RAPPORT DE MISSION A KINDIA. DU 1er AU 14 MARS 2014 CHLORATION DE SOURCES AMENAGEES, CAPTAGE DE SOURCES, QUALITE DE L'EAU SOUTERRAINE.

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1 RAPPORT DE MISSION A KINDIA DU 1er AU 14 MARS 2014 CHLORATION DE SOURCES AMENAGEES, CAPTAGE DE SOURCES, QUALITE DE L'EAU SOUTERRAINE. Source aménagée de Koukou 2 Daniel KRIER

2 SOMMAIRE INTRODUCTION... 2 PLANNING DE LA MISSION... 3 I. MODIFICATIONS TECHNIQUES APPORTEES AU DCM... 4 II. INSTALLATION, ESSAIS ET REGLAGES A KOUKOU... 7 Calcul de la dose de chlore, Eau de Javel, Sûr'Eau, break-point... 8 Calcul du débit de la perfusion... 9 Page III. POINTS D EAU EN AVAL DE LA DECHARGE DE KOLIADY.. 12 IV. APPUI TECHNIQUE AUX PROJETS HYDRAULIQUES A. Visite des sources aménagées 14 B. Résultats des analyses bactériologiques.. 16 C. Projets techniques 17 CONCLUSION ANNEXES I. PLAN DE SITUATION DES POINTS D EAU ETUDIES. 23 II. RAPPEL DES ANALYSES BACTERIOLOGIQUES DE FORAGES EFFECTUEES EN III. THEORIE DU PHENOMENE DE RENARD 26 1

3 INTRODUCTION Suite à un premier voyage d études, réalisé du 16 février au 9 mars 2013, par neuf étudiants et trois enseignants de notre BTSA GEMEAU (Gestion et Maîtrise de l'eau), du L.E.A.P. Gabriel Deshayes de Saint Gildas des Bois (44), un nouveau projet avec 7 étudiants, devait voir le jour en 2014, toujours en partenariat avec Coopération Atlantique - Guinée 44. Malheureusement, cette année, l'autorisation de voyager en Afrique n'a pas été accordée aux étudiants. Nous avions travaillé pendant plus d'une année, au laboratoire, sur le dispositif de chloration inventé par Michel MORISSON, le DCM. Des améliorations sensibles avaient été apportées. L'association Coopération Atlantique - Guinée 44 a bien voulu me confier la mission de finir le travail engagé, et d'apporter ma contribution aux projets en cours. Les objectifs de la mission étaient donc : Présentation des modifications techniques apportées au DCM Installation, essais et réglages du DCM à Koukou, formation des techniciens ACEA Identification des points d eau en aval de la décharge de Koliady Appui technique aux projets hydrauliques (Kindia 2015) REMERCIEMENTS Je remercie toute l équipe de Guinée 44 sur place, avec qui c est vraiment un plaisir de travailler, et particulièrement Benjamin Lerouge, qui m a accompagné, conduit, coaché dans la vie courante, comme j espère l avoir coaché sur certains projets. Notre collaboration s est avérée fructueuse et amicale. Merci aussi à tout le personnel de l ACEA, et particulièrement à Aboubakar Touré, génie du bricolage, qui nous a accompagnés régulièrement. 2

4 PLANNING DE LA MISSION Journées Lundi 3 mars Mardi 4 mars Mercredi 5 mars Jeudi 6 mars Vendredi 7 mars Activités (en général avec Benjamin Lerouge et Aboubakar Touré) Point avec Benjamin sur les projets Eau de Kindia Visite des sources de Manquepas, Fissa Hôpital, Dar es Salam, puits de Dar es Salam. Visite de la décharge de Koliady et des points d'eau environnants. Visite des sources de Chinoya, Sinanya, Sorya, Thierno Djibia, Météo, Mançoya. Visite de la pompe artisanale de M. Mara. Visite de Danlaya (bas fond et source à réaménager) Visite de Fissa Lassidaya (projet de point d'eau à aménager) Préparation du chantier du lendemain. Chantier de réaménagement de Koukou 2 (avec Alpha Camara). Installation de l'appareil de dérivation et reprise de ciment. Préparation du matériel de labo pour la tournée du lendemain. Chantier de Koukou. Changement des vannes. Pose du chlorateur et mise en service. Benjamin fait la tournée des prélèvements bactériologiques avec Aboubakar. Je fais au labo les analyses d'eau de Javel. Samedi 8 mars Lundi 10 mars Mardi 11 mars Mercredi 12 mars Jeudi 13 mars Détermination du break-point (réaction de l'eau à la chloration). Lecture des résultats des analyses bactériologiques. Passage à Koukou pour contrôle. Le dispositif a été abîmé: achat de cadenas, vidange du bassin, remise en état. Découverte de la tête de source et de son ancien captage. Passage à Koukou avec Emile Touré. Vérification du bon fonctionnement. Le chlore résiduel est satisfaisant. La bactério se révèlera négative. Réunion avec Selly. Préparation de la restitution du lendemain. Réunion de restitution à l'acea avec le SNAPE et la SEG. Dernier passage à Koukou. Résiduel de chlore satisfaisant. Remplissage du bidon après étanchéification du bouchon, et définition du protocole de mise en route. Appui technique à Benjamin sur les projets en cours. Transmission d'un logiciel de conception et de gestion de réseau et initiation. 3

5 I. MODIFICATIONS TECHNIQUES APPORTEES AU DCM Après plus d une année d expérimentations au laboratoire d hydraulique, voici les améliorations au dispositif de chloration des sources développé au départ par M. Michel Morisson, à Kindia en Guinée, avec l association Coopération Atlantique Guinée 44. Ancien dispositif : 4

6 Nouveau dispositif : Améliorations sur le dispositif chlorant. 1. La solution chlorante préconisée était à base d hypochlorite de Calcium, produit solide à diluer. Cette solution produit des bouchages de calcium un peu partout. De plus, le produit n est pas de qualité alimentaire. Ce produit doit être remplacé par de l hypochlorite de sodium, eau de Javel ou extrait de Javel selon la concentration. 2. La molette de réglage de la perfusion doit être remplacée par un régulateur de débit. Les dispositifs testés se sont révélés stables pendant plusieurs mois. 3. Le flotteur de blocage de la solution de chlore s est aussi révélé insuffisant. Il doit être remplacé par un robinet à flotteur en PVC. 5

7 Changements sur le dispositif de dérivation en T. 4. La balle de ping-pong est conservée, mais il faut bien considérer que l arrêt du remplissage du réservoir ne se fait que quand il y a presque équilibre entre le niveau dans le tuyau d entrée et le niveau d eau dans le réservoir. En conséquence, le flotteur de blocage du chlore doit être installé plus haut que précédemment. En conséquence, le col de cygne n a plus de raisons d être. Situé plus haut, il diminuerait trop le débit de remplissage du réservoir. D ailleurs, la liaison entre les deux appareils n était pas toujours évidente : voir photo ci-contre à Falébagan. Dans certains cas, pour des soucis d économie d eau, ce dispositif pourrait être remplacé par une vanne à flotteur, qui bloquerait tout le débit entrant lorsque le réservoir est plein. 5. La demi-lune placée dans le tuyau de trop plein donne satisfaction pour des débits jusqu à 600 L/h, ce qui est généralement suffisant. Pour des débits plus grands, il faudrait la remplacer par un dispositif à 4 coudes qui ne rétrécit pas la section de passage de l eau, mais dont le réglage par inclinaison n est pas évident. 6

8 II. INSTALLATION, ESSAIS ET REGLAGES DU DCM A KOUKOU, FORMATION DES TECHNICIENS ACEA Avec Benjamin Lerouge de Guinée 44, Aboubakar Touré et Alpha Camara de l'acea, nous avons donc changé le dispositif de chloration de la source aménagée de Koukou 2. Après avoir fait la vidange et le nettoyage des bassins, nous avons installé le dispositif de dérivation, puis fait une reprise de ciment. Le lendemain, pose du chlorateur, changement des vannes et réglages du dispositif. Ci-contre l'ancien dispositif. Nouveau dispositif avec le régulateur de débit. 7

9 Calcul de la dose de chlore, Eau de Javel, Sûr'Eau Le débit de la source est limité à 600 L/h par vannage. Le débit de la perfusion de la solution chlorée (4,5 L d'eau de Javel pour 20 L de solution) est réglé par expérience à 10 gouttes (0,5 ml) en un peu moins de 20 secondes, ce qui se révèlera juste. Nous avons pris le temps de doser l'eau de Javel du marché: - Lacroix en conditionnement de 1L à fg le litre. - Madar en conditionnement de 4,5 L à fg le litre. (1 = fg). Il faut faire une dilution de 1/10000 (2 fois 1/100) pour effectuer la mesure. Les résultats pour les 2 marques sont satisfaisants. Le titrage garanti est de 2,4 % de Chlore, soit 24 g Cl 2 /L. Nos mesures montrent que les concentrations annoncées sont respectées, et même dépassées, soit 2,6 % qui correspondent au titrage de fabrication. Nous avons aussi testé le Sûr'Eau, petite bouteille bleue de 150 ml qui coûte fg quand même. Le titre garanti est de 1,25 % d'hypochlorite de sodium. Il faut comprendre environ 1,25 % de chlore actif soit 12,5 g/l ( 74,5 g NaOCl <=> 71 g Cl2). Comme pour l'eau de Javel, le dosage fait apparaître une concentration plus forte (1,4%). Le prix du principe actif du Sûr Eau est donc 6,7 fois plus cher que l'eau de Javel Madar, et 4,4 fois plus cher que la Lacroix. On peut encore remarquer que la dose de Sûr'Eau préconisée est de un bouchon pour 20 L d'eau claire et plus pour l'eau trouble. La capacité du bouchon est de 3 ml. Soit 12,5 g/l x 0,003 L / 20 L = 1,9 mg CL 2 /L L'eau est traitée par un apport de 1,9 mg chlore par Litre, ce qui est beaucoup (voir cidessous). Break-point. Il faut encore établir un break-point pour l'eau à traiter. Il s'agit de mesurer l'effet de différentes concentrations de chlore introduit. Après un temps de repos, on mesure le chlore résiduel (chlore total, et plus utile le chlore libre). La concentration en résiduel de chlore libre doit être environ de 0,2 mg/l. (fourchette de 0,1 à 0,3 mg/l). 8

10 Résultats : On voit que pour obtenir un résiduel de 0,2 mg/l, on doit apporter environ 1 mg/l. (Cela correspond au taux d'ammonium NH le break point est à environ 10 fois le taux de NH 4 + ). Calcul du débit de la perfusion Un tableau Excel est développé pour répondre à tous les cas, mais nous pouvons développer le cas d'un apport de 1 mg/l. Le débit Q de la source est de 600 L/h. La concentration du bidon de solution chlorée est de 4,5 L à 25 g CL 2 /L pour 20 L, soit une concentration C de mg CL 2 /L. Nous cherchons une concentration de l'eau chlorée de c = 1 mg/l et le débit q de la solution à régler : Q x c = q x C ou q = Q x c / C q = 600 L/h x 1 / 5625 = 0,107 L / h = 1,78 ml/ min 9

11 La perfusion est normalisée pour que 1 ml = 20 gouttes. Il faudra donc 1,78 x 20 = 36 gouttes par minute. En pratique, on mesure le temps d'écoulement de 10 gouttes, soit ici environ 17 secondes. Le tableau Excel présenté ci-dessous est basé sur cette méthode de calcul, sera disponible sur internet (voir adresse en bibliographie). Après la deuxième mise en route du lundi 10 mars, un contrôle a été effectué le mardi. Le résiduel de chlore était satisfaisant (0,11 mg/l en libre et 0,28 en total). Nous avons vérifié par l'analyse bactério simplifiée (tout ou rien) que le taux était bien de zéro bactérie sur 10 ml. La source de Koukou2 redevient donc une source traitée, et d'une bonne qualité bactériologique. Par ailleurs, on verra plus loin que le captage de la source peut-être amélioré, pour avoir une eau brute de meilleure qualité, nécessitant moins de chloration. 10

12 La seule difficulté rencontrée concerne le bidon jaune de 20 L utilisé. En effet, le système doit fonctionner en légère dépression. (La perfusion possède sa propre entrée d'air - photo ci-contre-). Ceci assure, par le principe du vase de Mariotte, que le débit va rester constant quel que soit le niveau de liquide dans la réserve. Dans nos premiers essais, il s'est avéré que cet équilibre en légère dépression ne s'établissait pas. En fait, le bouchon n'était pas étanche. Il a suffit de le rendre étanche avec du téflon, accessoire très usuel du plombier. Ensuite, le bidon s'est révélé trop souple. En se déformant, il retardait l'arrivée de la dépression. Benjamin et Aboubakar ont bien compris l'intérêt d'un bidon plus rigide, qui est en commande... Au niveau du protocole de mise en route, il s'agit de remplir au maximum le bidon, éviter le plus possible la présence d'air. Ensuite, on fait couler la perfusion, éventuellement à côté du bassin si celui-ci a un bon résiduel de chlore, jusqu'à ce que la dépression s'installe. (Sinon, du liquide passe par la valve du canal d'aération). Ensuite seulement, on procède au réglage par le régulateur de débit. 11

13 III. IDENTIFICATION DES POINTS D EAU EN AVAL DE LA DECHARGE DE KOLIADY Attention, l'équidistance des courbes de niveau est de 2 m, de 5m ou de 10 m dans les endroits plus pentus, ce qui rend la lecture du relief difficile. 12

14 Nous nous sommes intéressés aux puits aménagés (ronds noirs) N 14 (rive droite du basfonds A et non rive gauche comme indiqué sur la carte d'origine), N 13 dans le village de Koliady, et 4bis du quartier Dar Salam (avec la source aménagée -triangle noir- N 4). Voici les résultats des analyses bactériologiques, avec en "référence" l'eau de la SEG à la borne fontaine de Dadia. N Sources et puits Coliformes totaux / 100 ml E. Coli/100 ml 4 Dar salam source aménagée bis Dar salam puits aménagé SEG BF Dadia Koliady puits centre village Koliady puits rural bas fonds A > versant opposé à la décharge Le puits N 14 ne pourra pas être une référence pour l'effet de la décharge; d'une part, il est situé sur l'autre versant, ensuite, il est déjà pollué, vraisemblablement par des tas d'ordures partout aux environs immédiats, "à trier" pour servir d'engrais au bas-fond.(cf photos). Puits N 14 Plusieurs tas d'ordures sont à proximité. Le puits N 13, de qualité moyenne, (plus de coliformes totaux, mais moins de E. Coli que l'eau de la SEG) serait la meilleure référence (altitude de la margelle environ 410m, puits profond). Les deux points d'eau de Dar Salam sont de meilleure qualité. Le puits N 4bis est à la limite de l'effet possible de la décharge. 13

15 A noter que l'altitude des bordures de la décharge est environ de 440 m. Le fond de la décharge est à environ 430 m. L'altitude du bas-fond A est de 410 m et celle du bas-fond B (GADAWAWA) de 400 m. Certains habitants puisent l'eau de résurgence de ces bas-fonds. Nous avons noté d'autre part que le trou de la décharge n'a aucun exutoire. L'eau de pluie et de ruissellement se concentre dans le fond. Elle ne peut que s'infiltrer ou s'évaporer. Il existe peut-être d'autres puits privés, mais nous n'en avons pas trouvé de suffisamment proche pour pouvoir servir de point de référence pour la qualité de la nappe autour de la décharge. Ceci justifie le creusement d'un forage dédié de petit diamètre, appelé piézomètre de contrôle. IV. APPUI TECHNIQUE AUX PROJETS HYDRAULIQUES (KINDIA 2015) A : Visite des sources aménagées Au cours de la mission, pour connaître les besoins en DCM, nous avons visité la plupart des sources aménagées au début des années 90, réaménagées en 98, (voir carte en annexe) et qui sont en piteux état, à part la source de Sorya. La plupart des sources ont souffert du phénomène de renard (voir explications précises en annexe). Il a été essayé de réunir le captage de la source et le réservoir dans le même ouvrage. Alors, l eau en charge (légèrement sous pression) trouve un chemin souterrain généralement au contact des fondations de l ouvrage. L eau déplace d abord les grains les plus fins, ce qui améliore la perméabilité, accélère et amplifie les mouvements d eau, jusqu à creuser une galerie, qui déchausse les fondations. Source météo Sinanya 14

16 Dans deux cas, Dar Salam et Mançoya, un deuxième bassin a été construit plus bas pour récupérer l eau : Il faut donc retenir qu il faut séparer l ouvrage de captage du réservoir, comme à Sorya ou même à Koukou. D autre part, deux sources insalubres ont été remarquées. Les exutoires sont bouchés par les ordures (Manquepas, Thierno Djibia). Manquepas Thierno Djibia Au moment où des actions de nettoyage sont programmées par l ACEA et la Banque Mondiale, un nettoyage de ces points d eau pourrait être envisagé. Les résultats bactériologiques du point d eau de Manquepas sont particulièrement catastrophiques (770 E. Coli / 100 ml). On pourrait aussi envisager de condamner définitivement ce point d eau. Dans le cas contraire, il faut une nouvelle dalle de fermeture du puits. 15

17 B. Résultats des analyses bactériologiques Analyse bactériologique - CUK - 07/03/ (nombre de colonies/100 ml) Ordre N Sources et puits Coliformes totaux E. Coli 1 6 Koukou 2 après chloration Fissa Hopital 0 (??) Météo Danlaya bis Dar salam puits aménagé Dar salam Bary Iéré (rural) Silon (rural) Sorya SEG BF Dadia Soroundo Koliady puits villge Damakania Mançoya Sinanya Fissa lassidaya > Chinoya > Koliady puits bas fonds décharge > Koukou 1 > Manquepas > Le résultat de Fissa Hopital est controversé. La source est en contrebas des latrines et de la fosse aux déchets de l hôpital. Elle n a pas bonne réputation (goût ou odeur de médicaments ). On peut donc penser à la présence de détergents, de désinfectants, d antibiotiques? A noter qu un incinérateur de déchets est prévu à court terme. Les résultats des sources de Meteo et Danlaya sont bons, et ces sources méritent donc d être réaménagées. La qualité de la source Sorya n est pas si bonne. Elle pourrait bénéficier d un DCM. La qualité de l eau de la SEG n est pas satisfaisante. Elle manque de chloration. Les points d eau de Fissa Lassidaya et le captage de Koukou sont de très mauvaise qualité, ce qui justifie de penser à de tout nouveaux aménagements. 16

18 D. Projets techniques C1 : Mont Gangan - Quartier Tafory Almamya - Source Khouredy Il est précisé les points suivants : Pour l appel d offre, et l organisation des travaux, il serait bon de connaître la longueur exacte de tuyau (en Φ32), et d évaluer la longueur des secteurs où il sera impossible d enterrer la canalisation. Une protection (gaine) est à prévoir pour ces secteurs. Une mesure au GPS donnerait aussi la dénivelée. Si elle est supérieure à 35 m, il vaut mieux prévoir un réducteur de pression en aval. - Le captage se fera en piérré-maçonné. Prévoir un trop plein avec grille de protection. Il sera suivi par un petit regard avec vanne de coupure. - En aval, vanne de coupure et borne fontaine de 4 robinets. C2 : Quartier Ferefou1 Source Danlaya Un réservoir est situé à proximité dans le bas fond, en zone inondable, erreur à ne pas reproduire. La source qui a aussi souffert du phénomène de renard, est de bonne qualité bactériologique. La solution consiste à conserver le captage, en reprenant les fondations. Une canalisation PVC 32 mm conduira l eau largement en aval pour trouver une dénivelée suffisante, d autant plus que le réservoir doit être placé sur la berge. Une étude topographique est donc nécessaire sur ce site. 17

19 C3. Quartier Fissa Ecole. Points d eau Lassidaya (Photo2) (photo1) Photo 1 Photo 2 Dans ce quartier, trois points d eau coexistent, avec très peu de débit. La qualité bactériologique est mauvaise. En fait, ce n est pas de l eau souterraine. Sur la photo1, on devine que le filet d eau ruisselle du haut. 18

20 Après une certaine recherche, il a été repéré une zone sourceuse un peu plus haut, qui n a pas été exploitée car dans le terrain militaire. (Ceci peut être un inconvénient autorisations- et un avantage inconstructibilité-). Cette ressource peut être exploitée par un captage souterrain (tranchée drainante). Une canalisation pourrait conduire l eau dans un réservoir situé hors du camp militaire. C4 : Amélioration du captage de Koukou La mare captée proche de Koukou1 Ancien captage un peu plus haut. 19

21 Les captages de Koukou 1 et 2 sont très superficiels (photo ci-contre). L eau captée est la même que celle de la mare (photo cidessus). La qualité bactériologique est très mauvaise. Un ancien captage, situé 10 m plus haut en dénivelée, peut-être facilement rénové. Une nouvelle conduite pourrait alors rejoindre Koukou 2. L eau brute serait de bien meilleure qualité. La chloration serait plus légère. L eau serait traitée à moindre coût et aurait bien meilleur goût. CONCLUSION Le nouveau DCM a été installé avec succès à Koukou 2. Mais bien sûr, c est dans la durée qu il faudra juger du bon fonctionnement et de l intérêt de l installation. Je fais confiance à Benjamin et Aboubakar pour veiller à l appareil et me tenir au courant des éventuels problèmes. Les points d eau autour du futur centre d enfouissement de Koliady ont été repérés et analysés. La tournée des autres sources, et les analyses, ont permis de mieux cerner les problèmes et de préciser les projets en cours. Certains projets ont été redéfinis dans le domaine des captages souterrains. Complétés par 3 projets de forages (neuf ou réhabilitation) et 3 projets de borne-fontaine, cela constitue un ensemble de création ou réhabilitation de 10 points d eau dans le cadre du projet Kindia 2015, que Benjamin a déjà présenté à l ACEA le 18 mars 2014, et qui a été approuvé. 20

22 BIBLIOGRAPHIE 1. Spring catchment. Christian Meuli, Karl Wehre. SKAT. 2. Fiches O.I.E. et C.I.E.H. Ouagadougou. Hydraulique rurale. 3. Renforcement des capacités techniques de l ACEA Kindia. Jonas PARDO 4. Etude sur l eau et l assainissement à Kindia. SCE /Memoris/AIMF/ Nantes métropole. 5. Chloration en milieu rural dans les pays en voie de développement. PS-eau GRET Cahier N Complémentarité des modes d approvisionnement en eau de Kindia Dominique Romann, Ibrahima Barry. 7. Captage de sources, chloration et qualité de l eau souterraine a Kindia. Guinee. Rapport de mission de février 2013 a Kindia. BTSA Gemeau St Gildas des Bois. Site où trouver ce document et la feuille de calcul de chloration : 21

23 ANNEXES I. PLAN DE SITUATION DES POINTS D EAU ETUDIES II. RAPPEL DES ANALYSES BACTERIOLOGIQUES DE FORAGES EFFECTUEES EN 2013 III. THEORIE DU PHENOMENE DE RENARD 22

24 ANNEXE N 1 - KINDIA : PLAN DE SITUATION DES SOURCES ET PUITS ETUDIES 23

25 ANNEXE N 2 : Tableau des résultats des analyses microbiologiques des forages (février 2013). numéro noms quartiers 1 Wondy Wondy 2 Tapioka barrage Tapioka 3 Tapioka mosquée Tapioka 4 Wondy 2 Wondy 5 Wondy abalakar Wondy 6 Wondy cheuf Wondy 7 SNAPE Sanbaya 8 Sanbaya Soureya Sanbaya Sambaya 9 Solia Sanbaya 10 Soulia Korka Soulia 11 Dar es Salem Dar Es Salem 12 Gadawawa Gadawawa 13 Bamban village Bamban 14 Bamban Macia Bamban 15 Yogotamba Yogotamba 16 famille Abuguinness 17 Naïté Koleady Colea 18 Koleady 1 Koleady 21 ACEA-radiolocale 22 Hopital 23 Kenende coordonnées GPS Nombre de coliformes 100 ml 10 01,931 Nord 12 50,466 Ouest 4, ,243 N 12 50,012 O ,267 N 12 50,167 O 20, ,086 N 12 50,700 O ,249 N 12 50,613 O ,561 N 12 50,718 O ,715 N 12 50,445 O ,530 N 12 50,322 O ,982 N 12 50,280 O 116, ,350 N 12 50,407 O ,065 N 12 50,671 O ,275 N 12 50,918 O 12, ,492 N 12 51,325 O ,027 N 12 51,193 O ,548 N 12 50,821 O ,975 N 12 50,748 O ,894 N 12 50,776 O ,734 N 12 50,789 O ,754 N 12 51,771 O ,978 N 12 51,706 O ,517 N 12 51,723 O 3,1 24

26 24 Kenende mosqué 25 Banlier 26 Ecole père Lacan 27 Thirlguibia Thirlguibia 28 Sarakoleah Sarakoleah 29 Yabara Yabara 10 03,559 N 12 51,550 O 7, ,526 N 12 51,331 O ,007 N 12 51,416 O 5, ,237 N 12 51,514 O 4, ,725 N 12 51,959 O 121, ,815 N 12 52,372 O 32,3 210 mosquée Khalioré Damakamia 211 plateau 212 Damakamia Condetta Condetta ,079 N 12 52,864 O ,834 N 12 53,365 O 26, ,368 N 12 54,258 O ,441 N 12 51,352 O ,240 N 12 51,269 O 13,5 25

27 ANNEXE N 3 : Le phénomène de renard Phénomène d'instabilité provoquant l'entrainement des grains d'un sol sous l'effet d'un gradient hydraulique pouvant conduire a un affouillement spectaculaire. Schéma A : digue avec barrière imperméable souterraine (argile compactée). Déroulement : - entraînement des fines particules du sol - augmentation de la perméabilité locale - augmentation de la vitesse de filtration - entraînement de gros éléments - érosion progressive le long d'une ligne de Les courant paramètres sont Schéma B : palplanche - la charge H (différence de hauteur d eau entre l amont et l aval), - la longueur de cheminement souterrain horizontal Lh (très faible en cas de palplanches comme dans le schéma B). - la longueur de cheminement vertical Lv ; Une règle empirique pour éviter le phénomène de renard est la règle de LANE : Lv + 1/3 Lh > c.h Avec le coefficient c qui dépend de la granulométrie du terrain (voir ci-contre) 26

28 DERNIERES PHOTOS Site de la décharge (aucune accumulation à cause de brûlis). Source de Chinoya (exutoire bouché. Renard) 27

29 Source de Fissa Hôpital et dernière réunion à l ACEA avec SEG, SNAPE, et mairie. 28

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