Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC

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1 Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC Membre du Financial Planning Standards Board (FPSB) Association déclarée loi du 1 er juillet 1901 (et textes subséquents) EXAMEN DE CERTIFICATION & 25 mars 2010 CORRIGÉ Unité de valeur 2 Marchés financiers, gestion des valeurs mobilières et des produits financiers Durée : 2 heures - Coefficient : 1 Documents à disposition : Néant 1 ère partie : 30 QCM Siège social : 5, rue Tronchet PARIS Tél Fax info@cgpc.fr 1

2 1/ Qu est-ce qu un certificat d investissement ou CI? A. Un CI est une valeur mobilière résultant du démembrement d une action et représentant l ensemble des droits pécuniaires de celle-ci. B. Un CI est une preuve d achat qui sert de justificatif en cas de revente. C. Un CI est une action qui donne à son propriétaire un droit de vote double et un dividende majoré. D. Un CI est remis lorsqu une action est détenue sous forme nominative. 2/ Concernant les ordres de bourse, quelle est la bonne définition? A. Un ordre d achat à seuil de déclenchement est exécuté dès lors que le cours atteint ou franchit à la hausse le seuil fixé. B. Un ordre de vente à cours limité n est plus exécutable dès lors que le cours franchit à la hausse la limite fixée. C. Un ordre à la meilleure limite est un ordre exécuté au cours le plus élevé de la séance en cas de vente, au cours le plus bas de la séance en cas d achat. D. L ordre au marché n est valable que si un niveau d exécution est précisé. 3/ En matière de crédit : A. La loi prévoit un taux d endettement maximal de l emprunteur ne pouvant dépasser 50 % de son patrimoine. B. La loi prévoit un taux d endettement maximal de l emprunteur ne pouvant dépasser 33 % de l ensemble des revenus du foyer fiscal. C. La loi ne fixe aucun plafond. Celui-ci dépend du niveau de revenus et de la surface patrimoniale de l emprunteur, ainsi que des us et pratiques bancaires. 4/ Le cours d une obligation est égal à : A. La somme des coupons versés depuis l origine à la date présente. B. La somme des flux futurs actualisés. C. La somme arithmétique des intérêts restant dûs et du flux final de remboursement. D. La somme de la valeur nominale de l obligation et du prochain coupon devant être détaché. 5/ La souscription de parts de FCPI : A. Ouvre droit à une réduction d IR égale à 25 % de la dépense, dans la limite de celleci à pour un célibataire et pour un couple. B. N ouvre droit à aucune réduction d IR mais la valeur des parts est exonérée d ISF. C. Est assortie d une exonération d IR pendant 5 ans au titre de la souscription des parts. D. Ouvre droit à un crédit d impôt de 115 pour une personne seule et 230 pour un couple. 2

3 6/ Il a été versé, depuis son ouverture en 2000, sur un PEA. Aucun retrait n a été effectué. La valorisation actuelle est de Son détenteur souhaite effectuer un versement de Que lui répondez-vous? A. Un nouveau versement n est possible que dans la limite de B. C est impossible car le montant du PEA atteint déjà C. C est impossible compte tenu du fait que le plan a été ouvert il y a plus de 7 ans. D. Cela dépend de la convention signée avec la banque qui fixe les conditions de versements et de placements du PEA. 7/ Dans le cadre d un démembrement de propriété d une action, le droit de vote est dévolu : A. Au nu-propriétaire en Assemblée Générale Ordinaire (AGO) et à l usufruitier en Assemblée Générale Extraordinaire (AGE). B. A l usufruitier en AGO et en au nu-propriétaire AGE. C. Au nu-propriétaire en AGO comme en AGE. D. A l usufruitier en AGE comme en AGO. 8/ Le Taux REFI est : A. Le taux de report sur le SRD. B. Le taux des opérations principales de refinancement de la BCE. C. Le taux des reports sur le marché obligataire. D. Equivalent au taux de base bancaire. 9/ Toutes choses étant égales par ailleurs, la sensibilité d une obligation est : A. D autant plus forte que sa maturité est faible. B. D autant plus forte que son coupon est faible. C. D autant plus faible que son taux nominal est faible. D. D autant plus faible que sa duration est élevée. 10/ Pour une obligation du secteur privé, l écart de taux (spread) se définit comme : A. L écart de rendement entre cette obligation et celles des actions d émetteurs de même secteur. B. L écart entre la valeur du coupon de cette obligation et sa valeur nominale. C. L écart entre son taux de rendement actuariel et celui des emprunts d État de durée équivalente. D. L écart entre son taux de rendement actuariel et son taux nominal. 3

4 11/ Vous craignez une baisse des cours. Vous décidez : A. D acheter un put warrant. B. De vendre un put warrant. C. D acheter un call warrant. 12/ Un fonds de fonds est : A. Un OPCVM investissant plus de 10 % de ses actifs en parts d autres OPCVM. B. Un FCP dont l objectif est d atteindre un montant final et de distribuer les revenus par application d une formule de calcul prédéfinie. C. Un OPCVM à compartiments. D. Un tracker. 13/ Dans le cadre du SRD, le nouveau mois boursier commence : A. Le jour de la liquidation. B. Le jour du règlement / livraison. C. Le premier jour du mois calendaire. D. Le lendemain du jour de la liquidation. 14/ Sur quelle durée maximale les moins-values boursières peuvent-elles être imputées sur des plus-values boursières? A. 1 an. B. 3 ans. C. 5 ans. D. 10 ans. 15/ En cas d achat d une obligation le jour de détachement de son coupon le montant de celui-ci est porté au crédit : A. De l acheteur. B. Du vendeur. C. Du vendeur et de l acheteur qui en recevront 50 % chacun. D. Du vendeur qui doit payer en contrepartie une indemnité compensatoire à l acquéreur. 16/ Le taux d épargne financière des ménages correspond : A. Au rapport entre l épargne brute et le revenu disponible brut. B. Au rapport entre l encours des actifs financiers et le revenu disponible brut. C. A la proportion du revenu disponible brut conservé sous forme liquide. D. Au rapport entre la capacité de financement des ménages et le revenu disponible brut. 4

5 17/ En 2009, le taux d épargne des ménages en France est : A. Inférieur à 10 %. B. D environ 12 %. C. D environ 17 %. D. De l ordre de 20 %. 18/ Fin 2008, l endettement des ménages en France correspond à : A. 33 % de leur revenu disponible brut. B. 40 % de leur revenu disponible brut. C. 55 % de leur revenu disponible brut. D. 75 % de leur revenu disponible brut. 19/ Une obligation à taux fixe est d'autant plus sensible aux variations des taux d intérêt : A. Que sa maturité est longue. B. Que son nominal est élevé. C. Que sa maturité est courte. D. Que son taux facial est élevé. 20/ Qu est-ce qu un Tracker? A. Une catégorie d'indices boursiers réservée aux professionnels. B. Un fonds qui réplique la performance d'un indice et qui est coté en bourse. C. Est une action cotée sur le marché boursier anglais. D. Est l'instrument permettant aux autorités boursières et financières de «traquer» les délits d'initiés ou les variations anormales de cours sur une valeur. 21/ La titrisation est une technique financière utilisée par : A. Les établissements de crédit en vue de céder des créances à une société, créée à cet effet, qui va émettre en contrepartie des titres négociables. B. Les sociétés pour accroître le nombre d actions de leur capital social. C. Les sociétés cotées pour améliorer la liquidité de leurs titres. 22/ Les exportations françaises sont pour l essentiel réalisées par : A. Les sociétés de prestations de services qui réalisent plus de 60% des exportations. B. Les grandes multinationales. C. Un millier d entreprises industrielles qui réalisent plus de 50% des exportations. D. L ensemble des PME industrielles et artisanales. 5

6 23/ Qu est-ce qu une obligation à taux variable? A. Il s agit d une obligation dont le montant du coupon varie en fonction de l évolution d un taux de marché pris en référence. B. Il s agit d une obligation dont le montant du coupon ne varie pas et dont seul le cours varie en fonction directe du taux de marché pris en référence. C. Il s agit d une obligation dont le montant du coupon n est connu qu au jour de son détachement. 24/ En cas d option pour le prélèvement forfaitaire libératoire (PFL), les prélèvements sociaux sont calculés sur? A. La base du montant des dividendes nets encaissés. B. La base du montant des dividendes, avoir fiscal compris. C. Une base forfaitaire, dès lors que le montant des dividendes perçus ne dépasse pas / Le CAC 40 est un indice : A. Pondéré par la capitalisation boursière. B. Pondéré par les prix. C. Pondéré par le flottant. D. Equipondéré. 26/ Les cessions à titre onéreux d actions et parts sociales bénéficient, sous conditions, d un abattement sur les plus-values réalisées. Les gains nets sont réduits d un tiers par année au-delà de : A. La 3 ème année. B. La 5 ème année. C. La 6 ème année. D. La 8 ème année. 27/ Quelles sont les conditions requises pour pouvoir prétendre à bénéficier d un droit de vote double par action? A. L actionnaire doit justifier d une inscription nominative de ses actions depuis plus de 2 ans sans discontinuité. B. L actionnaire doit détenir au moins 2,5 % du capital. C. L actionnaire doit détenir ses actions dans un compte séquestre. D. L actionnaire doit détenir des actions pour lesquelles il a souscrit un engagement de conservation minimum de 5 ans. 6

7 28/ Publié le 1 er jour ouvré de chaque mois à 10h, heure de New York, l ISM Manufacturier : A. Constitue un indicateur primordial de l évolution de l activité industrielle aux Etats- Unis. B. Mesure l état du moral des chefs d entreprises manufacturières américaines. C. Mesure le taux d utilisation des capacités de production industrielle aux Etats-Unis. D. Mesure le taux de couverture des importations par les exportations de biens manufacturés aux Etats-Unis. 29/ La notation donnée par une agence de rating : A. Est un indicateur de la rentabilité de l entreprise notée. B. Est un indicateur de la liquidité de l entreprise notée. C. Est un indicateur de l activité de l émetteur noté. D. Est un indicateur de la solvabilité de l émetteur noté. 30/ Au quatrième trimestre 2009, et selon les statistiques de l Insee, le PIB en volume a : A. Baissé de 0,3 %. B. Augmenté de 0,1 %. C. Augmenté de 0,6 %. D. Augmenté de 0,7 %. 7

8 Association Française des Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés CGPC Membre du Financial Planning Standards Board (FPSB) Association déclarée loi du 1 er juillet 1901 (et textes subséquents) EXAMEN DE CERTIFICATION & 25 mars 2010 CORRIGÉ Unité de valeur 2 Marchés financiers, gestion des valeurs mobilières et des produits financiers Durée : 2 heures - Coefficient : 1 Documents à disposition : Néant 2 nde partie : 10 Questions ouvertes Siège social : 5, rue Tronchet PARIS Tél Fax info@cgpc.fr 8

9 Question n 1 Quels sont les moteurs de la croissance du PIB? Quelle est leur contribution relative au PIB? On appelle «moteurs de la croissance» les dépenses de différentes natures qui contribuent à l écoulement du produit intérieur brut au cours d une année. Ces moteurs sont au nombre de trois : - D abord, il y a les dépenses de consommation finale réalisées à 90% par les ménages, et qui globalement représentent environ 60% du PIB. Ainsi en France, les dépenses de consommation sont le principal moteur de la croissance. C est leur progression, modeste mais réelle en 2009, qui a permis de limiter l ampleur de la récession. - Ensuite, les exportations permettent d écouler environ le quart de ce qui est produit en France au cours d une année. Compte tenu de la crise, le montant des exportations française en 2009 a fortement régressé, contribuant de façon négative à l évolution du PIB. - Enfin, les dépenses d investissements, productifs (réalisés par les entreprises), collectifs (réalisés par les administrations) ainsi que ceux des ménages dans la construction immobilière comptent pour moins de 17% et ont fortement régressées (en recul d environ 25% par rapport à 2008), contribuant ainsi négativement à l évolution du PIB. Par ailleurs, la variation des stocks constitue une variable d ajustement. Quand les stocks gonflent au cours d une année, ils contribuent de façon positive à la croissance. Quand ils se contractent, il y destockage et autant de production en moins, ils contribuent donc de façon négative à la croissance. On dit ainsi que deux des moteurs de la croissance sur trois sont en panne, d où l importance accordée à l analyse du comportement des ménages et de leur moral. Dans la situation actuelle la reprise économique demeure fragile et la croissance uniquement dépendante du niveau de consommation des ménages. 9

10 Question n 2 Qu est-ce qu un fonds à formule? Quelle différence avec un fonds à promesse? Le fonds à formule a pour objectif d atteindre un montant final, calculé à partir d une «formule» mathématique, d où leur nom. Seul l objectif final peut être garanti : pendant la durée de vie du fonds, sa valeur dépend de celles des valeurs le composant. Toute sortie anticipée engendre la perte de la garantie ou de la performance annoncée. Le fonds à formule utilise des outils sophistiqués pour afficher, dès la souscription, des performances possibles liées à la survenance d un événement (progression d un indice ). La garantie varie en fonction du type de fonds à formule. Le fonds à promesse est un type de fonds à formule, qui apporte la garantie de récupérer tout ou partie de l investissement initial, à la condition que le placement soit bloqué pendant une certaine durée, avec l'espoir d une performance déterminée. 10

11 Question n 3 Qu appelle-t-on une gestion «Growth» et une gestion «Value»? Parmi les droits pécuniaires, qui constituent avec le droit de vote la valeur d une action, se trouvent : - d une part, le droit au bénéfice, qui justifie le recours au PER pour mesurer et comparer objectivement le cours d une action dans le temps ou par rapport à d autres. Le PER est le rapport entre le cours et le bénéfice net par action (BNpA) auquel donne droit chaque action. L intérêt du PER réside moins dans le ratio cours sur BNpA passé que dans les BNpA escomptés ou espérés pour l avenir. Toutes choses étant égales par ailleurs, plus la croissance du bénéfice par action est importante, plus la croissance du cours de l action sera importante. Or l évolution du BNpa est fonction à la fois de l évolution de l activité de l entreprise ( plus celle-ci est forte, plus le cours de l action a des chances de progresser, et inversement), et de celle de la marge bénéficiaire. Un gérant «growth» privilégie dans sa sélection d actions celles de sociétés dont les perspectives de croissance de l activité (corrélation avec le PIB) lui semblent les plus élevées, et dont le management met en œuvre une politique d amélioration de la rentabilité.. - D autre part, le droit au boni de liquidation, qui durant la vie de l entreprise s assimile à la notion d actif net. Le gérant «value» privilégie les actions de sociétés peu endettées, dont la valeur des actifs immobilisés, dont la valeur patrimoniale, est peu dépendante de l évolution de son activité. Il s agit par excellence des entreprises foncières, dont le cours des actions dépend pour une large part de l évolution du marché immobilier. La gestion «value» pourrait être qualifiée de prudente et adaptée à une situation de faible croissance, alors qu à l inverse, une gestion «growth» pourrait être qualifiée de dynamique en permettant de, probablement, mieux tirer parti des périodes de croissance. A long terme, les performances des gestion «growth» et «value» se rejoignent après avoir divergées en fonction des alternances de phases de croissance et de ralentissement. 11

12 Question n 4 : Quels sont les principaux avantages et inconvénients d un paiement de dividendes en actions? Les sociétés peuvent proposer de distribuer leurs dividendes en actions : ce ne peut être qu une option, les actionnaires conservant leur droit de percevoir ces dividendes en numéraire. Le cours des actions proposées peut être affecté d une décote maximale de 10 % du cours moyen des vingt dernières séances de bourse. Les avantages : En cas de hausse du cours de l action, une distribution en actions permet d acquérir des titres à un prix inférieur à celui du marché le jour de l exercice de l option, notamment grâce à la décote indiquée ci-dessus. En outre cet achat se fait sans frais de transaction. La distribution en actions ne pèse pas sur le niveau d endettement de l entreprise et n affecte donc pas sa structure financière en conservant intacte sa capacité d emprunter. Dans la mesure où certains actionnaires ne souhaitent pas recevoir des actions, il peut y avoir un léger effet relatif pour les actionnaires qui exercent l option, leur part dans le capital augmentant mécaniquement. Les aspects négatifs : Pour les sociétés faiblement endettées, ou présentant de bonnes perspectives de cash flow libre, la distribution de dividendes en actions ne permet pas de profiter de l effet de levier de taux d intérêt normalement inférieurs au taux de rentabilité des capitaux investis. La fiscalité sur les dividendes étant la même quel que soit le mode de distribution, l actionnaire qui reçoit des actions devra financer le paiement de l impôt sur les dividendes, sauf si la somme de ses revenus d actions reste en-deçà des abattements existants. Enfin, il y a un délai assez long entre le jour de l exercice de l option et le jour de la première cotation des nouvelles actions qui constitue un risque de marché incontournable. 12

13 Question n 5 Quels sont les principaux avantages et les principales limites de la gestion collective par rapport à la gestion d un portefeuille en direct? Avantages : - La gestion collective offre l accès à un mode de gestion - Elle offre également un accès à des marchés très spécifiques (ex. Pictet eastern europe, Carmignac Emergeant, HSBC India ). - C est un élément de diversification plus aisé et plus accessible. - C est un outil fiscalement intéressant (capitalisation). - Elle offre un accès possible à tous les cadres juridiques (CTO, PEA, Assurance vie, contrats de capitalisation, structures sociétaires). - elle permet l accès à des moyens et des techniques de gestion inaccessibles à l investisseur individuel (ex. couverture de change, gestion des risques ). Limites : - Frais d entrée, frais de gestion, - Ordres à cours inconnu, sauf cas particulier des trackers. - La performance est souvent liée à la qualité du gestionnaire qui peut changer sans que les clients le sachent. 13

14 Question n 6 Quelles sont les données patrimoniales contenues dans le certificat de prescription? Quel rapport y a-t-il avec la Loi de Sécurité Financière? L'objectif de la Loi Sécurité Financière du 01/08/2003 est avant tout de s'assurer que tout prospect/client se voit délivrer par le conseiller une information claire, objective, transparente, adaptée à sa situation. Cette information doit lui permettre de : Comprendre l'opération qui lui est proposée Connaître ses conditions économiques et financières Connaître les risques qu'elle comporte Dans ce cadre, le certificat de prescription reprend la justification patrimoniale des solutions préconisées. Son contenu est donc de plusieurs types : L âge du client Des données sur le patrimoine du foyer : le patrimoine simplifié Des données sur l investissement du client : L objectif Le montant La durée Le questionnaire permettant de définir profil d investisseur du client Le type de gestion L ensemble de ces données permet de proposer une allocation type au client. 14

15 Question n 7 Quelles différences y a-t-il entre les SICAV indicielles et les trackers? Les trackers ou ETF (Exchange Traded Funds) sont des sortes de placements collectifs constitués par des paniers d actions (ex : pharmacie, automobile, énergie..) et des indices (CAC 40, Eurostox 50..). Les trackers ont le statut juridique des OPCVM. Mais ils comportent d importantes différences de fonctionnement, notamment avec les SICAV indicielles. Les trackers sont cotés en bourse. On peut les acheter et les vendre comme des actions. Les trackers ne font pas l objet d une gestion active. Il n y a pas d arbitrage pour essayer de remplacer une valeur par un autre jugée plus performante. Les trackers donnent droit à des dividendes. Le régime fiscal des trackers est celui des OPCVM. Ils se négocient comme des actions : de ce fait ils supportent des frais de gestion et de courtage moins élevés que les sicav. D un maniement plus aisé et plus rapide que les sicav indicielles, les trackers ont un encours moins élevés que celui des fonds indiciels. 15

16 Question n 8 Quelles sont les missions et les objectifs de la politique monétaire assignées au Système Européen des Banques Centrales? Quels sont les moyens d intervention de la BCE pour mener à bien sa mission? Quelles conséquences les interventions de la BCE ont-elles pour le patrimoine des particuliers? Les missions fondamentales de la BCE consistent à : définir et mettre en œuvre la politique monétaire de la zone Euro ; conduire les opérations de changes détenir et gérer les réserves officielles de changes des états membres de l union monétaire promouvoir le bon fonctionnement des systèmes de paiements. Les moyens d assurer ces mission se traduisent par l interdiction faite au Gouverneur et aux membre du Conseil de Politique Monétaire de solliciter ou d accepter des instructions des gouvernements ou de toute autre personne (indépendance de la Banque Centrale européenne) «L objectif principal de la BCE», selon les dispositions du Traité de Maastricht, «est d assurer la stabilité des prix». Par ailleurs, sans préjudice à l objectif principal, la BCE apporte son soutien aux politiques économiques générales dans l Union, en vue de contribuer à la réalisation des objectifs de l Union. Pour atteindre ses objectifs, la BCE assure le contrôle de la masse monétaire en circulation afin de contenir sa croissance dans des limites compatibles avec la croissance de l économie réelle des pays de l Union. Elle assure le contrôle de la liquidité : en assujettissant les établissements de crédit à la constitution de réserves obligatoires sur des comptes ouverts dans ses livres, en procédant à leur refinancement par le biais d opérations d open market dont les plus significatives sont les opérations principales de refinancement d une durée de 7 jours et qui ont lieu chaque semaine. En offrant aux établissements de crédit des facilités permanentes (dites aussi marginales) de prêts et/ou de dépôts à 24 heures L outil de prédilection de la politique monétaire sont les taux d intérêt. Le comité de Politique Monétaire fixe lors de sa réunion mensuelle, le premier jeudi de chaque mois, les taux auxquels la BCE interviendra pour le refinancement du système bancaire. Ces taux sont au nombre trois. Il s agit : du taux des opérations principales de refinancement hebdomadaires, appelé taux REFI du taux des facilités marginales de prêts, appelé taux «Plafond» du taux des facilités marginales de dépôts, appelé taux «Plancher». Ces deux derniers taux encadrent de façon symétrique le taux RFEI et constituent avec celui-ci les Taux Directeurs de la BCE, formant ainsi une fourchette à l intérieur de laquelle s établit le taux auquel les établissements de crédit s échangent quotidiennement des liquidités : le taux EONIA. 16

17 Question n 9 Quelles sont les grandes catégories d obligations? Quels sont les objectifs patrimoniaux qu elles permettent d atteindre? Il existe de nombreux types d obligations. On distingue principalement : les obligations classiques à taux fixe (les plus nombreuses) : quels que soient les résultats de la société (bénéfices ou pertes), le taux annuel reste inchangé entre émission et échéance, les obligations à taux variable ou révisable : le taux d intérêt et le capital peuvent varier en fonction de deux principaux indices de référence (le taux monétaire EONIA et l indice d inflation). Les valeurs mobilières donnant accès au capital ou donnant droit à l attribution de titres de créance, plus couramment appelées valeurs composées, ont été créées en remplacement de certains titres complexes donnant un accès différé au capital, dont les obligations convertibles ou échangeables en actions. 17

18 Question n 10 Quels sont les déterminants de la valeur des options? Le cours du sous-jacent: Pour une option d achat, plus le cours du sous-jacent monte, plus la valeur de l option augmente, puisque le prix d exercice est fixe. Pour une option de vente, la relation est inverse. Le prix d exercice: Pour une option d achat, plus le prix d exercice est élevé, moins l option est intéressante, donc plus sa valeur est faible. Pour une option de vente, plus le prix d exercice est élevé, plus l option a de la valeur. Dans les deux cas, la composante du prix de l option qui est affecté par le niveau du prix d exercice est la «valeur intrinsèque». Le niveau des taux d intérêt: Pour une option d achat, le prix fixé à terme est le prix d achat du sous-jacent, dont la valeur actuelle diminue quand le taux d intérêt augmente. Par conséquent, plus les taux d intérêt sont élevés, plus les options d achat ont de la valeur. Pour une option de vente, le prix fixé à terme étant le prix de vente du sous-jacent, plus sa valeur actuelle est faible moins l option de vente est intéressante, donc plus les taux d intérêt sont faibles, plus les options de vente ont de la valeur. L incidence des taux d intérêt n est toutefois pas très forte sur la valeur des options. L échéance: Pour une option d achat, comme pour une option de vente, plus l échéance est proche, moins l option a de valeur. C est la composante «valeur temps» qui est forte quand l échéance est éloignée puisque cela laisse du temps au sous-jacent pour atteindre ou dépasser un niveau de prix à la hausse ou à la baisse. La volatilité du sous-jacent: La volatilité mesure l amplitude des variations du sous-jacent. Plus la volatilité est forte, plus les options d achat ou de vente ont de valeur. La prime étant versée définitivement à la souscription du contrat, plus les variations de valeurs du sous-jacent sont fortes plus, relativement, le poids de la prime est atténué et donne donc un intérêt à l exercice de l option. La volatilité est un déterminant important du prix de l option. 18

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