1982 est décrite dans le tableau suivant : Population municipale (source INSEE) Evolution entre 1999 Densité 26 Commune et 26 (hab/km²) Chollonge ,51% 32,8 Laffrey ,76% 53,6 St Théoffrey ,65% 72,5 Les trois communes du secteur d étude connaissent une augmentation sensible de leur population depuis Compte tenu de l offre touristique de ces communes (tourisme d été deux résidences hôtelières à Laffrey) et du nombre important de résidences secondaires, on constate des variations saisonnières démographiques qui sont à considérer pour l alimentation en eau potable. On observe toutefois sur les trois communes que le nombre de résidences secondaires ou logements occasionnels a tendance à diminuer depuis 1982, à l inverse du nombre de résidences principales, comme l attestent les données de l INSEE récapitulées dans le tableau suivant : Ensemble CHOLONGE Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants Ensemble LAFFREY Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants Ensemble SAINT-THEOFFREY Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants Notons également l existence de 3 campings sur la commune de Saint-Théoffrey, pour une capacité maximale de 95 personnes environ. Rapport final 7

8 Les populations maximales de chacune des communes en période estivale peuvent être estimées de la façon suivante : commune Population actuelle maximale (hab) Cholonge 7 Laffrey 61 Saint-Théoffrey CONTEXTE SOCIO-ECONOMIQUE L agriculture On notera la présence de deux élevages bovins représentant environ 1 UGB (Unité de Gros Bétail) et d un élevage de lapins sur la commune Cholonge. Ces élevages évoluent en aval des captages d eau potable et consomment respectivement 1 et 4 m 3 d eau par an. Aucune pratique agricole n est recensée sur les communes de Laffrey et Saint-Théoffrey L hydroélectricité Le principal aménagement hydroélectrique du secteur d étude est représenté depuis 1949 par la chute de Péage de Vizille (hauteur 144 m ; débit turbinable 41 m³/s) équipée de 2 turbines Francis de 35 kw. L usine plus ancienne de Noyer-Chut située dans le tronçon court-circuité fonctionne toujours et turbine les déversés de la prise au fil de l eau de Gavet captés au barrage de Séchilienne. On note également la présence de l installation du Lac Mort qui capte les eaux des torrents de La Morte, du Grand Rif et du Bruyant (6 prises influençant au total 13 km de cours d eau et ravins). La chute entre le lac et l usine de l Ile Falcon atteint 625 m ; le débit turbinable est de 2.1 m³/s Les activités industrielles et artisanales Aucune activité industrielle ni artisanale notable n est recensée sur ce secteur Le tourisme En été, le tourisme dit de loisirs est représenté par la randonnée mais aussi par de nombreuses activités liées à l eau (pêche, baignade, sports d eau vive, activités nautiques, ) que l on peut associer au «tourisme vert». Ces activités sont très présentes sur le secteur, marqué par la proximité des trois lacs (lac de Laffrey, lac de Petichet, lac Pierre Chatel). Rapport final 8

9 3 ETAT DES LIEUX DU SYSTEME D ALIMENTATION EN EAU POTABLE 3.1 RESSOURCES EN EAU Les ressources Le secteur d étude forme un bassin homogène à caractère montagnard où l alimentation en eau potable est actuellement assurée à partir de retenue d eaux superficielles (lacs) et de captages de sources. Les différentes ressources alimentant les communes du secteur d étude sont listées dans le tableau suivant et sont repérées sur les plans des réseaux structurants joints en annexe. collectivité ressource sources forages / prises d'eau débit étiage (m³/j) débit équipé (m³/j) Bergogne et Josserands 29 Claudi et Ruelle 43 CHOLONGE Coirelle 22 Terroir 28 St-Jean (commune de Saint-Jean-de-Vaux) nc Canier 1 LAFFREY Lac 36 Plat 24 Roches ressource abandonnée SAINT-THEOFFREY Combe de l'oche (commune de Pierre-Châtel) 864 Les débits caractéristiques des ressources sont issus de données extraites de schéma directeur existant ou d étude diagnostic (Saint-Théoffrey et Laffrey), ainsi que de mesures ponctuelles réalisées lors de nos visites (Cholonge 28 octobre 29). Les débits d étiage des ressources de Bergogne et Josserands et Claudi et Ruelle avaient été estimés en 1995 (lors de l élaboration du dossier préalable à la visite de l hydrogéologue agréé) à des niveaux inférieurs : respectivement 13 m³/j et 3 m³/j. Aucune interconnexion entre les communes n est recensée à l échelle du secteur d étude. On peut toutefois signaler qu une des ressources de la commune de Saint-Jean-de-Vaux est située sur la commune de Cholonge, et que l eau est donc détournée de son bassin versant originel en transitant par la commune de Saint-Théoffrey. Rapport final 9

10 3.1.2 Etat réglementaire Le tableau suivant indique pour chaque commune le niveau de protection des ressources en fonction de l avancement des procédures réglementaires et études hydrogéologiques : collectivité ressource Procédure autorisation DUP Avis hydrogéologue agréé Périmètres de protection Bergogne et Josserands Procédure en cours (1994) oui Claudi et Ruelle Procédure en cours (1994) non CHOLONGE Coirelle Procédure en cours - non Terroir Procédure en cours - non St-Jean (commune de Saint-Jean-de-Vaux) nc nc nc Canier Procédure en cours 1999 oui LAFFREY Lac Procédure en cours 2 oui Plat Procédure en cours 1999 partiel Roches ressource abandonnée SAINT-THEOFFREY Combe de l'oche (commune de Pierre-Châtel) Procédure non achevée 199 non Notons que les périmètres de protection des ressources de la commune de Laffrey restent à confirmer par les procédures DUP en cours. Un dossier d'enquête publique pour la protection des captages de Claudi et Ruelle, Bergognes et Josserands, et Coirelle avait été déposé à la DDAF en 1995 pour instruction, suite au rapport de l'hydrogéologue agréé daté du /1/1994. La procédure, fragilisée par l'ancienneté du rapport géologique (presque 2 ans), n a alors pas abouti. Une nouvelle procédure a été relancée depuis septembre Qualité des eaux brutes et traitement Les normes de potabilité d une eau distribuée au robinet ne sont pas les mêmes que les normes de potabilité pour les eaux dites «brutes», eaux de sources, eaux prélevées dans les nappes ou pompées dans les puits / forage. Pour effectuer l analyse de la qualité de chacune des ressources qui alimentent les communes du secteur d étude, nous avons considéré les normes de potabilité pour les différents paramètres mesurés lors des analyses de suivi de la qualité de la ressource (données de l Agence Régionale de Santé Rhône Alpes ARS ex-ddass, données des fermiers). Nota : les normes de potabilité définies dans l arrêté du janvier 27 sont les suivantes : Paramètres Eaux brutes de toute origine (valeurs limites) Eaux douces superficielles (valeurs guides) Eaux destinées à la consommation humaine Microbiologiques (E. Coli et entérocoques) 2 /1 ml et 1 / 1 ml 2 à 2 /1 ml ou 2 à 1/1 ml et U/ml Nitrates 5 mg/l (eaux superficielles) et 25 à 5 mg/l 5 mg/l Rapport final 1

11 1 mg/l (autres eaux) Pesticides ---,1 µg/l,1 µg/l (à l exception de 4 substances) Plomb 5 µg/l 1 à 5 µg/l 1 µg/l Turbidité , NFU Conductivité ou =< =<1 µs/cm à 2 C (les eaux ne doivent pas être corrosives) Température 25 C 22 à 25 C 25 C ph --- 6,5 à 8,5 ou 5,5 à =< =< 9 (les eaux ne doivent pas être agressives) Fer total ---,1 à 1 mg/l 2 µg/l A Cholonge, les eaux brutes non traitées sont de très bonne qualité bactériologique selon les analyses effectuées par l ARS Rhône-Alpes sur l eau distribuée. Pour les autres paramètres, aucun dépassement par rapport aux limites de qualité n est à signaler. Les eaux brutes provenant des sources de Claudi et de Ruelle nécessitaient auparavant une désinfection par rayonnement ultra-violets avant distribution. A Laffrey, d après les analyses réalisées entre 21 et 28, les eaux brutes présentent régulièrement des contaminations bactériologiques (notamment les eaux provenant du captage du Canier). Ces pollutions sont constatées également au niveau de l eau distribuée, y compris celle provenant du pompage du Lac et qui est pourtant traitée par chloration. A Saint-Théoffrey, d après le suivi bactériologique des eaux captées entre 23 et 29 (analyses de l ARS Rhône-Alpes sur l eau distribuée sans traitement), on peut conclure que les eaux brutes présentent de manière chronique des contaminations bactériologiques, essentiellement en période de pluie. La qualité physico-chimique de l eau captée est conforme aux milieux géologiques au sein duquel elle apparaît. Il s agit d une eau de type bicarbonatée calcique à la conductivité moyenne (33 µs/cm). La qualité physico chimique des eaux est toujours satisfaisante, sans dépassement de norme. Le taux de nitrates moyen est inférieur à 1 mg/l pour une norme établie à 5 mg/l La vulnérabilité des ressources naturelles Pour estimer la vulnérabilité de la ressource en eau, il convient de quantifier pour chaque ressource les risques potentiels auxquels elle peut être soumise au regard de la pression qui s exerce sur la ressource en terme de demande notamment et de sa capacité. Rapport final

12 Les risques potentiels Les risques potentiels sont de trois ordres : Risques de pollution agricole (pollution ponctuelle et diffuse), Risques de pollution accidentelle, Risque de pollution diverse. Risques de pollution agricole (pollution ponctuelle et diffuse) : La sensibilité d une ressource pour la pollution agricole se traduit à travers les valeurs mesurées pour les paramètres bactériologie, nitrates et pesticides. Dans le cadre du suivi de la qualité de l eau distribuée au robinet, des analyses ponctuelles sont effectuées conformément à la réglementation en vigueur. Dès que les valeurs pour ces paramètres dépassent les valeurs seuils mentionnées dans les Bilans Qualité de l ARS Rhône-Alpes ou que les valeurs mesurées sont croissantes au cours de ces 3 dernières années, cela dénote une sensibilité de la ressource pour le paramètre. Dans le secteur d étude, le paramètre bactériologique peut dépasser les seuils en raison de l activité agricole (élevage). Par ailleurs, les trois communes sont classées en zone vulnérable aux pollutions par les nitrates d origine agricole (cf. zonage de l arrêté préfectoral du 18/12/212). Risques de pollution accidentelle : La ressource en eau potable peut-être aussi située à proximité d infrastructure autoroutière/routière, de zones industrielles ou d un cours d eau qui lors d un débordement peut envahir le champ captant et polluer la ressource. L identification de ce risque est fondée sur l avis de l exploitant de la ressource et sur l avis de l hydrogéologue agréé lorsqu un tel avis existe. Le captage du Lac (ressources de la commune de Laffrey) est concerné par le risque de pollution associé à la proximité de la RN 85 qui longe le lac de Laffrey (risque de déversement accidentel de matières polluantes). Risque de pollution diverse : Le troisième type de risque recouvre une multiplicité de cas : présence d assainissement non collectif non conforme et générant des pollutions, présence de faune sauvage dans l environnement du captage, L identification de ce risque est fondée sur l avis de l exploitant de la ressource et sur l avis de l hydrogéologue agréé lorsqu un tel avis existe. Les ressources des communes du secteur d étude sont soumises au risque de pollution (bactériologique) liée à la présence potentielle de faune sauvage à proximité des captages. Rapport final 12

13 Synthèse des ressources actuelles jugées vulnérables et conséquence sur l alimentation AEP Les ressources des communes de Cholonge, Laffrey et Saint-Théoffrey peuvent être considérées comme vulnérables compte tenu du risque de contamination bactériologique, essentiellement en période de pluie, du risque de pollution accidentelle (pour le captage du Lac qui nécessite une surveillance constante et un traitement adapté) et du risque de pollution par les nitrates d origine agricole. Rapport final 13

14 3.2 PATRIMOINE, OUVRAGES ET RESEAUX Les données suivantes sont issues des études antérieures réalisées (Schéma Directeur d Alimentation en Eau Potable de la commune de Saint-Théoffrey, Etude diagnostique du réseau AEP de la commune de Laffrey), de nos visites de site et des entretiens effectués avec les représentants des collectivités. Ces données sont complétées en annexe par le plan des réseaux structurants d eau potable de chacune des communes (hormis Saint- Théoffrey), le schéma altimétrique associé et des fiches-ouvrages décrivant de manière plus précise certains ouvrages composant leur système d alimentation en eau potable (captages, réservoirs, stations de pompage, unités de traitement) Commune de Cholonge Les ouvrages de production Un distingue les ouvrages de production suivants : le captage de Cholonge : Il capte les eaux brutes provenant des sources de Claudi et Ruelle. Il dessert le bourg principal de Cholonge via le réservoir de Cholonge. Ce dernier est équipé d une unité de traitement des eaux brutes par Ultra Violets qui n est plus utilisée. On note la présence d un comptage en entrée du réservoir qui servait à l asservissement du traitement. Le trop-plein du réservoir est mal défini : les eaux supplémentaires sont évacuées par un orifice au travers de la paroi du réservoir et stagnent plus ou moins au pied de l ouvrage. le captage de la Coirelle : Il assure actuellement l alimentation du hameau de la Coirelle via un réservoir de 1 m 3. Une interconnexion existe avec le bourg de Cholonge. L eau captée est distribuée sans traitement. le forage du Terroir : Ce captage, connecté à la conduite reliant Coirelle au bourg, alimente en appoint, notamment en période d affluence touristique estivale, le bourg de Cholonge. L eau captée est distribuée sans traitement. le captage de Josserands/Bergogne : Ce captage alimente les hameaux de Bergogne et Josserands. L eau captée est distribuée sans traitement. Ce captage est insuffisant en période d affluence touristique estivale, si bien que les hameaux Bergogne et Josserands sont alors alimentés en appoint par les ressources citées ci-dessus via une interconnexion avec le réseau du bourg de Cholonge. Rapport final 14

15 Les ouvrages de stockage Les réservoirs sont présentés dans le tableau suivant : Site Radier (m NGF*) Trop plein (m NGF*) Nombre de cuves Capacité totale (réserve incendie) (m 3 ) Télésurveillance Coirelle (4) non Cholonge () non Josserands/Bergogne ,1 1 1 (45) non TOTAL 3 3 (85) * les cotes NGF sont indicatives Les réservoirs sont nettoyés et désinfectés une fois par an. Notons que le réservoir de Josserands/Bergogne dispose d une réserve incendie théorique de 45 m³ environ, mais que ce volume est en pratique distribuée aux abonnés. La capacité totale de stockage sur la commune représente les besoins de 1.9 journées de consommation moyenne et de 1,5 journées de consommation de pointe. Ces durées peuvent être augmentées en limitant la consommation des fontaines, d où une certaine sécurisation de l alimentation en eau potable de la commune en cas de perte d une ressource. Les ouvrages de pompage Aucun pompage n est signalé sur la commune, à l exception du forage du Terroir dont le débit nominal est de 14 m³/h. Les canalisations Le linéaire total de canalisations composant le réseau d alimentation en eau potable de la commune est de 9 8 ml environ dont 6 8 ml de réseau de distribution. La répartition selon le type de matériaux est la suivante : matériau linéaire (ml) pourcentage Fonte 363 4% PVC % inconnu % La répartition selon le diamètre des canalisations est la suivante : diamètre linéaire (ml) pourcentage inconnu % 5 7 1% % % % % % Rapport final 15

16 Les équipements de réseau Le principal organe hydraulique du réseau est une vanne d interconnexion entre le réseau du secteur du bourg de Cholonge et le réseau alimentant le réservoir de Josserands/Bergogne. Cette vanne est manipulée le cas échéant pour palier des déficiences d eau sur la branche aval (Josserands/Bergogne). Trois fontaines sont également alimentées par le réseau d eau potable de la commune. Elles sont équipées de robinet d arrêt. En position ouverte, leur consommation journalière totale est estimée à 16 m³/j selon les jaugeages réalisés le 6/8/21 : fontaines de la rue principale en direction de Coirelle : 7 m³/j, fontaine de l église : 9 m³/j. Les branchements en plomb Aucune donnée n a été fournie par la collectivité. Par obligation légale, l ensemble des branchements en plomb doit être remplacé avant le 31/12/213. Les compteurs Chaque abonné est équipé d un compteur individuel mais aucune donnée précise (âge, type) sur le parc de compteurs n a été fournie par la collectivité. Par ailleurs, un compteur général équipe la conduite d adduction du réservoir de Cholonge. Rapport final 16

17 3.2.2 Commune de Laffrey Les ouvrages de production On distingue les ouvrages de production suivants : le captage du Lac : L ouvrage de captage est implanté en bordure nord-ouest du lac au lieu-dit «Les Grandes Saignes» à une altitude proche de 895 m. Il est composé de trois entités : la prise d eau : il s agit d une conduite en acier/pehd de diamètre 8 mm d une longueur de 1 m environ, fixée au fond du lac à une profondeur proche de 15 m et équipée d une crépine ; le dispositif de pompage comprenant deux pompes Flygt de débit nominal 15-4 m3/h pour une HMT de 47,2 m ; d une pompe doseuse à javel (Prominent Gamma L,59 L/h), récente et en bon état, permettant l injection de chlore dans l eau pompée ; cette installation de désinfection dispose d un asservissement au débit via une tête émettrice installée sur le compteur équipant la conduite d adduction. Le démarrage des groupes de pompage est asservi au niveau du bassin de trop-plein du réservoir des Aragniers, mais ne se produit que la nuit afin de permettre un certain marnage du réservoir et de bénéficier de tarifs électriques préférentiels. Le captage du lac alimente le réseau de Laffrey Village uniquement de juin à octobre, période où les besoins en eau potable sont plus importants (haute saison touristique). Le forage du Plat : Ce forage, réalisé entre 1972 et 1974, se situe au lieu-dit «le Plat» à 98 m d altitude le long de la route reliant le hameau des Allards et le hameau des Bigeards. L ouvrage comprend un tube en acier de diamètre 55 mm et d une profondeur de 1 m. La production est assurée par deux pompes immergées fonctionnant en alternance dont le débit est proche de 1 m³/h. L eau produite alimente le réservoir du Plat d où elle distribuée sans traitement. Le captage du Canier : La source du Canier est captée au lieu-dit «Le Plaina» à une altitude proche de 1 2 m. Il s agit d un ouvrage maçonné de dimensions 2,5 x 1,5 m en bon état, dans lequel un drain de diamètre 15 mm achemine les eaux vers un bac de décantation. Celles-ci sont ensuite exploitées par le biais d une conduite de départ équipée d une vanne et distribuées sans traitement. La source du Canier constitue la ressource prioritaire de la commune en hiver. Lorsque son débit le permet, elle alimente en distribution l ensemble de la commune. Quand le débit baisse et/ou que la demande en distribution augmente, un robinet flotteur déclenche le pompage dans le forage du Plat. Rapport final 17

18 Les ouvrages de stockage Les réservoirs sont présentés dans le tableau suivant : Site Radier (m NGF*) Trop plein (m NGF*) Nombre de cuves Capacité totale (réserve incendie)(m 3 ) Télésurveillance Le Plat 1 1 nc 1 3 (12) non Les Aragniers 935 nc 1 14 () non TOTAL 2 44 (12) * les cotes NGF sont indicatives Le nettoyage annuel des réservoirs induit une consommation totale de 35 m³ environ. La capacité totale de stockage sur la commune représente les besoins de 1.2 journées de consommation moyenne et de 1 journée de consommation de pointe, d où une certaine sécurisation de l alimentation en eau potable de la commune en cas de perte d une ressource. Les ouvrages de pompage Les ouvrages de pompage recensés sur la commune sont décrits ci-dessus ( Ouvrages de production). Les canalisations Le linéaire total de canalisations composant le réseau d alimentation en eau potable de la commune est de 7 78 ml dont 7 32 ml de réseau de distribution (ou adductiondistribution). La répartition selon le type de matériaux est la suivante : matériau linéaire (ml) pourcentage Fonte/acier % PVC % inconnu % La répartition selon le diamètre des canalisations est la suivante : Diamètre (mm) linéaire (ml) pourcentage inconnu 3 38% % % % 817 % % Notons l ancienneté importante du réseau principal implanté sous la RN 85. Rapport final 18

19 Les équipements de réseau D après l étude diagnostique de 29, le repérage du réseau de distribution d eau potable de Laffrey a permis l identification des ouvrages suivants : 31 vannes de sectionnement, 6 vannes de vidange, 2 ventouses, 2 réducteurs de pression. D une manière générale, les éléments du réseau sont en bon état. Une fontaine à bouton poussoir est identifiée sur la commune mais sa consommation est négligeable. Les branchements en plomb Aucune donnée n a été fournie par la collectivité. L étude diagnostique de 29 préconise le recensement des branchements en plomb encore présent sur le territoire communal et la constitution d un programme de remplacement de ces branchements. Par obligation légale, l ensemble des branchements en plomb doit être remplacé avant le 31/12/213. Les compteurs On compte 2 compteurs de production au niveau du forage du Plat et de la station du Lac, ainsi que 2 compteurs généraux de type Woltex DN1 situés sur les secteurs des Allards et des Vittiaz. Chaque abonné est équipé d un compteur individuel mais aucune donnée précise (âge, type) sur le parc de compteurs n a été fournie par la collectivité. Toutefois, d après l étude diagnostique de 29, un inventaire des compteurs existe. Il conviendra de le compléter avec toutes les données utiles. La durée de vie d un compteur est de 15 ans environ. Un renouvellement progressif des compteurs devra être programmé, avec une cadence de 21 compteurs par an selon l étude diagnostique de 29. On notera que certaines consommations importantes ne sont pas comptabilisées. Il s agit notamment des consommations : du camping municipal, de la Mairie, de l école, des WC publics, du cimetière. L ensemble de ces consommations non mesurées est estimé à environ 3 m 3 par an. Rapport final 19

20 3.2.3 Commune de Saint-Théoffrey Les ouvrages de production La ressource unique est constituée par le captage de la Combe de l Oche. On notera que, jusqu en 1994, ce site comptait deux ouvrages de captage. Le captage le plus à l amont a été abandonné depuis, suite à des problèmes liés à la relation directe entre ce captage et le ruisseau. Cette relation, mise en évidence par des traçages hydrogéologiques, était à l origine de problèmes de qualité des eaux. Les ouvrages de stockage La commune de Saint-Théoffrey dispose d un réservoir : le réservoir des Berlioux dont les caractéristiques principales sont présentées dans le tableau suivant : Site Radier (m NGF*) Trop plein (m NGF*) Nombre de cuves Capacité totale (réserve incendie)(m 3 ) Télésurveillance Les Berlioux (1) Asservissement de la station de pompage des Gonthéaumes * les cotes NGF sont indicatives On notera également l existence de la bâche de pompage des Gonthéaumes. L entretien de ces ouvrages est assuré par VEOLIA EAU dans le cadre d un contrat de prestations. La capacité totale de stockage sur la commune représente les besoins de.5 journées de consommation moyenne et de.4 journées de consommation de pointe sur toute la commune. Mais le réservoir des Berlioux ne subvient qu aux besoins des secteurs des Berlioux et des Gonthéaumes et l autonomie du réservoir est alors supérieure à 24 heures en période de pointe. L unité de distribution du tour du lac est dépourvue de réserve dédiée, d où une sécurisation nulle de l alimentation en eau potable en cas de perte de la ressource. Les ouvrages de pompage La station de pompage des Gonthéaumes, opérationnelle depuis 26 comprend 2 pompes de 12 m 3 /h qui assurent le refoulement de l eau vers le réservoir des Berlioux. Le démarrage des pompes est asservi au niveau du réservoir par un système de flotteurs. Rapport final 2

21 Les canalisations Le linéaire total de canalisations composant le réseau d alimentation en eau potable de la commune est de ml (distribution, adduction-distribution, refoulement-distribution). La répartition selon le matériau des canalisations est la suivante : matériau (mm) linéaire (ml) pourcentage inconnu 6 5% PEHD 6 5% PVC 9 7% fonte % Une grande majorité du réseau est constituée de canalisations en fonte DN6 et DN 8 mm. La répartition selon le diamètre des canalisations est la suivante : Diamètre (mm) linéaire (ml) pourcentage inconnu 6 5% 3 2 2% 6/ % % % % % Les canalisations n ont fait l objet d aucun renouvellement et atteignent pour la majorité l âge de 6 ans (et même 8 ans). Le refoulement des Gonthéaumes a été mis en place en 198. Les équipements de réseau On note la présence d un appareil de régulation sur le réseau communal. De marque Bayard, cet élément, même s il est encore en état de fonctionnement, n a été l objet d aucun entretien particulier et régulier depuis sa mise en place (3 ans). Son renouvellement sera donc à prévoir. Plusieurs fontaines sont également dénombrées sur la commune. Les branchements en plomb Une quinzaine de branchements en plomb sont recensés par la commune. Par obligation légale, l ensemble des branchements en plomb doit être remplacé avant le 31/12/213. Les compteurs Il existe 3 compteurs généraux permettant de suivre les débits distribués. Ils ont tous été installés ou remplacés en 29. Un comptage des volumes refoulés depuis la station de pompage vers le réservoir des Berlioux a également été mis en place en 26. Chaque abonné est équipé d un compteur individuel mais aucune donnée précise (âge, type) sur le parc de compteurs n a été fournie par la collectivité. Il n existe pas de gestion du parc de compteurs «abonnés» sur la commune. La durée de vie d un compteur est de 15 ans environ. Un renouvellement progressif des compteurs devra être programmé, avec une cadence de 3 compteurs par an selon le Schéma Directeur de 21. Rapport final 21

22 3.3 CAMPAGNES DE MESURES Deux campagnes de mesures ont été réalisées dans le but de compléter les informations et données collectées lors de la phase 1 de l étude : campagne de mesures en période de forte consommation (juillet-août 21) : l objectif est la connaissance du fonctionnement des installations en période de forte consommation. sectorisation nocturne des fuites (octobre 21) : l objectif est la localisation des principaux secteurs de fuites afin de permettre une hiérarchisation des travaux de renouvellement des canalisations. Des campagnes de mesures ayant été récemment menées sur les communes de Laffrey et Saint-Théoffrey, les mesures réalisées dans le cadre de la présente étude n ont concerné que la commune de Cholonge Campagne de mesures en période de forte consommation Les mesures réalisées ont été de deux types : mesures de débit en continu (entrées/sorties du réseau, pompage, sectorisation) par enregistrement de compteur équipé de tête émettrice, mesures de niveau d eau en continu dans les réservoirs à l aide de sondes piézométriques. Le tableau suivant liste ces différents points de mesure : Point Commune Lieu Donnée mesurée Date de pose Date de dépose CH1 Cholonge Réservoir La Coirelle Niveau réservoir 6/8/21 19/8/21 CH2 Cholonge Entrée Réservoir Cholonge Compteur 6/8/21 19/8/21 CH3 Cholonge Réservoir Cholonge Niveau réservoir 6/8/21 19/8/21 CH4 Cholonge Réservoir Bergogne & Josserands Niveau réservoir 6/8/21 19/8/21 L analyse des débits et marnages mesurés permet d avoir une image globale des consommations pendant la période estivale et d en déduire : le coefficient de pointe journalier, les pertes par analyse du débit minimal nocturne en tenant compte du débit des fontaines (jaugées pendant la période de mesure). Le tableau et les graphiques suivants présentent les résultats des mesures : Commune Unité de distribution débit horaire maximal (m³/h) débit journalier maximal (m³/j) débit moyen (m³/j) débit minimal nocturne (m³/h) débit des fontaines (m³/h) ratio / rendement coefficient de pointe journalier Qmaxh Qmaxj Qm Qnoct Qfont [Qm-(Qnoct-Qfont) ] / Qm Qmaxj/Qm Cholonge Village Rapport final 22

23 Cholonge - Réservoir de Cholonge Débit (m 3 /h) Hauteur d'eau (cm) /8/21 : 1/8/21 : 12/8/21 : 14/8/21 : 16/8/21 : 18/8/21 : Débit adduction Hauteur Cholonge - Réservoir de Cholonge Débit (m 3 /h) Hauteur d'eau (cm) /8/21 : 1/8/21 6: 1/8/21 12: 1/8/21 18: /8/21 : /8/21 6: /8/21 12: /8/21 18: 12/8/21 : 12/8/21 6: 12/8/21 12: 12/8/21 18: 13/8/21 : Débit distribué Hauteur Dans l ensemble, la consommation domestique est caractérisée par une première pointe de consommation étalée le matin entre 8h et h, et une deuxième pointe le soir entre 18h et 22h, avec une baisse du niveau d eau des réservoirs, plus particulièrement perceptible pour le réservoir de Cholonge (le marnage des autres réservoirs est faible). La consommation domestique est par ailleurs quasi nulle la nuit, ce qui se traduit notamment par une augmentation du niveau d eau dans le réservoir de Cholonge. Rapport final 23

24 Le profil de consommation est composé d une part fixe représentant les pertes en réseau, et d une part variable liée aux consommations domestiques et communales instantanées. La consommation domestique étant quasi nulle la nuit et la consommation communale étant théoriquement réduite la nuit à la consommation des fontaines, le taux de pertes peut être évalué par le ratio entre le débit nocturne et le débit moyen journalier, et permet d estimer dans ce cas le rendement du réseau de distribution sur la période considérée. Le marnage faible des réservoirs de Coirelle et Bergogne/Josserands et l impossibilité de suivre les variations des débits de trop-plein n ont pas permis d évaluer le taux de pertes sur les secteurs de distribution correspondants. Le marnage du réservoir de Cholonge atteste par ailleurs de l insuffisance des ressources de Claudi et Ruelle et Bergogne / Josserands pour satisfaire aux besoins puisqu on constate sa vidange rapide (4 jours) avant son nécessaire remplissage à l aide du forage du Terroir. Ces différents résultats ont permis d ajuster les bilans établis en phase 1 et présentés dans le paragraphe Sectorisation nocturne des fuites En l absence de compteurs généraux à Cholonge, la sectorisation nocturne a été menée à l aide de prélocalisateurs (type Permalog 3 d Hydreka) installés sur des points d accès au réseau (bouches à clé), les fontaines ayant été au préalable fermées. Ces mesures ont permis d indiquer la présence de fuite ou non sur un tronçon (de longueur maximale 3 m et centré sur le prélocalisateur). Une fuite génère un bruit constant et répétitif. Le niveau (nv) correspond à la valeur la plus fréquemment mesurée et la largeur (lg) correspond à la différence entre la valeur de bruit la plus élevée et la moins élevée. La fuite est caractérisée par une largeur de bruit faible et un niveau qui sera fonction du matériau de la canalisation ainsi que de la distance Prélocalisateur - Fuite. L analyse unique du niveau de bruit n est pas suffisante pour conclure à l existence d une fuite. Le prélocalisateur permet dans un premier temps d interpréter le niveau et la largeur selon un algorithme spécifique pour aboutir au message "Fuite" ou "Non fuite", supprimant ainsi toute interprétation ultérieure. Une nuit est donc suffisante pour prélocaliser des fuites et engager une recherche de fuite (Corrélation ou écoute au sol). Après la deuxième nuit, le prélocalisateur va effectuer son analyse et son interprétation. Il va comparer ses données avec les résultats de la nuit précédente, validant ou non la cohérence du résultat. Cette fonctionnalité a pour effet d augmenter nettement la probabilité de prélocaliser une fuite, en éliminant les phénomènes transitoires (tirages ponctuels) de la nuit précédente. Au final, on dénombre 24 ml de tronçons fuyards à Cholonge, soit 6 % environ des tronçons étudiés, ce qui atteste d un bon état général des conduites concernées. Les résultats de la sectorisation nocturne sont présentés en annexe n 6 sous forme cartographique. Les tronçons fuyards y sont repérés et seront traités prioritairement lors de recherches précises de fuites que la commune pourrait engager ultérieurement. Rapport final 24

25 3.4 ANALYSE DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION Production - Besoins Le bilan de la production d eau potable a été établi sur la base des données fournies par les communes (synthèse des rôles des eaux 23 à 29 de la commune de Cholonge, schéma directeur ou études diagnostiques réalisés antérieurement pour les communes de Laffrey et Saint-Théoffrey) et des mesures réalisées pendant l été 21. Le tableau suivant présente pour chaque commune et pour l année 29 (28 pour Laffrey) : le volume d eau brute utilisée avant traitement, le volume d eau traitée produite et le rendement hydraulique déduit, les volumes exporté et importé, le volume mis en distribution, le besoin annuel, le coefficient de pointe global évalué par rapport aux variations saisonnières et journalières des besoins, sachant que seules la consommation des abonnés et la consommation communale (hors fontaines) sont concernées par ces variations (coefficient de pointe saisonnier retenu = 1.7 et coefficient de pointe journalier retenu = 1.2), le besoin journalier de pointe. commune volume brut avant traitement (m³/an) volume produit (m³/an) rendement hydraulique volume exporté (m³/an) volume importé (m³/an) volume mis en distribution (m³/an) coefficient de pointe global besoin annuel (m³/an) besoin de pointe (m³/j) a b c=b/a d e f=b-d+e g h=f/c i=g*h/365 CHOLONGE LAFFREY SAINT-THEOFFREY En l absence de comptage sur les volumes produits et/ou distribués, les valeurs indiquées sont des estimations basées sur les résultats de campagnes de mesures (28-29 pour les communes de Laffrey et Saint-Théoffrey et été 21 pour la commune de Cholonge). Pour la commune de Cholonge, l hypothèse d un rendement du réseau de distribution égal au rendement mesuré en août 21 a été retenue afin d évaluer les besoins. En outre, le besoin de pointe de la commune de Cholonge a été estimé en considérant la consommation des fontaines comme nulle. Rapport final 25

26 Par ailleurs, l évolution des besoins en eaux brutes pour les communes du secteur d étude suit l évolution de la consommation des abonnés (les pertes et volumes consommés par les fontaines étant considérés comme constants) de la façon suivante : commune consommation annuelle des abonnés (m³/an) variation annuelle moyenne CHOLONGE % LAFFREY % SAINT-THEOFFREY L augmentation des besoins en eau de la commune de Cholonge est liée à son évolution démographique (forte augmentation de la population). La population de Laffrey augmente également mais les besoins en eau ont tendance à diminuer depuis quelques années. Aucun historique des consommations des abonnés de la commune de Saint-Théoffrey n a été fourni par la collectivité. Et la consommation de 29 reste une estimation Volumes et structure de la consommation Le bilan de la consommation d eau potable a été établi sur la base des données fournies par les communes (synthèse du rôle des eaux 29 de la commune de Cholonge, schéma directeur ou études diagnostiques réalisés antérieurement pour les communes de Laffrey et Saint-Théoffrey) et des mesures réalisées pendant l été 21 Les tableaux suivants présentent pour chaque commune et pour l année 29 (28 pour Laffrey) : le volume mis en distribution à partir des ouvrages de production, le volume d eau consommé et facturé aux abonnés sans distinction du type de consommation ; pour la commune de Saint-Théoffrey, le volume facturé est une estimation établie à partir des données du schéma directeur de 21 issues de mesures en période de pointe ; le volume d eau consommé et non comptabilisé avec distinction du type de consommation (communale, agricole, grosse consommation) ; par défaut, la consommation communale (mairies, écoles, salles de sport, salles de fête, arrosage, nettoyage des réservoirs) est estimée à 2 m³/an/abonné ; le volume consommé autorisé qui somme les volumes facturés et les volumes non comptabilisés, le volume de pertes dans le réseau de distribution, qui correspond au volume des fuites et des consommations non correctement estimées (défaut de comptage), les volumes journaliers consommés en moyenne et en pointe (y compris les consommations communales), Rapport final 26

27 le coefficient de pointe saisonnière et journalière de consommation et qui ne s applique qu aux consommations domestiques et communales (hors fontaines) ; ce coefficient est le produit du coefficient de pointe saisonnier retenu (1.7) et du coefficient de pointe journalier retenu (1.2), le volume journalier moyen consommé par abonné. commune volume mis en distribution (m³/an) volume total facturé (m³/an) total consommation domestique nombre abonnés volume non comptabilisé (m³/an) volume consommé (m³/an) consommation communale hors fontaines (m³/an) consommation des fontaines (m³/an) consommation agricole (m³/an) volume consommé autorisé (m³/an) a b c=d+e+f+g d' d e f g h=b+c i=a-h CHOLONGE LAFFREY SAINT-THEOFFREY pertes (m³/an) commune volume consommé autorisé (m³/an) volume journalier moyen consommé (m³/j) coefficient de pointe volume journalier consommé en pointe hors fontaines (m³/j) volume journalier moyen consommé / abonné (L/j/abonné) h=b+c i=h/365 j k=((b+e)*j+g) /365 l=i/d' CHOLONGE LAFFREY SAINT-THEOFFREY Le volume journalier moyen consommé par un abonné intègre les consommations communales (y compris fontaines). Ce ratio est élevé pour la commune de Laffrey malgré le faible volume consommé par la commune car deux gros consommateurs (résidences hôtelières) sont identifiés sur la commune et représentent 1 % de la consommation totale facturée. On peut noter également que les volumes consommés par la commune de Cholonge incluent un volume annuel de l ordre de 1 4 m 3 imputable aux activités agricoles d élevage citées plus haut. Aucun gros consommateur n est identifié sur la commune de Saint-Théoffrey. 8% de la consommation totale est réalisée dans l unité de distribution du tour du lac. Rapport final 27

28 3.4.3 Indicateurs de fonctionnement du réseau Dans le cadre d une stratégie de développement durable, le législateur a défini, dans le décret du 2 mai 27 pris pour l application de l article L et modifiant les annexes V et VI du code général des collectivités territoriales et l arrêté du 2 mai 27 relatif aux rapports annuels sur le prix et la qualité des services publics d eau potable et d assainissement, des indicateurs pour évaluer les services publics d eau potable et d assainissement collectif Définition des termes utilisés pour caractériser un réseau d eau potable Volume produit : c est le volume issu des ouvrages de production du service pour être introduit dans le réseau de distribution, Volume importé : c est le volume d eau acheté à un service d eau extérieur à la collectivité, D où la définition du Volume introduit : Volume introduit = Volume produit + Volume importé Volume exporté : c est le volume d eau potable livré à un service d eau extérieur à la collectivité, D où la définition du Volume mis en distribution : Volume mis en distribution = Volume introduit Volume exporté Volume comptabilisé : c est le volume résultant des relevés des compteurs des abonnés, Volume consommateurs sans comptage : c est le volume utilisé par les abonnés ou les établissements dépourvus d un système de comptage : mairie, école, salle de fêtes, WC public, terrains de sport, terrain de foot, ce volume est estimé et doit normalement être égal à zéro. Volume de service du réseau : c est le volume utilisé pour l exploitation du réseau de distribution (nettoyage des réservoirs, vidanges, purges, ), D où la définition du Volume consommé autorisé : Vol. consommé autorisé = Vol. comptabilisé + Vol. ss comptage +Vol. de service, Volume de fuites : c est le volume de l ensemble des pertes observées sur le réseau. D où la définition du Volume de fuites : Vol. de fuites = Vol. comptabilisé + Vol. consommateurs sans comptage + Vol. de service du réseau Vol. mis en distribution Rapport final 28

29 A partir des valeurs des paramètres explicités ci-dessus, on calcule le rendement primaire du réseau (%), le rendement du réseau de distribution (%), l indice linéaire de consommation, l indice linéaire des volumes non comptés et l indice linéaire de pertes en réseau. Le rendement primaire du réseau de distribution (%) : R = [Volume comptabilisé ] / (Volume mis en distribution )] Le rendement du réseau de distribution (%) : R = [Volume consommé autorisé + Volume exporté] / (Volume produit + Volume importé )] l Indice Linéaire de Consommation d Eau potable ou ILC exprimé en m 3 /j/km : L ILC est le volume annuel consommé ou vendu aux abonnés rapporté à la journée et au km de réseau Cet indice permet de caractériser le type de réseau d alimentation en eau potable, la grille d appréciation figure dans le tableau ci-dessous. Type de réseau ILC (m 3 /j/km) Rural < 1 Semi-rural < 3 Urbain > 3 L indice linéaire des volumes non comptés (ILV) ou Indice Linéaire de Perte Primaire (m 3 /j/km) : Indice linéaire des volumes non comptés = [Volume mis en distribution Volume comptabilisé] / (365*Linéaire de réseau de desserte km ) Cet indice est appelé aussi communément indice linéaire de pertes et d eau consommée non comptée. Indice linéaire de pertes en réseau (m 3 /j/km) ou Indice Linéaire de Perte net : ILP = [Volume mis en distribution Volume consommé autorisé] / (365*linéaire de réseau de desserte km ) Nota : Le linéaire de canalisation ne prend pas en compte la longueur des branchements. Cet indice permet de traduire la notion d efficience du réseau, puisqu il compare la totalité de l eau utilisée avec celle introduite dans le réseau. Rapport final 29

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