la permittivité de l isolant inter-ligne n est pas appliqué aux barrières diélectriques (la barrière de la génération 120 nm est le SiN (ε SiN
|
|
- Noëlle Turgeon
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La réduction des dimensions des composants d un circuit intégré permet de réduire le coût lié à sa fabrication, d accroître le nombre de fonctionnalités sur une même puce et d augmenter la vitesse de fonctionnement des transistors. Par contre, les performances des interconnexions se dégradent à un point tel que les phénomènes parasites, liés à la propagation du signal, deviennent prépondérants par rapport à ceux générés par les composants actifs. En effet, si l on considère à la fois la réduction des dimensions des interconnexions (largeur et hauteur des lignes, espace séparant deux lignes adjacentes, hauteur de diélectrique...) et une composition inchangée des différents matériaux utilisés, la capacité de couplage et la résistance augmentent naturellement d une génération à l autre, et par conséquent le retard pris par le signal pour être transmis. De plus, la densité de courant qui traverse les lignes et les vias augmente considérablement pour répondre aux applications des circuits intégrés, ce qui a pour conséquence d accentuer les phénomènes d électromigration qui limitent la durée de vie des interconnexions par la génération de cavités. La barrière diélectrique, qui est utilisée (i) pour empêcher la diffusion du cuivre dans la matrice isolante, (ii) pour protéger le cuivre de toute oxydation, et (iii) comme couche de contrôle de l arrêt de la gravure, participe à la dégradation de ces performances de deux manières : 1. La barrière diélectrique a une permittivité plus élevée (ε r = 7 et 5 pour les générations 120 et 90 nm) que celle de l isolant inter-ligne et de ce fait, elle contribue à la dégradation de la permittivité effective des interconnexions lorsque des matériaux diélectriques à très faible permittivité (ε r = 3, 1 et 2, 5 pour les générations 90 et 65 nm) sont intégrés comme isolant. Une réduction de l épaisseur de la barrière ou de sa permittivité pourrait, a priori, diminuer sa contribution à la dégradation des performances de propagation du signal. Néanmoins, il existe des contraintes sur l épaisseur et la permittivité de la barrière diélectrique; par exemple, elle doit présenter une épaisseur minimale et une certaine composition pour pouvoir jouer son rôle de barrière et celui de couche d arrêt de la gravure. De ce fait, le facteur de réduction des dimensions des interconnexions d une génération à une autre ne s applique pas à l épaisseur des barrières diélectriques (par exemple, les barrières diélectriques des générations 120, 90 et 65 nm ont toute une même épaisseur de 40 nm) et le coefficient de réduction de 151
2 la permittivité de l isolant inter-ligne n est pas appliqué aux barrières diélectriques (la barrière de la génération 120 nm est le SiN (ε SiN r = 7) mais celle des générations 90 et 65 nm est le SiCN (ε SiCN r = 5)). La contribution de la barrière diélectrique à la dégradation des performances de propagation du signal ne peut que s accentuer pour les futures générations technologiques. 2. Par ailleurs, l interface entre le cuivre et la barrière diélectrique est le chemin préférentiel de migration des atomes de cuivre sous un flux d électrons car la barrière diélectrique présente une plus faible adhésion avec le cuivre que la barrière métallique avec le cuivre. Ce phénomène, dit d électromigration, conduit à l accumulation de lacunes pour former une cavité qui va croître et rompre la continuité des lignes et des vias : lors du fonctionnement du circuit intégré, cette interface est donc responsable de la limitation de la durée de vie des interconnexions. Avec la réduction des dimensions des interconnexions, la densité de courant augmente considérablement, ce qui a pour conséquence d accentuer ces phénomènes d électromigration et donc de réduire davantage la durée de vie des interconnexions. Les procédés de dépôt ou de formation de barrières auto-positionnées sur cuivre, i.e. sélectifs par rapport au cuivre, ont été initialement étudiés afin de répondre aux problèmes de dégradation des performances de propagation du signal par la suppression de la contribution de la barrière diélectrique à la capacité de couplage latérale. Cependant, ces traitements se sont également révélés efficaces pour sceller la surface du cuivre et ainsi améliorer notablement les performances de fiabilité ouvrant ainsi des perspectives plus larges a leur utilisation. Durant cette thèse, deux procédés de formation de barrières auto-positionnées ont été évalués. Le premier, fondé sur le traitement sélectif de la surface du cuivre en vue de la formation d une barrière dite CuSiN, se réalise en suivant trois étapes : le retrait de l oxyde natif de cuivre par un plasma réducteur (NH 3, H 2,...), l incorporation de silicium dans le cuivre après décomposition d un précurseur à base de silicium (silane, tri-méthyl-silane) et enfin, l incorporation d azote dans le siliciure de cuivre pour former le CuSiN stable. L étude des procédés CuSiN a permis de déterminer un mécanisme de formation du matériau et de déterminer les paramètres critiques clefs des différentes étapes du procédé. Pour augmenter l homogénéité de la siliciuration, nous avons montré qu il était possible de jouer sur les paramètres du procédé (débit, température, concentration...) et les étapes du procédé (plasma réducteur avant siliciuration...). L étape de siliciuration s avère difficile à maîtriser car elle dépend aussi de paramètres indépendant du procédé lui-même, tels que la taille des grains de cuivre et leur orientation cristalline. Enfin, la nitruration est une étape essentielle pour donner au CuSiN ses propriétés de barrière, pour stabiliser le silicium contenu dans le CuSiN et l empêcher de diffuser dans le cuivre sous des contraintes thermiques et électriques. En fonction des conditions de procédés CuSiN, une bi-couche CuSiN/SiN auto-positionnée à la 152
3 surface du cuivre peut être obtenu. Le second procédé est fondé sur la croissance auto-catalytique en phase liquide d un alliage de CoWP/B. La première étape consiste à préparer la surface des échantillons (retrait de l oxyde de cuivre) en vue du dépôt. Ensuite, l initiation de la croissance s effectue soit grâce à un catalyseur comme le Pd, soit en utilisant un agent réducteur spécifique. L étape de dépôt correspond à la croissance auto-catalytique du CoWP/B. Enfin, une solution de rinçage permet de mettre fin à la croissance du CoWP/B. Comme les matériaux CoWP/B sont formés à partir de solutions commerciales, les paramètres du procédé de croissance ne sont ni accessibles ni modifiables. L étude concernant ces alliages a donc consisté à vérifier si les matériaux formés remplissaient les critères requis pour leur introduction en tant que barrières auto-positionnées. Pour intégrer ces procédés CuSiN et CoWP/B en tant que couches barrières autopositionnées seules, les matériaux formés doivent remplir les fonctions jouées par les barrières diélectriques qu ils remplacent. Or, comme les barrières auto-positionnées sont par définition localisées uniquement sur le cuivre, elles ne permettent pas de contrôler l arrêt de la gravure lors d un désalignement de via; leur intégration selon cette approche constitue donc une rupture du schéma d intégration standard. Cependant, une telle rupture est nécessaire pour de nombreuses applications comme les capteurs d images CMOS, pour lesquels la réduction du nombre de couches diélectriques traversées par la lumière avant d atteindre la photo-diode permet d améliorer la sensibilité du capteur, ou encore, la fabrication de cavités d air entre les lignes (air-gaps). Par contre, si les matériaux formés par ces procédés auto-positionnés ne sont pas des barrières contre la diffusion du cuivre ni contre son oxydation, alors ils doivent être introduits dans un empilement hybride (couche auto-positionnée + barrière diélectrique), où les contraintes sur les procédés sont moindres. Leur intérêt réside alors non plus dans l amélioration des performances de propagation du signal mais dans l amélioration des performances de fiabilité. L intégration de barrières auto-positionnées seules en remplacement des barrières diélectriques n est possible que pour les procédés CuSiN car seuls ces procédés forment des matériaux efficaces pour empêcher la diffusion du cuivre et son oxydation. Un résultat notable a été de démontrer que l intégration du CuSiN en remplacement de barrières diélectriques ne nécessitait aucune modification du schéma d intégration et pouvait utiliser la plupart des procédés déjà développés pour les barrières diélectriques. De plus, le désalignement des vias n est pas un facteur limitant l intégration du CuSiN en remplacement des barrières diélectriques avec les procédés de gravure et les matériaux utilisés. Nous avons montré que l utilisation d une barrière auto-positionnée CuSiN réduit d environ 5 % la capacité de couplage, amé- 153
4 liore la durée de vie des interconnexions d un facteur 10 sous test d électromigration et d un facteur 400 sous test de rupture diélectrique. Par contre, l intégration dite hybride est envisageable pour les deux procédés étudiés. Cependant, alors que le CuSiN est parfaitement compatible avec les matériaux et les procédés standards d intégration, deux étapes sont critiques pour l intégration du CoWP/B : au cours de l ouverture du SiCN durant l étape de gravure, la chimie interagit avec le CoWP/B ce qui modifie la polymérisation des flancs du matériau poreux et entraîne sa surgravure; la chimie de nettoyage post-gravure joue le rôle d électrolyte dans une réaction de corrosion galvanique entre le Cu et le CoWP/B qui dégrade et retire le CoWP/B de la surface des lignes. L intégration du CoWP/B requiert donc le développement de nouvelles chimies de gravure et de nettoyage ou l implémentation des solutions architecturales proposées visant, entre autre, à éviter tout contact entre le CoWP/B et ces chimies. En terme de fiabilité, le CuSiN permet d améliorer la durée de vie des interconnexions d un facteur 10 alors qu une épaisseur de 5 nm de CoWP/B l augmente d au moins un facteur 70. Cependant, les énergies d activation des deux procédés sont proches de 1 ev, ce qui signifie que la migration des atomes de cuivre s effectue dans les deux cas à l interface supérieure du cuivre Cu/SiCN qui n est pas parfaitement scellée. Pour le CuSiN, cela montre que tous les grains de cuivre ne sont pas siliciurés et dans le cas du CoWP/B étudié, le défaut de scellement se produit autour de la barrière TaN/Ta. La quantité de surface non scellée déterminera la tenue en électromigration des deux approches. L évolution des générations technologiques tend à s effectuer en conservant l architecture d intégration actuelle, i.e. en gardant la barrière diélectrique. L introduction des procédés auto-positionnés dans un empilement hybride est donc souhaitable. Les procédés CuSiN dans ce type d empilement sont matures et ne nécessitent pas l introduction de nouveaux équipements ni de modification du schéma d intégration. Comme ils améliorent ponctuellement l interface critique Cu/SiCN (grains siliciurés) en apportant un gain d un facteur 10 sur la durée de vie des interconnexions, leur introduction dès le nœud 45 nm permettrait de satisfaire rapidement le critère de fiabilité pour des densités de courant élevées (le passage du nœud 65 nm au nœud 45 nm s accompagne d une augmentation de la densité de courant d un facteur 3 - voir Tableau Page 155). Pour améliorer davantage les performances de fiabilité du CuSiN, il faudra siliciurer de façon homogène tous les grains de cuivre sans augmenter la quantité de silicium incorporé. Pour cela, une étude sur la compréhension de l influence du plasma réducteur sur l aptitude des grains de cuivre à se siliciurer est nécessaire. Au contraire, l introduction des procédés CoWP/B nécessite encore un important travail de développement du procédé de dépôt et des procédés d intégration. Néanmoins, le gain sur 154
5 la résistance des interconnexions contre les phénomènes d électromigration apporté par les matériaux CoWP/B est considérable et plus important que celui apporté par le CuSiN. Ils permettront donc aux interconnexions de résister aux très fortes densités de courant prévues pour les générations sub-32 nm (le passage du nœud 65 nm au nœud 32 nm s accompagne d une augmentation de la densité de courant d un facteur 4 - voir Tableau Page 155) ce qui laisse du temps pour atteindre une maturité suffisante pour lever les différentes limitations actuelles. Tableau : Evolution de la densité de courant pour les prochaines générations technologiques et nœuds technologiques pour l application des procédés CuSiN et CoWP/B. Année de production Nœud technologique (nm) Densité de courant ( 10 5 A/cm 2 ) - niveau intermédiaire) 8, 91 13, 6 20, 8 30, 8 38, 8 51, 5 61, 8 64, 6 80, 8 Domaine d application CuSiN CoWP/B Pour les générations 45 et 32 nm, il est possible de réduire la permittivité effective des interconnexions sans avoir recours aux barrières auto-positionnées, grâce à l utilisation de porosité dans les matériaux isolants inter-lignes. Néanmoins, l ultime solution est le remplacement de l isolant inter-lignes par des cavités d air (air-gaps). Leur intégration, qui correspond alors à une rupture du schéma d intégration actuel, requiert l utilisation de barrières autopositionnées comme celles formées par les procédés CuSiN. Néanmoins, sans optimisation, le gain apporté par les procédés CuSiN sur la fiabilité reste limité. Or, l intégration de cavités d air est requise pour les générations technologiques sub-32 nm, qui nécessitent l utilisation de barrières auto-positionnées présentant une aussi forte résistance contre les phénomènes d électromigration que celle apportée par le CoWP/B. Il est donc nécessaire de développer de nouvelles chimies de dépôt d alliages formant une barrière efficace contre la diffusion du cuivre, résistante à l oxydation et aux différents procédés d intégration. Une alternative, plus facile à mettre en œuvre, consiste à appliquer un traitement après la formation du CoWP/B pour modifier sa surface; nos premiers essais obtenus en appliquant des procédés de siliciuration et de nitruration, qui forment une couche de CoSiN, sont prometteurs. Ces résultats ouvrent donc une perspective intéressante pour répondre aux exigences de propagation du signal et de fiabilité des interconnexions des générations technologiques les plus avancées. 155
La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailefelec NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES TESTS DIELECTRIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT
NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT efelec Parc d'activités du Mandinet - 19, rue des Campanules 77185 -LOGNES - MARNE LA VALLEE Téléphone : 16 (1) 60.17.54.62 Télécopie
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES
ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailQu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailLe câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)
Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,
Plus en détailIntroduction au maillage pour le calcul scientifique
Introduction au maillage pour le calcul scientifique CEA DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel franck.ledoux@cea.fr Présentation adaptée du tutorial de Steve Owen, Sandia National Laboratories, Albuquerque,
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailAiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie
Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailLE SAN ET LE NAS : LE RESEAU AU SERVICE DES DONNEES
LE SAN ET LE NAS : LE RESEAU AU SERVICE DES DONNEES Marie GALEZ, galez@cines.fr Le propos de cet article est de présenter les architectures NAS et SAN, qui offrent de nouvelles perspectives pour le partage
Plus en détaila-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement
a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement Sílvia Martín de Nicolás Résumé La diminution du coût des cellules photovoltaïques en silicium cristallin (c-si) passe par une
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailDécharge électrostatique
Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES
22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailLA VIRTUALISATION. Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques. 18/01/2010.
Guillaume ANSEL M2 ISIDIS 2009-2010 / ULCO Dossier d étude sur la virtualisation LA VIRTUALISATION 18/01/2010 Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques.
Plus en détailLe projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved
Le projet HBS LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr Les buts du projet HBS En 2010 : 8.3 milliards, 1.3 millions d implantations par an, forte croissance dans pays émergents Réduire
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailEMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006
EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailChapitre 1: Les métaux et leurs utilisations
Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations 1. Depuis quand utilise-t-on les métaux? 1) Le seul métal qui existe à l état natif est l or. 2) Les métaux obtenus à partir de minerais sont l argent, le cuivre,
Plus en détailQuand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques.
Parole d experts Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Panel d experts autour de Prof. Eric PIRARD, ULg - GeMMe Avec le soutien de : Les déchets
Plus en détailPARTIE 1 CHAMP D'APPLICATION MARQUAGE NF
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF Tubes en polyéthylène pour réseaux de distribution de gaz combustibles, réseaux de distribution d'eau potable, irrigation et applications industrie, eau non potable et
Plus en détailFiable, sûr et économique Mesure de niveau par pression différentielle électronique avec cellules métalliques ou céramiques
Products Solutions Services Fiable, sûr et économique Mesure de niveau par pression différentielle électronique avec cellules métalliques ou céramiques Pression 2 Mesure de pression différentielle traditionnelle
Plus en détailLa solution à vos mesures de pression
Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure
Plus en détailBICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech
BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions
Plus en détailCORAC : Appels à partenariat Propulsion
1 CORAC : Appels à partenariat Propulsion Appel à partenariat AIRBUS pour le projet P12 EPICE Contexte du projet P12 Périmètre: Système Propulsif en général, moteur, nacelle, mât réacteur (configuration
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailGuide des formations 2015-2016. Formations aux Architectes et professionnels du bâtiment conformes aux crédits à la formation continue
Guide des formations 2015-2016 Formations aux Architectes et professionnels du bâtiment conformes aux crédits à la formation continue En 2015, Synergia se redéfinit et se rapproche encore plus de la communauté
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailPour les utilités, le process et l environnement. Les solutions pompes KSB.
Notre technologie. Votre succès. Pompes n Robinetterie n Service Pour les utilités, le process et l environnement. Les solutions pompes KSB. 2 Solutions d automatisation Les solutions efficaces par KSB
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailPRESENTATION PRODUITS
CONNAISSANCES FORMATION SÉCURITÉ PRESENTATION PRODUITS ÉVALUATION DES CONDITIONS COLLABORATION COMITÉS ANALYSE TECHNOLOGIE NORMALISATION La connaissance, instantanément Des solutions modernes, basées sur
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailDETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7
DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES
TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT (CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailMODE D EMPLOI ST 4000. Route de la Neuville 08460 LALOBBE FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION ST 4000. Rapport N 2520/14/7656
Route de la Neuville 08460 LALOBBE FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION ST 4000 Rapport N 2520/14/7656 APPAREILS DE LEVAGE - STRUCTURES ALUMINIUM ACCESSOIRES DIVERS www.alusd.com TEL : 03.24.59.41.91
Plus en détailAdvanzia Bank S.A. Brochure d information sur le compte à vue «Livret Advanzia»
Advanzia Bank S.A. Brochure d information sur le compte à vue «Livret Advanzia» 1. Description générale du produit... 2 1.1 Frais et commissions... 2 1.2 Qui peut ouvrir un Livret?... 2 1.3 Justific a
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailSauvegarde. de données. Nos conseils de prise en main
Sauvegarde de données de prise en main Pourquoi sauvegarder? L espace de stockage de nos ordinateurs continue sans cesse d augmenter. Le nombre de données que nous y enregistrons est de plus en plus important,
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailDe la micro à la nano-électronique
De la micro à la nano-électronique Christian Ngô ECRIN LT M ngo@ecrin.asso.fr LE PUCE MICR-ELECTRNIQUE AU QUTIDIEN Cafetière électrique 1 puce 10 000 T Pèse personne 1 puce 10 000 T Télévision 10 puces
Plus en détailFAQ CLEARFIL SE BOND. Pagina 1 van 5
FAQ CLEARFIL SE BOND 1. Quels sont les avantages des systèmes automordançants? 2. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus utilisé? 3. CLEARFIL SE BOND est-il le système adhésif le plus étudié?
Plus en détailLes batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations
Les batteries électriques pour les camions et bus électriques Etat de l'art, perspectives et interrogations L Ion Rallye 2012 : Camions et Bus électriques - Le transport branché Lyon 30/11/2012 Serge PELISSIER
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailfermacell combiné avec un chauffage au sol Version juin 2013
fermacell combiné avec un chauffage au sol Version juin 2013 2 Systèmes de chauffage au sol Le chauffage au sol est sans doute le type de chauffage le plus répandu de nos jours. Par rapport aux radiateurs,
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailLe boulon d ancrage sert à fixer les pattes d attache des panneaux de coffrage pour murs alignés d un seul côté.
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Le coffrage une face Rédaction : Adrian Vonlanthen / Etudiant ETC 3 Date : 7 octobre 2008 Système d ancrage et de stabilisation Les systèmes
Plus en détailConstruction en bottes de paille
Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)
Plus en détailM. Anthony Frayne, B.Sc. (Écon.), MBA Régisseur. Société en commandite Gaz Métropolitain (SCGM) Demanderesse
D-99-138 R-3429-99 30 juillet 1999 PRÉSENT : M. Anthony Frayne, B.Sc. (Écon.), MBA Régisseur Société en commandite Gaz Métropolitain (SCGM) Demanderesse Décision concernant le projet d extension de réseau
Plus en détailRéussir le choix de son SIRH
Réussir le choix de son SIRH Pascale Perez - 17/09/2013 1 L évolution du SI RH 1960 à 1970 : le progiciel de paie. Le système d information RH apparaît dans les années soixante avec la construction des
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailMini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB
Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB Dossier de conception 1/21 1. PRESENTATION GENERALE DU MINI PROJET 1.1 Contexte de l étude Situation existante avec un problème. Présentation de l objectif
Plus en détailLa solution idéale pour l intégration au bâtiment
La solution idéale pour l intégration au bâtiment www.solarworld.fr Vos bénéfices Une solution pour l intégration au bâtiment permettant d obtenir de meilleur tarif d achat d électricité. Avec les Sunmodules
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailLes cinq raisons majeures pour déployer SDN (Software-Defined Networks) et NFV (Network Functions Virtualization)
Les cinq raisons majeures pour déployer SDN (Software-Defined Networks) et NFV (Network Functions Virtualization) Préparé par : Zeus Kerravala Les cinq raisons majeures pour déployer SDN et NFV NetworkWorld,
Plus en détailIntégration de la dimension sémantique dans les réseaux sociaux
Intégration de la dimension sémantique dans les réseaux sociaux Application : systèmes de recommandation Maria Malek LARIS-EISTI maria.malek@eisti.fr 1 Contexte : Recommandation dans les réseaux sociaux
Plus en détailCLOUD PUBLIC, PRIVÉ OU HYBRIDE : LEQUEL EST LE PLUS ADAPTÉ À VOS APPLICATIONS?
CLOUD PUBLIC, PRIVÉ OU HYBRIDE : LEQUEL EST LE PLUS ADAPTÉ À VOS APPLICATIONS? Les offres de Cloud public se sont multipliées et le Cloud privé se généralise. Désormais, toute la question est de savoir
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détail