Protection contre le radon dans les milieux sensibles : mesures prises pour les nouvelles constructions et les rénovations
|
|
- Clarisse Pothier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Protection contre le radon dans les milieux sensibles : mesures prises pour les nouvelles constructions et les rénovations Dr Joëlle Goyette Pernot Déléguée radon de l OFSP pour la Suisse romande Haute école d ingénieurs et d architectes de Fribourg joelle.goyette@hefr.ch UEE radon EPFL/ENAC SP2015 Lausanne, le 4 mars 2015
2 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion
3 Qu est ce que le radon? o Gaz rare radioactif provenant de la désintégration du radium lui même issu de l uranium 238 (3g/tonne d uranium) et présent en concentration variable dans la croûte terrestre o Omniprésent à la surface du globe o Inodore, incolore et sans saveur, il est impossible à détecter par les sens. Seule la mesure peut révéler sa présence o Volatile, inerte, non inflammable mais soluble dans l eau, il est contenu dans l air du sol o Emetteur alpha, sa demi vie est de 3.8 jours o Il se désintègre lui même en d autres éléments radioactifs
4 Emanation du radon 222 et dispersion de ses descendants β α µs 22.3 ans 5 jours β β β 20 min 138 jours α 26.8 min α stable α 3.8 jours 3.1 min
5 Notion de risque sanitaire o Substance cancérigène d origine naturelle la plus dangereuse dans les bâtiments o Deuxième cause de cancer des poumons chez les fumeurs et ex fumeurs o Première cause de cancer des poumons chez les non fumeurs
6 Risque sanitaire lié à la présence de radon o Le risque dose effet est linéaire, ce qui signifie que le risque de développer un cancer du poumon est fonction de la concentration et de la durée de l exposition o Selon l OMS (2009) le risque de cancer pulmonaire augmente de 16% par tranche de 100 Bq/m 3 supplémentaire de la concentration en radon o En Suisse, il est la cause de 200 à 300 décès par an soit 8 à 10% des cancers des poumons o L exposition au radon en combinaison avec le tabagisme tend à multiplier le risque de cancer du poumon o Une grande proportion d entre eux pourrait être évitée si la population était informée et si celle ci était prise au sérieux par les professionnels de la construction
7 Cigarette et amiante? 55 Synergie tabac et amiante Risque de développer un cancer bronchopulmonaire en fonction d une exposition à l amiante et/ou au tabac (INRS - Selikoff et Seldman) Exposé à l amiante 5 Non exposé à l amiante 1 10 Non fumeur Fumeur Source: V. Perret, TOXpro, 2014
8 Origine du gaz radon
9 Comment s échappe t il du Gneiss granitiques peut être riche en uranium dense mais existe parfois des micro fissures Plus que le contenu en uranium, sol? c est la physique du sol qui est déterminante Sol karstique peu d uranium dans le sol peu dense, grand nombre de failles et grottes
10 Taux moyen de radon dans l air
11 Mesure dans le sol à la Chaux du Milieu
12 Mesure dans un captage d eau à la Chaux du Milieu 12
13 Karst jurassien Situation en Suisse Granites et gneiss Minéralisation d uranium des Aiguilles Rouges
14 Notice explicative de la carte radon La carte du risque en radon se base sur la moyenne arithmétique des mesures effectuées dans les locaux d habitation et de séjour d une commune. Dans certains cas, les cantons ont néanmoins utilisé d autres critères comme la géologie pour classer les communes. La cartographie selon 3 zones fixe un risque en radon léger, moyen et élevé. élevé (MA >200 Bq/m 3 ) = région à concentrations accrues en radon moyen (MA Bq/m 3 ) léger (MA <100 Bq/m 3 ) Dans la plupart des communes de Suisse, l échantillon de mesures est considéré comme suffisant, c est à dire constitué d un minimum de 20 bâtiments ou d un nombre de bâtiments au moins égal à la racine carrée du nombre total de bâtiments de la commune. Le risque est néanmoins estimé dans certains cas à partir d'un échantillon insuffisant de mesures. Cette information est alors signalée dans les remarques du moteur recherche par commune sous:
15 Moteur de recherche par commune
16 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion
17 Concentrations naturellement rencontrées Les concentrations de radon rencontrées naturellement Air du sol à Bq/m 3 Valeur typique: Bq/m 3 4-A1 Air atmosphérique 1 à 100 Bq/m 3 Valeur typique: 10 Bq/m 3 Air des bâtiments 10 à Bq/m 3 Moyenne: 75 Bq/m 3 Eau 100 à Bq/m 3 Valeur typique: 5000 Bq/m 3
18 Rôle des sols UEE Radon SP2015 J. Goyette Pernot Source: Christian Böhm,
19 Rôle des sols Source: Christian Böhm,
20 Géologie et perméabilité au radon o Certains types de sols sont peu perméables au radon Moraines de fond du Plateau Sols argileux et trempés Molasse o d autres le sont plus Éboulis Sable Alluvions perméables Source: Christian Böhm,
21 Comment le radon s infiltre t il dans les bâtiments? Source:
22 Principaux flux de matière du métabolisme d'un bâtiment durant son cycle de vie Le contrôle des flux de radon est déterminant durant la phase d'exploitation Rn + précurseurs Rn + dérives + précurseurs Environnement naturel A, p Environnement construit a, p a construction exploitation rénovation p p p p démolition Matériaux de contruction Matériaux de démolition Flux de matière d'un bâtiment Biens de consommation Déchets Flux de biens / déchets Radon Mauro Gandolla RADONunime_lez1
23 Principaux flux de matière du métabolisme d'une habitation durant son cycle de vie Les flux de radon les plus importants sont ceux qui proviennent du sous sol et qui traversent le bâtiment durant son exploitation (A) Les flux de radon qui interviennent durant les phases de construction, rénovation ou démolition sont en principe quantitativement négligeables (a) Les flux de radon en provenance des matériaux de construction contenant des précurseurs du radon (radium,..) sont peu connus et généralement pas pris en compte (p). Les produits issus de la décroissance radioactive (dérivés) du radon sont connus mais généralement pas pris en considération. Ils tendent à se concentrer sur les aérosols en suspension, dans les filtres à air ou à se déposer dans les endroits les plus poussiéreux, d'où ils émettent des radiations alpha. Ces éléments peuvent être remis en suspension pendant la phase d'exploitation lors de l'entretien normal des bâtiments et pendant les phases de rénovation ou de démolition.
24 En cause, le tirage thermique ou «l effet de cheminée» o o o o Mouvement ascendant de l'air intérieur dans un bâtiment qui se produit sous l'effet de la poussée d'archimède du fait de la différence de densité entre l'air chaud intérieur et l'air froid extérieur Lorsque le bâtiment n est pas étanche, cet effet est à l'origine d'infiltrations d'air Durant la saison de chauffe, l'air intérieur, plus chaud s élève et génère une dépression à la base du bâtiment qui favorise l infiltration du radon Le flux d'entrée du radon dépend alors de la qualité de l'étanchéité entre le bâtiment et le terrain Source: Office fédéral de la santé publique, 2012
25 Illustration des forces motrices naturelles agissant sur le bâtiment 1 effet du vent 2 effet de cheminée Source:
26 Points d entrée du radon dans le bâtiment Source:
27 Cibler les bâtiments à risque Anciens bâtiments (avec fondations fissurées) Caves naturelles Sous sols habités
28 28 Plancher de bois posé à même le sol
29 29 Sol nat
30 Etanchéité Journée contre le cancer 2014 J. Goyette Pernot
31 Etanchéité
32 Vide sanitaire Source:
33 Tuyauterie
34 Conduites de câbles
35 Arrivée de tuyauterie Journée contre le cancer 2014 J. Goyette Pernot
36 Drain
37 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion UEE Radon SP2015 J. Goyette Pernot
38 Cadre règlementaire actuel (2013) (2013) Normes standardisées: (2009) et nouveaux Source:
39 Acteurs Division de radioprotection / section des risques radiologiques de l Office Fédéral de la Santé Publique (OFSP) Responsables cantonaux Laboratoires de mesure agréés Délégués radon par région linguistique (SUPSI, HEIA FR, FHNW) Consultants en radon reconnus par l OFSP
40 Recommandations en matière de construction Guide technique Suisse Mesures préventives Beaucoup moins onéreuses dans les nouveaux bâtiments qu une remédiation Mesures de remédiation Requises par la loi si les concentrations en radon dépassent la valeur limite de 1000 Bq/m 3 Les concentrations doivent être ramenées à des valeurs inférieures à 400 Bq/m 3 aprés remédiation
41 Recommandations pour bâtiments neufs Radier d un seul tenant Etanchéité durable Béton étanche à l eau Mesure agrée de radon après travaux Autres mesures en cas de: passages de conduites et sondes géothermiques puits canadien système de ventilation Drainage sous dalle en cas de locaux d habitation au sous sol et de cave naturelle Source: radon.ch
42 Recommandations pour rénovations Source: radon.ch
43 o Révision des dispositions légales o Amélioration des connaissances de l exposition au radon dans les habitations o Promotion des actions de protection contre le radon dans la construction o Élaboration d une stratégie efficace concernant les assainissements o Intégration du radon dans la formation des spécialistes de la construction o Amélioration de la sensibilisation du public au problème de santé posé par le radon o Développement des outils et des méthodes Source: radon.ch
44 Brochures propriétaires public agents immobiliers & professionnels du bâtiment Source: radon.ch
45 SFSN, Fribourg, Brochures Effets de l assainissement énergétique Mesure et évaluation Méthodes de prévention pour les nouvelles constructions Méthodes d assainissement pour les bâtiments existants Source: radon.ch
46 D aujourd hui à demain Recommandation Bq/m 3 o Parc immobilier Suisse ~ 1.6 millions de bâtiments o Le radon a déjà été mesuré dans environ d entre eux Estimation du nombre total bâtiments > 1000 Bq/m bâtiments > 300 Bq/m 3 Bâtiments déjà mesurés ~3 000 mesures >1000 Bq/m 3 ~2% de bâtiments existants ~1% de nouveaux bâtiments ~ mesures >300 Bq/m 3 ~12% de bâtiments existants ~8% de nouveaux bâtiments Source: radon.ch
47 Révision de l ORaP Priorité est donnée aux nouveaux bâtiments Projet de texte révisé: o Les cantons informent les maîtres d ouvrage des exigences fixées dans l ORaP lors de la demande de permis de construire o Le propriétaire du bâtiment est tenu de prendre les mesures préventives qui s imposent face au radon d optimiser sous le niveau de référence d effectuer une mesure du radon l hiver qui suit la réception du bâtiment o Dans le cas où la concentration en radon s avère supérieure à la valeur de référence, le maitre de l ouvrage peut avoir recours au droit privé pour demander réparation à l architecte ou l entreprise en construction
48 Le radon dans la norme SIA 180/2014 o o o o o SIA 180/2014 Protection thermique, protection contre l humidité et climat intérieur des bâtiments Les polluants sont l humidité, le radon, le CO 2 et les odeurs La concentration en radon ne doit pas excéder les valeurs légales de l ORaP Elle doit être <300 Bq/m 3 d air Les mesures et contrôles sont requis durant la phase de projet et après la construction
49 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion
50 1 Radier d un seul tenant plutôt que dallage o Dallage o Radier d un seul tenant Source:
51 2 Etanchéité o Assurer une étanchéité durable contre l infiltration de l air du terrain riche en radon ainsi que de l eau et de l humidité o Accorder un soin particulier aux passages de conduites traversant les éléments de construction en contact avec le terrain Source: Office fédéral de la santé publique, 2012
52 3 Qualité du béton o Prévoir un béton étanche à l eau (selon norme SIA 272) pour le radier et les murs en contact avec le terrain o Installer une membrane d étanchéité si l on renonce au béton étanche mais encore peu de retour sur la durabilité de telles membranes? Source: btp.batiproduits.com
53 4 Méthodes préventives dans les bâtiments efficients en énergie o o o Sondes et échangeurs géothermiques pour pompe à chaleur: assurer l étanchéité des tuyaux et privilégier des matériaux résistants à long terme aux agressions chimiques et physiques. Placer les sondes à l extérieur du bâtiment et non sous la dalle Puit canadien: limiter le lit de gravier sur les côtés et vers le bas par une couche étanche de type argile. VMC: la prise d air frais doit être placée à au moins 1.5 m au dessus du terrain. Faire fonctionner la VMC à pression atmosphérique neutre ou en légère surpression
54 o o o 5 Drainage préventif Un drainage sous le radier ou la dalle permet de limiter l infiltration du radon dans le bâtiment en générant une dépression dans le terrain La disposition des tuyaux de drainage doit être adaptée à la perméabilité du matériau environnant En cas de pose directe du drainage dans le terrain, il faut prévoir un écart de 1 à 3 m entre les boucles du tuyau et une distance minimale de 1 à 2 m par rapport aux murs extérieurs Source: Office fédéral de la santé publique, 2012 o Source: Office fédéral de la santé publique, 2012 En cas de forte perméabilité du terrain, il est indispensable de la réduire pour assurer l efficacité du drainage (ex. lit d argile ou de béton maigre)
55 Le radon dans le label Minergie Eco Maison Minergie P Eco o o Minergie Eco minimise les émissions de polluants des matériaux de construction Il limite le rayonnement non ionisant (electrosmog) et ionisant en assurant des concentrations en gaz radon < 100 Bq/m 3 d air ecop eco.280.html
56 Quelques références ecop eco.280.html
57 Exigences du label Minergie Eco en termes de qualité de l air intérieur Source: Document QS Minergie ECO
58 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion
59 Diagnostic radon
60 Que faire pour assainir? 1. Rechercher les défauts d étanchéité à la source et évacuer le radon 2. Favoriser les courants d air vers l extérieur mais il y a risque d augmenter les pertes thermiques 3. Colmater les fissures et les jointures 4. Colmater les passages de conduites souterraines entrant dans la maison 5. Séparer de façon hermétique parties habitées des autres 6. Mettre les sols en dépression 7. Aspirer l air des caves chargé de radon par le biais d un réseau de tubes sous les planchers et d un ventilateur
61 Que faire pour éliminer le radon dans un bâtiment existant? o Améliorer l aération du bâtiment Une aération plus fréquente réduit le taux de radon et des autres polluants o Réaffecter les locaux contaminés o Assainir Etanchéifier les interstices, fissures Extraire le radon et l évacuer L empêcher de s infiltrer dans le bâtiment
62 Compter sur l aération naturelle ou l extraction mécanique? Source: sante radon.com Intérieur Extérieur Source: SUPSI Source: Ameon, IRSN o Oui mais en cas de concentrations accrues en radon, des valeurs élevées peuvent être atteintes de nouveau quelques heures plus tard o Mesure temporaire d urgence, insuffisante à long terme
63 Limiter les voies d accès du radon dans le bâtiment o Colmater les voies d entrée possible du radon o Equilibrer les pressions entre extérieur et intérieur o S assurer d un apport d air frais en suffisance pour le fourneau ou le poêle à combustion o Mettre le bâtiment en légère surpression de quelques Pa (ventilation positive) afin de limiter l infiltration du radon Source: Goyette Source: Goyette Source: Source: Office fédéral de la santé publique, 2012
64 En présence d un vide sanitaire o Ventiler le vide sanitaire o Renforcer l étanchéité du plafond du vide sanitaire Source: Goyette Source: Goyette Source:
65 Extraire le radon avant sa diffusion dans le bâtiment o Mettre en dépression le terrain situé sous le bâtiment en créant une dépression sous le radier empêchant l infiltration du radon par convection: cas du puisard à radon o L efficacité de cette approche dépend de la nature du terrain sous la maison o L évacuation peut être passive ou mécanisée Source: Source: Goyette Source: IRSN
66 Extraire le radon avant sa diffusion dans le bâtiment o En cas de rénovation complète du plancher de la cave, il est possible de réaliser un drainage de fond (drainage du radon) o Après excavation sur une profondeur de 40 cm on dépose des tuyaux de drainage du plus gros diamètre possible (au moins 15 cm) dans un lit de gravier Source: Office fédéral de la santé publique, 2012 Source: ecohabitation.com
67 Exemple d assainissement radon Montreux Maison familiale construite en 1952
68 Démarche 1. Diagnostic 2. Expertise 3. Proposition d assainissement 4. Mesure de contrôle pour validation Situation Concentration moyenne annuelle (Bq/m 3 air) Chambre d enfants 913 Chambre à coucher 794
69 69
70 Expertise Etage inférieur Etage supérieur 70
71 Cartographie du radon Etage inférieur Etage supérieur
72 Mise en dépression du sous sol pour tester l infiltration du radon...
73 Mise en dépression du sous sol pour tester l infiltration du radon...
74 Solutions proposées 1. Colmatage de toutes les ouvertures autour des conduites d eau, électricité et chauffage
75 Solutions proposées 2. Extraction sous dalle du radon grâce à l installation d un puisard à radon 3. Ventilation mécanique et évacuation en extérieur
76 Représentation schématique de l installation Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn HELIOS Type RR 100 C Radial Fan Power: 70 Watt Airflow: 240 m 3 /h Cellar Renovated floor Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn Rn
77
78 Optimisation de la ventilation
79 Mesure de control officielle et validation de l assainissement With fan working at maximal speed less than 10% of the initial radon concentration compared to the first official passive dosimetry measurements
80 Déroulement o Qu est ce que le radon et d où provient il? o Le bâtiment un milieu sensible o Cadre réglementaire en Suisse et carte du radon o Méthodes préventives dans les nouvelles constructions o Méthodes d assainissement dans les bâtiments existants o Conclusion
81 Conclusion o Seule la mesure du radon peut révéler sa présence o Avec la révision du cadre légal et l abaissement des valeurs tolérées, il apparait primordial de tenir compte du radon à l avenir en Suisse o La notion de «zone à risque» disparait o La rénovation énergétique du parc immobilier Suisse est un réel challenge pour les années à venir o Les premiers résultats d un projet en cours laissent à penser qu il est indispensable de croiser les regards des services de l énergie et ceux de la santé publique afin de sensibiliser le monde de la construction à cette problématique o La gestion du risque radon passera désormais aussi par la sensibilisation du public
82 Conclusion o Le radon est une problématique de la qualité de l air intérieur. Elle est vraisemblablement une des plus facile à maitriser si on la traite en amont du projet o La nécessité de former les professionnels de la construction est manifeste (ex. CAS en Qualité de l air intérieur de la HES SO, Merci pour votre attention
L HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailLes règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable
Les règles d or de la con struction écologique Rénover l habitat écologique économique climatiquement neutre peu gourmand en énergie sain durable Le Centre suisse d études pour la rationalisation de la
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détaille 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier
Étanchéitéàl air le 06 Octobre 2010 Opportunité Nouveau métier Les rencontres du Groupe PROTEC - CONFERENCE Qui sommes nous? Bureau de mesure et contrôle de la perméabilité à l air Formations en Infiltrométrie
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailQualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable
Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailVENTILATION POUR LE CONFORT D ETE
le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température
Plus en détailLe radon. Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION
Le radon Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation La Société canadienne d hypothèques et de logement (SCHL) est l organisme national responsable
Plus en détailProposition de normes de planifcation / construction. par. Guodong WANG Architecte urbaniste IAUG
Le radon dans les bâtiments : approche scientifque, technique et législative Cours de formation continue de l EPFL, en collaboration avec l UNIL, l USI, l OFSP et la SIA. Proposition de normes de planifcation
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailChauffage individuel FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Chauffage individuel 2 9 10 CONNAÎTRE > Chauffage central à eau > Chauffage par pièce > Autres systèmes REGARDER > Energies utilisées > Consommations > Inconforts ENTRETENIR > Contrat de
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailAide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009
Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1
LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-
Plus en détailRésumé et comparaison des coûts
Salon Greentech Fribourg Energies de chauffage Etat des lieux et perspectives Résumé et comparaison des coûts des différents systèmes de chauffage Jeudi 22 octobre 29 1 Comparaison des vecteurs énergétiques
Plus en détailBâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois
Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti
Plus en détaill essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton
l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailen rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre
Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailTable des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.
Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailCERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE
Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailRe-Certification 2012 Programme complet > 8 modules
Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailAvant-propos. Paris, le 15 novembre 2011. Le Directeur de l habitat, de l urbanisme et des paysages. Le Directeur général de la santé.
PLAN national D ACTIONS 2011-2015 POUR LA GESTION DU RISQUE LIé AU RADON Ce rapport a été rédigé par l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) en collaboration avec les membres du comité de suivi du plan national
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement
ORDRE DU JOUR La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement Le projet de budget Questions/Réponses Les travaux de canalisation et leur financement L éventuel passage en copropriété Conclusion
Plus en détailEau chaude à partir de demain plus qu il n en faut
SYSTEME DE VENTILATION A CONDUIT UNIQUE Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut LIMODOR-Plus se charge de couvrir vos besoins quotidiens en eau chaude LIMODOR-PLUS La ventilation confort au
Plus en détailFICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc
FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailCarnet photos. Visite commentée des travaux
Carnet photos Visite commentée des travaux Marais du Vigueirat Life PROMESSE 2003-2007 Sommaire Chaufferie bois et plateforme de stockage... 3 Cuves de récupération des eaux pluviales... 7 Lit planté de
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détailSystèmes de ventilation double flux CWL
Economie d énergie et respect de l environnement de série Systèmes de ventilation double flux CWL CWL 180 : jusqu à 180 m 3 /h CWL 300 : jusqu à 300 m 3 /h avec ou sans bypass CWL 400 : jusqu à 400 m 3
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailMUNICIPALITE DE GLAND
MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,
Plus en détailLe chauffage optimal pour votre maison
Office fédéral de l énergie SuisseEnergie Le chauffage optimal pour votre maison 1 Conférence Romande des Délégués à l Energie www.crde.ch 2 Installations de chauffage Alternatives Le chauffage de votre
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailUn bâti en tuffeau pour aujourd hui
P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte
Plus en détailInutilisable pour. transaction. Compte tenu de l importance que revêtent les déclarations qui suivent, le vendeur doit transmettre les informations
FORMULAIRE OBLIGATOIRE DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE (TERRAIN ET BÂTIMENTS, CIRCONSTANCES ET DÉPENDANCES) Inutilisable pour Formulaire élaboré en collaboration avec l Association des inspecteurs
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailRénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P )
Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) de Treize immeubles d habitation Pour la Société Coopérative d Habitation 10.03.2014 1. INTRODUCTION 1.1Présentation de la société candidate
Plus en détailExemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailLA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o
LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe
Plus en détailAmiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention
Amiante On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Le Québec est un important producteur et exportateur d amiante, un minerai reconnu pour ses
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailGUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES
GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailInvestissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise
Investissements socialement responsables à Retraites Populaires, un axe majeur de la politique de développement durable de l entreprise Perry Fleury, responsable RH et DD Forum durable Suisse romande 2
Plus en détailZone Région de Bruxelles Capitale
Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,
Plus en détailCHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT. www.rehau.com. Construction Automobile Industrie
CHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT www.rehau.com Construction Automobile Industrie DÉCOUVREZ LE CONFORT Votre maison est un refuge où vous pouvez relaxer, bâtir des souvenirs
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailSystème d assurance qualité de l Association Minergie pour label de bâtiment Minergie- ECO
Système d assurance qualité de l Association Minergie pour label de bâtiment Minergie- ECO Le document original en langue allemande fait foi. Table des matières Version: octobre 2012 1 Domaine d application...
Plus en détailAvec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre
Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailhabitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre
Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,
Plus en détailVotre maison. Avant de rénover votre sous-sol problèmes d humidité. Figure 1 Problèmes d humidité à résoudre
CF 28 c Avant de rénover votre sous-sol problèmes d humidité Moisissure et pourriture sur les solives de plancher et les lisses d'assise Air lourd, taux d'humidité élevé, mauvaise circulation de l'air
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailCARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME
CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME SOMMAIRE Comment fonctionne un système d'assainissement non collectif? A vérifier régulièrement Le planning d'entretien La vidange de la
Plus en détailTable des matières générale 1)
1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES
Plus en détailkst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie
kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du
Plus en détailClassification des pièces. Toutes. Supérieur et de confinement. Intermédiaire, supérieur et de confinement.
Commentaires spécifiques à certains points du formulaire de conformité. Dans la deuxième colonne, les classifications marquées en jaune sont celles pour lesquelles des changements ont été recommandés par
Plus en détailDE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé
VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT
Plus en détailCatalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010)
Département des finances, des institutions et de la sécurité Service cantonal des contributions Section des personnes physiques Departement für Finanzen, Institutionen und Sicherheit Kantonale Steuerverwaltung
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailEt la ventilation créa l eau chaude
VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %
Plus en détail