DDTM 83 Mont Faron. Limite de propagation Aléa chutes de blocs. Secteur 3. CETE Méditerranée. Rapport. date Novembre
|
|
- Dominique Chassé
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport CETE Méditerranée Novembre date 2013 DDTM 83 Mont Faron Limite de propagation Aléa chutes de blocs Secteur 3 Au 1er janvier 2014, les 8 CETE, le Certu, le Cetmef et le Sétra fusionnent pour donner naissance au Cerema : centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement. Centre d'etudes Techniques de l'equipement Méditerranée - CETE : Centre d'études techniques de l'équipement - Certu : Centre d'études sur les réseaux, les transports, l'urbanisme, et les constructions publiques - Cetmef : Centre d'études techniques maritimes et fluviales - Sétra : Service d'études sur les transports, les routes et leurs aménagements
2
3 CETE Méditerranée LRPC Aix en Provence et Nice SOMMAIRE 1 LOCALISATION DU SECTEUR ANALYSE DE L'ALÉA Couche source Synthèse des photos aériennes Géologie Couche évaluation Morphologie Identification des compartiments représentatifs... 5 Les écailles... 5 Les blocs...5 Les colonnes Qualification de l'aléa de rupture...5 Ecailles... 5 Blocs...5 Colonnes Couche risque ANALYSE TRAJECTOGRAPHIQUE Hypothèses retenues Analyse des profils Cadre de l étude Résultats des simulations CARTE D'ALÉA... 5 Mont Faron Limite de propagation secteur 3 Novembre 2013 N d'affaire : N Chrono : H /5
4 CETE Méditerranée LRPC Aix en Provence et Nice MONT FARON - LIMITE DE PROPAGATION SECTEUR 3 Géologie Les terrains rencontrés sont d'âge Jurassique. Ils sont représentés de bas en haut par : - des calcaires dolomitiques en pied de versant ; - ensuite des calcaires à patine rousse ; 1 Localisation du secteur - puis des marno-calcaires, dont les parties les plus calcaires affleurent par petits escarpements de quelques mètres ; Ce secteur est situé en partie Nord - Ouest du Mont Faron, en crête il représente un linéaire d'environ 400 mètres. Dans ce secteur, la falaise est globalement orientée Nord-Sud, le dénivelé de ce secteur est d'environ 350 mètres. Par rapport à la falaise, les premières maisons sont situées à environ 750 mètres en contrebas selon la pente. 2 Analyse de l'aléa - ensuite la base des reliefs les plus marqués est composée de calcaires zoogènes ; - enfin les calcaires dolomitiques du jurassique supérieur. Les différentes discontinuités qui affectent le secteur 3 sont les suivantes (notation Est-Ouest): Stratification: N S (Deux mesures à N SW & N S) Fracturation: 2.1 (Éperon Compartiment 9): N W N SW Couche source Synthèse des photos aériennes Compte tenu de la faible étendue de ce secteur, il n'a pas été procédé à un découpage complémentaire par zone. Ce secteur se présente plutôt sous la forme d'un versant avec une petite falaise à l'amont. Les principales instabilités observées l'ont été au niveau du versant. L'analyse des photos aériennes sur ce secteur a permis de préciser les zones d'éboulis et les directions principales de propagation. Les instabilités potentielles relevées sont du type blocs, écailles et colonnes. Tableau 1 Synthèse des instabilités observées sur les photographies aériennes Position Photos Description Mi-versant Barre rocheuse en surplomb 2124 à 2129 Blocs en surplomb Couloirs de propagation et éboulis Barre rocheuse en surplomb Blocs posés Partie haute du versant Blocs éboulés (angle de prise de vue 2166 à 2170 Colonne en surplomb = 65 ) Couloir d'éboulis important (la falaise en limite du secteur 4 semble générer beaucoup de blocs et pierres) Sommet du Mont Pas de données extraites Faron (Secteur 4) 2174 à 2176 (angle de prise de vue = 65 ) 2.2 Capucin (Limite secteur 2): N25 75 E (Deux mesures à N E & N E) Couche évaluation Morphologie Le secteur étudié correspond à une zone de thalwegs. De bas en haut du versant, on observe un versant boisé avec d'anciennes traces de restanques. Ensuite de petites barres rocheuses de marno-calcaires affleurent : elles sont visibles sur une hauteur de 2 à 3 mètres. Le haut du versant est constitué de petits éperons rocheux, puis de la falaise sommitale de petite hauteur (inférieure à 20 mètres). Sur ce secteur, on peut distinguer un thalweg majeur. Il est délimité, au Nord et au Sud (respectivement à gauche et à droite sur la photographie panoramique suivante) par deux zones d'éperons rocheux. Au Nord, un deuxième thalweg le sépare du Capucin qui fait la limite avec le secteur 2. Au Sud, un petit couloir d'éboulis le sépare du secteur 4. Celui ci commence avec le couloir d'éboulis cru visible à l'extrême droite de la photographie panoramique suivante. Le thalweg du secteur Est, quant à lui, presque entièrement végétalisé. Thalweg principal du secteur etudié Bas du versant (zone Pas de données extraites 2230 à 2233 pavillonaire) Mi Versant Petites colones (angle de prise de vue 2312 à 2319 Blocs posés = 65 ) Couloirs de propagation et éboulis Colonnes + Arche Mi versant (280 NGF) Écailles Limite secteur à 3067 Blocs posés au sommet de colonne («Capucin») Couloirs de propagation et éboulis Partie haute du versant Blocs en surplomb Photo 3080 = Limite 3071 à 3080 Petites colonnes secteur 4 Thalwegs, couloirs de propagation et éboulis Figure 2 Panoramique du haut du secteur étudié Grande zone de thalwegs avec des colonnes en bordure Nord (à gauche sur le panoramique) A mi-versant, des affleurements sont nettement visibles, ils sont constitués par des barres calcaires dont la puissance est approximativement de 3 mètres. Ces barres affleurantes sont autant de zones de rebonds éventuels pour les blocs en provenance des parties supérieures du versant et de la falaise. Les photos 3065 et 3069 sont jointes en annexe 1. Mont Faron Limite de propagation secteur 3 Novembre 2013 N d'affaire : N Chrono : H /5
5 CETE Méditerranée LRPC Aix en Provence et Nice 2.3 Identification des compartiments représentatifs Les compartiments représentatifs sont repérés, d'une part, à partir des photos aériennes (photointerprétation et vols hélicoptère), et, d'autre part, à partir des relevés de terrain. Ces derniers ont permis d'affiner la caractérisation des volumes unitaires à prendre en compte, de compléter l'analyse des différentes discontinuités et d'affiner la caractérisation de l'aléa de rupture des différents compartiments. Cette phase d'identification n'est pas exhaustive mais elle permet de qualifier l'aléa de rupture de tous les échantillons repérés et donc de prolonger cette analyse aux différents types d'instabilités rencontrées afin de déterminer l'aléa de rupture correspondant. Les compartiments représentatifs repérés sont de trois types: les écailles, les blocs et les colonnes. Les écailles Les écailles, représentatives sur ce secteur, ont un volume compris entre le mètre cube et plusieurs dizaines de mètres cube. Elles sont majoritairement dues à la présence d'une fracture arrière qui correspond au plan de falaise. Compte tenu des instabilités observées (type et volume), mais surtout de leur caractère diffus, le principe de solution qui paraît le plus approprié est une solution de type parade passive (merlon ou écrans de filets dynamiques). Ces solutions seront accompagnées, de manière ciblée, par des parades actives de type confortement par ancrage. La définition des confortements devra faire l'objet d'études spécifiques, d'un niveau plus détaillé que la présente étude, permettant de définir précisément le type et l'implantation des confortements. 3 Analyse trajectographique 3.1 Les seconds, d'un volume plus important (5 à 10 m3), sont soit éboulés et donc non remobilisables, soit situés à la frange d'éperon ou sur des plans aval. Hypothèses retenues le volume en m3; les essais effectués sur un même profil montrent son rôle négligeable sur la trajectoire du bloc. Compte tenu des volumes repérés sur le site et des principes établis dans le rapport général, il a été choisi égal à 5 m3. l'élancement : le coefficient de forme E du bloc est un paramètre essentiel du fait de l'importance de la rotation des blocs dans les conditions de propagation. Les blocs Deux types de blocs peuvent être distingués. Les premiers qui sont issus de l'érosion des joints stratigraphiques et apparaissent «posés» au sommet de colonnes et d'éperon : ils sont statiquement stables. Ces blocs ont majoritairement un volume inférieur au mètre cube. Couche risque Toutes les trajectoires ont été testées avec les élancements 1,1-1,3 et 1, Les colonnes Dans ce secteur, c'est la zone la plus dolomitisée qui produit les colonnes. Analyse des profils Cadre de l étude Elles sont bien individualisées par la présence d'un réseau dense de fracturation. Dans la plupart des cas, la stratification est très marquée et créée des plans de rupture préférentiels. Pour cette étude, 9 profils ont été réalisés. Les altitudes (Z) et les abscisses ( X) ont été obtenues par restitution photogrammétrique. Le volume de ces colonnes est compris entre 5 et 90 m 3 environ. Dans la zone du Capucin (limite avec le secteur 2), les colonnes sont les plus importantes avec des volumes de 30 à 90 m3 plus fréquents. Les altitudes de départs sont directement issues des observations de terrain et de l analyse de l aléa Qualification de l'aléa de rupture Ecailles Les écailles ont un aléa de rupture sur le moyen et le long terme pour les plus importantes. Les plus petites ont un aléa de rupture estimé sur le court terme. La fragmentation des écailles sera importante, elles le sont déjà pour la plupart déjà, in situ. Il en est de même pour le choix de la nature des terrains du versant. Dans le cas présent, ont été retenus suivant les profils: du rocher sain, des éboulis meubles pour les zones d'éboulis, des éboulis compacts pour la partie versant boisé Résultats des simulations Blocs Les blocs ont des aléas de rupture très différents, il serait malvenu de classifier cet aléa en fonction du volume ou de la typologie du bloc. Les blocs comportent déjà beaucoup de discontinuités. Leur fragmentation sera importante au moment de la rupture et du premier impact, leur élancement sera proche de 1. Les simulations montrent une limite de propagation très en dessous du chemin de l'ubac en partie Est du secteur. Cette limite s'en rapproche en partie Ouest du secteur au niveau du grand talweg séparant les secteurs 3 et 4. Colonnes Les colonnes ont un aléa de rupture sur le long terme. Elles se fragmenteront, pour la plupart, lors du premier impact selon le joint stratigraphique. Cf. carte d aléa au 1/5000. Mont Faron Limite de propagation secteur 3 Novembre 2013 N d'affaire : Carte d'aléa Les limites des différents niveaux de l'aléa se situent très largement dans la zone habitée. L'intensité de l'aléa sur l'ensemble du secteur est forte (I3). N Chrono : H /5
6 Annexe 1 Photos aériennes
7 Photographie aérienne 3065 CETE Méditerranée Photographies aériennes Secteur 3
8 Photographie aérienne 3069 CETE Méditerranée Photographies aériennes Secteur 3
9 Annexe 2 Description et localisation des compartiments
10 Compartiment 1: Écaille sur colonne Compartiment 3: Écaille fracturée sur plan aval Compartiment 4: Colonne avec traces de départ au pied à l'arrière Compartiment 2: Blocs posés au sommet d'une colonne Compartiment 5: 2 colonnes Celle de gauche forme une arche avec une autre colonne (Compartiment 6) CETE Méditerranée Planche photographique 1 Secteur 3
11 Colonne du Compartiment 5 Compartiment 6: Arche formée par une colonne du compartiment 5 et d'une seconde Compartiment 9: Éperon d'environ 1 000m 3. Seuls des blocs sont mobilisables Compartiment 7: Bloc en surplomb Compartiment 8: Colonne en surplomb CETE Méditerranée Planche photographique 2 Secteur 3
12 Compartiment 11: Zone avec plusieurs colonnes Présence d'un plan aval Compartiment 12: Colonne avec bloc posé au sommet / Présence d'une écaille de 5-6m 3 sur le coté Comp. 14b Comp. 14a Compartiments 14: Bloc sur plan aval (14a) Bloc en surplomb (14b) Compartiment 17: Écaille Présence de deux fracture arrière ouvertes CETE Méditerranée Planche photographique 3 Secteur 3
Les versants sous-cavés
RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailÉvolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Phare de la Coubre (17)
Évolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Jérôme REVEL Laboratoire de Bordeaux Page 1/22 sommaire Introduction Analyse historique du trait de côte Analyse naturaliste
Plus en détailTOSSA DE MAR ITINÉRAIRES ET PARCOURS
FR OFICINA DE TURISME OFFICE DE TOURISME MUNICIPAL Avinguda del Pelegrí, 25 - Edifici La Nau 17320 Tossa de Mar Costa Brava Girona Spain Tel. +34 972 340 108 email: info@infotossa.com www.infotossa.com
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailAlternative Urbaine. Notre offre se décompose en 4 segments : Conception Construction Pose Maintenance préventive et curative
Alternative Urbaine I.NOVATIS intervient dans l'aménagement des espaces urbains dans leurs globalités en tant que concepteur ou fournisseur de mobiliers. Notre offre est modulable. Nous aidons nos clients
Plus en détailPASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m
PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailREMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON
REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détail5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques
5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques 5.1 Ouvrages de protection : perspectives d innovation pour faire face à des contraintes d emprise, de haute énergie et environnementales :
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLe Scanner 3D Dynamique
Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis
Plus en détailFigure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre
Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle
Plus en détailCommune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES
Réalisation Assistance Maître d Ouvrage Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Cahier des prescriptions spéciales accompagnant le zonage des risques Date Avancement
Plus en détailLes normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée :
Accueil Diapo FAQ Instal. escalier Photo Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur 1. Définition des termes techniques pour les escaliers. 2. Normes élémentaires des marches d'escaliers.
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailRéhabilitation du Parc Rodin à Issy-les-Moulineaux Réalisation des escaliers mécaniques et d un skate parc
Réhabilitation du Parc Rodin à Issy-les-Moulineaux Réalisation des escaliers mécaniques et d un skate parc CONTACT PRESSE Nadège Moreira nadege.moreira@ville-issy.fr 01 41 23 82 58 Site : www.issy.com
Plus en détailZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr
LeTélégonflage ZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr LeTélégonflage Qu est est-ce que le TELEGONFLAGE? C est
Plus en détailDirective 2002/49/CE Cartes de bruit de la. Vienne. Réseau ferroviaire RAPPORT. CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON.
RAPPORT CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Environnement Territoires Climat Affaire 51ES1125 Février 213 Directive 22/49/CE Cartes de bruit de la Vienne Réseau ferroviaire Février
Plus en détailConservatoire National des Arts et Métiers, 75003 Paris-France. denis.fabre@cnam.fr
Gestion d un risque rocheux en zone urbanisée : le cas des Rochers du Néron près de Grenoble (Isère France) Management of rock fall hazard in an urban area: The Rochers du Néron, near Grenoble (French
Plus en détailInnovations Majeures de la Version 4
Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes
Plus en détailYwood Les Docks Libres à Marseille
Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailUne brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage
Une brique dans le cartable Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du plan à l ouvrage Visites et rencontres possibles - Rencontre avec un architecte o Voir la création des plans (orientation
Plus en détailANNEXE 8b. Fig. 1 Les symboles utilisés dans l'analyse de susceptibilité des suivantes paragraphes
RÉSULTATS ET CRITICITÉS MENACE GLISSEMENT SUR LES TROIS COMMUNES Dans les suivantes paragraphes sont présentés les résultats pour chaque communes et une liste des zones plus critiques surtout concernant
Plus en détailCLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée
CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailComment procéder : 9 étapes simples pour installer un plan de travail préformé
Comment procéder : 9 étapes simples pour installer un plan de travail préformé L'installation de votre propre plan de travail vous donne l'opportunité de vous exprimer et d'économiser de l'argent. Pour
Plus en détailPROGRAMMATION DES ACTIVITÉS D ATHLETISME DU CYCLE 1 AU CYCLE 3
HAUTE SAVOIE PROGRAMMATION DES ACTIVITÉS D ATHLETISME DU CYCLE 1 AU CYCLE 3 Production du stage de mars 2004. ont participé en particulier à son élaboration : Françoise Déage, Caroline Fontana, Magali
Plus en détailVilla dite Saint-Cloud
Villa dite Saint-Cloud 54 boulevard Frédéric-Garnier Royan Dossier IA17046390 réalisé en 2014 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel Enquêteur : Suire
Plus en détail3.2 Aide à la décision : 3.2.1 Gestion de la Surveillance des sites Rocheux : logiciel Panorama. Application au site des Ruines de Séchilienne
3.2 Aide à la décision : 3.2.1 Gestion de la Surveillance des sites Rocheux : logiciel Panorama. Application au site des Ruines de Séchilienne Jean-Paul DURANTHON (CETE Lyon) Avant-propos Cette présentation
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailCARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE. Destinataires : AREA M. SIRON
AGENCE DE MARSEILLE CONTROLE TECHNIQUE DE CONSTRUCTION 8 RUE JEAN JACQUES VERNAZZA BP 193 13322 MARSEILLE CEDEX 16 04.96.15.22.60 04.96.15.23.96 CARNET DE SANTE LYCEE COLBERT A MARSEILLE Destinataires
Plus en détailAccessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1
Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailRappel. Analyse de Données Structurées - Cours 12. Un langage avec des déclaration locales. Exemple d'un programme
Rappel Ralf Treinen Université Paris Diderot UFR Informatique Laboratoire Preuves, Programmes et Systèmes treinen@pps.univ-paris-diderot.fr 6 mai 2015 Jusqu'à maintenant : un petit langage de programmation
Plus en détailNotice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailLe GéoPortail du Jura http://geo.jura.ch. Présentation des fonctionnalités de la version mobile
Le GéoPortail du Jura http://geo.jura.ch Présentation des fonctionnalités de la version mobile Le GéoPortail se décline en deux versions : Une version normale (ordinateur de bureau) Une version mobile
Plus en détailChapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping
Chapitre V : La gestion de la mémoire Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Introduction Plusieurs dizaines de processus doivent se partager
Plus en détailReprésenter un pays : la carte de France
séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,
Plus en détailDE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015
2015-09 NOR : CESL1500009X Lundi 27 avril 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 REVOLUTION NUMERIQUE ET ävolutions DES MOBILITES INDIVIDUELLES ET
Plus en détailLE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans...
LE BATON D ISHANGO Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... Les collections du Muséum des Sciences naturelles à Bruxelles abritent un artefact aussi unique que remarquable : le bâton d Ishango.
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailPROPOSITION D'ASSURANCE DES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAIQUES Ordre d'étude et de placement www. groupassurenergies.com
OTTAVIANI SAS 21 rue Grignan BP 330 13177 Marseille CEDEX 20 Tel : +33 (0)4 91 33 02 55 Ligne directe : +33 (0)4 91 54 83 68 Fax +33 (0)4 91 54 71 46 contact@groupassurenergies.com PROPOSITION D'ASSURANCE
Plus en détailACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES
TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT (CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment
Plus en détailjáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b
jáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b `~êíéë=çé=äêìáí=ëíê~í ÖáèìÉë= dê~åçë=~ñéë=êçìíáéêë=çì=ç é~êíéãéåí= ÇÉ=ä~=`çêê òé o ëé~ì=êçìíáéê=å~íáçå~ä =o~ééçêí=çé=ëóåíü ëé ~ÑÑ~áêÉ=kø=SP=MT=NVQQV=a=PQU pééíéãäêé=ommu
Plus en détailObservatoires du Bruit. Import des données du Classement sonore : Utilisation de l'outil VSMAP
Observatoires du Bruit Import des données du Classement sonore : Utilisation de l'outil VSMAP SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 1. INTÉRÊT DE L'UTILISATION DE L'OUTIL VSMAP POUR LA MISE EN FORME DES DONNÉES DE CLASSEMENT
Plus en détailFM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise
FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailTrait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire
Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire 1 Producteurs 2 Dénomination du produit 3 Protection militaire 4 Abréviations 5 Description générale 1. Définition
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurant
- Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailAppareil de type fauteuil monte-escalier
modèle 80 Appareil de type fauteuil monte-escalier Fonctionne sur batteries points de chargement en haut et en bas, alarme sonore si l'appareil n'est pas stationné sur le plot de chargement. Programmation
Plus en détailCFD Parapente RÈGLEMENT 2014 2015
CFD Parapente RÈGLEMENT 2014 2015 La CFD (Coupe Fédérale de Distance) est un challenge interne à la FFVL pour le vol de distance («cross»). À partir de la saison 2014-2015, les vols CFD ne comptent plus
Plus en détailLe stationnement Le cheminement extérieur L entrée du bâtiment Le cheminement intérieur Les sanitaires. à faire. à ne pas faire
É D I T O «En juin 00, dans le cadre de sa Charte de Développement Durable, le Pays Yon et Vie s est donné pour ambition d offrir à ses habitants des services adaptés et accessibles à tous. Certains publics
Plus en détailConsignes d'utilisation de l'aérodrome de Saint Tropez-La Môle. Pour une exploitation en Transport public
Consignes d'utilisation de l'aérodrome de Saint Tropez-La Môle NOTE D INFORMATION A L ATTENTION DES OPERATEURS D APPAREILS DE MTOW INFERIEURE A 5.7t Pour une exploitation en Transport public Page 2 Consignes
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailTESTS D ÉVALUATION DU FRANÇAIS POUR L ADMISSION AU MASTER
TESTS D ÉVALUATION DU FRANÇAIS POUR L ADMISSION AU MASTER TEST Nr.2 Ière épreuve. ( /20 points) Définissez les termes en remettant en ordre les mots et les expressions suivants: 1. Marché financier : et
Plus en détailCOMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS
1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailTitre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs
Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs 4.1 Le concept d Analyse en Temps Probabilisé Le concept d Analyse en Temps Probabilisé, développé et appliqué
Plus en détail16 cm. 31,5 cm. Rully. 20 tuiles au m 2. Lambert Guiraud. TBF Lahera
3,5 cm cm Tuile petit moule 20 tuiles au m 2 Lambert Guiraud TBF Lahera Tu i l e P e t i t M o u l e Faible Impact tuile Environnemental Coloris : Ardoisé Caractéristiques techniques Type Double emboîtement
Plus en détailRéunion La Teste ( 08/03/10 )
Réunion La Teste ( 08/03/10 ) Dès le début notre association a œuvré pour la création d un véritable réseau de transport en commun sur l ensemble du pays du Bassin d Arcachon en prônant le développement
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailcommunes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager
Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...
Plus en détailwww.imprimermonlivre.com
0 www.imprimermonlivre.com Composition d une couverture avec Word L objectif de ce guide est de vous proposer un mode opératoire pour créer une couverture avec Word. Nous vous rappelons toutefois que Word
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailConcevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois
Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle
Plus en détailRampes, marches et escaliers
Rampes, marches et escaliers Marches et escaliers représentent un obstacle à la mobilité de nombreuses personnes, même si certaines solutions techniques telles que mains courantes et paliers - permettent
Plus en détailMANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS
Avertissement : Dans ce manuel d installation, le mot rampe est utilisé pour les modules inclinés et le mot plateforme pour les modules horizontaux. Généralités Commencer l installation par le point culminant
Plus en détailChapitre 4 : Guide de Mouvement et Masque
Cours Flash Chapitre 4 : Guide de Mouvement et Masque Rappel : les fichiers fla et swf sont dans le fichier «4_Guide de mouvement et masque.zip». SOMMAIRE 1 OBJECTIFS DU CHAPITRE... 1 2 INTRODUCTION...
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailLES DOSSIERS DOCUMENTAIRES ELECTRONIQUES. Clotilde VAISSAIRE CV CONSEIL SARL Clotilde.vaissaire@wanadoo.fr
LES DOSSIERS DOCUMENTAIRES ELECTRONIQUES Clotilde VAISSAIRE CV CONSEIL SARL Clotilde.vaissaire@wanadoo.fr 1 DEFINITION Le dossier documentaire réunit (en format papier comme en format électronique) un
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailADELIE. Alerte-DEtection-Localisation-IncendiE. Documentation du logiciel Interface Homme / Machine du poste opérateur
I122F - 0913 NOTICE I.H.M. OPERATEUR Constructeur français ADELIE Alerte-DEtection-Localisation-IncendiE Documentation du logiciel Interface Homme / Machine du poste opérateur PARATRONIC - Rue des Genêts
Plus en détailMobilité du trait de côte et cartographie historique
Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailTERMITES MISSION PROPRIETAIRE MANDATAIRE MISSION
(ordonnance du 8.6.05 : art. 16 ; loi du 13.7.06 : art. 79-IV ; loi du 30.12.06 ; décret du 5.9.06 ; décret du 14.9.06 ; décret du 21.12.06) (art. 18 / CCH : art. L. 271-4 -I à L. 271-6) Mission n 224381
Plus en détailMONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort
MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que
Plus en détail