LES RISQUES INFECTIEUX

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1 LES RISQUES INFECTIEUX EPIDEMIOLOGIE DEFINTION DE L Épidémiologie Étude des rapport existant entre les maladies ou tout autre phénomène biologique et divers facteurs : mode de vie, milieu ambiant ou social, particularités individuelles susceptibles d exercer une influence sur leur fréquence, leur distribution, leur évolution. (le sida ) Elle en déduit des hypothèses sur les facteurs de risques qui déterminent ces états de santé. Elle est aussi basée sur l action et l évaluation. A partir de facteurs identifiés comme augmentant le risque de maladie ou facteurs de risque elle propose des stratégies de prévention et en mesure d efficacité. Ex : carence en fluor comme facteur de risque de la carie dentaire = mode de supplémentation DEFINITION D UN RISQUE Le facteur de risque est une probabilité de 0 à 100% de développer la maladie. Le risque d un événement est la probabilité qu il se produise, éventuellement au cours d un intervalle de temps donné. On appelle facteur de risque tout facteur auquel est lié l apparition de l événement Un risque induit une notion de danger, de dommage, d aléas plus ou moins prévisible. Résultats enquête de prévalence CHRU 2011 L enquête de prévalence du CHRU de 2011 sur 972 patients (2 étaient déjà porteur IN et un d origine CHRU non prouvée) (services de médecine) Taux de prévalence 4,5% Depuis la Conférence de Consensus de 27/11/02, les bactériuries asymptomatiques, sont considérées comme des colonisations et ne font donc plus partie des IN Résultats enquête de prévalence CHRU 2011 I urinaire = 32% acquise au CHRU Pneumopathies = 17% Infection du Site Opératoire = 15% Septicémie/bactériémies = 11% Autres infections locales sur cathéter = 4% Autres sites = 20% la peau et tissus mous tractus gastro-intestinal cardio vasculaire voies respiratoires CIRCONSTANCES FAVORISANTS LE RISQUE INFECTIEUX A L HOPITAL La contamination : c est un processus entraînant la présence transitoire de micro-organismes sur des objets ou des personnes, sans invasion des tissus de l organisme. L infection est contemporaine à la création des milieux de soins. La complexité du risque infectieux existe dans le nombre de causes potentielles, difficiles à isoler les unes par rapport aux autres. 1

2 CONTEXTE ARCHITECTURAL DIFFERENTES ZONES Lors de la construction d un établissement de soins, l architecture doit permettre d adapter de bonnes pratiques dans le domaine infectieux. A l inverse, il arrive trop souvent qu elle soit à l origine de risques élevés: soit par une mauvaise conception soit par des circuits inadaptés. Soit par la non prise en compte des besoins réels. Zone 1 : les circulations : FAIBLE RISQUE. Zone 2 : consultations, hospitalisation de jour: RISQUE MODERE. Zone 3 : Soins Intensifs, plateaux techniques (radiologie interventionnelle) HAUT RISQUE. Zone 4 : Réanimation, greffe, bloc opératoire, TRES HAUT RISQUE LES CIRCUITS CONCERNENT La circulation des personnels, des patients, des visiteurs. La circulation des matières inertes (matériel propre, sale, linge, l alimentation et les déchets) Protection du propre et du sale: conditionnements étanches Principe de la marche en avant : du propre vers le sale. Faciliter les manœuvres, des croisements de personnels. Cloisonnements (SAS) qui permettent de contrôler la circulation des personnes. Les Revêtements muraux et les protections murales Les revêtements verticaux ne doivent pas être propagateurs de feu. Les qualités attendues : Les joints : sont à supprimer Résistance aux agents chimiques Résistance à l eau Résistance mécanique Des conditions de confort En salle d opération La peinture glycérophtalique est économique et facile à renouveler Les peintures polyuréthanes et les produits de base époxy offrent une meilleure résistance mécanique et à l agression des produits désinfectants employés On peut aussi utiliser des revêtements muraux fabriqués à Base de polychlorure de vinyle On peut aussi disposer un habillage sur l ensemble des parois verticales mais la difficulté réside dans l étanchéité L objectif essentiel est d éviter au maximum les aspérités, en employant une peinture inerte vis à vis des détergentsdésinfectants. LES SOLS Un sol dégradé accumule les particules dans ses aspérités. La qualité de la pose a une influence décisive sur la qualité du revêtement lui-même. La forme des sols à préférer est celle des dalles ou des laies, en diminuant au maximum les joints. Tout procédé de cirage est à proscrire car ils fixent les particules et empêchent l utilisation de certains détergents-désinfectants. 2

3 Qualités et Classement UPEC Le classement UPEC permet de définir la qualité de fabrication des revêtements de sol. Un sol est défini par sa classification UPEC. U = résistance à l usure P = résistance au poinçonnement E = comportement à l eau : une bonne imperméabilité est nécessaire en raison des lavages fréquents et des différents produits qui tombent sur les sols Résistance physique : utilisation des D et ATS étant d usage courant, ces matériaux devront résister à une dégradation de surface Résistance à la coloration Conditions de confort Entretien facile C = résistance des matériaux aux agents chimiques Les sols Le choix d un sol est caractérisé par l association des 4 lettres munies d indice croissant correspondant à des exigences croissantes Les sols antistatiques : ne peuvent être exigés que dans des salles d opération classées A/A (Anesthésiques inflammables Autorisés) Pour les autres locaux, les revêtements doivent assurer : L étanchéité à l eau La résistance aux produits désinfectants La résistance aux charges mobiles lourdes Les sols La lutte contre les infections conduit à proscrire l installation de bondes de sol (siphons de sol). Plusieurs inconvénients : Difficultés de nettoyage Localisation de micro-organismes (eaux stagnantes) Dégagements d odeurs Les portes Les qualités attendues: Solidité Fiabilité Étanchéité à l air La surpression ne peut être réelle et permanente que si l excédent d air soufflé dans la salle par rapport au volume extrait trouve un autre exutoire permanent Le dispositif le plus fiable est d organiser le passage de l excédent d air par une grille de transfert «bien calibrée» avec ailettes dirigées vers le haut pour ne pas relancer les particules de matières déposées au sol par sédimentation Les portes Par ordre de croissance de résistance aux produits désinfectants : La peinture Le revêtement plastifié Le revêtement stratifié Le revêtement métallique Le verre LES PLAFONDS Les qualités attendues : Étanchéité à l air(impossible avec les plafonds suspendus démontables) Résistance à l humidité Facilités de démontage Résistance aux produits de désinfection Conditions de confort En salle d opération, une surface uniforme, sans aspérité et d aspect lisse est souhaitable Le produit le mieux adapté est souvent le «staff» Dans les autres locaux, adapter le type de plaque aux risques particuliers 3

4 Les risques liés à l eau 2 sortes de risques Infectieux ( celui que nous traiterons en particuliers) Toxique La contamination micro biologique ou chimique de l eau peut avoir une double origine : L eau du réseau public véhiculer des micro-organismes ou des substances chimiques la rendant dangereuse La contamination par micro-organisme est fréquente dans un établissement hospitalier. Le risque infectieux lié à l eau Depuis une circulaire de 1999, ils doivent être «simples et courts». L eau peut jouer le rôle de vecteur d agents potentiellement dangereux Micro-organismes d origine fécale : salmonelle, entérovirus..provenant en règle générale du réseau public Germes opportunistes, tels que les légionelles se développant dans les circuits d eau chaudes Germes de l environnement hospitalier contaminant fréquemment les eaux stagnantes (pseudomonas, aéromonas ) Il faut donc éviter toute stagnation d eau, en éliminant les coudes, les bras morts, les siphons; extrémités de canalisations, gicleurs des robinets..) L eau chaude sanitaire Le circuit d eau chaude présente un risque majeur, lié à la présence éventuelle de «legionella» on le préviendra par une désinfection du circuit : 2 méthodes possible: Chloration de l eau : injection de chlore massivement pour obtenir une concentration de 50mg de chlore libre pendant quelque heures, puis injection continue par une pompe doseuse pour obtenir au niveau des terminaux une concentration de 2 à 5 mg de chlore libre par litre élévation de la température de l eau à 70 C pendant un jour ou deux avec période d écoulement d une durée de 30mn au niveaux des terminaux (douches, robinets..) PROTECTION D UN CHANTIER Tout chantier se prépare avec rigueur. les questions à se poser? Quelle zone est en chantier? Près de quel secteur? Quel type de chantier? Quelles circulations existent? Problème des gravats à évacuer régulièrement? PRECAUTIONS Il est impératif: d éviter le stockage prolongé des gravats d insister sur leur humidification régulière permettant de diminuer la mise en suspension des poussières. La protection d une zone à risque s effectue soit : par son isolement grâce à des films plastiques scotchés à la mise en place de plaque de contre-plaqué à la mise en place de tapis antistatiques aux abords du chantier permettant l isolement total de la zone en travaux ENTRETIEN DE L ENVIRONNEMENT Un entretien mal fait et un mauvais usage des produits sont deux facteurs favorisants la propagation des germes. L entretien est un des fondements de l hygiène hospitalière. Objectif: propreté visuelle, maintenance, esthétique. But: réduire la bio contamination d une surface. Le problème des poussières, particules contaminantes en suspension, a été résolu en milieu hospitalier par la méthode du balayage humide et celle du lavage à plat. 4

5 ORGANISATION DU TRAVAIL Le risque de contamination croisée est générée par l activité du service. Dysfonctionnement, Augmentation de l activité Manque de personnel Interruption de la chaîne de soin (téléphone, mauvaise planification ) Perception différente du risque infectieux suivant la catégorie de personnel et problème de comportements humains. Charge en soins (nouvelles techniques, nombre d admission..) Intégration d autres activités n étant pas en lien avec le patient. TECHNIQUES Le risque infectieux est toujours plus élevé avec l utilisation de matériel de respiration mécanique et de maintien de la liberté des voies aériennes. Les humidificateurs, nébuliseurs, système d aspiration favorisent la multiplication des germes. TECHNIQUES THERAPEUTIQUES Hémodialyse Endoscopie Actes chirurgicaux Multiplication des actes constituants des portes d entrée aux germes. ACTEURS DE LA CONTAMINATION Les germes de la flore hospitalière Les hospitalisés Le personnel LA CHAINE EPIDEMIOLOGIQUE L environnement (locaux, surfaces, chaleur, humidité) L air Le personnel Le patient et ses différentes formes d infection EVALUATION DES FACTEURS DE RISQUES État général du patient L environnement (locaux-circuits) Concentration de patients Insuffisance des équipements comportements 5

6 CONCLUSION L infection n est jamais la conséquence d une erreur unique, mais de la sommation des effets de fautes parfois minimes. bibliographie Les infections nosocomiales et leur prévention Ellipses coordonnateurs : Mr AVRIL Jean-Loup Mr CARLET Jean Les protocoles hospitaliers du CHRU 6

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