LES URGENCES DE LA GROSSESSE DEBUTANTE L ECHOGRAPHIE AU 1ER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE
|
|
- Aurélie Paquette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES URGENCES DE LA GROSSESSE DEBUTANTE L ECHOGRAPHIE AU 1ER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE Elise MARTINEZ- FREART, P. VAAST, C. CHAFFIOTTE, E. PONCELET Hôpital Jeanne de Flandres, CHRU de Lille
2 I) LES URGENCES DE LA GROSSESSE DEBUTANTE La grossesse extra utérine : l él éliminer toujours +++ La grossesse interrompue et la fausse couche spontanée e : à redouter systématiquement ++ Connaître les CAT qui découlent d du diagnostic L hématome décidual d : le plus fréquent + Quelles situations mettent la grossesse en danger? Les autres causes : plus rares môle hydatiforme lyse d un d jumeau
3 II) L L ECHOGRAPHIE AU 1ER TRIMESTRE Distinguer 2 situations L ECHOGRAPHIE PRECOCE ( 5-7SA) NON SYSTEMATIQUE En cas d ATCD d de fausse couche, de môle, de GEU Ou si symptomatologie clinique recherche une grossesse, unique ou non, en intra utérin, évolutive++ L ECHOGRAPHIE DES 12 SA OBLIGATOIRE ET A DATE PRECISE A cet âge, outre la datation de la grossesse et le dépistage des grossesses multiples, on s attachera à : -rechercher des facteurs de risque d anomalie d chromosomique par la mesure de la CLARTE NUCALE -réaliser une 1ere approche morphologique, en connaissant les éléments qu il est obligatoire de voir, et ceux qu il est possible de dépister
4 LES URGENCES DE LA GROSSESSE DEBUTANTE
5 I LA GEU Un tableau clinique évocateur s il s est complet : - aménorrh norrhée - douleur pelvienne latéralis ralisée, (de début d brutal en cas de rupture) - métrorragies de sang noirâtre - cliniquement : masse annexielle avec un utérus gravide (volume globuleux, aspect du col ) de taille plus petite que ne le voudrait le terme - des signes de gravité en cas de rupture : tableau de choc, irritation péritonéale bien plus souvent la clinique est trompeuse : nécessité d y y penser de manière systématique chez une jeune femme présentant une symptomatologie abdominale et un retard de règles même sans retard de règles! r Indication large des bhcg qualitatifs et quantitatifs Valeur du couple bhcg/échographie+++
6 LA GEU VALEUR DU COUPLE bhcg/echographie bhcg<10 mui/ml Pas de grossesse bhcg entre 10 et 500 mui/ml Grossesse (en cours ou interrompue) bhcg entre et mui/ml Un œuf intra utérin DOIT être visible par voie vaginale en conditions normales (à UI/L : visibilité par voie abdominale) bhcg> mui/ml Un œuf intra utérin EST TOUJOURS visible,, et contient une vésicule v ombilicale caractéristique ristique
7 LA GEU Si la clinique nous égare, le terrain peut nous alerter : -ATCD tubaires : salpingite, chirurgie, ATCD de GEU -méthode contraceptive : DIU, pillule microprogestative -La fécondation f IN VITRO la présence d une d GIU n excluant n pas celle d une d GEU -Le tabagisme Hypomotilité ciliaire et troubles de la contractibilité des trompes
8 LA GEU : localisations Valeur, on l a l a vu, du dosage plasmatique QUANTITATIF des bhcg après s lequel on s efforcera s de localiser la grossesse, qui, si elle est ectopique pourra être visualisée e : - dans l ampoule tubaire le plus souvent -rarement dans la portion interstielle de la trompe, attention également aux grossesses intra utérines mais intra murales pour lesquelles l absence l d éd évolutivité possible et le risque chirurgical en cas de rupture les fait classer avec les GEU -encore plus rares : les grossesses ovariennes ou abdominales
9 Dans l utl utérus : ECHOGRAPHIE DE LA GEU absence d œd œuf dans la cavité par définitiond finition. un endomètre échogène > 10mm de type prolifératif, ratif, voire hypertrophique ( >15mm ) attention aux pseudo sacs gestationnels attention aux du à la présence d endomd endomètre décidualisd cidualisé et de liquide intra cavitaire Aides au diagnostic :-le: siège médian (GIU :latéralis ralisé) -la présence d uned seule couronne endométriale (GIU : double, formée e de la caduque et du trophoblaste) -le contenu : absence d embryon d ou de vésicule ombilicale
10 PSEUDO SAC GESTATIONNEL ENDOMETRE LIQUIDE INTRA CAVITAIRE COURONNE SIMPLE - sans embryon ni vésicule vitelline - une seule couronne hyperéchogène, qui correspond uniquement à l endomètre -plus médian
11 EMBRYON (avec activité cardiaque visible dès que l embryon est individualisable : 5 SA) VESICULE OMBILICALE AMNIOS Coelome externe (future cavité amniotique) COURONNE TROPHOBLASTIQUE ENDOMETRE ŒUF EMBRYONNE 6 7 SA DOUBLE COURONNE
12 ECHOGRAPHIE DE LA GEU Dans l ovairel : -un corps jaune
13 ECHOGRAPHIE DE LA GEU Dans la trompe : -un hématosalpinxh masse échogène correspondant aux caillots et débris d ovulaires -l œuf extra utérin
14 ECHOGRAPHIE DE LA GEU Dans le CDS de Douglas : -Epanchement hématique finement échogène, douloureux au passage de la sonde signe d alerte d : hémoph mopéritoine+++ en cas de rupture Intérêt d une quantification par mesure de l épaisseur (incidence thérapeutique) -Epanchement liquidien pur
15 Endomètre épaissi hyperéchogène Pseudosac gestationnel GEU ovaire Couronne vasculaire trophoblastique Vésicule vitelline Masse latéro-utérine non vascularisée au doppler couleur = hématosalpinx Masse latéro-utérine Sac gestationnel
16 GEU : cas particuliers Grossesse interstitielle - Sac gestationnel excentrique avec amincissement du myomètre < 5mm - Fine ligne échogène s étendant de la cavité utérine au sac cornual «interstitial line» - Diagnostic différentiel = grossesse normal sur utérus malformatif, intérêt de l irm l pour localisation précise
17 GEU : cas particuliers GEU cervicale Sac gestationnel intracervical Pronostic + défavorable que les grossesses tubaires Diagnostic différentiel = FCS en cours d évacuation Signes écho = Sac gestationnel embryonné ou non, +/- activité cardiaque, col interne fermé, évolution +++ Risque d hémorragie cataclysmique si non diagnostiquée +++
18 GEU : cas particulier GEU sur cicatrice de césariennec
19 CONDUITE A TENIR DEVANT LA GEU Différentes options possibles : TRAITEMENT CHIRURGICAL radical (salpingectomie) ou conservateur (salpingotomie) TRAITEMENT MEDICAL Voire ABSENTION THERAPEUTIQUE En fonction de : Données CLINIQUES Données BIOLOGIQUES ( bhcg ) Données ECHOGRAPHIQUES - Diamètre du sac ovulaire - Présence d une d activité cardiaque embryonnaire - Existence ou non d un d épanchement, quantification - Existence d un d hématosalpinxh DANS TOUS LES CAS : SURVEILLANCE DE LA DECROISSANCE DU TAUX DE BHCG +++
20 CONDUITE A TENIR DEVANT LA GEU au CHRU de Lille Selon les recommandations pour la pratique clinique parues dans les mises à jour en gynéco obstétrique trique de 2003 TRAITEMENT CHIRURGICAL COELISCOPIQUE le plus souvent RADICAL (salpingectomie) Hémopéritoine massif > 2L GEU > 6cm de diamètre bhcg initial > mui / ml CONSERVATEUR (salpingotomie) Dans les autres cas TRAITEMENT MEDICAL Général (méthotrexate IM) ou Local (MTX, Pg, Sérum S Glucosé Hypertonique dans l œl œuf) GEU pauci symptomatique Hémopéritoine absent ou < 100 cc en écho Hématosalpinx < 4cm bhcg < Absence d activitd activité cardiaque de l El ABSENTION THERAPEUTIQUE bhcg < avec décroissance d à 48h GEU < 3 cm sans hémoph mopéritoine Absence de signe clinique DANS TOUS LES CAS : SURVEILLANCE DE LA DECROISSANCE DU TAUX DE BHCG +++
21 ASPECT ECHOGRAPHIQUE DE LA GROSSESSE NORMALE
22 Différents aspects de grossesses intra utérines précoces Double couronne Image kystique : oeuf? Visualisation d une couronne Trophoblastique dense Calcul de l âge gestationnel possible par mesure du diamètre interne du sac Petit embryon juxta vésiculaire (vésicule vitelline vue entre 4 et 5 SA)
23 Remarque quant à l utilisation du Doppler pour le repérage d une activité cardiaque au sein de l embryon : Elle est nuisible +++ puissance acoustique >>> celle du mode B responsable d une élévation locale de la température et de phénomènes de cavitation dont l effet délétère au niveau du cœur de l embryon est mal évalué Et inutile ++ Battements repérables par de petits mouvements d échos cycliques, observables «à l œil nu»
24 Grossesse intra utérine évolutive de 9 SA par voie sus pubienne vue sagittale de l utl utérus Site d insertion d placentaire Col de l utl utérus
25 Grossesse intra utérine évolutive de 9 SA par voie sus pubienne vue axiale embryon Vésicule vitelline
26 Grossesse intra utérine évolutive de 9 SA par voie sus pubienne couronne trophoblastique endomètre embryon Coelome externe
27 II LA GROSSESSE INTERROMPUE Quelques repères res Embryon (E) À 5 SA +2j, il est vu par voie vaginale et mesure 1 à 2 mm >4 mm : il doit présenter une activité cardiaque Vésicule ombilicale (VO) : Sa présence affirme que la grossesse est ou a été embryonné Son aspect, sa taille sont des reflets de la «vitalité» de la grossesse Disparaît t vers 12SA Sac : >10mm : VO doit être vue >16mm : Embryon doit être vu Rq : sac>20mm sans E = œuf clair Résorption précoce de l El
28 Œuf clair Sac ovulaire de plus de 20mm sans embryon Double couronne endométriale (permet distinction avec pseudo sac gestationnel de la GEU)
29 Grossesse interrompue Savoir se méfier m de certaines situations douteuses : Mauvaises conditions d examend Utérus mal visible, patiente obèse, polyfibromatose : large recours à la voie vaginale Œuf trop jeune Images pièges Pseudo sac, kyste glandulaire, rétention r liquidienne, polype intra cavitaire Cf repères res sus cités ne pas hésiter h à recontrôler (BHCG +echo)
30 Aspects échographiques de la grossesse Sac ovulaire aplati, hypotonique interrompue Reliquat d embryond : -sans activité cardiaque -plus hypoéchog chogène que l embryon l vivant -dont la taille permet de dater l interruption l de la grossesse Vésicule ombilicale : -à paroi épaisse, d aspect d hyperéchog chogène -de grande taille
31 CAS PARTICULIER DE GROSSESSE INTERRROMPUE FCS : expulsion du conceptus Cliniquement -métrorragies de sang rouge avec des caillots -douleurs à type de contractions utérines Expulsion en cours : -œuf décolld collé du fond, voire descendu dans l isthme l ou le col -cavité utérine vide Repérer les signes de rétention r partielle : Structures hyperéchog chogènes intra cavitaires correspondant à des caillots ou des résidus r trophoblastiques
32 FCS Expulsion conceptus Complication possible : Rétention trophoblaste
33 Prise en charge grossesse non évolutive -Embryon ( E ) > 5 mm sans activité cardiaque -Œuf clair -E E non visible ou < 5 mm mais sans croissance sur 2 échos à 8j d intervalled -Rétention de matériel ovulaire Se discutent : aspiration curetage ttt médical m (CYTOTEC ) ou expectative : attendre expulsion spontan ntanée e (contrôle écho+++) Grossesse intra utérine dont on ne peut affirmer l él évolutivité -E E activité cardiaque + ou E< 5 mm sans activité cardiaque -sac intra utérin sans E avec vésicule v vitelline ou < 20mm Contrôle écho à 8j
34 III HEMATOME DECIDUAL OU PERI OVULAIRE De quoi s agits agit-il il? Saignement endométrial entre les caduques pariétale et réflr fléchie de l endomètre responsable d un d décollement d EN DEHORS de l œl œuf Quels sont ses aspects? Lacune d éd échogénicité variable (selon ancienneté du saignement) à angle de raccordement aïgu a entre paroi ovulaire et endomètre Quels sont les facteurs pronostiques? Régression dans 80% des cas Sont de mauvais pronostic : le volume > 2/3 surface ovulaire la persistance au-del delà de 2.5 mois le siège en zone de placentation Risque d avortement d tardif par rupture prématur maturée e des membranes Quelle est la prise en charge? Empirique car d efficacitd efficacité non démontrd montrée e : repos, abstinence sexuelle, progestatifs, antispasmodiques
35 IV LES AUTRES CAUSES DE METRORRAGIES AU 1ER TRIMESTRE DE GROSSESSE MÔLE HYDATIFORME ET TUMEURS TROPHOBLASTIQUES -Dégénérescence multikystique du trophoblaste, embryonnée (môle partielle) ou non (môle complète : MC ) -pathologie rare, avec risque d invasion d du myomètre par le trophoblaste (môle( invasive) de choriocarcinome,, de métastase à distance. NB : Risque invasif faible en cas de môle partielle -écho : multiples kystes associés à des plages échogènes et des zones liquidiennes hémorragiquesh (anciennement : «aspect en tempête de neige») avec sac ovulaire contenant un embryon (môle partielle) ou sans sac (môle complète) absence de vascularisation au Doppler couleur MC gros kystes ovariens bilatéraux (Hstimulation ovarienne) -impose une évacuation utérine complète avec surveillance rapprochée
36 Môle complète Vaste plage hétérogène contenant de multiples kystes de petite taille et des zones échogènes sans sac embryonnaire
37 Môle complète gros ovaire contenant de multiples kystes
38 IV LES AUTRES CAUSES DE METRORRAGIES AU 1ER TRIMESTRE DE GROSSESSE LA LYSE D UN JUMEAU Arrêt de croissance d un d embryon antérieurement visible vivant : -CF FCS (petit embryon sans activité cardiaque au sein d un d sac hypotonique) -«jumeau évanescent» plaqué sur la paroi utérine, pouvant persister et se momifier si la lyse se produit entre 13SA et 20SA (fœtus( papyracea) -risque non négligeable n d interruption d totale de la grossesse, augmenté en cas d éd évanescence tardive et de persistance de l œl œuf mort
39 ILLUSTRATION : métrorragies à 8 SA 2 sacs gestationnels intra utérins
40 ILLUSTRATION : métrorragies à 8 SA Image hypoéchogène hétérogène située en dehors d un des œufs HEMATOME DECIDUAL
41 ILLUSTRATION : métrorragies à 8 SA Activité cardiaque visible Chez uniquement un seul des embryons Aspect plus hypoéchogène du 2e jumeau, sans activité cardiaque LYSE D UN JUMEAU AU TOTAL : grossesse gémellaire g compliquée e d hématome d décidual d cidual et de lyse d un d jumeau
42 L ECHOGRAPHIE AU 1ER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE
43 II) L L ECHOGRAPHIE AU 1ER TRIMESTRE Distinguer 2 situations L ECHOGRAPHIE PRECOCE ( 5-7SA) En cas d ATCD d de fausse couche, de môle, de GEU Ou si symptomatologie clinique ses objectifs sont : -localiser la grossesse (intra utérin++) -la dater -affirmer son évolutivité -recherche de grossesse multiple L ECHOGRAPHIE DES 12 SA -déterminer le terme de la grossesse -Rechercher des facteurs de risque d anomalie d chromosomique MESURE DE LA CLARTE NUCALE et facteurs de qualité -réaliser une 1ere approche morphologique Recherche des anomalies accessibles à cet âge -en cas de grossesse multiple Diagnostic de chorionicité
44 L ECHOGRAPHIE PRECOCE A SA cas de la patiente aux ATCD de GEU,. fausse couche spontanée, môle trophoblastique Est également indiquée e en cas de symptomatologie clinique
45 OBJECTIFS DE L ECHOGRAPHIE PRECOCE: localiser la grossesse en intra utérin (GEU +++) la dater par la mesure de la LCC, possible dès d s 6 SA (coupe sagittale, E au repos en position intermédiaire) précision de 3 à 5j, fiable et reproductible affirmer l él évolutivité par la recherche de l activité cardiaque présente dès d s que LCC>4mm dépister les grossesses multiples,, et diagnostiquer leur chorionicité
46 Grossesse gémellaire g : diagnostic de chorionicité le diagnostic de chorionicité ne se porte avec certitude que lors du 1er T Il influe sur le suivi ultérieur de la grossesse ( par ex : Sd transfuseur-transfus transfusé des grossesses monochoriales) MONOCHORIAL MONOZYGOTE BICHORIAL BIZYGOTE
47 Grossesse gémellaire g : diagnostic de chorionicité Grossesse bichoriale (70% cas) - 2 sacs ovulaires distincts, possédant chacun leur couronne trophoblastique - Peuvent être accolés, avec impression de masse unique : rechercher : L insinuation du trophoblaste dans la zone de raccordement avec les membranes SIGNE DU LAMBDA SIGNE DU LAMBDA
48 Grossesse bichoriale Signe du Lambda
49 Exemple de grossesse multiple 3 embryons SIGNE DU LAMBDA
50 Grossesse gémellaire g : diagnostic de chorionicité Grossesse monochoriale (30%) - Bi amniotique Les 2 E siègent chacun dans une cavité, celles-ci ci étant séparées par une fine membrane - Mono amniotique Les 2 E siègent dans la même cavité amniotique, pas de membrane visible ABSENCE DE SIGNE DU LAMBDA
51 L ECHOGRAPHIE DE 12 SEMAINES Échographie obligatoire dans le cadre du dépistage prénatal organisé
52 L ECHOGRAPHIE DES 12 SEMAINES QUAND? Entre SA et SA EN DEHORS D EVENEMENTS ANORMAUX Selon le rapport d avril d 2005 du comité national technique de l él échographie de dépistage prénatal POURQUOI CETTE PRECISION CHRONOLOGIQUE? Il s agit s d un d compromis +++ entre des paramètres d éd évolution différente : -la datation de la grossesse la mesure de la longueur cranio caudale ( LCC )est) optimale entre 7 et 11 SA Se doit d être d rigoureuse car non révisable r lors des échographies ultérieures+++ -la clarté nucale (CN) sa mesure est validée e pour une LCC de 45 à 84 mm soit 11 à 14 SA -la précision anatomique meilleure vers 15 SA, mais à cette date datation moins précise et CN plus significative
53 Objectifs de l echographie l des 12SA I)Détermination du terme Possible par la LCC, mais également par le BIP à cet âge
54 Objectifs de l echographie l des 12SA II) Mesure de la clarté nucale (CN) Physiopathologie : -physiologique chez tout embryon (E) -augmentée e de façon anormale en cas d insuffisance d cardiaque, drainage lymphatique jugulaire anormal, compression thoracique, altération du tissu conjonctif!à distinguer de l hygroma l colli! Collection rétro r cervicale cloisonnée
55 Mesure de la clarté nucale (CN) Méthode de mesure : stricte définie d par Nicolaïdes -E E en position intermédiaire (en distinguant la peau de l amnios), en coupe médiosagittale m stricte -LCC de l E l E entre 45 et 84 mm -E E occupant les ¾ de l él écran sur une image gelée e zoomée -CN correspond à la zone anéchog chogène comprise entre le rachis cervical et la peau -Marqueurs correctement positionnés -Effectuer plusieurs mesures, garder la plus importante
56 Score de Herman 3 critères res MAJEURS, 2 points chacun Coupe sagittale - profil passant par le nez et le pôle caudal - sans que les membres soient visibles Oblique = 0 Sagittale = 2 Calipers correctement positionnés - aux interfaces clarté de peau/clarté nuque - excluant l él épaisseur du plan cutané Plan cutané visible - nuque seule - nuque et dos Mal placés = 0 OK = 2 Nuque seule = 0 Nuque + dos = 2
57 Score de Herman 3 critères mineurs, 1 point chacun Taille de l image zoom augmente(rait) la précision de la mesure 75% de l écran = +1 Sinon = 0 Amnios on doit distinguer l amnios de la clarté nucale critère surtout dynamique Position de la tête Visible = +1 Sinon = 0 Bien droite = +1 Fléchie ou défléchie = 0 Score < 4 : non interprétable, 4-7 : correct, 8-9 : excellent
58 Mesure de la clarté nucale (CN) Valeur de la CN : -attention à la TAILLE de l E (45 à 84mm) et à sa POSITION (flexion : minore mesure, extension : majore) Lecture des résultatsr : -elle se fait sur un tableau à double entrée : longueur de l E / valeur seuil exprimée en percentile Interprétation tation : - la CN sert de base au dépistage des anomalies chromosomiques : Dépistage simple : CN anormale si >95 percentile Dépistage combiné : calcul d un risque statistique à partir de la CN, de l âge de la patiente, longueur de l embryon, marqueurs sériques au début du 2 T - la CN est également un marqueur d autres pathologies non chromosomiques : Pathologies cardio vasculaires, dysplasies squelettiques, désordres immunologiques ou métaboliques, infections..
59 Clarté nucale ( CN ) Tableau I Répartition en percentile en fonction de la Longueur Cranio Caudale Tableau II Pourcentage d anomalie chromosomique En fonction de la mesure de la CN Une mesure > 95ep est considérée Comme anormale Tableau I : King s College of London Tableau II : Souka AP, Krampl E, Bakalis S, Heath V, Nicolaides outcome of pregnancy in chromosomally normal fetuses with increased nuchal translucency in the 1rst trimester of gestation, US obstet gynecol 2001 ; 18 : 9-17
60 Mesure de la clarté nucale (CN) de manière simple ou combiné,, le dépistage d d une d CN>95 p p et/ou d un d risque statistique>1/250 impose de proposer : -la réalisation r d un d caryotype fœtalf -la recherche attentive d anomalie d morphologique à 22 SA
61 Clarté nucale pathologique : illustration
62 Hygroma colli Collection liquidienne cloisonnée à distinguer de la clarté nucale
63 Hygroma colli
64 III) 1ere approche morphologique Il s agit s d une d 1ere approche qui intéresse surtout : Le pôle céphalique c (contours de la voûte++) Le rachis : anomalie de fermeture L abdomen : anomalie de la ceinture (hernie ombilicale, laparoschisis, insertion cordon) plutôt que étude du contenu Les membres
65 III) 1ere approche morphologique CETTE ETUDE RESTE LIMITEE PAR L EXISTENCE DE Faux négatifsn : anomalies de trop petite taille à cet âge (coeur++, face, petites dysraphies) anomalies d apparition d plus tardive (ventriculomégalies, hydronéphroses) structures non encore formées (corps calleux) Faux positifs : échogénicité importante des reins à cet âge mégavessies transitoires fosse postérieure mal étudiée à cet âge
66 1ere approche morphologique De ce fait, on se limitera à ce qu il est obligatoire de voir chez le fœtus, f devant obligatoirement figurer sur le compte rendu de l él échographie, comme préconis conisé par le comité technique de dépistage prénatal dans son rapport d avril d 2005 Eventuellement, on s ints intéressera aux anomalies morphologiques dépistables d à cet âge, tout en gardant à l esprit les risques (notamment médico m légauxl gaux ) à décrire une anatomie en pleine évolution
67 Ce qu il faut retenir Les éléments devant figurer obligatoirement sur le compte rendu d échographie de dépistage d du 1er trimestre Effectuée e entre 11 SA +0 et 13 SA +6 jours Définis par le comité national technique de l échographie de dépistage d prénatal Rapport d avril d 2005
68 Eléments obligatoires devant figurer sur le compte rendu d échographie du 1er 3M Identification échographiste, patient, demandeur examen, machine utilisée Informations initiales : -date de l examenl -date des dernières res règlesr -date de début d de grossesse, si établie -terme théorique (Semaines d amd aménorhée) -terme corrigé
69 Eléments devant figurer sur le compte rendu d éd échographie du 1er 3M Contenu de l examenl : -nombre de fœtus f (si grossesse multiple : chorionicité,, individualisation claire des foetus) -mobilité spontanée -activité cardiaque (à( chiffrer si inhabituelle) -LCC en mm -BIP en mm -contenu de la boîte crânienne -absence de particularité de la ligne médianem -paroi abdominale antérieure -présence de 4 membres, chacun 3 segments -volume amniotique -aspect du trophoblaste -absence de masse annexielle -mesure de clarté nucale en mm et 10e de mm
70 Eléments devant figurer sur le compte rendu d éd échographie du 1er 3M Conclusion : -phrase synthétique tique si examen sans particularité -le cas échéant : correction de terme proposition d éd échographie diagnostique difficultés s techniques (préciser lesquelles) -en cas de grossesse multiple : chorionicité
71 Iconographie à joindre pas moins et pas plus! Biométrie sur abaques Images statiques de : -LCC -BIP Marqueurs de mesure en place -clarté nucale -illustration d un d élément suspect ou pathologique -grossesse multiple : iconographie complète et propre à chaque fœtusf image permettant diagnostic de chorionicité
72 Iconographie à joindre pas moins et pas plus!
73 Iconographie échographie T1 mesure de la longueur cranio caudale LCC LCC à 67 mm terme de grossesse estimé à 13 SA + Oj +/- 4 jours
74 Iconographie échographie T1 mesure clarté nucale Image zoomée Coupe sagittale stricte E en position intermédiaire Peau décolld collée de l amniosl Mesure de l espace clair entre peau et rachis Clarté nucale à 1.6 mm pour LCC à 67 mm : valeur normale
75 Iconographie échographie T1 mesure du BIP BIP à 22 mm
76 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au POLE CEPHALIQUE I)Exencéphalie et anencéphalie absence de voûte crânienne osseuse : extériorisation de la masse cérébrale (exencéphalie) aboutissant ensuite à sa destruction (anencéphalie) : -perte de l hyperl hyperéchogénicité de la paroi du crâne -perte du dessin de la voûte -perte de l organisation l des structures cérébralesc -perte de la localisation intracranienne de l encl encéphale (hernié en externe) II)Encéphaloc phalocèle le Défect partiel de la voûte à l origine d une d hernie liquidienne contenant ou non du tissu cérébral c (méningoc ningocèle / encéphaloc phalocèle) le)
77 1ere approche morphologique POLE CEPHALIQUE III)Holoprosencéphalie phalie Anomalie du développement d du télenct lencéphale principalement dépistd pistée e au 1er trimestre dans sa forme alobaire : ventricule unique avec fusion des thalami
78 1ere approche morphologique POLE CEPHALIQUE V)Hydrocéphalie Diagnostic posé à ce terme par l aspect l anormal des plexus choroïdes (et non pas par l augmentation l de taille des ventricules latéraux) -anomalie de volume (à( cet âge, comblent toute la cavité ventriculaire) absence, défect d postérieur -anomalie de forme (aspect en goutte) -anomalie de position (perte du paralléllisme llisme à la ligne médiane m ; déviation d engendrée e par l excès s de liquide) -échostructure inhomogène ne!à distinguer des kystes des plexus choroïdes!
79 1ere approche morphologique POLE CEPHALIQUE VI) en fosse postérieure syndrome de Dandy Walker ou agénésie vermienne Difficile à dépister à cet âge
80 1ere approche morphologique POLE CEPHALIQUE illustration anencéphalie
81 1ere approche morphologique POLE CEPHALIQUE illustration anencéphalie
82 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au niveau du RACHIS Individualisation vertébrale possible dès d s 13 SA I) Spina bifida Signe direct : RACHISCHISIS Élargissement des 2 lignes parallèles les hyperéchog chogènes par absence d ossification des arcs postérieurs +/- Signes indirects : - Interruption du revêtement cutané normal - Poche liquidienne correspondant à la méningocm ningocèle, pouvant contenir du SNC (myélom loméningocèle) - Le retentissement au niveau du pôle céphalique c ( hydrocéphalie, aplatissement des os frontaux ) n est n pas retrouvé à cet âge II) Agénesie lombo sacrée
83 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au niveau du COEUR Etude limitée à l axe et à la présence de 4 cavités
84 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au niveau de l ABDOMEN I)PAROI ABDOMINALE L intestin doit avoir réintr intégré la cavité abdominale à 12SA+++ retard ou absence de réintr intégration : HERNIE OMBILICALE Renflement échogène >10mm de l insertion l du cordon : OMPHALOCELE Brèche de la paroi avec issue de viscères, latérale au cordon : LAPAROSCHISIS Hernie ombilicale omphalocèle laparoschisis
85 1ere approche morphologique ABDOMEN illustration laparoschisis
86 1ere approche morphologique ABDOMEN illustration Grossesse gémellaire avec laparoschisis chez un des jumeaux
87 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au niveau de l ABDOMEN II) Tractus urinaire Le fœtus f urine dès d s 11 SA, sans que la quantité de liquide amniotique reflète la qualité de la diurèse foetale un diagnostic de megavessie (hauteur >8mm) peut être porté dès s 12 SA L échogénicité des reins est importante (=poumon), il n existe pas à cet âge de différenciation cortico médullaire Pyélectasie si bassinet>4mm avant 20 SA N.B : l étude des bassinets se fait en coupe axiale stricte+++, sinon les mesure sont ininterprétables
88 1ere approche morphologique ABDOMEN illustration mégavessie
89 1ere approche morphologique ce qu il est possible de voir au niveau des EXTREMITES Amputation : Brièvet veté : À cet âge, étude la plus facile m>apparaissent les 1ers,dès s 8SA Os longs à 10SA, petits os des extrémit mités à 14SA Rechercher : Longitudinale ou transversale AGENESIE certaines chondrodysplasies Certaines anomalies chromosomiques Anomalie de segmentation : Polydactylies, syndactylies Malposition Mobilité Attention aux pieds bots transitoires
90 1ere approche morphologique EXTREMITES illustration Syringomélie Fusion accolement des 2 membres inférieurs
91 «Petits signes» d anomalie chromosomique au 1erT Hyperéchog chogénicité intestinale Absence de visiualisation des os propre du nez Pyélectasie bilatérale
92 En conclusion
93 Points forts Une obsession devant des métrorragies m du 1er trimestre de grossesse : Éliminer une grossesse extra utérine Le dépistage d des grossesses à facteurs de risque chromosomique repose sur la mesure de la clarté nucale ( +/- associée e au calcul du risque sérique s ) L échographiste doit distinguer ce qu il lui est obligatoire de voir, de ce qu il lui est possible de voir
94 Références Échographie en pratique obstétricale, tricale, par Y.Robert, B.Guérin du Masgenêt, Y.Ardaens, Masson Échographie du 1er trimestre : apport au diagnostic des embryopathies et des anomalies chromosomiques, P.Bourgeot, feuillets de radiologie, 2002, 42, n 5, n Diagnostic prénatal, pratique et enjeux, M.Dommergues, S.Ayme, P.Janiaud, V.Seror Recommandations pour la pratique clinique, Mise à jour en gynécologie obstétrique trique Rapport du comité national technique de l él échographie de dépistage d prénatal, présid sidé par Pr C.Sureau et R.Henrion, avril 2005
«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE. Laurence Hamou Interne CHU ROUEN
«DIRE» UNE ECHOGRAPHIE A 12 SEMAINES D AMENORRHEE Laurence Hamou Interne CHU ROUEN INTRODUCTION 3 échographies obstétricales recommandées au cours d une grossesse normale. Idéalement réalisée entre 11
Plus en détailÉchographie obstétricale
- Support de Cours (Version PDF) - Échographie obstétricale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/03/11 Université Médicale Virtuelle Francophone 1/38 - Support de Cours
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailE x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e
CNGOF_MAJ_TITRES.qxp 17/12/09 17:26 Page 1 (1,1) COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur J. L a n s a c E x t rait des Mises à jour en Gynécologie
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLa grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014
La grossesse UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 Plan La fécondation Le diagnostique de la grossesse La vie embryonnaire et foetale
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailTraiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir
Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailRecommandations pour la pratique clinique. Les pertes de grossesse
Recommandations pour la pratique clinique Les pertes de grossesse (texte court) Élaborées par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français Promoteur CNGOF (Collège national des gynécologues
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif
Les avantages du programme complémentaire santé Meuhedet Adif Chers adhérents, C est avec le souci de procurer un mieux-être à ses adhérents que Meuhedet a mis au point son programme complémentaire santé
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLe programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See
Le programme complémentaire santé le plus complet: Meuhedet See Chers adhérents, Le programme de la complémentaire santé Meuhedet See est à la fois complet et révolutionnaire, il a pour but de procurer
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détail