ANNEXE 2 EAP FRMFR CREAP UNREP LES CINQ MISSIONS

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1 ANNEXE 2 ÉLÉMENTS DE RÉFLEXIONS, RELATIFS AUX DIFFÉRENTES MISSIONS, PROPOSÉS PAR LES QUATRE FAMILLES DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE EN AMONT DE LA PHASE D ÉLABORATION DU PREAB 2005/2009 EAP FRMFR CREAP UNREP LES CINQ MISSIONS - FORMATION INITIALE ET CONTINUE - ANIMATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES - EXPÉRIMENTATION DÉVELOPPEMENT - INSERTION SCOLAIRE, SOCIALE ET PROFESSIONNELLE - COOPÉRATION INTERNATIONALE 1/71

2 SOMMAIRE ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC DE BOURGOGNE... 3 MISSION FORMATION INITIALE ET CONTINUE... 4 L AMONT DU NIVEAU V : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FÉVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON)... 4 L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU V (APPRENTISSAGE COMPRIS) : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FÉVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU IV (APPRENTISSAGE COMPRIS) : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) L OFFRE DE FORMATIONS GÉNÉRALES ET SCIENTIFIQUES : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU III (APPRENTISSAGE COMPRIS) ET LICENCES PROFESSIONNELLES : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) LA FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DES DIRECTEURS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) MISSION ANIMATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES MISSION EXPÉRIMENTATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRE MISSION INSERTION SCOLAIRE, SOCIALE ET PROFESSIONNELLE MISSION COOPERATION INTERNATIONALE FEDERATION REGIONALE DES MAISONS FAMILIALES RURALES MISSION FORMATION INITIALE ET CONTINUE MISSION INSERTION SCOLAIRE, SOCIALE ET PROFESSIONNELLE MISSION EXPÉRIMENTATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRE MISSION ANIMATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES MISSION COOPERATION INTERNATIONALE CREAP UNREP MISSION FORMATION INITIALE ET CONTINUE MISSION INSERTION SCOLAIRE, SOCIALE ET PROFESSIONNELLE MISSION EXPÉRIMENTATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRE MISSION ANIMATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES MISSION COOPERATION INTERNATIONALE /71

3 ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC DE BOURGOGNE 3/71

4 MISSION FORMATION INITIALE ET CONTINUE L AMONT DU NIVEAU V : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FÉVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) Évolution des effectifs 4 ème et 3 ème Secteur Référentiel_formation Remontée Elèves Privé Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire Octobre Octobre Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Technologique Octobre Octobre Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Préparatoire Octobre Octobre Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Technologique Octobre Octobre Cycle orientation collège/clipa Octobre Octobre Public Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Technologique Octobre Octobre Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Technologique Octobre Octobre Cycle orientation collège/cpa Octobre Octobre /71

5 Filière Cycle orientation collège Somme 600 Somme Elèves Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Cycle orientation collège/classe de 3ème/Préparatoire Cycle orientation collège/classe de 3ème/Technologique Cycle orientation collège/classe de 4ème/Préparatoire Cycle orientation collège/classe de 4ème/Technologique Cycle orientation collège/clipa Privé Secteur Référentiel_formation Remontée 5/71

6 Filière Cycle orientation collège Total 180 Somme Elèves Total Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Cycle orientation collège/classe de 3ème/Technologique Cycle orientation collège/classe de 4ème/Technologique Public Secteur Référentiel_formation Remontée Cycle orientation collège/cpa 6/71

7 Évolution de la répartition de l offre entre les différentes composantes de l EA 4 ème, 3 ème préparatoires DEP UAI_élémentaire Référentiel_formation Somme Elèves 21 LPRP de Saulieu Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire 23 Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Préparatoire 13 Total LPRP de Saulieu 36 MFREO d Agencourt Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire 3 Total MFREO d Agencourt 3 Total IPERMA de Saint-Saulge (FS) Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire 50 Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Préparatoire 21 Total IPERMA de Saint-Saulge (FS) 71 Total LPRP «Sainte colombe» à Saint Denis les Sens Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire 31 Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Préparatoire 13 Total LPRP «Sainte colombe» à Saint Denis les Sens 44 MFREO Champeaux de Toucy Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Préparatoire 20 Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Préparatoire 19 Total MFREO Champeaux de Toucy 39 7/71

8 Total Total 193 CLIPPA Seul le privé possède des CLIPPA 33 élèves au LPP de Verosvres Rq : Pas de moyens pour le public pour l ouverture de CLIPPA, CPA Il n y a des CPA que dans les départements 21 et 71. Année 2004 : Référentiel _ formation DEP UAI _ élémentaire Elèves Cycle orientation collège/cpa LEGTA Beaune LEGTA Fontaines 22 LPA du Charolais 20 Total 53 (Pas de moyens sur les CPA). 8/71

9 4 ème, 3 ème technologiques On constate une nette augmentation des effectifs du privé et une diminution des effectifs du public DEP (Tous) Filière (Tous) Total 600 Somme de Elèves Total Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Octobre 2001 Octobre 2004 Privé Public Privé Public Cycle orientation collège/classe de 3ème/Technologique Cycle orientation collège/classe de 4ème/Technologique Référentiel_formation Secteur Remontée 9/71

10 Référentiel_formation Secteur Cycle orientation collège/classe de 3 ème /Technologique Privé Public Remontée Elèves Octobre Octobre Octobre Octobre Cycle orientation collège/classe de 4 ème /Technologique Privé Public Octobre Octobre Octobre Octobre Analyse : L effectif dans le public est en forte diminution. Ceci s explique en partie par la substitution de ces classes contre des classes de niveau supérieur. Les élèves de ces classes demandent plus d encadrement, donc plus de surveillants, avec des problèmes de vie scolaire spécifiques. Ces classes devraient avoir un financement plus élevé pour permettre des dédoublements. Dans le privé : l augmentation des effectifs dans les classes de niveau VI a provoqué l augmentation des effectifs dans les classes de niveau V. Les classes de niveau VI sont un réservoir de recrutement pour les classes de niveau V et IV. 10/71

11 Remarques et interrogations : Les enseignants sont-ils prêts à ré intervenir sur ces classes? Cela demanderait de la formation. La pédagogie y est différente. On observe également un manque d intérêt de l inspection et de l ensemble de l appareil DGER pour ces filières. Ex : Il n existe pas de statistiques régionales pour les brevets des collèges. Il faut être moins rigide sur l appréciation nationale du référentiel et du contenu. Il doit exister une dynamique propre à l établissement. Il faut capter les élèves dès la 4eme (les «exclus» de l EN), Les élèves de niveau VI vont souvent vers l établissement le plus proche. Les familles choisissent l établissement et refuseront d envoyer leur enfant dans un autre. On ne peut donc appliquer un système de carte scolaire. On observe un net déficit dans le secteur public de classes de niveau VI en côte d Or. Cycle collège uniquement à Beaune et Semur (Plombières doit sûrement perdre des élèves de BEPA à cause de cela). L enseignement agricole public, avant d augmenter sa communication, doit améliorer l accompagnement de ses apprenants. Cela demande un travail de suivi important pour l enseignant (ex : courrier aux parents pour les mauvaises notes), et plus de moyens pour la vie scolaire (ex surveillant unique). Cette pratique est courante dans les CFA, moins dans la formation initiale. Il faut individualiser l accompagnement des 4 ème 3 ème. 11/71

12 Niveau_interministériel VI Somme de Elèves DEP Secteur UAI_élémentaire Privé Public Privé Public Privé Public Privé Public Site de Champignelles du LEGTA Auxerre Champ. Site d'auxerre du LEGTA Auxerre Champignelles MFREO du Senonais de Gron MFREO de Villevallier MFREO Champeaux de Toucy LPRP "Sainte colombe" à Saint Denis les Sens LPA du Charolais LEGTA Fontaines MFREO du Charolais-Brionnais d'anzy le Duc MFREO d'etang sur Arroux MFREO de Mazille MFREO "La Retraite" de La Clayette LPP Reine Antier de St Martin en Bresse LPP de Verosvres LEAP de la Bresse à Louhans Site de Cosne du LEGTA Nevers Cosne LPA du Morvan LEGTA du Morvan LHRP du Haut Nivernais de Varzy IPERMA de Saint-Saulge (FS) Site de Semur du LEGTA Semur Châtillon LEGTA Dijon Quétigny LEGTA Beaune MFREO de Sémur en Auxois MFREO de Quétigny MFREO de Granchamp à Ruffey les Beaune MFREO de Baigneux-les-Juifs MFREO de Liernais MFREO d'agencourt LRP Anne Marie Javouhey de Chamblanc LPRP de Saulieu /71

13 L amont du niveau V dans la formation continue Cela reste une priorité. Il faut que tous les CFPPA s y impliquent, ce qui est déjà le cas. Cela peut se faire en partenariat avec le GRETA et l AFPA. C est là aussi un nouveau métier pour certains formateurs. Relation avec les entreprises : En dehors du secteur agricole, les entreprises sont réticentes pour l accueil des 4 ème ou pré qualifications car ils demandent trop de temps, d investissement et ne sont pas très valorisant. Elles préfèrent avoir en stage des Bac pro ou techno qui sont plus indépendants. Par contre nous conservons un fort potentiel de maîtres de stage dans le domaine agricole : c est notre point fort. Nous devons maintenir cet avantage, et réfléchir à la manière de conserver ces maîtres de stage. Remarque : Il est aussi important pour ce public de disposer d exploitations pédagogiques, d ateliers Répartition de l offre Il faut un enseignement de proximité, que ce soit en formation initiale, continue (partenariat avec GRETA et AFPA) ou en apprentissage. Il faut donc mailler le territoire. Il n est pas logique qu il n y ait pas dans le secteur public, de 4 ème 3 ème dans le bassin de Dijon. On doit avoir des réponses de bonne qualité dans l enseignement agricole public pour ce niveau de formation. L amélioration de l accueil implique entre autre une ouverture des établissements le week-end. Il serait souhaitable de réouvrir des classes de 4eme-3eme du public qui ont été fermées assez arbitrairement en Réseaux de compétences : On est jusqu alors très spécialisé agriculture pour nos classes de niveau VI. Il est important de s ouvrir à de nouveaux secteurs. Il faut par exemple développer le secteur service en milieu rural, le secteur machinisme et outillage agricole qui doivent permettre aux élèves de découvrir de nouveaux métiers. Il faut valoriser les 4 ème et 3 ème agricoles. Répartition de l offre public / privé Dans chaque département, il doit y avoir une CPA, même si cela ne donne pas de moyens. 13/71

14 Les classes de niveau VI sont un vivier important de recrutement pour nos classes de BEPA, Bac PRO. L ouverture de classes de 4 ème 3 ème permettrait (ou ont permis) de consolider des établissements fragiles. De plus, il faut améliorer notre partenariat avec l EN, en fournissant par exemple des informations aux collèges sur le devenir de leurs anciens élèves. Il serait également judicieux de passer une convention avec le rectorat. L évolution de l offre L enseignement de niveau VI fait partie de nos missions, il est inscrit au 4 ème schéma national (remédiation, insertion). Le milieu rural voit sa population s appauvrir (revenu moyen deux fois plus faible qu en ville, il concentre de plus en plus des milieux défavorisés qui ont besoin de cet enseignement individualisé, proposant plus d accompagnement). 14/71

15 L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU V (APPRENTISSAGE COMPRIS) : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FÉVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) Remarques générales : (FI = formation initiale scolaire) (App = apprentissage) Le niveau V de l Enseignement Agricole (EA) public compte 1010 élèves en FI (CAP et BEPA). Le nombre est stable depuis 2001 alors que le privé est passé dans le même temps de 1342 à 1418, donc en nette augmentation. Le nombre de CAP est très faible par rapport au BEPA (5%). Le niveau V apprentissage (APP) compte 684 apprentis en 2004 pour 898 en Il a donc subi une baisse importante (22%)tant en CAPA qu en BEPA, cependant moins grande de 2003 à2004. Il n y a que deux formations dans le secteur privé en apprentissage (CAPA IAA et BEPA Canin et Félin). LE CAPA 1- Constats et bilan : Évolution des effectifs Formation initiale : stable mais que deux classes. apprentissage : en baisse, passage de 483 à 335 environ, soit une baisse de 30% en 5 ans. Évolution de l offre entre les différentes composantes de l EA FI : l effectif CAP du privé est presque le double de celui du public, il augmente alors que celui du public baisse très légèrement. Mais ceci est peu représentatif. Le CAPA a plutôt été conduit par apprentissage dans le public. APP : l apprentissage diminue mais semble vouloir se stabiliser autour des 350/380 apprentis. Le CAPA reste plutôt un diplôme d insertion professionnelle (emplois salariés) même si des jeunes poursuivent en BEPA et/ou BP IV (avec les difficultés que cela pose). Évolution de l offre entre les différentes filières : Le métier, par l image qu on en donne, influe sur sa capacité à attirer les jeunes. Certains métiers (industries alimentaires, viticulture) ne font «pas recette» alors que d autres (cheval, aménagement paysager) attirent beaucoup plus. FI : deux filières concernées : tonnelier et SMR (augmentation du SMR) APP : cette variation d effectifs se fait plutôt sentir : - à la baisse dans le secteur de la production agricole (- 39%), viticole (- 40%) et horticole (- 27%) - à la hausse dans le secteur des travaux paysagers (+ 10%). La présence d un tissu conséquent d entreprises est déterminante pour l apprentissage. 15/71

16 Évolution de l offre entre les territoires : FI /APP : plutôt axée sur la filière que sur le territoire. Les secteurs péri-urbains supportent mieux la baisse d effectifs en général. Les secteurs ruraux, du fait du peu de mobilité des jeunes, subissent plus fortement la baisse. Un effort de maillage du territoire permet toutefois d intéresser un maximum de jeunes. Évolution de l offre à l intérieur des réseaux de compétences : FI / APP : La compétence reconnue des établissements est un facteur favorisant une meilleure lisibilité des formations développées, et elle est donc favorable au recrutement. Cependant, dans d autres circonstances (ex. viticulture), elle peut devenir une contrainte au regard de l éloignement de l offre par rapport à la demande des jeunes peu mobiles. 2- Perspectives souhaitées : Évolution des effectifs Les effectifs des CAP, qu ils soient scolaires ou apprentissage, peuvent augmenter car des possibilités existent encore sur les territoires. Un travail en amont, sur les classes de CPA, de CLIPA, de 4 et 3 de l enseignement agricole, peut apporter des effectifs supplémentaires. L information auprès des familles, des entreprises pour l apprentissage, reste un levier à ne pas négliger. Le problème du niveau scolaire des élèves et des apprentis en CAP est bien présent, car ce sont des jeunes souvent en «échec» ou «difficulté» scolaire. Évolution de l offre entre les différentes voies de formation FI. Certaines filières pourraient voir le jour en F.I. scolaire APP. La poursuite du travail sur l accueil et le positionnement des jeunes à l entrée en formation est indispensable. Il y a nécessité de développer des passerelles plus importantes entre les différentes voies de formation dans l EPL. Il y a peut-être également nécessité d envisager l organisation des formations CAPA de manière différente, avec plus d apprentis sur un tronc commun dans le même centre et ensuite ventilation pour les options ou spécialités. Évolution de l offre entre les différentes filières Il faut examiner et développer les filières les plus dépourvues (services par exemple) La notion de complétude d une filière semble importante, pour les parents, en terme de poursuite d études et / ou d insertion professionnelle. Évolution de l offre entre les territoires : Prévoir un maillage du territoire, compte tenu des pertes démographiques conséquentes, notamment sur les filières absentes. 16/71

17 LES BEPA 1- Constats et bilan : Évolution des effectifs : FI : Effectifs stables car on est passé de 2251 en 2001 à 2282 en Sur les quatre dernières années, les effectifs de l enseignement agricole public sont stables (-1%), mais ceux du privé ont augmenté (10%). Nombre de filières : 18 réparties en production/équipement : 11, aménagement : 1, hippique :1, services :4, transformation :1+ APP : Baisse des effectifs, car on est passé de 395 en 2001 à 349 en 2004 (-12%) mais maintien depuis l année Nombre de filières APP : 13 réparties en production/équipement : 6 ;aménagement : 2, hippique : 2 ;services : 2 et transformation : 1. Évolution de l offre entre les différentes voies de formation : FI : Recrutement plus facile qu en CAPA car la formation est plus valorisante C est une sorte de BAC en quatre années. La commission d affectation est un atout. APP : Le diplôme a une connotation scolaire, il est plus difficile à mettre en œuvre que le CAPA. Il s inscrit dans un parcours d accès en bac professionnel en quatre ans. Évolution de l offre entre les différentes filières : FI : Les classes sont moyennement pourvues. APP : Baisse des effectifs dans les filières relevant de la production (-24%). Évolution de l offre à l intérieur des réseaux de compétences : FI : Les formations sont principalement positionnées sur les pôles de compétences des EPL APP : La liaison est moins forte, et le positionnement des formations est plutôt lié aux activités économiques et à la présence des entreprises. L identité du Centre reste cependant encore forte pour les usagers (équestre, travaux paysagers, vigne et vin, etc..). Évolution de l offre entre les territoires : La proximité est également importante Perspectives d avenir : Évolution des effectifs et de l offre entre les différentes composantes de l EA : FI : Augmenter les effectifs Maintenir les moyens en terme de pédagogie différentiée (soutien) 17/71

18 APP : Stabiliser les effectifs, Poursuivre la démarche d accueil, positionnement et insertion des apprentis. Rechercher plus de complémentarité entre la FI et L APP. Évolution de l offre entre les différentes filières : FI et APP : Aller vers les formations sur les services (aux personnes). Les secteurs à développer sont ceux où la PAC n est pas présente. Maintenir l existant dans le secteur production malgré les difficultés rencontrées par ce secteur. Évolution de l offre à l intérieur des réseaux de compétences : FI et APP : Aller vers des champs de compétences nouveaux ( européen, international). Évolution de l offre entre les territoires : FI et APP : Quelle synergie à mettre en œuvre avec l Education Nationale dans l information, dans la formation, dans les compétences de chacun (enseignement général et enseignement technique. Renforcer les moyens de communication pour informer sur les formations que nous développons sur une région. 18/71

19 L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU IV (APPRENTISSAGE COMPRIS) : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) Bac Professionnel 1- Introduction : Le niveau IV regroupe 4 filières : bac pro, bac S, bac techno, BTA. Nous nous sommes essentiellement penchés sur la filière bac pro, puisque le bac S et le bac techno ont été traités par l atelier «les formations générales et scientifiques», et que le BTA «option : commercialisation et services, spécialité : services en milieu rural» sera transformé en bac pro «services en milieu rural» à la rentrée prochaine. 2- Bilan : Évolution des effectifs : bac pro tous secteurs confondus, formation scolaire + apprentissage - augmentation des effectifs : + 5,7% - augmentation du nombre de classes : le ratio : nombre de jeunes par classe a baissé : - 2,4. Évolution de la répartition de l offre entre les différentes composantes de l enseignement agricole : Formation scolaire : public : - diminution des effectifs : - 11% - même nombre de classes : 22 - diminution du ratio élèves/classe : - 2,5. privé temps plein : - peu présent : 2 classes ouvertes - diminution des effectifs : - 21,9% (- 7 élèves) - ratio : 12,5 élèves/classe. MFREO : - forte augmentation des effectifs : + 39% - ouverture de 5 classes - malgré cela le ratio élèves/classe reste faible : 10,9. Apprentissage : - forte augmentation des effectifs : + 17,3% - ouverture de 4 classes - ratio apprentis/classes stable : 13,3 en /71

20 Répartition de l offre entre les différentes voies de formation : Voie de formation 01/02 04/05 Formation scolaire 632 (68,2%) 634 (64,7%) apprentissage 295 (31,8%) 346 (35,3%) total Évolution de l offre de formation entre les différentes options du bac pro : 01/02 Option Spécialité public privé apprentissage total classes effectif ratio classes effectif ratio classes effectif ratio classes effectif ratio PA 6, , , ,0 18, ,6 CGEA PV 2, , , ,0 6, ,8 VV , , ,5 PC , ,5 Total , , ,3 CGEA Agroéquipe , ,8 ment Productio , ,0 ns aquacoles Bioindustries , , ,5 De transformat ion Production , , , ,0 s horticoles et travaux paysagers total , , , ,2 Synthèse pour : Sur 879 jeunes : 58,0% sont en bac pro CGEA (ratio 16,3 jeunes/classe) 28,5% sont en bac pro productions horticoles et travaux paysagers (ratio : 19,6 jeunes/classe) 5,2% sont en bac pro productions aquacoles (ratio : 24,0 jeunes/classe) 4,5% sont en bac pro bio-industries de transformation (ratio : 10,5 jeunes/classe). 20/71

21 Option CGEA 04/05 Spécialité public privé apprentissage total classes effectif ratio classes effectif ratio classes effectif ratio classes effectif ratio PA , , , ,0 PV , , , ,0 VV , , ,3 PC , ,0 Total CGEA , , , ,7 Agroéquipemen , , ,7 t Productions , ,5 aquacoles Bio-industries De transformation , ,5 Productions horticoles et travaux paysagers Gestion et conduite des chantiers forestiers Technicien vente et conseil-qualité en produits alimentaires , , , , , , , ,5 Conduite et , ,0 gestion de l élevage canin et félin Technicien , ,0 vente et conseil-qualité en vins et spiritueux Technicienconseil , ,0 vente en animalerie total , , , ,8 21/71

22 Synthèse pour : Sur 980 jeunes : 48,2% sont en bac pro CGEA (ratio 15,7) 28,3% sont en bac pro productions horticoles et travaux paysagers (ratio : 17,3) 4,5% sont en bac pro conduite et gestion de l élevage canin et félin (ratio : 22,0) 4,4% sont en bac pro productions aquacoles (ratio : 21,5) Conclusions : Au cours des 4 dernières années, les effectifs et le nombre de classes en bac professionnel ont augmenté en particulier en formation scolaire privée (+8 classes, +56 élèves) et par apprentissage (+ 4 classes, + 51 apprentis) par contre le ratio : nombre de jeunes par classe a baissé : -2,4. L option conduite et gestion de l exploitation agricole (CGEA) reste la plus représentée (48,2% des effectifs en ) avec productions horticoles et travaux paysagers (28,3%). Dans le secteur de la production, l offre de formation semble suffisante et bien territorialisée. 3- Perspectives : La transformation du BTA option commercialisation et services «spécialité services en milieu rural» en bac pro option services en milieu rural va augmenter le nombre de classes et les effectifs en bac professionnel. Pour le bac pro CGEA, il faut assurer une couverture territoriale mais pas renforcer l offre de formation. Il serait sans doute nécessaire de mener une enquête précise sur le devenir des bacs professionnels : vie active, poursuite d études pour savoir s il faut continuer à ouvrir des classes : par quelle voie de formation et pour quels métiers? Etablir une carte des fermetures et des ouvertures. 22/71

23 L OFFRE DE FORMATIONS GÉNÉRALES ET SCIENTIFIQUES : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) Forces : - assez bonne résistance au niveau du recrutement en seconde - le recrutement des jeunes filles en seconde et S est positif - la présence d une filière S favorise le recrutement en seconde Faiblesses : - les classes à faible effectif (autour de 11 ) créent des difficultés - risque de voir les enseignement de détermination et optionnels diminués - difficultés accrues pour le recrutement en seconde, dans certains établissements alors que pour d autres la force des ces classes s affirme Opportunités : - valoriser les zones péri-urbaines pour le recrutement - renforcer la filière S qui est confortée par les orientations du MAP - valoriser l enseignement de l écologie dans le cadre de la filière S - valoriser l évolution du bac STAE et gérer son implantation territoriale de façon cohérente Nécessité : - conforter la réorientation en fin de classe de seconde, assurer une solution à tous les publics - maintenir la couverture du territoire avec une offre en bacs techno et bacs scientifique - avoir une stratégie cohérente entre EPL - développer l accès à l enseignement supérieur en affirmant que la place de l écologie est forte - renforcer les enseignements de détermination en seconde - valoriser les moyens des établissements référents et les renforcer - renforcer le partenariat avec l Education nationale en particulier dans le cadre des besoins péri-urbains 23/71

24 L OFFRE DE FORMATION INITIALE DE NIVEAU III (APPRENTISSAGE COMPRIS) ET LICENCES PROFESSIONNELLES : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) secteurs établissement s EPL Beaune classes BTSA viticulture-oenologie ( dont 1 classe en apprentissage) Effectifs stabilisés aussi bien en 2 ans qu en 1 an. Ouverture positive d une filière apprentissage. BTSA Viti - oeno BTSA Technico Commercial Boissons Vins et Spiritueux Légère baisse des effectifs particulièrement sur la filière en 1 an EPL Macon- DAVAYE BTSA viticulture-oenologie BTSA Technico Commercial Boissons Vins et Spiritueux (TC VS) Forte baisse en 2003 confirmée en A noter l ouverture d un BTSA apprentissage à Belleville ( Rhône- Alpes mais territoire de proximité et zône de recrutement partagée) Difficulté de recrutement 24/71

25 secteurs établissement s EPL FONTAINES classes BTSA Productions Animales (dont 1 classe en apprentissage) BTSA Technologies Végétales (dont 1 classe en apprentissage) BTSA ACSE ACSE : stabilité. PA : filière apprentissage dynamique avec doublement de l effectif. PV et ACSE: bonne dynamique BTSA Production agricole LEGTA Cosne-Nevers site de NEVERS BTSA ACSE BTSA Productions Animales ACSE : mauvaise rentrée PA : bon recrutement 2004 : apport de l image «cheval». PA ; TV ; ACSE ; Aquaculture EPL Auxerre ( Terres de l Yonne) BTSA Technologies Végétales Protection des cultures BTSA Analyse et Conduite des Systèmes d Exploitation (ACSE) ACSE : rentrée 2004 difficile. TV : forte baisse; difficultés au niveau nationale sur cette filière. EPL QUETIGNY BTSA Productions Végétales agro système culture PV : décrochement en 2004 ; EPL Château- Chinon MFR FAUVERNEY BTSA Production Aquacole Filière ouverte en 2001 : en équilibre ; bon recrutement 2004 BTSA ACSE secteurs BTSA IAA Transformati on; ANABIOTEC établissement s EPL Plombières les Dijon EPL des Terres de l Yonne Auxerre classes BTSA IAA BTSA Anabiotec (Apprentissage) BTSA Anabiotec IAA a décroché en effectifs en 2004 alors que le phénomène existe depuis plusieurs années au niveau national. La proximité de la capitale régionale permet de mieux résister. Ce BTS a toute sa légitimité mais vigilance. Anabiotec, en apprentissage, stabilisé à un bon niveau. Après une baisse des effectifs en 2002, on note une stabilisation du recrutement. Parmi les effectifs les bacs techno sont en augmentation ; les bacs S sont minoritaires. 25/71

26 secteurs AMENAGEMENTS PAYSA- GERS établissement s EPL de QUETIGNY MFR GRON classes BTSA Aménagement Paysagers BTSA Aménagement Paysagers Démarrage dans de bonnes conditions: contractualisée à 25 formations. Reste sur un faible recrutement ; moins de 15 par promotion. GEMEAU EPL Tournus EPL NEVERS CHALLUY BTSA Aménagement Paysagers (Apprentissage) BTSA GEMEAU Bon recrutement Léger tassement mais reste à un niveau acceptable; c est la seule formation en Bourgogne. Le BTS «Métiers de l eau» à COSNE/LOIRE est concurrent Une réflexion s impose sur : - le BTSA TV : ne faudrait-il pas regrouper les spécialités «Agronomie et Systèmes de Culture» et «Protection des Cultures» dans un cycle commun technologies végétales? - le BTSA technico commercial vins et spiritueux : faut-il maintenir ce volume et ce type d offre? Le BTSA alternance fonctionne assez bien malgré des résultats à nuancer particulièrement en ACSE (faible taux de réussite). Cette voie de formation semble pertinente à ce niveau, elle correspond à l attente d une partie du public. Ne faut-il pas rééquilibrer l offre entre apprentissage et FI temps plein? le vivier étant le même. Le fait d avoir de plus en plus de bac prof qui poursuivent en BTSA semble favoriser le choix de l apprentissage. 26/71

27 Licences professionnelles Existante : «Commercialisation des vins» : IUT de Chalon sur Saône ; partenariat avec EPL Beaune et EPL Mâcon-Davayé Prévue à la rentrée 2005 : -«Gestion du patrimoine paysager en milieu urbain» : entre l EPL Dijon-Quétigny et l Université de Bourgogne (Dijon) ; -«Protection de l environnement mention : traitements des eaux et déchets» : entre l EPL de Nevers-Challuy, l Université de Bourgogne et l ENESAD. Perspective rentrée 2006 : «management dans les IAA» : EPL Plombières les Dijon ENSBANA- IUT de Biologie Dijon. -«Commercialisation en agro-fournitures» entre le LEGTA d Auxerre et l IUT D autres réflexions sur différents projets sont engagées dans plusieurs EPL; Nécessité de valoriser les EPL référents pour favoriser les parcours vers le niveau II; Construire une cohérence entre l offre de niveau III et celle de niveau II; Quelle place pour les CS de niveau III? 27/71

28 LA FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE : ANALYSE ET RÉFLEXIONS DES DIRECTEURS DE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE PUBLIC (RÉUNION DU 2 FEVRIER 2005 EPL DE CHÂTEAU- CHINON) Bilan Principaux éléments d analyse caractérisant l évolution de l offre de formation professionnelle continue (dont la VAE), entre 01/02 et 04/05 évolution des effectifs et du volume d activités évolution des caractéristiques de ces activités (durées, clients, fréquences.) évolution de la répartition de l offre entre les différentes composantes de l EA Baisse de 22 % du volume d activité (formation face à face ) plus forte entre et 2003 qu entre 2003 et Baisse de l assise financière des centres. Développement des activités d ingénierie, d accompagnement augmentation du travail nécessaire en amont de la mise en place des formations. Le centre ne peut pas toujours faire seul ce travail ce qui augmente le coût horaire de la formation. Augmentation de l individualisation, même au sein des formations de groupe. Évolution du métier de formateur et recours plus important aux vacataires. Développement imposé par le contexte et les financeurs des partenariats. Perte de la saisonnalité de l activité (pas de période creuse marquée, évolution nécessaire de l organisation du centre) augmentation de l exigence des financeurs. Diminution du nombre de stagiaires en formation longue et augmentation du nombre de formations courtes. Evolution non significative. La concurrence émane plus des associations et d autres institutions (GRETA, AFPA ). évolution de la répartition de l offre entre les différentes filières évolution de la répartition de l offre à l intérieur des réseaux de compétences répartition de l offre entre les territoires Développement global des formations liées aux activités de service (service aux personnes, animation, tourisme). Diminution globale des formations liées à l agriculture. Evolution positive de la notion de réseau de compétences. Développement des partenariats inter centres. Création du réseau des CFPPA s de Bourgogne. Maintien de l existence des centres. Augmentation du nombre d actions délocalisées. Tendance du réseau à couvrir un territoire plus grand. 28/71

29 Perspectives Principales perspectives souhaitées entre 05 et 09 pour la formation professionnelle continue (dont la VAE) en matière : d évolution de l offre et du volume d activités Au minimum, maintien de l activité. d évolution des caractéristique de ces activités ( durées, fréquences, financeurs, publics, Poursuite de l adaptation de l offre de FPC : à la réforme de la FPC, aux types de publics, aux financeurs d évolution de la répartition de l offre entre les différentes composantes de l EA Renforcement d une recherche de cohérence et de complémentarité de l offre à partir du réseau «les CFPPA s de Bourgogne». d évolution de la répartition de l offre entre les différentes filières Poursuite de l adaptation de l offre aux besoins professionnels et aux besoins des territoires, via l adaptation de l organisation des centres et la professionnalisation de ses personnels. Evolution des modalités de formation : davantage d individualisation ; développement des FOAD. d évolution de la répartition de l offre à l intérieur des réseaux de compétences Renforcer la place des établissements référents dans le cadre de l organisation à l intérieur du réseau. de répartition de l offre entre les territoires Au minimum, maintien des sites actuels. 29/71

30 Note de synthèse globale du groupe de travail : Les CFPPA enregistrent une baisse d environ 20% de leur activité sur la durée du PREAB 2001/2005. L assise financière des centres diminue également. Seul un centre sur dix en 2003 couvre avec son fonds de roulement plus de trois mois de charges, contre sept centres en Le contexte a fortement évolué. Les publics sont devenus plus divers dans leurs besoins et nécessitent plus d individualisation et de nouvelles méthodes pédagogiques. Les financeurs sont devenus plus exigeants. Les formations liées à l agriculture drainent moins d apprenants. Les partenariats sont de plus en plus nombreux (nécessaires ou imposés). Les formations longues sont moins nombreuses a contrario des formations courtes et, globalement, il n y a plus de saisonnalité de l activité. Enfin, la réforme de la FPC aura des conséquences qui se feront très prochainement sentir tant sur le niveau d activités des centres que sur l organisation des centres avec une évolution incontournable du métier de formateur, d agent administratif et de directeur. L adaptation des centres au contexte a été plus ou moins forte. Les centres se sont positionnés sur d autres champs de compétence. Le nombre de délocalisation d actions a augmenté. Les personnels se sont professionnalisés (dans le cadre de PRIMO, par exemple). Des démarches qualité se sont mises en place. Les partenariats se sont développés. Le réseau des CFPPA s de Bourgogne s est constitué. Où en est-on en 2005? L évolution des centres a été variable. Certains ont maintenu leur activité et d autres ont enregistré une baisse. La taille critique en nombre de personnels de certains centres ne leur permet plus d assurer toutes les activités que l on serait en droit d attendre de lui. Comment, avec quatre formateurs, peut on encore répondre à des appels d offre du conseil régional, du FAFSEA, de VIVEA, du PDRN, de la DRTEFP, monter des dossiers européens, assurer de la veille et de la prospective?, Certaines tâches ne pourront être assurées que par mutualisation, soit au sein de l EPL, soit au sein du réseau des CFPPA s. L objectif des CFPPA pour le PREAB 2005/2009 est de continuer à répondre aux besoins des publics, des professionnels, des territoires et de contribuer à satisfaire la demande économique et sociale. Pour cela, il faut que l organisation de l appareil de FPC évolue encore. En écartant l idée d un CFPPA régional, cela passera impérativement par une organisation plus forte du réseau, en lui trouvant par ailleurs une légitimité face aux financeurs (GIP?, Fédération?...). L adhésion des équipes devra également être plus importante pour que le réseau ne soit pas seulement «l affaire des directeurs». Sans cette mobilisation (voire révolution), certains centres ne seront plus à même de fonctionner en autonomie et seront amenés à disparaître. 30/71

31 MISSION ANIMATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES Réunion du jeudi 3 mars 2005 au LEGTA de Fontaines 1- Contexte et enjeux : S inscrire dans un contexte global de nécessité sociale (en particulier au regard des problèmes engendrés par les politiques de la ville), en combinant les dimensions sociales, économiques, culturelles et environnementales. Passer d un territoire subi à un territoire souhaité. Mettre en synergie, sur les territoires, les différentes missions de l enseignement agricole et les potentiels des établissements chargés de les mettre en œuvre. Contribuer à la préservation et au développement des dynamiques territoriales par le maintien et la création d activités dans les territoires. Maintenir les services publics de proximité, à partir des sites existants. Adapter les structures aux nécessités territoriales. 2- Orientations stratégiques proposées : Inventorier, caractériser les méthodes propres à l approche institutionnelle des territoires. Proposer des compétences qui ne sont pas disponibles sur la place et qui ne relèvent pas d ingénierie de formation mais d ingénierie de développement de l activité, pour créer de l activité territoriale, dans le cadre d un schéma de coopération inter institutionnelle. Encourager et développer les initiatives des établissements et de leurs centres constitutifs 1. Intégrer la dimension européenne, comme composante de l animation et du développement des territoires. Reconnaître et assurer la pérennité de la fonction d ingénierie territoriale dans les EPL et également au niveau départemental (DDAF) et régional (DRAF). Renforcer la complémentarité entre les EPL, autour des pôles référents. Développer les partenariats régionaux. 1 Orientation suggérée ultérieurement par C. Berthaud et adoptée lors de la journée de travail du 1 avril 2005 à Quétigny. 31/71

32 3- Plan d action suggéré Développer les formations à destination des acteurs (directeurs d EPL, chargés de mission, enseignants, DDAF ) liées à l ingénierie de projets de territoires. Développer, dans les centres, les formations susceptibles de créer des emplois dans les territoires, dans divers secteurs (y compris logement, prévention de la délinquance ). Mettre en place une plate forme d ingénierie territoriale et de développement de projets porteurs d activités. Mettre en réseau les EPL pour développer des partenariats régionaux, avec le Conseil régional et les services déconcentrés (DRAC, DRJS, DRTEFP, DRIRE, DRASS ). Développer des partenariats multiples : avec les territoires de contractualisation (pays, parc naturels ), les structures intercommunales (communautés de communes, d agglomération), les Conseil généraux, le secteur associatif et les structures culturelles. Mettre en réseau les fonctions d ingénierie territoriale et les initiatives, croiser les réseaux.. Diffuser les expériences. 32/71

33 MISSION EXPÉRIMENTATION ET DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRE Réunion du 24 février 2005 à Beaune 1- Forces et faiblesses : a) Forces : b) Faiblesses : 1. Large champ d action : toutes les grandes productions régionales sont représentées à l exception de l arboriculture et des petits fruits (productions de diversification). 2. Cohérence entre les orientations des exploitations et les formations dispensées par les EPL de rattachement, parfois accentuée par la prise en compte de l agriculture durable. 3. Compétences techniques et pédagogiques reconnues des personnels d encadrement et d exécution (souvent autonomes). 4. Territoire, en général, de qualité, représentatif de la petite région et des exploitations environnantes, suffisamment étendu à l exception de 2 ou 3 cas. 5. Bons à très bons résultats technico-économiques (-2 ou 3 cas structurels), gages de crédibilité. 6. Présence d un personnel technico-économique enseignant de proximité, compétent, de techniciens d instituts techniques, de chambre d agriculture, d OPA en général et parfois de l enseignement supérieur, pouvant apporter leur assistance. 7. EPL érigés en réseau de compétences avec EPL référents. 8. Assises financières satisfaisantes ( - 2 ou 3 cas structurels ), assez peu confortées par les fonds de roulement de l EPL. 9. Missions clairement définies par la LOA du 9 juillet 99, son décret d application du et la circulaire DGER du 25 juin Présence d étudiants parmi les formés, pour certains établissements, ce qui peut faciliter la mise en œuvre des expérimentations et leur exploitation 11. Engagement du CRB (Direction de l agriculture) dans une démarche agriculture durable dans le cadre d une organisation régionale forte : le contrat bourguignon d exploitation se veut complémentaire du CAD mis en œuvre par le MAAPR. Les exploitations sont déjà engagées dans cette voie. 12. La mission d innovation et de démonstration doit être mieux prise en compte. 1. Réactivité lente en raison de la lourdeur des instances hiérarchiques consultatives. 33/71

34 2. Foncier bâti souvent vieillissant, parfois inadapté à la production et à l expérimentation 3. Secteur de la transformation insuffisamment représenté, au regard des secteurs productifs. 4. Diminution des personnels ingénieurs, formés à la recherche et au développement. 5. Temps de disponibilité limité du directeur d exploitation agricole (DEA) et du personnel d exploitation; prix de revient élevé de la main d œuvre. Disponibilité très limitée des enseignants techniques en raison de leur plein temps enseignement : la dotation en personnel ne prend pas cette mission en compte. Par ailleurs les jeunes enseignants n ont pas la vocation expérimentale et donnent la priorité à leur fonction enseignante. 6. Mission d expérimentation et de développement souvent opposée à la mission de production en termes financiers. 7. Désengagement des services de l Etat sur les financement des expérimentations sur les EPL. 8. Difficulté de trouver des partenaires financiers à une époque ou l argent se fait rare, face à des charges d expérimentation souvent très élevées, d ou une démotivation des équipes. 9. Exploitations parfois trop isolées des autres centres de l EPL en raison des pleins temps pédagogiques des formateurs et de la diminution des TP dans les formations. 10. Turn over des DEA soit trop rapide, soit trop lent. 2- Contexte et enjeux 1. Besoin de renforcer la crédibilité des exploitations des EPL auprès des services de l Etat, des collectivités territoriales (CRB), des organisations professionnelles, des parents d élèves, des élèves, des consommateurs, de justifier leur existence et leurs moyens financiers. 2. Concrétiser l identification des particularités de l enseignement agricole et contribuer à sa dynamique (le recrutement des élèves est un véritable enjeu). 3. Anticiper sur la réorientation des missions de l agriculture fixée par la Nation : - Nourrir la population avec des aliments de qualité (sécurité alimentaire, traçabilité ). - Rechercher des débouchés non alimentaires nouveaux. (autonomie énergétique ) - Protection de l environnement et gestion harmonieuse de l espace rural : mise en œuvre effective de l agriculture durable, sous ses aspects économiques, environnementaux, sociaux et territoriaux. 4. Accompagner concrètement les politiques agricoles nationales (CAD : contrat d agriculture durable) et régionales (CEB : contrat bourguignon d exploitation) 34/71

35 5. Raréfaction des crédits publics : - Recherche organisée de financeurs potentiels. - Besoin de mutualiser les moyens afin de réaliser des économies d échelle. - Mieux s organiser afin de répartir les taches en fonction des compétences pour garantir une meilleure efficacité tout en évitant les interactions négatives. - Communiquer sur les actions mises en œuvre et diffuser leurs résultats de façon cohérente. 6. Créer un lien durable et un enrichissement d expériences réciproques entre l enseignement technique agricole, les OPA, la recherche, l environnement, et les consommateurs. 7. Donner un signe fort à la mission de service public dévolue aux exploitations des EPL. 3- Plan d actions suggérées dont modalités d évaluation 1. L échelon régional doit se positionner sur un choix stratégique régional de filière, ce qui suppose de doter les exploitations sur lesquelles on veut s appuyer pour la formation, l expérimentation et le développement, des moyens matériels et financiers dont elles ont besoin pour assumer leur mission avec crédibilité. 2. Dégager des priorités sur les thématiques à expérimenter à partir des conclusions de la CNO sur les débats régionaux préliminaires au projet de loi Agriculture, Territoires et Société pour la décennie à venir : Comment produire des aliments de qualité? Comment sécuriser l alimentation humaine? Comment protéger l environnement et gérer harmonieusement l espace rural? Comment contribuer à la recherche de débouchés nouveaux? Accompagner les politiques agricoles nationales et régionales. 3. Instaurer obligatoirement une démarche bibliographique préliminaire à toute recherche expérimentale, faire état des travaux qui existent déjà et rechercher la complémentarité éventuelle. 4. Associer les étudiants à la réalisation des protocoles expérimentaux : presque toutes les filières régionales de formation disposent d une classe de BTS et les étudiants vont souvent à l extérieur chercher un support à leur mémoire d études. Certains établissements utilisent déjà cette procédure; d autres font appel à des étudiants extérieurs. 5. Valoriser les acquis des bonnes pratiques agricoles auprès des formés et des professionnels : mettre en œuvre un véritable plan de communication 35/71

36 4- Orientations stratégiques proposées Institutionnaliser la mission. Création d un Réseau Régional d Expérimentation et de Développement Fondé sur le réseau de compétences des EPL, doté de deux structures de management avec : - un comité de pilotage régional (CPR) un comité technique par filière (CTF) 36/71

37 MISSION INSERTION SCOLAIRE, SOCIALE ET PROFESSIONNELLE Réunion du 16 mars 2005 à Champs sur Yonne 1- Forces et faiblesses : a) Forces : Insertion scolaire : - Capacité à mobiliser des forces, à mettre en place des dispositifs d individualisation, de partenariat, - Réactivité - PLURI, ESC, CCF - Fonctionnement en EPL - Innovation pédagogique - Taille humaine des EPL - Existence du volet «animation» des profs d Education Socio Culturelle Insertion sociale : - Fort taux d efficacité scolaire en Bourgogne (nombre d entrants/ nombre de personnes) - Multi-partenariat de la mission Insertion professionnelle : - Bon taux d insertion professionnelle b) Faiblesses : Insertion scolaire : - Faibles crédits spécifiques ciblés sur l EPL. - Manque de structuration au sein de l EPL - Mutualisation des expériences - Déficits de partenaires qui existaient auparavant (médecins scolaires, psychologues, de conseillers d orientation absence d assistants sociaux, déficit d infirmières.) Insertion sociale : - Problème d Adaptation à l accueil des nouveaux publics - Manque de structuration des partenariats - Manque de reconnaissance de la mission dans la charge de travail 37/71

38 Insertion professionnelle : - Disparition du 1/3 temps du statut des ingénieurs consacré à expérimentation, animation, développement - Manque de travail en réseau 2- Contexte et enjeux : a) Contexte : Secteurs professionnels porteurs : o Production : agro alimentaire o Commercial Nouveaux publics Evolution du marché de l emploi Diminution de candidats Bac +2 et plus Augmentation du nombre de candidats de bas niveau Niveau licence professionnelle non reconnue par la profession Stratégie à long terme (LMD) Ouverture vers l Europe Baisse démographique et mixage des publics LOLF (1er critère d insertion) Contractualisation Evolution de la formation professionnelle continue Décentralisation b) Enjeux : Renforcer le positionnement de l enseignement agricole sur les publics en échec (5ème, 4ème, 3ème techno, pré-qualification, préparatoire à l apprentissage, CPA..) Créer des passerelles avec l Education Nationale Savoir prendre en compte du public le plus en marge Diversifier notre offre de formation et diversifier les parcours de formation Imaginer un système différent pour optimiser l insertion professionnelle Comment pourvoir les postes déficitaires qualifiés Mixage des publics dans les formations (apprentis, stagiaires, élèves) Créer des réseaux identifiés et formalisés de partenaires Prise en compte de la formation tout au long de la vie (passeport des compétences ) 38/71

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