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1 1 sur 6 02/10/ :37 Céline Arnold, division Logement, Insee Au 1 er janvier 2018, la France hors Mayotte compte 36,3 millions de logements. En France métropolitaine, 82 % des logements sont des résidences principales et 56 % des logements individuels. L'unité urbaine de Paris rassemble 16 % des résidences principales, et les communes rurales, 41 % des résidences secondaires. Dans les départements d outre-mer, le parc de logements augmente plus vite qu en métropole, de l'ordre de 2,5 % en moyenne par an depuis trente ans, contre 1,1 % en métropole. Au 1 er janvier 2018, la France métropolitaine compte 35,4 millions de logements (figure 1 ; sources). Depuis trente ans, le parc s accroît de 1,1 % par an en moyenne. Aujourd hui, sur 100 logements, 82 sont des résidences principales, 10 sont des résidences secondaires ou des logements occasionnels, et 8 sont des logements vacants. Le nombre de résidences principales s établit à 29,0 millions. Il a crû à un rythme un peu plus élevé que l ensemble du parc depuis le début des années 1990 jusqu au milieu des années 2000 (figure 2). Depuis, il suit une progression annuelle moyenne d environ 0,8 %. La part des résidences secondaires et logements occasionnels est légèrement moins élevée en 2018 qu il y a trente ans, tandis que celle des logements vacants est un peu plus élevée. Cette dernière a d abord diminué lentement, descendant jusqu à 6 % en 2006, avant de remonter ensuite. Depuis 2006, le nombre de logements vacants s'accroît dans l'ensemble des unités urbaines, mais de façon plus contenue dans celle de Paris. Cette hausse concerne à la fois les logements individuels et collectifs. Néanmoins, elle est un peu moins soutenue sur les dernières années. En 2018, l habitat individuel représente 56 % des logements : il est majoritaire parmi les résidences principales comme parmi les résidences secondaires et les logements occasionnels. Après avoir progressé entre 1999 et 2008, sa part recule légèrement car le nombre de logements collectifs augmente plus vite que celui des logements individuels (figure 3) du fait des évolutions récentes de la construction neuve. Depuis 2013, les logements achevés dans l'année sont en effet plus nombreux dans le collectif que dans l'individuel, alors que leurs niveaux étaient proches les années précédentes et que c'était l'inverse jusqu en 2008.

2 logements ,1 Résidences principales , ,9 1,1 Résidences secondaires et logements occasionnels , ,7 0,9 Logements vacants , ,4 1,6 logements de France métropolitaine ,1 Résidences principales , ,9 1,1 Résidences secondaires et logements occasionnels , ,8 0,9 Logements vacants , ,3 1,5 logements des DOM ,5 Résidences principales , ,4 2,4 Résidences secondaires et logements occasionnels 21 4,7 44 4,7 2,5 Logements vacants 41 9, ,9 3,6 Champ : France, hors Mayotte. logements Résidences principales Résidences secondaires et logements occasionnels Logements vacants en % Note : évolution annuelle, moyenne quinquennale. 2 sur 6 02/10/ :37

3 logements Logements individuels Logements collectifs en % 1,4 1,2 1,0 0,8 0,6 0,4 0,2 0, Note : évolution annuelle, moyenne quinquennale. En 2018, 16 % des résidences principales se situent dans l unité urbaine de Paris et 21 % dans une commune rurale (figure 4). Ces proportions ont légèrement diminué en trente ans au profit des unités urbaines autres que Paris. Les résidences secondaires ou logements occasionnels se situent bien plus souvent dans une commune rurale ou dans une petite unité urbaine (moins de habitants) : quatre cas sur cinq contre seulement la moitié des résidences principales. Toutefois, la part du rural a diminué depuis trente ans (41 % en 2018 contre 50 % en 1987) alors que celle des petites unités urbaines s'est accrue (de 33 % à 39 %) avec l urbanisation. Enfin, la majorité des logements vacants se situent dans une commune rurale ou dans une petite unité urbaine (60 % en 2018). L'habitat individuel est d'autant plus fréquent que la commune est petite, et ce pour toutes les catégories de logements (résidence principale ou autre). Toutefois, la part de l habitat collectif dans l ensemble des logements pour chaque type de commune est toujours plus élevée parmi les résidences secondaires et les logements vacants que parmi les résidences principales. 3 sur 6 02/10/ :37

4 4 sur 6 02/10/ :37 logements ,0 100,0 100,0 100,0 Individuel ,8 56,5 55,6 48,7 Collectif ,2 43,5 44,4 51,3 Communes rurales ,4 21,2 40,9 24,9 Individuel ,9 19,6 31,6 21,7 Collectif ,5 1,6 9,3 3,2 Unités urbaines de moins de habitants ,6 31,5 39,3 35,3 Individuel ,6 20,8 20,3 17,9 Collectif ,0 10,7 19,0 17,4 Unités urbaines de habitants ou plus ,2 31,2 14,2 28,0 Individuel ,1 12,4 3,3 7,3 Collectif ,1 18,8 10,9 20,7 Unité urbaine de Paris ,7 16,1 5,5 11,7 Individuel ,1 3,6 0,4 1,7 Collectif ,6 12,5 5,1 10,0 En 2018, 58 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale (figure 5). Cette part n a cessé de croître depuis les années 1980 jusqu en 2010, mais depuis, elle est restée stable. Parmi les propriétaires, environ un tiers sont accédants, c est-à-dire qu ils n ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l achat du logement. La part d accédants à la propriété a fortement augmenté dans les années 1980 avant de baisser jusqu'au milieu des années Elle est stable depuis. La part des propriétaires sans charges de remboursement croît en partie sous l effet du vieillissement de la population. En trente ans, elle est passée de 28 % à 38 % des ménages. Conjointement, la proportion des ménages logés gratuitement a baissé et celle des ménages locataires de leur résidence principale a légèrement diminué dans les années 1980 et se maintient depuis aux alentours de 40 %. La part des bailleurs publics a augmenté jusqu'au milieu des années 1990, puis s'est maintenue. Dans le parc locatif, les parts respectives des bailleurs publics et privés atteignent 17 % et 23 % des résidences principales en 2018.

5 en % Propriétaires Locataires Logés gratuitement Note : les bailleurs publics regroupent les bailleurs HLM, les autres bailleurs sociaux tels que les sociétés d'économie mixte (SEM), l'état, les collectivités locales et les établissements publics. Les bailleurs privés regroupent les ménages propriétaires bailleurs et les bailleurs autres personnes morales (associations, mutuelles, banques, sociétés d'assurance, sociétés immobilières, etc.). Dans les départements d outre-mer (DOM) hors Mayotte, le parc total des logements augmente plus rapidement qu en métropole : + 2,5 % par an, en moyenne, entre le début des années 1980 et la fin des années 1990, puis aux alentours de + 2,2 % par an jusqu en En 2018, 82 % des logements sont des résidences principales, 5 % des résidences secondaires ou occasionnelles et 13 % des logements vacants (figure 1). Le nombre de résidences principales s accroît un peu moins vite que l'ensemble du parc depuis L habitat individuel représente plus des deux tiers de l ensemble des logements ultramarins. Il reste majoritaire quel que soit le type de logement, même si sa part baisse lentement depuis trente ans. Les estimations annuelles du parc de logements (EAPL) font la synthèse et la mise en cohérence de plusieurs sources, la principale étant le recensement de la population, dont les dernières données disponibles sont relatives au 1 er janvier En France métropolitaine, l'estimation s appuie également sur d'autres sources, notamment les fichiers de la taxe d habitation, le répertoire de gestion du recensement (répertoire d'immeubles localisés) et l enquête Logement de l'insee (dernière en date : 2013). Pour les DOM, l estimation est principalement réalisée à l'aide du recensement et des enquêtes Logement de 2006 et Les données relatives aux trois dernières années (2016, 2017 et 2018) sont provisoires et seront révisées chaque année jusqu à ce qu un chiffrage définitif soit établi par le recensement. Bailleurs publics : organismes d habitation à loyer modéré (HLM), société d économie mixte (SEM), État, collectivités locales et établissements publics. 5 sur 6 02/10/ :37

6 6 sur 6 02/10/ :37 Bailleurs privés : ménages propriétaires bailleurs, autres bailleurs personnes morales (associations, mutuelles, banques, sociétés d'assurance, sociétés immobilières, etc.). Service de la donnée et des études statistiques (SDES) - ministère de la Transition écologique et solidaire, «Compte du logement Rapport de la Commission des comptes du logement», n 40, juillet Arnold C., «Le parc de logements en France au 1er janvier 2017», n 103, décembre Vallès V., « logements supplémentaires chaque année entre 2010 et La vacance résidentielle s accentue», n 1700, juin «Les conditions de logement en France»,, édition 2017.

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