COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION DE RENNES
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- Adam Métivier
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1 COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION DE RENNES Commune de Pont-Péan Commune de SAINT - GILLES Plan Local d' Urbanisme ETUDE D ALEAS LIES AU SOL Sols argileux de Pont-péan Révision approuvée par DCM du 30 juin 2009 juin 2009 service des Etudes Urbaines
2 Diagnostic géotechnique Phénomène de retrait-gonflement PONT-PEAN (Ille et Vilaine) RAPPORT DE DIAGNOSTIC GEOTECHNIQUE (Mission G 5 ) N D'AFFAIRE DATE REDACTEUR VERIFICATEUR INDICE MODIFICATION 07/ /06/08 A. RAULT-VERPREY M. MARTINET A A2.ARV.CL 1/25
3 SOMMAIRE DE L'ETUDE I - BUT DE L'ETUDE II - DOCUMENTS EN NOTRE POSSESSION AU MOMENT DE L'ETUDE III - RESULTATS DE LA RECONNAISSANCE PROSPECTION GEOPHYSIQUE RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE LITHOLOGIE HYDROGEOLOGIE ESSAIS EN LABORATOIRE IV SUSCEPTIBILITE DES SOLS AU PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT 1 - PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT DES ARGILES 2 - METHODOLOGIE ADOPTEE LITHOLOGIQUE CARACTERISATION GEOTECHNIQUE DEGRES DE SUSCEPTIBILITE AU PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT NIVEAU D'ALEA ET CARTOGRAPHIE QUALIFICATION DES ALEAS V RECOMMANDATIONS GEOTECHNIQUES DOCUMENTS ANNEXES Glossaire (2 pages) Puits à la pelle mécanique (14 pages) Essais en laboratoire (8 pages) Carte des désordres (1 page) Carte d implantation de sondages (1 page) Profils de résistivités apparentes (1 page) Profils électromagnétiques (6 pages) Conditions générales des missions d'ingénierie géotechnique, version 2006 (1 page) Extrait de la norme NF P révisée en 2006 (2 pages) Conditions générales d'intervention, version du 19/11/98 (1 page) A2.ARV.CL 2/25
4 I - BUT DE L'ETUDE Dans le cadre d un projet de révision du PLU sur la commune de PONT-PEAN, nous avons réalisé, à la demande et pour le compte de RENNES METROPOLES et de la commune de PONT PEAN, une étude géotechnique afin de définir le degré de susceptibilité des formations au phénomène de retrait-gonflement, sur un périmètre préalablement défini par le Maître d Ouvrage. Cette intervention a été réalisée dans le cadre d une mission de diagnostic géotechnique G5 de la norme AFNOR NF P II - DOCUMENTS EN NOTRE POSSESSION AU MOMENT DE L'ETUDE Les documents suivants étaient en notre possession pour la réalisation de l'étude : cahier des charges, document établi par Rennes Métropoles daté de décembre 2006, carte problématique de sol Chartres de Bretagne/Pont-Péan/Bruz, avec implantation des secteurs à Enjeu de développement pour les communes, datée de mai 2006, carte des contraintes à l urbanisation, à l échelle 1/7500ème, datée de février 2006, plan parcellaire de la commune, non référencé, rapport d Etude Phase 1, et ses annexes, document établi par le B.E. LITHOLOGIQUE daté de juin 2007, rapport Etude géotechnique et géotechnique générale PONT PEAN, et ses annexes, établi par le B.E. FONDOUEST, référencé sous le n 98/4971. III - RESULTATS DE LA RECONNAISSANCE III-1. PROSPECTION GEOPHYSIQUE - B.E. LITHOLOGIC 1 But et contexte de la prospection géophysique Préalablement à la réalisation de sondages de reconnaissance sur les secteurs argileux de Pont-Péan, il a été réalisé une campagne limitée de prospection géophysique dans le but de préciser, à l'échelle parcellaire, les contacts lithologiques ou tectoniques repérés sur la carte géologique au 1/ éme A2.ARV.CL 3/25
5 Une prospection par profils électro-magnétiques VLF en mode résistivité a été engagée sur le terrain début octobre La méthode VLF est décrite en annexe. Les résultats aboutissent à une valeur de la résistivité apparente (en Ohms/m) en chaque point de mesure s'accompagnant d'une valeur de déphasage (en degré). Le pas de mesure est de 10 m. 6 profils de mesures ont été réalisés dans les secteurs d'enjeu d'urbanisation ; Ils sont reportés en annexe. 2 Résultats de la prospection géophysique D'un point de vue global les résistivités apparentes s'échelonnent de 2 à 120 Ωm pour des déphasages de -108 à -168, soit des résistivités très faibles (caractéristiques d'argiles) à moyennes (schistes altérés, faluns ). Objectif : localiser les failles bordières du bassin tertiaire, limitant les argiles sapropèles au centre des schistes briovériens à l'est et à l'ouest. Six profils de résistivités ont été réalisés en direction WSW-ENE à SW-NE. D'une longueur comprise entre 220 et 450 m, ils comprennent 224 points de mesure selon deux émetteurs. Résultats : ils sont illustrés sur carte correspondante (fig. 4). Les résistivités apparentes ont été classées par gamme de couleur le long du profil réalisé. Les contrastes sont particulièrement marqués sur 5 profils sur 6. Ils soulignent le passage des argiles sapropèles (résistivités apparentes < Ωm) aux schistes briovériens (20-80 Ωm). On note quelques anomalies de déphasage, en particulier au contact entre les argiles et les schistes, indiquant que les faib les résistivités ont tendance à s'ancrer en profondeur et a contrario que les résistivités ont tendance à s'accroître en profondeur dans le secteur schisteux (diminution de l'altération de surface), hors du bassin. A la bordure Est du bassin, les argiles semblent se prolonger d'environ 150 m vers l'est par rapport aux indications de la carte géologique. Ceci implique que soit la faille est décalée vers l'est par rapport à la carte géologique, soit qu'elle est plus oblique (en direction NW-SE), voire décalée localement par de petites failles latérales. Il est possible que vers l'est la puissance des argiles diminue au-dessus des schistes. Vers l'ouest, seul le profil P1 ne permet pas de distinguer le passage entre les niveaux argileux du bassin et les schistes briovériens (recouvrement ponctuel, décalage local?). Sur les autres profils, le contraste bien marqué permet de localiser la faille globalement le long de son tracé sur la carte géologique A2.ARV.CL 4/25
6 III-2. RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE La reconnaissance a consisté en la réalisation de : 14 puits à la pelle mécanique de 3 à 4 m de profondeur pour déterminer la nature des sols et observer les éventuelles venues d eau, et prélever les échantillons remaniés et intacts nécessaires à la réalisation des essais en laboratoire suivants : - 14 mesures de teneur en eau naturelle, - 2 mesures de valeur au bleu VBS, - 12 mesures des limites d'atteberg, - 9 essais de dessiccation, - 5 essais de gonflement. Les puits ont été implantés selon les emplacements précisés sur le plan joint en annexe, et définis préalablement à notre étude par le Maître d'ouvrage. Les résultats détaillés, également annexés, seront résumés de la manière suivante : LITHOLOGIE La succession lithologique reconnue jusqu à 3 à 4 m de profondeur permet de distinguer 3 contextes différents dont les caractéristiques s'établissent ainsi : Argiles sapropèles inférieures et sables : puits PP2, PP5 à PP10, PP13 et PP14 de la terre végétale et des limons de couverture, ou des remblais sur 0,3 à 0,9 m d'épaisseur, des argiles grises à marron-orangé à rougeâtres, avec ponctuellement des fibres organiques (PP7, PP13) et plus ou moins sableuses ou incorporant des veines ou poches de sables plus ou moins argileux, comme observées en PP6, PP7. Dépôts sédimentaires sur argiles sapropèles inférieures et sables : puits PP8 et PP9 de la terre végétale et des limons de couverture sur 0,3 à 0,4 m d'épaisseur, des argiles grises à rougeâtres à marron-orangé, plus ou moins sableuses avec quelques graviers et blocs gréseux (Pliocène). Socle briovérien : puits PP1, PP3 et PP4 de la terre végétale et des limons de couverture, ou des remblais sur 0,3 à 0,7 m d'épaisseur, A2.ARV.CL 5/25
7 des argiles d'altération du schiste, marron à vert-orangé, grises à bleu-gris-rosé, avec localement quelques graviers et éléments friables de schistes, le substratum schisteux reconnu au droit du puits PP3 uniquement, à partir de 3,2 m. HYDROGEOLOGIE Lors de la réalisation des sondages en octobre 2007, des venues d'eau ont été observées au sein des argiles entre 2,1 et 3,2 m de profondeur au droit des puits PP2, PP6, PP12 et PP14. Il s agit de petites nappes perchées, liées à l infiltration des eaux pluviales qui circulent à la faveur des horizons plus sableux et restent piégées dans les horizons argileux peu perméables. ESSAIS EN LABORATOIRE Les résultats des essais en laboratoire sont résumés dans le tableau ci-après. Les résultats détaillés et les courbes d'essais de gonflement et de dessiccation sont fournis en annexe. * Ordre de grandeur de gonflement - H en mm : Calculé pour une couche de 1 m d'épaisseur à 1 m de profondeur avec la formule suivante : H = Ho x Rg log 'v avec 'v : contrainte effective g Ho : épaisseur de la couche de sol * Ordre de grandeur de l'amplitude de tassement - H en mm : Calculé pour une couche de 1 m d'épaisseur avec la formule suivante : H = H x Rl (w nat w Re ) A2.ARV.CL 6/25
8 A r c h i v e s F O N D O U E S T N PP Salle polyvalente Mairie Pont Péan Domaine du Midi PROF. METRES 0,30 0,70 0,70 0,50 0,50 0,50 0,40 0,40 0,90 0,90 0,50 2,40 0,40 2,20 0,60 0,40 1,70 1,40 2,00 1,40 2,60 2,80 1,60 1,80 1,80 1,80 1,50 3,00 1,30 3,00 2,00 2,80 SONDAGES LITHOLOGIE Argile avec graviers gréseuxmarron vert à gris bleu Argile grise Argile marron orangé gris Argile gris beige orangé panaché rose rougeâtre Argile grise panachée orangé rougeâtre Argile grise à panachée rougeâtre (avec veine sableuse) Argile gris ocre Argile plus ou moins sableuse gris marron orangé avec quelques graviers Argile grise panachée rose avec quelques graviers Argile grise panachée m arron roux Argile grise panachée rouge Argile gris clair à marron orangé W Ws VBS L i q u id it é Wl P la s t i c it é Wp I n d. P l a s t i c i t é IP I n d. C o n s i s t a n c e IC R e t r a i t R e t r a i t l in é a i r e W. i n it i a l e R e t r a i t l i n é a r e W. d e s a t u r a t i o n Wr Rl Rl Wre Rl 0,90 Sable 9,5 B5 Dépôts sédimentaires 1,60 Argile sableuse 14,9 A1 Argiles sapropèles inf. et sables 0,80 Argile grise 26, ,4 A3/A4 1,50 24, A3 1,00 Argile brune Argile grise 19,6 Argile grise panachée marron orangé (avec poche organique bleu) T e n e u r e n e a u 13,0 Argile grise 25,1 Argile gris rougeâtre 24,0 28,0 32,1 15,0 16,2 25,2 24,2 22,8 19,0 20,0 17,8 14,0 20,7 18,0 16,5 à 18,5 T e n e u r e n e a u d e s a t u r a t i o n 14,8 18,3 18,3 28,5 28, ,3 22,2 23,9 19,3 17,2 22,7 V a l e u r a u b l e u 0,48 1,00 7,2 3, IDENTIFICATION , ,53 sg MPa 6,3 A3 Argiles sapropèles inf. et sables 52 à à à 34 A3 1,50 Argile blanche 15,0 62 à à à 42 A3/A4 26 P r e s s i o n d e g o n f l e m e n t R a p p o r t d e g o n f l e m e n t Rg ,60 0,13 A1 A3/A4 10,7 0,26 A ,87 13,7 1,60 2,85 0,120 0,33 A , , Limites d'atterberg ,83 0, ,60 0,94 14,5 3,30 5,40 1,01 1,00 12,1 3,60 1,00 12,8 0,80 0,53 12,8 0,80 2,80 12,5 C la s s i f ic a t i o n G T R A3/A4 A3/A4 A1/A2 2,80 A3 12,5 4,90 6,00 A2 22, ,88 11,0 4,30 6,70 0,060 0,31 4,90 8,40 4,50 0,250 1,82 6,00 DESSICATION GONFLEMENT L i m i t e d e r e t r a it e ff e c t i v e F a c te u r d e r e t r a i t e ff e c t i f 0,110 0,76 0,080 0,23 A3 A2 A3 A2 A1 A2/A3 O r d r e d e g r a n d e u r d e l ' a m p l i t u d e d e g o n f l e m e n t H e n m m * 2,8 6,2 1,5 21,0 1,7 O r d r e d e g r a n d e u r d e l ' a m p l i t u d e d e t a s s e m e n t H e n m m * 5,7 11,2 FORMATION GEOLOGIQUE Socle Briovérien Argiles sapropèles inf. et sables Socle Briovérien Socle Briovérien * Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Dépôts sédim entaires sur argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables Argiles sapropèles inf. et sables A2.ARV.CL 7/25
9 IV - SUCEPTIBILITE DES SOLS AU PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT 1 - PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT DES ARGILES Le phénomène de retrait-gonflement des argiles se caractérise par des variations de volume sous l'effet de l'évolution de teneur en eau. Les variations de volume entraînent des mouvements différentiels de sol. Ainsi lors des périodes de sécheresse, le manque d eau entraîne un tassement irrégulier du sol en surface (retrait) ; à l inverse, un apport d eau dans ces terrains produit un phénomène de gonflement. La lenteur et la faible amplitude relative du phénomène le rendent sans danger pour l homme. Les désordres observables sont éventuellement des fentes de dessiccation à large échelle sur les sols nus en période de sécheresse et des fissurations sur le bâti. En effet l apparition de mouvements différentiels du sol peut avoir des conséquences importantes sur les bâtiments : fissuration des structures, distorsion des portes et fenêtres, décollement des bâtiments annexes, dislocation des dallages et cloisons, rupture de canalisations enterrées, etc. Les coûts de réparation peuvent alors s avérer être très lourds A2.ARV.CL 8/25
10 Légende : 1 Evapotranspiration 2 Evaporation 3 Absorption par les racines 4 Couches argileuses 5 Feuillets argileux 6 Eau interstitielle Les maisons individuelles sont les principales victimes de ce phénomène et ceci pour au moins deux raisons : la structure de ces bâtiments, légers et peu rigides mais surtout fondés de manière superficielle par rapport à des immeubles collectifs, les rends très vulnérables à des mouvements du sol d assise, la plupart de ces constructions est réalisée sans étude géotechnique préalable qui permettrait d identifier la présence éventuelle d argile gonflante et de concevoir le bâtiment en prenant en compte le risque associé à la spécificité de la parcelle. Deux facteurs interviennent dans ce phénomène : le facteur de prédisposition lié à la nature du sol et le facteur de déclenchement qui est lié à une modification de l'état hydrique du sol (lié au climat ou à une modification des écoulements des nappes phréatiques). D autre part, les facteurs suivants aggravent le phénomène : la végétation arborée, qui accentue l assèchement des sols du fait de l absorption de l eau par le système racinaire, jusqu à 3 voire plus de 5 m de profondeur suivant les essences, l infiltration des eaux de ruissellement et les fuites de réseaux EU / EP (qui augmentent la teneur en eau des sols). Seules les formations géologiques présentant des minéraux argileux sont sensibles au phénomène de retrait-gonflement et leur susceptibilité dépend de leur lithologie, de leur minéralogie, de leur géométrie et de leur comportement géotechnique. Les minéraux argileux se caractérisent par une structure minéralogique en feuillets entre lesquels viennent s interposer des molécules d eau. Certaines d entre elles présentent des liaisons faibles entre feuillets ce qui permet l acquisition ou le départ de volumes importants d eau. Lors d acquisition de molécules d eau, les feuillets auront tendance à s écarter et l argile qui sera constituée par ce minéral sera donc gonflante. A l inverse, lors du départ d eau les feuillets auront tendance à se rapprocher, et le minéral sera rétractable A2.ARV.CL 9/25
11 Les minéraux argileux présentant une liaison faible entre feuillets et donc une forte sensibilité au retrait-gonflement appartiennent au groupe des smectites (montmorillonites, illites) et des interstratifiés (kaolinite illite). Les argiles organiques et/ou fibreuses peuvent également s avérer sensibles au phénomène de retrait-gonflement. Les effets du phénomène seront d'autant plus importants que la formation sera présente dès la surface et les niveaux argileux seront épais. Les mouvements de terrains différentiels les plus importants, entraînant des désordres sur le bâti, sont le plus souvent consécutifs à une période de sécheresse et de réhydratation des sols. 2 - METHODOLOGIE ADOPTEE La méthodologie adoptée ci-dessous pour définir la susceptibilité des sols au retrait-gonflement est basée sur celle mise en œuvre par le BRGM à l échelle départementale, mais les définitions des notations, des valeurs seuils, de la note moyenne, etc. ont été adaptées à l échelle de la zone d étude et aux informations à notre disposition. Dans la méthodologie adoptée par le BRGM, la définition de la susceptibilité d une formation au phénomène de retrait-gonflement prend en compte plusieurs critères : lithologique, minéralogique et géotechnique. Pour chaque critère, une note comprise entre 1 et 4 est ensuite attribuée en fonction du degré de susceptibilité. La moyenne des notes ainsi obtenue permet de définir le degré de susceptibilité, défini comme degré d Aléa dans la présente étude. Au regard de la méthodologie du BRGM, la méthodologie mise en œuvre dans cette étude présente les adaptations décrites ci-après : Le critère minéralogique consiste à caractériser la susceptibilité des sols en fonction du pourcentage de minéraux gonflants contenus dans la phase argileuse. Ce pourcentage est défini par des analyses de diffractométrie au rayon X, non réalisées lors de cette étude. Ce critère n a donc pas été retenu. De même, la densité de sinistres par type de formation n a pas été prise en compte. L origine des sinistres n est pas connue dans la majorité des cas et ces derniers ne sont pas obligatoirement liés à la présence d argile sensible au phénomène de retrait-gonflement (mais à un défaut de construction, une fuite de réseau, etc., occasionnant les fissurations de bâtiments). En outre, les secteurs étudiés sur Pont Péan en terme de sensibilité des sols au phénomène de retrait-gonflement consistent pour certains en des secteurs non bâtis CARACTERISATION LITHOLOGIQUE Cette notation est qualitative et fonction de la nature des formations rencontrées. La notation choisie ci-dessous diffère légèrement de celle retenue par le BRGM à l échelle départementale A2.ARV.CL 10/25
12 Alors que la notation attribuée par le BRGM tient compte du caractère argileux des formations (de terrains essentiellement argileux aux terrains où l argile est minoritaire), la méthode mise œuvre dans la présente étude tient compte de la nature mais aussi de la disposition des formations rencontrées à l échelle de la zone d étude, et des informations disponibles dans la littérature (notice explicative de la carte géologique de JANZE document BRGM). Une formation à dominante argileuse, composée de minéraux appartenant au groupe des smectites sera notée 4 (note maximale). Une formation reposant sur une formation à dominante argileuse, composée de minéraux appartenant au groupe des smectites sera notée 3. Une formation à dominante argileuse sans données complémentaires plus précises concernant la nature des argiles sera notée 2. Une formation peu ou non argileuse sera notée 1. Argiles sapropèles inférieures et sables : 4 D après la littérature, il s agit d argiles d âges Eocène supérieur à Oligocène, composées de lignite et essentiellement kaolinitques et de sapropèles à smectite et calcite. Dépôts sédimentaires sur Argiles sapropèles inférieures et sables : 3 Argiles d'altération du schiste briovérien : 2 Argiles alluvionnaire de moyenne terrasse : CARACTERISATION GEOTECHNIQUE La valeur au bleu VBS, l indice de plasticité et le rapport de gonflement ont été utilisés pour caractériser le comportement géotechnique du matériau vis-à-vis du phénomène retraitgonflement. Les valeurs de seuil retenues pour l indice de plasticité et la valeur au bleu sont celles prises en compte par le BRGM pour l établissement des cartes d Aléa de retrait-gonflement des sols argileux. Ces valeurs seuils ont été définies de manière empirique par Chassagneux et al. en 1995, pour caractériser qualitativement le potentiel de gonflement d une argile à partir de la valeur au bleu VBS et de l indice de plasticité Ip. Indice de plasticité Valeur au bleu Susceptibilité Note géotechnique n 1 Ip < 12 < 2,5 faible 1 12 < Ip < 25 2,5 à 6 moyenne 2 25 < Ip <40 6 à 8 Forte 3 Ip > 40 > 8 Très forte A2.ARV.CL 11/25
13 Les valeurs seuil retenues pour le rapport de gonflement ont été fixées en fonction de l amplitude de gonflement mesurée pour une épaisseur argileuse de 1 m, présente dès la surface sur les échantillons prélevés sur les communes de Pont-Péan et Chartres de Bretagne. Susceptibilité Note géotechnique n 2 Rapport de Gonflement x 10-2 < 0,5 faible 1 0,5 à 0,75 moyenne 2 0,75 à 2 Forte 3 > 2 Très forte 4 Les valeurs de retrait linéaire ne sont pas prises en compte pour établir la note moyenne de susceptibilité, mais elles donnent un ordre de grandeur du retrait volumique possible d un sol lors de son assèchement. Cet essai est réalisé sur un échantillon de faible dimension et les variations volumiques mesurées sont très faibles. Par conséquent, nous attirons l attention sur les valeurs renseignées dans le tableau, qui doivent impérativement être corrélées avec la classification GTR du matériau, la présence éventuelle de matière organique dans le matériau, et le potentiel de gonflement. Un matériau classé A1 ou A2 présente peu ou pas de retrait. Remarque : Les dépôts géologiques rencontrés sur les communes de Pont-Péan et Chartres de Bretagne sont constitués de matériaux présentant une fraction argileuse dont la proportion peut changer rapidement pour de faibles variations spatiales (verticalement ou horizontalement). Notamment les argiles sapropèles inférieures et sables qui sont composées d argiles ponctuellement plus ou moins sableuses ou incorporant des veines et lentilles de sables. L apport d une fraction sableuse peut atténuer la susceptibilité géotechnique d un échantillon isolé, ce qui pose le problème de la représentativité des essais en laboratoire par l effet d échelle, l échantillon sur lequel est réalisé l essai étant de petite dimension. D autre part, les valeurs de retrait linéaire mesurées sur des échantillons de petites dimensions et ramenées à une couche géologique, ne sont par prises en compte pour établir la susceptibilité géotechnique des matériaux. Les valeurs mesurées permettent de définir un ordre de grandeur du retrait volumique possible d un sol lors de son assèchement après corrélation avec la formation géologique et la nature de l échantillon. Ainsi, un échantillon (fraction < 400 μm) utilisé pour mesurer le retrait linéaire prélevé au sein d argile provenant d une formation sensible au retrait-gonflement peut présenter une faible fraction argileuse (fraction < 2 μm), et donc un retrait faible voire nul, non représentatif de la formation dans son ensemble. Les valeurs de retrait sont donc à analyser avec prudence A2.ARV.CL 12/25
14 2-3 - DEGRES DE SUSCEPTIBILITE AU PHENOMENE DE RETRAIT-GONFLEMENT Deux ou trois notes comprises entre 1 et 4 sont définies pour chaque échantillon prélevé au sein d un type de formation. Plus la susceptibilité au phénomène de retrait-gonflement des argiles est importante plus la note est élevée. La note moyenne est calculée de la manière suivante : Note moyenne = (2 x note lithologique + 2 x note géotechnique 1) / 4 Ou note moyenne = (2 x note lithologique + note géotechnique 1 + note géotechnique 2) / 4 La note moyenne ainsi obtenue est comprise entre 1 et 4. Nota : la note géotechnique 1 est une note globale représentative de plusieurs essais. Les degrés d aléa retenus en fonction de la note moyenne sont ceux appliqués à l échelle nationale par le BRGM Note moyenne Degré d'aléa Valeur < 2 Faible 2 < valeur <= 3 Moyenne valeur > 3 fort La comparaison entre le type de formation et le degré d aléa ainsi obtenu ne présente pas d incohérence A2.ARV.CL 13/25
15 Puits n Formation géologique Note lithologique Note géotechnique n 1 Note géotechnique n 2 Note moyenne PP1 Socle briovérien 2 1 1,5 Faible PP2 Argiles sapropèles inf. et sables 4 3 3,5 Fort PP3 Socle briovérien 2 1 1,5 Faible Degré d aléa PP4 Argiles sapropèles inf. et sables ,5 Moyen PP5 Argiles sapropèles inf. et sables Fort PP6 Argiles sapropèles inf. et sables 4 3 3,5 Fort PP7 Argiles sapropèles inf. et sables ,5 Fort PP8 Dépôts sédimentaires sur Argiles sapropèles inf. et sables PP9 Dépôts sédimentaires sur Argiles sapropèles inf. et sables 3 2 2,5 Moyen ,25 Moyen PP10 Argiles sapropèles inf. et sables ,5 Fort PP11 Argiles sapropèles inf. et sables Fort PP12 Argiles sapropèles inf. et sables Fort PP13 Argiles sapropèles inf. et sables ,75 Moyen / Fort PP14 Argiles sapropèles inf. et sables 4 4 Fort Salle polyvalente Dépôts sédimentaires sur Argiles sapropèles inf. et sables 3 Moyen Faible Mairie Argiles sapropèles inf. et sables Fort Domaine du Midi Argiles sapropèles inf. et sables Fort A2.ARV.CL 14/25
16 2-4 - NIVEAU D'ALEA ET CARTOGRAPHIE L ALEA est défini ici comme la susceptibilité des matériaux au retrait-gonflement. Les niveaux d aléas correspondent au degré de susceptibilité, appréhendé selon la méthodologie exposée ci-dessus. La CARTE d ALEA correspond ainsi à la carte de susceptibilité des sols au retraitgonflement. La carte d aléa retrait-gonflement a pour but de : servir de base à des actions préventives dans la commune sur les secteurs de développement de l urbanisation ou de renouvellement urbain, attirer l attention des constructeurs et maîtres d ouvrages sur ce risque de retraitgonflement des argiles dans certains secteurs et sur la nécessité de respecter certaines règles constructives préventives en fonction du degré d aléa. Pour établir la carte d aléa, 3 outils ont été utilisés : des sondages à la pelle mécanique afin de définir la succession géologique, et des essais en laboratoire afin de définir la sensibilité des argiles au phénomène de retraitgonflement. Ils qui ont permis dans une première étape d attribuer à chaque point de reconnaissance implanté sur la zone d étude, le degré de susceptibilité défini précédemment. la géophysique : des profils géophysiques ayant permis de préciser les contacts géologiques et tectoniques repérés sur la carte géologique au 1/50000 ème. la carte géologique au 1/50000 ème grâce à laquelle les secteurs d aléa ont été délimités en fonction du degré d aléa d une formation et de ses contours sur la carte géologique. Le degré de précision et de fiabilité de la carte d aléa ainsi réalisée sont limités en partie : par la qualité de l interprétation et des observations qui ont permis la réalisation de la carte géologique de JANZE, par l échelle de validité de la carte ainsi établie, qui est celle de la donnée de base utilisée pour la réalisation des contours soit la carte géologique au 1/50000 ème, les hétérogénéités lithologiques qui caractérisent de nombreuses formations géologiques et ne sont pas toujours identifiées sur les cartes géologiques disponibles, les poches de remblais (liés aux diverses activités humaines) ne sont pas identifiés sur les cartes géologiques. Ces considérations sont importantes car elles expliquent pourquoi la carte ainsi élaborée ne peut en aucun cas prétendre refléter en tout point l exacte nature des terrains présents en surface ou sub-surface A2.ARV.CL 15/25
17 A2.ARV.CL 16/25
18 2-5 - Q UALIFICATION DES ALEAS Trois secteurs d aléa, faible, moyen et fort, ont ainsi été définis. L aléa faible, correspond à une zone ou les argiles sensibles au retrait-gonflement sont à priori absentes et donc à une zone de survenance faible des risques. Ainsi sur la commune le secteur présent à l ouest dont les terrains sont constitués par des formations du socle briovérien (argile d altération du schiste et schiste) non sensibles au phénomène de retrait gonflement a été classé en zone d aléa faible L aléa moyen correspond à une zone de probabilité modérée de survenance du risque au regard des informations disponibles. Il peut s agir : d'un secteur où une formation non sensible au phénomène de retrait-gonflement recouvre la formation des argiles sapropèles inférieures et sables, sensibles au phénomène de retrait-gonflement, d'une zone où les essais géotechniques réalisés ont révélé la présence d argiles faiblement réactives dans un secteur où la lithologie annonce des argiles sensibles au retrait-gonflement (ex PP4) d'une zone d incertitude du fait de l imprécision liée à l échelle de la carte géologique au 1/50000ème à partir de laquelle les contours de la carte d aléas a été établie. En zone d aléa moyen, la probabilité de manifestation du risque est plus importante qu en aléa faible. Ainsi au droit de la zone d étude située au Nord de la commune, on note la présence d un dépôt sédimentaire non sensible au retrait-gonflement, qui recouvre localement les argiles sapropèles inf. et sables. L épaisseur et la localisation exacte des dépôts ne sont pas connues et par conséquent cette zone a été classée en aléa moyen. Au droit de la zone d étude située à l Ouest de la commune, les essais géotechniques réalisés sur les échantillons prélevés au point de reconnaissance PP4 montre la présence d argile non sensible au retrait-gonflement. Ce point se situe à l Est de la position théorique de la faille du ème bassin d effondrement, d après la carte géologique à l échelle 1/50000 de JANZE, donc dans le secteur des argiles sapropèles inf. et sables sensibles au retrait-gonflement. De ce fait le secteur situé en limite Est de la faille a été classé en aléa moyen pour tenir compte du décalage de la faille et des limites zonales non connues de cette formation. Le décalage de la faille et des limites zonales de cette formation n étant pas connus, le secteur situé en limite Est de la faille a été classé en aléa moyen. De même, compte tenu de l incertitude sur la position de la faille, les terrains ont été classés en zone d aléa moyen de part et d autre de cette dernière. L aléa fort correspond à une zone où la présence de la formation des argiles sapropèles inférieures sensibles au phénomène de retrait-gonflement à faible profondeur est avérée. Ce qui implique une forte probabilité de désordres sur le bâti. Ainsi sur la commune, ont été classées en aléa fort : la zone sud et la moitié nord-ouest du secteur à enjeu d urbanisation situé au nord, l extrémité est et la zone sud-est du secteur à enjeu d urbanisation situé à l ouest, le secteur à enjeu d urbanisation situé au sud A2.ARV.CL 17/25
19 Fig. 2 : carte de l'aléa argileux sur Pont-Péan 18/ A2.ARV.CL
20 V RECOMMANDATIONS GEOTECHNIQUES La carte d Aléa élaborée à grande échelle sur la commune de Pont-Péan a pour but d attirer l attention sur le risque de retrait-gonflement des argiles dans certains secteurs. Après identification des zones susceptibles de renfermer des argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement à faible profondeur, des mesures préventives permettent de construire sur ces argiles. Les règles à respecter concernent principalement la réalisation des fondations et des aménagements extérieurs. Degrés d'aléa Fort Moyen Faible Essais en laboratoire spécifiques Dispositions constructives spécifiques aux argiles sensibles au retrait-gonflement Pas de dispositions constructives spécifiques vis-à-vis du phénomène de retrait-gonflement des argiles Ainsi, des dispositions constructives spécifiques au phénomène de retrait-gonflement des argiles devront être respectées : en zone d aléa fort, en zone d aléa moyen lorsque la présence d argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement à faible profondeur sera confirmée grâce à la réalisation d essais en laboratoire spécifiques. A l inverse, en zone d aléa faible et en zone d aléa moyen lorsque la présence d argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement à faible profondeur sera infirmée grâce à la réalisation d essais en laboratoire spécifiques, les projets ne feront pas l objet de recommandations constructives particulières vis-à-vis du phénomène de retrait-gonflement des argiles. La mesure la plus sûre pour adapter au mieux les caractéristiques de la construction en fonction des contraintes de la parcelle (géologique, topographique, hydrogéologique, A2.ARV.CL 19/25
21 etc.), est la réalisation à la parcelle et/ou au projet d une étude géotechnique menée par un bureau d études techniques spécialisé. Les études géotechniques permettent notamment de définir les principes généraux de construction (fondations, terrassements, dispositions générales vis-à-vis des nappes et avoisinants, etc.). Elles consistent en autre à la réalisation de forages avec essais pressiométriques permettant de mesurer la résistance du sol. Une étude géotechnique préalable sera réalisée par un géotechnicien qui l adaptera pour tenir compte des spécificités du terrain de construction (géologie, topographie, hydrogéologie, végétation, etc.) et des caractéristiques du projet. Les objectifs de l étude géotechnique propre au projet de construction seront en autre les suivants : définir la nature géologique, le comportement géotechnique et la portance des terrains d assises, (au minimum 5 m sous l assise de fondation), par la réalisation de forages pressiométriques avec coupe de sols et prélèvements d échantillons, en zone d aléa moyen, ces études devront en outre caractériser le comportement du sol d assise vis-à-vis du phénomène de retrait-gonflement (au minimum 5 m sous l assise de fondation), par la réalisation d essais en laboratoire spécifiques. Les essais en laboratoire spécifiques avec un minimum de 2 par formations géologiques rencontrées, tels que définis dans les recommandations de l Union Syndicale de Géotechnique, seront : granulométrie et sédimentométrie, et limites d Atterberg, et profils hydriques, et éventuellement essais de diffraction au rayon X, et éventuellement essais de gonflement et de dessiccation (suivant la nature et l importance du projet), etc. analyser les résultats des essais en laboratoire et des forages, définir les dispositions constructives à respecter lors de la réalisation des fondations (type et profondeur requises pour les fondations) et des aménagements extérieurs en fonction des contraintes de la parcelle d étude (contextes géotechnique, topographique, hydrogéologique et végétation, etc.) et des caractéristiques du projet. Cette étude géotechnique préalable (G1) sera réalisée dans le cadre des missions normalisées par la norme AFNOR NF P , étude d avant projet géotechnique G12 éventuellement précédée par une étude préliminaire de site G11. La classification des missions types d ingénierie géotechnique est jointe en annexe du présent document A2.ARV.CL 20/25
22 Exemples de dispositions constructives spécifiques au phénomène de retraitgonflement à retenir (aléa fort) Les projets implantés au droit d argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement à faible profondeur devront respecter des dispositions constructives sur la base du principe suivant : Le phénomène de retrait-gonflement étant activé par les modifications de l état hydrique des argiles, la règle d or et d EVITER A TOUT PRIX LES VARIATIONS DIFFERENTIELLES DE TENEUR EN EAU SOUS LA CONSTRUCTION AINSI QU A SON VOISINAGE IMMEDIAT. Le sol situé sous un bâtiment est protégé de l évaporation estivale et il se maintient dans un équilibre hydrique qui varie peu au cours de l année. Le sol situé en périphérie extérieure du bâtiment est par contre exposé à l évaporation et à la réhydratation. Les façades se situent donc au niveau d une zone de transition entre 2 sols présentant de fortes différences de teneur en eau engendrant des mouvements différentiels. Ces tassements différentiels sont de plus amplifiés en cas d hétérogénéité du sol ou lorsque les fondations présentent des différences d ancrage d un point à un autre du bâtiment lorsque celui est construit sur un terrain en pente ou avec un sous-sol partiel. En effet la teneur en eau des sols varie notamment avec la profondeur, suivant la nature des terrains et suivant le ruissellement (sur les terrains en pente). SUPRESSION DE TOUTE ARRIVEE OU RETRAIT D EAU : Trottoir imperméable périphérique avec contre pente vers l extérieur et relié de façon souple à la construction Proscrire l infiltration des eaux pluviales à proximité des fondations Joints souples au niveau des canalisations EU, EP, AP : pour éviter rupture puis fuites et infiltration ayant pour conséquence d augmenter les mouvements Eloigner les drains des fondations A2.ARV.CL 21/25
23 Eloignement des arbres Forme de protection étanche si arbre à proximité (écran anti-racines) dont la profondeur d encastrement dans le sol doit tenir compte de la profondeur d influence du système racinaire de l arbre adulte Attendre le retour à l équilibre du sol sur un terrain récemment défriché CONSTRUCTION Plancher bas sur vide sanitaire, (ne pas poser les dallages directement sur le sol) Proscrire les sous-sols partiels Ancrage homogène des fondations (notamment sur les terrains en pente). Radier sur remblai de substitution de qualité avec une épaisseur minimum conseillée de 1,2 à 1,5 m. Remarque : la création d un sous-sol total, bien que favorable, ne permet pas de s affranchir des autres recommandations. Semelles rigidifiées de fondation continues Profondeur minimum conseillée : 1,2 à 1,5 m Coulage des fondations pleines fouilles Chainages soignés des constructions (chainages horizontaux et verticaux) Joints complets (joint de rupture) rapprochés sur les bâtiments allongés et à chaque aile de bâtiment A2.ARV.CL 22/25
24 Le coût d une solution de fondation de type semelle filante rigidifiée descendue à 1,5 m de profondeur est environ 4 à 6 fois supérieur à celui d un principe de fondation classique. Les surcoûts relatifs seront d autant plus élevés que les bâtiments seront petits et/ou de faibles hauteurs. A titre indicatif, ces surcoûts seront de l ordre de 15 à 25 % pour des logements individuels classiques et de l ordre de 10 à 20 % pour des collectifs. Ainsi, en présence d argiles sensibles au phénomène de retrait-gonflement des bâtiments de type collectif pourraient être privilégiés. De plus de part leur structure, les bâtiments collectifs sont le plus souvent moins vulnérables que des logements individuels. La construction de bâtiment avec un niveau de sous-sol pourra également être examinée permettant d atteindre à priori des terrains présentant une portance plus élevée qu en surface. Nous restons à la disposition du Maître d'ouvrage et de son Maître d'œuvre pour leur fournir tout renseignement complémentaire. Rapport rédigé par : Vérifié par : Anne RAULT-VERPREY Michel MARTINET A2.ARV.CL 23/25
25 ANNEXE 1 : GLOSSAIRE W % : teneur en eau naturelle γh : Densité humide γd : Densité sèche γs : Densité des grains e : indice des vides : volume des vides / volumes des pleins Sr % Degrés de saturation : volume d'eau / volume total occupé par les vides Sr = 100 % = sol saturé tous les vides sont remplis d'eau Ws % : teneur en eau de saturation : Pour un sol de poids volumique sec donné, c'est la teneur en eau nécessaire pour avoir Sr = 100% VBS : valeur au bleu du sol : Mesure indirecte de la surface spécifique des grains solides par absorption d'une solution de bleu de méthylène jusqu à saturation. Les ordres de grandeurs sont les suivants : VBS< 0,2 : sols sableux 0,2 < VBS < 2,5 : sols limoneux 2,5 < VBS < 6 : sols limono-argileux 6 < VBS < 8 : sols argileux VBS > 8 : sols très argileux Limites d'atterberg : Wl% limite de liquidité : La limite de liquidité Wl sépare l'état liquide de l'état plastique ; elle correspond à la teneur en eau à partir de laquelle l'argile commence à s'écouler par son propre poids. Wp% limite de plasticité : La limite de plasticité Wp sépare l'état plastique de l'état solide (avec retrait) ; elle correspond à la teneur en eau en deçà de laquelle l'argile ne peut plus se déformer par microfissuration. Ip : indice de plasticité : L'étendue du domaine plastique est comprise en la limite de liquidité et la limite de plasticité, Ip = Wl Wp. Elle représente l'aptitude de l'argile à acquérir de l'eau A2.ARV.CL 24/25
26 Ic : indice de consistance est défini par Ic = Wl -W /Ip et permet de classer les sols argileux en fonction de leur consistance : si Ic > 1, le sol est à l'état solide, si 0 < Ic < 1, le sol est à l'état plastique, si Ic < 0, le sol est à l'état liquide. Wr % : retrait : teneur en eau à partir de laquelle il n'y a plus de retrait Lorsque la teneur en eau diminue en dessous de Wp, le volume de sol argileux se réduit progressivement, mais le matériau reste saturé en eau jusqu'à une valeur dite de retrait qui sépare l'état solide avec retrait de l'état solide sans retrait. A partir de ce stade si la dessiccation se poursuit, elle se traduit par une fissuration du matériau. En cas de réhydratation de l'argile, l'eau pourra circuler rapidement dans ces fissures. Au delà de Wr, l'arrivée d'eau s'accompagnera d'une augmentation de volume proportionnelle au volume d'eau incorporé dans la structure. Rl % à la teneur en eau initiale : retrait linéaire par rapport à la teneur en eau initiale : perte de volume d'une éprouvette de sol entre l'état initiale et l'état sec. Rl % à la teneur en eau de saturation : retrait linéaire par rapport à la teneur en eau de saturation : perte de volume d'une éprouvette de sol entre l'état saturé et l'état sec. Wre % : limite de retrait effective : limite qui sépare conventionnellement le comportement avec variation importante de volume, du comportement où la variation de volume est quasiment nulle. Rl : facteur de retrait effectif Ces deux paramètres permettent de déterminer le potentiel de retrait d'une argile. σ'g : pression de gonflement en MPa : contrainte appliquée au sol au-delà de laquelle la variation de volume est quasiment nulle. Rg x 10-2 : rapport de gonflement Ces deux paramètres permettent de déterminer le potentiel de gonflement d'une argile. Semelle filante : type de fondation superficielle qui se prolonge de façon continue sous les murs porteurs Chaînage : élément d ossature des parois porteuses d un bâtiment A2.ARV.CL 25/25
27 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP1 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Terre végétale limoneuse Argile avec cailloux et blocs gréseux marron-vert panachée gris-bleu (D = 150) Argile bleu-gris-rosé Argile bleu-gris-rosé avec quelques cailloux friables Observations : Page : 1 / 1
28 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP2 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon 0.5 Argile grise-marron-orangé 1.0 Argile grise plastique avec fibres organiques 1.5 Argile grise et rougeâtre Argile gris-ocre-orangé avec présence de veines gris-mauve gorgées d'eau Observations : Apparition de l'eau vers 3,20 m Page : 1 / 1
29 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP3 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR 0.5 Limon marron avec quelques cailloux 1.0 Argile d'altération marron-orangé-grise avec résidus organiques Argile sableuse d'altération beige-ocre panachée grise avec nombreux éléments ± friables Schiste décomposé rouille, argileux gris-marron-roux Observations : Page : 1 / 1
30 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP4 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Remblai limoneux + empierrement gris (ancien chemin) Argile gris-beige-orangé panachée rosé-rougeâtre avec racines et fiblres organiques Argile rouge et grise panachée marron-orangé Argile grise à rougeâtre marron-orangé (avec poches de petits éléments friables) Observations : Page : 1 / 1
31 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP5 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Remblai limono-sableux compact avec cailloux (Ancien mur) Argile grise panachée orangé-rougeâtre avec racines Argile à éléments rougeâtres ferreux Observations : Page : 1 / 1
32 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP6 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon compact avec quelques graviers marron Argile grise rougeâtre panachée orangée, sableuse avec racines Argile sableuse à sablo-argileuse gris-jaune-ocre Observations : Eau en fond Page : 1 / 1
33 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP7 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Dallage béton sur terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Empierrement rouge Argile gris-ocre Argile rougeâtre gris-bleu avec poches et veines sableuses bleu-roux 2.5 Argile plastique grise bariolée rougeâtre avec fibres organiques Observations : Page : 1 / 1
34 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP8 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon marron Argile ± sableuse gris-marron-orangé avec quelques cailloux gréseux Argile grise-rougeâtre à veines ± sableuses avec cailloux et petits blocs (D100) Argile marron-ocre ± sableuse avec cailloux gris-bleu Observations : Page : 1 / 1
35 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP9 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Terre végétale limoneuse 0.5 Argile limoneuse gris marron orangé avec quelques cailloux 1.0 Argile grise panachée roux avec quelques cailloux gréseux Argile sableuse à veines très sableuses avec graviers et cailloux Observations : Page : 1 / 1
36 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP10 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon argileux beige panaché marron 0.5 Limon sableux avec graviers 1.0 Argile grise panachée marron-roux avec quelques racines Argile marron-orangé avec petits graviers Argile grise panachée marron-orangé Observations : Page : 1 / 1
37 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP11 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon et cailloux marron (D = 100) Argile grise panachée rouge Argile grise panachée marron-roux avec veines de résidus organiques 2.5 Argile gris foncé plastique 3.0 Argile gris foncé très plastique Observations : Page : 1 / 1
38 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP12 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Terre végétale Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Limon argileux brun-marron 0.5 Argile gris clair marron-orangé Argile grisâtre foncé panachée rougeâtre Argile gris foncé plastique Observations : Eau en fond de puits Page : 1 / 1
39 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP13 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Remblai enrobé sur graviers limoneux Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR 0.5 Argile gris foncé avec quelques cailloux gréseux 1.0 Argile grise panachée marron-orangé avec poches organiques Argile gris ocre marron Observations : Page : 1 / 1
40 Etude : Etude d'aléa lié au sol argileux PONT PEAN (35) N : Client : 07/14032-A2 RENNES METROPOLE Sondage : Type : Date : X : Y : Z : PP14 Puits à la pelle 16/10/2007 B.P Granville CEDEX Tél. : Prof. (m) 0.0 DESCRIPTION LITHOLOGIQUE Prélévement Wn VBs (g) WL Wp Ip Ic Wopn GTR Remblai de démolition avec briques et béton Argile gris-rougeâtre Argile sableuse Observations : Apparition eau à 2,10 et 2,80 m Page : 1 / 1
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