COMPTE-RENDU DE LA VISITE DE SYSTEMES D AMAP EN ALSACE DU SUD, FRANCE, 2009
|
|
- Sandrine Leduc
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMPTE-RENDU DE LA VISITE DE SYSTEMES D AMAP EN ALSACE DU SUD, FRANCE, INTRODUCTION Le but principal de notre visite en France était de faire la connaissance du fonctionnement de rapports locaux entre les producteurs et les consommateurs dans le sud de l Alsace. Notre visite a eu lieu du 2 au 5 septembre 2009, dans les environs de la ville de Mulhouse. Au total, 12 personnes ont été invitées : 4 de la région de Bratislava (dans l ouest de la Slovaquie), 4 de la région de Zvolen (en Slovaquie centrale) et 4 de la région de Košice (en Slovaquie de l Est). 2 LE SYSTEME D AMAP Le rôle de rapports locaux entre producteurs et consommateurs est de faire la liaison entre les fermiers (producteurs) et les consommateurs, en vue de l assurance de la production durable des aliments. Ces rapports locaux fonctionnent à travers les systèmes d Association pour le Maintien de l'agriculture Paysanne (AMAP), dont nous avons pu observer et connaître les principes et le fonctionnement. Le système d AMAP crée les rapports économiques et sociaux entre fermiers et consommateurs au niveau local. Ce système assure la production d aliments sains à des prix acceptables pour les consommateurs et une possibilité de vendre des produits pour le producteur, alors le système est intéressant pour les deux parties de cette relation. En plus, il aide à la préservation de la fonction de l agriculture et à la diversité à la campagne, en ce qu il propose des possibilités d emploi. Les petits fermiers ont la capacité de survivre et, de plus, ils peuvent produire dans la qualité BIO. A travers le système d AMAP, les consommateurs ont la possibilité d influencer directement la production des aliments au niveau de la qualité et de la quantité ils décident ce qui sera cultivé, en quelle quantité et avec quelle qualité. Tout le système n envisage pas directement un marché global fluctué, il est beaucoup plus stable contre les influences externes négatives (la crise économique, la baisse de prix du marché, les conditions d écoulement dans les chaînes commerciales etc.).
2 Le principe essentiel du système d AMAP est qu un producteur un fermier a ses consommateurs qui passent les commandes et les paient une année avant. Un fermier distribue ses produits à travers les paniers dans les lieux de distribution. La communication mutuelle entre producteur et consommateurs est l un des éléments le plus important du système d AMAP. Un producteur rencontre régulièrement ses consommateurs (surtout en hiver) pour planifier la saison suivante. Les consommateurs proposent ce qu ils veulent avoir dans leurs paniers. Ils ont la possibilité d arriver à la ferme et d observer (et aussi de participer) les processus de culture des aliments. Le producteur fermier prépare un panier pour ses consommateurs avec les aliments (par exemple avec des légumes, des fruits, des produits laitiers, de la viande etc.). Un lieu de distribution est un lieu où le fermier apporte ses produits et les consommateurs viennent les chercher. Le lieu et la date de distribution sont prévus à l avance. Chaque consommateur a conclu un contrat avec son producteur, où le rapport mutuel juridique est défini exactement, ainsi que les privilèges et les droits des parties concernées, les conditions de la terminaison de leur coopération etc. Un panier avec des légumes. Un lieu de distribution à Mulhouse. 3 NOTRE VISITE EN ALSACE, FRANCE Pendant notre séjour en Alsace, nous avons visité 6 fermes, où nous avons eu la possibilité d observer, de comparer et surtout de poser des questions aux fermiers qui nous ont expliqué la marche de leurs fermes, on a discuté beaucoup des avantages de l AMAP, mais aussi des problèmes qui sont arrivés au début etc.
3 1. La ferme pour la production de légumes et de fruits de Raphaël Gasser La superficie totale de la ferme de Raphaël Gasser est de 10 ha. On cultive des légumes, des fruits, des pommes de terre, des asperges, des fruits rouges, des jeunes plants de légumes. Le fermier vend 90 % de sa production à travers le système d AMAP, le reste est vendu à sa ferme à travers la vente directe et au marché. La production est stockée dans les freezers. Pour le système d AMAP, ils sont passés de l agriculture conventionnelle à l agriculture biologique. Pour la culture des légumes, aucun herbicide n est utilisé. 2. La ferme pour la production de la viande de Jean-Louis Mona Jean-Louis Mona est un jeune fermier (de 23 ans) qui est en train de passer de l élevage conventionnel du bétail de ses parents à l élevage extensif dans le cadre de l agriculture biologique. Il élève des vaches et des porcs dans sa ferme, d une superficie totale de 84 ha. Sa ferme produit du lait et 3 types de viande : du boeuf, du porc et de la volaille. Les animaux sont tués dans un abattoir certifié qui sert à plusieurs fermiers. D autre part, la volaille est fournie par une autre ferme, mais dans l avenir, l élevage de ces animaux sera planifié. Après le transport de la viande de l abattoir, la viande est traitée directement à la ferme dans des salles spéciales. La viande est découpée en morceaux de 0,5 kg, elle est emballée sous vide et distribuée congelée aux consommateurs. Tous les consommateurs reçoivent une même qualité de morceaux de la viande. Les paniers contiennent de 1 à 3 types de viande. Les paniers sont commandés et payés 6 mois (ou une année) avant et ils sont distribués une fois par mois.
4 3. La ferme pour la production du lait et des fromages Nadège Goepfert et Laetitia Von Boxsom Nadège Goepfert et Laetitia Von Boxsom sont des associées qui possèdent une ferme pour la production de viande, du lait, des fromages et des autres produits laitiers (du beurre, des yaourts etc.). Leur production est vendue à travers le système d AMAP, mais aussi au marché. Pour le moment, ces agricultrices élèvent 9 vaches, 30 chèvres, des brebis et des porcins. Chaque jour, elles produisent 30 l de lait de vache et 90 l de lait de chèvre. À partir de l année prochaine, elles vont produire aussi du lait et du fromage de brebis. Il y a 2 ans qu elles ont commencé à vendre leur production à travers le système d AMAP et elles ont à peu près 150 familles de consommateurs. Ceux-ci payent leurs paniers à l avance, toujours avant la saison. La différence à la vente de fruits et de légumes repose dans le fait que les espèces concrètes de fromages et d autres produits sont commandées seulement une semaine avant. Grâce à l AMAP, elles ont pu employer une personne de plus et elles ont davantage de sécurité en ce qui concerne leurs revenus. Leur ferme sert aussi aux visites des écoles - c est une ferme pédagogique qui est très intéressante pour les enfants. 4. La ferme pour la production de la viande d agneau Christophe et Géraldine Wanner De la superficie totale de leur ferme, ils ne possèdent que 2 ha. Le reste 18 ha est loué à plusieurs propriétaires en parcelles différentes. Ils sont membres du système d AMAP depuis 2 ans. Ils ont commencé avec 30 brebis, aujourd hui ils en élèvent 140. Les brebis sont tuées à l abattoir externe certifié, où la viande est aussi traitée
5 (parce qu il n y a pas ni éléctricité, ni eau dans leur ferme). Un panier contient ¼ ou un ½ d agneau (4 ou 8 kg). La viande est emballée sous vide. Les paniers sont distribués 2 fois par l année: en septembre / octobre et en décembre / janvier. Leur production n est pas certifiée comme biologique, mais ils n utilisent pas les méthodes conventionnelles l élevage. Les animaux sont élevés librement, ils sont rarement dans les étables; pour les soigner les méthodes homéopathiques sont utilisées. Grâce au système d AMAP, les Wanner peuvent donner tout leur temps à leur ferme et ils ne sont pas obligés d avoir un autre travail en plus. 5. La ferme pour la production de fruits et de légumes Yann et Armelle Meury Yann et Armelle Meury travaillent sur un sol épuisé où, pendant des années, le maïs a été cultivé. Ils ont profité de l aide de l association «Terre de Liens», qui achète des terrains et les loue à des jeunes fermiers qui exploitent leur ferme dans le système de l agriculture écologique. Ils ont commencé avec 60 ares de terrain, maintenant ils possèdent 2 ha. Leur production est orientée vers la production de légumes et de fruits. Dans l avenir, ils voudraient aussi élever des brebis pour la production de fromage et de fumier qui est important pour la culture de légumes et pour l enrichissement du sol épuisé. Ils utilisent les méthodes biodynamiques de la culture des légumes. La production de cette ferme est de 60 paniers par semaine. L intention des fermiers est d avoir une petite ferme familiale avec une production pour un cercle restreint de consommateurs. Grâce à ces consommateurs et au système d AMAP, ils peuvent travailler dans leur ferme, améliorer le sol épuisé, et sauver des espèces originelles de fruits et de légumes de cette région qui pourraient disparaître dans le système d agriculture conventionnelle.
6 6. La ferme de la production de fruits Frédéric Schwab La ferme de Frédéric Schwab comporte 3 terrains d une superficie totale de 7 ha. Elle est orientée vers la production de fruits. Chaque année, à peu près 100 t de fruits sont produits, dont t de pommes et le reste, ce sont des cerises, des prunes, des pêches, des poires et des abricots. Frédéric Schwab crée des produits divers en fruits des pommes séchées, du vinaigre de pommes, des confitures, du cidre. Cette année, il a produit aussi 5 t de tomates. Il y 3 ans que la majorité de sa production (environ 80 %) a été vendue au commerce en gros, le reste a été vendu sous la forme de vente directe. Aujourd hui, il vend 100 % de sa production à travers le système d AMAP et grâce à une vente plus sûre sa production augmente de 40 %. Frédéric Schwab cultive ses produits dans le système de l agriculture écologique. Il n utilise pas d herbicides. Il utilise des méthodes biologiques différentes pour la protection des plantes et pour la fertilisation. Le trèfle, qui fixe l azote aide à la fertilisation du sol. Il est planté entre les rangées d arbres. Ce fermier a commencé à travailler avec le système d AMAP avec 28 familles il y a 3 ans. Aujourd hui, il produit pour 320 familles. 27 représentants de consommateurs ont créé un conseil qui communique avec un fermier. Les décisions de cette communication sont transmises aux autres consommateurs. Une fois par an (au minimum), Frédéric Schwab rencontre tous ses consommateurs, et ils parlent ensemble de la saison suivante (les propositions d amélioration, ce qu il faut éviter, etc.). 4 CONCLUSION La visite des systèmes de rapports locaux entre les producteurs et les consommateurs du système de l AMAP a été très enrichissante pour nous. Nous avons eu la possiblité unique de voir comment ce système fonctionne. En plus, nous avons appris à connaître des méthodes concrètes de culture des plantes ou d élevage, selon le système de l agriculture biologique. Le
7 système de l AMAP peut servir comme un très bon exemple pour le système qu on voudrait introduire aussi chez nous, en Slovaquie. Grâce à notre visite en Alsace notre vision d un tel système devient plus clair et plus réalisable.
Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailMieux connaitre votre enfant
Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailCréer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :
S informer et agir! Créer une AMAP Qu'est-ce que c'est? L'AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (marque déposée), dont l'objet principal est de "mettre en lien paysans et
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailkit de création d une amap
kit de création d une amap sommaire L éthique des amap 1. Le concept des AMAP. Définition. Origine du concept. Les objectifs des AMAP. Les valeurs des AMAP 2. Les motivations et les engagements des producteurs
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailPerceptions et préférences des consommateurs pour les fromages d alpage
Perceptions et préférences des consommateurs pour les fromages d alpage Table des matières 1. La méthode des focus groupes 2 2. Connaissance des produits d alpage 3. Les consommateurs perçoivent les fromages
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailInformation destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile
Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe
Plus en détailLe secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur
Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détail> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français
> ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailCONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa N de dossier : (adresse) N 11534* 02 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L EQUIPEMENT ET DE L'AGRICULTURE du Tél. Fax : CONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailObservatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires
> ÉDITION avril 2015 RAPPORT AU PARLEMENT FranceAgriMer 12 rue Henri Rol-Tanguy / TSA 20002 / 93555 Montreuil cedex www.franceagrimer.fr https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr MINISTÈRE DE L
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailService de l agriculture
Yves Brunelli (Y.B.) Service de l agriculture Département de l économie, de l énergie et du territoire Service de l agriculture Departement für Volkswirtschaft, Energie und Raumentwicklung Dienststelle
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailLIVRET DE PRESENTATION
LA GENÈSE DES JARDINS DE CONTRAT 1992, Château-Renault Trois passionnés ouvrent un chantier d'espaces verts et un atelier de menuiserie. Leur but : faire partager leur savoir-faire, l association Contrat
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailSituée à 50km de Paris, la Bergerie est le lieu idéal pour vos Séminaires.
Située à 50km de Paris, la Bergerie est le lieu idéal pour vos Séminaires. Réservation au : CZE Bergerie Nationale Parc du Château CS 40609 78514 Rambouillet cedex Tel : 01 61 08 68 70 E mail : animation.bn@educagri.fr
Plus en détail60 produits solidaires pour les familles
60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION Pur etc. : un Fast Good A tout moment de la journée, PUR etc. propose des produits cuisinés comme à la maison, autour de fruits et légumes de saison, et fait de la qualité et la
Plus en détailCALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012
PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02
Plus en détailNos Equipes Rigoureuses et Chaleureuses sauront vous donner satisfaction à chaque étape de l Elaboration de Votre Réception
Del Forno Traiteur 227 Route de Montmerle Saint Georges de Reneins Tel : 04 74 67 61 73 Fax : 04 74 67 60 68 Madame, Monsieur Nous vous remercions de votre demande de Buffet auprès de Notre Société. Nous
Plus en détailLeçon 10. Je quitte la maison - par où commencer? Matériel : Niveaux : Buts : Vocabulaire : Temps requis :
SECONDAIRE Leçon 10 Je quitte la maison - par où commencer? Niveaux : S1, S2 (9 e, 10 e ) Buts : Aider les élèves à se préparer lorsqu ils quittent l école pour vivre seul ou avec un locataire. Vocabulaire
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailDANET TRAITEUR. PRESTATIONS «ENTREPRISE» Plateaux repas et panier sandwich LA QUALITE AU SERVICE DE VOTRE ENTREPRISE
DANET TRAITEUR 6 impasse des Chasseurs 14120 MONDEVILLE danet.traiteur@gmail.com TEL 02.31.34.09.12 / 06 33 68 25 98 Site internet : www.danet-traiteur.com/ DANET TRAITEUR LA QUALITE AU SERVICE DE VOTRE
Plus en détailINITIATIVE BIO BRETAGNE
Il fait dans mon assiette Charte régionale des engagements réciproques entre les acteurs de la filière Bio et de la Restauration Collective pour l intégration d ingrédients Bio dans les repas en Bretagne
Plus en détailAnalyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique
Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc
Plus en détail16. Si j étais agriculteur : histoire dont vous êtes le héros
16. Si j étais agriculteur : histoire dont vous êtes le héros Secondaire, cycle 2 Durée : 60 min. Grâce cette activité les élèves découvrent et comparent les différentes réalités sociales et économiques
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailMON LAIT ISSU DE VACHES NOURRIES AUX OGM?
MON LAIT ISSU DE VACHES NOURRIES AUX OGM? L U X E M B O U R G octobre 2005 Ë Les OGM, nos animaux d élevage et nous : 20 millions de tonnes d OGM sont importées chaque année en Europe. 80% de celles-ci
Plus en détailTomate. TOMATE ronde Belgique extra 57-67mm colis 6kg 1.62. TOMATE ronde Belgique extra 67-82mm colis 6kg 1.60
Tomate moyen mini maxi Euro Euro Euro Cavaillon 17/01/13 (Production) unité : le kg* qté:tonne* TOMATE ronde Sud-Est grappe 2.50 2.20 Perpignan 17/01/13 (Production) unité : le kg* TOMATE cocktail Roussillon
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailSommaire. 1/ Terroir des Alpilles, une nouvelle formule pour un marché des saveurs MADE IN ALPILLES! page 3
Sommaire 1/ Terroir des Alpilles, une nouvelle formule pour un marché des saveurs MADE IN ALPILLES! page 3 2/ Agriculture et territoire des Alpilles page 4 3/ Des exposants page 5 4/ Des animations page
Plus en détail«So Fair, So good!» *
Vitry-sur-Seine avril 2012 Artisans du Monde lance 3 nouvelles boissons rafraîchissantes Bios et Equitables! «So Fair, So good!» * *Si juste, si bon! PRESENTATION DES PRODUITS Nouvelle gamme de boissons
Plus en détail«Agir rend heureux» POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
«Agir rend heureux» Yann Arthus-Bertrand FONDATEUR DE LA FONDATION GOODPLANET POUR DES ACHATS RESPECTUEUX DE L ENVIRONNEMENT, DES FEMMES ET DES HOMMES, GOODPLANET VOUS INFORME ET CASINO VOUS DONNE LE CHOIX!
Plus en détailQuelles sont les chances des petits producteurs de se
Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailVOYAGE D ÉTUDES ET DE FORMATION EN
VOYAGE D ÉTUDES ET DE FORMATION EN PRODUCTION LAITIÈRE BIOLOGIQUE ANGLETERRE - PAYS DE GALLES DU 26 MARS AU 12 AVRIL 2010 Un groupe de producteurs agricoles et d intervenants réaliseront un voyage de formation
Plus en détailLes produits solidaires, 100 jours pour convaincre!
Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait
Plus en détailDossier d information
Dossier d information 1 Sommaire L histoire de La Vie Claire............................................................................ 4 La Vie Claire aujourd hui.............................................................................
Plus en détailGuide. solutions locales pour une consommation dur ble
Guide de solutions locales pour une consommation dur ble L achat éco-responsable passe par des choix qui concilient au mieux les enjeux économiques, sociaux et environnementaux liés aux produits (biens
Plus en détailMenu 2015. MBA Recherche
1 Repas à 22$ 2 Repas léger Potage du moment + Quiche individuelle et petite verte + Choix de : florentine, tomates séchées et chèvre ou Lorraine + Dessert du jour ou salade de fruits Repas de pâtes Salade
Plus en détailMENU MENUA. Barazki eta fruitu freskoen astea: Ekainaren 12tik 21era. Semaine Du 12 au 21/06/2015. 2015eko ekainaren 15etik 19ra
MENU MENUA Semaine Du 12 au 21/06/2015 Semaine du 15 au 19 Juin 2015 Lundi 15/06/15 Tomates vinaigrette (Local) Boeuf mironton (Local) Poêlée Méridionale (Haricots verts, salsifis, poivrons, aubergines)
Plus en détailLes stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL
Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailTreize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses
Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012
ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailCONTROLE DES STRUCTURES DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER. Avant de remplir cette demande, lisez attentivement la notice d information.
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE cerfa DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DU PUY DE DOME N 11534* 02 N de dossier : Site de Marmilhat_BP43 63370 LEMPDES Tél : 04-73-42-14-78 ou 04-73-42-14-59
Plus en détailComment utilisons-nous notre argent?
Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le
Plus en détail«Les Potagers de Marcoussis»
«Les Potagers de Marcoussis» Chantier d insertion par le maraîchage biologique Le «Projet conserverie» : Création d une unité de transformation de fruits et légumes locaux, sous forme de structure d insertion
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailMauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs. Commerçants. Gouvernements. Transformateurs
Mauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs Ne savent pas : Que planter? Où bien vendre? Comment vendre? Transformateurs Ne peuvent pas bien : Prévoir leurs appro. (stocks?) Planifier
Plus en détailN abandonnons pas notre héritage commun.
N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert
Plus en détail