Glossaire. attribut de clé Voir clé primaire. base de données géographiques Voir géodatabase (GBD).
|
|
- Jules Cormier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 !"#$%&'! #&$ (&(')*#+, $-) #- './0 12&,-#'
2 2
3 Glossaire analyse Processus d identification d une question ou d un problème à résoudre, de modélisation de ce problème, de recherche des résultats de modélisation, d interprétation des résultats, assorti éventuellement d une recommandation. annotation Dans ArcGIS, texte ou graphiques sur une carte pouvant être sélectionnés, positionnés et modifiés individuellement par l utilisateur du logiciel. Le texte peut représenter des attributs d entités ou des informations supplémentaires. Les annotations peuvent être saisies manuellement par l utilisateur ou créées à partir d étiquettes. Elles sont stockées dans un document ArcMap sous forme de texte ou d éléments graphiques, ou dans une géodatabase sous forme d une classe d entités. ArcIMS Le logiciel ESRI permet l hébergement et la diffusion centralisés de cartes SIG, de données et d applications de cartographie sous forme de services Web. L infrastructure administrative permet aux utilisateurs de créer des fichiers de configuration, de publier des services, de concevoir des pages Web et de gérer des serveurs spatiaux ArcIMS. Personnalisable à de nombreux niveaux, ArcIMS prend en charge les plates-formes Windows, Linux et UNIX. ArcSDE Logiciel serveur fournissant une passerelle de stockage, de gestion et d utilisation des données spatiales dans l un des systèmes de gestion de bases de données commerciaux suivants : IBM DB2 UDB, IBM Informix, Microsoft SQL Server et Oracle. Applications client ArcSDE communes incluant ArcGIS Desktop, ArcGIS Server et ArcIMS. ArcToolbox Interface utilisateur dans ArcGIS permettant d accéder et d organiser un ensemble d outils de géotraitement, de modèles et de scripts. ArcToolbox et ModelBuilder sont utilisés conjointement pour effectuer le géotraitement. attribut 1. Information caractéristique d une entité géographique d un SIG, généralement stockée dans une table et liée à l entité par un identifiant unique. Les attributs d un fleuve, par exemple, peuvent être son nom, sa longueur, sa profondeur moyenne, etc. 2. Dans les jeux de données raster, information associée à chaque valeur unique des cellules. 3. Information cartographique qui définit la manière dont les entités sont affichées et étiquetées sur une carte. Les attributs cartographiques d un fleuve peuvent être, par exemple, l épaisseur de ligne, la longueur de ligne, la couleur et la police de caractères. attribut de clé Voir clé primaire. base de données géographiques Voir géodatabase (GBD). carte 1. Représentation graphique, sur une surface plane, des entités physiques d une partie ou de la totalité de la Terre ou d autres étendues, ou encore du ciel, à l aide de formes représentant les objets et de symboles décrivant leur nature, à une échelle dont la fraction représentative est inférieure à 1:1. Les cartes utilisent généralement une projection déterminée et indiquent la direction d orientation. 2. Représentation graphique d informations géographiques ou spatiales. 3. Document utilisé dans ArcMap permettant d afficher et de travailler sur des données géographiques. Dans ArcMap, une carte comporte une ou plusieurs couches de données géographiques, contenues dans des blocs de données, ainsi que divers éléments cartographiques complémentaires tels qu une barre d échelle.
4 cartographie Art et science permettant d exprimer graphiquement, en général à l aide de cartes, les entités naturelles et sociales de la Terre. catalogue d images Ensemble de jeux de données raster définis dans une table de format quelconque, dans laquelle les enregistrements définissent les jeux de données raster qui figurent dans le catalogue. Un catalogue d images permet d afficher des jeux de données raster contigus ou superposés sans avoir à les mosaïquer dans un seul grand fichier. classe d entités Ensemble d entités géographiques ayant le même type de géométrie (point, ligne ou polygone, par exemple), les mêmes attributs et la même référence spatiale. Les classes d entités peuvent être autonomes dans une géodatabase ou être intégrées à des fichiers de formes, des couvertures ou d autres jeux de classes d entités. Elles permettent de grouper des entités homogènes dans une seule unité à des fins de stockage. Les autoroutes, routes nationales et routes départementales, par exemple, peuvent être regroupées au sein d une classe d entités linéaires nommée routes. Dans une géodatabase, les classes d entités peuvent également servir à stocker des annotations et des cotes. classe d entités VPF Voir classe d entités. classe de relations Elément de la géodatabase, qui stocke des informations sur une relation. Une classe de relations apparaît en tant qu élément de l arborescence ou de la fenêtre de détails d ArcCatalog. clé Voir clé primaire. clé attributaire Voir clé primaire. clé primaire Colonne ou ensemble de colonnes d une base de données identifiant de façon unique chaque enregistrement. La clé primaire interdit toute valeur dupliquée et ne peut pas être nulle. couche 1. Dans ArcGIS, référence à une source de données, telles qu une couverture, une classe d entités de géodatabase, un raster, etc., qui définit la manière dont les données doivent être symbolisées sur une carte. Les couches peuvent également définir d autres propriétés (exemple : les entités de la source de données à inclure). Les couches peuvent être stockées dans des documents ArcMap (.mxd) ou enregistrées sous forme de fichiers de couche individuels (.lyr). Le concept des couches correspond à celui des thèmes dans ArcView GIS 3.x. 2. Classe d entités autonome d une géodatabase gérée avec SDE 3 ou ArcSDE. couverture Modèle de données permettant le stockage d entités géographiques. Une couverture contient un ensemble de données associées par thème, considéré comme une unité. Elle représente habituellement une seule couche, telle que des sols, des cours d eau, des routes ou l occupation des sols. Dans une couverture, les entités sont conservées à la fois sous forme d entités principales (points, arcs, polygones) et d entités secondaires (tics, liens et annotation). Les attributs des entités sont décrits et stockés séparément, dans des tables d attributs d entités. Les couvertures ne peuvent pas être modifiées dans ArcGIS 8.3 et les versions ultérieures. domaine Groupe d ordinateurs et de périphériques d un réseau, gérés comme une seule unité avec des règles et des procédures communes. Sur Internet, un domaine est défini par une adresse IP (Internet Protocol). Tous les périphériques qui partagent une partie de l adresse IP appartiennent au même domaine. données Ensemble de faits liés disposés dans un format particulier. Il s agit souvent des éléments d information de base produits, stockés ou traités par un ordinateur. données géographiques Informations relatives aux entités réelles, notamment leur forme, leur emplacement et leur description. Les données géographiques sont composées de données spatiales et de données attributaires. 118 Qu est-ce que ArcGIS 9.1?
5 données spatiales 1. Informations sur la position et la forme des entités géographiques et sur les relations entre ces entités, généralement stockées sous forme de coordonnées et de topologie. 2. Toute donnée pouvant être représentée sur une carte. entité linéaire Voir ligne. entité polygone Dans le logiciel ESRI, représentation numérique d un lieu ou d un objet dont la zone s affiche à une échelle particulière, comme un pays sur une carte mondiale ou une parcelle sur une carte des parcelles. Les entités polygones comportent une géométrie de polygone. Voir aussi polygone. entité polylinéaire Dans ArcGIS, représentation numérique d un lieu ou d un objet dont la longueur s affiche à une échelle particulière (et pas la zone), comme une rivière sur une carte mondiale ou une rue sur un plan de ville. Les entités polylinéaires comportent une géométrie de polyligne. Voir aussi polyligne. entité ponctuelle Dans le logiciel ESRI, représentation numérique d un lieu ou d un objet trop petit pour afficher une zone ou une longueur à une échelle donnée comme une ville sur une carte mondiale ou un bâtiment sur un plan de ville. Une entité ponctuelle peut également servir à représenter un lieu ou un objet dont la nature ne comporte aucune longueur comme un sommet de montagne ou un foudroiement. Les entités ponctuelles comportent une géométrie ponctuelle. Voir aussi point. extensible Markup Language (XML) Créé par le World Wide Web Consortium (W3C), le langage XML est une norme destinée à la création de formats de texte conçus pour faciliter l échange de données entre applications informatiques. Le langage XML est un ensemble de règles permettant de créer des formats d information normalisés à l aide de balises personnalisées, et de partager format et données entre différentes applications. extraction Procédure qui enregistre la duplication des données d une géodatabase dans une autre et désactive les données d origine afin qu il ne soit pas possible d accéder aux deux versions (ou de les enregistrer) en même temps. fichier de formes Format de stockage des données vectorielles permettant d archiver l emplacement, la forme et les attributs des entités géographiques. Un fichier de formes est stocké dans un jeu de fichiers associés et contient une classe d entités. GBD Voir géodatabase (GBD). géocodage Processus de recherche d une adresse sur une carte. L adresse peut être représentée par des coordonnées x,y ou une entité telle qu un segment de rue, une adresse de distribution postale ou un bâtiment. Dans SIG, le géocodage nécessite un jeu de données de référence contenant des attributs d adresse pour les entités géographiques de la zone qui vous intéresse. géocodage d adresses Voir géocodage. géodatabase (GBD) Ensemble de jeux de données géographiques à utiliser dans ArcGIS. Il existe différents types de jeux de données géographiques, notamment des classes d entités, des tables attributaires, des jeux de données raster, des jeux de données réseau, des topologies, etc. géodatabase d entreprise Voir géodatabase multi-utilisateurs. géodatabase d extraction Géodatabase personnelle ou ArcSDE contenant des données extraites d une géodatabase principale. géodatabase multi-utilisateurs Géodatabase gérée dans un serveur SGBDR par ArcSDE. Les géodatabases multi-utilisateurs sont parfois très volumineuses et prennent en charge de nombreux éditeurs concurrents. Elles sont prises en charge par les différents SGBDR du marché, notamment par Oracle, Microsoft SQL Server, IBM DB2 et Informix. Glossaire 119
6 géodatabase personnelle Géodatabase stockant les données dans un système de gestion de bases de données relationnelle (SGBDR) mono-utilisateur. Une géodatabase personnelle peut être consultée simultanément par plusieurs utilisateurs, mais l enregistrement de données ne peut être effectué que par un seul utilisateur à la fois. géométrie Mesures et propriétés de points, de lignes et de surfaces. Dans un SIG, la géométrie permet de représenter le composant spatial d entités géographiques. Une classe de géométrie ArcGIS est dérivée de la classe abstraite Geometry pour représenter une forme telle qu un polygone ou un point. géoréférencement Attribution des coordonnées d un système de référence connu, par exemple, latitude/longitude, transversale universelle de mercator (UTM) ou State Plane aux coordonnées de page d une carte raster (image) ou planaire. Le géoréférencement de données raster permet de les visualiser, de les interroger et de les analyser avec d autres données géographiques. géotraitement Opération SIG permettant de manipuler des données SIG. Généralement, une opération de géotraitement consiste à prendre un jeu de données en entrée, à effectuer une opération sur ce jeu de données, puis à renvoyer le résultat de l opération dans un jeu de données en sortie. Les opérations de géotraitement les plus couramment utilisées sont la superposition d entités géographiques, la sélection et l analyse d entités, le traitement topologique, le traitement raster et la conversion de données. Le géotraitement permet de définir, de gérer et d analyser les informations utilisées lors de la prise de décision. Global Positioning System (GPS) Constellation de 24 satellites d émission radio déployés par le ministère de la défense des Etats-Unis et utilisés pour des localisations sur la surface de la Terre. Ces satellites en orbite émettent des signaux qui permettent à un récepteur GPS situé n importe où sur la Terre de calculer sa propre position par triangulation. Ce système est utilisé dans la navigation, la cartographie, l arpentage et d autres applications dans lesquelles un positionnement précis est nécessaire. GPS Voir Global Positioning System (GPS). image Représentation raster ou description d une scène, généralement créée à l aide d un dispositif optique ou électronique tel qu une caméra ou un radiomètre à balayage. Les exemples les plus courants sont les données détectées à distance (les données satellite, par exemple), les données scannées et les photographies. Les images sont stockées en tant que jeu de données raster de valeurs binaires ou entières représentant l intensité de la lumière réfléchie, de la chaleur, du son et d autres plages de valeurs contenues dans le spectre électromagnétique. Une image peut contenir un ou plusieurs canaux. insertion Procédure permettant de transférer une copie des données dans la géodatabase principale, en remplaçant la copie d origine et en l activant, afin qu elle soit accessible (et puisse être enregistrée) à partir de cet emplacement. jeu de classes d entités Ensemble de classes d entités stockées ensemble et qui partagent la même référence spatiale. Autrement dit, elles ont le même système de coordonnées et leurs entités se situent au sein d une même zone géographique. Les classes d entités possédant des types de géométrie différents peuvent être stockées dans un jeu de classes d entités. jeu de classes d entités DAO Représentation des entités d un fichier DAO dans la structure d une géodatabase. Un jeu de classes d entités DAO se compose de cinq classes d entités en lecture seule : points, lignes, polygones, annotation et tables Les formats pris en charge par ArcGIS sont les suivants : DWG (AutoCAD), DXF (AutoDesk Drawing Exchange Format) et DGN (format de fichier Microstation par défaut). jeu de données Ensemble structuré de données quelconques avec un thème commun. jeu de données DAO Voir jeu de classe d entités DAO. jeu de données géographiques Ensemble structuré de données d une géodatabase ayant un thème commun. 120 Qu est-ce que ArcGIS 9.1?
7 jeu de données VPF Voir vector product format (VPF). jointure relationnelle Opération par laquelle deux tables de données sont définitivement fusionnées par un champ commun, appelé clé primaire. ligne Forme qui possède une longueur et une direction mais pas de superficie, et qui connecte au moins deux coordonnées x,y. Les lignes représentent des entités géographiques trop étroites pour pouvoir être représentées par une surface à une échelle donnée ; il peut s agir de contours, d axes de rues, de cours d eau ou d entités sans superficie qui constituent les contours de polygones (des frontières entre pays, par exemple). métadonnées Informations décrivant le contenu, la qualité, la condition, l origine et d autres caractéristiques des données ou informations. Les métadonnées de données spatiales peuvent renseigner sur leur sujet, le mode, la date, le lieu et l auteur de leur collecte, leur précision, leur disponibilité et leur diffusion, leur projection, leur échelle, leur résolution ainsi que leur fiabilité par rapport à la norme applicable. Les métadonnées fournissent des propriétés et une documentation. Les propriétés proviennent de la source de données (par exemple, le système de coordonnées et la projection des données), tandis que la documentation est saisie manuellement (mots-clés utilisés pour décrire les données). mise à jour en mode déconnecté Processus de copie des données vers une autre géodatabase, de mise à jour de ces données puis de fusion des mouvements avec les données de la géodatabase source ou principale. MNA Voir modèle numérique d altitude (MNA). mode continu Technique permettant de transférer des données, généralement via Internet, dans un flux en temps réel au lieu de les stocker d abord dans un fichier local. Le mode continu permet d afficher des fichiers multimédia volumineux avant que la totalité du fichier ne soit téléchargée sur l ordinateur d un client. Lorsque le client (ordinateur local) reçoit les données, un logiciel les décompresse pour les interpréter et les afficher rapidement. ModelBuilder Application de géotraitement d ArcGIS utilisée dans ArcToolbox pour créer graphiquement un modèle ou un script de géotraitement. modèle 1. Abstraction et description de la réalité utilisées pour représenter des objets des processus ou des événements. 2. Ensemble de procédures analytiques clairement définies utilisé pour déduire de nouvelles informations à partir de données en entrée. 3. Ensemble de règles et de procédures destinées à représenter un phénomène ou à prévoir un résultat. En géotraitement, un modèle est constitué d un processus ou d une séquence de processus reliés les uns aux autres. Il est créé dans ModelBuilder ou à l aide d un script utilisant Python et d autres langages de script. 4. Représentation de données de la réalité, par exemple le modèle de données vectorielles. modèle de données 1. Dans SIG, paradigme mathématique permettant de représenter des objets géographiques ou des surfaces sous forme de données. Le modèle de données vectorielles représente la géographie sous forme d ensembles de points, de lignes et de polygones, le modèle de données raster sous forme de matrices de cellules stockant des valeurs numériques et le modèle de données TIN sous forme d ensembles de triangles contigus non superposés. 2. Dans ArcGIS, ensemble de spécifications de conception de base de données pour les objets d une application SIG. Un modèle de données décrit les couches thématiques utilisées dans l application (par exemple, des pays, des routes et des restaurants), leur représentation spatiale (par exemple, un point, une ligne ou un polygone), leurs attributs, leurs règles d intégrité et relations (par exemple, les rues ne peuvent pas être auto-sécantes, ou les pays doivent être inclus dans des états) ; leur présentation cartographique et la configuration requise pour les métadonnées. Glossaire 121
8 3. En théorie, description des règles selon lesquelles les données sont définies, organisées, recherchées et mises à jour dans un système d information (généralement un logiciel de gestion de base de données). modèle de données de géodatabase Structure des différents jeux de données géographiques et tables d une instance de géodatabase. La structure définit les objets, les règles et les relations SIG permettant d ajouter un comportement SIG et une intégrité aux jeux de données d un ensemble. modèle numérique d altitude (MNA) Représentation de valeurs d altitudes continues sur une surface topographique à l aide d un tableau de valeurs Z référencées par rapport à un datum commun. Il est généralement utilisé pour représenter le relief d un terrain. modèle numérique de terrain (MNT) Voir modèle numérique d altitude (MNA). modificateur de texte Voir attribut. multipatch Type de géométrie permettant de représenter la surface extérieure (l enveloppe) d entités qui occupent une zone discrète ou un volume dans l espace en trois dimensions. Il s agit de triangles et d anneaux 3D utilisés en combinaison pour modéliser une entité. Les multipatchs peuvent représenter tout objet, simple ou complexe, notamment les sphères, les cubes, les isosurfaces et les bâtiments. multipatch 3D Voir multipatch. National Spatial Data Infrastructure (NSDI) Infrastructure de données spatiales appartenant à l Etat fédéral et faisant référence à des sites aux Etats-Unis et aux moyens de distribuer et d utiliser ces données de façon efficace. Elle inclut les technologies, stratégies, normes et ressources humaines destinées à acquérir, traiter, stocker, diffuser et améliorer l utilisation des données géospatiales aux Etats-Unis. Développé et coordonné par le Federal Geographic Data Committee (FGDC), la NSDI regroupe des stratégies, des normes et des procédures en vue de permettre aux organisations de collaborer pour créer et partager des données géographiques. La NSDI est développée en coopération avec des organismes issus de gouvernements nationaux, locaux et tribaux, du milieu universitaire et du secteur privé. NSDI Voir National Spatial Data Infrastructure (NSDI). Oracle Fournisseur de bases de données qui propose un système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) permettant de stocker des données et des objets dans des tables. Oracle fournit un accès client/serveur aux données et utilise des index, des séquences et d autres objets de bases de données afin de simplifier et accélérer la création des données, leur modification et leur disponibilité. ESRI gère un SGBDR Oracle pour stocker les données vecteur et raster utilisées par ArcSDE. outil 1. Dans ArcGIS, opérateur de géotraitement qui exécute des tâches de géotraitement spécifiques, telles que le découpage, le fractionnement, l effacement ou la création de zone tampon. Un outil peut appartenir à plusieurs jeux d outils et/ou boîtes à outils. 2. Commande qui nécessite une interaction avec l interface utilisateur pour exécuter une opération. Par exemple, avec l outil Zoom avant, un utilisateur doit cliquer ou délimiter une zone autour des données géographiques ou de la carte avant qu elle ne soit redessinée à plus grande échelle. Les outils peuvent être ajoutés à n importe quelle barre d outils. point Dans le logiciel ESRI, type de géométrie permettant de représenter des entités ponctuelles. Un point est défini par une paire unique de coordonnées x,y. Voir aussi entité ponctuelle. polygone Dans le logiciel ESRI, type de géométrie permettant de représenter des entités surfaciques. Un polygone est défini par un ou plusieurs anneaux, un anneau représentant un chemin commençant et se terminant au même point. Un polygone à plusieurs anneaux représente un polygone multi-parties. Les polygones multi-parties peuvent être séparés ou imbriqués, mais ils ne peuvent pas se chevaucher. Voir aussi entité polygone 122 Qu est-ce que ArcGIS 9.1?
9 polyligne Dans ArcGIS, type de géométrie permettant de représenter des entités polylinéaires. Une polyligne est définie par un ensemble de trajets (un ou plusieurs segments de ligne). Si les trajets sont réunis ou distincts, la polyligne est de type multi-parties. Voir aussi entité polylinéaire. quadrillage Voir raster. raster Modèle de données spatiales définissant l espace comme un tableau de cellules de taille égale disposées en lignes et colonnes. Chaque cellule contient une valeur attributaire et des coordonnées de position. A la différence d une structure vectorielle, qui stocke explicitement les coordonnées, les coordonnées raster sont conservées dans l ordre de la matrice. Des groupes de cellules qui partagent la même valeur représentent le même type d entités géographiques. Voir aussi vecteur. requête Interrogation permettant de sélectionner des entités ou des enregistrements dans une base de données. Les requêtes apparaissent souvent sous la forme d instructions ou d expressions logiques. réseau Ensemble de liens interconnectés constituant des trajets possibles d un emplacement à un autre. Pour les réseaux géométriques, cet ensemble comprend les tronçons, les jonctions et la connectivité entre elles. Pour les jeux de données réseau, il est constitué de tronçons, de jonctions, de courbes et d éléments d interconnexion. Un ensemble de liens interconnectés représentant une couche de rues d une ville constitue un exemple de réseau. SDTS Voir Spatial Data Transfer Standard (SDTS). SGBD Voir système de gestion de bases de données (SGBD). SGBDR Système de gestion de bases de données relationnelles. Type de base de données dans lequel les données sont organisées sur plusieurs tables. Les tables sont associées les unes aux autres via des champs communs. Les éléments de données peuvent être recombinés à partir de différents fichiers. Contrairement à d autres structures de bases de données, un SGBDR travaille à partir d hypothèses sur la manière dont les données sont reliées ou doivent être extraites de la base de données. SIG Voir système d information géographique (SIG). SOAP Simple Object Access Protocol. Protocole XML développé par Microsoft, Lotus et IBM permettant d échanger des informations entre des points dans un environnement distribué centralisé. Le protocole SOAP permet à des programmes sur différents ordinateurs de communiquer quel que soit le système d exploitation en utilisant les langages HTTP et XML d Internet pour échanger des informations. SOAP est désormais une spécification W3C. Spatial Data Transfer Standard (SDTS) Format d échange de données permettant de transférer différentes bases de données d un système informatique à un autre, en conservant le contexte et en réduisant le volume d informations externes nécessaires pour décrire les données. Toutes les agences fédérales doivent être en mesure de pouvoir mettre à disposition leurs données cartographiques numériques au format SDTS ; cette norme est largement utilisée dans de nombreux secteurs. SQL Voir SQL (Structured Query Language). Structured Query Language (SQL) Syntaxe permettant de définir et de manipuler des données d une base de données relationnelle. Conçu par IBM dans les années 70, le SQL est devenu une norme industrielle pour les langages d interrogation dans la plupart des systèmes de gestion de bases de données relationnelles. système d information géographique (SIG) Ensemble des matériels et logiciels informatiques ainsi que des données géographiques avec lesquels les utilisateurs interagissent pour intégrer, analyser et visualiser les Glossaire 123
10 données, identifier les relations, les schémas et les tendances et apporter des solutions aux problèmes. Ce système est destiné à la saisie, au stockage, à la mise à jour, à la manipulation, à l analyse et à l affichage des informations géographiques. Un SIG sert habituellement à représenter des cartes sous forme de couches de données qui peuvent être étudiées et utilisées à des fins d analyse. système de gestion de bases de données (SGBD) Ensemble de programmes informatiques organisant les informations contenues dans une base de données selon une structure conceptuelle et fournissant des outils destinés à la saisie, la vérification, le stockage, la modification et la récupération des données. système de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) Voir SGBDR. table 1. Ensemble d éléments de données organisés en lignes et colonnes. Chaque ligne représente une entité, ou un enregistrement, tandis que chaque colonne représente un champ ou une valeur attributaire unique. Une table comporte un nombre précis de colonnes tandis que le nombre de lignes peut varier. 2. Dans ArcView GIS 3.x, un des cinq types de documents que peut contenir un fichier de projet. Une table contient des données attributaires. topologie Dans les géodatabases, disposition forçant les entités ponctuelles, linéaires et surfaciques à partager une géométrie. Par exemple, les axes médians de rues et les îlots de recensement partagent une géométrie, tout comme les polygones de sol adjacents. La topologie définit et applique des règles d intégrité concernant les données (par exemple, il ne doit y avoir aucun espace entre les polygones). Elle prend en charge les requêtes de relations topologiques et la navigation (par exemple, la contiguïté et la connectivité des entités), les outils de mise à jour avancés et permet d élaborer des entités à partir de géométries non structurées (par exemple, l élaboration de polygones à partir de lignes). transaction 1. Groupe d opérations constituant une tâche opérationnelle complète, telle que l insertion d une ligne dans une table. 2. Unité logique de travail telle que définie par un utilisateur. Les transactions peuvent être des définitions de données (création d un objet), des manipulations de données (mise à jour d un objet) ou des lectures de données (sélection à partir d un objet). vecteur 1. Modèle de données basé sur des coordonnées, représentant des entités géographiques sous forme de points, de lignes et de polygones. Chaque point est représenté sous forme de paire de coordonnées unique, alors que les polygones et les lignes sont représentés sous forme de listes ordonnées de sommets. Des attributs sont associés à chaque entité, à la différence du modèle de données raster, qui associe les attributs à des cellules de grille. 2. Quantité dotée à la fois d une grandeur et d une direction. Voir aussi raster. vector product format (VPF) Format, structure et organisation standard pour les grandes bases de données géographiques s appuyant sur le modèle de données géorelationnel. version Dans les géodatabases, état supplémentaire de la base de données ; cette autre version a un propriétaire, une description, une autorisation (privée, protégée ou publique) et une version parent. Les versions ne sont pas affectées par les modifications apportées à d autres versions de la base de données. version d extraction Version créée dans une géodatabase d extraction lors de l extraction des données de cette base de données. La version créée est une copie de la version de synchronisation. Seules les modifications apportées à la version extraite peuvent être réinscrites dans la géodatabase principale. Voir aussi géodatabase d extraction. VPF Voir vector product format (VPF). XML Voir extensible Markup Language (XML). 124 Qu est-ce que ArcGIS 9.1?
11 Création de données avec ARCGIS - information vectorielle- J.Boulier UMR Géographie-cités CNRS Université Paris 1 Université Paris 7 Fichiers de formes (rappels) Les fichiers de formes sont stockés dans des dossiers. Un fichier de formes se compose d un ensemble de fichiers : de données vectorielles et d un fichier *.dbf (attributs des entités). Chaque fichier constitutif partage le même nom de fichier de formes Création d'une nouvelle source (vectorielle) vide Ouvrir ARCCATALOG Dans VOTRE REPERTOIRE CONNECTE : Bouton droite de la souris (menu contextuel) Nouveau / Fichier de formes 3 1
12 2 Source Nom du shape Nommer correctement le ShapeFile Ce fichier de formes sera vide au départ C est prêt : lancer ArcMap TYPE Détails de la description Informations pour réseau ou 3D 4 C est prêt : lancer ArcMap La source vide est prêt pour être peuplée Ce sera fait avec les outils de saisie d ArcMap Il suffira de la reprendre et de l éditer La nouvelle source vectorielle sera placée dans un projet (document.mxd), dans un Bloc de données (ou couche) 5 Nouveau blocs de données (couches) : affichage 6 2
13 Ajouter le fichier VIDE dans le projet (arcmap) vide et sans projection (shp) La source vide «essai» ne possède pas d information de référence spatiale Par défaut, les coordonnées retenues seront celles (par exemple) de l image en dessous ou du réseau routier, ou Les informations déjà projetées ne peuvent pas l être de nouveau à l affichage 7 Le «shapefile» est vide et à sélectionner Source à modifier ou remplir Jusque là, aucun champ attributaire n est rempli 8 Lancer la barre d outil de l éditeur, puis ouvrir une session et au travail!!! Menu déroulant Pour la session d édition Une session d édition fait appel à une source à modifier (Cible), des outils, des règles de capture, déplacement, des tâches particulières,.. 9 3
14 Autres outils de mise à jour 10 Outils d édition : interchangeables (si construction non Terminée ) Point= Intersection de Deux segments Saisie libre des points Point=centre d un segment Sur tracés existants (sélection entités au préalable) Point= Convention Intersection Universités 2 distances Paris 7 Denis Diderot et Yaoundé I, UMR Géographie-cités 11 Menu contextuel de la saisie Menu contextuel apparaissant en cours de digitalisation (clic droit) 12 4
15 Liste de tâches Un certain nombre de tâches, plus ou moins automatisées, sont accessibles depuis la barre d outils 13 Changer les projections? Uniquement à l affichage : - régler les propriétés des «COUCHES» ou encore des «BLOCS DE DONNEES» - si les données sont déjà projetées (c est-à-dire en dur dans un des fichiers du bloc), il ne faut pas tenter de le (re)projeter à l affichage : il faudra changer la projection via un outil d ArcToolBox 14 Affecter une projection à un bloc (pour l affichage) Menu contextuel des blocs de données 15 5
16 Reprojeter des données dans un autre sytème ARC TOOL BOX Outils de cartographie (ou cartography tools) Ajouter (si besoin les outils de projection) Lancer l outil ad-hoc. Ici, il s agit bien de changer les coordonnées des entités spatiales 16 6
17 Les bases de l Analyse des données existantes : relations, jointure et sélections J.Boulier UMR Géographie-cités CNRS Université Paris 1 Université Paris Positionnement du problème 2 Positionnement du problème Deux choses fondamentales apparaissent dans l analyse des IG : Les mises en relation de plusieurs tables : - Comment récupérer des données extérieures et les rendre cohérente avec la géométrie ou la table utilisée? - Comment alléger le schéma de la base de données en affectant une partie sémantique qu au moment voulu? Sélection : - Sélectionner les informations (géométriques ou attributaires) selon des critères sémantiques ou spatiaux 3 1
18 Association de deux tables (au moins) deux méthodes d association des données stockées dans des tables aux entités géographiques : les jointures les relations Relations et jointures 5 Relation ou jointure? relation relation : il est possible d'explorer les attributs reliés, mais pas de les utiliser pour définir les propriétés de la couche (symboles). Dans le cas de rapports (1-m) ou (m-n), il est nécessaire de passer par une relation. * (exemple : canton / communes : quelles sont toutes les communes dans un département observé? ) La mise en relation de tables : définit un rapport entre deux tables (également en fonction d un champ commun) Mais n annexe pas les attributs de l une à l autre 6 2
19 Les jointures Les jointures permettent d'établir un rapport (1-1) ou (m-1) entre la destination (qui veut on renseigner) et la source (quelles infos veut on récupérer). (exemple : canton / communes : dans quel département se trouve la commune dont j observe l enregistrement? ) En joignant deux tables, les attributs d une table sont annexés à l autre en fonction d un champ commun aux deux tables les données jointes apparaissent dans la table aux côtés des données d'origine. 7 (les jointures suite) Jointures dynamiques "à la volée" en n'enregistrant que la façon dont les tables sont liées et non pas les données elles-mêmes. («logique») Pour faire une copie permanente («physique») il faut exporter les données 8 Mise en œuvre des relations ou jointures 9 3
20 3 Les sélections 10 Sélections Elles représentent les opérations de base pour l'analyse. Plusieurs méthodes pour y parvenir : 1) Recherche de chaîne de caractères 11 2) Outil de sélection d'entités, en cliquant sur une entité sur la carte. - Si plusieurs entités sont superposées, elles sont toutes sélectionnées. rendre certaines couches non sélectionnables. - sélection par rectangle. Dans la table attributaire de la couche, - en cliquant sur le ou les enregistrements les entités correspondantes sont alors sélectionnées sur la carte. 3) Par requêtes attributaires ou spatiales 12 4
21 1 ) Niveau global Méthodes de sélection : niveaux sélectionner toutes les entités, inverser la sélection ou tout désélectionner sur une couche. tout désélectionner sur toutes les couches en même temps. 13 Sélections emboîtées 2 ) Sélections emboîtées ou non On peut emboîter toute une série de sélections quelque qu en soit l opérateur : Créer une nouvelle sélection (méthode par défaut) Ajouter à la sélection courante Supprimer de la sélection courante Sélectionner dans la sélection courante 14 Les niveaux de sélection sont appelés «Méthode» dans ArcGIS : 15 5
22 4 - Requêtes sémantiques, attributaires 16 Il existe déjà un module de recherche simple permettant de rechercher toutes les entités (de n'importe quelle couche) dont un champ contient une chaîne de caractère donnée. De manière similaire, la fonction "rechercher/remplacer" permet de rechercher les enregistrements d'une table attributaire donnée. Tout ceci offre des possibilités assez restreintes d interroger les données sémantiques 17 Requêtes attributaires Aussi, un module de requête selon les attributs : permet de sélectionner des entités selon des critères beaucoup plus complexes qu une simple comparaison à une chaîne de caractères en écrivant une requête de type SQL (Structured Query Language). «select (quoi) from (source) where (conditions)» Par exemple : SELECT * FROM reseau_l2 WHERE nbchaussées>2 18 6
23 Opérateurs de sélection Définir les couches sur lesquelles porteront les requêtes 19 Rédaction d une requête attributaire Définition des paramètres de la requête attributaires : «sélectionner par attributs» (ArcGis) : couche source (from) Méthode (*, ) Champ Opérateur «critère» valeur Requêtes spatiales 21 7
24 Ce sont également des requêtes répondant à des critères Mais ici, les critères portent sur la position des objets et leurs relations spatiales avec d'autres objets Le logiciel permet de choisir une ou plusieurs couches à sélectionner, un "opérateur spatial" et une couche de référence : 22 Mise en œuvre des requêtes spatiales Définir les couches sur lesquelles porteront les requêtes 23 Syntaxe d une requête spatiale : - source - opérateur spatial (inhérent au type de source) - couche de condition (critère) - tolérance (unités) 24 8
25 Opérateurs spatiaux des requêtes spatiales Quelques exemples dont la formalisation reprend ce principe graphique : 25 Intersection Quelles routes intersectent telle rivière? Quelles lignes électriques passent en partie dans un département? Quelles chefferies sont présentes au moins en partie dans un département? etc 26 Contiennent complètement Quels communes possèdent un terrain de sport? Quels villages possèdent au moins une antenne GSM? etc 27 9
26 Partagent un segment de ligne avec Quelles routes bordent telle rivière? Quelles lignes électriques suivent la route départementale 32? etc Devenir des sélections Les objets sélectionnés apparaissent avec un symbole spécifique (par couche ou table) On peut à partir de cette sélection : ne faire apparaître que les enregistrements sélectionnés dans une table. zoomer sur la sélection, pour une couche donnée. Créer une nouvelle couche, à partir des entités sélectionnées, Calculer une valeur de champ, et bien d autres choses encore 29 10
27 Systèmes d Information Géographique Cohérences géométriques J.Boulier UMR Géographie-cités CNRS Université Paris 1 Université Paris 7 1- Pourquoi en parler? 2 Quel contexte nécessite cette réflexion? Cohérence entre des informations de sources différentes,(géologie, foresterie, infrastructures routières, ) De temporalités différentes, ( ,..) De supports différents (papier, photos, ) Définition de «cohérence géométrique»? En se basant sur l exemple d images géométriquement cohérentes, le problème est facile à comprendre : - Les images se superposent et un point représente la même chose sur l autre image Cela sous entend un certain nombre de conditions : Nombre de Lignes et colonnes, Unité de mesure Projection, coordonnées du premier pixel 3 1
28 Géoréférencer ou rectifier? géoréfèrencer : on attribue des coordonnées cartographiques à une couche sans en modifier la forme rectifier (redresser, ) : on déforme les objets à l'aide de fonctions mathématiques «warp», «déformation», Projections, coordonnées : quelques rappels de définitions 5 Systèmes de coordonnées Un système de coordonnées comprend plusieurs éléments: la projection utilisée (UTM par ex.) le système d unités (mètres, pieds) l ellipsoïde de référence la position d origine (fausse origine, coordonnée arbitraire) X = Méridien central du fuseau Y = Équateur les caractéristiques du réseau géodésique 6 2
29 Coordonnées géographiques «globales et universelles» longitude - latitude Géoréférences continues de base. Elles sont universelles, donc tout point situé à la surface de la Terre a une paire de coordonnées unique. appel à des calculs d'angles dans un espace à trois dimensions. implique des calculs de trigonométrie sphérique relativement complexes. D'où l'intérêt de travailler avec des coordonnées planes dans un système cartésien (coordonnées x, y dans le plan). 7 Coordonnées planes cartographiques ou projetées permettent d'établir une correspondance mathématique entre les coordonnées géographiques et divers systèmes de coordonnées planes Coordonnées utilisées pour traduire en «mètres» les coordonnées géographiques, - à partir d un point de référence qui est l origine de la projection que l on utilise. 8 Coordonnées planes (2) les coordonnées planes ou cartographiques relatives : coordonnées locales chaque lieu peut avoir des coordonnées différentes si l'on change la projection plusieurs lieux sur la planète peuvent avoir les mêmes coordonnées, sauf si l'on utilise un système de repérage global. projection 9 3
30 Coordonnées planes (3) Projection : - projections pour représenter les coordonnées sphériques dans un espace à deux dimensions. - passage des coordonnées géographiques aux coordonnées planes (ex : coordonnées UTM). «Déprojection» : - passage des coordonnées planes aux coordonnées géographiques. Attention, dans ces aller-retour entre projections, aucune projection n est tout à fait satisfaisante, 10 Coordonnées cartésiennes géocentriques (X,Y,Z) relatives aux 3 axes d'un repère ayant son origine au centre des masses de la Terre. utilisées, par exemple, comme intermédiaire lors de calculs de changements de systèmes géodésiques de références Géoréférencer 12 4
31 géoréfèrencer une image raster «tif» (par exemple) attribuer des informations qui permettent de localiser tout pixels de l image dans un référentiel choisi Fichiers «worldfile» : *.tifw ou *.bmpw» 20.00» 0.00» 0.00» » » Géoréférencement : exemple des projections sous ArcGIS Déterminer le système de projection des données (ou changer de projection) 2 cas de figure : Les données sont en degrés décimaux Les données sont dans une autre unité que les degrés décimaux 14 Les données en degrés décimaux définir le système de projection d'une vue que si les unités de mesure des données spatiales sont des degrés décimaux système de coordonnées sphérique non projeté par définition Ces données peuvent par conséquent être représentées selon n'importe quelle projection dans Arcmap. Le système de projection utilisé par une vue est défini dans la boîte de dialogue Propriétés du bloc de données. 15 5
32 16 Les données ne sont pas en degrés décimaux exprimées dans d'autres unités de mesure cartographique?? appartiennent à un système de coordonnées déjà projetées. reflètent encore la projection source (numérisation), ou ont été transformées en une nouvelle projection?? On ne peut plus choisir d'autre système de projection simplement (bloc de données/propriétés) Conseil : Un BLOC = une projection!! 17 Définir un système de projection personnalisé Possibilité de Création d un fichier de projections personnalisé (default.prj personnalisé) Où chaque ligne = un paramètre d une projection. - (Tous les paramètres ne sont pas nécessaires pour toutes les projections) Name Description Ellipsoid FalseEasting FalseNorthing Lambda0 : indique la longitude de référence Phi0 : méridien central Phi1, Phi2 : seconds parallèles standards PhiS : le parallèle standard etc. 18 6
33 4 - Transformations géométriques globales - principes- 19 Positionnement du problème chaque couche d information spatiale a une géométrie particulière liée au mode d acquisition de la donnée nécessaire lors de distorsions géométriques ou plus simplement de projection et d'orientation sont indispensables. souples, donc adaptables aux modifications désirées, et performantes. 20 Rectification des couches vectorielles La rectification d'une couche vecteur comporte les étapes suivantes : choix de la projection, des unités définition des paramètres géométriques de déformation (fonction polynomiale, projection, ), densification des arcs (éventuellement), projection des objets (points, lignes, surfaces) reconstruction de la topologie 21 7
34 Rectification des couches raster Pourquoi distinguer le mode matriciel? complexité supérieure Pour une image raster, la procédure est similaire: choix de la projection, du référentiel géodésique, des unités, définition des paramètres géométriques (fonction polynomiale) définition de la nouvelle grille (résolution, nombre de lignes/colonnes, étendue) + calcul des nouvelles valeurs (rééchantillonnage) 22 Exemple de déformations en imagerie satellitaire Modélisation des déformations déterminer une relation mathématique (modèles de déformation) entre les coordonnées brutes (source, «FROM») et les coordonnées dans le système de référence utilisé (cible, «TO») reconstruire la grille résultante pixel par pixel à partir : - des valeurs de la grille originelle, - des caractéristiques de positionnement et - de taille des pixels, à l'aide d'une double fonction de transformation. Effet de ces corrections géométriques = déformation sur une surface malléable, (représentant la grille originelle), - par pression ou élongation, telle que étirement, rotation, déformations de la surface en différents endroits, etc. 24 8
35 Etapes de la (re)construction des images La transformation géométrique s'effectue en deux étapes bien distinctes: l'estimation de la double fonction de transformation à partir d'une série de points de contrôle (amers) ; ie. Prise en compte des X et Y des amers de manière concomitante la construction de la grille résultante pixel par pixel (étape de rééchantillonnage). 25 Étape 1 : Estimation de la double fonction de transformation T : transformation à obtenir Idée = Si on peut localiser à la fois dans le système de coordonnées de la grille originelle et de la grille de référence une série d'objets ponctuels, alors il est possible d'exprimer numériquement la transformation qui convertit la position de ces objets d'un système de coordonnées dans l'autre. décrit la position des centres des pixels de l'image originelle en fonction de celle des centres des pixels de l'image résultante. 26 définie par la paire de fonctions suivantes (relation entre la position en x et en y des pixels) : - x'= f1 (x, Y) - y'= f2 (x, y) - où x'et y' sont les coordonnées colonne et ligne des pixels dans l'image originelle, x et y les coordonnées colonne et ligne des pixels dans l'image de référence, L'estimation des coefficients habituellement réalisée par les moindres carrés et appliquée sur une série de points de contrôle ou amers localisés dans les deux grilles. 27 9
36 Pourquoi une estimation statistique? par la difficulté de localiser précisément des objets ponctuels dans les deux images, difficulté liée à la résolution spatiale des pixels et à l'identification incertaine de certains objets, ainsi que par la volonté de modéliser aussi simplement que possible la transformation à opérer. 28 Complexité du modèle de transformation lié à la fois : - à la précision de la restitution spatiale désirée (cf.. taille des pixels), - à la nature de la transformation à opérer. Le niveau de complexité est défini par le degré du polynôme des fonctions f1 et f2. 29 Distorsions géométriques irrégulières : degrés supérieurs! fonction du deuxième, troisième degré (ou supérieur) Ainsi, une transformation non linéaire du deuxième degré a la forme suivante : x'= a0 + a1x + a2y + a3xy a4x 2 + a5y2 y'= b0 + b1x + b2y + b3xy b4x 2 + b5y2 deuxième degré => six coefficients, dix au troisième degré, etc L'accroissement du degré des polynômes => augmentation rapide du nombre de coefficients ai et bi à estimer
37 Nombre d'amers supérieur à celui des coefficients, afin de réduire les imprécisions de localisation de ces points de contrôle. Si le nombre de points est juste suffisant, les polynômes estimés passeront par les points utilisés mais que se passera-t-il entre ces points??? 31 Choix des amers (points d appui) nécessaires au calcul du modèle de déformation Un point d appui est défini par ses coordonnées images (p,q) et ses coordonnées «terrain» (X,Y,Z). Si on ne connaît pas Z, le point sera défini par les couples (p,q ; X,Y). suivre un certain nombre de règles 32 Pour garantir l obtention de polynômes valables sur toute l image et peu sensibles aux erreurs : Double de points que celui nécessaire Répartition homogène dans l image brute ; La qualité du modèle et de la correction dépendent du choix des points d appui 33 11
38 La vérification de la qualité d'ajustement du modèle analyse de la transformation effectuée sur les amers, (seuls éléments de contrôle), étude des résidus ou des erreurs. GLOBALEMENT (différence moyenne sur l'ensemble des points de contrôle satisfaisante, différences entre position mesurée et estimée des amers suffisamment faibles alors on peut procéder à la transformation de la grille originelle. 34 Étape 2 : Construction de la grille numérique résultante Résumé de l épisode précédent : la localisation des pixels dans le nouveau système est calculée (ajustement statistique) et appliquée à chacun des pixels ) 35 par affectation de valeurs thématiques à ces pixels; appelée étape de rééchantillonnage (augmentation ou la réduction de la taille des pixels) possible de produire une variété de grilles dont la taille des pixels est différente. Les équations de transformation sont appliquées systématiquement à tous les pixels de cette grille
39 Construction de la grille (3) Les coordonnées estimées = rarement des valeurs entières, 37 problème de la valeur thématique à assigner à ces nouveaux pixels : rééchantillonnage Différentes techniques sont proposées pour estimer la valeur thématique à affecter, elles sont dépendantes de la nature de la distribution spatiale du phénomène. 38 Distribution spatiale discrète Les valeurs thématiques exprimant des catégories celles affectées aux pixels de la grille à produire ne pourront qu'appartenir à l'ensemble des valeurs entières existantes dans la grille originelle. La règle la plus raisonnable : assigner au nouveau pixel considéré la valeur thématique du pixel le plus proche dans la grille originelle. plus proche voisin, 39 13
40 Distribution spatiale continue Pour ce type de distribution, un nombre plus important de techniques de rééchantillonnage est à disposition. Outre la technique du plus proche voisin, la valeur du nouveau pixel peut être fonction des pixels voisins. Deux techniques plus particulièrement utilisées : l'interpolation linéaire et l'interpolation cubique.. 40 Interpolation linéaire Le voisinage considéré dans cette technique est composé de quatre pixels Vi à V4 les plus proches de P. estimation = basée sur celle de ces quatre pixels voisins pondérée par leur proximité respective à P. 41 Interpolation cubique fait intervenir une fonction cubique dans le processus d'estimation de la valeur des nouveaux pixels P. Voisinage composé des 16 pixels les plus proches de P
41 illustration 43 Le choix d'une méthode de rééchantillonnage sur le niveau de qualité de l'image à produire La technique du plus proche voisin est : la moins gourmande en temps de traitement, mais précision de localisation variable (plus ou moins la moitié de la taille du pixel). Toutefois, dans certains cas, cette technique de rééchantillonnage est la seule adéquate = n'altère pas les valeurs originelles. 44 Cubique : ajoute un certain contraste à l'image originelle. objets linéaires = continuité beaucoup plus grande.(pas «d escalier») caractéristiques importantes : lignes de crête, talwegs, qualités MAIS temps de calcul!! - calcul de cinq expressions -plus complexes-, contre une seule dans les deux autres techniques 45 15
42 C est bien beau tout ça, mais sous ArcGIS alors??? 46 OUTILS nécessaires? ArcMAp Affichage / Barre d outils Géoréférencement 47 Préparer la «VUE» de référence (exemple routes) et la couche à modifier (ici SCAN50) 48 16
43 Placement approximatif de l image non recalée.. 49 on peut toujours revenir à l état initial de la «vue» 50 D20, N566, A36 : un premier repère sur l image 51 17
44 idem sur le vecteur de référence 52 mise en correspondance des points amers Par ajustement automatique des couches au fur et à mesure des choix des amers : 53 Visualisation de la table des amers 54 18
45 55 identifier, zoomer pour mieux repérer 56 ou ajout de thèmes pour favoriser le choix des amers..et toujours Commencer par saisir les Références («TO») 57 19
46 Fusion d entités, agrégations : selon une valeur d attribut Exemple : reconstituer des cantons à partir des communes Attention au devenir des champs existants - Clé? - Champs conservés? Si oui - Opérateurs? (dernier, premier, moyenne, somme) attention aux stocks/ ratios Exemple 3 : densités de population et infrastructures 27 9
Glossaire. base de données géographiques Voir géodatabase (GDB).
Glossaire analyse Processus d identification d une question ou d un problème à résoudre, de modélisation de ce problème, de recherche des résultats de modélisation, d interprétation des résultats, d élaboration
Plus en détailQu est-ce que ArcGIS?
2 Qu est-ce que ArcGIS? LE SIG ÉVOLUE Depuis de nombreuses années, la technologie SIG améliore la communication, la collaboration et la prise de décision, la gestion des ressources et des infrastructures,
Plus en détailLes Géodatabases en 9.2
Les Géodatabases en 9.2 Session Technique Géodatabase 9.2 Versailles SIG 2007 Nouveautés dans les Géodatabases Géodatabase adaptée À la taille de l entreprise À l architecture déployée Aux processus de
Plus en détailSupport de TD ArcGIS 10.1. Introduction à l automatisation et au développement avec ArcGIS 10.1 JEAN-MARC GILLIOT 2014-2015. 3 e année ingénieur
JEAN-MARC GILLIOT 2014-2015 Durée 1,5 heures Introduction à l automatisation et au développement avec ArcGIS 10.1 3 e année ingénieur Support de TD ArcGIS 10.1 Grande école européenne d'ingénieurs et de
Plus en détailDidacticiel de mise à jour Web
Didacticiel de mise à jour Web Copyright 1995-2012 Esri All rights reserved. Table of Contents Didacticiel : Création d'une application de mise à jour Web.................. 0 Copyright 1995-2012 Esri.
Plus en détailGÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS
GÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS LES PROJECTIONS La représentation du globe terrestre sur un plan en deux dimensions exige une opération nommée projection. Une projection s appuie sur un géoïde, qui est une
Plus en détailConfiguration et optimisation d'arcgis Server Gaëtan LAVENU ESRI France Sylvain BARD-MAÏER ESRI France
Configuration et optimisation d'arcgis Server Gaëtan LAVENU ESRI France Sylvain BARD-MAÏER ESRI France UC 2007 Tech Sessions 1 Plan de la présentation Introduction Organiser et gérer ses données Concevoir
Plus en détailLes nouveautés de FME 2014
Les nouveautés de FME 2014 Cette année FME part à la conquète des usages de demain tout en gardant son credo de toujours : faciliter votre quotidien. Le web est à l honneur avec : La sortie de FME Cloud
Plus en détailArcGIS 10 Christophe Tourret Gaëtan Lavenu
ArcGIS 10 Christophe Tourret Gaëtan Lavenu ArcGIS 10 Bureautique Web Mobile 10 9.3.1 Online/Cloud Serveur 9.0 9.1 9.2 9.3 Projets ArcGIS 10 Imagerie Partage Productivité Gestion des données Temporalité
Plus en détailPRODIGE V3. Manuel utilisateurs. Consultation des métadonnées
PRODIGE V3 Manuel utilisateurs Consultation des métadonnées Pour plus d'information sur le dispositif : à remplir par chaque site éventuellement 2 PRODIGE V3 : Consultation des métadonnées SOMMAIRE 1.
Plus en détailLogiciel ArpentGIS-PC Guide de l utilisateur
D3E Electronique Logiciel ArpentGIS-PC Guide de l utilisateur D3E Electronique SA 2003-2008 D3E ELECTRONIQUE Parc du Grand Troyes 3 Rond-point Winston Churchill 10302 SAINTESAVINE Cedex Email : support@arpentgis.com
Plus en détailArcGIS. for Server. Sénégal. Comprendre notre monde
ArcGIS for Server Sénégal Comprendre notre monde ArcGIS for Server Créer, distribuer et gérer des services SIG Vous pouvez utiliser ArcGIS for Server pour créer des services à partir de vos données cartographiques
Plus en détailMatérialiser les données d une BdD : créer une carte de densité de points par maillage
Matérialiser les données d une BdD : créer une carte de densité de points par maillage «Cet outil permet de créer un maillage régulier de polygones (carrés, rectangles ou nids d'abeille) à partir des entités
Plus en détailEvolutions technologiques : ArcGIS Desktop. Mehdi HUGUET Thierry BABELAERE 01-10-2009
Evolutions technologiques : ArcGIS Desktop Mehdi HUGUET Thierry BABELAERE 01-10-2009 Sommaire ArcGIS 9.3.1 Une nouvelle version Paquetage de couches et partage de données Bing Maps accessible dans AGD,
Plus en détailPrise en main du logiciel de SIG MapInfo
Prise en main du logiciel de SIG MapInfo Myriam Vendé-Leclerc 01/08/2008 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 Données fournies pour le TP... 4 I- Structure des données sous Mapinfo... 5 II- Ouvrir une table... 6 III-
Plus en détail1 Introduction et installation
TP d introduction aux bases de données 1 TP d introduction aux bases de données Le but de ce TP est d apprendre à manipuler des bases de données. Dans le cadre du programme d informatique pour tous, on
Plus en détailFiches d aide à MapInfo
Fiches d aide à MapInfo Versions 6 à 8 Utilisation des fiches La protection du document en PDF a pour seul but d avoir un retour en cas d erreurs dans le document. N hésitez pas à me contacter pour toute
Plus en détailDidacticiel du service cartographique en cache
Didacticiel du service cartographique en cache Copyright 1995-2012 Esri All rights reserved. Table of Contents Didacticiel : Création d'un service de carte mis en cache................... 3 Copyright 1995-2012
Plus en détailAccess et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite.
Access et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite. Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs, relations,
Plus en détailCours iguess. inotes v10.1
Cours iguess inotes v10.1 Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication (communication) n engage que son auteur et la Commission n est pas responsable de l usage
Plus en détailPrésentation du module Base de données spatio-temporelles
Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes
Plus en détailArcGIS. for Server. Comprendre notre monde
ArcGIS for Server Comprendre notre monde ArcGIS for Server Créer, distribuer et gérer des services SIG Vous pouvez utiliser ArcGIS for Server pour créer des services à partir de vos données cartographiques
Plus en détailDécouverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS
Découverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS Mémento Ouvrir TI-Nspire CAS. Voici la barre d outils : L insertion d une page, d une activité, d une page où l application est choisie, pourra
Plus en détailINTRODUCTION GENERALE...1 LA CONNEXION ODBC :...1. CONNEXION AU TRAVERS D EXCEL(tm)...6. LOGICIEL QUANTUM GIS (Qgis)... 10
PROGRAMME RÉGIONAL DE RENFORCEMENT DE LA COLLECTE DES DONNÉES STATISTIQUES DES PECHES DANS LES ÉTATS MEMBRES ET DE CREATION D UNE BASE DE DONNÉES REGIONALE Manuel de formation TABLE DES MATIERES INTRODUCTION
Plus en détailPRODIGE V3. Manuel utilisateurs. Consultation des métadonnées
PRODIGE V3 Manuel utilisateurs Consultation des métadonnées Pour plus d'information sur le dispositif : à remplir par chaque site éventuellement 2 PRODIGE V3 : Consultation des métadonnées SOMMAIRE 1.
Plus en détailArcGIS 10.1 for Server
SIG 2012 - Conférence francophone Esri Versailles, France Atelier Technique - 4 Oct. 2012 ArcGIS 10.1 for Server Gaëtan LAVENU Plan de la présentation La vision Une nouvelle architecture Des nouveaux processus
Plus en détailLes bases de données Page 1 / 8
Les bases de données Page 1 / 8 Sommaire 1 Définitions... 1 2 Historique... 2 2.1 L'organisation en fichier... 2 2.2 L'apparition des SGBD... 2 2.3 Les SGBD relationnels... 3 2.4 Les bases de données objet...
Plus en détailLe langage SQL Rappels
Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,
Plus en détailInfolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010
Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet
Plus en détailTerritoire3D. Descriptif de contenu. Institut Géographique National. www.ign.fr. Date du Document : Mars 2011
Territoire3D Descriptif de contenu Date du Document : Mars 2011 Institut Géographique National 73 avenue de Paris 94165 Saint-Mandé Cedex www.ign.fr Révision : Spécifications externes A 18/03/2011 Création
Plus en détailMise en place d'un serveur d'application SIG au Conseil général de Seine-et-Marne
Mise en place d'un serveur d'application SIG au Conseil général de Seine-et-Marne Conférence francophone ESRI 2006 12 octobre Issy-les-Moulineaux Conseil général de Seine-et-Marne Direction Générale des
Plus en détailArcGIS Desktop Les nouveautés de la version 10. Gaëtan LAVENU
ArcGIS Desktop Les nouveautés de la version 10 Gaëtan LAVENU La plateforme ArcGIS 10 Cloud Mobile Web Visualiser Créer Collaborer Découvrir Gérer Analyser Entreprise Locale Bureautique Les nouveautés d
Plus en détailModule BD et sites WEB
Module BD et sites WEB Cours 8 Bases de données et Web Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr 1 Le Web Architecture Architectures Web Client/serveur 3-tiers Serveurs d applications Web et BD Couplage HTML-BD
Plus en détailMise en place d'une chaîne de production raster multi-échelles
25 Février 2014 Thierry Boch tboch@esrifrance.fr Mise en place d'une chaîne de production raster multi-échelles FranceRaster Programme FranceRaster v4 Le produit "France Raster", coédition Esri France
Plus en détailTD Introduction aux SIG avec ArcGis 9
3 année ingénieur Agroparistech DA 2009/10 TD Introduction aux SIG avec ArcGis 9 TD n 6 : Initiation à l analyse en mode RASTER ave c Spatial Analyst Jean-marc Gilliot 2009-2010 jean-marc.gilliot@agroparistech.fr
Plus en détailEsri Maps for IBM Cognos
Esri Maps for IBM Cognos Livre blanc Esri Septembre 2012 21 rue des Capucins - 92195 Meudon Cedex Tél : 01 46 23 60 60 - Fax : 01 45 07 05 60 info@esrifrance.fr - www.esrifrance.fr Copyright 2012 Esri
Plus en détailBusiness Intelligence
avec Excel, Power BI et Office 365 Téléchargement www.editions-eni.fr.fr Jean-Pierre GIRARDOT Table des matières 1 Avant-propos A. À qui s adresse ce livre?..................................................
Plus en détailCours CCNA 1. Exercices
Cours CCNA 1 TD3 Exercices Exercice 1 Enumérez les sept étapes du processus consistant à convertir les communications de l utilisateur en données. 1. L utilisateur entre les données via une interface matérielle.
Plus en détailDocumentation Administrateur
Documentation Administrateur Gestion des droits Comprendre Gestion des fiches Gestion des extensions Réaliser Gestion des utilisateurs Accompagner Gestion des thèmes Siège social : 24 av de l Europe 44
Plus en détailCadastre du bruit SIT-JURA. Connecteur Arcview9.x - MSAccess. Mode d emploi. Appel formulaire. Page 1 sur 15
Cadastre du bruit SIT-JURA Connecteur Arcview9.x - MSAccess Mode d emploi Appel formulaire Page 1 sur 15 Table des matières 1. INSTALLATION 3 2. UTILISATION 3 2.1. Création de nouvelles géodatabases 7
Plus en détailLa Clé informatique. Formation Excel XP Aide-mémoire
La Clé informatique Formation Excel XP Aide-mémoire Septembre 2005 Table des matières Qu est-ce que le logiciel Microsoft Excel?... 3 Classeur... 4 Cellule... 5 Barre d outil dans Excel...6 Fonctions habituelles
Plus en détailDévelopper avec les technologies ESRI. ESRI Developer Network (EDN) Gaëtan LAVENU ESRI France Jérémie MAJEROWICZ ESRI France
Développer avec les technologies ESRI ESRI Developer Network (EDN) Gaëtan LAVENU ESRI France Jérémie MAJEROWICZ ESRI France Le système ArcGIS Desktop Client mobile Client léger ArcReader ArcView ArcEditor
Plus en détailAMELIORATIONS DES FONCTIONNALITES DISPONIBLES
AMELIORATIONS DES FONCTIONNALITES DISPONIBLES DANS LE GEOSERVICE RIS.NET GESTION V.2 Zoom + vue) : Permet de faire un zoom avant sur la carte (uniquement en cadrant une Zoom à l échelle déroulante, : Possibilité
Plus en détailCours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI
Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),
Plus en détailCréation et utilisation de formulaire pdf
Création et utilisation de formulaire pdf Grâce à Adobe Acrobat, il est plus facile de créer, de remplir et d envoyer des formulaires électroniques PDF. Vous pouvez concevoir et créer un formulaire complètement
Plus en détailYour Detecting Connection. Manuel de l utilisateur. support@xchange2.net
Your Detecting Connection Manuel de l utilisateur support@xchange2.net 4901-0128-5 ii Table des matières Table des matières Installation... 4 Conditions d utilisation de XChange 2...4 Définir vos Préférences
Plus en détailDévelopper des Applications Internet Riches (RIA) avec les API d ArcGIS Server. Sébastien Boutard Thomas David
Développer des Applications Internet Riches (RIA) avec les API d ArcGIS Server Sébastien Boutard Thomas David Le plan de la présentation Petit retour sur les environnements de développement ArcGIS Server
Plus en détailTravaux Pratiques sur les Systèmes d Information Géographique - SIG - Initiation à ArcGIS
Travaux Pratiques sur les Systèmes d Information Géographique - SIG - Initiation à ArcGIS Avant-propos Ce manuel est une initiation à l utilisation du logiciel ArcGIS. Bien qu il ait été rédigé en se basant
Plus en détail8 - Import-Export de données
8 - Import-Export de données QGIS version 3.1C 4 mars 2015 Table des matières Introduction 5 I - Import de données geographiques 7 A. Import de données géolocalisables...7 B. Importer des données saisies
Plus en détailArcGIS. for Mobile. Comprendre notre monde
ArcGIS for Mobile Comprendre notre monde Accroître l efficacité des équipes mobiles Qu est-ce qu un SIG nomade? La technologie SIG (système d information géographique) mobile étend le SIG au-delà de l
Plus en détailManuel d utilisation de la base de données nationale sur la situation de l enfance en Tunisie CHILDINFO 6.0
2010 Manuel d utilisation de la base de données nationale sur la situation de l enfance en Tunisie CHILDINFO 6.0 Observatoire d Information, de Formation, de Documentation et d Etudes pour la Protection
Plus en détailLes outils actuels permettent-ils d automatiser la production de cartes? De quels outils dispose-t-on?
Le "Portrait de la Biodiversité Communale" est un document réalisé au niveau national pour chaque commune, regroupant les connaissances publiques disponibles et mobilisables à l'échelle nationale en matière
Plus en détailGestionnaire de champs PRO
Logiciel de gestion des cultures et des champs Guide de représentation cartographique Field Manager PRO 360 Gestionnaire de champs PRO 360 Guide de représentation cartographique de Gestionnaire de champs
Plus en détailConnexion entre une BD FileMaker Pro 10 et ArcGis 10.x sous Windows 7
Connexion entre une BD FileMaker Pro 10 et ArcGis 10.x sous Windows 7 1. Pré-requis sur FileMaker Pro 10 Ouvrir la base que l on veut partager en connexion ODBC. Il faut activer le partage ODBC : menu
Plus en détailIntroduction: 1. définition d un ETL 2. importance et diversité des données spatiales utilitédes ETL géographiques
1 2 Introduction: 1. définition d un ETL 2. importance et diversité des données spatiales utilitédes ETL géographiques 3 ETL = extracto-chargeur = datadumping La Business Intelligence, BI, (ou informatique
Plus en détailLa directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG(
La directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG( InfraSIG) Jean-Pierre KINNAERT Directeur Département de la géomatique Service
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailCours Systèmes d Information Géographique
Cours Systèmes d Information Géographique Durée : 55 h Intervenants : Pr. Amadou Tahirou Diaw 1-3, Dr Gualbert S. Dorégo 2-3, Dr Alla Manga 3, Ing. Aminata Diokhané 4, Dr El hadji Balla Dièye 5-3, Dr Cheikh
Plus en détailBases de Données. Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre
Bases de Données Le cas des BD relationnelles ouverture sur les BD relationnelles spatiales Séance 2 : Mise en oeuvre Synthèse : conception de BD langage de modélisation famille de SGBD SGBD Analyse du
Plus en détailProgrammation Python pour Arcgis
Programmation Python pour Arcgis Un exemple d amélioration de l outil «champs de vision» (viewshed) ERIC BAILLY, UNIVERSITÉ DE NICE ERIC.BAILLY@UNICE.FR Une étude de visibilité peut être réalisée par le
Plus en détailMise en scène d un modèle dans l espace 3D
CHAPITRE 3 Mise en scène d un modèle dans l espace 3D Blender permet de construire des espaces à la manière d une scène de théâtre. Pour cela, il présente dès l ouverture tout ce dont on a besoin : un
Plus en détailMémo d'utilisation de BD Dico1.6
Mémo d'utilisation de BD Dico1.6 L'application BDDico a été développée par la Section Cadastre et Géomatique de la RCJU. Son utilisation demeure réservée aux personnes autorisées. Les demandes d'utilisation
Plus en détailUtilisation du SIG dans une entreprise industrielle pour l analyse et la prise de décision
309 Schedae, 2007 Prépublication n 47 Fascicule n 2 Utilisation du SIG dans une entreprise industrielle pour l analyse et la prise de décision Mohamed Najeh Lakhoua UR : Système, Énergétique, Productique
Plus en détailDévelopper une stratégie SIG Entreprise efficace avec ESRI et ArcGIS
Développer une stratégie SIG Entreprise efficace avec ESRI et ArcGIS Gaëtan Lavenu Jean-Thomas Rouzin Les grandes lignes Le SIG dans un contexte «Entreprise»: contexte, considérations et challenges. Les
Plus en détailDossier I Découverte de Base d Open Office
ETUDE D UN SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES RELATIONNELLES Définition : Un SGBD est un logiciel de gestion des données fournissant des méthodes d accès aux informations. Un SGBDR permet de décrire
Plus en détailclef primaire ; clef étrangère ; projection ; restriction ; jointure ; SQL ; SELECT ; FROM ; WHERE
Cas Neptune hôtel Base de données et langage SQL Propriété Intitulé long Formation concernée Matière Notions Transversalité Présentation Description Neptune Hôtel. L interrogation d une base de données
Plus en détailGestion des documents associés
Gestion des documents associés Gestion des documents associés 1 Introduction 1.1 1.2 Introduction 4 Principe des deux modes de gestion des documents 5 2 Les pièces jointes ArcGIS 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailLes bases de données
Les bases de données Introduction aux fonctions de tableur et logiciels ou langages spécialisés (MS-Access, Base, SQL ) Yves Roggeman Boulevard du Triomphe CP 212 B-1050 Bruxelles (Belgium) Idée intuitive
Plus en détailModule d échange de données INTERLIS v1.0 GeoConcept Manuel d'utilisation
Module d échange de données INTERLIS v1.0 GeoConcept Manuel d'utilisation Interlis V1.0 - GC version 5.0 Table des matières TABLE DES MATIERES...1 1. INTRODUCTION...2 1.1 OBJECTIF...2 1.2 PRINCIPE...2
Plus en détailComment utiliser FileMaker Pro avec Microsoft Office
Guide d utilisation Comment utiliser FileMaker Pro avec Microsoft Office Comment utiliser FileMaker Pro et Microsoft Office page 1 Table des matières Introduction... 3 Avant de commencer... 4 Partage de
Plus en détailProjet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies
Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Régis Boulet Charlie Demené Alexis Guyot Balthazar Neveu Guillaume Tartavel Sommaire Sommaire... 1 Structure
Plus en détailDémonstrateur libre Application des données Open Street Map à l analyse géographique de réseaux de voirie et Transports Collectifs
Démonstrateur libre Application des données Open Street Map à l analyse géographique de réseaux de voirie et Transports Collectifs Manuel d Utilisation et Documentation version du 27/11/09 MOBIGiS / CETE
Plus en détailManuel de formation Spaceman 1 ère journée
Manuel de formation Spaceman 1 ère journée Table des Matières Présentation des barres d outils et des icônes...4 Présentation de l espace de travail...10 1 ère PARTIE : CONSTRUIRE LE MOBILIER...11 La gondole
Plus en détailGUIDE Excel (version débutante) Version 2013
Table des matières GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 1. Créer un nouveau document Excel... 3 2. Modifier un document Excel... 3 3. La fenêtre Excel... 4 4. Les rubans... 4 5. Saisir du texte
Plus en détailL. Granjon, E. Le Goff, A. Millereux, L. Saligny MSH Dijon
Le projet d un GeoCatalogue CArGOS CAtalogue de données GéOgraphiques pour les Sciences humaines et sociales http://cargos.tge-adonis.fr GeoSource.7 Présentation de l application Qu est-ce que CArGOS?
Plus en détailExemple accessible via une interface Web. Bases de données et systèmes de gestion de bases de données. Généralités. Définitions
Exemple accessible via une interface Web Une base de données consultable en ligne : Bases de données et systèmes de gestion de bases de données The Trans-atlantic slave trade database: http://www.slavevoyages.org/tast/index.faces
Plus en détailet les Systèmes Multidimensionnels
Le Data Warehouse et les Systèmes Multidimensionnels 1 1. Définition d un Datawarehouse (DW) Le Datawarehouse est une collection de données orientées sujet, intégrées, non volatiles et historisées, organisées
Plus en détailSUPPORT DE COURS ACCESS 2010
Qu est-ce qu Access? Access 2010 est un outil de déploiement et de conception d application de base de données que vous pouvez utiliser pour effectuer le suivi d informations importantes. Vous pouvez conserver
Plus en détailArcGIS Server 9.3.1 / 9.4. Gaëtan LAVENU Jean-Marie DULISCOUET
ArcGIS Server 9.3.1 / 9.4 Gaëtan LAVENU Jean-Marie DULISCOUET ArcGIS Server 9.3.1 / 9.4 Plus de performance Plus de fonctionnalités Des processus simplifiés (développement, déploiement, licences) Plus
Plus en détailMODE OPERATOIRE OPENOFFICE BASE
MODE OPERATOIRE OPENOFFICE BASE Openoffice Base est un SGBDR : Système de Gestion de Base de Données Relationnelle. L un des principaux atouts de ce logiciel est de pouvoir gérer de façon efficace et rapide
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailIntroduction à Microsoft InfoPath 2010
Introduction à Microsoft InfoPath 2010 Couplé à Microsoft SharePoint Designer 2010, InfoPath 2010 simplifie la création de solutions de bout en bout sur SharePoint Server 2010, qui contiennent des formulaires
Plus en détailWindows Internet Name Service (WINS)
Windows Internet Name Service (WINS) WINDOWS INTERNET NAME SERVICE (WINS)...2 1.) Introduction au Service de nom Internet Windows (WINS)...2 1.1) Les Noms NetBIOS...2 1.2) Le processus de résolution WINS...2
Plus en détailModules Multimédia PAO (Adobe)
Modules Multimédia PAO (Adobe) Pré-requis : Bonne maîtrise de la manipulation d'un PC (environnement Windows ou Mac) et de la navigation Internet. Disposition pour le graphisme recommandée. Mémoire visuelle,
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailSofrecom, filiale du Groupe France Telecom Orange - Intégrateur de solution SIG. Expériences et solutions SIG
Sofrecom, filiale du Groupe France Telecom Orange - Intégrateur de solution SIG Expériences et solutions SIG Sommaire Présentation de Sofrecom Notre offre SIG Le projet TIGRE pour France Telecom, notre
Plus en détailArcGIS Mobile 9.3. Cédric Pesty Gael Simon. Conférence SIG 2008 Ateliers Techniques. S'il vous plait! Merci d'éteindre vos appareils portables
Conférence SIG 2008 Ateliers Techniques 1 er et 2 Octobre 2008 S'il vous plait! Merci d'éteindre vos appareils portables ArcGIS Mobile 9.3 Cédric Pesty Gael Simon 1 Agenda de la session Introduction sur
Plus en détailSeptembre 2011 Guillaume DOUCET Formateur en SIG depuis 5 générations
Aide mémoire SIG et Quantum GIS Septembre 2011 Guillaume DOUCET Formateur en SIG depuis 5 générations Table des matières I - Les logiciels utiles :...4 II - Quelques notions de base de SIG... 6 II.1 -
Plus en détailSystème d information géographique SavGIS 3.Démarrer avec SavGIS Installer et démarrer SavGIS
Système d information géographique SavGIS.Démarrer avec SavGIS Installer et démarrer SavGIS www.savgis.org S avgi S Conception et architecture : Marc Souris Algorithmique et développement : Marc Souris
Plus en détailCréer et partager des fichiers
Créer et partager des fichiers Le rôle Services de fichiers... 246 Les autorisations de fichiers NTFS... 255 Recherche de comptes d utilisateurs et d ordinateurs dans Active Directory... 262 Délégation
Plus en détailObjet du document. Version document : 1.00
Version document : 1.00 Objet du document Les dix points de cet article constituent les règles à connaitre pour intégrer une application au sein d AppliDis. Le site des Experts Systancia comporte également
Plus en détailSociété de Geo-engineering
Gestion de la maintenance des réseaux le géoréférencement inertiel direct, technologie automatisée d'acquisition d'objets 2D / 3D vers les SIG Société de Geo-engineering Activité d'expertise et d'ingénierie
Plus en détailManuel Utilisateur Version 1.6 Décembre 2001
Manuel Utilisateur Version 1.6 Décembre 2001 Table des matières TABLE DES MATIERES 2 PRESENTATION 4 À PROPOS DU FORMAT PDF 4 PDFMAIL : L ASSOCIATION DU FORMAT PDF ET DE L EMAIL 4 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détail1. LA GESTION DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES
Dossier G11 - Interroger une base de données La base de données Facturation contient tout un ensemble d'informations concernant la facturation de la SAFPB (société anonyme de fabrication de produits de
Plus en détailGuide de l utilisateur. Faites connaissance avec la nouvelle plateforme interactive de
Guide de l utilisateur Faites connaissance avec la nouvelle plateforme interactive de Chenelière Éducation est fière de vous présenter sa nouvelle plateforme i+ Interactif. Conçue selon vos besoins, notre
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détail4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation
Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :
Plus en détail