Surfrider Foundation Europe

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2 Surfrider Foundation Europe ONG dédiée à la protection de l eau et du littoral par un travail d action locale et d influence, qui anime et représente un réseau citoyen et bénévole.

3 LE RESEAU INTERNATIONAL DE SURFRIDER

4 / SURFRIDER : UNE ONG RECONNUE D INTÉRÊT GÉNÉRAL

5 UNE PRESENCE ACTIVE EN EUROPE

6 LE RESEAU SURFRIDER EN 2014 / SYMPATHISANTS / ADHERENTS / 700 BÉNÉVOLES / 70 GARDIENS DE LA CÔTE / ANTENNES BENEVOLES / WATERMEN TESTEURS

7 UNE PRESENCE ACTIVE EN EUROPE / / / / / Transport & Infrastructures Maritimes Déchets Aquatiques Artificialisation du Littoral Qualité de l Eau & Santé des usagers Patrimoine & Vagues

8 UNE STRATEGIE ACTIVE / RECHERCHE & EXPERTISE / CONSERVATION / ACTION JURIDIQUE Protection du littoral et mobilisation / EDUCATION / MOBILISATION / INFLUENCE

9 DU CURATIF A L EXPERTISE Nettoyage de la plage VS Réduction à la source

10 LA PROBLEMATIQUE DES DECHETS AQUATIQUES D ORIGINE CONTINENTALE 80% des déchets aquatiques proviennent du continents (UNEP). Quelques études essaient de comprendre ce phénomène (Rech, S., et al., Lechner, A., et al., 2014). Pas de méthode ou d étude permettant de déterminer l origine exacte des déchets et leur impact sur l eau. Lien DCE et DCSMM. Rech, S., et al. Rivers as a source of marine litter A study from the SE Pacific. Mar. Pollut. Bull. (2014). Lechner, A., et al., The Danube so colourful: A potpourri of plastic litter outnumbers fish larvae in Europe s second largest river, Environmental Pollution (2014).

11 RIVERINE INPUT: DE LA SOURCE A LA MER «Riverine Input est un projet pilote visant à identifier les déchets aquatiques du bassin versant de l Adour ainsi que leurs sources.»

12 5 OBJECTIFS OPERATIONNELS Année Développement du protocole. Offrir l opportunité aux citoyens de s impliquer dans un projet de sciences participatives. Année Implication des parties prenantes (sociétés, scientifiques, politiques, associations): sensibilisation à la gestion de l eau / solutions. Identification des sources principales de pollution. Création d une base de données open source des déchets en Europe. Année Transposition du protocole à l échelle Européenne.

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14 POURQUOI CES 7 POINTS? Pourquoi ces 7 points? Zones d accumulation préférentielles de déchets. Chacun des points représente une pression qui peut impacter le fleuve. Fréquence? Une fois par mois sur les 7 points.

15 COMMENT? Sept spots sur les berges de la rivière. Collecte des déchets sur chacun des points. Classification et comptage des déchets. Remplir les 150 catégories tableau du protocole Riverine Input. Complete the data bank.

16 PREMIER POINT DE COLLECTE À la source de l Adour : pression touristique.

17 SECOND POINT DE COLLECTE En aval de Tarbes : pression urbaine.

18 TROISIÈME POINT DE COLLECTE En aval de Cazères-sur-l Adour : pression agricole.

19 QUATRIÈME POINT DE COLLECTE En aval de Pau : pression urbaine.

20 CINQUIÈME POINT DE COLLECTE En aval de Mont-de-Marsan sur la Midouze.

21 SIXIÈME POINT DE COLLECTE En aval de Dax : pression urbaine.

22 SEPTIÈME POINT DE COLLECTE En aval de Bayonne : pression portuaire. Collaboration avec la MIFEN.

23 HUITIEME POINT DE COLLECTE Plage de La Barre Panache de l Adour.

24 PREMIÈRES DONNÉES DE MARS À OCTOBRE 2014 Types de déchets Nombres Proportions Plastique % Polystyrène % Autres * ,5 % Sanitaires % Verre 105 0,3 % Total % z * Autres = caoutchouc, vêtements, papiers et cartons, bois manufacturé, métal, poterie et céramique, déchets médicaux, fèces et polluants.

25 PREMIÈRES DONNÉES DE MARS À OCTOBRE Campan: à la source de l Adour Bours-Bazet: en aval de Tarbes Cazères-sur-l Adour Types de déchets Plastique Polystyrène Autres * Sanitaires Verre Bayonne * Autres = caoutchouc, vêtements, papiers et cartons, bois manufacturé, métal, poterie et céramique, déchets médicaux, fèces et polluants.

26 IDENTIFICATION DES SOURCES DE POLLUTION Pollution de la rivière Nive, Adour et embouchure par du matériel médical: identification du propriétaire du matériel.

27 MICRO ET MACRO DECHETS DANS LA COLONNE D EAU Objectif : mesurer la présence de micro et macro déchets dans la colonne d eau Méthode : pose de filet Manta sur 3 points existants du protocole Macro-déchets l 80 x L 30 x P 100 cm Mailles de 3 mm Campan, Mont de Marsan, Tarbes Micro-déchets l 60 x L 30 x P 150 cm Mailles de 0,3 mm Campan, Mont de Marsan, Tarbes 10 min - 1 h 10 min - 1 h

28 LOBBYING: TRAVAIL D INFLUENCE/ CONTRIBUTION A L ELABORATION DES NORMES Citoyen Terrain/Science Institutions Européennes Institutions Nationales

29 LOBBYING EUROPEEN ET NATIONAL: PLASTIC BAG CAMPAIGN

30 LOBBYING: PLASTIC BAG CAMPAIGN, L INFLUENCE DES CITOYENS Convaincre la mairie de prendre des mesures Agir auprès des commerçants pour qu ils stoppent la distribution des sacs à usage unique

31 BEAT THE MICROBEAD Un tube de savon pour le visage peut contenir jusqu à microparticules de plastiques

32 BEAT THE MICROBEAD

33 POLLUTION DES PLAGES ET DES COURS D EAU PAR DES SUPPORTS PLASTIQUE Depuis 2008: pollution des plages et des cours d eau par des supports plastiques utilisés comme support à bactéries lors de la phase de traitement biologique des eaux des STEP collectives et industrielles

34 LES INITIATIVES OCEANES: IMPULSION CHANGEMENT COMPORTEMENTAL

35 RISE ABOVE PLASTIC

36 MISE EN RELATION DES PARTIES PRENANTES

37 MERCI DE VOTRE ATTENTION

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