EXTENSION INTERREG IV VIH GRILLE DE PREMIERE LECTURE DE PROJET
|
|
- Yves Latour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EXTENSION INTERREG IV VIH GRILLE DE PREMIERE LECTURE DE PROJET Introduction : La grille que nous vous proposons a pour but de vous accompagner dans la formalisation de votre projet selon la cohérence recherchée dans la présentation de l extension. Une fois remplie, vous pouvez l envoyer directement par e mail, à l intervenant, Monsieur Farid K. Abdelaziz à l adresse suivante : ml.jolie@opmethodes.com Une fois reçue, l intervenant analyse les données de votre grille, rédige un commentaire et formalise les questions qui doivent permettre de procéder de mieux cerner le projet. 1. RENSEIGNEMENTS ADMINISTRATIFS : LE PORTEUR DU PROJET ASSOCIATION Nom du responsable de l association Contact INITIATIVE ECO Mme Colette SPARTAKUS, Présidente i.association1@orange.fr Tél : Adresse de l institution : 5 Cité case, résidence Saint Hyacinthe Basse-Terre Déclarée en Préfecture le 15 juillet 1997, cette association a pour objet la lutte contre l exclusion, les discriminations et les violences faites aux femmes. Sa mission : S engager aux côtés des femmes pour défendre leurs droits à la liberté, l égalité, l intégrité et les accompagner vers la sortie de la violence ; faire reconnaître les violences faites aux femmes comme une des manifestations des inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ; être une force de proposition auprès des pouvoirs publics et des politiques afin de faire évoluer les lois ; favoriser des échanges, des réflexions, des partenariats et des recherches pour améliorer les réponses apportées. Au sein de cette association une équipe pluridisciplinaire accueille, informe, oriente et accompagne les femmes résidant en Basse-Terre, mais également sur toute la Guadeloupe. Parmi les services offerts aux usagers, nous pouvons citer l écoute, des consultations sociales, psychologiques et juridiques ainsi que la sensibilisation, la formation, la télé protection. Une action de prise en charge psychologique des auteurs de violences se réalise depuis peu dans un cabinet privé hors des murs de l'association. Page 1 sur 10
2 En 2013, 200 femmes ont pu bénéficier d un suivi par l équipe pluridisciplinaire et l association a reçu plus de 1200 appels via le numéro vert «Allo Ecoute» L association est membre de la FNSF (Fédération Nationale Solidarité Femmes) et travaille depuis 4 ans avec l AVFT (Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail). Membre du COREVIH Guadeloupe et du Réseau d Accompagnement des Femmes Victimes de Violences et Migrantes. Elle est certifiée centre de formation et gère un appartement relais (hébergement d urgence pour les femmes victimes de violences et en rupture familiale) et un CHRS (Centre d'hébergement et de Réinsertion Sociale). 2. LE PROJET Conseil : Lorsque vous formulez l intitulé de votre projet, gardez constamment présent à l esprit que l intitulé ne doit pas décrire des modes opératoires mais donner un premier sens au projet, une direction globale. Un bon intitulé permet de comprendre la direction et l orientation du projet en une phrase. Intitulé du projet FANM DOUBOUT. Résumé du titre Durée du projet Territoire du projet : Autonomisation «Empowerment» des femmes migrantes en Guadeloupe à travers l éducation à la santé et l information sur les droits. 12 mois Département de Guadeloupe Subvention demandé (en ) Interreg IV-VIH (75%) ,50 ARS (25%) 6 390,50 TOTAL Nom du responsable du projet Contact : Quantité de bénéficiaires Pertinence du projet Mme. Martine NOEL, Directrice / i.association1@orange.fr Environ 500 personnes Cette association a été partenaire du Projet Interreg VIH lors de la réalisation des enquêtes auprès de migrants et TDS. Elle s implique au quotidien dans la lutte contre le VIH/SIDA, les inégalités, les discriminations, les problèmes de genre et de santé sexuelle. Page 2 sur 10
3 2. LES ELEMENTS CONTEXTUELS DU PROJET : Conseil: Le contexte est ce qui explique et justifie que votre projet existe et qu il répond à un besoin préalablement ciblé. Le contexte repose sur des faits et des éléments connus : statistiques, programmes, rapports, accords passés avec l ARS et autres institution concernant le projet, etc. Joignez à votre grille et au moment de l envoi par mail à l intervenant extérieur, les annexes qui argumentent les éléments contextuels donnés. Le contexte du projet «L épidémie de VIH reste très active aux Antilles et en Guyane malgré une baisse de son incidence, entre 2005 et 2010, dans les trois départements. Le taux global d incidence du VIH a été estimé à 59 pour personnes-année sur la période contre 17 pour au niveau national. Les taux d incidence sont très au-dessus de la moyenne nationale en Guyane et en Guadeloupe, respectivement 147 et 56 pour » (Etude KABP ). «Depuis 2001, les DFA constituent des territoires prioritaires dans la lutte contre le VIH/sida, justifiant la mise en place de programmes de prévention ciblés, portés à la fois par les institutions nationales (ministère de la Santé, institut national de prévention et d éducation pour la santé-inpes) et les acteurs locaux (ARS, associations, les COREVIH, professionnels de santé, etc.). Ces programmes sont encadrés par le «Plan national de lutte contre le VIH/sida et les IST en direction des populations des départements d outre-mer». (Etude KABP ). Les dernières études réalisées révèlent que «les principaux modes de transmission sont connus, mais des connaissances erronées persistent. Le préservatif, reconnu comme moyen de protection efficace mais en recul par rapport à Une meilleure connaissance des traitements mais qui reste moindre qu en métropole. La stigmatisation à l égard des personnes séropositives a diminué depuis 2004 mais reste à un niveau élevé» En cause, une prévention et des campagnes d informations encore trop faibles (Etude KABP ). «Malgré les avances positives dans la diminution de la contamination du VIH et du SIDA (Inclus une diminution de la prévalence du VIH chez les TDS dans plusieurs pays de la Caraïbe), la Caraïbe a une épidémie mixte constituée d'une épidémie généralisée de faible niveau dans la population adulte et une prévalence élevée inacceptable parmi les populations vulnérables et marginalisées» (PANCAP, 2014) et la Guadeloupe n échappe à cette réalité. Au niveau national, le Département de la Guadeloupe est le deuxième le plus touché par le VIH après la Guyane (enquête vespa2). Le Département de la Guadeloupe avec une population de habitants (2011) 1, constitue un des carrefours des DFA pour les migrants de la Caraïbe et d Amérique du SUD. A la fin de 2010, une population d immigrés de personnes adultes enregistrés à la Préfecture ( haïtiens, 1 Page 3 sur 10
4 9.946 dominiquais et dominicains), qui représente le 9,6% du total d habitants (Préfecture de Basse-Terre, 2011). Beaucoup des migrants, en situation de précarité, cumulent la condition de migrants et de Travailleuses du Sexe (doublement vulnérables). Les facteurs de vulnérabilité sont de type «Sociaux, économiques, politiques, de la famille, des normes sociales et culturelles, des obstacles linguistiques, la pauvreté, les mauvaises conditions de vie, isolement et stress (il en découle qu elles peuvent amener à se livrer à des comportements qui accroissent le risque de VIH. (Enquêtes Interreg VIH, 2013). Donc, ce ne sont ni les migrants ni la migration qui aggravent les risques de transmission mais les conditions de vie qui les rendent plus vulnérables (Enquêtes Interreg VIH, 2013). 37% des populations migrants enquêtés n ont jamais fait de test du VIH. Ces facteurs de vulnérabilité sont associés à la dégradation de leur état de santé. Le statut juridique d Irrégulier pour beaucoup des personnes rend difficile l accès aux soins et à prévention» (Enquêtes Interreg VIH, 2013). A ce sujet, «beaucoup de TDS ont des difficultés du fait de la barrière de la langue et se méfient des services publiques hospitaliers. Celles qui le peuvent, vont voir un médecin traitant, les autres ne se soignent pas ou le font quand elles retournent dans leur pays d origine. 32% des TDS en Guadeloupe n ont pas de couverture sociale à jour; 29% ne savent ni lire ni écrire le français; 63% Vivent seuls ; 17% de celles qui vivent accompagnées travaillent pour leur partenaire (enquêtes Interreg VIH, 2013). En ce qui concerne les conditions socio-économiques des migrants, 25% de ces populations n ont pas de couverture sociale ; 15% ne savent pas lire ou écrire le français ; 17% n ont pas de titre de séjour français ; 41% ne travaillent pas et seulement 17% travaillent, à temps plein. 80% des personnes enquêtées ont répondu que leurs revenus ne suffisent pas à couvrir leurs besoins. 63% de migrants sont en Guadeloupe pour des raisons économiques ou de travail (Interreg VIH, 2014). Les femmes le sont d autant plus que leur situation socioéconomique est encore plus préoccupante. Une partie d entre elles a peu ou pas accès à l éducation et les rapports sociaux leur sont particulièrement défavorables, tant dans leur pays d origine qu en Guadeloupe. Alors même que ces femmes se démènent chaque jour pour améliorer leur condition, l analphabétisme, la mauvaise connaissance de leurs droits et le sexisme les maintiennent dans la spirale de la précarité et les exposent à toujours plus de violences et de domination. En 2010, sur faits de violence recensés en Guadeloupe, victimes étaient des femmes (Initiative Eco, 2014). Des études ont montré que les violences faites aux femmes par leurs partenaires peuvent accroître le risque d infection par le VIH d environ 50 %. Il existe également des données significatives indiquant que la violence ou la peur de subir des violences, nuit à l accès aux traitements, aux soins et à une éducation sexuelle probante. Les enquêtes menées par le Projet Interreg VIH, ont révélé que les femmes représentent 60% de Page 4 sur 10
5 personnes migrantes vivant dans des conditions de vie précaires en Guadeloupe ; que 3% des femmes migrants ont été forcées d avoir des rapports sexuels pour venir ou rester dans le DFA d accueil. Concernant les TDS, 45% déclarent avoir subi de violence de la part des clients et 11% de TDS sont exploitées par des proxénètes (Interreg VIH, 2014). Il est important de signaler que le Département de la Guadeloupe n est pas seulement un carrefour pour les migrants, elle est aussi placée dans la zone stratégique pour le passage de drogues interdites. 55% du total de la cocaïne produite en Amérique du Sud est destiné à l Amérique du Nord et à l Europe, et le transit se fait par les Caraïbes (Enquête Interreg IV-VIH, 2013). Donc, la localisation de l archipel de la Guadeloupe, est un facteur qui favorise l accès de ces produits dans le Département. «Depuis les années 80, «les problèmes d addiction progressent aux Antilles où l on voit la consommation, qui ne cesse d augmenter, d une drogue bon marché et facile à acquérir. Elle touche toutes les couches sociales». Pour les consommateurs de crack, la situation sociale est difficile : un usager de crack sur 3 en Guadeloupe est SDF, errant ou en habitat précaire (logement sans eau ni électricité pour 26% d entre eux). Certains UC (migrants) n ont pas de titre de séjour, ni de couverture sociale à jour. De manière générale, 11% de la population enquêtée ne sait ni lire ni écrire le français. 77% d entre eux vit seul (Enquête Interreg IV-VIH, 2013). Concernant la santé, plusieurs pathologies semblent être consécutives à l addiction du crack: Maladies psychiatriques associées mais il a également été constaté que les consommateurs du crack sont 4 fois plus exposés au risque du VIH/IST que ceux qui ne fumaient pas du tout (Enquête Interreg, 2013). Le crack désinhibe les comportements des consommateurs, augmente la libido et le risque d avoir des relations sexuelles non protégées. La dépendance économique liée au besoin de crack favorise les relations sexuelles transactionnelles qui sont aussi un facteur d augmentation de risque (Enquête Interreg, 2013). En Guadeloupe, 94% de la population des UC ayant répondu aux enquêtes Interreg 2 partage des seringues déjà utilisées et la majorité prend de l alcool et/ou consomme de la drogue avant ou pendant les rapports sexuels. Parmi ces dernières populations, nous pouvons trouver des personnes avec tous les profils (être migrant, TDS et consommateur de crack). Un travail important de ciblage de besoins devra être adressé aux différents groupes vulnérables pour freiner le moteur de l épidémie et d accélérer les efforts de prévention des nouvelles infections dans le contexte des diminutions des ressources financières pour le VIH (PANCAP, 2014). «La prévention des nouvelles infections est la pierre angulaire du succès et de la pérennité de la réponse régionale» (PANCAP, 2014). 2 La population enquêtes a été composé par : 87% des personnes nés en France/Guadeloupe ; 4,9% en Dominique, 3% en Haïti, 3% en RD et 1,5% au Guyana. Page 5 sur 10
6 3. QUELS SONT LES OBJECTIFS VOTRE PROJET? Décrivez de façon précise mais globale, ce que votre projet vise. Quels sont ces buts? Objectif général Améliorer la prise en charge des personnes migrantes par une meilleure connaissance de leurs droits et des parcours d accès aux soins. Objectif spécifique 1 Promouvoir l autonomisation de personnes immigrées, spécialement des femmes, à travers l alphabétisation, l éducation à la santé et l information en matière de droits et la création d activités économiques. Objectif spécifique 2 Créer des outils d information sur le VIH et IST, de manière participative entre les migrants et les partenaires associatifs et institutionnels. Objectif spécifique 3 Aboutir à la revalorisation des personnes migrantes par la mise en commun de leurs expériences. 4. LES ACTIVITES PREVUES Pour la réussite des objectifs, plusieurs activités seront mises en place : ACTIVITES Atelier d'alphabétisation Atelier socio-esthétique Atelier genre et santé sexuelle Séances sur les droits des immigrés en France Formation sur la création d entreprises Réunion-rencontre conviviale avec tous les usagers qui ont bénéficié du projet Echange d'expérience entre migrants de différentes origines 5. QU APPORTERA CONCRETEMENT VOTRE PROJET QUI N EXISTE PAS AUJOURD HUI? Soyez explicite lorsque vous décrivez les apports de votre projet. Apport 1 Le projet ne se focalise pas que sur la problématique du VIH, mais met aussi l accent sur les droits de l homme et le respect de la dignité humaine. Apport 2 Le projet contribue à l insertion sociale économique et professionnelle des personnes en situation d exclusion. Il favorise l intégration sociale et familiale du migrant, par le dépassement du sentiment d exclusion, l éveil du sens critique et son autonomisation. Page 6 sur 10
7 6. LES PARTENAIRES DU PROJET : Avec qui aller vous réaliser votre projet? Y-a-t-il d autres partenaires que votre association? Si oui, lesquels? PARTENAIRES CONCERNES PAR LE PROJET Partenaire 1 Partenaire 2 Partenaire 3 Partenaire 4 Association Annou Sòti Association ROSELINE Association AIDES Guadeloupe Association Tèt Kolé 7. QUELLES SONT LES CIBLES (PUBLICS) DE VOTRE PROJET? Cible 1 Les migrants : Cette population est composée de personnes adultes, d origine haïtienne, dominiquaise et dominicaine, en condition régulière ou irrégulière résidants dans le Département de la Guadeloupe. 8. QUELLES SONT LES GRANDES ETAPES DE VOTRE PROJET? Conseil de l intervenant : Par quoi devez-vous commencer? Structurer votre projet en «grande phase» en donnant un intitulé à chaque phase. Ex. Si le premier objectif de votre projet est de «réaliser un état des lieux des besoins actuels», l étape 1 pourra être intitulée : «L état des lieux des besoins actuels» Etape 1 Etape 2 Etape 3 Etape 4 Définir le processus de «recrutement» des migrants résidents en Guadeloupe, à informer dans les ateliers et établir un planning. Mettre en place les activités prévues, créer les outils qui permettront d informer sur les risques sexuels, les droits et les procédures administratives Evaluer la réalisation du projet : points forts / points faibles. Nombre de participants aux activités Nombre de personnes ayant acquis un niveau d alphabétisation minimal Nombre de personnes se sentant sensibilisé à l utilisation des moyens de prévention (préservatifs masculins et féminins). Nombre de personnes ayant acquis le socle de connaissances de base sur le VIH et les IST Nombre de personnes ayant acquis le socle de connaissances de base sur les droits des migrants Nombre de participants aptes à comprendre les documents administratifs en langue française Nombre de participants prêts à recommander un ou plusieurs ateliers à d autres migrants. Restitution : rédaction du rapport du projet. Page 7 sur 10
8 9. CALENDRIER DE REALISATION DES ACTIONS A ce stade, il s agit d avoir une vision globale sur les temps de réalisation. PROJET "FANM DOUBOUT": Autonomisation «Empowerment» des femmes migrantes en Guadeloupe à travers l éducation à la santé et l information de droits Activités INITIATIVE ECO - Calendrier des activités janvier février mars avril mai juin juillet août Sept octobre Nov. Déc. Total Réunions avec les partenaires et les usagers Préparation du planning de travail opérationnel (PTO) 1 1 Journée de formation / discussion autour du VIH/IST proposée par Dr. SOW 1 1 Atelier genre et sante sexuelle Discussion sur les droits des migrants en France Formation "Création d'entreprise" 1 1 Atelier d'alphabétisation Atelier socio-esthétique Rencontre conviviale avec tous les usagers. 1 1 Production de supports d'information en créole haïtiens: genre et santé 500 sexuelle, VIH, IST Production de supports d'information en créole haïtiens: Les droits des 600 migrants (accès aux soins, logement, etc.). Communication du projet 1000 Elaboration des rapports d'activités et financiers Evaluation du projet Total d'activités prévues QUELLE EST L EQUIPE ACTUELLE DE VOTRE PROJET? Quelle est sa composition et le rôle de chacun? Comment votre équipe est-elle actuellement structurée pour mettre en place le projet? Coordinatrice du projet (il s agit de la Directrice de l Association). Comptable Encadre l équipe qui intervient dans les actions, suivre le planning du projet, gère les ressources financières. Fait la comptabilité du projet Psychologue Secrétaire Intervention de 1 juriste Intervenant ateliers genre et santé sexuelle, estime de soi Aide à gérer la communication Séances sur les droits des migrants en Page 8 sur 10
9 (SAV) Intervention de 1 juriste (BAV) Médiatrice socio culturelle Guadeloupe. Séances sur les droits des migrants en Guadeloupe. Relais entre l association et les usagers, est co-responsable de l organisation de tous les ateliers. 1 socio esthéticienne Professionnelle de l alphabétisation Intervenant - Formation création d entreprise Animer les ateliers socio-esthétiques Responsable de la réalisation des ateliers d'alphabétisation. Intervenant - Formation création d entreprise Externe Externe Externe Page 9 sur 10
10 11. LE BUDGET DE VOTRE PROJET : Veuillez remplir la pré-grille budgétaire directement sur le fichier Excel qui vous a été donné. Répartition INTI Nbre unités Coût unité TOTAUX Total COM Total outils Total LCS Total Educ Pairs INITIATIVE ECO Section Ressources Humaines Responsable de coordination du projet Mois , , , ,00 Intervenant ateliers genre et santé sexuelle Heures ,00 800,00 Discussion sur les droits des migrants Heures ,00 640,00 Intervenant formation création d'entreprises Formation ,00 945,00 Intervenant ateliers d'alphabétisation Heures , ,00 Intervention d'une esthéticienne Heures ,00 240,00 Montage du dossier du projet - CCP Forfait ,00 480,00 480,00 240,00 Sous-total Section Ressources Humaines 20625,00 0, , , ,00 Section Charges Fixes Electricité (25,00 s/9 mois) Mois ,00 54,00 54,00 27,00 Communication (téléphone, internet, frais postaux) (30,00 s/9 mois) Mois ,00 64,80 64,80 32,40 Sous-total Section charges Fixes 297,00 0,00 118,80 118,80 59,40 Section Charges variables Achats de matériels : papiers, stylos, encre, cahiers Plusieurs 1500, ,00 Collation (52 ateliersx10 personnesx30 euros) Ateliers , ,00 Production support d'nformation en créole haïtiens : genre et santé sexuelle Support 500 0,2 100,00 100,00 VIH IST Production de supports d'information en créole haïtiens : Les droits des migrants Support 600 0,2 120,00 120,00 (accès aux soin, logement, etc ) Communication sur le projet Support ,2 200,00 200,00 Sous-total Section Charges Variables 3480,00 200, ,00 0,00 0,00 Section Déplacement et Hébergement Frais d'essences (40 euros/mois) Mois ,00 144,00 144,00 72,00 Formation à Saint-Martin, sur l'accès aux droits de migrants - COMEDE personne ,00 320,00 320,00 160,00 Sous-total Section Déplacement et Hébergement 1160,00 0,00 464,00 464,00 232,00 TOTAL INITIATIVE ECO 25562,00 200, , , ,40 Communication: COM Outils de COM: O LCS : lutte contre Stigmatisation Educ pairs : Formation de pairs Page 10 sur 10
Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailListe de vérification pour la planification des services d approche
Liste de vérification pour la planification des services d approche Janvier 2014 La présente liste de vérification s adresse aux praticiens de la santé publique qui font du travail de proximité auprès
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailProjet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement
Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement GUIDE DE DEMANDE DE SUBVENTION RESERVE AUX RESEAUX NATIONAUX DES FEMMES VIVANT AVEC LE
Plus en détailActeur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS
Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailContribution de Médecins du Monde
Contribution de Médecins du Monde Conférence nationale de lutte contre la pauvreté et les exclusions des 10 et 11/12/12 Thématique Hébergement / logement Cette contribution fait suite à la participation
Plus en détailPourquoi inclure la fourniture de services dans la proposition? Eléments à prendre en compte dans l analyse de situation
Aide technique pour les propositions de la série 8 du Fonds mondial Zone élargie Zone de fourniture de services Prévention Communication pour la modification du comportement écoles et extension communautaire
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailLES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES
LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES UN CONTEXTE PLEIN DE CONTRASTES Dans la plupart des pays analysés, un écart peut être observé entre les normes définies par les droits
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailRapport d'activité. http://clasches.fr contact@clasches.fr
2009 2010 Rapport d'activité http://clasches.fr contact@clasches.fr Sommaire 1. Présentation de l association...3 a. Historique...3 b. Objectifs de l association...3 c. Adhérent e s...4 d. Membres du bureau...4
Plus en détailSanté des étudiants et précarité : éléments de contexte
Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Réactualisation - novembre 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. :
Plus en détailrapport d activité 2010
rapport d activité 2010 Formation Orientation Santé Emploi Logement Mobilité 42/43 La Santé Dans le contexte d accompagnement global en Mission Locale, une prise en compte de tous les aspects de la vie
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailInégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle
Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle Le constat Des études de plus en plus nombreuses (1) (2) montrent que les déterminants socioéconomiques ont
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailPasser le relais au sein de son association. Création- Fonctionnement STRUCTURER
Création- Fonctionnement Passer le relais au sein de son association Une association est une organisation. Et comme toute organisation humaine, elle est soumise au cours de son existence à des changements
Plus en détailREPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature
REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS Document du 20 janvier 2015 I. Candidature Un organisme complémentaire qui ne dispose pas de l agrément dit «branche 2» peut-il
Plus en détailPrésentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC
Présentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC 6projets financés couvrant 7 régions pour un montant total 106 594 738 MRO dont 95 588 077MRO sur contribution FED. Un projet mis en œuvre par
Plus en détailVIH/SIDA ET GENRE SEXUEL Juillet 2006
VIH/SIDA ET GENRE SEXUEL Juillet 2006 1, rue Nicholas, Bureau 726, Ottawa ON K1N 7B7 Téléphone: (613) 233 7440 Télec: (613) 233 8361 Courriel: info@icad-cisd.com Site internet: www.icad-cisd.com INTRODUCTION
Plus en détailAction de soutien à la mobilité
UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailAnnée internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies
Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailChez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG
Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de
Plus en détailComment monter un projet de sécurité routière
Comment monter un projet de sécurité routière 2014 www.aisne.pref.gouv.fr Sommaire Avant-propos Les orientations générales Enjeux - orientations p3 p4 p5à7 Clarifiez votre projet p8 Comment monter votre
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailPHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes
PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,
Plus en détailLes formations initiale et continue ont pour objectif de permettre aux médiatrices/eurs de :
Programme National de médiation sanitaire FORMATION DES MEDIATRICES/EURS SANITAIRES Les formations initiale et continue ont pour objectif de permettre aux médiatrices/eurs de : 1. Etre capable de s'appuyer
Plus en détailAPPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE
APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailPRÉSENTATION DU SERVICE
PRÉSENTATION DU SERVICE Vous êtes un homme, une femme, un couple ou une famille, âgés de 18 ans et plus ayant des problèmes liés à des conduites addictives, atteintes ou non d infection virale. Le service
Plus en détailE/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais
Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence
Plus en détailOffre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)
Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailasdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid
Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences
Plus en détailAppel pour une politique stratégique et coordonnée de l'aide aux sans-abri 2014-2019
Cet appel sollicite les responsables des gouvernements afin qu'ils s'engagent à relever ces enjeux dès l entrée en fonction de la nouvelle législature. Appel pour une politique stratégique et coordonnée
Plus en détailPlan d action de la deuxième année de RUMI
Plan d action de la deuxième année de RUMI Itxaso CIORDIA UNICA Project manager EC Tempus Structural Measures grant agreement number 544134-TEMPUS-1-2013-1-BE-TEMPUS-SMGR Lot 5 : journées d études inclusion
Plus en détailPole Accompagnement Vers et Dans le Logement
DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE DU VAR SERVICE HEBERGEMENT ACCOMPAGNEMENT LOGEMENT Pole Accompagnement Vers et Dans le Logement Affaire suivie par : Yann FAVERIE ANNEXE 1 : CAHIER DES CHARGES
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailOutil d évaluation basée sur le genre des interventions nationales de lutte contre le VIH/SIDA
GUIDELINE 2014 Outil d évaluation basée sur le genre des interventions nationales de lutte contre le VIH/SIDA Vers des interventions de lutte contre le VIH/SIDA prenant en compte la dimension de genre
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détailRecrutement d un consultant. Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina. PlaNet Finance Madagascar
Termes de références Recrutement d un consultant Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina Version finale 15 janvier 2015 1 / 8 Sommaire I. Contexte 3 I.1. Au niveau international 3 I.2. Au niveau
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailAVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE
AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailREGLEMENT GENERAL DE LA MAISONS DES ASSOCIATIONS ROGER CHANRON
REGLEMENT GENERAL DE LA MAISONS DES ASSOCIATIONS 1) Objet de la Maison des associations La Maison des associations est un lieu de développement et de soutien de la vie associative. Elle doit permettre
Plus en détail2012-2016 4+4 4+4 2012-2016. Stratégie du Pôle Social. Stratégie du Pôle Social
2012-2016 Stratégie du Pôle Social 4+4 4+4 Stratégie du Pôle Social 2012-2016 »YɪàL G Ö dg á«é«jgî SG 4+4 2012-2016 Introduction Notre pays entre dans une nouvelle phase de construction d un projet national
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailMichel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER
Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE
Plus en détailSUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES
SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées
Plus en détailPeut-on aller partout?
Eric Fleutelot Sidaction XVe Assises & Xe Congrès de la Société Française de Lutte contre le Sida Nice - 29 & 30 octobre 2009 Pourquoi? Après la première décennie du sida (les années 80) : instauration
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailAide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées
Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact
Plus en détailLA LETTRE E D I T O DE MIIGRATIIONS SANTÉ. B onjour à tous, SOMMAIRE. Editorial. Les pôles de. Migrations Santé. Actions de terrain
LA LETTRE DE MIIGRATIIONS SANTÉ Mai 2013 E D I T O SOMMAIRE Editorial Les pôles de Migrations Santé Actions de terrain Documentation Information Formation Développement Agenda Migrations Santé 11 Rue Sarrette
Plus en détailNOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU
1/ Résultats de l enquête sur la couverture vaccinale et l accès aux soins de santé des populations roms sur Bruxelles 2/ Quelques bonnes pratiques: «film» 3/ Piste pour la suite NOUS SOIGNONS CEUX QUE
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailChaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.
Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailLES CONSTATS. Les difficultés généralement pointées par les usagers et les partenaires sont :
QUELQUES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE La conférence nationale contre la pauvreté et pour l inclusion sociale de (le 10 et 11 décembre 2012) a fait de la lutte contre les inégalités sociales une priorité nationale
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailFAVORIS Thématique Site Appréciation Commentaire Accès au droit
FAVORIS Thématique Site Appréciation Commentaire Accès au droit http://www.centre-inffo.fr/ **** Droit à la formation http://www.gisti.org/ ***** Droit des étrangers http://www.cimade.org/ **** Droit des
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE
PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN
Plus en détailAsie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan
Environnement opérationnel Kazakhstan Kirghizistan Ouzbékistan Tadjikistan Turkménistan Les abondantes réserves de pétrole et de gaz de l Asie centrale expliquent en partie l importance géopolitique que
Plus en détailDossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,
Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015
DIECCTE DR Pôle emploi et Îles du Nord Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en février 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A,
Plus en détailDemandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015
DIECCTE DR Pôle emploi Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en janvier 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A, B, C (en cvs) 24
Plus en détailHABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014
HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 Les évolutions récentes Remplacer «incurie» par «abandon» Abandon de soi, de son soin
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailVolet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»
Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard
Plus en détailSanté-social L action de la Région pour le bien-être de tous
Santé-social L action de la Région pour le bien-être de tous www.iledefrance.fr ÉDITORIAL Une politique sociale et de santé ambitieuse pour l Île-de-France Vue de loin, l Île-de-France est une région riche
Plus en détailregion guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA
region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page2
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailGUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE
FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution
Plus en détailLe VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques
Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment
Plus en détailAVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D INTERET AUPRES DE CONSULTANT INDIVIDUEL
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE SFAX FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES CENTRE DE DOCUMENTATION NUMERIQUE ET DE FORMATION
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détail