EXTENSION INTERREG IV VIH GRILLE DE PREMIERE LECTURE DE PROJET

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1 EXTENSION INTERREG IV VIH GRILLE DE PREMIERE LECTURE DE PROJET Introduction : La grille que nous vous proposons a pour but de vous accompagner dans la formalisation de votre projet selon la cohérence recherchée dans la présentation de l extension. Une fois remplie, vous pouvez l envoyer directement par e mail, à l intervenant, Monsieur Farid K. Abdelaziz à l adresse suivante : ml.jolie@opmethodes.com Une fois reçue, l intervenant analyse les données de votre grille, rédige un commentaire et formalise les questions qui doivent permettre de procéder de mieux cerner le projet. 1. RENSEIGNEMENTS ADMINISTRATIFS : LE PORTEUR DU PROJET ASSOCIATION Nom du responsable de l association Contact INITIATIVE ECO Mme Colette SPARTAKUS, Présidente i.association1@orange.fr Tél : Adresse de l institution : 5 Cité case, résidence Saint Hyacinthe Basse-Terre Déclarée en Préfecture le 15 juillet 1997, cette association a pour objet la lutte contre l exclusion, les discriminations et les violences faites aux femmes. Sa mission : S engager aux côtés des femmes pour défendre leurs droits à la liberté, l égalité, l intégrité et les accompagner vers la sortie de la violence ; faire reconnaître les violences faites aux femmes comme une des manifestations des inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ; être une force de proposition auprès des pouvoirs publics et des politiques afin de faire évoluer les lois ; favoriser des échanges, des réflexions, des partenariats et des recherches pour améliorer les réponses apportées. Au sein de cette association une équipe pluridisciplinaire accueille, informe, oriente et accompagne les femmes résidant en Basse-Terre, mais également sur toute la Guadeloupe. Parmi les services offerts aux usagers, nous pouvons citer l écoute, des consultations sociales, psychologiques et juridiques ainsi que la sensibilisation, la formation, la télé protection. Une action de prise en charge psychologique des auteurs de violences se réalise depuis peu dans un cabinet privé hors des murs de l'association. Page 1 sur 10

2 En 2013, 200 femmes ont pu bénéficier d un suivi par l équipe pluridisciplinaire et l association a reçu plus de 1200 appels via le numéro vert «Allo Ecoute» L association est membre de la FNSF (Fédération Nationale Solidarité Femmes) et travaille depuis 4 ans avec l AVFT (Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail). Membre du COREVIH Guadeloupe et du Réseau d Accompagnement des Femmes Victimes de Violences et Migrantes. Elle est certifiée centre de formation et gère un appartement relais (hébergement d urgence pour les femmes victimes de violences et en rupture familiale) et un CHRS (Centre d'hébergement et de Réinsertion Sociale). 2. LE PROJET Conseil : Lorsque vous formulez l intitulé de votre projet, gardez constamment présent à l esprit que l intitulé ne doit pas décrire des modes opératoires mais donner un premier sens au projet, une direction globale. Un bon intitulé permet de comprendre la direction et l orientation du projet en une phrase. Intitulé du projet FANM DOUBOUT. Résumé du titre Durée du projet Territoire du projet : Autonomisation «Empowerment» des femmes migrantes en Guadeloupe à travers l éducation à la santé et l information sur les droits. 12 mois Département de Guadeloupe Subvention demandé (en ) Interreg IV-VIH (75%) ,50 ARS (25%) 6 390,50 TOTAL Nom du responsable du projet Contact : Quantité de bénéficiaires Pertinence du projet Mme. Martine NOEL, Directrice / i.association1@orange.fr Environ 500 personnes Cette association a été partenaire du Projet Interreg VIH lors de la réalisation des enquêtes auprès de migrants et TDS. Elle s implique au quotidien dans la lutte contre le VIH/SIDA, les inégalités, les discriminations, les problèmes de genre et de santé sexuelle. Page 2 sur 10

3 2. LES ELEMENTS CONTEXTUELS DU PROJET : Conseil: Le contexte est ce qui explique et justifie que votre projet existe et qu il répond à un besoin préalablement ciblé. Le contexte repose sur des faits et des éléments connus : statistiques, programmes, rapports, accords passés avec l ARS et autres institution concernant le projet, etc. Joignez à votre grille et au moment de l envoi par mail à l intervenant extérieur, les annexes qui argumentent les éléments contextuels donnés. Le contexte du projet «L épidémie de VIH reste très active aux Antilles et en Guyane malgré une baisse de son incidence, entre 2005 et 2010, dans les trois départements. Le taux global d incidence du VIH a été estimé à 59 pour personnes-année sur la période contre 17 pour au niveau national. Les taux d incidence sont très au-dessus de la moyenne nationale en Guyane et en Guadeloupe, respectivement 147 et 56 pour » (Etude KABP ). «Depuis 2001, les DFA constituent des territoires prioritaires dans la lutte contre le VIH/sida, justifiant la mise en place de programmes de prévention ciblés, portés à la fois par les institutions nationales (ministère de la Santé, institut national de prévention et d éducation pour la santé-inpes) et les acteurs locaux (ARS, associations, les COREVIH, professionnels de santé, etc.). Ces programmes sont encadrés par le «Plan national de lutte contre le VIH/sida et les IST en direction des populations des départements d outre-mer». (Etude KABP ). Les dernières études réalisées révèlent que «les principaux modes de transmission sont connus, mais des connaissances erronées persistent. Le préservatif, reconnu comme moyen de protection efficace mais en recul par rapport à Une meilleure connaissance des traitements mais qui reste moindre qu en métropole. La stigmatisation à l égard des personnes séropositives a diminué depuis 2004 mais reste à un niveau élevé» En cause, une prévention et des campagnes d informations encore trop faibles (Etude KABP ). «Malgré les avances positives dans la diminution de la contamination du VIH et du SIDA (Inclus une diminution de la prévalence du VIH chez les TDS dans plusieurs pays de la Caraïbe), la Caraïbe a une épidémie mixte constituée d'une épidémie généralisée de faible niveau dans la population adulte et une prévalence élevée inacceptable parmi les populations vulnérables et marginalisées» (PANCAP, 2014) et la Guadeloupe n échappe à cette réalité. Au niveau national, le Département de la Guadeloupe est le deuxième le plus touché par le VIH après la Guyane (enquête vespa2). Le Département de la Guadeloupe avec une population de habitants (2011) 1, constitue un des carrefours des DFA pour les migrants de la Caraïbe et d Amérique du SUD. A la fin de 2010, une population d immigrés de personnes adultes enregistrés à la Préfecture ( haïtiens, 1 Page 3 sur 10

4 9.946 dominiquais et dominicains), qui représente le 9,6% du total d habitants (Préfecture de Basse-Terre, 2011). Beaucoup des migrants, en situation de précarité, cumulent la condition de migrants et de Travailleuses du Sexe (doublement vulnérables). Les facteurs de vulnérabilité sont de type «Sociaux, économiques, politiques, de la famille, des normes sociales et culturelles, des obstacles linguistiques, la pauvreté, les mauvaises conditions de vie, isolement et stress (il en découle qu elles peuvent amener à se livrer à des comportements qui accroissent le risque de VIH. (Enquêtes Interreg VIH, 2013). Donc, ce ne sont ni les migrants ni la migration qui aggravent les risques de transmission mais les conditions de vie qui les rendent plus vulnérables (Enquêtes Interreg VIH, 2013). 37% des populations migrants enquêtés n ont jamais fait de test du VIH. Ces facteurs de vulnérabilité sont associés à la dégradation de leur état de santé. Le statut juridique d Irrégulier pour beaucoup des personnes rend difficile l accès aux soins et à prévention» (Enquêtes Interreg VIH, 2013). A ce sujet, «beaucoup de TDS ont des difficultés du fait de la barrière de la langue et se méfient des services publiques hospitaliers. Celles qui le peuvent, vont voir un médecin traitant, les autres ne se soignent pas ou le font quand elles retournent dans leur pays d origine. 32% des TDS en Guadeloupe n ont pas de couverture sociale à jour; 29% ne savent ni lire ni écrire le français; 63% Vivent seuls ; 17% de celles qui vivent accompagnées travaillent pour leur partenaire (enquêtes Interreg VIH, 2013). En ce qui concerne les conditions socio-économiques des migrants, 25% de ces populations n ont pas de couverture sociale ; 15% ne savent pas lire ou écrire le français ; 17% n ont pas de titre de séjour français ; 41% ne travaillent pas et seulement 17% travaillent, à temps plein. 80% des personnes enquêtées ont répondu que leurs revenus ne suffisent pas à couvrir leurs besoins. 63% de migrants sont en Guadeloupe pour des raisons économiques ou de travail (Interreg VIH, 2014). Les femmes le sont d autant plus que leur situation socioéconomique est encore plus préoccupante. Une partie d entre elles a peu ou pas accès à l éducation et les rapports sociaux leur sont particulièrement défavorables, tant dans leur pays d origine qu en Guadeloupe. Alors même que ces femmes se démènent chaque jour pour améliorer leur condition, l analphabétisme, la mauvaise connaissance de leurs droits et le sexisme les maintiennent dans la spirale de la précarité et les exposent à toujours plus de violences et de domination. En 2010, sur faits de violence recensés en Guadeloupe, victimes étaient des femmes (Initiative Eco, 2014). Des études ont montré que les violences faites aux femmes par leurs partenaires peuvent accroître le risque d infection par le VIH d environ 50 %. Il existe également des données significatives indiquant que la violence ou la peur de subir des violences, nuit à l accès aux traitements, aux soins et à une éducation sexuelle probante. Les enquêtes menées par le Projet Interreg VIH, ont révélé que les femmes représentent 60% de Page 4 sur 10

5 personnes migrantes vivant dans des conditions de vie précaires en Guadeloupe ; que 3% des femmes migrants ont été forcées d avoir des rapports sexuels pour venir ou rester dans le DFA d accueil. Concernant les TDS, 45% déclarent avoir subi de violence de la part des clients et 11% de TDS sont exploitées par des proxénètes (Interreg VIH, 2014). Il est important de signaler que le Département de la Guadeloupe n est pas seulement un carrefour pour les migrants, elle est aussi placée dans la zone stratégique pour le passage de drogues interdites. 55% du total de la cocaïne produite en Amérique du Sud est destiné à l Amérique du Nord et à l Europe, et le transit se fait par les Caraïbes (Enquête Interreg IV-VIH, 2013). Donc, la localisation de l archipel de la Guadeloupe, est un facteur qui favorise l accès de ces produits dans le Département. «Depuis les années 80, «les problèmes d addiction progressent aux Antilles où l on voit la consommation, qui ne cesse d augmenter, d une drogue bon marché et facile à acquérir. Elle touche toutes les couches sociales». Pour les consommateurs de crack, la situation sociale est difficile : un usager de crack sur 3 en Guadeloupe est SDF, errant ou en habitat précaire (logement sans eau ni électricité pour 26% d entre eux). Certains UC (migrants) n ont pas de titre de séjour, ni de couverture sociale à jour. De manière générale, 11% de la population enquêtée ne sait ni lire ni écrire le français. 77% d entre eux vit seul (Enquête Interreg IV-VIH, 2013). Concernant la santé, plusieurs pathologies semblent être consécutives à l addiction du crack: Maladies psychiatriques associées mais il a également été constaté que les consommateurs du crack sont 4 fois plus exposés au risque du VIH/IST que ceux qui ne fumaient pas du tout (Enquête Interreg, 2013). Le crack désinhibe les comportements des consommateurs, augmente la libido et le risque d avoir des relations sexuelles non protégées. La dépendance économique liée au besoin de crack favorise les relations sexuelles transactionnelles qui sont aussi un facteur d augmentation de risque (Enquête Interreg, 2013). En Guadeloupe, 94% de la population des UC ayant répondu aux enquêtes Interreg 2 partage des seringues déjà utilisées et la majorité prend de l alcool et/ou consomme de la drogue avant ou pendant les rapports sexuels. Parmi ces dernières populations, nous pouvons trouver des personnes avec tous les profils (être migrant, TDS et consommateur de crack). Un travail important de ciblage de besoins devra être adressé aux différents groupes vulnérables pour freiner le moteur de l épidémie et d accélérer les efforts de prévention des nouvelles infections dans le contexte des diminutions des ressources financières pour le VIH (PANCAP, 2014). «La prévention des nouvelles infections est la pierre angulaire du succès et de la pérennité de la réponse régionale» (PANCAP, 2014). 2 La population enquêtes a été composé par : 87% des personnes nés en France/Guadeloupe ; 4,9% en Dominique, 3% en Haïti, 3% en RD et 1,5% au Guyana. Page 5 sur 10

6 3. QUELS SONT LES OBJECTIFS VOTRE PROJET? Décrivez de façon précise mais globale, ce que votre projet vise. Quels sont ces buts? Objectif général Améliorer la prise en charge des personnes migrantes par une meilleure connaissance de leurs droits et des parcours d accès aux soins. Objectif spécifique 1 Promouvoir l autonomisation de personnes immigrées, spécialement des femmes, à travers l alphabétisation, l éducation à la santé et l information en matière de droits et la création d activités économiques. Objectif spécifique 2 Créer des outils d information sur le VIH et IST, de manière participative entre les migrants et les partenaires associatifs et institutionnels. Objectif spécifique 3 Aboutir à la revalorisation des personnes migrantes par la mise en commun de leurs expériences. 4. LES ACTIVITES PREVUES Pour la réussite des objectifs, plusieurs activités seront mises en place : ACTIVITES Atelier d'alphabétisation Atelier socio-esthétique Atelier genre et santé sexuelle Séances sur les droits des immigrés en France Formation sur la création d entreprises Réunion-rencontre conviviale avec tous les usagers qui ont bénéficié du projet Echange d'expérience entre migrants de différentes origines 5. QU APPORTERA CONCRETEMENT VOTRE PROJET QUI N EXISTE PAS AUJOURD HUI? Soyez explicite lorsque vous décrivez les apports de votre projet. Apport 1 Le projet ne se focalise pas que sur la problématique du VIH, mais met aussi l accent sur les droits de l homme et le respect de la dignité humaine. Apport 2 Le projet contribue à l insertion sociale économique et professionnelle des personnes en situation d exclusion. Il favorise l intégration sociale et familiale du migrant, par le dépassement du sentiment d exclusion, l éveil du sens critique et son autonomisation. Page 6 sur 10

7 6. LES PARTENAIRES DU PROJET : Avec qui aller vous réaliser votre projet? Y-a-t-il d autres partenaires que votre association? Si oui, lesquels? PARTENAIRES CONCERNES PAR LE PROJET Partenaire 1 Partenaire 2 Partenaire 3 Partenaire 4 Association Annou Sòti Association ROSELINE Association AIDES Guadeloupe Association Tèt Kolé 7. QUELLES SONT LES CIBLES (PUBLICS) DE VOTRE PROJET? Cible 1 Les migrants : Cette population est composée de personnes adultes, d origine haïtienne, dominiquaise et dominicaine, en condition régulière ou irrégulière résidants dans le Département de la Guadeloupe. 8. QUELLES SONT LES GRANDES ETAPES DE VOTRE PROJET? Conseil de l intervenant : Par quoi devez-vous commencer? Structurer votre projet en «grande phase» en donnant un intitulé à chaque phase. Ex. Si le premier objectif de votre projet est de «réaliser un état des lieux des besoins actuels», l étape 1 pourra être intitulée : «L état des lieux des besoins actuels» Etape 1 Etape 2 Etape 3 Etape 4 Définir le processus de «recrutement» des migrants résidents en Guadeloupe, à informer dans les ateliers et établir un planning. Mettre en place les activités prévues, créer les outils qui permettront d informer sur les risques sexuels, les droits et les procédures administratives Evaluer la réalisation du projet : points forts / points faibles. Nombre de participants aux activités Nombre de personnes ayant acquis un niveau d alphabétisation minimal Nombre de personnes se sentant sensibilisé à l utilisation des moyens de prévention (préservatifs masculins et féminins). Nombre de personnes ayant acquis le socle de connaissances de base sur le VIH et les IST Nombre de personnes ayant acquis le socle de connaissances de base sur les droits des migrants Nombre de participants aptes à comprendre les documents administratifs en langue française Nombre de participants prêts à recommander un ou plusieurs ateliers à d autres migrants. Restitution : rédaction du rapport du projet. Page 7 sur 10

8 9. CALENDRIER DE REALISATION DES ACTIONS A ce stade, il s agit d avoir une vision globale sur les temps de réalisation. PROJET "FANM DOUBOUT": Autonomisation «Empowerment» des femmes migrantes en Guadeloupe à travers l éducation à la santé et l information de droits Activités INITIATIVE ECO - Calendrier des activités janvier février mars avril mai juin juillet août Sept octobre Nov. Déc. Total Réunions avec les partenaires et les usagers Préparation du planning de travail opérationnel (PTO) 1 1 Journée de formation / discussion autour du VIH/IST proposée par Dr. SOW 1 1 Atelier genre et sante sexuelle Discussion sur les droits des migrants en France Formation "Création d'entreprise" 1 1 Atelier d'alphabétisation Atelier socio-esthétique Rencontre conviviale avec tous les usagers. 1 1 Production de supports d'information en créole haïtiens: genre et santé 500 sexuelle, VIH, IST Production de supports d'information en créole haïtiens: Les droits des 600 migrants (accès aux soins, logement, etc.). Communication du projet 1000 Elaboration des rapports d'activités et financiers Evaluation du projet Total d'activités prévues QUELLE EST L EQUIPE ACTUELLE DE VOTRE PROJET? Quelle est sa composition et le rôle de chacun? Comment votre équipe est-elle actuellement structurée pour mettre en place le projet? Coordinatrice du projet (il s agit de la Directrice de l Association). Comptable Encadre l équipe qui intervient dans les actions, suivre le planning du projet, gère les ressources financières. Fait la comptabilité du projet Psychologue Secrétaire Intervention de 1 juriste Intervenant ateliers genre et santé sexuelle, estime de soi Aide à gérer la communication Séances sur les droits des migrants en Page 8 sur 10

9 (SAV) Intervention de 1 juriste (BAV) Médiatrice socio culturelle Guadeloupe. Séances sur les droits des migrants en Guadeloupe. Relais entre l association et les usagers, est co-responsable de l organisation de tous les ateliers. 1 socio esthéticienne Professionnelle de l alphabétisation Intervenant - Formation création d entreprise Animer les ateliers socio-esthétiques Responsable de la réalisation des ateliers d'alphabétisation. Intervenant - Formation création d entreprise Externe Externe Externe Page 9 sur 10

10 11. LE BUDGET DE VOTRE PROJET : Veuillez remplir la pré-grille budgétaire directement sur le fichier Excel qui vous a été donné. Répartition INTI Nbre unités Coût unité TOTAUX Total COM Total outils Total LCS Total Educ Pairs INITIATIVE ECO Section Ressources Humaines Responsable de coordination du projet Mois , , , ,00 Intervenant ateliers genre et santé sexuelle Heures ,00 800,00 Discussion sur les droits des migrants Heures ,00 640,00 Intervenant formation création d'entreprises Formation ,00 945,00 Intervenant ateliers d'alphabétisation Heures , ,00 Intervention d'une esthéticienne Heures ,00 240,00 Montage du dossier du projet - CCP Forfait ,00 480,00 480,00 240,00 Sous-total Section Ressources Humaines 20625,00 0, , , ,00 Section Charges Fixes Electricité (25,00 s/9 mois) Mois ,00 54,00 54,00 27,00 Communication (téléphone, internet, frais postaux) (30,00 s/9 mois) Mois ,00 64,80 64,80 32,40 Sous-total Section charges Fixes 297,00 0,00 118,80 118,80 59,40 Section Charges variables Achats de matériels : papiers, stylos, encre, cahiers Plusieurs 1500, ,00 Collation (52 ateliersx10 personnesx30 euros) Ateliers , ,00 Production support d'nformation en créole haïtiens : genre et santé sexuelle Support 500 0,2 100,00 100,00 VIH IST Production de supports d'information en créole haïtiens : Les droits des migrants Support 600 0,2 120,00 120,00 (accès aux soin, logement, etc ) Communication sur le projet Support ,2 200,00 200,00 Sous-total Section Charges Variables 3480,00 200, ,00 0,00 0,00 Section Déplacement et Hébergement Frais d'essences (40 euros/mois) Mois ,00 144,00 144,00 72,00 Formation à Saint-Martin, sur l'accès aux droits de migrants - COMEDE personne ,00 320,00 320,00 160,00 Sous-total Section Déplacement et Hébergement 1160,00 0,00 464,00 464,00 232,00 TOTAL INITIATIVE ECO 25562,00 200, , , ,40 Communication: COM Outils de COM: O LCS : lutte contre Stigmatisation Educ pairs : Formation de pairs Page 10 sur 10

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