Prévention des risques sanitaires liés aux légionelles Réunion DRIRE / DSDS CCIG mardi 9 novembre 2004

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prévention des risques sanitaires liés aux légionelles Réunion DRIRE / DSDS CCIG mardi 9 novembre 2004"

Transcription

1 Prévention des risques sanitaires liés aux légionelles Réunion DRIRE / DSDS CCIG mardi 9 novembre /11/04 DSDS DE GUYANE 1

2 sommaire 1/ présentation de la légionelle et historique des épidémies de légionellose 2/ diagnostic, traitement, gravité de la légionellose 3/ la réglementation applicable 4/ la recherche des légionelles dans l eau 5/ règles de conception préventives 6/ retours d expérience 7/ bilan des actions engagées en Guyane et présentation de la fiche réflexe légionellose 8/ discussion 09/11/04 DSDS DE GUYANE 2

3 Présentation de la légionelle et historique des épidémies de légionellose 09/11/04 DSDS DE GUYANE 3

4 Présentation-historique (1/6) -histoire- Avant 1870, les principales maladies infectieuses d origine, bactérienne, virale, ou parasitaire humaines sont connues (peste, choléra, fièvre jaune, tuberculose, variole.) Entre 1870 et 1890, la quasi-totalité des bactéries d importance en santé humaine ont été découvertes en l espace de 20 ans Un siècle plus tard, en 1976 une nouvelle bactérie est découverte: la LEGIONELLE 09/11/04 DSDS DE GUYANE 4

5 Présentation-historique (2/6) -l épidémie de Philadelphie- En août 1976, à Philadelphie,pour la première fois est identifiée une nouvelle bactérie Réunion de 4000 congressistes de l American Legion dans un hôtel climatisé 221 congressistes victimes de pneumopathies aigües 34 décès Origine: contamination du système de climatisation d air par une bactérie à l époque une attaque bioterroriste est suspectée 09/11/04 DSDS DE GUYANE 5

6 Présentation-historique (3/6) -l origine des épidémies de légionellose- Depuis 1978 de nombreux phénomènes épidémiques sont recensés en France comme à l étranger et sont associés aux lieux de travail (traitement d air, prise de douches) à la pratique de sports (prise de douches) et de bains bouillonnants,... aux voyages (bateaux de croisière) à la fréquentation d hôtels et de campings (prise de douches) à la pratique du thermalisme (soins thermaux-douches) au séjour dans des établissements de santé (soins médicauxdouches) à l existence de tours aéro réfrigérantes (exposition extérieure) (les climatisations individuelles ne sont pas -ou très peuconcernées) 09/11/04 DSDS DE GUYANE 6

7 Présentation-historique (4/6) -écologie bactérienne- La légionelle est un bactérie flagellée en forme de bâtonnet 43 espèces et 64 sérogroupes existent dont 18 ont été isolés chez l homme 3 Legionella pneumophila sont responsables de 80 % des cas de légionellose à elle seule, Legionella pneumophila de sérogroupe 1, est responsable de 70 % des cas de légionellose 09/11/04 DSDS DE GUYANE 7

8 Présentation-historique (5/6) -écologie bactérienne- La légionelle est une bactérie ubiquitaire, très présente dans les sols humides et les eaux douces (rivières, lacs, étangs ) Certains facteurs favorisent son développement: température de développement entre 25 et 45 C (destruction de 90% des bactéries en 2 minutes à 60 C) présence de vase, algues, particules organiques, dépôts de calcaire, rouille... 09/11/04 DSDS DE GUYANE 8

9 Présentation-historique (6/6) -mode de contamination- La contamination se réalise par l inhalation d aérosols (fines gouttelettes d eau contaminée) et non par la consommation d eau (la recherche de légionelles n est pas prévue dans les analyses de potabilité) La contamination peut se réaliser à longue distance (panaches de tours aéro réfrigérantes) la légionellose est une maladie non contagieuse, non immunisante et sans prévention vaccinale 09/11/04 DSDS DE GUYANE 9

10 La réglementation sanitaire applicable 09/11/04 DSDS DE GUYANE 10

11 La réglementation sanitaire applicable (1/3) - les établissements de santé- En 1997 et 2002 ont été publiées par circulaire, des instructions en matière de lutte et de prévention du risque légionellose dans les Établissements de santé principe de surveillance des installations à risque (eau chaude sanitaire et tours aéro réfrigérantes) règles de conception et maintenance des installations introduction du principe de surveillance de la température de l eau comme indicateur de contamination objectifs à atteindre (<1000 UFC/litre pour l ensemble des services et <50 UFC/litre pour les services accueillant des patients à haut risque) 09/11/04 DSDS DE GUYANE 11

12 La réglementation sanitaire applicable (2/3) - les établissements thermaux- En 2000 et 2001 ont été publiées par circulaire et arrêté, des instructions en matière de lutte et de prévention du risque légionellose dans les Ets de thermaux organisation du contrôle sanitaire gestion des non conformités objectifs à atteindre (absence de légionelles à l émergence et aux points d usage) 09/11/04 DSDS DE GUYANE 12

13 La réglementation sanitaire applicable (3/3) - les installations de conditionnement d air- LES INSTALLATIONS DE CONDITIONNEMENT D AIR COLLECTIVES: la limitation du risque légionellose s opère grâce au changement du système d humidification de l air (remplacement des systèmes à eau par des systèmes à vapeur) LES INSTALLATIONS INDIVIDUELLES DE CLIMATISATION, (fonctionnant comme des réfrigérateurs): le risque de dispersion d aérosols étant très limité, aucune disposition réglementaire n existe 09/11/04 DSDS DE GUYANE 13

14 Règles de conception préventives applicables aux E.R.P. 09/11/04 DSDS DE GUYANE 14

15 Règles de conception préventives adaptées à la production d eau chaude sanitaire dans les Établissements Recevant du Public (1/3) Nécessité de prendre en compte le caractère non contagieux de la légionellose l absence de vaccins et de caractère immunisant la présence ubiquitaire des légionelles ses conditions de développement (25-45 C) et de survie Nécessité de mettre en œuvre, des mesures de prévention de la contamination: dans des lieux où sont rassemblées des personnes vulnérables dans des installations techniques où les risques de prolifération et de dissémination bactériennes sont majeurs 09/11/04 DSDS DE GUYANE 15

16 Quelques règles de conception préventives dans les ERP (2/3) Conception des réseaux éliminer les bras morts produire de l eau à plus de 60 C en permanence stocker l eau au minimum maintenir à 50 C jusqu au point d usage distribuer à 40 C (mitiger l eau au dernier moment) Exploitation et maintenance entretenir ballons de stockage et réseaux entretenir la robinetterie Contrôle et surveillance vérifier la température réaliser des analyses périodiques tenir un carnet sanitaire 09/11/04 DSDS DE GUYANE 16

17 Quelques règles de conception préventives dans les ERP (3/3) En cas de contamination par les légionelles des méthodes de «désinfection chocs» sont utilisées le choc thermique (70 C en sortie de tous les robinets pendant 30 minutes) le choc chloré (15 mg/l de chlore dans tout le réseau pendant 24h) ATTENTION: CES METHODES DE DESINFECTION PONCTUELLES NE FONT PAS PARTIE DES ACTIONS PREVENTIVES NE PEUVENT ETRE UTILISEES COMME DES MOYENS PERMETTANT D AGIR SUR LES CAUSES DE CONTAMINATION 09/11/04 DSDS DE GUYANE 17

18 Le cadre de la déclaration obligatoire 09/11/04 DSDS DE GUYANE 18

19 Le principe de la Déclaration Obligatoire (1/6) Depuis 1987 la légionellose est une maladie à déclaration obligatoire auprès du médecin inspecteur chargé de la veille sanitaire de la DDASS (DSDS en Antilles-Guyane) Jusqu à la fin des années 90, le nombre de cas déclarés chaque année était de l ordre de 50 / an depuis 2001: possibilité de déclaration par les biologistes et les cliniciens Après le renforcement de la surveillance,et la sensibilisation des cliniciens, le nombre de cas a augmenté pour atteindre plus de 1000 cas par an en 2002 et /11/04 DSDS DE GUYANE 19

20 L objectif de la Déclaration Obligatoire (2/6) au niveau local (DSDS): la déclaration permet de réaliser une enquête afin d identifier les expositions à risque, de rechercher d autres cas liés à ces expositions et de prendre les mesures de contrôle environnemental appropriées au niveau national (InVS, CNR): connaître la fréquence, les tendances, les caractéristiques épidémiologiques et d identifier les cas groupés au niveau européen (EWGLI): identifier les cas groupés liés à une source commune d exposition lors d un voyage et prendre les mesures de contrôle environnemental appropriées (le dispositif EWGLY regroupe 31 pays) 09/11/04 DSDS DE GUYANE 20

21 Les critères de la Déclaration Obligatoire (3/6) de cas confirmés: isolement, IF directe, séro-conversion (2 titre >= 128), Ag solubles urinaires de cas probables: titre unique et répété: >= /11/04 DSDS DE GUYANE 21

22 La méthodologie de l enquête à partir de la DO (4/6) Enquête descriptive et active, du ou des cas Investigation microbiologique (profil génomique, CNR) Enquête cas -témoins Enquête environnementale Communication (information sur l enquête, sensibilisation au dépistage et surveillance active des cas) 09/11/04 DSDS DE GUYANE 22

23 Information / communiqué de presse / rétro information (5/6) Dès réception de la DO Fax hôpitaux et centre 15 courrier URML et pneumologues libéraux Lors des investigations poursuite de l information aux mêmes partenaires En fin de crise levée de l alerte, point sur l événement 09/11/04 DSDS DE GUYANE 23

24 La fiche réflexe légionellose en résumé (6/6) Détection d'un cas de légionellose Déclaration obligatoire auprès du médecin de la DSDS chargé de la veille sanitaire Le préfet organise si besoin une cellule de préalerte ou de crise Définition des actions à mener DRIRE/DSDS 09/11/04 DSDS DE GUYANE 24

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...

SYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Gestion du risque lié aux légionelles

Gestion du risque lié aux légionelles CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE Section des eaux Section des milieux de vie Section des maladies transmissibles Gestion du risque lié aux légionelles Novembre 2001 Gestion du risque lié

Plus en détail

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU

CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement

GUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Information détaillée pour Legionella

Information détaillée pour Legionella Information détaillée pour Legionella Legionellosis est une infection de poumon une forme rare de pneumonie causé par une bactérie nommée Legionella pneumophila. Il y a deux formes de legionellosis : la

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

La principale cause du développement

La principale cause du développement LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service

Plus en détail

RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS. Groupe de travail Legionella.

RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS. Groupe de travail Legionella. RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS Groupe de travail Legionella N o CSH: 7509 Edition janvier 2002 Editeur responsable G. De Backer, président

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,

Plus en détail

FORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

FORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE 1. Objectif : Comprendre les enjeux de la maîtrise de l hygiène dans votre entreprise «Agroalimentaire» (Fabrication, conditionnement, logistique, ) Savoir identifier les risques spécifiques à votre activité

Plus en détail

GESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Etude de faisabilité d une inspection multithématique du Stade de France

Etude de faisabilité d une inspection multithématique du Stade de France Ingénieur d Etudes Sanitaires Promotion : 2013-2014 Date du Jury : 8/09/14 Etude de faisabilité d une inspection multithématique du Stade de France Carole BRIZARD R e m e r c i e m e n t s Je tiens tout

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

www.aeos-environnement.fr Création : Noir O Blanc - 02 33 05 91 34

www.aeos-environnement.fr Création : Noir O Blanc - 02 33 05 91 34 www.aeos-environnement.fr Création : Noir O Blanc - 02 33 05 91 34 4 secteurs d activités Gestion des déchets industriels spéciaux Assainissement et nettoyage industriel Nettoyage des réseaux d eau potable

Plus en détail

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude.

Une chaudière mixte est facilement identifiable : elle se déclenche chaque fois que vous ouvrez un robinet d eau chaude. Comment choisir votre douche Le système en place chez vous Lorsque vous choisissez le type de douche dont vous voulez vous équiper, vous devez au préalable vérifier le système de production d eau chaude

Plus en détail

Fiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait!

Fiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait! Fiche action Consommer l eau du robinet, ça me plait! Eco E Team Sommaire Remplacer l achat de bouteilles d eau par le placement de fontaines à eau ou par la consommation directe de l eau du robinet, c

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Introduction

Hygiène alimentaire. Introduction Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2)

Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2) Information du domaine Sanitaire eau gaz Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments (SIA 385/1 et 385/2) Introduction La norme SIA 385/1 «Installations d eau chaude sanitaire dans les bâtiments

Plus en détail

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE) MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC?

Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC? Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010 C est quoi la HQE et le BBC? VILLE DE CHOLET Eco construction 1- Relation du bâtiment avec son environnement

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de

Plus en détail

chauffage et eau chaude :

chauffage et eau chaude : En chauffage collectif, intervenez à bon escient, chauffage et eau chaude : l utilisation SYNDIC L H A B I T A T C O L L E C T I F En chauffage collectif, intervenez à bon escient Chauffage et eau chaude

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP)

Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 59 Chapitre 11 Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 11.1 PRINCIPES DE BASE DE L HACCP... 59 11.2 APPLICATION DES PRINCIPES HACCP À LA PURIFICATION DES MOLLUSQUES BIVALVES...

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant

Plus en détail

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de GUIDE D ELABORATION DU VOLET INFECTIEUX DU PLAN BLEU GROUPE DE TRAVAIL : Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

à l intelligence économique

à l intelligence économique Délégation interministérielle à l intelligence économique Délégation interministérielle à l intelligence économique Avril 2014 Kit de présentation Qu est-ce-que c est? DIESE-Lab est un logiciel évaluant

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

Pandémie & Entreprises

Pandémie & Entreprises Pandémie & Entreprises Dr. Elisabeth Conne-Perréard 29.09.09 28.10.2009 - Page 1 Département Office Qu'est-ce que la grippe et comment se transmet-elle? Comment se protéger contre la grippe? Que faire

Plus en détail

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Journée «Eau et Assainissement

Journée «Eau et Assainissement Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels.

Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels. ÉNERGIES RENOUVELABLES Ballons système Accumuler la chaleur avec des ballons système individuels. BALLON TAMPON BALLON D EAU CHAUDE / CHAUFFE-EAU BALLON COMBINÉ / À PRÉPARATION D EAU CHAUDE INSTANTANÉE

Plus en détail

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail