Performance des grands groupes bancaires français au 31 décembre 2011

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1 Performance des grands groupes bancaires français au 31 décembre 2011 Vendredi 2 mars 2012 Sommaire : Introduction > Une année marquée par des éléments non récurrents > Une dynamique commerciale soutenue pour la banque de détail > Des revenus en baisse pour la banque de financement et d'investissement > Remarque liminaire : Comme indiqué à la fin de ce document («Méthodologie de l'analyse»), l'objectif de cette publication est de présenter, sur la base des communiqués trimestriels et des slides investisseurs publiés, les principaux indicateurs de performance des quatre grands groupes bancaires français (BNP Paribas, Société Générale, BPCE, Crédit Agricole S.A) et d'apporter des commentaires sur les évènements significatifs de l'exercice et l'information financière associée. Introduction Dans un contexte économique perturbé et incertain, fortement affecté par la crise de la zone euro, les quatre principaux groupes bancaires français ont vu leurs résultats nets annuels diminuer de 37,3% avec un repli de plus de 7 milliards d'euros par rapport à En effet, la défiance des investisseurs, les risques souverains, la chute des marchés actions, les tensions sur la liquidité et le renforcement des exigences de solvabilité par l'autorité Bancaire Européenne ont fortement impacté le paysage bancaire en La baisse des revenus générés par les activités de la banque de financement et d'investissement et par les métiers de gestion d'actifs, affectés par la situation très défavorable des marchés financiers, a été compensée par une bonne performance des réseaux bancaires et des métiers de financements spécialisés de la banque de détail qui, dans l'ensemble, enregistrent une croissance de leurs revenus, tant en France qu'à l'international. Des revenus stables pour les métiers de l'épargne > Un coût du risque contrasté > Renforcement des fonds propres > Impacts du plan européen de soutien à la rèce > Exposition en baisse sur les souverains GIIPE > Des transformations accélérées > Méthodologie de l'analyse > Contact : Fabrice Odent Associé Responsable du Département Services financiers

2 Source des données : communiqués de presse et slides investisseurs au 31 décembre 2011 A noter qu'à l'exception de ce premier graphique présentant le produit net bancaire et le résultat net du Groupe Crédit Agricole, les graphiques suivants présentent une information se rapportant au groupe Crédit Agricole SA dans lequel les Caisses Régionales sont mises en équivalence à hauteur de 25% et non du Groupe Crédit Agricole qui les intègre à 100% (le communiqué de presse du 23 février 2012 présentant les résultats 2011 de groupe Crédit Agricole SA). Avec une baisse générale de leurs revenus limitée à 0,8 % (- 1,3 milliard d'euros par rapport à 2010), les groupes bancaires français ont confirmé la solidité de leur modèle de banque universelle : ils ont démontré à la fois leur capacité de rebond et d'adaptation dans un environnement particulièrement complexe marqué par la crise économique et l'introduction de changements règlementaires majeurs, et la robustesse de leurs activités récurrentes qui leur a permis de faire face à des éléments exceptionnels significatifs. Une année marquée par des éléments non récurrents Malgré un environnement macroéconomique fortement dégradé en 2011, les réseaux bancaires et les métiers de financements spécialisés de la banque de détail, ont enregistré de bonnes performances commerciales et financières, générant ainsi plus de la moitié des revenus globaux, avec des proportions qui atteignent respectivement 52% chez Crédit Agricole SA (72% pour Groupe Crédit Agricole), 55% chez BNP Paribas, 65% à la Société Générale et jusqu'à 70% chez BPCE. Source des données :communiqués de presse et slides investisseurs au 31 décembre 2011 Note (1) : A des fins de comparabilité, le pôle «banque de détail» de BPCE a été retraité et intègre les services financiers spécialisés.

3 Alors que les revenus des activités récurrentes ont fait preuve de résilience, des éléments non-récurrents tels que le coût du risque sur la dette souveraine grecque, la réévaluation de la dette liée au risque de crédit propre, des dépréciations d'écarts d'acquisition et de participation ou encore de nouvelles taxes bancaires ont fortement pesé sur les résultats dégagés en Ces éléments ont été le plus souvent affectés au pôle «hors métiers». Les incertitudes liées au plan de sauvetage de la Grèce ont conduit les quatre groupes français à provisionner leurs expositions sur les titres souverains grecs à hauteur de 70 à 75% (la décote s'élevant respectivement à 70% chez BPCE, 74% dans le groupe Crédit Agricole SA et 75% pour BNP Paribas et Société Générale). Classé au niveau de la ligne «hors métier» dans les comptes de BNP Paribas et de la Société Générale, le risque souverain grec a impacté le résultat de la banque de détail et de la banque de financement et d'investissement dans le groupe BPCE, et celui de la banque de détail et des métiers de l'assurance dans le groupe Crédit Agricole SA. Par ailleurs, de nouvelles taxes bancaires dites «systémiques» instaurées en 2011 ont également impacté les résultats dégagés par les banques. BNP Paribas, Société Générale et BPCE ont communiqué sur le mode de comptabilisation de ces taxes : répercutées au niveau de tous les métiers de BNP Paribas, ces taxes ont été rattachées à la banque de détail dans le groupe BPCE et au pôle «hors métiers» dans les comptes de la Société Générale. Enfin, la réévaluation des dettes liées au risque de crédit propre de BNP Paribas ( millions d'euros en 2011 contre +95 millions d'euros en 2010), de la Société Générale ( millions d'euros en 2011 contre +427 milions d'euros en 2010), du groupe Crédit Agricole SA (+617 millions d'euros en 2011 contre -33 millions d'euros en 2010) et de BPCE (+154 millions d'euros en 2011 contre +45 millions d'euros en 2010) a contribué positivement à la hausse des revenus générés par la ligne «hors métiers». Une dynamique commerciale soutenue pour la banque de détail Malgré la crise de la zone euro qui a pesé sur la confiance des entreprises et des épargnants, le dynamisme commercial des réseaux bancaires et des métiers de financements spécialisés de la banque de détail a permis aux banques de générer des revenus annuels en hausse de 581 millions d'euros par rapport à l'année En France, l'activité de clientèle commerciale a bénéficié de mesures concrètes visant à améliorer la satisfaction des clients existants et à développer les fonds de commerce au travers de la conquête de nouveaux clients. A cette fin, des actions commerciales ciblées ont été mises en œuvre par l'ensemble des réseaux. A titre d'illustration : la Société Générale a équipé ses principales agences de bornes «ipad» en vue d'améliorer l'accueil de ses clients, BNP Paribas a cherché à améliorer son dispositif de relation avec sa clientèle avec l'ouverture de 46 «Maisons des Entrepreneurs» et le lancement de l'offre BNP Paribas Mobile, le Crédit Agricole SA a renforcé son offre commerciale sur le marché des étudiants, le groupe BPCE a, quant à lui, investi dans de nouvelles campagnes

4 publicitaires correspondant à de nouveaux territoires de marque («La Banque qui donne envie d'agir» pour les Banques Populaires et «La Banque. Nouvelle Définition» pour les Caisses d'epargne). Grâce à une forte mobilisation des réseaux au service de leurs clients, les métiers de banque de détail ont réalisé de très bonnes performances commerciales illustrées par la croissance des volumes de dépôts et de crédits. En effet, l'environnement de marché a permis aux encours de dépôts de la clientèle de progresser en moyenne de 6,9% par rapport à 2010, cette progression de la collecte résultant à la fois de la forte dynamique des livrets et de l'augmentation soutenue des comptes à terme, en particulier chez les professionnels et les entreprises. Par ailleurs, avec une croissance annuelle de 5,6% des encours de crédits, les banques ont à nouveau confirmé leur engagement auprès de leur clientèle et de l'économie française. Exceptions faites de la Grèce et de la Roumanie, les réseaux internationaux ont continué à se développer à un rythme soutenu, générant des revenus stables malgré une conjoncture difficile. Dans ce cadre, les fonds de commerce de la Société Générale se sont renforcés dans le bassin méditerranéen et en Afrique sub-saharienne, avec l'ouverture de 112 agences nouvelles en 2011, reflétant par ailleurs la normalisation progressive de l'activité après les événements politiques ayant touché certains pays de cette zone en début d'année. De même, BNP Paribas a poursuivi l'amélioration de son dispositif de relation clientèle avec l'ouverture en Italie de 27 nouvelles agences et de 19 «Maisons des Entrepreneurs». Enfin, le groupe Crédit Agricole SA a intégré dans son réseau italien Carispezia et les 96 agences acquises auprès d'intesa Sanpaolo. La dégradation de la situation grecque a conduit les groupes Société Générale et Crédit Agricole SA à renforcer le caractère strict de leurs principes de gestion dans l'octroi et le provisionnement des crédits, mais également à mettre en œuvre des mesures d'ajustement visant à restructurer l'organisation de leurs filiales Emporiki (Crédit Agricole SA) et Geniki (Société Générale) : départ de 196 personnes et fermeture de 13 agences pour la Société Générale et 610 départs de personnes pour le groupe Crédit Agricole SA. Dans une conjoncture fortement dégradée en Grèce, les résultats d'emporiki ont également été affectés par la dépréciation comptabilisée dans ses comptes de la dette souveraine grecque à hauteur de 246 millions d'euros à laquelle se sont ajoutées des dépréciations complémentaires de l'écart d'acquisition résiduel et du stock d'impôts différés actifs. Des mesures ont été prises par le groupe Crédit Agricole SA pour permettre à Emporiki d'augmenter ses ressources propres et de réduire ainsi le niveau de refinancement par sa maison-mère, celuici ayant diminué de moitié en 9 mois (5,5 milliards d'euros au 31 décembre 2011).

5 Des revenus en baisse pour la banque de financement et d'investissement En 2011, l'activité de la banque de financement et d'investissement s'est déroulée dans un environnement fortement dégradé, avec un second semestre marqué par des marchés financiers sous forte tension. Les fortes incertitudes, l'aversion au risque des investisseurs, la tension sur la liquidité dans un contexte de renforcement des exigences réglementaires se sont traduites par une réduction progressive de l'activité et un repli des revenus dégagés sur l'exercice ( millions d'euros par rapport au 31 décembre 2010). Confrontés à un environnement adverse, les revenus des activités de marché ont diminué de 17% ( millions d euros), cette baisse ayant impacté à la fois le pôle Fixed Income et les métiers Actions. En effet, malgré la bonne performance des activités de trésorerie et des produits structurés, les revenus du métier Fixed Income ont été affectés par le recul des activités de tenue de marché sur obligations d'entreprises et d'institutions financières, en raison d'une moindre activité et d'une forte volatilité sur les marchés liées aux inquiétudes sur la zone euro. Bénéficiant d'un bon début d'année sur les produits de flux et les produits structurés, la baisse des revenus générés par le pôle Actions a été maitrisée au premier semestre. Néanmoins, au second semestre, les conditions de marché défavorables (chute des indices boursiers, volatilité élevée, hausse de la corrélation, faibles volumes) et les ajustements des positions court terme ont pesé sur les résultats de cette activité. Dans un contexte de baisse du dollar et d'ajustement de l'activité d'origination, les revenus des métiers de financement ont affiché une baisse de 10% sur l'année, soit un repli de millions d euros. Les activités de financements structurés ont toutefois été résilientes grâce aux financements de ressources naturelles et aux financements d'exportations et d'infrastructures en Europe. Pour faire face à la crise des marchés financiers, tous les groupes bancaires ont mis en place des mesures visant à réduire leur consommation de ressources rares (baisse de leurs besoins de refinancement, notamment en dollars, réduction des expositions aux actifs gérés en extinction, plans de réduction des coûts). Ainsi, BNP Paribas et Société Générale ont réduit leurs besoins de financement de manière significative : 57 milliards de dollars chez BNP Paribas et 55 milliards de dollars pour la Société Générale. Outre la réduction de leurs besoins de financement en dollars, les deux groupes ont mis en place en 2011 des plans d'adaptation dont les coûts se sont élevés respectivement à 215 millions d'euros (Société Générale) et 184 millions d'euros (BNP Paribas). Ces plans doivent se poursuivre en 2012 afin de permettre aux établissements de finaliser leurs plans d'adaptation et de mettre en œuvre un modèle plus «désintermédié» pour accompagner leus clients dans le cadre des nouvelles réglementations. De même, le groupe Crédit Agricole SA a annoncé en décembre la mise en œuvre d'un plan d'adaptation fondé sur une rationalisation des portefeuilles d'activités recentrées sur la distribution et le service aux grands clients et la sortie des activités de dérivés actions et de trading de commodities, auquel s'est ajouté un plan de

6 désendettement de 50 milliards d'euros sur 18 mois. L'impact de ce plan d'adaptation a contribué au repli des résultats dégagés par les activités de la banque de financement et d'investissement à hauteur de millions d'euros (comprenant 336 millions d'euros au titre des restructurations et millions d'euros au titre des dépréciations d'écarts d'acquisitions). La banque de financement et d'investissement du groupe Crédit Agricole SA a réduit de 11,6 milliards ses besoins de financement en dollars. Tout en ayant renforcé le recentrage sur ses clients avec le développement du modèle «originate to distribute» et la montée en puissance de la plate-forme de dettes, Natixis (BPCE) a réduit ses besoins de liquidité de 14,6 milliards d'euros, la taille de bilan de Natixis en dollars ayant diminué de 58 milliards au 30 juin 2011 à 51 milliards de dollars au 31 décembre Des revenus stables pour les métiers de l'épargne Dans un environnement peu favorable à l'épargne financière, le produit net bancaire du pôle s'est maintenu à un niveau stable, à millions d'euros, en progression de 3% par rapport à 2010 grâce à une activité commerciale soutenue qui a permis de limiter l'impact de la baisse des actifs : élargissement de l'offre produits et développement du collatéral management dans le groupe Crédit Agricole SA, développement de la plate-forme de distribution NGAM de Natixis (BPCE) aux Etats-Unis et en Asie, gains de nouveaux mandats dans les groupes Société Générale et BNP Paribas. Un coût du risque contrasté Avant retraitement des charges liées à la Grèce, l'analyse des évolutions du coût du risque par établissement montre une situation contrastée : en baisse dans les groupes Société Générale (-21%) et BNP Paribas (-25,9%), il est en progression chez BPCE (+11,7%) et au Crédit Agricole SA (+11%). Bien maîtrisé tout au long de l'année chez BPCE, le coût du risque a enregistré une hausse de 11,7%, essentiellement imputable à une progression enregistrée dans les activités de banque commerciale et d'assurance. De même, après plusieurs trimestres marqués par un coût du risque très faible dans le groupe Crédit Agricole SA, des dotations individuelles ont été enregistrées au 4ème trimestre dans la banque de financement et d'investissement, se traduisant par une progression de 11% du coût du risque. Fort de l'amélioration de l'environnement économique aux USA, le coût du risque de BNP Paribas, a poursuivi la forte décrue amorcée en 2010 par sa filiale BancWest, à laquelle s'est ajouté le repli de la charge du risque constaté à la fois dans les activités de banque de détail et de banque de financement et d'investissement. Enfin, malgré un renforcement des provisions sur base portefeuille de la banque de financement et d'investissement du groupe Société Générale, le coût du risque global est en retrait de 21% par rapport à 2010 en raison de l'amélioration générale observée au niveau de la banque de détail.

7 Renforcement des fonds propres Malgré un environnement difficile et des résultats en baisse, les quatre groupes bancaires français ont renforcé leurs fonds propres et amélioré leur ratio Core Tier 1. Au 31 décembre 2011, le ratio de Core Tier 1 moyen s'élève à 9,1%, en hausse de 0,5% par rapport au 31 décembre Rappelons que le ratio «common equity Tier 1» Bâle 2.5, qui inclut le régime de la directive européenne «CRD 3», est entré en vigueur au 31 décembre Source des données : communiqués de presse et slides investisseurs au 31 décembre 2011 Ratios selon le référentiel réglementaire en vigueur en date d'arrêté sauf exception : - Ratio de Core Tier 1 SG 31/12/11 : ratio en application des exigences de la CRD 3 et de l'eba. - Ratio de Core Tier 1 BPCE 31/12/11 : ratio hors effet floor. Cette évolution du Core Tier 1 souligne l'effort engagé par les banques tant au niveau de la gestion de leurs encours pondérés qu'au niveau du renforcement de leurs fonds propres avec la mise en réserve de la majorité de leurs résultats : taux de distribution respectifs de 24% et 25% annoncés par BNP Paribas et Natixis (BPCE), payable au choix en numéraire ou en actions chez BNP Paribas, et payable en numéraire chez Natixis, décisions de la Société Générale et du Crédit Agricole SA de ne distribuer aucun dividende au titre de l'exercice Les efforts engagés par les banques pour renforcer leurs fonds propres et diminuer leurs encours pondérés devraient leur permettre de respecter le ratio Core Tier 1 Bâle 2.5 déterminé selon la méthodologie de l'autorité Bancaire Européenne qui impose aux établissements financiers de respecter un ratio minimum Core Tier 1 Bâle 2.5 de 9% au 30 juin Le ratio EBA inclut un impact reflétant les valeurs de marché des dettes souveraines à fin septembre Tandis que BNP Paribas et Société Générale ont annoncé, dès le 31 décembre 2011, se conformer aux nouvelles exigences de l'eba avec 6 mois d'avance en affichant des ratios de Core Tier 1 estimés respectivement à 9,2% et 9%, BPCE a au cours du dernier trimestre 2011 ramené ses besoins en fonds propres pour le 30 juin 2012 de 3,7 milliards à 0,7 milliard d'euros.

8 Impacts du plan européen de soutien à la Grèce Les incertitudes liées au plan de sauvetage de la Grèse ont conduit les quatre groupes français à intégrer dans leurs résultats une provision par rapport au nominal sur leurs titres d'etat grec : alors que BNP Paribas et Société Générale ont décoté leurs titres grecs à hauteur de 75%, cette décote atteint respectivement à 74% et 70% dans les comptes du Crédit Agricole SA et de BPCE. Ainsi, l'impact du plan européen de soutien à la Grèce atteint millions d'euros pour l'ensemble des quatre groupes ventilés comme suit : Source des données : communiqués de presse et slides investisseurs au 31 décembre 2011 Enregistrée au niveau des métiers dans les groupes Crédit Agricole SA (banque de détail et assurance) et BPCE (banque de détail et banque de financement et d'investissement), cette dépréciation a été comptabilisée en «hors pôle» dans les comptes de BNP Paribas et Société Générale. Exposition en baisse sur les souverains GIIPE L'année 2011 a été caractérisée par un contexte de marché difficile lié à la crise brutale de confiance sur la dette souveraine des États périphériques européens. Au 31 décembre 2011, tous les groupes de l'échantillon ont communiqué leurs expositions consolidées sur les souverains GIIPE (Grèce, Italie, Irlande, Portugal, Espagne) sous forme d'une mise à jour des expositions souveraines publiées à l'occasion des stress tests de l'eba. Le graphique ci-dessous présente l'exposition résiduelle au 31 décembre 2011 des quatre groupes bancaires français au risque de crédit sur les Etats GIIPE. L'ensemble des établissements ont fortement réduit leurs encours de dettes souveraines. Dans ce cadre, le groupe BNP Paribas a annoncé avoir réalisé une perte de 872 millions d'euros.

9 Dans ce cadre, en 2011, l'ensemble des groupes ont réalisé plus de 100% de leur programme d'émissions sur les marchés. Par ailleurs, dans le but d'éviter toute dépendance à un type particulier de clientèle ou de marché, les groupes ont mis l'accent sur la diversification des sources de financement. Enfin, compte tenu de la réduction des besoins de financement liés aux plans d'adaptation mis en œuvre en 2011, les programmes d'émission à moyen et long terme au titre de 2012 ont été revus à la baisse par rapport à 2011, tous les groupes ayant par ailleurs commencé à les réaliser dès le début de l'année Source des données : communiqués de presse et slides investisseurs au 31 décembre 2011 Des transformations accélérées Dans un environnement complexe et peu favorable, les groupes bancaires ont fait preuve d'une grande réactivité pour s'adapter aux nouvelles contraintes en capital et liquidité, à préserver la capacité bénéficiaire de leurs métiers avec une gestion très stricte des risques et des coûts, tout en mettant l'accent sur l'optimisation des bilans et la contraction des besoins de financement. Ainsi, grâce à la réduction des besoins de financement en dollars particulièrement concentrée sur les activités de la banque de financement et d'investissement avec la réduction des positions de marché, la vente d'une part significative du portefeuille d'actifs gérés en extinction et l'arrêt de certaines activités consommatrices de liquidité en dollars, les banques ont bien résisté à la raréfaction de la liquidité en dollars américains. Par ailleurs, BNP Paribas et Société Générale ont annoncé que le total de leurs ressources stables, en progression sur l'exercice, couvraient désormais leurs emplois longs terme, reflet de la mise en marche vers le contexte réglementaire (Bâle 3). Parallèlement aux efforts de réduction de leurs besoins de liquidité, les quatre principaux groupes bancaires français ont continué à mettre en œuvre les moyens nécessaires pour améliorer leur situation de liquidité existante grâce notamment à une croissance de leur base de dépôts, leurs réserves d'actifs éligibles auprès des banques centrales, leur capacité de sécuriser des émissions par des crédits immobiliers de qualité et la variété de leurs investisseurs.

10 Ainsi, les mesures prises et mises en œuvre au cours de l'année 2011 ont permis aux banques de s'armer efficacement pour relever les défis d'une année 2012 encore incertaine. Méthodologie de l analyse KPMG a réalisé une analyse comparative des communiqués de presse et des slides investisseurs des principaux groupes bancaires français publiés au 31 décembre 2011 : BNP Paribas, Société Générale, BPCE et Crédit Agricole S.A. Ces communiqués ont été publiés par les groupes bancaires aux dates suivantes : - 15 février 2012 : BNP Paribas - 17 février 2012 : Société Générale - 23 février 2012 : BPCE et Groupe Crédit Agricole S.A. A noter qu'à l'exception du premier graphique présentant le produit net bancaire et le résultat net, l'étude a porté sur le groupe Crédit Agricole S.A. dans lequel les Caisses Régionales sont mises en équivalence à hauteur de 25 % et non du groupe Crédit Agricole qui les intègre à 100 % (le communiqué de presse du 23 février analysant le groupe Crédit Agricole S.A). Par soucis de comparabilité, le pôle «banque de détail» de BPCE a été retraité et intègre les services financiers spécialisés KPMG S.A., société anonyme d'expertise comptable et de commissariat aux comptes, membre français du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative, une entité de droit suisse. Tous droits réservés. Le nom KPMG, le logo et «cutting through complexity» sont des marques déposées ou des marques de KPMG International. Les informations contenues dans ce document sont d'ordre général et ne sont pas destinées à traiter les particularités d'une personne ou d'une entité. Bien que nous fassions tout notre possible pour fournir des informations exactes et appropriées, nous ne pouvons garantir que ces informations seront toujours exactes à une date ultérieure. Elles ne peuvent ni ne doivent servir de support à des décisions sans validation par les professionnels ad hoc. KPMG S.A. est une société anonyme d'expertise comptable et de commissariat aux comptes à directoire et conseil de surveillance au capital social de euros RCS Nanterre. Siège social : Immeuble Le Palatin, 3 cours du Triangle, Paris La Défense Cedex. KPMG S.A. est membre du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative («KPMG International»), une entité de droit suisse. KPMG International ne propose pas de services aux clients. Aucun cabinet membre n'a le droit d'engager KPMG International ou les autres cabinets membres vis-à-vis des tiers. KPMG International n'a le droit d'engager aucun cabinet membre.

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