Sensibiliser le consommateur et le mobiliser pour l action
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- Valérie Cousineau
- il y a 8 ans
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1 Recommandations du projet européen GreenCook Sensibiliser le consommateur et le mobiliser pour l action Sophie Marguliew Espace Environnement Sophie Marguliew Espace Environnement Journées techniques régionales Lorraine - 16/12/2014
2 1. Développer une stratégie de communication et de sensibilisation alliant informations factuelles, conseils généralistes et approche pratique 2. Multiplier les approches et les outils pour renforcer l efficacité des messages et élargir leur diffusion 3. Miser sur des dynamiques engageantes favorisant le passage à l acte 4. Ne pas négliger la communication sur le lieu de vente 5. Adapter la communication aux réalités et attentes spécifiques des publics précarisés
3 Développer une stratégie de communication et de sensibilisation alliant : > informations factuelles > conseils généralistes > approches pratiques pour faire prendre conscience de la réalité du gaspillage
4 Portrait du citoyen consommateur en Europe du Nord-ouest met en lien l alimenation et son propre devenir (santé, expérience, etc) mais pas avec la préservation de l environnement. considère la nourriture comme un bien de consommation «comme les autres». est en majorité sous-informé mais souvent intéressé d en savoir plus (ou d en faire davantage!) dès que l on éveille son intérêt sur le sujet.
5 les gestes «anti-gaspi» semblent aller de soi, alors qu ils ne sont pas toujours maîtrisés réellement. minimise les petites erreurs de comportement, qui sont pourtant responsables de la majeure partie du gaspillage, une fois cumulées. véritable déni émotionnel face à l idée d être un gaspilleur, ou d être considéré comme tel par les autres (sentiment de honte, pression sociale, effet «consomm acteur» très tendance). Appréhender ces constats de manière préalable, et en tirer les conclusions utiles, permet d adapter efficacement sa stratégie de communication et de sensibilisation.
6 Les autorités publiques ou les institutions parastatales ont la légitimité nécessaire pour mener des campagnes destinées à limiter le gaspillage alimentaire chez les particuliers (compétences gestion et/ou prévention des déchets, alimentation, promotion de la santé, affaires sociales) Ceci est particulièrement vrai pour celles ayant la compétence «déchets», qui peuvent intégrer harmonieusement l axe «réduction du gaspillage alimentaire» dans leur stratégie générale de prévention des déchets.
7 Sur la forme et le ton, la communication institutionnelle utilise souvent des vecteurs traditionnels, comprenant beaucoup d information écrite et factuelle. Cette approche ne fonctionne bien qu avec un certain type de public (souvent plus âgé, déjà sensibilisé et qui prend la peine de s informer). Elle ne va pas massivement «chercher» des citoyens consommateurs plus jeunes ou encore à informer et à convaincre. D autres approches peuvent être explorées. Des outils innovants peuvent aussi être créés pour soutenir et valoriser les messages.
8 Des messages simples «Mangez sans déchet, c est bon pour votre budget et pour la planète» > Fruits et légumes légèrement âbimés sont toujours mangeables > Presque toutes les parties d un légume ou d un fruit sont mangeables > Achetez et préparez la juste quantité de nourriture
9 Multiplier les outils (& les adapter aux publics) > Message > Brochures, flyers, > Média
10 Video clips 3 clips sur les principales causes du gaspillage alimentaire Prix Intermedia-globesilver du WordMedia Festival catégorie relations publiques : problèmes mondiaux
11 Enseignements & recommandations Les nouveaux concepts sont chers et chronophages (en comparaison avec la communication traditionnelle), mais très efficaces! il n est pas possible de toucher tout le monde avec la même action Certains groupes sont plus difficiles à toucher (par exemple les publics défavorisés) Les contacts en face à face sont très importants
12 Spécifiquement sur le gaspillage Multiplier les approches Intégrées à des actions de prévention des déchets Intégrées à des actions d alimentation durable Cibler tous les acteurs en parallèle
13 Des résultats significatifs Seuls 12% des habitants de Ludwigsburg n ont pas été confronté à la question du gaspillage alimentaire au cours des 3 dernières années «food waste» 17 % des habitants connaissent aussi GreenCook Reportages TV sur GreenCook: ARD, ZDF, ARTE, RTL, WDR le prix montre combien cette campagne était pertinente et innovante
14 Des résultats significatifs 25 % des Bruxellois ont vu la campagne media Résultat enquête de comportement : > Réduire les déchets (tous types) est cité par : - 19% des répondants en % des répondants en 2012 Poursuite de la campagne dans les médias sociaux
15 Miser sur des dynamiques engageantes favorisant le passage à l acte
16 Comment induire, au quotidien, des comportements individuels pérennes induisant moins de gaspillage alimentaire? Postulat : les comportements découlent logiquement des idées => pour changer les comportements changer les idées Mais résistances croissantes : - convaincre est aujourd hui de plus en plus difficile - les liens entre les opinions et les comportements ne sont pas automatiques : «seuls les actes nous engagent.» Utiliser la psycho-sociologie de l engagement : infuencer les convictions, choix, actes sans imposer ni persuader
17 Etapes de réalisation AVL a organisé 2 campagnes de Ménages Témoins (en 2011 et 2012) avec un total de 150 participants (50 participants en 2011, 100 en 2012). Grâce à des changements de comportement, les foyers ont réussi à réduire leur gaspillage de 60%. Etat des lieux Sensibilisation Changement
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19 La Food battle Partenariat avec supermarchés Tenir un journal du gaspillage pendant 3 semaines Conseils & information pour acheter, cuisiner et conserver malins Réduction de 20% en moyenne pour les 63 ménages témoins
20 Ne pas négliger la communication sur le lieu de vente Les supermarchés sont-ils des lieux propices à la sensibilisation du consommateur? Eveiller la conscience, susciter la réflexion, délivrer un conseil au client à un moment le plus proche possible de l acte d achat alimentaire semble a priori une idée dictée par le bon sens.
21 Les supermarchés sont-ils des lieux propices à la sensibilisation du consommateur? Les freins sont nombreux > les consommateurs sont pressés, peu de temps pour lire informations et conseils (incentives commerciaux plutôt que recommandations objectives) > les sollicitations visuelles sur le lieu de vente sont déjà multiples, ce qui laisse peu de place à une campagne de plus > une communication sur le lieu de vente semble trop éloignée (dans le temps et dans l espace) du moment de stockage et/ou de cuisine des produits, > le distributeur ne semble pas encore légitime sur ce sujet aux yeux du consommateur
22 Faut-il pour autant négliger la communication sur le lieu de vente? Pas nécessairement Ces initiatives, qui aident à «changer le regard» du client sur son magasin, servent l image de marque du distributeur, le positionnent comme un acteur citoyen de son territoire et donnent corps à sa contribution volontaire aux enjeux du développement durable (démarche de responsabilité sociétale de l entreprise).
23 Vue d ensemble du projet en supermarché Développement de nouveaux produits Partenariat avec producteurs locaux Sensibiliser le consommateur Réduction gaspillage Partenariat avec associations caritatives Sensibilisation des employés Amélioration des pratiques internes
24 2010 communication de base > Intégration de trucs et astuces pour moins gaspiller dans les prospectus du magasin distribués dans les boîtes aux lettres
25 2011 Intensification de la com sur le lieu de vente Affiches de sensibilisation => Peu coûteuses mais peu d interaction avec le consommateur Stand d animation
26 2011 Intensification de la com sur le lieu de vente Table ronde consommateur => ateliers thématiques Flash Mob => lancement de l association de producteurs locaux
27 Bilan des campagnes 2010 et 2011 Constat : Les clients n ont pas conscience du gaspillage qu ils génèrent et rejettent la faute sur les industriels et les consommateurs. Attente de plus d exemplarité de la part des supermarchés Ecart important entre la perception et la réalité Adaptation de la communication aux attentes des clients, plus centrée sur les actions du magasin dans la lutte contre le gaspillage alimentaire et discours moins culpabilisant
28 Site Internet, ing, réseaux sociaux Campagne 2012 et 2013 Communication multicanale et centrée sur les actions pilotes Stands pédagogiques avec dégustation de smoothies et puddings
29 Campagne 2012 et 2013 Communication multicanale et centrée sur les actions pilotes Organisation d un salon du goût dans la galerie : stands produits locaux, démonstration de cuisine, atelier pain Création d une marque «Les Ateliers Gourmands», communication moins centrée sur l anti-gaspi
30 Supports : Bilan > Les plus efficaces : jeu concours incitatif, stands pédagogiques, communication via les prospectus ou les médias > Les moins efficaces : affiches ou flyers, site Internet Environ 6500 clients sensibilisés à la démarche Amélioration de l image de marque du magasin
31 Recommandations stratégiques Privilégier les animations interactives et démonstratives plutôt qu une communication institutionnelle sur les enjeux du gaspillage Eviter de véhiculer des messages culpabilisants, miser sur l humour Mettre en lumière les bonnes pratiques magasins, clé d entrée pour sensibiliser le consommateur face à son propre gaspillage Intégrer les actions anti-gaspi dans une démarche plus globale d alimentation plus durable et de qualité
32 Recommandations opérationnelles > Favoriser le changement de comportement par la mise en place d incitations financières ou sous forme de cadeaux > Planifier les animations dans un contexte favorable : Semaine de réduction des déchets, Semaine Développement durable > Recourir à une équipe d animation dynamique et formé aux enjeux et réalités de la consommation responsable
33 Adapter la communication aux réalités et attentes spécifiques des publics précarisés On gaspille presque autant chez les ménages précarisés que chez les ménages plus aisés; La peur de manquer et la honte d avouer qu on gaspille sont renforcées chez les ménages précarisés ; L isolement social et la pauvreté économique ne favorisent pas le partage des repas en famille et l envie de cuisiner est parfois absente ; Les menus et les produits de base utilisés sont souvent les mêmes (surtout pour les bénéficiaires de l aide alimentaire), ce qui induit une forme de lassitude par rapport à l alimentation;
34 Les ménages précarisés ont une sensibilité extrême au respect des dates de péremption, parce qu ils ne savent pas les interpréter correctement; Le matériel de cuisine disponible est limité ; Les savoir-faire culinaires sont faibles ; La préoccupation première des populations précarisées est de trouver un toit, de se sentir en sécurité, de se nourrir. La réduction du gaspillage alimentaire n est pas considérée comme une priorité ; La précarité socio-économique voisine souvent avec la précarité culturelle, ce qui nécessite la mise au point de messages et d approches adaptés.
35 Il s agit donc : - de mettre en place des approches très pratiques et visuelles; - de dispenser des conseils très concrets, applicables au quotidien et immédiatement; en tenant compte des besoins réels des personnes.
36 Enquêtes bénéficiaires et plan d action Constats 61% des bénéficiaires souhaiteraient que des ateliers cuisine soient organisés dans les associations caritatives Les bénéficiaires apprécieraient d avoir des recettes à disposition dans les associations Les recettes qui intéressent le plus les bénéficiaires, sont les recettes pour accommoder les restes 156 entretien individuel avec les bénéficiaires Les bénéficiaires reçoivent régulièrement des légumes qu ils ne savent pas cuisiner Les dates limites de consommation ne sont pas souvent comprises par les bénéficiaires
37 Animation d ateliers cuisine et de démonstrations culinaires pendant le créneau de distribution et sur le lieu de distribution Mise à disposition des recettes préparées lors des démonstrations culinaires et des ateliers cuisine avec les bénéficiaires Recettes sous formes de pictogrammes et de textes pour un public non lecteur Adaptation des recettes en fonction des aliments donnés par les associations Mise en place d ateliers de sensibilisation avec les bénéficiaires animés par des associations locales Dates limites de consommation, règles de conservation et de gestion des aliments
38 L accompagnement des bénéficiaires : que du positif! - Les bénéficiaires apprécient particulièrement de «mettre la main à la pâte» lors des démonstrations et ateliers cuisine, ainsi que l aspect convivial de ce type d atelier, - Les animations culinaires développées participent également au renforcement des liens sociaux entre les bénéficiaires; - Cela contribue à sortir de l isolement ce public très souvent en situation d exclusion - Ces ateliers permettent également à certains bénéficiaires «ayant perdu confiance» de recommencer à cuisiner - Les dons alimentaires sont mieux gérés par les bénéficiaires, et le gaspillage diminue.
39 Des outils par les ménages pour les ménages GreenBook, GreenSouk, Quizz in, Sets de table, GreenParty
40 Un événement à l échelle de la Région : le premier Forum de la Consommation Responsable en Nord-Pas de Calais Juin 2013, Grande-Synthe (Dunkerque)
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48 Merci de votre attention! Pour plus d information Sophie Marguliew Espace Environnement smarguliew@espace-environnement.be
49 Recommandations issues du projet européen GreenCook Réduire le gaspillage alimentaire sur le point de vente et optimiser le don Sophie Marguliew Espace Environnement Sophie Marguliew Espace Environnement Journées techniques régionales Lorraine - 16/12/2014
50 LEVIERS D ACTION Optimiser le don alimentaire ACTIONS ENGAGEES PAR LES PARTENAIRES Organisation du don Mettre en place le don caritatif au sein des supermarchés (Greentag) Transformation des aliments par les asso. caritatives Développer un modèle technico-économique viable pour optimiser les bénéfices du don alimentaire (WUR & Bruxelles Environnement) Accompagnement des bénéficiaires Former et accompagner les acteurs associatifs (Artois Com.)
51 Recommandations (1/2) Soutenir l émergence d une fiscalité incitative > Rencontrer la demande croissante des associations caritatives > Approche volontaire de type gagnant-gagnant > Exemple : loi Coluche Privilégier les circuits courts > Circuit court = réduire la distance géographique et/ou limiter le nombre d intermédiaires entre donateur et bénéficiaire(s) > Ajustement de l offre à la demande > Réduction des coûts
52 Recommandations (2/2) Mettre en place des scénarios de transformation des invendus alimentaires à des fins caritatives > Principaux bénéficiaires : restaurants sociaux > Nécessité de disposer de connaissances et de compétences culinaires, nutritionnelles et diététiques > Projets pilotes (en situation réelle) Sensibiliser les bénéficiaires de l aide alimentaire et former les acteurs de 1 ère ligne > Dynamique de formation et d accompagnement des responsables et volontaires des associations ; > Inclure dans cette dynamique les magasiniers et réassortisseurs > Initiatives adaptées de sensibilisation des bénéficiaires pour qu ils (re)deviennent en capacité de cuisiner le contenu de leurs colis alimentaires de manière satisfaisante (empowerment).
53 Mettre en place le don caritatif Greentag
54 Vue d ensemble Développemen t de nouveaux produits Partenariat avec producteurs locaux Sensibiliser les consommateurs Réduction gaspillage Partenariat avec associations caritatives Sensibilisati on des employés Amélioration des pratiques internes
55 Contexte Résultats étude de caractérisation des déchets alimentaire effectué au E.Leclerc Templeuve début 2012 : > Le gaspillage alimentaire a été estimé à 192 t > En 2011 en poids, la part des aliments donnée à des associations ne représentait que 18 % des produits retirés de la vente. > 80 % des invendus alimentaires rejoignaient la voie de valorisation énergétique par méthanisation.
56 Objectifs Augmenter la fréquence des ramasses pour arriver à une ramasse quotidienne des produits Etablir un véritable partenariat durable avec les associations caritatives en nommant un interlocuteur privilégié Augmenter la part des dons aux associations : > 50% des invendus alimentaires
57 Réglementation et responsabilité Sécurité sanitaire Les produits doivent être stockés, collectés, transportés et distribués dans de bonnes conditions d hygiène et sans rupture de la chaîne du froid. Partage de responsabilité Le magasin n est responsable de son produit que tant qu il reste sous son contrôle. Dès lors que l association a collecté les produits, elle prend ces derniers sous son entière responsabilité. Pour être donné, le produit doit être identifiable. Le magasin doit assurer la traçabilité du produit comme pour une vente classique. En cas d alerte sanitaire, l enseigne ou l entreprise reste en revanche responsable (selon le règlement CE N 178/2002), même si le produit est déjà parti dans les associations.
58 Conditions fiscales Valeur du don 60% du montant des dons peuvent être défiscalisés dans la limite de 0,5% du chiffre d affaires. Les imprimés CERFA servent de preuves comptables justificatives.
59 Implémentation Déterminer votre offre Définir le type et estimer le volume des produits gaspillés Identifier les produits pouvant être donnés : défaut d aspect, écarts de tri, retraits Trouver les associations répondant à vos attentes Mise en place du fonctionnement interne Lancement et suivi du partenariat Rencontre avec les associations Recueil de leurs besoins et contraintes Choix des associations partenaires selon vos critères Etablir des conventions de partenariat Définir un responsable du suivi des dons associatifs = interlocuteur privilégié des associations Définir une zone de stockage des produits Elaborer une procédure d enregistrement et contrôle des produits et suivi des documents administratifs Bilan annuel avec les associations Points téléphoniques réguliers Communication interne Définition et affichage des indicateurs de performance Formations et sensibilisation des équipes
60 Implémentation Aucune personne responsabilisée sur le sujet 2 passages uniquement par semaine Bons de sortie non comptabilisés : pas de contrôle, ni d émargement de l association Reçus CERFAS non récupérés Consignes aux équipes pas claires sur les produits à donner. Dons représente 20% des invendus (36 tonnes) Un interlocuteur nommé sur les dons Planning de passage quotidien des associations Procédure écrite et connue de tous Système de caisses grises consignées Reporting mensuel Reçus CERFAS récupérés mensuellement Partenariat gagnant-gagnant Points réguliers avec les partenaires + bilan annuel Délai de mise en place : 2 mois Dons représente près de 60% des invendus
61 Périmètre produit Tous les produits réfrigérés, surgelés ou secs. Il est préférable de ne pas donner des produits à DLC < 48h ou 72h. Les produits à DLUO dépassée peuvent être donnés : cf recommandation de l agence fédérale belge pour les directives en matières de conservation nov2012_fr.pdf Conservation très longue : Riz, pâtes, sel, sucre, farines, conserves, boissons, lait UHT jusqu à un an après la DLUO Conservation longue : Biscuits secs, chips, biscuits salés, pâtes à tartiner, céréales, beurre, fromages à pâte dur : jusqu à 2 mois après la DLUO Conservation limitée Fromage à pâte molle, biscuits fourrés, pains de mie respecter la DLUO Les produits à DLC dépassée ne doivent pas être donnés ainsi que les produits à risque ci-dessous.
62 Dons pour la croix rouge
63 Résultats Comparaison dons ( HT) Estimation 2013 : soit +179% par rapport à N Comparatif des dons 2012 et 2013
64 Recommandations Nommer une personne chargée de suivre les dons au quotidien Ne pas négliger les délais de mise en place d une telle démarche Analyser les outils réglementaires permettant d encourager la lutte contre le gaspillage alimentaire Privilégier les associations adhérentes d une tête de réseau car mieux formées
65 Transformer les invendus pour les associations caritatives
66 Récuperation des invendus frais en collaboration avec les supermarchés Bruxelles Environnement et
67 Description Collecte quotidienne des produits à partir de 17h Congélation des produits le jour même* Etre créatif pour utiliser autant de produits que possible : > Techniques de conservation > Nouveaux menus et recettes > Communication avec les clients (soupe fraîche) dans le strict respect des règles d hygiène
68 Résultats 2 repas sur 5 sont préparés avec des invendus La cuisine a une plus large offre de produits à disposition : crevettes, asperges Le personnel de cuisine apprend beaucoup plus de techniques culinaires pendant le stage
69 Manuel pratique Résultats > Description du matériel nécessaire > recommendations sur l hygiène alimentaire > Comment commencer son projet > Feuilles d évaluation Ateliers et helpdesk pour les restaurants qui le souhaitent cupsupermarfr.pdf
70 Recommendations Cela fonctionne mais.. Il y aura de petits problèmes. Créativité et motivation sont la clé du succès. Chaque projet est différent, il faut une approche personnalisée. Nécessité d entrer en contact avec les autorités de contrôle sanitaire.
71 Merci de votre attention! Pour plus d information Sophie Marguliew Espace Environnement smarguliew@espace-environnement.be
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