Activités de test externalisées : 5 conseils pour augmenter les chances de succès. Une dette technique ruineuse pour la DSI
|
|
- Guillaume Piché
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IT LA RÉFÉRENCE TECHNIQUE ON-LINE DES PROFESSIONNELS DE L'INFORMATIQUE Activités de test externalisées : 5 conseils pour augmenter les chances de succès Une dette technique ruineuse pour la DSI Ingénierie des Performances : une approche orientée performance pour sécuriser la disponibilité des applications en production Bimestriel - janvier/février 2012 n 95
2 édito 2012 : une année clé pour votre entreprise? Réseaux sociaux, s, audio-vidéo l explosion des volumes de données et des échanges en ligne repoussent chaque jour les limites nécessaires en infrastructure. Pour tenter d anticiper les besoins, éditeurs et constructeurs se démènent et innovent à grands pas : virtualisations, cloud, stockage, administration d infrastructure De multiples innovations ont pris leur essor en 2011, et secoué considérablement la gestion d infrastructure, ainsi que les modes de ventes des logiciels et du matériel. Fort heureusement, ces évolutions concrétisent généralement les démarches déjà imaginées pour améliorer la qualité et l efficacité des services informatiques (Itil, par exemple). Certes, toutes les entreprises n ont pas atteint le même stade de maturité informatique. Et, la résistance au changement est proportionnelle au degré élevé de remise en cause des pratiques traditionnelles. En outre, le SI existant -souvent pesant et rigide- ne favorise pas l évolutivité. Quoi qu il en soit, les entreprises qui montent dans le train de l innovation (même si elles nécessitent du temps pour implémenter les choses) profiteront d un avantage évident, avec le plus souvent un retour sur investissement appréciable. En 2012, votre entreprise restera-t-elle sur le quai? José Diz Rédacteur en Chef IT LA RÉFÉRENCE TECHNIQUE ON-LINE DES PROFESSIONNELS DE L'INFORMATIQUE Editeur Press & Communication France Une filiale du groupe CAST 3, rue Marcel Allégot Meudon - FRANCE Tél. : Fax. : redaction@it-expertise.com Rédacteur en chef José Diz j.diz@it-expertise.com Directeur de publication Aurélie Magniez a.magniez@it-expertise.com Conception Graphique Nicolas Herlem nico_freelance@yahoo.fr Parution IT-expert - (ISSN ) est un journal édité 6 fois par an, par P&C France, sarl de presse au capital de ,61. Avertissement Tous droits réservés. Toute reproduction intégrale ou partielle des pages publiées dans la présente publication sans l autorisation écrite de l éditeur est interdite, sauf dans les cas prévus par les articles 40 et 41 de la loi du 11 mars P&C France. Toutes les marques citées sont des marques déposées. Les vues et opinions présentées dans cette publication sont exprimées par les auteurs à titre personnel et sont sous leur entière et unique responsabilité. Toute opinion, conseil, autre renseignement ou contenu exprimés n engagent pas la responsabilité de Press & Communication. Abonnements Dossiers en accès libre : 2 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
3 IT-expert n 95 - janvier/février 2012 Sommaire 4 Dossier Activités de test externalisées : 5 conseils pour augmenter les chances de succès Après avoir défini les enjeux de l externalisation des tests (en off-shore, near-shore ou sur site), l auteur détaille les tâches et activités de tests et distille ses 5 conseils pour en déterminer le(s) périmètre(s) et mettre en place une méthode de suivi et de collaboration, avec des outils adaptés. Des conseils de terrain éprouvés et très utiles. 14 Technique Une dette technique ruineuse pour la DSI Combien coûte la correction de code d une application en production? Selon les choix technologiques, la note s avère plus ou moins salée. Démonstration à l aide de l enquête annuelle menée par l éditeur CAST qui analyse la qualité structurelle de 745 applications issues de 160 sociétés. 24 Actualités Internationales Les informations marquantes d éditeurs, de marchés, d organisme de standardisation, de débats en cours et de tendances 30 Comment ça marche? Ingénierie des Performances : une approche orientée performance pour sécuriser la disponibilité des applications en production Performance et disponibilité des applications sont des objectifs prioritaires pour les DSI. Cependant, ces questions sont généralement soulevées au moment du déploiement. Or, elles devraient être planifiées dès l origine du projet. Explications et approche méthodologique par des spécialistes d Atos. 37 Livres La sécurité dans le cloud Techniques pour une informatique en nuage sécurisée de Vic (J.R.) Winkler et Urbanisation, SOA et BPM - Le point de vue du DSI (4 e édition) de Yves Caseau. IT-expert n 95 - janvier/février
4 ACTIVITÉS DE TEST EXTERNALISÉES : 5 CONSEILS POUR AUGMENTER LES CHANCES DE SUCCÈS Le sujet de la «sous-traitance d activités de test» est présent dans tous les projets de développement informatique, ou presque. Cependant, ce thème est généralement abordé via la question de l Off-shore ou du Near-shore. Certes, la localisation géographique des activités de test revêt une importance à ne pas négliger, vu les spécificités qu elle peut introduire. Toutefois, il peut être aussi très utile de penser à mettre en place des outils ou méthodes simples et efficaces pour augmenter les chances de succès de la sous-traitance dans le domaine du test logiciel. 4 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
5 Dossier Qu entend-on par «externalisation des tests»? Dans le cadre d un projet informatique, le chef de projet sollicite régulièrement des compétences de personnes n appartenant pas à son équipe de projet. Ces «personnes n appartenant pas à l équipe du projet» peuvent appartenir à la même société ou bien à des sociétés externes, travaillant comme sous-traitants de la société porteuse du projet. Elles peuvent appartenir à une entité spécialisée dans un domaine précis ou au contraire être des ressources indépendantes mises à la disposition des projets. Enfin, ces personnes peuvent être localisées dans le même pays que le chef de projet ou dans un pays plus ou moins éloigné. Dans cet article, le mot «externalisé» désignera ce qui n est pas fait pas des personnes intégrées à l équipe du projet. Ceci est valable pour une grande partie des activités liées au développement logiciel, y compris pour les principales activités de test qui peuvent se décliner sur différents niveaux de test. Pour rappel, le syllabus niveau fondation de l ISTQB (International Software Testing Qualifications Board) propose 5 ensembles d activités : Planifier et contrôler Analyser et concevoir Implémenter et exécuter Évaluer les critères de sortie et informer Activités de clôture des tests Ces activités peuvent se décliner sur 4 niveaux de test : Composants Intégration Système Acceptation Sur les gros projets, il est en général judicieux de mettre en place, à un niveau global, une activité de Planification et Contrôle. Planifier Composant 1 Contrôler Contrôler Planifier Analyser et concevoir Implémenter et exécuter Évaluer et informer Clôturer Intégration Système Acceptation Clôturer IT-expert n 95 - janvier/février
6 Il convient ensuite de déterminer si tout peut être sous-traité. Théoriquement, oui. Dans la pratique, certaines tendances se dégagent : les activités de test liées au niveau composant sont souvent portées par l entité en charge des développements correspondants, et se déroulent avant, pendant et après le développement pur et dur. En d autres termes, si le développement d un composant est sous-traité, alors les activités de test associées ont de fortes chances de l être aussi ; les activités de test liées aux niveaux Intégration et Système sont sous-traitées environ une fois sur deux ; les activités de test liées au niveau Acceptation ne sont en général pas sous-traitées, compte tenu des compétences métiers nécessaires, ainsi que de l utilisation de données confidentielles et d environnements techniques complexes et coûteux. Pour les projets suivant une démarche «agile», la situation est différente. Néanmoins, c est un autre sujet! Dans cet article, la notion de «sous-traitance d activités de test» désignera essentiellement les activités appliquées au niveau composant lorsque le développement est sous-traité et les activités mises en œuvre aux niveaux Intégration et système. Un grand projet de transformation dans une grande multinationale Une grande société, présente dans différents pays, fait évoluer son Système d Information (SI) dans le cadre d un vaste projet de transformation. Le SI est constitué d un ensemble d applications couvrant différents domaines techniques ou métiers. Ce projet va donner lieu à l introduction de nouvelles applications et à la modification ou suppression de certaines autres applications, selon les exigences définies par la société porteuse du projet global. Différents sous-traitants se partagent le développement des applications, un sous-traitant étant en charge de plusieurs applications. Un sous-traitant, différent des précédents, est chargé de l ensemble des tests d intégration. Enfin, la société porteuse du projet global est aussi chargée des tests d acceptation. Domaine métier 1 Application 2 Application 14 Application 17 Application 12 Application 8 Plateformes et Réseaux Application 13 Application 1 Application 3 Application 9 Domaine métier 2 Application 16 Application 11 Application 7 Application 15 Application 6 Application 5 Application 10 Application 4 Sous-traitant 1 Sous-traitant 2 Société et un troisième sous-traitant en charge des tests d intégration! 6 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
7 Dossier Conseil n 1 : Mesurer les compétences de chaque sous-traitant et en tirer les conséquences Ceci doit être fait au niveau de l entreprise, mais aussi -et surtout- au niveau des personnes impliquées dans le projet, et ce de manière constructive et factuelle. Une restitution doit être partagée avec le sous-traitant et déboucher, si nécessaire, sur un plan d amélioration suivi de près. Il est en général utile d avoir dans sa boîte à outils des connaissances sur : CMMI (Capability Maturity Model + Integration), TMMI (Test Maturity Model Integration), ISTQB/CFTL (International Software Testing Qualifications Board/Comité Français des Tests Logiciels) pour différentes normes et standards référencés : IEEE 829, IEEE 1044, ISO 9126 Cependant, avant de sortir l artillerie lourde, il est prudent de vérifier que le sous-traitant maîtrise les bases incontournables du test logiciel. Pour cela, un simple questionnaire peut suffire à déceler de vraies lacunes. Par exemple, un sous-traitant qui, à la question «Quel outil utilisez-vous pour gérer les défauts?» répond (comme cela m est arrivé récemment) «Nous utilisons l et le téléphone» aura à priori un niveau très faible en test logiciel. Il conviendra alors de définir un plan d amélioration pour le sous-traitant et de le suivre pour assurer la mise en place de pratiques incontournables, comme celles indiquées dans l exemple ci-dessous. Description Affecter un Test Manager à temps plein pour les activités de test du Sous-Traitant 1 Apporter la preuve de la couverture du code et des exigences par les tests (mesure et matrice de traçabilité) Revoir les cas de test unitaires du niveau composant Mettre en place un Outil de Gestion des Tests pour les tests 2 à 2 Mettre en place un Outil de Gestion des Anomalies partagé avec les différents sous-traitants Bénéfice attendu Meilleure gestion et efficacité de ses activités de test Disposer de preuves et garanties sur le nombre de tests exécutés et leur couverture Augmenter l efficacité des tests de ce niveau et leur documentation Aller plus vite, faire mieux et avoir une bonne visibilité sur ces tests Mieux gérer les anomalies, avoir de la visibilité sur l avancement de la gestion des défauts Attention : il n est pas acceptable d entendre un sous-traitant en charge du développement d un certain nombre de composants dire «Je suis responsable des développements, vous serez livrés, mais je n ai aucune preuve à vous donner sur les tests que je réalise» Si cela se produit, la séquence de questions suivante doit permettre d aider le sous-traitant à rapidement retrouver le bon sens qu il avait perdu : «Allez-vous me livrer un composant sans l avoir testé?» «Avez-vous réfléchi à la façon de le tester?» «Avez-vous documenté votre stratégie de test?» «Allez-vous exécuter des tests?» «Où ces tests sont-ils décrits?» «Quels sont les résultats de ces tests?» Bien sûr, toute réponse doit s accompagner d un document faisant office de preuve! IT-expert n 95 - janvier/février
8 Conseil n 2 : identifier et définir le plus haut niveau de test Quand une partie des activités de développement et de test est externalisée, il devient plus difficile d avoir une vision globale sur l ensemble des activités de test d un projet. Pourtant, cet aspect est indispensable pour gérer correctement le projet de test et coordonner les activités qui se déroulent aux différents niveaux. La notion de «plan de test maître» («Master Test Plan») telle qu introduite par la norme IEEE prend alors tout son sens. Ce plan de test maître permettra non seulement de définir et contrôler une planification globale de l activité de test sur l ensemble du projet, mais aussi d identifier les différents niveaux de test et les plans de test associés. Pour un composant dont le développement est sous-traité, il conviendra alors de demander au soustraitant, s il est également en charge des tests. Un Plan de Test de niveau Intégration pourra aussi être exigé auprès d un sous-traitant en charge de l intégration. Externaliser une activité de test ne signifie pas «perdre contrôle et visibilité» sur celle-ci. Bien au contraire! Dans l exemple ci-dessous, un «Master Test Plan» a permis de définir une stratégie globale de test pour un projet complexe d évolution d un SI, faisant appel à de nombreux sous-traitants. Par exemple, chaque composant développé a donné lieu à la rédaction d un Plan de Test référencé par le Plan de Test maître. CCCCCCCi Description à haut niveau et pilotage Description détaillée pour chaque niveau BIT R2B Plan de Test OSS BIT R2B Plan de Test BSS DDSI DPS AAAAAAA Niveau Composant FIP S1D0 Master Test Plan BIT R2B Plan de Test Statique OSP Niveau Statique Test Manager global BAS2010 Network and Platform Plan de Test d Intégration DPS BIT R2B IT and IT with Network & Platforms Plan de Test d Intégration MMM Niveau Intégration FIP S1D0 Plan de Test UAT Internal Niveau Acceptation 8 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
9 Conseil n 3 : Généraliser les revues qui sont un outil d une rentabilité exceptionnelle! Qu'est-ce qu une revue? C est tout simplement une «évaluation d un état d un produit ou projet pour déceler des déviations par rapport aux résultats planifiés et recommander des améliorations» [IEEE 1028] Qu est-ce qui peut être revu? Tout ou presque! Cependant, lorsque des activités de développement et de test sont externalisés, les revues présentent un intérêt particulier pour 3 produits qui sont rarement revus : les plans de test les tests les bordereaux de livraison Même si lorsqu un sous-traitant est en charge des tests unitaires du composant qu il développe, revoir le Plan de Test associé permettra d avoir des garanties sur la façon avec laquelle ce composant sera testé. L exemple suivant montre le résultat d une revue effectuée sur 5 plans de test réalisés par un sous-traitant sur la base d un même modèle (template). Chaque ligne correspond à un plan de test et chaque colonne à un chapitre du plan de test. Cette revue a mis en évidence une grande faiblesse concernant le test chez le sous-traitant et a donné immédiatement lieu à un plan d action d amélioration. Qualité des différentes sections des Plans de Test : n Bonne n Moyenne n Faible Revue des Plans de Test Unitaires (chapitre par chapitre) 1.1 INTRODUCTION 1.2 RÉFÉRENCES 2.1 JALONS DU PROJET GLOBAL 2.2 JALONS DU PROJET DE TEST 3 ÉLÉMENTS À TESTER 4 CARACTÈRISTIQUES À TESTER 5 CARACTÈRISTIQUES À NE PAS TESTER 6.1 CRITICITÉ DES CARACTÈRISTIQUES À TESTER 6.2 EFFORT DE TEST 6.3 NIVEAUX DE TEST 6.4 TECHNIQUES DE TEST 6.5 PRIORISATION DE L EXÉCUTION DES TESTS 6.6 AUTOMATISATION DES TESTS 6.7 SUIVI ET CONTRÔLE DE L AVANCEMENT DES TESTS 6.8 GESTION DE CONFIGURATION 6.9 GESTION DES ANOMALIES 6.10 UTILISATION DES OUTILS DE TEST 6.11 RESPECT DE LA QUALITÉ 7. BESOINS EN ENVIRONNEMENTS 8. BESOINS EN RESSOURCES ET FORMATIONS 9.1 RÔLES ET RESPONSABILITÉS 9.2 CONCEPTION DES TESTS 9.3 EXÉCUTION DES TESTS 10. CRITÈRES D ARRÊT ET DE REPRISE DES TESTS 11. LIVRABLES 12. RISQUES ET CONTINGENCES 13. CRITÈRES DE PASSAGE OU ÉCHEC Documents FIM_R2B_Plan Pruebas 2a2_ ACTIVACION_v1.0.doc FIM_R2B_Plan Pruebas 2a2_EAI Fijo_v1.0.doc FIM_R2B_Plan Pruebas 2a2_ FENIX_v1.0.doc FIM_R2B_Plan Pruebas 2a2_ SIAM_v1.0.doc FIM_R2B_Plan Pruebas 2a2_ TIBC05_v1.0.doc Les tests eux-mêmes peuvent aussi être revus. Bien entendu, il conviendra de vérifier que chaque test est associé à une caractéristique à tester (ou exigence), que le format est correct, mais aussi que le test est pertinent. La revue des tests doit être effectuée par des personnes disposant des compétences techniques ou fonctionnelles adéquates. Enfin, la revue des bordereaux de livraison peut également apporter beaucoup. En effet, ce document s avère primordial pour assurer le démarrage de l intégration dans de bonnes conditions. Un composant livré avec un bordereau de livraison incomplet, sans procédure d installation -par exemple, posera des problèmes à l intégration. L idéal serait même d organiser des revues anticipées des bordereaux de livraison. Rien n empêche d exiger d un sous-traitant qu il fournisse une première version de chaque bordereau de livraison une semaine avant la date de livraison finale. Cela permet aux personnes en charge de l intégration de les revoir, de vérifier leur qualité et de demander les corrections nécessaires, sans retarder la livraison! IT-expert n 95 - janvier/février
10 Conseil n 4 : L analyse de code outillée : un outil à utiliser absolument, mais avec maîtrise! L analyse statique de code, à la différence des revues de code classiques faites par des développeurs, est en général réalisée avec un outil de test spécifique. Le principe est simple : le code développé est analysé, sans être exécuté, afin d évaluer sa qualité selon différents critères, bonnes pratiques ou règles de codage. Lorsque les développements sont sous-traités, l utilisation de ce type d outil est précieuse, car elle peut aider le sous-traitant à respecter les règles de développement et les exigences sur la qualité formulées par l entreprise cliente. L outil peut aussi permettre de vérifier la qualité d un code livré avant de l accepter. Toutefois, cet outil doit être bien maîtrisé, car différentes difficultés - nous en verrons deux ci-après - peuvent se présenter. Heureusement, à chaque difficulté correspond en général une solution! Première difficulté : si l utilisation d un tel outil, avec des critères d acceptation de livraison, n a pas été contractualisée avec le sous-traitant, il risque de refuser de modifier son code. L idéal consiste bien sûr à avoir défini les règles du jeu dès le départ et à permettre au sous-traitant d analyser son code au fur et à mesure du développement. Mais si cela n a pas été fait, rien n empêche d analyser le code livré. Il faudra alors considérer 2 types de violations de règles de codage : des règles basiques, incontestables, qui correspondent à l état de l art en matière de développement et qu il n est pas possible de contourner, au risque de mettre en péril le système dans lequel le code sera intégré. Sur ces règles, il est légitime de se montrer intransigeant et d exiger les modifications nécessaires de la part du sous-traitant, sans supplément de coût. des règles propres à l entreprise et à ses objectifs spécifiques en termes de qualité de code. Si ces règles n ont pas été précisées à l avance, il sera sans doute nécessaire d établir un avenant et d accorder des jours supplémentaires au sous-traitant pour les appliquer. Deuxième difficulté : le sous-traitant est chargé de faire évoluer un code existant pour ajouter, supprimer ou modifier des fonctionnalités. Il faudra bien sûr veiller à faire la distinction entre le code d origine et le nouveau code, mais cela ne suffit pas. En effet, faire évoluer un code qui ne respecte pas des règles de codage contraint souvent à rester dans le non-respect des règles. Par exemple, faire évoluer une fonction, ayant un nombre trop important de lignes de code ou un nombre insuffisant de commentaires ne permettra pas de respecter les règles relatives à la taille d une fonction et aux commentaires attendus. Dans ce cas il est conseillé de coopérer intelligemment avec le sous-traitant, d une part, pour fixer des objectifs réalistes sur une partie de ses développements ; d autre part, pour envisager la réécriture d une partie du code. Bien sûr, cela a un prix, comme tous les aspects contribuant à l amélioration de la qualité! Un outil comme CAST attribue une note globale sur la qualité du code analysé, mais également plusieurs vues aussi détaillées que souhaité, pour voir précisément quelles règles ne sont pas respectées et à quel endroit! 10 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
11 Dossier Note globale Un exemple de vue détaillée IT-expert n 95 - janvier/février
12 Conseil n 5 : Construire une relation de confiance avec le sous-traitant Cela va de soi, mais il est important de le rappeler : le moyen le plus efficace de travailler avec des sous-traitants, dans le domaine du test, mais aussi pour l ensemble des activités du développement logiciel, est de bâtir une relation de confiance intelligente. Des relations figées sur un contrat défini au début du projet avec des délais, des coûts et des critères d acceptation inflexibles, auront peu de chance de se transformer en succès mutuel. S il est essentiel de contrôler l activité de test des sous-traitants, il est tout aussi primordial de leur préciser des attentes et de les aider à les respecter. Être ferme mais coopérant! Cela peut, et doit même, se traduire par des échanges réguliers qui prendront la forme de réunions de suivi entre tous les acteurs, mais aussi de visites dans les locaux du sous-traitant. Établir un contact et dialoguer de temps en temps avec les équipes du sous-traitant pourront montrer aux personnes impliquées, manager ou «petites mains», qu ils travaillent pour un client qui a un visage et qui compte sur la qualité de leur travail. Lorsque plusieurs sous-traitants sont impliqués dans un grand projet, il est également très utile de les rassembler pour arbitrer les choix et gérer au mieux les difficultés et conflits éventuels entre sous-traitants. Au-delà des points de vigilance classiques mis en œuvre lorsque certaines activités de test sont externalisées, il existe des moyens simples et efficaces à appliquer pour augmenter les chances de succès de l externalisation. n Eric Riou du Cosquer, Trésorier du CFTL (Comité Français des Tests Logiciels) Secrétaire de l ISTQB, Test Manager Senior chez France Télécom Diplômé de l Ecole d Ingénieurs de Brest (Informatique Industrielle), Eric Riou du Cosquer a commencé sa carrière en 2000, en qualité de Chef de Projet au sein des sociétés CSC PeatMarwick, puis Softeam de 2000 à 2003, avant de rejoindre la division R&D de France Télécom. Depuis 2007, Eric exerce en qualité de Consultant et Formateur sur l ensemble du groupe France Télécom, en France et à l étranger. Il participe également à l amélioration continue des processus et pratiques de test et est amené à conduire des audits internes ou externes pour différentes divisions de France Télécom. Depuis 2002, il a dispensé plusieurs conférences et formations dans le domaine des tests de logiciels. En tant qu expert, Eric Riou du Cosquer est également membre du groupe de travail international pour la définition du Syllabus Avancé de l ISTQB, Responsable de la création de la version française et fût Président du Club utilisateurs de Mercury France, de 2008 à Site web : tresorier@cftl.net 12 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
13 IDC, filiale du leader mondial du conseil, et des études dans les technologies de l information. Dans un contexte de budgets sous tension et de récession rampante, les entreprises françaises ne cessent de relever leur niveau d exigence vis-à-vis de la DSI. IDC vous donne rendez-vous mercredi 14 mars 2012 (9h 15h00), à Paris, pour participer à la conférence «Gouvernance IT : la DSI exemplaire» Cette conférence se focalisera, à l aide de partages d expériences récentes, sur les axes de progrès suivants : Quelles approches et indicateurs pour rendre compte de la bonne gestion de la DSI et valoriser sa contribution à la performance et à l innovation de l entreprise? Comment construire des contrats de services toujours plus en phase avec les attentes des métiers? Comment opérer des transformations majeures comme la virtualisation des environnements critiques sans remettre en cause les acquis en termes de disponibilité, de fiabilité et de sécurité? Comment gagner en visibilité, en contrôle et en transparence sur les portefeuilles de projets? Comment prioriser et obtenir les arbitrages nécessaires? Comment dégager des marges de manœuvre et du temps disponible pour l innovation métier? Le cabinet IDC vous propose d aborder en trois temps l ensemble des réalités que couvre cette thématique: Vision IDC gouvernance IT : concilier rationalisation et innovation : quelles approches? Quelles solutions? La DSI exemplaire en période de tension La DSI partenaire des métiers pour innover Avec le témoignage de Jean-Philippe LABILLE, Relations métiers, Gouvernance du Schéma Directeur des SI, Sous-Direction des Systèmes d Information au Ministère de la culture Programme détaillé et inscription gratuite : Code invitation : ITX Contact : Valérie Rolland vrolland@idc.com tel : Cette conférence gratuite est uniquement réservée aux entreprises utilisatrices. Conférence organisée par
14 Une dette technique ruineuse pour la DSI Une large part des 70 % du budget IT consacrés à la maintenance concerne la correction du code d applications en production. Souvent plusieurs centaines de milliers d euros. L enquête annuelle de CAST compare la qualité applicative des technologies et langages de 745 applications. 14 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
15 Technique La notion de dette technique fait référence au coût nécessaire à l entreprise qui doit remédier aux défauts cachés de ses applications en production. Du moins, à ceux qui représentent un risque ou une menace pour l application concernée, et donc un impact négatif pour les activités de l entreprise dont elle contribue au fonctionnement. Cette dette technique s avère d autant plus dommageable qu elle est rarement budgétée, ou qu elle dépasse généralement les réserves financières estimées par les entreprises les plus prudentes. En 2010, de grandes affaires liées à une dette technique ont défrayé la chronique informatique : Toyota, Sony ou encore RIM, le constructeur du BlackBerry qui a plongé ses utilisateurs dans la nuit numérique pendant de longues heures Autant d exemples qui illustrent la réalité du phénomène. Dans son étude annuelle CRASH Report (pour CAST Report on Application Software Health), l éditeur CAST (leader mondial de l analyse et de la mesure des applications) explique le rôle majeur de la qualité et se propose de poser une «base objective et empirique pour discuter de la qualité structurelle des applications, c'est-à-dire dans quelle mesure les applications souffrent des défauts qui jalonnent leur code». «Les problèmes que nous avons remontés auraient dû être traités avant la mise en production. C est comparable au fait d ignorer les termites qui détruisent la charpente de votre maison» explique le Dr Bill Curtis, directeur scientifique, vice-président du centre de recherche de CAST et directeur du consortium pour la qualité logicielle (CISQ). Un trou de plusieurs milliards de dollars Première mondiale, l étude s appuie sur l analyse automatisée de la qualité structurelle de 745 applications issues de 160 sociétés dans 10 secteurs d activité. Pour un total de 365 millions de lignes de code! Une analyse visant à évaluer ces applications selon 5 facteurs : la sécurité, la performance, la robustesse, la «transférabilité» et l évolutivité (capacité à être modifié). Objectif : mettre en relief les problèmes générant les plus gros risques pour les directions fonctionnelles (ou métier). L estimation prudente des auteurs de l étude ramène la dette technique à 3,61 dollars par ligne de code. 24 % des 745 applications concernées comptent moins de lignes de code, 33 % entre et lignes de code, 31 % en contiennent de à , et 12 % affichent plus d un million de lignes de code! Les applications Java-EE représentent 46 % de cet échantillon, tandis que.net, ABAP (Advanced Business Application Programming, langage de SAP) COBOL, et Oracle Forms sont représentés à hauteur de 7 % à 11 %. Cobol reste le plus sûr et.net le moins IT-expert n 95 - janvier/février
16 Certes, toutes les applications ne sont pas critiques. Néanmoins, elles contribuent généralement toutes à des processus dont plusieurs aspects sont stratégiques pour l entreprise. C est pourquoi le volet sécurité se révèle primordial. Les applications Cobol tant décriées voire moquées, restent cependant les plus sécurisées, et de loin. Un résultat rassurant, car nombre d applications majeures et fortement transactionnelles sont écrites dans ce langage, dont les experts se font de plus en plus rares. Et l étude précise justement que les applications financières et des assureurs sont les mieux notées sur l aspect sécurité. Un constat logique, puisque la plupart de ces programmes est exécutée dans des environnements mainframe, plus fermés et hautement sécurisés. Les auteurs précisent que ces applications, souvent les plus anciennes, bénéficient pleinement d un historique en sécurité qui les a aussi rendus plus fiables. Les applications développées en.net ou Visual Basic enregistrent les plus faibles scores. Longtemps réservés à des applications moins stratégiques, ces technologies (et surtout.net) gèrent aujourd hui des applications critiques. Espérons que les responsables de ces projets se montreront plus vigilants sur tous ces aspects. Une tendance qui doit certainement se dégager aujourd hui face aux obligations de conformité réglementaire, et qui explique certainement qu une partie de ces applications obtiennent un score plus élevé. Autre constat intéressant, si l on examine la sécurité des applications par secteur d activité, les services financiers et la grande distribution arrivent en tête, tandis que le consulting informatique arrive bon dernier! L étude explique cela par le fait que les prestataires informatiques, hébergeur ou outsourcers, ont hérité d applications dont d autres entreprises leur ont confié la maintenance et l évolution. Or, ces dernières ont souvent été développées sans réelle stratégie et de sécurité et à une époque où les bonnes pratiques en la matière restaient encore confidentielles. Bref : ils ont accepté de prendre en charge la patate chaude 16 IT-expert n 95 - janvier/février 2012
QU EST CE QUE LE CLOUD COMPUTING?
En France, on parle plus volontiers d «informatique en nuage» 1 pour décrire ce concept. Apparu au début des années 2000, le cloud computing constitue une évolution majeure de l informatique d entreprise,
Plus en détailLes ressources numériques
Les ressources numériques Les ressources numériques sont diverses et regroupent entre autres, les applications, les bases de données et les infrastructures informatiques. C est un ensemble de ressources
Plus en détailGouvernance & Influence des Systèmes d Information. 2 Décembre 2014
Gouvernance & Influence des Systèmes d Information 2 Décembre 2014 Sommaire Contexte Economique, Technologique & Sociétal Professionnalisation de la DSI Gouvernance des Systèmes d Information Influence
Plus en détailIBM Software Business Analytics. IBM Cognos FSR Automatisation du processus de reporting interne
IBM Software Business Analytics IBM Cognos FSR Automatisation du processus de reporting interne 2 IBM Cognos - FSR Automatisation des processus de reporting interne IBM Cognos Financial Statement Reporting
Plus en détailde la DSI aujourd hui
de la DSI aujourd hui Partout, l industrialisation de l IT est en cours. ITS Group accompagne ce mouvement avec une palette de compétences exhaustives permettant de répondre aux principaux challenges que
Plus en détailAnalytics Platform. MicroStrategy. Business Intelligence d entreprise. Self-service analytics. Big Data analytics.
Business Intelligence d entreprise MicroStrategy Analytics Platform Self-service analytics Big Data analytics Mobile analytics Disponible en Cloud Donner l autonomie aux utilisateurs. Des tableaux de bord
Plus en détailVers une IT as a service
Vers une IT as a service 1 L évolution du datacenter vers un centre de services P.2 2 La création d une offre de services P.3 3 La transformation en centre de services avec System Center 2012 P.4 L évolution
Plus en détailAlignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets
Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets Le CIGREF, dans son livre blanc de 2002, précise que «l alignement stratégique de l organisation sur le métier est le fait de mettre en
Plus en détailtransformer en avantage compétitif en temps réel vos données Your business technologists. Powering progress
transformer en temps réel vos données en avantage compétitif Your business technologists. Powering progress Transformer les données en savoir Les données sont au cœur de toute activité, mais seules elles
Plus en détailHySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé
www.thalesgroup.com SYSTÈMES D INFORMATION CRITIQUES ET CYBERSÉCURITÉ HySIO : l infogérance hybride avec le cloud sécurisé Le cloud computing et la sécurité au cœur des enjeux informatiques L informatique
Plus en détailTransformation vers le Cloud. Premier partenaire Cloud Builder certifié IBM, HP et VMware
Transformation vers le Cloud Premier partenaire Cloud Builder certifié IBM, HP et VMware 1 Sommaire Introduction Concepts Les enjeux Modèles de déploiements Modèles de services Nos offres Nos Références
Plus en détailLes rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance
Risk Advisory Février 2014 Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Des points de vue sur vos sujets de préoccupation dans les domaines de la gestion des risques,
Plus en détailTirez plus vite profit du cloud computing avec IBM
Tirez plus vite profit du cloud computing avec IBM Trouvez des solutions de type cloud éprouvées qui répondent à vos priorités principales Points clés Découvrez les avantages de quatre déploiements en
Plus en détailOffice 365 pour les établissements scolaires
Office 365 pour les établissements scolaires Tous les services destinés aux écoles, aux enseignants et aux élèves en un coup d oeil Sommaire the microsoft visual identity INTRODUCTION... 3 VUE D ENSEMBLE...
Plus en détailArchitectures informatiques dans les nuages
Architectures informatiques dans les nuages Cloud Computing : ressources informatiques «as a service» François Goldgewicht Consultant, directeur technique CCT CNES 18 mars 2010 Avant-propos Le Cloud Computing,
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailNaturellement SaaS. trésorier du futur. Livre blanc. Le futur des trésoriers d entreprise peut-il se concevoir sans le SaaS?
trésorier du futur Le futur des trésoriers d entreprise peut-il se concevoir sans le SaaS? Le futur des trésoriers d entreprise peut-il se concevoir sans le SaaS? Sommaire 1 Le SaaS : du service avant
Plus en détailLA GESTION DES SERVICES INFORMATIQUES À L'ÉPREUVE DU TERRAIN
ÉTUDE ITIL ITIL/ITSM ITSM Novice ou expert? LA GESTION DES SERVICES INFORMATIQUES À L'ÉPREUVE DU TERRAIN Sondage réalisé auprès de 93 entreprises pour le compte d'ibm conception graphique et réalisation
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailRegard sur hybridation et infogérance de production
Regard sur hybridation et infogérance de production Février 2014 édito «comment transformer l hybridation des infrastructures en levier de performances?» Les solutions d infrastructure connaissent depuis
Plus en détailINTEGRATEURS. Pour un Accompagnement Efficace vers le Cloud SUPPORT DE FORMATION, INFORMATION, COMMUNICATION
INTEGRATEURS Pour un Accompagnement Efficace vers le Cloud SUPPORT DE FORMATION, INFORMATION, COMMUNICATION PEBV4.0ABU27022014 EFFECTIF 26 personnes : 45 % technique 45 % commerce 10 % admin CHIFFRES Basée
Plus en détailNe laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement
Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de
Plus en détailPetit guide pour choisir une solution CRM
Petit guide pour choisir une solution CRM Trouvez la solution qui vous convient» Nos clients sont plus performants. www.update.com Avant-propos Le CRM est en passe de devenir le principal logiciel de l
Plus en détailGarantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale
LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service
Plus en détailDéveloppez. votre entreprise. avec Sage SalesLogix
Développez votre entreprise avec Sage SalesLogix Prospectez, fidélisez, développez Sage SalesLogix est la solution de gestion de la relation client puissante et sécurisée qui vous offre une vision complète
Plus en détailLIVRE BLANC. Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités
Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités Sommaire Les défis de la gestion des vulnérabilités 3 Identification des principales faiblesses 3 Développement d un programme efficace
Plus en détailL I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i n f r a m e, un b e s o i n c r u c i a l
Siège social : 5 Speen Street Framingham, MA 01701, É.-U. T.508.872.8200 F.508.935.4015 www.idc.com L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i
Plus en détailLes bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information
Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information 2 mai 2011 2 Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Introduction Sur un
Plus en détailCHOIX ET USAGES D UNE TABLETTE TACTILE EN ENTREPRISE
Tablette tactile, ardoise électronique 1 ou encore tablette PC, ce terminal mobile à mi-chemin entre un ordinateur et un smartphone a d abord séduit le grand public avant d être adopté par les entreprises.
Plus en détailPerformance 2010. Eléments clés de l étude
Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.
Plus en détailDossier de Presse SYLOB
Dossier de Presse SYLOB 1 Table des matières 1 - SYLOB en Bref 3 2 L équipe dirigeante 5 3 Stratégie et positionnement 6 4 Une gamme de solutions ERP pour les PME industrielles 8 5 Les ERP SYLOB en mode
Plus en détailArticle 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé
Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé Sponsored by Mentions relatives aux droits d'auteur 2011 Realtime Publishers. Tous droits réservés. Ce site contient des supports
Plus en détailLa Gouvernance IT en France : de nombreuses avancées, encore beaucoup à faire
La Gouvernance IT en France : de nombreuses avancées, encore beaucoup à faire IDC France, Conférence Gouvernance IT 6 Avril 2011 www.idc.fr Cyril Meunier IDC France Research & Consulting Manager Copyright
Plus en détailTRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé. Shadow IT, la menace fantôme. Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques.
TRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé Shadow IT, la menace fantôme Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques. Par Sébastien Faivre Chief Marketing Officer de Brainwave Shadow IT, la menace
Plus en détailLa société CAST a conçu une série de rapports visant à dégager les tendances actuelles relatives à la qualité structurelle
La qualité structurelle à travers le globe La qualité structurelle se réfère aux caractéristiques intrinsèques et non fonctionnelles d une application, c est-à-dire à l aplomb de son architecture et à
Plus en détailStratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine
Plus en détailpour Une étude LES DÉFIS DES DSI Avril 2013
Une étude pour LES DÉFIS DES DSI Avril 2013 Présentation de l étude Objectifs : Faire le point sur les orientations IT des DSI : cloud, mobilité, sécurité, poste de travail Identifier les principaux défis
Plus en détailVers un nouveau modèle de sécurité
1er décembre 2009 GS Days Vers un nouveau modèle de sécurité Gérôme BILLOIS - Manager sécurité gerome.billois@solucom.fr Qui sommes-nous? Solucom est un cabinet indépendant de conseil en management et
Plus en détailConception d une infrastructure «Cloud» pertinente
Conception d une infrastructure «Cloud» pertinente Livre blanc d ENTERPRISE MANAGEMENT ASSOCIATES (EMA ) préparé pour Avocent Juillet 2010 RECHERCHE EN GESTION INFORMATIQUE, Sommaire Résumé........................................................
Plus en détailProtéger et héberger vos donnés métiers : les tendances cloud et SaaS au service des entreprises
Livre Blanc Protéger et héberger vos donnés métiers : les tendances cloud et SaaS au service des entreprises Cloud et info financière : Labrador mise sur le cloud Spécialisée dans la communication financière
Plus en détailP résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)
P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des
Plus en détailEdition FR. Sujets Se connecter Plus
1 sur 7 17:09 Edition FR Sujets Se connecter Plus Sujet: Réseau social Suivre via: Société : Une étude paneuropéenne menée dans 25 pays révèle que 38% des 9-12 ans possèdent un profil sur un réseau social
Plus en détailRecommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing
Recommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing D un point de vue juridique, la CNIL constate que le Cloud computing soulève un certain nombre de difficultés
Plus en détailÉtat du transfert de fichiers en 2011
État du transfert de fichiers en 2011 OpenText Connectivity Solutions Group Décembre 2011 Résumé Le présent document détaille les conclusions d une étude réalisée cette année par OpenText sur le processus
Plus en détailSélection d un moteur de recherche pour intranet : Les sept points à prendre en compte
Sélection d un moteur de recherche pour intranet : Les sept points à prendre en compte 1Les bases : vos objectifs 2 Sélection d un moteur de recherche pour intranet : Les sept points à prendre en compte
Plus en détailimpacts du Cloud sur les métiers IT: quelles mutations pour la DSI?
impacts du Cloud sur les métiers IT: quelles mutations pour la DSI? Intervenants : Diarétou Madina DIENG Directrice Développement Orange business Services Sénégal Brutus Sadou DIAKITE Directeur Systèmes
Plus en détailEFIDEM easy messaging systems. EFIDEM SAS 3 rue de Téhéran 75008 Paris T : 01 46 40 10 86 F : 01 70 55 50 20 Email : info@efidem.
EFIDEM easy messaging systems 3 rue de Téhéran 75008 Paris T : 01 46 40 10 86 F : 01 70 55 50 20 Email : info@efidem.com Copyright 2012 Reproduction Interdite sans l accord écrit d EFIDEM Date du document
Plus en détailL entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis
ÉTUDE TECHNIQUE L entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis Pour une entreprise, l informatique en nuage constitue une occasion majeure d améliorer
Plus en détailVeille Technologique. Cloud-Computing. Jérémy chevalier
E6 Veille Technologique Cloud-Computing Jérémy chevalier Table des matières DESCRIPTION :...2 Introduction :...2 Définition du Cloud :...2 Exemple de serveur proposant la solution de Cloud :...2 Les spécificités
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détail10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft SharePoint
10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft SharePoint SharePoint constitue certes un outil collaboratif précieux. Mais gare aux risques pour votre entreprise. 10 bonnes pratiques de sécurité dans Microsoft
Plus en détailZOOM SUR. le métier du SFE. N 5 Janvier 2012. Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique
Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique N 5 Janvier 2012 Prochain numéro Mai 2012 ZOOM SUR le métier du SFE Magazine réalisé par l équipe de consultants du cabinet
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailAvertissement. Copyright 2014 Accenture All rights reserved. 2
Avertissement Ce document et les informations contenues sont la propriété d Accenture. Ce document en totalité ou en partie, ne peut être reproduit sous aucune forme ni par aucun moyen sans autorisation
Plus en détailComment choisir un fournisseur de sauvegarde en ligne? Responsables de PME/PMI et équipes techniques
WHITE PAPER: COMMENT CHOISIR UN FOURNISSEUR DE SAUVEGARDE............. EN... LIGNE......?.................. Comment choisir un fournisseur de sauvegarde en ligne? Who should read this paper Responsables
Plus en détailMail-SeCure sur une plateforme VMware
OUR INNOVATION YOUR SECURITY Mail-SeCure sur une plateforme VMware APERÇU Les menaces liées aux messages électroniques sont un problème connu depuis longtemps. La plupart des entreprises prennent des mesures
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailComment réussir son projet de Master Data Management?
Comment réussir son projet MDM? Table des matières Comment réussir son projet de Master Data Management?...... 2 Un marché en croissance..... 2 Les démarches qui réussissent... 2 A quels projets métiers
Plus en détailEn quoi nous pouvons vous aider?
En quoi nous pouvons vous aider? Le trou noir de l information La trappe à finances Les salariés passent 25% de leur temps au travail à chercher l information (Etude IDC) 60% de l information professionnelle
Plus en détailGÉNÉRATEUR DE PERFORMANCE CONSEIL EN SYSTÈMES D INFORMATION
GÉNÉRATEUR DE PERFORMANCE CONSEIL EN SYSTÈMES D INFORMATION 15 30 50 80 100 IDENTITÉ LES CHIFFRES CLÉS 2006 2008 2010 CHIFFRE D AFFAIRES EN M 2011 2012 42 % 22 % Banque Finance Assurance Retraite Spécialiste
Plus en détailAuditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM
Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Sommaire Introduction... 3 Les éléments internes essentiels à auditer... 4 Le dimensionnement de l infrastructure... 4 Les factures...
Plus en détailTransformation IT de l entreprise BPM ET APPROCHE MÉTIER
Transformation IT de l entreprise BPM ET APPROCHE MÉTIER L amélioration des processus métiers se traduit par des gains tangibles. Le BPM est devenu une pièce angulaire du système d information des organisations.
Plus en détailEtude des outils du Cloud Computing
Etude des outils du Cloud Computing Sommaire : Présentation générale.. 2 Définitions. 2 Avantage.. 2 Inconvénients. 3 Types d offres de service Cloud.. 3 Comparaison des services Cloud 4 Conclusion 5 Présentation
Plus en détailMarché à Procédure adaptée. Tierce maintenance applicative pour le portail web www.debatpublic.fr
Marché à Procédure adaptée Passé en application de l article 28 du code des marchés publics Tierce maintenance applicative pour le portail web www.debatpublic.fr CNDP/ 03 /2015 Cahier des clauses techniques
Plus en détailITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services
ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a
Plus en détailGestion des données de référence (MDM)
Chapitre 1 - COMPRENDRE LE MARCHÉ Gestion des données de référence (MDM) Copyright 2009 CXP. 1 All rights reserved. Reproduction or distribution of this document, in any form, is expressly prohibited without
Plus en détailLes points clés des contrats Cloud Journée de l AFDIT Cloud Computing : théorie et pratique 29 11 2012
Les points clés des contrats Cloud Journée de l AFDIT Cloud Computing : théorie et pratique 29 11 2012 1 Copyright Lexing 2012 1 Introduction Des mots SaaS, PaaS, Iaas, DaaS, CaaS, XaaS Une tendance 75%
Plus en détailAuteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015
Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement
Plus en détail2009 - Présentation de la société. Notre métier, c est de rendre le votre plus facile
Notre métier, c est de rendre le votre plus facile 2009 - Présentation de la société Le leader de l infogérance sélective et de l évolutivité des systèmes distribués Notre seul et unique métier, c'est
Plus en détailMarques et noms de domaine
Marques et noms de domaine Une nécessaire harmonisation des pratiques Introduction 1 2 3 4 Bonnes pratiques en termes de gestion des marques Bonnes pratiques en termes de gestion des noms de domaine Une
Plus en détailLe problème de la neutralité du Net est-il réglé?
Le problème de la neutralité du Net est-il réglé? P. Maillé et B. Tuffin 22 mai 2014 Résumé Le 3 Avril 2014, le Parlement européen a apporté une définition «claire et sans ambiguïté» de la neutralité du
Plus en détailLa reconquête de vos marges de manœuvre
La reconquête de vos marges de manœuvre Libérez vos applications critiques Bull ouvre de nouvelles portes à votre patrimoine applicatif. Bull LiberTP fait passer simplement vos applications transactionnelles
Plus en détailLa situation du Cloud Computing se clarifie.
Résumé La situation du Cloud Computing se clarifie. Depuis peu, le Cloud Computing est devenu un sujet brûlant, et à juste titre. Il permet aux entreprises de bénéficier d avantages compétitifs qui leur
Plus en détailWHITE PAPER. Quels avantages la déduplication offre-t-elle aux entreprises? Livre blanc Acronis
Quels avantages la déduplication offre-t-elle aux entreprises? Livre blanc Acronis Copyright Acronis, Inc. 2000 2009 Table des matières Résumé... 3 Qu est-ce que la déduplication?... 4 Déduplication au
Plus en détailAastra MD Evolution» Évoluer à vos côtés
Aastra MD Evolution» Évoluer à vos côtés Évoluer grâce à la communication En faire plus avec moins de moyens est un défi récurrent pour les petites entreprises. Vous devez pour cela améliorer constamment
Plus en détailAccenture accompagne la première expérimentation cloud de l État français
Accenture accompagne la première expérimentation cloud de l État français Pays marqué par la centralisation, la France dispose paradoxalement d une informatique en silo, chaque ministère étant doté de
Plus en détailCloud Computing, discours marketing ou solution à vos problèmes?
Cloud Computing, discours marketing ou solution à vos problèmes? Henri PORNON 3 avril 2012 IETI Consultants 17 boulevard des Etats-Unis - F-71000 Mâcon Tel : (0)3 85 21 91 91 - fax : (0)3 85 21 91 92-
Plus en détailDe quoi avez-vous besoin pour ce manuel?
Introduction Le commerce électronique est devenu l un des grands sujets de préoccupation des chefs d entreprise du monde entier. Ces derniers répètent à l envie que leur priorité absolue est de relever
Plus en détailITIL, une approche qualité pour la gestion des services(*) informatiques. Pourquoi et comment introduire ITIL dans son organisation
Livre blanc Le pragmatisme de votre système d information Rédacteur : Marc LORSCHEIDER / Expert ITIL Mise à jour : 05/06/2013 ITIL, une approche qualité pour la gestion des services(*) informatiques Pourquoi
Plus en détailCette première partie pose les enjeux de la BI 2.0 et son intégration dans le SI de l entreprise. De manière progressive, notre approche situera le
Partie I BI 2.0 Cette première partie pose les enjeux de la BI 2.0 et son intégration dans le SI de l entreprise. De manière progressive, notre approche situera le SI classique avec l intégration de la
Plus en détailRéussir l externalisation de sa consolidation
Réussir l externalisation de sa consolidation PAR ERWAN LIRIN Associé Bellot Mullenbach et Associés (BMA), activité Consolidation et Reporting ET ALAIN NAULEAU Directeur associé Bellot Mullenbach et Associés
Plus en détailfourbissent leurs armes infrastructure Ainsi si le cloud computing constitue une des principales tendances du marché TIC depuis de nombreux
que leurs même Salesforce un Diffusion : 30000 Page : 18 Cloud les opérateurs fourbissent leurs armes Sur un marché des services cloud en pleine progression les opérateurs disposent d atouts essentiels
Plus en détailLa gestion des données de référence ou comment exploiter toutes vos informations
La gestion des données de référence ou comment exploiter toutes vos informations La tour de Babel numérique La gestion des données de référence (appelée MDM pour Master Data Management) se veut la réponse
Plus en détailDOSSIER SOLUTION : CA RECOVERY MANAGEMENT
DOSSIER SOLUTION : CA RECOVERY MANAGEMENT Comment la solution CA Recovery Management peut-elle nous aider à protéger et garantir la disponibilité des informations essentielles au fonctionnement de notre
Plus en détailSolutions de gestion Catalyseur de performance
2 Le groupe Divalto, Solutions de gestion Catalyseur de performance Créé en 1982, le groupe Divalto propose des solutions de gestion adaptées à toutes les tailles d entreprise : entrepreneur, PME-PMI et
Plus en détailAXIAD Conseil pour décider en toute intelligence
AXIAD Conseil pour décider en toute intelligence Gestion de la Performance, Business Intelligence, Big Data Domaine d expertise «Business Intelligence» Un accompagnement adapté à votre métier dans toutes
Plus en détailCréer et partager des fichiers
Créer et partager des fichiers Le rôle Services de fichiers... 246 Les autorisations de fichiers NTFS... 255 Recherche de comptes d utilisateurs et d ordinateurs dans Active Directory... 262 Délégation
Plus en détailLIVRE BLANC AMÉLIOREZ VOS PERFORMANCES MARKETING ET COMMERCIALES GRÂCE À UNE GESTION DE LEADS OPTIMISÉE
AMÉLIOREZ VOS PERFORMANCES MARKETING ET COMMERCIALES GRÂCE À UNE GESTION DE LEADS OPTIMISÉE 2 A PROPOS Pourquoi la gestion des leads (lead management) est-elle devenue si importante de nos jours pour les
Plus en détailLES SOLUTIONS OPEN SOURCE RED HAT
LES SOLUTIONS OPEN SOURCE RED HAT Red Hat, le fournisseur leader Linux et de l open source mondial a son siège à Raleigh, en Caroline du Nord, avec des bureaux dans le monde entier. Red Hat propose les
Plus en détailSOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION
LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION Découvrez comment le Social CRM peut travailler pour vous LIVRE BLANC SOCIAL CRM: DE LA PAROLE À L ACTION 2 À PROPOS Au cours des dernières années, vous
Plus en détailMAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS
MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS Une enquête auprès des DAF et dirigeants de l industrie en France Paris, le 20 octobre 2010 Olaf de Hemmer International Business Manager Purchasing Department 16,
Plus en détailIBM Systems & Technology Recentrer l informatique sur l innovation plutôt que sur la maintenance
IBM Systems & Technology Recentrer sur l innovation plutôt que sur la maintenance Utiliser la plateforme IBM PureApplication System et ses modèles d expertise pour la consolidation, l optimisation, l innovation
Plus en détailIngénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1?
DEVOPS et le déploiement d application Les Livres Blancs de MARTE Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1? L alignement
Plus en détailnetzevent IT-MARKT REPORT 2013 Infrastructure ICT en Suisse: Le point de vue des entreprises utilisatrices
netzevent IT-MARKT REPORT 2013 Infrastructure ICT en Suisse: Le point de vue des entreprises utilisatrices Résultats exclusifs de l'étude systématique des 10 000 plus grandes entreprises en Suisse à leur
Plus en détailLes Services Managés appliqués à la Mobilité
LIVRE BLANC Les Services Managés appliqués à la Mobilité IBELEM - 5, boulevard des Bouvets - 92 741 Nanterre Cédex 01 55 17 45 75 www.ibelem.com Introduction Gain en productivité, augmentation du revenu,
Plus en détailPassage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing
Passage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing L automatisation du marketing est une technologie qui permet de fidéliser les prospects grâce à des campagnes automatisées. Étant donné que
Plus en détail