archéologiques et les études récentes
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- Anne-Laure Coraline Roux
- il y a 8 ans
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2 Vue aérienne de la zone fouillée dans la partie agricole du site, cl. P. Millot Les fouilles archéologiques et les études récentes La longue interruption des fouilles sur le site entre 1992 et 2007 et le caractère bénévole des opérations anciennes n ont pas permis de conserver toutes les informations nécessaires à la compréhension de la villa, sachant qu elle est loin d avoir été entièrement fouillée. La conservation départementale, service du conseil général de la Haute-Marne, a repris depuis 2007 des activités de fouille destinées dans un premier temps à faire un état des lieux de la stratigraphie, c est-à-dire de l empilement des couches archéologiques qui nous renseigne sur l évolution du site dans le temps. Depuis 2009, des fouilles programmées * sont menées sur de nouvelles zones et des études scientifiques ciblées sur le mobilier archéologique ont été lancées (monnaies, mortiers, peintures, céramique, etc.). * Les fouilles programmées sont menées dans l intérêt de la recherche. Elles sont financées entièrement par l État, et sont possibles grâce à la participation de bénévoles (étudiants en archéologie pour la majorité). Elles font l objet d un rapport évalué par la Commission Interrégionale de l Archéologie, composée de scientifiques reconnus. Responsable d opération : C. Serrano, conseil général de la Haute-Marne.
3 Les fouilles L intérieur du portique (2007) Opération restreinte, elle a concerné l intérieur de la cour à portique qui ne présente pas de vestiges en dur. L ensemble du mobilier indique que des éléments de construction non réutilisables ont été utilisés pour niveler le terrain en cet endroit, opération qui a précédé la construction du portique. On aurait là les vestiges de la destruction d un secteur bâti peut-être partiellement incendié. La zone a également servi brièvement de dépotoir alimentaire et artisanal. Exemples de modifications apportées dans une pièce de la zone ouest : Exemples 1. foyer d une salle de chauffée modifications fermé apportées dans une pièce de la zone oues construction foyer d une mur salle utilisant chauffée de grands fermé blocs en remploi 3. petit foyer fait de tuiles réutilisées murs construction arasés recouvert d un par un mur sol de utilisant mortier de tuileau de grands blocs en remploi 3. à gauche, petit murs foyer en zone fait ouest de tuiles réutilisées 4. murs arasés recouvert par un sol de mortier de tuileau Des modifications importantes de la partie établir qu une salle de la zone ouest avait résidentielle (2008) connu de nombreuses modifications et Elle a porté du côté ouest du que le dernier état recouvrait totalement site, partiellement exploré par les des vestiges d une autre époque. fouilles anciennes. Sur cette zone, L étude du comblement indique que ces des céramiques sigillées italiques, transformations ont été faites sur la fin c est-à-dire importées de l Italie du I er, début du II e siècle. romaine, avaient été découvertes : Le nombre de fragments de roches elles indiquent une fréquentation du site décoratives et de mosaïques polychromes à une date où les constructions en dur trouvés en certains endroits rappelle le n ont pas encore été bâties. Des murs luxe ostentatoire du site à une certaine de plus de 1,20 m globalement bien période : son propriétaire appartenait à conservés ont été découverts. On a pu une élite.
4 En rouge, murs d une première période détruits par la construction d une nouvelle salle (zone ouest) En rouge, murs d une première période détruits par la construction d une nouvelle salle (zone ouest) De nouvelles salles résidentielles ( ) Dans la partie résidentielle à l ouest du site, les fouilles ont été poursuivies : on a découvert de nouvelles salles en enfilade. Elles étaient vides au moment de leur destruction par un incendie et on a relevé des traces de récupération des matériaux. Ces salles conservent par endroits des restes de peinture murale (rouge et noir en soubassement à l intérieur, enduit blanc à l extérieur). Le sol en mortier de tuileau, très résistant, était bien conservé. Sous le sol des pièces passaient des canalisations en bois puisqu on a retrouvé encore en place une frette métallique sous l emplacement d un seuil. Sous ces salles, des niveaux antérieurs existent : un sol précédent, partiellement détruit par les derniers aménagements, témoigne d un autre état entre le milieu et la fin du Ier siècle. On pense avoir atteint la limite des constructions vers l ouest mais des aménagements extérieurs peu visibles (clôtures, plantations, zones d activités ou de rejet) sont encore à chercher. L histoire de la partie résidentielle a ainsi été faite de modifications incessantes, dans le sens d un agrandissement systématique. Cependant, les dernières constructions observées sont un peu moins confortables : une pièce a vu son chauffage abandonné et les deux pièces découvertes n ont pas de système de chauffage fixe. Dans les remblais issus des dernières destructions du site, on a trouvé en 2009 un remarquable fragment de mosaïque figurée en tesselles de marbre et de verre. Deux fragments suggèrent un animal aquatique, dauphin ou poisson, motif courant sur les mosaïques antiques, en particulier dans les thermes et les bassins.
5 1 2 Un grand bâtiment agricole ( ) La partie agricole de la villa a été explorée pour la première fois à partir de On a ainsi pu étudier dans sa globalité un grand bâtiment de la pars agraria qui avait été partiellement fouillé dans les années 80. Une couche de toiture effondrée était encore en place, ce qui résulte d un incendie de grande ampleur. On a découvert un bâtiment faisant exactement 100 pieds romains sur 48 (soit 30 m sur 14,2 m) avec un niveau d occupation en place. Le sol n était pas aménagé, aussi de nombreux éléments de mobilier ont-ils été découverts : il est plus facile de voir et de récupérer des objets tombés sur un sol en dur que sur un sol argileux. Des toitures couraient sur les longueurs et les largeurs du bâtiment, aussi bien à l intérieur qu à l extérieur, offrant ainsi des espaces couverts propices à des activités qui sont suggérées par les trouvailles : stockage du matériel, en particulier de charrettes, activités artisanales à petite échelle, comme le travail du bronze et de l os. Il se peut que des animaux et des hommes aient vécu de façon temporaire sous ces auvents, dont certaines parties pouvaient être fermées avec des cloisons. Cette interprétation provient de plusieurs éléments trouvés en fouille : un foyer adossé à l un des murs, un bloc de grès taillé de telle sorte que des cloisons de bois pouvaient s y encastrer, de nombreux éléments d assemblages tels que charnières, pentures, pitons, etc. Les toitures étaient soutenues par des poteaux de bois qui ont disparu, mais des aménagements constitués de blocs de pierre destinés à les préserver de l humidité sont conservés : ils sont espacés de manière très régulière. Enfin, de chaque côté du long mur qui constitue la limite nord du site, on a observé la présence de fossés. à l intérieur du bâtiment se trouvait une canalisation en bois disparue qui a laissé des concrétions calcaires et des cerclages en fer, et à l extérieur, un fossé permettait à l eau de ruissellement de s écouler. On peut imaginer à quoi ressemblait ce grand bâtiment de stockage : un bâtiment fermé composé d une cour ouverte sur l extérieur et possédant des portiques sur les côtés. Les éléments de mobilier mis au jour donnent une datation de la fin du III e, début du IV e siècle pour l occupation et la démolition de cet ensemble. Cependant, après cette destruction, le site est toujours occupé, puisque la zone a servi de secteur d épandage de déchets de toutes sortes. 1 Restitution du bâtiment agricole L Relevé de la fouille du bâtiment agricole L 170
6 cm 3 Bâtiments agricoles et artisanaux, espaces de travail ( ) Plus loin vers l est, les vestiges du mur d enceinte ont été dégagés, il n en reste que les fondations qui reposent sur le sol calcaire sous-jacent. Deux fossés courent tout le long de l extérieur du mur. à l intérieur de la partie explorée, des murs et des caniveaux de drainage construits en même temps témoignent de bâtiments en dur dont il est difficile de donner la fonction. Un petit bâtiment sur poteaux d une phase plus tardive s est implanté dans la partie agricole et les restes d une petite maçonnerie témoigne de la réutilisation systématique des matériaux (seuils, chaperons de murs en grès débités et réutilisés). Le sol calcaire qui affleure et la forte érosion des vestiges ne permettent pas d avoir une compréhension chronologique précise. On peut voir cependant comment les constructeurs antiques se sont adaptés au terrain, en entaillant plus ou moins profondément le calcaire pour y asseoir les fondations, tout cela selon un plan préalable qui recourt à des mesures précises. La faible épaisseur des murs laisse supposer des constructions sans étage et il est possible qu elles n aient comporté des pierres que dans les parties basses. Le mobilier recueilli n est pas toujours caractéristique car il comprend de nombreux éléments déplacés ou jetés : moulure de marbre, fragments de roches décoratives, tesselles de mosaïque, verre à vitre. 1 Fouille de la partie agricole 2 Drain 3 Relevé du drain (partie supérieure, couverture de dalles)
7 1 2 Quelques objets remarquables 1 Fragments de mosaïque polychrome (poisson?), tesselles de verre, de terre cuite et de roches (dont marbre blanc) 2 Fragment de statuette en argile Mosaïques et roches décoratives De nombreux fragments détachés de leur support suggèrent la richesse décorative du site. Le soin apporté à la réalisation de fines mosaïques polychromes est notable : les tesselles sont de petite taille (entre 3 et 5 mm) et elles comportent du marbre et du verre. Une tesselle à la feuille d or, trouvée isolément, indique des mosaïques de grande qualité. Concernant les roches décoratives utilisées en placages muraux ou au sol, les habitants de la villa aimaient les couleurs bigarrées. Certaines de ces roches proviennent de carrières lointaines (Grèce, Turquie, Afrique du Nord) ou proches (Vosges, Bourgogne, environs de Langres). Il s agit de la décoration la plus coûteuse à l époque antique, le coût du transport de grandes quantités de marbres étant considérable. Statuettes en terre cuite Ce type de statuette moulé en argile blanche typiquement gallo-romain était très répandu du I er au III e siècle et avait une fonction religieuse dans les cultes domestiques. Plusieurs fragments ont été trouvés : un visage masculin aux joues rebondies ainsi qu une partie de deux niches abritant en général une statue de Vénus. Ces objets étaient surtout produits à Autun et aux alentours.
8 La faune : animaux consommés et production artisanale En 2007 les ossements ont fait l objet d une étude : près de 60% du matériel a pu être déterminé au niveau générique. à l exception du cerf, l ensemble des animaux appartient à des animaux domestiques avec une nette prédominance du bœuf, suivi par le porc, les caprinés (moutons et chèvres) et le cheval. à noter la présence d un reste isolé de chien. Malgré le faible nombre de traces de découpe et l absence de restes brûlés, ce sont essentiellement des rejets de déchets domestiques. De nombreux bois de cerf sciés ont été utilisés pour la confection d objets utilitaires ou artistiques, notamment une fausse dent de canidé, réalisée en bois de cerf, portée en pendentif (trouvée en 2012 dans la partie agricole). Un artisan qui travaillait là Des prélèvements systématiques de mortier ont été faits pour une étude de leur composition et on a trouvé par hasard entre deux couches de mortier de tuileau la trace d une caliga, chaussure antique comportant une semelle assemblée par de petits clous, laissée par un ouvrier dans le mortier encore frais, lors de la construction d une salle chauffée de la partie ouest. De nombreux objets de la vie quotidienne Des objets en matériaux divers (os, fer, bronze, verre) témoignent de la présence des activités des habitants de la villa : l alimentation, la parure, le jeu, le travail artisanal L un d eux, Bellus, a même laissé son nom sur le fond d une petite coupe. Une partie d une meule rotative en basalte de l Eifel (Allemagne), en très bon état, a été trouvée en Objet trouvé fréquemment, en lien avec la confection de la nourriture, son origine montre qu il existait un commerce à grande échelle pour ces objets utilitaires très communs. 7 émail orangé 1 Bois de cerf 2 Photographies et relevé d une empreinte laissée par une semelle cloutée 3 Fibule de bronze comportant des rondelles en os 4 Couteau 5 Pion en os 6 Meule lors de sa découverte 7 Élément décoratif d ameublement (bronze)
9 1 2 émail orangé émail orangé orangé Les études scientifiques Le site dans un paysage et une histoire : étude de contexte et de toponymie Une étude a été réalisée en 2003 pour permettre une meilleure compréhension des potentialités du site avant sa valorisation *. Elle a porté sur les contextes historiques, géographiques, géologiques du site mais aussi sur les parcellaires et les noms de lieux qui peuvent aussi bien refléter l histoire parfois ancienne d un lieu que la manière dont les hommes s approprient leur espace de vie. Par exemple, les toponymes «haye» ou «viau», fortement présents sur le territoire d Andilly, signalent des chemins jadis bordés de haies : ils structurent nettement le parcellaire et les axes secondaires. Dans la région, de nombreux sites archéologiques d époques diverses sont desservis par ce réseau. On peut ainsi trouver la trace d axes de communication aujourd hui absents du paysage par le repérage de termes tels que «dessous les hayes», «en la haye» Les limites du site archéologique : prospections géophysiques Les limites du site sont désormais bien connues car toutes les parcelles sur lesquels il s étend ont été prospectées par divers moyens scientifiques dont le principe est d envoyer un signal dans le sol et d enregistrer la manière dont il revient **. Les résultats permettent de connaître l étendue globale du site tout en préservant le sous-sol, on peut aussi repérer d avance certaines structures de chauffe ainsi que les fossés et les structures en dur comme les vestiges de murs. On a ainsi pu délimiter ce qui peut correspondre à deux ou trois cours dans la partie agricole du site et découvrir la présence de grands bâtiments. * B. Vue, chercheur associé à l UMR 5594 au CNRS Université de Bourgogne. ** Travaux menés par l Université Pierre et Marie Curie, société Terra Nova et étudiants de l Université de Dijon sous la direction de C. Petit et C. Durlet. 1 Voie romaine de Langres à Bourbonne-les- Bains 2 Prospection géophysique, (société Terra Nova) 3 Fibule émaillée 4 Pendentif (bois de cerf) 5 Clé
10 1 2 Le vaisselier utilisé sur la villa : étude de la céramique sigillée La céramique sigillée * est une céramique importée, de couleur rouge, légèrement brillante, lisse ou ornée, qui était utilisée uniquement pour le service. Très courante sur les tables antiques, elle fournit des renseignements précieux sur le commerce et les évolutions chronologiques des plats. Les sigillées italiques découvertes à Andilly constituent pour la région un ensemble remarquable. On trouve par exemple un plat relativement peu diffusé dans le nord de la Gaule en raison de sa période de fabrication (trois premières décennies de notre ère) : il s agit d un calice dont le décor se compose de grandes figures représentant des divinités et des prêtresses autour d un autel. La présence de céramiques d origine italique plaident en faveur de l existence d un établissement dont les propriétaires étaient sensibilisés à la culture romaine, sans doute des aristocrates locaux. Les vaisselles de la première moitié du I er siècle sont plutôt rares, mais celles de la fin du même siècle sont bien représentées : elles proviennent du sud de la Gaule. Présente dans les mêmes quantités, la sigillée du Centre est surtout composée de bols, avec un goût prononcé des résidents de la villa pour les céramiques ornées. Ces plats sont progressivement remplacés à partir du milieu du II e siècle par les vases issus des ateliers de l Est. Les sigillées de l Est de la Gaule dominent largement le vaisselier de la villa puisqu elles représentent près de 58% des productions avec une origine dominante : les ateliers d Argonne. Quelques vases proviennent des ateliers de Luxeuil (Haute-Saône) situés à moins de 70 km à vol d oiseau de la villa. * Étude menée par R. Delage, membre associé de l UMR 8546 CNRS/ENS Paris. 1 Fond de coupe en sigillée, graffiti BELLI ( à Bellus ) 2 Céramique sigillée italique, R. Delage 3 Coupe, cl. M. Barbier 3
11 1 2 3 Figure n 40 Restitution en perspective, salle faux marbres Etude CEPMR 2009, J.-F. Lefèvre Le programme décoratif : enduits peints et éléments décoratifs Les fresques qui décoraient les parois ne subsistent le plus souvent que sous la forme de morceaux d enduits détachés des murs et dispersés dans les remblais. Cependant, la décoration murale peut parfois être restituée et constitue un critère déterminant pour établir une chronologie relative. Elle reflète également les choix esthétiques de l époque, certaines préoccupations politiques ou religieuses. C est aussi souvent la seule manière de connaître en élévation des structures disparues. Une fresque murale a pu être restituée*. Elle était peinte sur du mortier recouvert d une fine couche de sable fin et de chaux. Composée de trois niveaux, il s agit d une imitation de marbres en trompe-l œil. La partie basse présente une composition rythmée de larges compartiments allongés, avec une division géométrique constante. Au-dessus sont présents des imitations de placages de marbre. Ils ont tous la même composition : un rectangle encadré par une large bande orné d un losange et d un cercle inscrits. Des alternances de couleur se remarquent en fonction des marbres figurés. La dernière zone, très sobre, comporte des bordures ornées de boutons végétaux. L époque de réalisation de ce décor a été placée entre la fin du II e siècle et le milieu du III e siècle. Des analyses de marbres** ont été faites pour mieux cerner l origine des éléments décoratifs, notamment les restes d une remarquable statuette en marbre blanc trouvée en Il s avère que cette dernière a été taillée dans un bloc de marbre provenant de carrières d une île située dans la mer de Marmara (actuelle Turquie). Ces résultats accréditent des remarques faites sur le style de l objet : elle proviendrait d ateliers de sculpture d Asie Mineure. * Centre d études des peintures murales romaines (CEPMR, Soissons, étude menée par S. Groetembril). ** Étude menée par P. et A. Blanc, Université P. et M. Curie, et C. Serrano. 1 Reconstitution d un décor de fresque de faux marbres (CEPMR, J-F. Lefèvre) 2 Tête de statuette en marbre blanc 3 Étude d un décor (CEPMR 2009)
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