PROJET RÉGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D AIRES PROTÉGÉES MARINES ET CÔTIÈRES DANS LA REGION MÉDITERRANÉENNE (PROJET MedMPA)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PROJET RÉGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D AIRES PROTÉGÉES MARINES ET CÔTIÈRES DANS LA REGION MÉDITERRANÉENNE (PROJET MedMPA)"

Transcription

1 CAR/ASP PROJET RÉGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D AIRES PROTÉGÉES MARINES ET CÔTIÈRES DANS LA REGION MÉDITERRANÉENNE (PROJET MedMPA) ACTIVITÉ MP3: ELABORATION DU PLAN DE GESTION DE LA PARTIE MARINE DU PARC NATIONAL DE ZEMBRA ET ZEMBRETTA RAPPORT GLOBAL DES TRAVAUX DE PROSPECTION MARINE SEPTEMBRE 2004 Le Projet MedMPA est soutenu financièrement par la Commission européenne

2 Table des matières Avant Propos Coordination et rédaction 1. CADRE GENERAL ET OBJECTIFS DE L ETUDE DE TERRAIN 1 2. RAPPORT D ACTIVITES Déroulement chronologique des missions Stations Méthodologie Logistique Bionomie benthique et espèces remarquables Radiales avec l hydroplane Caractérisation de Patella ferruginea Comptage de poissons Bathymétrie et dragages BIONOMIE BENTHIQUE Substrats durs Environnement littoral Infralittoral Circalittoral Substrats meubles Les herbiers à Posidonia oceanica Sables fins plus ou moins envasés Sables grossiers et graviers CARACTERISATION DES POPULATIONS DE Patella ferruginea Stations Répartition par secteurs Discussion et conclusions Taille Densité ETUDE SUR Posidonia oceanica Matériels et méthodes Résultats Rhizomes plagiothropes Rhizomes orthothropes Discussion 35

3 6. PEUPLEMENTS ICHTYQUES Résultats Paramètres des peuplements Structure spatiale Structure trophique Discussion HABITATS ET ESPECES MARINES D INTERET Habitats à protèger Fonds durs et roches Fonds meubles Espèces remarquables Macrophytes Invertebrés Poissons Espèces invasives Récapitulatif VALORISATION ECOLOGIQUE Critères d évaluation Evaluation des habitats et espèces Population de Patella ferruginea Peuplement des poissons Evaluation des secteurs de Zembra-Zembretta Secteurs Habitats Population de Patella ferruginea Peuplements ichtyques Résultats de l évaluation Zones de valeur très élevée Zones de valeur élevée Zones de valeur moyenne BIBLIOGRAPHIE 71 ANNEXES Annexe I: Caractéristiques des stations Annexe II: Liste des espèces marines observées Annexe III: Tableaux récapitulatifs des populations de Patella ferruginea et des peuplements ichtyques Annexe IV: Radiales des stations Annexe V: Bathymétrie des fonds de Zembra

4 REDACTION ET COORDINATION : Coordination: A. LIMAM 1, Chedly RAIS 1 et Alfonso A. RAMOS-ESPLA 2. Bionomie benthique: K. BEN MUSTAPHA 4, A. BOUAJINA 1 S. GUELLOUZ 3, A. A. RAMOS-ESPLA 2 et P. SANCHEZ-JEREZ 2. Caractérisation de Patella ferruginea et médiolittoral : A. LIMAM 1. Comptages visuels de poissons: J. T. BAYLE 2, et C. VALLE 2. Caractérisation de l herbier à Posidonia oceanica : J. L. SANCHEZ-LIZASO et J. M. GONZALEZ-CORREA. SIG, bathymétrie : B. AISSA 4, A. GUEZDAOUI 4, José MARTINEZ-PEREZ 2, S. GUELLOUZ 3 et K. BEN MUSTAPHA 4. Appui technique en plongée et logistique bateaux: Adel BOUAJINA 1 et Afif OTHMAN 4 (1) Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP). Boulevard de l Environnement, B.P. 33/ Tunis Cedex, Tunisie. (2) Unidad de Biología Marina, Instituto del Agua y del Medio Ambioente, Universidad de Alicante, Alicante, Espagne. (3) Agence de Protection et d Aménagement du Littoral (APAL), 2 rue Mohamed Rachid Ridha, 1002 le Bèlvèdère, Tunis, Tunisie. (4) Institut National des Sciences et Technologies de la Mer, 28 rue 2 mars 1934, 2025 Salammbô, Tunisie. Photographies dans le texte: P. SANCHEZ-JEREZ: 2-1, 2-2, 2-3, 3-1, 3-2, 3-3, 3-4, 3-5, 3-6, 3-7, 3-8, 3-9, 3-10, 3-11, 3-12, 3-13, 3-14, 3-15, 3-16, 7-1, 7-2, 7-3, 7-4, 7-5, 7-6, 7-7, 7-8, 7-9, 7-10, 7-11, 7-12, 7-13, 7-14, 7-16, 7-18, 7-19, 7-20, 7-21, 7-22, 7-23, 7-24, 7-25, 7-26, 7-27, 7-28, 7-29, 7-30, 7-31, 7-32, A. BOUAJINA: 3-17, 7-15, A. RAMOS-ESPLA: 8-2, 8-3, 8-4, 8-5 Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta

5 1. CADRE GENERAL ET OBJECTIFS DE L ETUDE DE TERRAIN Le Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP) est responsable de la mise en oeuvre du Projet Régional pour le Développement d Aires Protégées Marines et Côtières dans la Région Méditerranéenne (Projet MedMPA) qui a pour objectif majeur d apporter l assistance et l appui technique nécessaires en vue d élaborer des plans de gestion et/ou des plans nationaux de développement d aires marines protéféezs dans è pays méditerranéens à savoir l Algérie, Chypre, Israel, Malte, le Maroc, la Syrie et la Tunisie. Ce Projet est soutenu financièrement par la Commission européenne à travers son Programme SMAP. En Tunisie, le projet MedMPA a pour objectif majeur de fournir l assistance scientifique et technique aux autorités compétentes tunisiennes pour l élaboration d un plan de gestion de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta (Fig. 1-1). Par ailleurs, un programme détaillé pour la mise en œuvre des activités du projet, notamment les travaux de prospection marine, a été arrêté après concertation entre les différents représentants des autorités compétentes et des institutions tunisiennes (APAL, ANPE, Marine nationale, INSTM, etc.), les experts du CAR/ASP et les experts de l Unité de Biologie Marine (UBM) de l Université d Alicante (Partenaire au Projet pour les activités concernant la Tunisie). Sur la base des discussions et des concertations issues des réunions préliminaires (mars et juin 2002, avril 2003), il a été convenu de mener deux missions de terrain pour la réalisation des travaux de prospection marine. La première mission, réalisée au mois d octobre 2002, a été consacrée aux travaux de prospection en petites et moyennes profondeurs (0-35m). La deuxième, réalisée au mois de juin 2003, a été ciblée sur les prospections en zones profondes (jusqu à 60m) et a, en outre, consisté à compléter les observations de la première mission. Les travaux de prospection marine avaient pour objectif d aider à l élaboration d un plan de zonage des habitats marins remarquables. Ce plan de zonage est un outil de base à l élaboration du plan de gestion de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta. Ces travaux ont consisté notamment à : - L identification et la classification des biotopes marins existants - L étude des principales, biocénoses et espèces présentes dans la partie marine du Parc et ses environs. Une attention particulière a été accordée aux herbiers de Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 1

6 Figure 1-1 : Etendue marine du Parc National de Zembra et Zembretta Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 2

7 phanérogames marines et aux espèces et habitats d importance méditerranéenne, particulièrement celles figurant dans les annexes du Protocole ASP, - L élaboration d une photothèque de la partie marine et côtière du Parc Ont pris part aux travaux de prospection réalisés : Une représentante de l APAL, plongeur scientifique; Deux plongeurs de la Marine Nationale Deux consultants nationaux: un plongeur scientifique (INSTM) et un plongeur photographe; Un expert du CAR/ASP, plongeur scientifique; Quatre experts de l UBM, plongeurs scientifiques; Un technicien de plongée (INSTM); L équipage du navire de recherche océanographique «le NRO Hannibal» de l INSTM ; Un représentant de la Direction Générale des Forêts (DGF) Le présent travail complète les informations recueillies par Boudouresque et al (1986) ainsi que celles obtenues dans le cadre du projet Conservation et Réhabilitation d Ecosystèmes Insulaires Fragiles : Partie Marine par Ramos-Esplá et al. (2001) sur l Archipel de Zembra et Zembretta. 2. RAPPORT D ACTIVITES 2.1. Déroulement chronologique des missions Les deux missions de terrain se sont déroulées comme détaillé ci-aprés : - La première entre le 12 et le 19 octobre 2002 et dont le chronogramme des activités relatives est détaillé dans le tableau 2-1, - La deuxième entre le 15 et le 25 de juin 2003 et dont chronogramme des activités relatives est détaillé dans le tableau 2-2. L organisation et la coordination des activités pendant ces missions ont été assurées conjointement par les représentants du CAR/ASP, de l UBM, de l APAL, de la Marine Nationale et de l INSTM : Quant aux conditions météo-océaniques, la température de l eau a oscillé entre 18-20ºC (30-57 m) et 23ºC (< 25 m) alors que la visibilité dans l eau a été très bonne dépassant 20 m. Les courants ont été faibles exceptés au niveau de la partie SE de Zembra. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 3

8 Durant la mission d octobre 2002, les conditions n ont pas été favorables aux travaux de prospection pendant les journées des 14 et 15 octobre. Il en était de même pour les journées du 18 et 19 juin lors de la deuxieme mission en Mise à part ces journées, le mer était calme et les prospections se sont déroulées en bonnes conditions. Mission octobre Arrivée/départ Réunion de coordination Préparation de la mission Bionomie Comptage poissons Comptage patelles Tableau 2-1. Chronogramme des activités entreprises lors de la mission de juin Avec : (*) mauvais temps Mission juin * 19* Arrivée Réunion de coordination Préparation de la mission Bionomie Comptage poissons Comptage patelles Dragage Tableau 2-2. Chronogramme des activités entreprises lors de la mission de juin Avec : (*) mauvais temps Stations Les différents sites et stations d étude ont été choisis de façon à couvrir la quasitotalité de la zone marine (fig. 2-2). Une attention particulière a été accordée aux zones où il y a un manque remarquable d informations telles que les sites N/NW, NE et SE de Zembra, les sites autour de Zembretta et les sites dont les profondeurs sont supérieures à 35 m. En tenant compte des conditions météorologiques, du nombre de plongeurs et de la durée des missions, 65 sites ont été retenus : 56 à Zembra et 9 à Zembretta (tableau 2-3 et Annexe I.1). Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 4

9 Cette répartition nous a parmis de prospecter les différents secteurs suivants entre Zembra et Zembretta: Zembra Secteur Nord (N): E-Capo Grosso, Anse des Grottes, L Antorcho. Secteur Nord-Est (NE): Sud de la Pointe des Grottes, Secteur Est (E): Hjar-el-Maiel, Grotte del Savino, Hank-el-Jemel Secteur Sud-Est (SE): Les Carrières, Punta Tabla, Secteur Sud (S): Rocher du Gouaou, Anse du Port Secteur Sud-Ouest (SW): W et NW de la Cathèdrale Secteur Ouest (W): Pointe du Balancier, Guedra, Conque de Venus Secteur Nord-Ouest: Anse Ed-Dahia, Zembretta: Secteurs Sud-est et Ouest Secteurs N NE E SE S SW W NW Z Total Prof (m) Bionomie P. ferruginea Poissons Hydroplane Posidonia Dragages Nbre stations Tableau 2-3. Réparation selon la méthodologie et les secteurs des stations entre Zembra et Zembretta Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 5

10 Figure 2-2. Répartition des stations entre Zembra et Zembretta. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 6

11 2.3 Méthodologie Logistique a) Bases d opérations Durant la première mission, l aquipe scientifique était basée à terre (sur l île de Zembra) alors que lors da la deuxième mission, l équipe a travaillé à bord du bateau océanographique Hannibal de l Institut National des Sciences et Technologies de la Mer. b) Equipes Les participants aux campagnes de prospection ont été répartis en trois équipes (planche 2-1), en fonction de la nature de plongée: plongée profonde (jusqu à 60 m), surface (jusqu à 25 m), littorale (surface): Equipe 1 : 2 plongeurs pour le comptage de poissons entre 5 et 50m Equipe 2 : 4 à 6 plongeurs, munis d une caméra vidéo et deux caméras photographiques pour l étude de la bionomie benthique et des espèces remarquables (0-60m) Equipe 3 : 1 plongeur en apnée pour la caractérisation des populations de Patella ferruginea. Planche 2-1. Différentes méthodes de plongée pour l étude des communautés : de gauche à droite et de haut en bas: observation et échantillonnage, comptages des poissons, photographie et vidéo sousmarines. Au total (tableau 2-3), l équipe chargé d étudier les communautés benthiques a effectué 29 plongées-transects dont certaines profondes (>35m : La Cathèdrale, L Antorcho, Capo Grosso); 7 radiales perpendiculaires à la côte avec un hydroplane (NW, SE, E et NE de Zembra); des plongées ponctuelles pour vérification (principalement dans l Anse du Port); et quelques actions de dragages autour de Zembra (profondeurs entre 33 et 102 m). Pour la Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 7

12 patelle géante Patella ferruginea, 11 stations ont été prospectées. Enfin, 17 stations ont été prospectées pour le comptage des poissons. Part ailleurs, le travail de bionomie consistait a été appuyée par des prises d images sous-marines (vidéo, photographie) des transects Bionomie benthique et espèces remarquables Les travaux ont consisté à l étude de la distribution des communautés benthiques et la carctérisation qualitative et quantitative des espèces remarquables. La méthode adoptée a été basée sur des trajets perpendiculaires à la côte, des plongées ponctuelles et des radiales avec l hydroplane, entre 0 et 62 m. En plus, quelques comptages (carrés 30x30cm et 20x20cm) d espèces remarquables (faisceaux de Posidonia oceanica, colonies d Astroides calycularis, Eunicella singularis et Myriapora truncata, et thales de Flabellia petiolata) ont été efectués. Les trajets perpendiculaires à la côte ont été effectués majoritairement par l équipe (4-6 plongeurs) chargée de la distribution des communautés. La mise en eau se fait dans la plupart des cas entre 30 et 57 m de profondeur. A cet effet, les deux équipes sont munies d un echo-sondeur portable, d un GPS pour localiser les points d observation et d un ordinateur de plongée (Aladin-Pro) pour déterminer les profondeurs sur place. La méthode suivie consiste à parcourir le secteur dès la zone la plus profonde vers le littoral, les plongées se terminant dans la majorité des cas sur la côte (0 m). Au cours de ce trajet, les plongeurs identifient visuellement les espèces dominantes et remarquables des différents habitats, décrivent la topographie et le paysage sous-marin et relèvent tout type d information susceptible d apporter des éléments pertinents. En parallèle, chaque équipe comprend deux photographes (avec des caméra Nikonos VI + flash SB 105 et Nikon digital Coolpix 990) ou un caméraman sous-marin (avec Sony 700x digital Handycam dans boîte étanche). Des clichés et une vidéo sont réalisés à chaque plongée et sont ciblées aussi bien sur les espèces remarquables ou nécessitant un complément d identification que sur les paysages sous-marins. Des comptages ponctuels (nombre d individus observés ou densité par unité de surface) sont réalisés pour les espèces remarquables figurant sur les annexes II (liste des espèces en danger ou menacées) et III (liste des espèces dont l exploitation est réglementée) du Protocol relatif aux aires spécialement protégées et à la diversité biologique en Méditerranée de la Convention de Barcelone (1995): Posidonia oceanica (nombre de faiceaux par unité de surface), Astroides calycularis (nombre d individus par unité de surface), Centrostephanus longispinus, Ophidiaster ophidianus, Pinna nobilis, P. rudis, grand Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 8

13 crustacés (Scyllarides latus), Paracentrotus lividus, grands serranidés (Epinephelus marginatus, E. costae, E. caninus, Mycteroperca rubra), Sciaena umbra, etc. Il convient enfin de signaler que pour la caractérisation des communautés, on a suivi les même approches que celles de Pérès et Picard (1964) et UNEP-MAP (1998). Les espèces déterminnées en plongée ont été évaluées avec un échelle semi-quantitative: (cc) très commune, (c) commune, (r) peu commune. Pour les espèces et habitats d intérêt à la conservation, on s est basé sur les annexes II et III du Protocole relatif aux aires spécialement protégées et à la diversité biologique en Méditerranée de la Convention de Barcelone (1995), sur les suggestions relatives aux espèces et peuplements identifiés comme prioritaires dans la mise en oeuvre du Plan d Action pour la Conservation de la Végétation Marine en Mer Méditerranée (RAC/SPA, 2000) et le Livre rouge des végétaux, peuplements et paysages marins menacés de Méditerranée (UNEP/IUCN/GIS Posidonie, 1990) Radiales avec l hydroplane Pour une observation extensive et rapide des secteurs, principalement des fonds meubles, on a effectué des radiales ( m de longueur) avec l hydroplane fourni par le CAR/ASP. Le plongeur est traîné par le pneumatique avec une vitesse entre 1,5 et 2 nœuds, dans les profondeurs où existent les principales communautés (détritique côtier, sable, herbiers de Posidonia et/ou Cymodocea, roche ). L équipe sur le pneumatique prenait chaque 2 secondes la position GPS et la profondeur avec une échosondeur portable Caractérisation de Patella ferruginea Cette espèce est une des plus vulnérables et rares en Méditerranée vivant sur la roche mediolittoral. La caractérisation des populations et peuplements associés a consisté à: Signaler la présence ou l absence de la patelle géante et estimer sa densité sur des tronçons de côtes rocheuses relativement homogènes (quadrats de 40x40 cm ; photo 2-1), Mesurer le plus grand diamètre de chaque individu à l aide d un pied à coulisse, Dénombrer, parallèlement au comptage de P. ferruginea, les individus des autres Patella (P. rustica, P. ulyssiponensis) se trouvant dans le même quadrat, Estimer la proportion de cette espèce par rapport à d autres présentes sur le même site notamment Dendropoma petraeum et Chthamalus stellatus. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 9

14 Photo 2-1. Comptage et mesure des Patella ferruginea avec un carré en fer de 40x40cm. Pour la signalisation la présence de Ch. stellatus, on a essayé d établir une échelle semiquantitative de présence. Cette échelle varie de 1 à 10 en passant respectivement du degré 1 de présence minime au degré 10 de présence très remarquable. Quant au vermet D. petraeum, une estimation aussi semi-quantitative sur la présence est basée sur de simples observations visuelles passant du degré de présebce faible (+) au degré de présence très élevé (+++) Comptage de poissons Le comptage de poissons est un excellent bioindicateur pour estimer et mettre en valeur l effet réserve (Bayle et Ramos, 1993). La méthodologie adoptée est standarisée (Harmelin-Vivien et al., 1985). En effet, la mise à l eau se fait à une profondeur donnée entre 5 et 25 m (transects avec ruban métrique). Les comptages se font d une façon aléatoire dans les immersions profondes (30-60 m). La profondeur a été identifiée à partir de l embarcation par un sondeur portable, et localisée par GPS. La méthode consiste à parcourir une distance (trajets parallèles à la côte) de m en notant les espèces de poissons rencontrées, le nombre d individus de chaque espèce, leur taille approximative et le type de fond. Cette technique sert à estimer les peuplements et la dynamique des poissons autour des îles Zembra et Zembretta. On y a fait 7 stations dans les secteurs NW, NE, S et SE de Zembra et W de Zembretta (Annex I). Lors des plongées profondes (> 30m), on compte les espèces les plus remarquables tels que les grands serranidés et sparidés, et les corbs Bathymétrie et dragage Lors de la mission réalisée en 2003, on a éffectué des relevés suivant des transects bien définis afin de mieux caractériser la bathymétrie autour de l île Zembra (entre 25 et 110 m de profondeur) avec le N/O Hannibal (photo 2-2). La bathymétrie a été réalisée sur la base des paramètres suivants : échelle de sondage : 22.5º entre profils ; type de sondage : rayonnement ; Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 10

15 vitesse du bateau : 3 nds ; longeur des radiales : 1.5 mn ; profondeur minimal (à la côte) : 20-30m; profondeur maximale (au large) : m; Photo 2-2. Le N/O Hannibal de l Institut National des Sciences et Technologies de la Mer Les radiales ont été tracées sur cercle GPS (Furuno-Plotter GP 188), en interface avec un sondeur SIMRAD (Echo-intégrateur K500, écho et position géo toutes les 3 secondes) fonctionnant avec son prope logiciel. La précision des équipements étant telle que nous pouvons considérer ces relevés comme extrêmement fiables (à défaut d un GPS différentiel). Au vu de la nature des relevés et du matériel utilisé, les erreurs ont les marges suivantes : positionnement à 12m près ; profondeur à 10cm (au delà de 100m de profondeur). Les données, récuperées sur fichier Excel ont été introduites sur logiciel surfer, afin d en ressortir soit une image en 3D soit une image brute de la bathymétrie (voir AnnexeV). Enfin, on a éffectué dans quelques stations des dragages à l aide une drague rectangulaire (rectangle en fer de 40 x 25cm, et filet de = 10cm). 3. BIONOMIE BENTHIQUE Dans ce chapitre on caractérisera les différentes biocénoses et associations en fonction des étages et types de substrat (durs et meubles). La liste d espèces associées à chaque communauté est jointe à l Annexe II alors que la cartographie bionomique autour de Zembra est illustrée dans la figure Substrats durs Ils sont carctérisés par des fonds rocheux sous forme d éboulis ou de tombant qui s étendent de la surface jusqu à 60 m (secteur de l Antorcho). Ces fonds sont peuplés de différentes communautés (à dominance floristique et/ou faunistique) en fonction de l exposition à la lumière, à l hydrodynamisme et à la sédimentation. On y a observé les associations suivantes selon les étages et les horizons. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 11

16 Fig. 2-3 : Cartographie de la bionomie benthique de l île de Zembra Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 12

17 3.1.1 Environnement littoral Roche supralittorale La biocénose de la roche supralittorale est répresentée par les cyanophytes, le gastéropode Melarhaphe (= Littorina) neritoides (cc) et le crustacé cirripède Euraphia depressa (cc), l isopode Ligia italica (cc) et le décapode Pachygrapsus marmoratus (c). A cause du fort hydrodynamisme (surtout dans les secteurs Nord-ouest et Ouest), quelques espèces du mediolittoral peuvent être présentes comme les gastéropodes Patella rustica et Osilinus (= Monodonta) turbinatus. Le gastéropode Nodilittorina ( Littorina) punctata et le lichen Verrucaria amphibia ( V. symbalana) n ont pas été toutefois observés Roche médiolittoral Cet étage est bien développé à Zembra grâce au fort hydrodynamisme (> 1m). Dans quelques secteurs, il existe des formations en visoir à cause de l érosion de la roche (en particulier dans le secteur Sud-ouest) où les chthamalus couvrent la roche. Biocénose de la roche mediolittorale supérieure Cet étage est bien développé à Zembra avec les ceintures du cirripède Chthamalus stellatus (cc) et la rhodophyte Nemalion helmintoides (c), avec cyanophytes epilithes (fig. 3-1). La faune vagile est répresentée par la patelle Patella rustica (cc) et les trochidae Osilinus turbinatus (cc) et O. articulatus (c) Aussi les espèces du supralittoral M. neritoides, L. italica et Pachygrapsus marmoratus sont fréquentes. La rhodophyte Rissoella verruculosa n a pas été observée. Photo 3-1. L algue rouge Nemalion helmintoides dans le médiolittoral supérieur avec Chthamalus stellatus. (Est de l Anse du Port). Biocénose de la roche mediolittorale inférieure Cette biocénose est principalement représentée par la ceinture de Ralfsia verrucosa (cc) avec la patèlle géante Patella ferruginea et l association Neogoniolithon brassica-florida (cc) avec le vermet Dendropoma petraeum (cc) (photo. 3-2) et la patèlle géante Patella ferruginea (cc). Cette dernière association forme des plaques presque partout dans le littoral de Zembra-Zembretta, mais elle n arrive pas à former des véritables bioconstructions en Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 13

18 coussinet (sauf dans le secteur d Ed-Dahia), corniches et/ou micro-atolls. Dans quelques secteurs apparaissent les algues Enteromorpha spp. (p.e. secteur de la Grotta del Savino). Certains gasteropodes y sont abondants Patella ulyssiponensis (cc), Osilinus turbinatus (cc) et O. articulatus (c), ainsi que les crustacés Chthamalus stellatus et Pachygrapsus marmoratus. Photo 3-2. Etage médiolittoral inférieur avec la patelle Patella ulyssiponensis, le bigorneau Osilinus turbinatus, l espèce Chthamalus stellatus et le vermet Dendropoma petraeum associé à l algue calcaire Neogoniolithon brassica-marina (tâches blanches), aussi l algue encroûtante brune foncée Ralfsia verrucosa. (Est de l Anse du Port). Notons que les formations calcaires organogènes à Lithophyllum byssoides (prev. L. lichenoides) et L. trochanter (prev. L. byssoides), signalées au Nord de la Tunisie n ont pas été observées lors des campagnes de prospection Infralittoral Dans ce type de substrat, les peuplements d algues infralittorales dans l archipel de Zembra sont bien représentés à savoir les algues photophiles, sciaphiles et hemiphotophiles. Ces différents peuplements se répartissent entre 0 et 37 m sur les éboulis et la roche infralittorale, et la profondeur de répartition varie en fonction de l hydrodynamisme et l inclination des surfaces rocheuses. Nous ferons une séparation entre l horizon supérieur (0-8 m), moyen (3-23 m) et inférieure (15-37 m) Horizon supérieur Une grande partie du littoral de Zembra est très battue étant donné que l horizon supérieur de l infralittoral peut atteindre les 8 m de profondeur. Association des algues photophiles en mode battue Ces associations sont représentées de 0 jusqu à 8 m, avec la prédominance des rhodophytes Laurencia obtusa (c), L. papillosa (cc), Jania rubens (cc) et Corallina elongata (cc); les chlorophytes Anadyomene stellata (cc) et Cladophora sp. (cc); et dans quelques secteurs la phaeophyte Cystoseira amentacea (r) (particulièrement dans les secteurs Sud et Est). (photo. 3-3). Quelques espèces photophiles en mode calme y sont présentes comme les phéophytes Dictyota fascialis (cc), Padina pavonica (cc), Halopteris scoparia (cc), Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 14

19 Colpomenia sinuosa (cc), Sargassum vulgare (cc) et Cystoseira compressa (cc); et les rhodophytes Amphiroa rigida (cc) et Bonnemaissonia asparagoides (cc). Photo 3-3. Association à Cystoseira amentacea entre 0 et 0,5 m en mode battu. (Est de l Anse du Port). Dans la faune sessile, on note la présence des bioconcretions Dendropoma petraeum (cc), l éponge Ircinia fasciculata et les hydraires (Aglaophenia spp.). Dans les secteurs les plus ombragés, l Astroides calycularis est très abondant. La faune vagile est constituée par les gasteropodes Patella coerulea (c), Cerithium rupestre (cc) et Stramonita haemostoma (cc); les crustacés Eriphia verrucosa (c) et Clibanarius erythropus (cc); et les oursins Arbacia lixula (cc) et Paracentrotus lividus (cc). Association des algues sciaphiles en mode battue Entre 0 et 6m, sont abondantes les rhodophytes Plocamium cartilagineum (cc), Schottera nicaeensis (cc) et Corallina elongata (cc) dans quelques endroits avec Pterocladia verticillata (c) Chondracanthus (= Gigartina) acicularis (c) et Bonnemaissonia asparagoides (cc) et la chlorophyte Valonia utricularis (cc). Aussi, les phaeophytes Colpomenia sinuosa (c) et Dictyota dichotoma (c) y sont aussi présentes. L Astroides calycularis est très abondant à ce niveau (photo. 3-4). Photo 3-4. Association des algues sciaphiles en mode battu avec l abancance remarqueble de l Astroides calycularis. (La Cathédrale, -2 m) Horizon moyen Il se situe entre 3 et 23 m, selon l hydrodynamisme et l illumination de la zone. Il se carctérise par la dominance des algues photophile en mode calme dans les surfaces plus éclairées. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 15

20 Association des algues photophiles en mode calme Avec la prédominance des phéophytes: Padina pavonica (cc), Halopteris scoparia (cc), Dictyota fasciola (cc), D. dichotoma (c), Cladostephus spongiosus v. verticillatus (c), Cystoseira compressa (cc), C. brachycarpa (c), Sargassum vulgare (cc), Colpomenia sinuosa (c), Hydroclathrus clathratus (c) et Taonia atomaria (c); et les rhodophytes Jania rubens (cc), Amphiroa rigida (c) Lithophyllum incrustans (c) et Bonnemaisonia asparagoides (cc) (photo 3-5). On note aussila présence de la phéophyte Dictyopteris polypodioides (c). Ces espèces se localisent sur les surfaces horizontales et subhorizontales entre 0 et 23m; et sur les parois verticales en exposition Sud, près de la surface (entre 0 et 21m). Dans quelques secteurs (comme celui de Zembretta), l Acetabularia acetabulum y était abondante. Photo 3-5. Algues photophiles et hemiphotophiles en mode calme à Dictyopteris polipodioides (ercte jaune-marron), Hydroclathrus clathratus (massive jaune), Bonnemaisonia aspargoides (rose), Cystoseira sp. (jaune ramifiée à gauche) et Padina pavonica (blanche). (La Cathédrale, -13 m). Entre les invertébrés sessils, les éponges sont fréquentes avec l Ircinia fasciculata (c) Sarcotragus muscaria (c) S. spinosula (c) Cacospongia sp. (r) et Crambe crambe (cc). Pour les cnidaires, sont abondants l Astroides calycularis et un hydraire du genre Aglaophenia, trés abondant dans les secteurs verticales (Cathèdrale, L Antorcho, Capo Grosso), et qui arrive à former des fôrets. D autres cnidaires sont présents comme les actinaires Aiptasia mutabilis (c) et Anemonia viridis (c) et le madréporaire Balanophyllia europaea (r); ainsi que les bivalves Arca noae (c) et Pinna rudis (r). Il importe de noter la présence très rare du madreporaire Cladocora coespitosa et du bivalve Spondylus gaederopus. Comme la faune vagile, On note la présence des gastéropodes, Stramodita (= Thais) haemostoma, Fasciolaria lignaria et Mitra corniculata; les oursins Arbacia lixula et Paracentrotus lividus; et les poissons castagnole Chromis chromis, le sérran écriture Serranus scriba, les sparidés (Diplodus vulgaris, D. sargus) et les labridés (Symphodus roissali, S. mediterraneus, Coris julis, Thalassoma pavo). Association de surpâturage des algues encroûtantes et d oursins Dans quelques endroits (telles que la paroi Est du Capo Grosso, entre 8 et 19m), les algues erectes sont très rares et dominent l algue rouge encroûtante Lithophyllum incrustans Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 16

21 avec des oursins (photo 3-6) Arbacia lixula (c) Paracentrotus lividus (cc) et Sphaerechinus granularis (r). Aussi des invertebrés encroûtants sont y présents, comme les éponges Crambe crambe (cc) et Hamigera hamigera (r) et le bryozoaire Reptadeonella violacea (c). L Astroides calycularis est fréquent, aussi le crabe eremite-bernard Calcinus tubularis. Photo 3-6. Association d algues calcaires (Lithophyllum incrustans) avec surpâturage d oursins. Il y a des éponges rouges (Crambe crambe, Phorbas fictitius), l Astroides calycularis (oranger) et les oursins Arbacia lixula (noir) et Paracentrotus lividus (marron). (E-Capo Grosso, -14 m) Horizon inférieur Il commence à partir des 15 m avec des algues hémiphotophiles sur les parois inclinées, et juqau à une limite inférieure localisée vers les 37 m de profondeur et caractérisé par une des algues sciaphiles. Association des algues hemiphotophiles Avec principalement des phéophytes Dictyopteris polypodioides (cc), Dictyota dichotoma (c), Cystoseira spinosa (cc), Halopteris filicina (cc) et Zonaria tournefortii (c), la chlorophyte Codium bursa; les rhodophytes Bonnemaissonis asparagoides (cc) et Chylocladia verticillata (c). Ces espèces colonisent les surfaces verticales des eboulis et les surfaces horizontales à partir de 15 m jusqu à 33 m (Photo 3-7). On note aussi l abandance de la gorgone blanche Eunicella singularis à partir de 18 m. Photo 3-7. Association des algues hemiphotophyles avec Dictyopteris polipodioides (ercte jaune-marron), Bonnemaisonia aspargoides (rose), Cystoseira sp. (jaune ramifiée à gauche) et Padina pavonica (blanche). Dans quelques photographies apparaient Astroides calycularis (orangé) et le poissons Thalassoma pavo. (La Cathédrale, -20 m). D autres invertebrés sessils sont aussi présents (photo 3-8): les éponges Sarcotragus muscaria (c), S. spinosula (c) Crambe crambe (c) et Cacospongia sp. (r); les cnidaires Astroides calycularis (c), Aiptasia mutabilis (c) et Aglaophenia sp. (cc). Quant à la faune Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 17

22 vagile, on note la présence des echinodermes Ophidiaster ophidianus (c), Echinaster sepositus (c), Paracentrotus lividus (c) et Sphaerechinus granularis (r). Les poissons existant sont les mêmes que ceux de l association des algues photophiles. Photo 3-8. Fond rocheux hemisciaphyle avec les algues brûnes Cystoseira spinosa et Halopteris filicina, l Astroides calycularis et l éponge noire Sarcotragus muscaria. (Zembretta, -25 m). Association des algues sciaphiles en mode calme Représentés principalement par les chlorophytes (photo 3-9) Flavellia petiolata (cc), Halimeda tuna (cc), Palmophyllum crassum (c) et Cladophora pellucida (c); et les rhodophytes Peyssonnelia spp. (cc), Phyllophora nervosa (cc), Osmundaria volubilis (r), Mesophyllum alternans (c) et Lithophyllum stictaeforme (r). Ces algues colonissent les surfaces ombragées des éboulis et les parois verticales et les tombants de la roche, entre 0 et 33 m, et horizontales jusqu à 37 m. Quelques espèces hemi-photophiles y sont présentes, comme Dictyopteris plypodioides (c), Cystoseira spinosa (c), Halopteris filicina (c), Zonaria flava (r) et Codium bursa (c). Photo 3-9. Transition entre le coralligène et les algues sciaphyles, avec Lithophyllum, Peyssonnelia, Halimeda et Flabellia, e l éponge Agelas et l astéridé Hacelia attenuata. (L Antorcho, -39m). Quant à la composition faunistique, on note surtoutb l abondance du madréporaire Astroides calycularis (c), les éponges Agelas oroides (cc) et Crambe crambe (c), et les echinodermes Ophidiaster ophidianus (c), Hacelia attenuata (c), Echinaster sepositus (c), Paracentrotus lividus (c) et Sphaerechinus granularis (c). Quant aux poissons, la girelle Coris julis (cc), le sérran chevrette Serranus cabrilla (c), le mérou noir Epinephelus marginatus (r), la murène Muraena helena (r) et la corb Sciaena umbra (c) sont présents. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 18

23 Dans les secteurs plus ombragés de la surface (L Antorche, La Cathèdrale), les chlorophytes Palmophyllum crassum et Halimeda tuna, et les rhodophytes Peyssonnelia spp. et Lithophyllum stictaeforme sont très abondantes. L Astroides calycularis est de même très abondant Circalittoral Les substrats durs circalittorales autour de Zembra et Zembretta sont bien developpés en profondeur, à partir des 37m sur des surfaces horizontales jusqu à 55 m; et en faveur des surplombs et des grottes jusqu à la surface, particulièrement les falaises des îlots de La Cathèdrale et de L Antorcho et le secteur Capo Grosso et l Anse des Grottes. Au pied des falaises (> 45m), il y a des petits blocs et pierres avec des organisms de substrat dur. Le biocénoses répresentées sont le coralligène de la roche littoral, les grottes semiobscures et les grottes obscures Biocénose du coralligène La biocénose coralligène se trouve pratiquement dans toutes les profondeurs étudiés (0-55 m) sur les tombants, les surplombs, les surfaces plus ombragées des éboulis (enclaves infralittorales) et à partir de 37 m dans les surfaces subhorizontales et horizontales. Elle correspond au coralligène de l horizon inférieur de la roche littorale (Pérès et Picard, 1964). Dans les secteurs arrivant à la base des falaises sous-marines (L Antorcho, Cape Grosso, La Cathèdrale), il y a des petits blocs et des caillous d apparence biogènique, mais il ne sont pas des blocs d origine coraligéne (du plateau) étant donnée que ce sont de grosses pierres recouvertes par des algues calcaires et des éponges Quant aux algues (photo 3-10), on note la dominance des rhodophytes Lithophyllum stictaeforme (cc), Peyssonnelia spp. (cc), Mesophyllum alternans (cc), Palmophyllum crassum (cc), Rhodymenia ardissonei (c) et Osmundaria volubilis (r). On remarque aussi la présence de quelques espèces d algues sciaphiles comme les chlorphytes Codium bursa (c), Flavellia petiolata (c) et Halimeda tuna (c) les phaeophytes Cystoseira zosteroides (c) et Halopteris filicina (c), et la rhodophyte Phyllophora nervosa (r). Dans les enclaves de la surface (0-10m), les algues L. stictaeforme (c), Mesophyllum alternans (cc), Peyssonnelia spp. (cc), Palmophyllum crassum (cc) et Halimeda tuna (c) y sont abondantes avec l Astroides calycularis. Photo Coralligène sur la roche avec les algues Mesophyllum alternans (rose), Peyssonnelia sp. (grenat) et Palmophyllum crassum (vert), les ascidies Pseudodistoma cyrnusense (rose) et Polycitor sp. (gris transparente). (E-Capo grsso, -44 m). Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 19

24 Les espèces qui dominent sont des animaux filtreurs sessiles, comme les éponges Agelas oroides (cc), Aplysilla sulphurea (c), Clathrina clathrus (c), Chondrosia reniformis (r), Crambe crambe (c), Dysidea avara (c), Hemimycale columella (r), Ircinia spp. (c), Oscarella lobularis (c), Petrosia ficiformis (c); les anthozoaires Alcyonium acaule (c), A. corallinum (cc), Caryophyllia sp. (c), Cerianthus membranaceus (r); les polychétes serpulidés Filograna implexa (cc), Protula intestinum (cc), Serpula vermicularis (c); les bryozoaires Adeonella calvetti (cc), Hornera cf. lichenoides (r), Myriapora truncata (c), Pentapora fascialis (c), Sertella septentrionalis (c), Schizomavella sp. (cc) et les ascidies coloniales (fig. 6) Aplidium albicans (cc), A. elegans (c), A. tabarquensis (r), Polycitor sp. (cc), Pseudodistoma cyrnusense (cc), Clavelina dellavallei (c). En profondeur, au-delà de 35 m, on y a observé la gorgone jaune Eunicella cavolini (r). Il faut citer aussi l éponge Axinella cannabina (très rare) L espèce de bryozoaire Myriapora truncata a présenté une densité de 162 colonies/m 2. Pour la faune vagile, on note la présence du nudibranche Discodoris athromaculata (cc) sur l éponge Petrosia ficiformis; les échinodermes Antedon mediterranea (c), Centrostephanus longispinus (c), Echinaster sepositus (c), Hacelia attenuata (r), Ophidiaster ophidianus (r) et Holothuria sanctori (cc); et les poissons Anthias anthias (cc), Coris julis (cc), Epinephelus marginatus (r), Muraena helena (r), Scorpaena notata (cc), Sciaena umbra (c) et Serranus cabrilla (c). Sur les petits blocs et les caillous à la base des falaises (à partir de -45m), la phaeophyte Cystoseira zosteroides (c) y est présente et les rhodophytes Rodriguezella strafforellii (c) y espèces du genre Halymenia (H. floresia, H. latifolia) sont communes. Les gorgoniaires (photo 3-11) sont aussi fréquents: Eunicella singularis (cc), E. cavolini (r) et Leptogorgia sarmentosa (cc), avec les alcyonaires Alcyonium coralloides (cc), le serpulidé Filograna implexa (cc) et quelques exemplaires de Axinella polyploides (r). La gorgone Paramuricea clavata n a pas été toutefois observée. Photo La gorgone jaune-oranger Leptogorgia sarmentosa et la gorgone blanche Eunicella singularis sur des petits blocs organogéniques, avec des girelles (Coris julis). (La Cathédrale, -48 m) Biocénose des grottes semi-obscures Cette biocénose se trouve dans les surplombs et les fentes rocheuses, sous les éboulis entre 0 et -31m, et les surplombs à partir de -37m. Les espèces dominantes sont Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 20

25 animales sessiles, surtout le foraminifère Miniacina miniacea (cc); les éponges Agelas oroides (cc), Axinella damicornis (cc), Aplysilla sulphurea (c), Chondrosia reniformis (c), Clathrina clathrus (cc), Dysidea avara (c), Hemimycale columella (r), Ircinia sp. (c), Oscarella lobularis (c), Petrosia ficiformis (c), Pleraplysilla spinifera (c), Spirastrella cunctatrix (cc); les anthozoaires Caryophyllia inornata (c), Cladopsammia ronaldi (cc), Hoplangia durotrix (r), Leptopsammia pruvotti (c), Madracis phaerensis (c), Parazoanthus axinellae (cc), Polycyathus muellerae (c) (photo 3-12); les polychétes serpulidés Protula intestinum (c) et Serpula vermicularis (c); les bryozaires Bugula sp. (c), Crisia sp. (cc), Hornera sp. (r), Sertella septentrionalis (c); et les ascidies Didemnum lahillei (r) et Pseudodistoma cyrnusense forme massive (c). Dans les enclaves superficiels (L Antorcho, Cathèdrale), l Astroides calycularis est aussi très abondant. La faune vagile est réprensentée par les grandes cigales (Scyllarides latus), et les poissons Apogon imberbis, Sciaena umbra, Tripterygion minor et Odondebuenia sp. Photo Peuplement de paroi de grotte avec les madréporaires Astroides calycularis (oranger), Cladopsammia ronaldi (jaune) et Polycyathus muellerae (grenadine). (L Antorcho,-50 m) Biocénoses des grottes obscures Dans le secteur Nord de la Cathèdrale il y a des tunnels où se trouve cette biocénose. Le peuplement animal s appauvrit progressivement (photo 3-13) avec la présence de quelques éponges blanches (Ircinia sp.) et bleues (Terpios sp.), des hydraires (Aglaophenia sp., Sertella sp.), des anthozoaires (Astroides calycularis, Caryophylllia inornata, Cladopsammia ronaldi), des bryozoaires (Crisia sp.) et des ascidies (Pseudodistoma cyrnusense). Dans les zones plus ombragées, il y a seulement des polychétes serpulidés (Spirorbis) et le foraminifère Miniacina miniacea, avec des roches nues de couleur rose. Photo Fond appauvri des grottes obscures avec Astroides calycularis (en oranger), bryozoaires (en rose) et serpulidés (en points blancs). (La Cathédrale, -11 m). Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 21

26 3.2 Substrats meubles Les fonds meubles autour de Zembra et Zembretta, à l exception des secteurs en surface couverts de cailloux, galets et sable (Anse du Port) à partir 7 m et 21 m. Entre 0 et 40 m, les biocénoses les plus caractéristiques sont représentés per les herbiers de Posidonia oceanica et Cymodocea nodosa et du sable fins. A partir de 30 m, les fonds sont dominés par le détritique côtier Les herbiers à Posidonia oceanica Posidonia oceanica a été observée dans la quasitotalité des transects (excepté à L Antorcho et Capo Grosso), autant sur le sable que sur la roche (photo 3-14). Dans le sable, Posidonia oceanica forme des herbiers très denses, entre -21 et 34 m (limite inférieure franche); pour atteindre la surface dans l Anse du Port. La posidonie colonise aussi les substrats durs (eboulis, roche) en forme de tâches dont la limite supérieure pour atteindre 3 m (Ed-Dahia) et la limite inférieure 32 m (Cathèdrale). Les densités des faisceaux sont élevées, entre 700 f/m 2 (à 15 m) et 150 f/m 2 à la limite inférieure (-34 m). Photo Posidonia oceanica sur la roche. (Ouest de Zembretta, -22 m). Dans l Anse du Port, l algue Caulerpa racemosa s étend jusqu aux mattes de Posidonia (photo 3-15). Dans cet endroit, les feuilles de posidonie sont très épiphytées (algues ectocarpales), notamment dans les zones les plus profondes (jusqu à 17 m). La faune epiphythe est caractérisée par la présence des hydraires Aglaophenia harpago (cc) et Sertularella perpusilla (cc), l actiniaire Bunodeopsis strumosa (cc) et le bryozoaire Lichenopora sp. (c). Photo L algue verte Caulerpa racemosa au côté de la Posidonia. (Face à l Anse du Port, -17 m). Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 22

27 Il importe de noter la présence de quelques individus de Pinna nobilis (c). Un ou deux individus par transect ont été observés particulièrement dans l Anse du Port avec des tailles moyenne et petite (max. 60 cm de longeur). Les poissons y sont abondants avec les labridés (Coris julis, Symphodus cinereus, S. tinca), les sparidés (Diplodus annularis, D. vulgaris, Sarpa sarpa, Spondylosoma cantharus), les serranidés (Serranus scriba), Chromis chromis, Mullus surmuletus et Spicara smaris Sables fins plus ou moins envasés Biocénose des sables fins bien calibrés Cette biocénose est carctérisée par l association de Cymodocea nodosa formant des taches dans quelques endroits en surface, entre 14 et 19 m, notamment dans le secteur SE de Zembra et l Anse du Port et en profondeur, entre -31 et 38 m en face Hank-el-Jemel. Il faut en outre noter la présence de Caulerpa racemosa sur une petite tâche de Cymodocea à 14 m. Il emporte aussi de mentionner la fréquence des poissons rason (Xyrichthys novacula) ainsi que les squelettes de l oursin irrégulier Echinocardium mediterraneun (cc) Biocénose des sables vaseux superficiels de mode calme Cette biocénose est observée autour de l Anse du Port, entre 17 et 25 m de profondeur (photo 3-16), avec la dominance de l association de Cymodocea nodosa. L algue Caulerpa prolifera, caractéristique de ces types de fonds, n a pas été observée. Photo Herbier de Cymodocea nodosa avec quelques faisceaux de Posidonia oceanica. (Face à l Anse du Port, -19 m) Sables grossiers et graviers Biocénose des sables grossiers et des graviers fins Cette biocénose est formée principalement d élements organogènes (tels que les tests calcaires brisés et plus ou moins emoussés d organismes) sous la forme de sable grossier et de gravier fin non vaseux et soumise à l influence des courants de fond. Cette biocénose est présente à partir de 21 m dans l herbier à Posidonia oceanica. Elle peut aussi former des tâches sans végetation erecte. Il faut noter la présence de Caulerpa Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 23

28 racemosa sur ce substrat à Zembretta (-32m). De point de vue faunistique, on note la présence du sabellidé Sabella pavonina Détritique côtier A partir de 32 m, la biocénose des sables grossiers et des graviers fins est remplacée par la biocénose du détritic côtier avec principalement les rhodophytes calcaires Lithothamnion corallioides (r), Lithophyllum minervae (r) et Mesophyllum sp. (c). Quant aux algues molles les phéophytes Arthrocladia villosa (cc), Cystoseira zosteroides (c), C. spinosa (r) et C. ercogovicii f. latirramosa (r); les chlorophytes Codium bursa (cc), Valonia macrophysa (c) et Flavellia petiolata, (c) et les rhodophytes Gigartinales (c) (Halymenia spp., Kallymenia spp.) Pour la faune sessile, on mentionne la présence des anthozoaires Cerianthus membranaceus (c), Eunicella cavolini (r) (photo 3-17), Pteroides spinosum (c) et Veretillum cynomorium (r); les polychétes Filograna implexa (c) et Sabella pavonina (c); et de l ascidie Rhopalaea neapolitana (c). La faune vagile est représentée par les echinodermes: Spatangus purpureus (r), Sphaerechinus granularis (cc), Stylocidaris affinis (r) et Hacelia attenuata (c). Photo La gorgone jaune Eunicella cavolini dans le détritic côtier. (Sud-Est de Zembra, -35 m). Dans le secteur Ouest (Conque de Venus-Pointe du Balancier), il existe un fond détritique (30-40 m) à petites pierres et graviers mineraux mais pas de bioclastes disposés en ripple-marks (très fort hydrodynamisme). La flore est particuliérement pauvre, avec très peu d algues calcaires et d algues erectes (Arthrocladia villosa). Néamoins, cette flore demeure très intéressante marquée par la présence des petits individus (4-6 cm) de l étoile Hacelia attenuata et de l oursin Sphaerechinus granularis. Ce type de fond est aussi dans le secteur Est (Grotte Savino - Hank-el-Jemel présent entre m. Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 24

29 Détritique côtier envasé et sables envasés En face de l Anse du Port, à partir de 36 m, il existe un fond envasé détritique et sableux avec le pennatulacé Veretillum cynomorium (cc) et squelettes des ousins Spatangus purpureus et Echinocardium mediterraneum. 4. CARACTERISATION DES POPULATIONS DE Patella ferruginea 4.1 Répartition par station Il apparaît, à partir de l étude des 11 sites prospectés lors des deux missions, qu une population importante de Patella ferruginea s est maintenue autour des îles de Zembra et de Zembretta. La localisation altitudinale des individus est relativement étroite, ils se situent dans la biocénose du médiolittoral inferieur (ceinture de Ralfsia verrucosa). Dans l étage médiolittoral, nous pouvons rencontrer d autres espèces de Patella, P. rustica (= P. lusitanica) et P. ulyssiponensis (= P. aspera). Elle est marquée aussi pour la plupart des sites prospectés par la présence de Chtamalus stellatus (partie supérieure) plus ou moins abondante, de Dendropoma petraeum (partie inferieure), et des Cystoseira spp. (frange littorale) dans quelques sites, avec un taux de recouvrement assez remarquable sur des fonds rocheux. Les tableaux récapitulatifs des stations sont présentés dans l annexe III. Les résultats des différents sites prospectés par secteur sont présentés dans le tableau 4-1. Une analyse comparative des données avec celles de Boudouresque et al., (1986). Rep. N in. Densité moy, ind./1600cm 2 Intervalle (cm) moyen (cm) N-Anse Grottes Pointe Grottes Anse Khar W-Cathèdrale Conque Venus P. Balancier Ed-Dahia-1* Ed-Dahia G. Savino Hank-el-Jemel* Grotta Savino-1* L Antorcho Zembretta Sud Carrieres Grotte Pingeons* L Antorcho-1* Port* W-Capo Grosso* Tableau 4-1. Analyse comparative (densité et diamètre max.) entre les differentes stations de P. ferruginea dans l Archipel de Zembra-Zembretta (Boudouresque et al., 1986 et le présent travail). Légende: (Rep) répliques; (N ex.) nombre d individus de P. ferruginea; ( ) diamètre maximum (en cm); (*) stations de Boudouresque et al (1986). Rapport global des travaux de prospection de la partie marine du Parc National de Zembra et Zembretta 25

RAPPORT DE LA PREMIÈRE MISSION DE PROSPECTION ( 12-19 OCTOBRE 2002)

RAPPORT DE LA PREMIÈRE MISSION DE PROSPECTION ( 12-19 OCTOBRE 2002) Programme des Nations Unies pour l environnement Plan d Action pour la Méditerranée Centre d Activités Régionales pour les Aires Spécialement Protégées (CAR/ASP) PROJET RÉGIONAL POUR LE DÉVELOPPEMENT D

Plus en détail

CAR/ASP. J. G. Harmelin. J. G. Harmelin. J. G. Harmelin G. Pergent

CAR/ASP. J. G. Harmelin. J. G. Harmelin. J. G. Harmelin G. Pergent Liste de Référence des Types d Habitats Marins pour la sélection des sites à inclure dans les inventaires nationaux de sites naturels d intérêt pour la conservation CAR/ASP G. Pergent Juillet 2006 Avant-propos

Plus en détail

Claire NOEL Directeur Scientifique

Claire NOEL Directeur Scientifique Bureau d é études en océanographie acoustique SEMANTIC TS Sanary (Var) Claire NOEL Directeur Scientifique Docteur Ingénieur Opérateur sonar Capitaine 200 Plongeur PRO - Modélisation - Traitement du signal

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l environnement

Programme des Nations Unies pour l environnement EP Programme des Nations Unies pour l environnement UNEP(DEC)/MED WG.268/3 11 mai 2005 FRANCAIS PLAN D ACTION POUR LA MEDITERRANEE Septième Réunion des Points Focaux Nationaux pour les ASP Séville, 31

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l environnement

Programme des Nations Unies pour l environnement EP Programme des Nations Unies pour l environnement UNEP(DEPI)/MED WG.382/Inf 2 26 Juin 2013 FRANCAIS ORIGINAL: ANGLAIS / FRANCAIS PLAN D'ACTION POUR LA MEDITERRANEE Onzième Réunion des Points Focaux pour

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

Étude Nationale sur la Biodiversité. Algues Marines

Étude Nationale sur la Biodiversité. Algues Marines Étude Nationale sur la Biodiversité Algues arines Les algues marines jouent un rôle primordial dans le maintien de l'équilibre écologique du milieu aquatique. Elle sont les principales responsables de

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

PROGRAMME D ACTION STRATEGIQUE POUR LA CONSERVATION DE LA DIVERSITE BIOLOGIQUE (PAS BIO) EN REGION MEDITERRANEENNE

PROGRAMME D ACTION STRATEGIQUE POUR LA CONSERVATION DE LA DIVERSITE BIOLOGIQUE (PAS BIO) EN REGION MEDITERRANEENNE Programme des Nations Unies pour l Environnement Plan d Action Pour la Méditerranée Centre d Activités Régionales Pour les Aires Spécialement Protégées PROGRAMME D ACTION STRATEGIQUE POUR LA CONSERVATION

Plus en détail

ÉTUDE QUALITATIVE ET QUANTITATIVE DES SALISSURES BIOLOGIQUES DE PLAQUES EXPÉRIMENTALES IMMERGÉES EN PLEINE EAU

ÉTUDE QUALITATIVE ET QUANTITATIVE DES SALISSURES BIOLOGIQUES DE PLAQUES EXPÉRIMENTALES IMMERGÉES EN PLEINE EAU TETHYS 1 (3), 1969 pp 709 714 ( ~~1ol ÉTUDE QUALITATIVE ET QUANTITATIVE DES SALISSURES BIOLOGIQUES DE PLAQUES EXPÉRIMENTALES IMMERGÉES EN PLEINE EAU I. - Conditions de l'expérience par Denise BELLAN.SANTINI,

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009 Les îles Éparses A bord du navire océanographique Marion Dufresne du 16 avril au 15 mai 2009 Mer et Voyages 9 rue notre Dame des Victoire 75002 Paris T : 01 49 26 93 33 F : 01 42 96 29 39 info@mer-et-voyages.com

Plus en détail

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est: Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.

Plus en détail

TOSSA DE MAR ITINÉRAIRES ET PARCOURS

TOSSA DE MAR ITINÉRAIRES ET PARCOURS FR OFICINA DE TURISME OFFICE DE TOURISME MUNICIPAL Avinguda del Pelegrí, 25 - Edifici La Nau 17320 Tossa de Mar Costa Brava Girona Spain Tel. +34 972 340 108 email: info@infotossa.com www.infotossa.com

Plus en détail

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et

Plus en détail

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,

Plus en détail

Collection de photos échantillons

Collection de photos échantillons Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral

Plus en détail

Colonnes de signalisation

Colonnes de signalisation COLONNES LUMINEUSES Ø 7 5 Ø 7 compactes à diodes Avantages : Solution complète prête à être raccordée Faible hauteur de montage Durée de vie des diodes extrêmement longue (au moins 70.000 h) et donc pratiquement

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

CROISIERE ALOR ET LES ILES DE LA SONDE A150517 DU 17 AU 29 MAI 2015 (35 plongées minimum)

CROISIERE ALOR ET LES ILES DE LA SONDE A150517 DU 17 AU 29 MAI 2015 (35 plongées minimum) CROISIERE ALOR ET LES ILES DE LA SONDE A150517 DU 17 AU 29 MAI 2015 (35 plongées minimum) Cette croisière unique de 12 nuits effectue un parcours entre les mers de Flores et de Sawu. C est l occasion de

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Services internes 1. PERSONNES ASSURÉES # 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Cet accord vise tous les résidents canadiens qui reçoivent des services internes dans un établissement

Plus en détail

Institut Français de Recherche pour l Exploitation de la Mer

Institut Français de Recherche pour l Exploitation de la Mer Institut Français de Recherche pour l Exploitation de la Mer DYNamiques de l Environnement COtier - BENTHOS Laboratoire côtier Environnement Ressources de Normandie Anne-Sophie BARNAY avril 2005 Avant-Projet

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

DEGRE DE FAISABILITE : Très simple, relativement rapide et sans grosses contraintes.

DEGRE DE FAISABILITE : Très simple, relativement rapide et sans grosses contraintes. PROTOCOLE «Terre-Nickel» «Opération simple de nettoyage à pieds des déchets sur le littoral terrestre» Rédigé par Michaël Rard Observatoire Marin de La Réunion (Mis à jour le 02/03/2013) OBJECTIFS : -

Plus en détail

- 1320 - Cordonniers, sigans

- 1320 - Cordonniers, sigans click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire

Plus en détail

SVP ISO - Sécurité & Protection

SVP ISO - Sécurité & Protection SVP ISO - Sécurité & Protection ETUDE PRESTATION-FOURNITURE / INDUSTRIE & SECURITE Site web: www.svp-securite.fr - E-mail: svptouati@caramail.com 04, rue LARBI TEBESSI. 31200. Arzew - Oran - Tel / Fax:

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.

Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,

Plus en détail

Réglementation. Organisation de la plongée

Réglementation. Organisation de la plongée Réglementation Organisation de la plongée Préparation du Niveau 3 Dominique STEINMETZ Janvier 2014 Des prérogatives, des droits, des obligations En tant que niveau 3 vous aurez de nouvelles prérogatives

Plus en détail

www.imprimermonlivre.com

www.imprimermonlivre.com 0 www.imprimermonlivre.com Composition d une couverture avec Word L objectif de ce guide est de vous proposer un mode opératoire pour créer une couverture avec Word. Nous vous rappelons toutefois que Word

Plus en détail

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO Version: Mars 2014 Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/-) ECO 1. Introduction e présent document permet de calculer facilement le degré de lumière naturelle pour la demande Minergie-Eco.

Plus en détail

.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base

.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux

Plus en détail

Voile à l école : développer le sens marin

Voile à l école : développer le sens marin Voile à l école : développer le sens marin Météo Activités possibles Sujets d étude Compétences visées Dans le centre nautique Pour et à l école Température Nuages Bulletin météo Différencier la température

Plus en détail

ACCORD DES ADJECTIFS DE COULEUR Exercice d introduction

ACCORD DES ADJECTIFS DE COULEUR Exercice d introduction Exercice d introduction Testons tes connaissances. Sylvain le smiley nous décrit la voiture de ses rêves mais il semble éprouver quelques difficultés à l écrit. Entoure les adjectifs de couleur (il y en

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail

Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1

Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Fête de la science Initiation au traitement des images

Fête de la science Initiation au traitement des images Fête de la science Initiation au traitement des images Détection automatique de plaques minéralogiques à partir d'un téléphone portable et atelier propose de créer un programme informatique pour un téléphone

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales

Plus en détail

SECURIT GSM Version 2

SECURIT GSM Version 2 EOLE informatique SECURIT GSM Version 2 Notice d installation & Guide utilisateur Eole informatique 42 rue Claude Decaen -75012 Paris Tél. 01.43.43.00.97 www.eole-informatique.com 15/03/2006 SOMMAIRE Notice

Plus en détail

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Flow 2 Introduction du Produit

Flow 2 Introduction du Produit Flow 2 Introduction du Produit A Accessibility 2 Flow2 Description des Composants du Siège a. Dossier b. Module de commande avec joystick & LED c. Accoudoirs (pliables) d. Ceinture de sécurité e. Siège

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Commune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007

Commune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements

Plus en détail

La photo numérique. sous-marine. Guide expert. Isabelle et Amar Guillen. Groupe Eyrolles, 2005 ISBN : 2-212-67267-5

La photo numérique. sous-marine. Guide expert. Isabelle et Amar Guillen. Groupe Eyrolles, 2005 ISBN : 2-212-67267-5 La photo numérique sous-marine Guide expert Isabelle et Amar Guillen Groupe Eyrolles, 2005 ISBN : 2-212-67267-5 3 Balance des blancs, phares, filtres sous-marins Dans le chapitre précédent, nous avons

Plus en détail

Consigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers)

Consigne : je remplis le tableau en tenant compte des informations de la ligne supérieure et de la colonne de gauche (droite pour les gauchers) Découverte du monde : traiter deux informations Compétence : Savoir utiliser un tableau à double entrée. Matériel : - un plateau de jeu quadrillé : cinq lignes et cinq colonnes, - quatre pièces "couleur",

Plus en détail

Les Cheminements piétons

Les Cheminements piétons Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail

Plus en détail

RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE

RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE Johanna GRANDA (1), Alain ARNAUD (1) et Azzédine BOUDIAF (2) (1) ALTAMIRA INFORMATION S.L.,

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf. N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES

Plus en détail

BTS Gestion et Protection de la Nature Par apprentissage. La nature vous passionne, faîtes en votre métier!

BTS Gestion et Protection de la Nature Par apprentissage. La nature vous passionne, faîtes en votre métier! BTS Gestion et Protection de la Nature Par apprentissage La nature vous passionne, faîtes en votre métier! Une formation tournée vers l étude, la gestion et la valorisation de la biodiversité 10 h de matières

Plus en détail

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact

Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR

Plus en détail

Cartes de bruit stratégiques

Cartes de bruit stratégiques Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE

AVIS. Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.392 Liège, le 11 avril 2005 Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE Avis du CWEDD

Plus en détail

i7 0 Guide de référence rapide Français Document number: 86141-1 Date: 11-2010

i7 0 Guide de référence rapide Français Document number: 86141-1 Date: 11-2010 i7 0 Guide de référence rapide Français Document number: 86141-1 Date: 11-2010 FRANÇAIS Document number: 86141-1 Date: 02-2011 Commandes d instrument Disposition des commandes et fonctions. Mise en marche

Plus en détail

www.coopman.be Hercules Monte-escalier pour escalier avec des courbes

www.coopman.be Hercules Monte-escalier pour escalier avec des courbes www.coopman.be Hercules Monte-escalier pour escalier avec des courbes amends Flow2 new features:layout 1 7/5/10 14:51 Page 3 BONHEUR Un monde de mobilité et de liberté sur un simple appel. Tout ceci en

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Mobilité du trait de côte et cartographie historique

Mobilité du trait de côte et cartographie historique Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique

Plus en détail

Cadeaux & Publicité 2011-2012

Cadeaux & Publicité 2011-2012 2011-2012 Cadeaux & Publicité Tous les prix affichés sont Hors Taxes, livraison franco. Z.I. Sud - - B.P. 20088 67162 WISSEMBOURG CEDEX Tél. : 03.88.54.24.25 - Fax : 03.88.54.32.50 E-mail : infos@walter-ets.com

Plus en détail

réf. 6517 En plastique argent.

réf. 6517 En plastique argent. 47 6,70 12 CHIFFRES 16.8 x 16.7 x 1.5 cm 2 6,04 5,54 90 6517 Affichage 12 chiffres. Ecran inclinable. Fonctionne à l énergie solaire ou à pile bouton (fournie). Astucieux : Avec 2 marquages (audessusetau

Plus en détail

Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner

Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner Plan d action Gentianella germanica (Willd.) Börner par Corinne Steinbach ERSA s. à r. l. Distribution géographique: Les populations de Gentianella germanica se limitent aux pelouses calcaires du centre-est

Plus en détail

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,

Plus en détail

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte

Plus en détail

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique

Étude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

ACTION PLAN FOR THE CONSERVATION OF THE CORALLIGENOUS AND OTHER CALCAREOUS BIO-CONCRETIONS IN THE MEDITERRANEAN SEA

ACTION PLAN FOR THE CONSERVATION OF THE CORALLIGENOUS AND OTHER CALCAREOUS BIO-CONCRETIONS IN THE MEDITERRANEAN SEA Action plan for the conservation of the oralligenous and other calcareous bio-concretions in the mediterranean sea ACTION PLAN FOR THE CONSERVATION OF THE CORALLIGENOUS AND OTHER CALCAREOUS BIO-CONCRETIONS

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

Comment faire passer un message

Comment faire passer un message Comment faire passer un message 1 Les Outils Pédagogiques Un cours en salle Le tableau Le rétroprojecteur Le matériel à présenter Un cours dans l eau La démonstration La découverte, les jeux L ardoise

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

A I La problématique d érosion à Lacanau. B Bilan de l expérimentation locale. > Site test de LACANAU. C Conclusion & perspectives.

A I La problématique d érosion à Lacanau. B Bilan de l expérimentation locale. > Site test de LACANAU. C Conclusion & perspectives. A I La problématique d érosion à Lacanau B Bilan de l expérimentation locale > Site test de LACANAU C Conclusion & perspectives Sommaire A La problématique d érosion à Lacanau / A / 1 Constat 1976 100

Plus en détail

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012

Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012 Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution

Plus en détail

Utilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par

Plus en détail

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces

Comptes des changements de la biodiversité des systèmes et des espèces ATELIER INFRAREGIONAL POUR LA REGION DE L AFRIQUE DE L OUEST SUBSAHARIENNE SUR L ÉVALUATION ET LES MESURES INCITATIVES Ouagadougou, Burkina Faso, 14 17 Mai 2013 COMPTABILITÉ DE L ENVIRONNEMENT ET DES ÉCOSYSTÈMES

Plus en détail

INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST. Le positionnement des bâtiments

INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST. Le positionnement des bâtiments 23B Grange étable située au 18 21, rang des Lacs, Notre Dame des Monts. Patri Arch, 2011 INVENTAIRE DES BÂTIMENTS AGRICOLES DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST Le positionnement des bâtiments Décembre 2011 Le

Plus en détail