N.T. C Formatio ns 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "N.T. C Formatio ns 1"

Transcription

1 1

2 LA RETRODIFFUSION: La rétrodiffusion consiste à mesurer le temps mis par une impulsion lumineuse pour aller et revenir dans la liaison. L atténuation est le rapport entre la lumière envoyée et la lumière reçue. En réalité, l atténuation est double car il y a l aller mais aussi le retour de la lumière dans la fibre. La vitesse dans la fibre est d environ: 200m/µs 2

3 LA RETRODIFFUSION: Le but de la réflectométrie: - Mesurer la longueur de la liaison ou de l événement - Connaître l atténuation - Visualiser les variations et incidents le long de la fibre Les contraintes de mesures: - La résolution en distance (échelle horizontale) - La résolution en db (échelle verticale) - L atténuation totale de la fibre - La longueur de la fibre en contrôle 3

4 LA RETRODIFFUSION: VITESSE DE PROPAGATION: 200m/µs (10 ns = 2 m dans la fibre) VITESSE DE PRESENTATION SUR LE REFLECTOMETRE: 100m/µs (10ns = 1 m sur l écran) Impulsion émise Implusion réfléchie 4

5 LA RETRODIFFUSION: La résolution spatiale et le pouvoir séparateur: La distance d un point sur la fibre au réflectomètre est égale à: D = T x C/2n (avec T: temps de trajet aller et retour de l impulsion). Pour les fibres optiques en silice D = (T x 100) en m Le pouvoir séparateur dépend du choix de l impulsion. Si L = 10ns, le pouvoir séparateur correspondra à 1 mètre. Le pouvoir séparateur est d autant meilleur que l impulsion est étroite. L 5

6 LA RETRODIFFUSION: En résumé, plus la résolution spatiale est élevée, plus le réflectomètre pourra distinguer de défauts voisins. Pour cela, les impulsions doivent être brèves (exemple une nanoseconde). Dans ce cas la longueur explorée sera réduite. Le pouvoir séparateur d un réflectomètre est sa capacité à distinguer deux (ou plusieurs) défauts consécutifs. 6

7 LA RETRODIFFUSION: Schéma de principe de réflectomètre: Générateur d impulsions LASER Coupleur directif Fibre à mesurer Amplificateur Photodiode à avalanche db Synchro ECRAN Km 7

8 LA RETRODIFFUSION: Structure d une fibre optique. Diffusion de RAYLEIGH Gaine optique Coeur Imperfection structurale de la matière. 8

9 LA RETRODIFFUSION: Principe de la rétrodiffusion dans la fibre optique: Information incide nte Imperfe ction structura le de la matière. Information ré trodiffusée 9

10 Choix des impulsions: Impulsions courtes 10

11 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) Risque de m é lan ge si la distance e st trop gran de Le choix d impulsions courtes limite la distance d exploration de la liaison. 11

12 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) Lum ière parasi te ve rs le laser! Attention: Pour les lasers de forte puissance, la réflectance d entrée peut provoquer des dégradations de l appareil. C est pour cette raison qu il est indipensable de coupler le réflectomètre à la fibre avec des connecteurs à faible réflectance (FC/PC par exemple). 12

13 Bobine ou fibre amorce: Dist: 10 Km 12 db D une longueur de 1000 à 5000 mètres, elle permet: -De décaler la zone aveugle de sortie du réflectomètre (1er connecteur) -D avoir une pente avant la 1ére connectique pour une mesure de rupture de pente. 13

14 14

15 15

16 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) Traitement du signal. 16

17 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) db Km 17

18 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) Traitement des valeurs de puissance par rapport au temps d acquisition programmé. 18

19 Choix des impulsions: Impulsions courtes (suite) Résultat de la mesure 19

20 Choix des impulsions: Impulsions longues db Le choix des impulsions longues permet d explorer une distance plus longue mais réduit la précision de localisation des défauts. Km 20

21 Choix des impulsions: Impulsions longues db Résultat de la mesure. Km 21

22 La Dynamique de mesure: La distance d exploration d une liaison dépend de la puissance d injection du signal. En effet il faut que la lumière puisse faire l aller et le retour avant d être traitée par le réflectomètre. Pour les longues distances, il faut une dynamique importante: db 250 Km Exemple: Dynamique 40 db Km 22

23 Une faible dynamique réduit la distance d exploration: db 80 Km Exemple de dynamique 20 db Km 23

24 La réflectance d un événement: C est le rapport entre la puissance incidente et la puissance réfléchie aux événements (épissure mécanique, connecteurs, etc ) La qualité des connecteurs monomodes doit garantir une réflectance meilleure que -60 db 24

25 Le coefficient de diffusion: Le coefficient de diffusion d une fibre représente la quantité de lumière rétrodiffusée par la fibre. Ces coefficients sont spécifiques à chaque fibre et dépendent de la longueur d onde. Information ré trodiffusé e Exemple: à 1310 nm = -79 db à 1550 nm = -81dB 25

26 Pertes et affaiblissements dans la fibre optique: 26

27 Indice de réfraction: Noté «n», c est le rapport entre la vitesse de la lumière dans le vide et la vitesse dans le milieu considéré. n = C/v C est un paramètre important en réflectométrie car il permet la localisation d un événement (en Km), par rapport au temps mis par l impulsion pour aller et revenir. Une imprécision d indice provoque une erreur de localisation. Exemple: * 1,467 en monomode. 27

28 La fréquence de répétition (portée): Elle est choisie en fonction de la longueur de la liaison à mesurer. Une nouvelle impulsion ne doit pas être émise tant que la première n a pas parcourue le trajet aller et retour de la longueur de la fibre. 28

29 Le pouvoir séparateur: C est l aptitude d un réflectomètre à identifier deux défauts proches l un de l autre (C est directement lié à la largeur d impulsion choisie et à l amplitude du défaut). db Impossible de différencier les défauts db Les défauts sont localisables et mesurables Km Km 29

30 Zone morte d un événement (ou zone morte): C est la limitation du réflectomètre à explorer une zone d événements après tout défaut réfléchissant. La zone aveugle est, quand à elle, la zone non exploitable après le connecteur de sortie de l appareil. Pour en minimiser les effets, on utilise une bobine amorce. db ZONE MORTE db ZONE AVEUGLE Km Km 30

31 Mesure de la zone morte Explication: Les composants (photodiode, amplificateur) n ont pas de bande passante suffisante pour représenter l ensemble du pic. Il y a donc saturation et désaturation (Zone b-c). Cette zone varie d un appareil à l autre et suivant le largeur d impulsion (30 ou 300 nm). Dans cette zone nous n avons aucune vision de ce qu il se passe sur la fibre. Il est donc nécessaire d utiliser une fibre amorce, placée entre le réflectomètre et la fibre à tester avec un raccordement non réfléchissant db 0,1 db a c a: Emission b: saturation c: désaturation ZONE MORTE Km 31

32 Fantômes: Ces défauts sont principalement causé par des pics de réflexion fortement importants. C est un écho sur le connecteur d entrée. L énergie est ensuite renvoyée vers la liaison. Ces pics fantôme ne comporte pas d affaiblissement. 32

33 Mesures de pentes Il existe deux méthodes: Droite entre les deux curseurs et droite des moindres carré (Least Mean Square). Exprimé en db/km.il ne doit pas y avoir trop de différence entre l affaiblissement linéique de la fibre et l affaiblissement mesuré. db A A-B = 8960 m A-B = 3,31 db B Km 33

34 Mesures de défaut La mesure peut se faire de deux manières (plus ou moins précise). Mesure par l écart des pentes, Mesure locale du défaut Mesure locale d un défaut: db A B A-B = 12 m A-B = 0,5 db db AB A B NON OUI Km 34

35 Mesures de défaut Mesure par l écart des pentes, plus précise que la précédente Mesure par l écart des pentes: db A a Ecart des pentes Km 35

36 Détection d une contrainte par comparaison des longueurs d onde. db Mesure à 1310 nm Mesure à 1550 nm Ecart des pentes < 0,05 db Km 36

37 Interprétation des défauts de réflectométrie 1) Défaut non réfléchissant (épissures, contraintes): db Km 37

38 Interprétation des défauts de réflectométrie 2) Défaut réfléchissant (épissures mécanique, fibre cassée, connecteur): db Km 38

39 Interprétation des défauts de réflectométrie 3) Défaut non réfléchissant avec changement de pente ( contrainte sur la fibre): db Km 39

40 Interprétation des défauts de réflectométrie 4) Défaut positif ( variation du coefficient de rétrodiffusion, variation du diamètre de champ de mode). db Km 40

41 Interprétation des défauts de réflectométrie 5) Fibre stressée db Km 41

42 Interprétation des défauts de réflectométrie 6) Défauts non réflectifs cumulés (soudure et lovage) db Km 42

43 Interprétation des défauts de réflectométrie 7) Défauts non réflectifs cumulés à un défaut réflectif (Rayon de courbure avant une connectique ou cassure de fibre) db Km 43

44 Interprétation des défauts de réflectométrie 8) Pics fantôme (Réflexion de Fresnel trop importante aux défauts) db Origine de F3 D1 Origine de F1 et F2 Origine de F4 F3 D2 F1-F2-F3-F4: PICS FANTOMES D1: DEFAUT REFLECTIF D2: FIN DE FIBRE F4 F2 F1 300m 300m 200m 200m 800m 300m 800m Km 44

45 45

46 QUELQUES EXERCICES. 46

47 47

48 48

49 49

50 50

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

1. Réalisation d une mesure

1. Réalisation d une mesure GUIDE D UTILISATION DE L OTDR MTS 2000 DE JDSU 1. Réalisation d une mesure Sélection du mode Smart OTDR Configuration de la mesure Lancement de l acquisition de la mesure 1.1. Sélection du mode SmartOTDR

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

Tout savoir sur. la fibre optique. Livret didactique

Tout savoir sur. la fibre optique. Livret didactique Tout savoir sur Livret didactique la fibre optique EXPERIDE 10 place Charles Béraudier, Lyon Part-Dieu, 69428 LYON CEDEX 3, France Tel. +33 (0)4 26 68 70 24 Fax. +33(0)4 26 68 70 99 contact@experide-consulting.com

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

La fibre optique CNAM

La fibre optique CNAM La fibre optique - Qu est-ce qu une fibre optique? - Principes de base - Monomode / Multimode - Atténuation, fenêtres de propagation - Principales caractéristiques - Transmission sur fibre optique - Boucle

Plus en détail

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION? QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées

Plus en détail

Procédures de tests en réflectométrie. Septembre 2013

Procédures de tests en réflectométrie. Septembre 2013 Procédures de tests en réflectométrie Septembre 2013 Procédure de certification des liaisons optiques avec un réflectomètre Pour les mesures optiques quelques rappels: - Outils calibré et avec le dernier

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Cisco Certified Network Associate

Cisco Certified Network Associate Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

Transmission et stockage de l information

Transmission et stockage de l information Transmission et stockage de l information La transmission d informations peut être libre, c est-à-dire assurée par des ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions de l espace (Wi-Fi, radio,

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

ETHERNET : Distance supportée sur fibre optique

ETHERNET : Distance supportée sur fibre optique ETHERNET : Distance supportée sur fibre optique Un lien optique, est constitué par un ensemble de fibres, ponts de raccordement, épissures et autres éléments qui assurent une liaison efficace entre un

Plus en détail

LE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr

LE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr LE VDSL 2 EN FRANCE Par Jean-Marc Do Livramento Consultant télécom fixe et mobile Mai 2013 Des offres d accès Internet Très Haut Débit par VDSL 2 bientôt disponibles en France? Le 26 avril dernier, le

Plus en détail

TABLEAU DE COMMUNICATION GUIDE INSTALLATEUR

TABLEAU DE COMMUNICATION GUIDE INSTALLATEUR TABLEAU DE COMMUNICATION GUIDE INSTALLATEUR Compatible selon version : GRADE 1 GRADE GRADE GRADE + SAT PRÉCÂBLÉ Conforme au guide UTE C 90-8 et à la norme NF C 15-100 Constitution du produit 1 1 - enveloppe

Plus en détail

MICROSENS. Module Bridge Ethernet / Fast Ethernet. fiber optic solutions. Description. Construction

MICROSENS. Module Bridge Ethernet / Fast Ethernet. fiber optic solutions. Description. Construction Module Bridge Ethernet / Fast Ethernet MICROSENS fiber optic solutions Description Le Bridge permet de connecter entre eux des segments Ethernet et Fast Ethernet de norme IEEE802.3u en adaptant automatiquement

Plus en détail

Mesures d antennes en TNT

Mesures d antennes en TNT Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Monitoring et suivi du comportement des chaussées

Monitoring et suivi du comportement des chaussées Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Voir cours Transmission de l'information

Voir cours Transmission de l'information Chapitre 2 1 Couche Physique Signal / Codage / Matériels niveau 1 Couche Physique 2 Voir cours Transmission de l'information Rappel : Voie de transmission 3 Données émises Position d'échantillonnage idéale

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

www.picotech.com www.picotech.com Oscilloscopes à échantillonnage pour ordinateurs Windows

www.picotech.com www.picotech.com Oscilloscopes à échantillonnage pour ordinateurs Windows PicoScope 9200A Oscilloscopes à échantillonnage pour ordinateurs Windows Oscilloscopes à échantillonnage complets pour votre ordinateur Caractérisation du signal Tests préalables de conformité TDR et TDT

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

Instruments de mesure

Instruments de mesure Chapitre 9a LES DIFFERENTS TYPES D'INSTRUMENTS DE MESURE Sommaire Le multimètre L'oscilloscope Le fréquencemètre le wattmètre Le cosphimètre Le générateur de fonctions Le traceur de Bodes Les instruments

Plus en détail

La (les) mesure(s) GPS

La (les) mesure(s) GPS La (les) mesure(s) GPS I. Le principe de la mesure II. Equation de mesure GPS III. Combinaisons de mesures (ionosphère, horloges) IV. Doubles différences et corrélation des mesures V. Doubles différences

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Soit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.

Soit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée. ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

Mesures par fibres optiques

Mesures par fibres optiques 1 Mesures par fibres optiques Introduction La fibre optique, aussi mince qu un cheveu est plus résistante que l acier, elle demeure l une des plus grandes avancées technologiques en matière de câblage

Plus en détail

4.14 Influence de la température sur les résistances

4.14 Influence de la température sur les résistances nfluence de la température sur la résistance 4.14 nfluence de la température sur les résistances ne résistance R, parcourue par un courant pendant un certain temps t, dissipe une énergie calorifique (W

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

Mode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE. www.altoproaudio.com Version 1.0 Juillet 2003 Français

Mode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE. www.altoproaudio.com Version 1.0 Juillet 2003 Français Mode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE www.altoproaudio.com Version 1.0 Juillet 2003 Français SOMMAIRE 1. INTRODUCTION................................................................... 4 2. FONCTIONNALITÉS................................................................

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Statistiques Descriptives à une dimension

Statistiques Descriptives à une dimension I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique

Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement

Plus en détail

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la

Plus en détail

COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE

COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE Caractéristiques: COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE Haute fiabilité Basses pertes d insertion Très basse PDL (Polarization dependent loss- Sensibilité à la polarisation) Uniformité excellente

Plus en détail

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

Ingénierie et concept cellulaire

Ingénierie et concept cellulaire Chapitre 6 Ingénierie et concept cellulaire L ingénierie radioélectrique d un réseau est sans doute l une des tâches les plus importantes et les plus sensibles rencontrées lors du déploiement d un système

Plus en détail

MetROCab VÉHICULe ÉLeCtRIQUe À RaYON D action ÉteNDU et DIFFÉReNtIeL ÉLeCtRONIQUe

MetROCab VÉHICULe ÉLeCtRIQUe À RaYON D action ÉteNDU et DIFFÉReNtIeL ÉLeCtRONIQUe MetROCab VÉHICULE ÉLECTRIQUE À RAYON D ACTION ÉTENDU ET DIFFÉRENTIEL ÉLECTRONIQUE GRACE A SON GROUPE MOTOPROPULSEUR DE POINTE A FAIBLES EMISSIONS (LOW EMISSION ADVANCED POWERTRAIN, OU LEAP) DEVELOPPE PAR

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE

AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE Le test statique est un moyen très connu pour évaluer les moteurs électriques. Cependant, si un moteur ne peut pas être arreté,

Plus en détail

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Caractéristiques et débits de votre ligne ADSL

Caractéristiques et débits de votre ligne ADSL Une documentation Côtière Informatique Mise à jour du 20/01/2014 Caractéristiques et débits de votre ligne ADSL Sommaire : 1) La face cachée de la technologie ADSL2+ page 1 2) Les caractéristiques de sa

Plus en détail

NEWSLETTER PROMAX Nº 23

NEWSLETTER PROMAX Nº 23 NEWSLETTER PROMAX Nº 23 TV EXPLORER HD+ : Dolby Digital Plus et DVB-T2 CV-100 : Adaptateur LNB Optique pour mesureurs de champ Option optique pour TV EXPLORER HD, HD LE et HD+ Utilisation du DIGITAL TO

Plus en détail

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation URSI-France Journées scientifiques 26/27 mars 2013 Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation All Dielectric Superstrate to Control the Half-Power-BeamWidth

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart

OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart COMMUNICATIONS TEST & MEASUREMENT SOLUTIONS OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart Key features Nouveau Nouveau Première fonction de compensation automatique

Plus en détail

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave 500 W sur 13cm avec les modules PowerWave Philippe Borghini / F5jwf f5jwf@wanadoo.fr Janvier 2012 Introduction Tout le monde a déjà vu au moins une fois, sur les puces, ces fameuses platines PowerWave

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR : Contexte scientifique Systèmes LIDAR/RADAR Equation LIDAR : exp Equation RADAR : p (r) : puissance rétrodiffusée r : altitude ou profondeur. C : constante instrumentale. β : coefficient de rétrodiffusion

Plus en détail

PURE : dans les data centres

PURE : dans les data centres PURE : Rendre planifiable en toute sécurité le câblage dans les data centres L EFFET PURE : DEUX FOIS PLUS DE CONNEXIONS ET * 15 MÈTRES DE LONGUEUR DE lien EN PLUS PreCONNECT PURE constitue une étape majeure

Plus en détail