DOLLARAMA INC. RAPPORT DE GESTION

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1 DOLLARAMA INC. RAPPORT DE GESTION Le 12 avril 2013 Le présent rapport de gestion, daté du 12 avril 2013, vise à aider les lecteurs à comprendre le contexte commercial, les stratégies, la performance et les facteurs de risque de Dollarama inc. (les termes «Dollarama», «Société», «nous», «notre» et «nos» font référence à la Société prise collectivement avec ses filiales consolidées). Le présent rapport de gestion présente au lecteur une analyse des résultats financiers de la Société, tels qu ils sont perçus par la direction, pour le quatrième trimestre et l exercice clos le 3 février Ce rapport de gestion doit être lu en parallèle avec les états financiers consolidés audités annuels de la Société et les notes annexes pour l exercice 2013 (tel qu il est défini ci-après). Sauf indication contraire et telles qu elles figurent aux présentes, toutes les informations financières contenues dans le présent rapport de gestion et dans les états financiers consolidés audités annuels de la Société ont été préparées conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada («PCGR»), tels qu ils sont établis à la Partie I du Manuel de l Institut Canadien des Comptables Agréés, laquelle inclut les Normes internationales d information financière («IFRS»), telles qu elles sont publiées par l International Accounting Standards Board («IASB»). La Société est gérée sur la base d un seul secteur à présenter, et sa monnaie de fonctionnement et de présentation est le dollar canadien. Périodes comptables Dans le présent rapport, «exercice 2011» désigne l exercice de la Société clos le 30 janvier 2011, «exercice 2012» désigne l exercice de la Société clos le 29 janvier 2012 et «exercice 2013» désigne l exercice de la Société clos le 3 février L exercice de la Société se termine le dimanche dont la date est la plus proche du 31 janvier et comporte habituellement 52 semaines. L exercice 2011 et l exercice 2012 comptaient 52 semaines. Cependant, comme il est d usage en ce qui concerne le calendrier du secteur de la vente au détail, une semaine est ajoutée à l exercice tous les cinq à six ans. Par conséquent, l exercice 2013 comptait 53 semaines et le quatrième trimestre de l exercice 2013 comptait 14 semaines. Énoncés prospectifs Certains énoncés que contient le présent rapport de gestion portent sur nos intentions, nos attentes et nos plans actuels et futurs, nos résultats, notre degré d activité, notre performance, nos objectifs, nos réalisations ou tout autre événement ou fait nouveau à venir et constituent des énoncés prospectifs. Les termes «pouvoir», «s attendre à», «planifier», «tendances», «indications», «croire», «estimés», «probables» ou «éventuels», ou des variantes de ces termes, visent à signaler des énoncés prospectifs. Dans le présent rapport de gestion, les énoncés prospectifs spécifiques incluent, sans toutefois s y limiter, ceux portant sur l évolution générale des activités et sur la situation de trésorerie de la Société. Les énoncés prospectifs sont fondés sur les plus récentes informations à notre disposition ainsi que sur des estimations et hypothèses qui concernent, entre autres choses, la conjoncture économique et le cadre concurrentiel du secteur du détail au Canada et que nous avons formulées à la lumière de notre expérience et de notre perception des tendances historiques, de la conjoncture actuelle et de l évolution prévue dans l avenir, ainsi que d autres facteurs que nous croyons pertinents et raisonnables dans les circonstances, mais rien ne garantit que ces estimations et hypothèses s avéreront exactes. Plusieurs facteurs pourraient faire en sorte que nos résultats, notre degré d activité, nos réalisations ou notre performance, ou les événements ou faits futurs, diffèrent sensiblement de ceux exprimés de façon implicite ou explicite dans les

2 énoncés prospectifs, notamment, sans s y limiter, les facteurs suivants, lesquels sont décrits plus en détail à la rubrique «Risques et incertitudes» du présent rapport de gestion : augmentations futures des charges opérationnelles et du coût des marchandises, incapacité de maintenir une gamme de produits et de nous réapprovisionner en marchandises, augmentation des coûts ou interruption du flux de marchandises importées, perturbation dans le réseau de distribution, freintes de stocks, incapacité de renouveler les baux de nos magasins, de nos entrepôts, de notre centre de distribution et de notre siège social à des conditions favorables, incapacité d obtenir de la capacité supplémentaire pour les entrepôts et le centre de distribution en temps opportun, caractère saisonnier, acceptation par le marché de nos marques maison, incapacité de protéger les marques de commerce et autres droits exclusifs, fluctuations du taux de change, pertes potentielles associées à l utilisation d instruments financiers dérivés, niveau d endettement et incapacité de générer des flux de trésorerie suffisants pour le service de notre dette, risque relatif aux taux d intérêt variables de notre dette, concurrence dans le secteur du détail, conjoncture générale de l économie, incapacité d attirer et de conserver des employés qualifiés, départ de hauts dirigeants, interruptions des systèmes de technologie de l information, impossibilité de réaliser la stratégie de croissance avec succès, structure de société de portefeuille, conditions météorologiques défavorables, catastrophes naturelles et perturbations géopolitiques, coûts inattendus liés à notre programme d assurance actuel, litiges, réclamations en responsabilité du fait des produits et rappels de produits, et conformité sur les plans réglementaire et environnemental. Ces éléments ne sont pas censés représenter une liste exhaustive des facteurs susceptibles d avoir une incidence sur nous; toutefois, ils devraient être étudiés attentivement. Les énoncés prospectifs ont pour but de fournir au lecteur une description des attentes de la direction au sujet de la performance financière de la Société et ils peuvent ne pas être pertinents à d autres fins; les lecteurs ne devraient pas se fier indûment aux énoncés prospectifs figurant aux présentes. En outre, sauf indication contraire, les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport de gestion visent à décrire nos attentes en date du 12 avril 2013, et nous n avons pas l intention et déclinons toute obligation d actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d information ou d événements futurs ou pour quelque autre motif, sauf si nous y sommes tenus en vertu de la loi. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport de gestion doivent être lus à la lumière de la présente mise en garde. Mesures conformes aux PCGR et mesures hors PCGR Sauf indication contraire et telles qu elles figurent aux présentes, toutes les informations financières contenues dans le présent rapport de gestion et dans les états financiers consolidés audités annuels de la Société ont été préparées conformément aux PCGR. Le présent rapport de gestion fait toutefois référence à certaines mesures hors PCGR. Ces mesures hors PCGR ne sont pas des mesures reconnues selon les PCGR, n ont pas de signification normalisée prescrite par les PCGR et ne sont donc pas susceptibles de se prêter aux comparaisons avec des mesures similaires présentées par d autres sociétés émettrices. Elles sont plutôt fournies en tant que supplément aux mesures conformes aux PCGR pour permettre de mieux comprendre les résultats opérationnels de la Société du point de vue de la direction. Nous avons recours à des mesures hors PCGR, notamment le BAIIA, pour fournir aux investisseurs une mesure supplémentaire de notre performance opérationnelle et ainsi mettre en évidence les tendances dans nos activités de base que les mesures conformes aux PCGR, à elles seules, ne permettraient pas nécessairement de faire ressortir. Par ailleurs, nous croyons que les analystes en valeurs mobilières, les investisseurs et d autres parties intéressées s appuient fréquemment sur des mesures hors PCGR, notamment le BAIIA, pour évaluer les sociétés émettrices. La direction a aussi recours aux mesures hors PCGR pour faciliter les comparaisons de la performance opérationnelle et de la performance financière d une période à l autre, pour établir les budgets annuels, pour évaluer notre capacité à prendre en charge le service futur de notre dette, nos dépenses d investissement et nos besoins en fonds de roulement, et pour évaluer la performance de la haute direction. Le lecteur est prié de se reporter à la rubrique «Principales informations financières consolidées» du présent rapport de gestion pour obtenir la définition des mesures hors PCGR utilisées et présentées par la Société ainsi qu un rapprochement de ces mesures avec les mesures conformes aux PCGR les plus directement comparables. À notre avis, la présentation des mesures hors PCGR décrites précédemment est appropriée. Cependant, ces mesures hors PCGR comportent des limitations importantes en tant qu outils d analyse et elles ne doivent pas 2

3 être examinées isolément ni remplacer l analyse de nos résultats présentés selon les PCGR. En raison de ces limitations, nous nous appuyons principalement sur nos résultats présentés selon les PCGR et nous utilisons les mesures hors PCGR à des fins complémentaires seulement. En outre, il est possible que d autres sociétés émettrices calculent les mesures hors PCGR différemment. Ces mesures ne peuvent donc pas nécessairement être comparées à des mesures similaires présentées par d autres sociétés émettrices. Fait nouveau Augmentation du dividende Le 12 avril 2013, la Société a annoncé l approbation par son conseil d administration d une augmentation de 27 % du dividende trimestriel à l intention des porteurs de ses actions ordinaires, le faisant passer de 0,11 $ par action ordinaire à 0,14 $ par action ordinaire. Le dividende majoré sera versé le 7 mai 2013 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 30 avril Le dividende est désigné comme un «dividende déterminé» aux fins de l impôt du Canada. Aperçu Nos activités La Société détient la totalité des participations dans Dollarama S.E.C., qui exploite l entreprise Dollarama. La Société, qui comptait 785 magasins Dollarama au 3 février 2013, est le plus important exploitant de magasins à un dollar du Canada, et le nombre de magasins de notre réseau est plus de cinq fois supérieur à celui de notre plus proche concurrent au Canada. Nous sommes la seule entreprise à exploiter un nombre important de magasins à l échelle du pays, et nous poursuivons notre expansion dans toutes les provinces canadiennes. Nos magasins ont une superficie moyenne d environ pieds carrés, et ils proposent un éventail choisi de marchandises attrayantes, notamment des articles de marque maison et de marques nationales. Nous proposons une vaste gamme de biens de consommation et de marchandises générales d usage courant et de bonne qualité, de même que des produits saisonniers. Nos produits de qualité sont vendus soit individuellement, soit en lots, à des prix fixes qui varient entre 0,69 $ et 3,00 $. Tous les magasins appartiennent à la Société et sont exploités par celle-ci, ce qui nous permet d offrir une expérience de magasinage uniforme. Pratiquement tous les magasins sont situés dans des endroits achalandés comme des galeries marchandes et des centres commerciaux, que ce soit dans des régions métropolitaines, dans des villes de taille moyenne ou dans des petites villes. Notre stratégie consiste à faire progresser les ventes, le résultat net et les flux de trésorerie en utilisant notre position de premier exploitant de magasins à un dollar au Canada et à offrir un grand éventail d articles attrayants d usage courant à une large clientèle. Nous visons à maintenir et à améliorer continuellement l efficience de nos activités. 3

4 Faits saillants de l exercice 2013 Comparativement au quatrième trimestre de l exercice 2012 : Les ventes ont augmenté de 19,9 % pour s établir à 561,9 M$; Les ventes des magasins comparables 1 ont progressé de 4,6 %; La marge brute s est établie à 38,7 % des ventes, comparativement à 39,8 % des ventes; Le BAIIA 2 s est accru de 19,0 % pour s établir à 119,1 M$, soit 21,2 % des ventes; Le résultat opérationnel a augmenté de 18,5 % et s est chiffré à 108,3 M$, soit 19,3 % des ventes; Le résultat net dilué par action a augmenté de 23,8 %, passant de 0,84 $ à 1,04 $. Comparativement à l exercice 2012 : Les ventes ont augmenté de 16,0 % pour s établir à 1 858,8 M$; Les ventes des magasins comparables 1 ont progressé de 6,5 %; La marge brute s est établie à 37,4 % des ventes, comparativement à 37,5 % des ventes; Le BAIIA 2 s est accru de 20,3 % pour s établir à 355,2 M$, soit 19,1 % des ventes; Le résultat opérationnel a augmenté de 20,6 % et s est chiffré à 315,9 M$, soit 17,0 % des ventes; Le résultat net dilué par action a augmenté de 27,8 %, passant de 2,30 $ à 2,94 $. De plus, au cours de l exercice 2013 : La Société a ouvert un nombre net de 81 nouveaux magasins, dont un nombre net de 24 nouveaux magasins au quatrième trimestre; Le 17 décembre 2012, la Société a conclu une convention de crédit modifiée et mise à jour qui prévoit une facilité de crédit renouvelable de 350,0 M$ échéant en décembre 2017 (la «facilité de crédit de 2012»); Le 13 juin 2012, la Société a obtenu l approbation de la Bourse de Toronto pour lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités (l «offre de rachat») afin de racheter, aux fins d annulation, au plus actions ordinaires (soit 3,5 % du nombre total d actions ordinaires de la Société émises et en circulation en date du 1 er juin 2012) pendant la période de 12 mois commençant le 15 juin 2012 et se terminant le 14 juin En date du 3 février 2013, la Société avait racheté aux fins d annulation le nombre maximal d actions ordinaires autorisé aux termes de l offre de rachat, pour une contrepartie en trésorerie totalisant 155,9 M$ et un prix moyen de 60,36 $ l action. En outre, immédiatement après la clôture de l exercice 2013, la Société a procédé à une réorganisation interne visant à simplifier sa structure. Tous les actifs de commerce de détail liés à l exploitation de l entreprise Dollarama ont été transférés à Dollarama S.E.C., et la Société est devenue l unique emprunteur aux termes de la facilité de crédit de Enfin, le 5 février 2013, la Société a annoncé qu elle avait conclu, par l entremise d une filiale en propriété exclusive, une entente de partage d expertise commerciale et d approvisionnement avec Dollar City, une chaîne 1 2 Aux fins du calcul des ventes des magasins comparables, nous avons exclu les ventes de la 53 e semaine de l exercice Nous avons donc comparé les ventes des 52 premières semaines de l exercice 2013 avec les ventes comparables de l exercice 2012, et les ventes des 13 premières semaines du quatrième trimestre de l exercice 2013 avec les ventes comparables du quatrième trimestre de l exercice Le lecteur est prié de se reporter aux notes des tableaux figurant à la rubrique «Principales informations financières consolidées» du présent rapport de gestion pour obtenir la définition du BAIIA et un rapprochement de cette mesure avec les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles (la mesure conforme aux PCGR la plus directement comparable). 4

5 de magasins à un dollar d Amérique centrale qui exploite actuellement 15 magasins au Salvador et au Guatemala et qui cherche à étendre ses activités en Amérique centrale ainsi qu en Colombie, au Pérou et en Équateur (l «entente avec Dollar City»). Aux termes de l entente avec Dollar City, Dollarama est désormais le principal fournisseur de produits de Dollar City. Les produits qui seront fournis à Dollar City constituent un sousensemble des produits courants et saisonniers vendus par Dollarama au Canada. Dollarama n assume aucune responsabilité opérationnelle à l égard de Dollar City et ne prend aucun engagement d investissement. L entente avec Dollar City, d une durée de huit ans, définit des indicateurs clés de performance financière devant être observés à des moments déterminés sur la durée de l entente. Elle prévoit aussi une option d acquisition d une participation majoritaire dans Dollar City à compter du début de la septième année de l entente. Éléments ayant une incidence sur nos résultats opérationnels Ventes Nous constatons nos ventes au moment où le client paie sa marchandise et en prend possession. Toutes les ventes sont finales. Nos ventes se composent des ventes des magasins comparables et des ventes des nouveaux magasins. Les ventes des magasins comparables constituent une mesure de l augmentation ou de la diminution, en pourcentage, des ventes enregistrées par les magasins ouverts depuis au moins 13 mois d exercice complets comparativement à la période correspondante de l exercice précédent. Les ventes des magasins agrandis et celles des magasins délocalisés sont également incluses dans les ventes des magasins comparables. Les principaux moteurs des ventes des magasins comparables sont les variations du nombre de transactions et du montant moyen des transactions. Pour accroître les ventes des magasins comparables, nous mettons l accent sur une offre de marchandises diversifiées de bonne qualité à des prix attrayants dans des magasins bien aménagés, uniformes et faciles d accès. Par le passé, nous avons enregistré les ventes les plus importantes au quatrième trimestre, pendant la période des Fêtes. Durant le reste de l année, nos ventes ne subissent que de légères variations saisonnières, et nous prévoyons que cette tendance se maintiendra. Pour l exercice 2013, 30,2 % des ventes ont été enregistrées au quatrième trimestre. Notre chiffre d affaires subit l incidence défavorable de facteurs liés au ralentissement économique qui influent sur les dépenses de consommation au Canada. Coût des ventes Le coût des ventes comprend principalement le coût des stocks de marchandises et les frais de transport (variables et proportionnels aux volumes de nos ventes), les frais d occupation des magasins et les charges opérationnelles des entrepôts et du centre de distribution. Le cas échéant, nous constatons les remises consenties par les fournisseurs en fonction du volume de nos achats au moment où elles sont accordées. Ces remises sont comptabilisées en réduction du coût des marchandises achetées, ce qui a pour effet de réduire le coût des ventes. Bien que les hausses des coûts puissent avoir une incidence défavorable sur nos activités, notre grille de prix multiples nous procure une certaine marge de manœuvre pour composer rapidement avec la hausse des coûts. Nous arrivons habituellement à réduire le coût des ventes en nous approvisionnant davantage auprès de fournisseurs étrangers à bas prix. Pour l exercice 2013, nos achats effectués directement auprès de fournisseurs étrangers représentaient 52 % du total de nos achats, soit une proportion légèrement inférieure à celle de l exercice Bien que nous continuions de nous approvisionner majoritairement en Chine, nous achetons aussi des produits auprès d autres fournisseurs étrangers, notamment en France, au Pakistan, en Thaïlande, en Turquie et au Royaume-Uni. Par conséquent, le coût des ventes fluctue en fonction du cours de certaines devises par rapport au dollar canadien. Plus particulièrement, la majeure partie de nos produits importés proviennent de Chine et sont payés 5

6 en dollars américains. Par conséquent, le coût des ventes est sensible aux fluctuations du renminbi chinois par rapport au dollar américain et à celles du dollar américain par rapport au dollar canadien. Bien que nous concluions des contrats de change à terme en vue de couvrir une partie importante de notre exposition à la fluctuation du dollar américain et, dans une moindre mesure, de l euro par rapport au dollar canadien, nous ne réalisons aucune opération de couverture relativement à la fluctuation du renminbi chinois par rapport au dollar américain. Les frais de livraison et de transport constituent également une composante importante du coût des ventes. Lorsque le prix du carburant augmente, les frais de livraison et de transport augmentent aussi parce que les transporteurs répercutent généralement cette augmentation sur les tarifs imposés aux usagers. Étant donné la grande volatilité du prix du carburant, il est difficile de prévoir les suppléments de carburant que nous pourrions nous voir imposer par nos transporteurs comparativement aux trimestres précédents. Les frais d occupation sont largement tributaires des charges de location de base. Même si nous ressentons la pression à la hausse sur les loyers compte tenu du faible taux d inoccupation sur le marché, nous estimons généralement être en mesure de négocier les modalités de nos baux à des conditions commerciales favorables. Nous contractons généralement des baux pour des durées de dix ans, avec option de reconduction pour une ou plusieurs périodes additionnelles de cinq ans. Frais généraux, frais d administration et charges opérationnelles des magasins Les frais généraux, frais d administration et charges opérationnelles des magasins (les «frais généraux») sont composés des coûts de la main-d œuvre, qui sont essentiellement variables et proportionnels aux volumes de nos ventes, ainsi que des coûts de l entretien des magasins, des salaires et des charges sociales des employés du siège social et des membres de l équipe de direction des magasins, des charges d administration des bureaux, des honoraires et d autres charges connexes, qui sont tous essentiellement fixes. Bien que le salaire horaire moyen de nos employés des magasins soit plus élevé que le salaire minimum, une augmentation de ce dernier pourrait avoir une incidence considérable sur les charges salariales, à moins que cette incidence soit contrebalancée par un gain de productivité et une réduction de coûts. Nous prévoyons que les frais d administration augmenteront à mesure que nous étendrons notre infrastructure pour répondre aux besoins créés par la croissance de la Société. Facteurs économiques et facteurs propres au secteur ayant une incidence sur la Société Nous exerçons nos activités dans le secteur de la vente au détail, secteur extrêmement concurrentiel sur le plan des prix, de l emplacement des magasins, de la qualité de la marchandise, de la gamme de produits et de leur présentation, de la régularité des stocks et du service à la clientèle. Nous livrons concurrence à d autres magasins à un dollar, aux magasins à prix modiques et à escompte et aux grandes surfaces au Canada. Ces détaillants exploitent des magasins dans de nombreux emplacements où nous sommes aussi présents, et bon nombre d entre eux consacrent des efforts importants à la publicité et au marketing. En outre, nous livrons concurrence à certaines autres entreprises pour les meilleurs emplacements où installer nos magasins et pour attirer et conserver un personnel qualifié. Nous prévoyons que certains facteurs, dont ceux décrits ci-après, mais sans s y limiter, continueront d exercer une pression sur l environnement dans lequel nous exerçons nos activités : le coût des marchandises, l instabilité économique à l échelle mondiale, le niveau d endettement des consommateurs et leurs tendances d achat, la conjoncture économique, les taux d intérêt, la volatilité du marché, les préférences des consommateurs, le taux de chômage, le coût de la main-d œuvre, l inflation, la fluctuation des taux de change, le prix du carburant, les coûts des services publics, les conditions météorologiques, les catastrophes, la concurrence et le coût de l assurance. Un des facteurs qui influe à la fois sur le consommateur et sur l entreprise est le cours du pétrole. Une hausse du cours du pétrole pourrait entraîner une réduction des dépenses des consommateurs et une augmentation des coûts liés au transport pour l entreprise. 6

7 Principales informations financières consolidées Les tableaux ci-dessous présentent les principales informations financières pour les périodes indiquées. Les principales informations financières consolidées au 3 février 2013, au 29 janvier 2012 et au 30 janvier 2011 ont été tirées de nos états financiers consolidés audités et des notes annexes. L information financière de la période de 14 semaines close le 3 février 2013 et de la période de 13 semaines close le 29 janvier 2012 n a pas été auditée. Période de Période de 14 semaines 13 semaines 53 semaines 52 semaines 52 semaines close le close le close le close le close le (en milliers de dollars, sauf les montants par action) 3 février janvier février janvier janvier 2011 Données tirées du résultat Ventes $ $ $ $ $ Coût des ventes Profit brut Frais généraux 8) Dotation aux amortissements Résultat opérationnel 8) Coûts de financement, montant net Résultat avant impôt sur le résultat 8) Charge d'impôt sur le résultat Résultat net 9) $ $ $ $ $ Résultat net de base par action ordinaire 9)... 1,05 $ 0,86 $ 3,00 $ 2,35 $ 1,60 $ Résultat net dilué par action ordinaire 9)... 1,04 $ 0,84 $ 2,94 $ 2,30 $ 1,55 $ Nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation au cours de la période : De base (en milliers) Dilué (en milliers) Autres données Croissance des ventes d'une année à l'autre... 19,9 % 14,7 % 16,0 % 12,9 % 13,3 % Croissance des ventes des magasins comparables 1)... 4,6 % 7,9 % 6,5 % 5,4 % 7,3 % Marge brute 2)... 38,7 % 39,8 % 37,4 % 37,5 % 36,1 % Frais généraux, en pourcentage des ventes 2)8)... 17,5 % 18,4 % 18,3 % 19,0 % 19,6 % BAIIA 3)8) $ $ $ $ $ Marge opérationnelle 2)8)... 19,3 % 19,5 % 17,0 % 16,3 % 14,5 % Dépenses d'investissement $ $ $ $ $ Nombre de magasins 4) Superficie moyenne des magasins (en pieds carrés bruts) 4) Dividendes déclarés par action ordinaire 5)... 0,11 $ 0,09 $ 0,42 $ 0,27 $ $ (en milliers de dollars) Données tirées de l'état de la situation financière Trésorerie et équivalents de trésorerie... 3 février $ 29 janvier $ 30 janvier $ Stocks de marchandises Immobilisations corporelles Total de l actif Total de la dette 6) Dette nette 7)

8 1) Les ventes des magasins comparables sont définies comme étant celles des magasins ouverts depuis au moins 13 mois complets par rapport à la période correspondante de l exercice précédent, y compris les magasins délocalisés et agrandis. Aux fins du calcul des ventes des magasins comparables, la Société n a pas tenu compte des ventes de la 53e semaine de l exercice ) La marge brute correspond au profit brut divisé par les ventes. Les frais généraux en pourcentage des ventes correspondent aux frais généraux divisés par les ventes. La marge opérationnelle correspond au résultat opérationnel divisé par les ventes. 3) Dans le présent rapport, le BAIIA, une mesure hors PCGR, représente le résultat opérationnel plus la dotation aux amortissements. Période de Période de 14 semaines 13 semaines 53 semaines 52 semaines 52 semaines close le close le close le close le close le (en milliers de dollars) 3 février janvier février janvier janvier 2011 Le tableau suivant présente un rapprochement du résultat opérationnel et du BAIIA : Résultat opérationnel $ $ $ $ $ Ajouter la dotation aux amortissements BAIIA $ $ $ $ $ Marge du BAIIA... 21,2 % 21,4 % 19,1 % 18,4 % 16,5 % Le tableau suivant présente un rapprochement du BAIIA et des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles : BAIIA $ $ $ $ $ Coûts de financement, montant net (après amortissement des frais d'émission de titres de créance)... (2 445) (2 750) (9 706) (14 305) (24 615) Excédent des encaissements (décaissements) sur le montant comptabilisé relativement aux instruments financiers dérivés... (1 428) Impôt exigible... (27 389) (23 682) (77 148) (63 115) (50 299) Remboursement du principal de contrats de location... ( 174) (143) ( 695) (653) Remboursement des intérêts capitalisés sur la dette à long terme... (28 074) Intérêts réputés sur le remboursement de la dette à long terme... ( 54) (55) ( 216) (1 419) (20 207) Incitatifs à la location différés Allocations reçues du propriétaire et frais de location différés Dotation aux amortissements des allocations reçues du propriétaire et frais de location différés... ( 695) (551) (2 576) (2 134) (1 678) Rémunération fondée sur des actions Perte (profit) sur la sortie d'actifs (9) Variation des éléments hors trésorerie du fonds de roulement (2 076) (24 198) (52 123) (9 599) Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, montant net $ $ $ $ $ 4) À la fin de la période. 5) Le premier dividende trimestriel de la Société, au montant de 0,09 $ par action ordinaire, a été déclaré par le conseil d'administration le 8 juin Le 11 avril 2012, la Société a annoncé que le conseil d'administration avait approuvé une augmentation de 22 % de son dividende trimestriel, le faisant passer de 0,09 $ à 0,11 $ par action ordinaire. 6) Le total de la dette comprend la partie à court terme de la dette à long terme ainsi que la dette à long terme avant les frais d émission de titres de créance et et les escomptes. 7) La dette nette correspond au total de la dette, moins la trésorerie et les équivalents de trésorerie. 8) Comprend des charges salariales de 1,8 M$ au quatrième trimestre de l exercice 2013 et de 4,8 M$ au total pour l exercice 2013 résultant de l exercice d options par la haute direction. 9) Comprend des charges salariales de 1,8 M$ (1,5 M$ après impôt), ou 0,02 $ par action, au quatrième trimestre de l exercice 2013 et de 4,8 M$ (3,5 M$ après impôt), ou 0,05 $ par action au total pour l exercice 2013 résultant de l exercice d options par la haute direction. 8

9 Résultats opérationnels Comparaison des résultats de l exercice 2013 et de l exercice 2012 Ce qui suit donne un aperçu de notre performance financière pour l exercice 2013 comparativement à l exercice Ventes Les ventes ont augmenté de 16,0 % pour s établir à 1 858,8 M$ pour l exercice 2013, contre 1 602,8 M$ pour l exercice Les ventes totales de l exercice 2013 comprennent les ventes enregistrées pendant la semaine supplémentaire associée au calendrier de 53 semaines du secteur de la vente au détail, lesquelles se sont élevées à 32,1 M$. Outre l incidence de la 53 e semaine, la hausse est essentiellement attribuable à l ouverture d un nombre net de 81 nouveaux magasins et à la progression de 6,5 % des ventes des magasins comparables. La croissance des ventes des magasins comparables a résulté d une augmentation de 4,3 % de la taille moyenne des transactions et d une hausse de 2,1 % du nombre de transactions. Au cours de l exercice 2013, 55 % de nos ventes provenaient de produits vendus à plus de 1 $, comparativement à 48 % pour l exercice Marge brute La marge brute a représenté 37,4 % des ventes pour l exercice 2013, comparativement à 37,5 % des ventes pour l exercice La hausse des frais d occupation découlant du nombre plus élevé de nouveaux magasins ouverts au deuxième semestre de l exercice 2013 a contribué au léger recul de la marge brute. Frais généraux Pour l exercice 2013, les frais généraux ont été ramenés à 18,3 % des ventes, contre 19,0 % des ventes de l exercice 2012, et ce, en raison surtout de l amélioration de la productivité du personnel des magasins et des effets d échelle touchant certains coûts fixes sur le volume de ventes plus important pour l exercice Les frais généraux se sont établis à 339,7 M$ pour l exercice 2013, contre 305,1 M$ pour l exercice 2012, ce qui représente une hausse de 11,3 %. L augmentation est principalement attribuable à l ouverture d un nombre net de 81 nouveaux magasins depuis la fin de l exercice 2012 et à la prise en compte d une charge salariale de 4,8 M$ résultant de l exercice d options par la haute direction au cours de l exercice Dotation aux amortissements La dotation aux amortissements a augmenté de 6,0 M$, passant de 33,3 M$ pour l exercice 2012 à 39,3 M$ pour l exercice 2013, essentiellement en raison de l amortissement d immobilisations corporelles des nouveaux magasins et d investissements dans du matériel et des projets d automatisation et de technologie de l information. Coûts de financement, montant net Les coûts de financement, montant net, ont diminué de 5,8 M$, passant de 16,6 M$ pour l exercice 2012 à 10,8 M$ pour l exercice Ce repli est attribuable au recul du niveau d endettement et à la réduction des taux d intérêt sur la dette à long terme par rapport à l exercice Charge d impôt sur le résultat Notre taux d imposition effectif pour l exercice 2013 a été de 27,6 %, comparativement à 29,3 % pour l exercice 2012, en raison surtout de la modification des taux d imposition réglementaires. Malgré cette baisse du 9

10 taux d imposition effectif, la charge d impôt sur le résultat a augmenté de 12,2 M$, passant de 71,9 M$ pour l exercice 2012 à 84,1 M$ pour l exercice 2013, et ce, en raison surtout de la rentabilité accrue. Résultat net Pour l exercice 2013, le résultat net a atteint 221,0 M$, soit 2,94 $ par action après dilution, contre 173,5 M$, soit 2,30 $ par action après dilution, pour l exercice Cette amélioration du résultat net est attribuable à une augmentation du résultat opérationnel et à la diminution des coûts de financement, montant net, et a été contrebalancée en partie par une augmentation de la charge d impôt sur le résultat. L achat d actions aux termes de l offre de rachat n a pas eu une incidence significative sur le résultat net par action après dilution de l exercice Sommaire des résultats trimestriels consolidés Exercice 2013 Exercice 2012 (en milliers de dollars) T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 Données tirées du résultat Ventes $ $ $ $ $ $ $ $ Coût des ventes Marge brute Frais généraux Dotation aux amortissements Résultat opérationnel Coûts de financement, montant net Résultat avant impôt sur le résultat Charge d impôt sur le résultat Résultat net $ $ $ $ $ $ $ $ Résultat net par action ordinaire De base... 1,05 $ 0,70 $ 0,67 $ 0,58 $ 0,86 $ 0,57 $ 0,51 $ 0,41 $ Dilué... 1,04 $ 0,68 $ 0,66 $ 0,56 $ 0,84 $ 0,55 $ 0,50 $ 0,40 $ Analyse des résultats du quatrième trimestre de l exercice 2013 Ce qui suit donne un aperçu de notre performance financière au quatrième trimestre de l exercice 2013, comparativement au quatrième trimestre de l exercice Ventes Les ventes ont augmenté de 19,9 %, passant de 468,7 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2012 à 561,9 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice Les ventes totales du quatrième trimestre de l exercice 2013 comprennent les ventes enregistrées pendant la semaine supplémentaire associée au calendrier de 53 semaines du secteur de la vente au détail, lesquelles se sont élevées à 32,1 M$. Outre l incidence de la 14 e semaine du trimestre, l augmentation des ventes découle de la croissance interne continue des ventes qui est attribuable à la hausse de 4,6 % des ventes des magasins comparables au quatrième trimestre de l exercice 2013, en sus d une progression de 7,9 % des ventes des magasins comparables au quatrième trimestre de l exercice La croissance des ventes des magasins comparables au quatrième trimestre de l exercice 2013 est imputable à une augmentation de 4,6 % de la taille moyenne des transactions, tandis que le nombre de transactions est resté stable par rapport à la période correspondante de l exercice La croissance des ventes s explique également par l augmentation de 11,5 % du nombre de magasins par rapport à l exercice précédent, puisque nous avons ouvert un nombre net de 81 nouveaux magasins pour passer de 704 magasins en date du 29 janvier 2012 à 785 magasins en date du 3 février

11 Au quatrième trimestre de l exercice 2013, 56 % de nos ventes provenaient de produits vendus à plus de 1 $, comparativement à 50 % pour le trimestre correspondant de l exercice précédent. Marge brute La marge brute a représenté 38,7 % des ventes du quatrième trimestre de l exercice 2013, comparativement à 39,8 % des ventes pour le quatrième trimestre de l exercice La baisse de la marge brute est attribuable à une augmentation supplémentaire d environ 4,9 M$ des frais d occupation des magasins, des frais d entreposage et de distribution et des coûts de transport sortant, le tout associé à l accélération de l ouverture de nouveaux magasins, lesquels n ont généré que des ventes minimales durant le trimestre. La Société a ouvert plus de 26 nouveaux magasins dans le deuxième semestre de l exercice 2013 comparativement à la période correspondante de l exercice La marge brute de l exercice 2013 s'élevait à 37,4% contre 37,5% pour l exercice Frais généraux Pour le quatrième trimestre de 2013, les frais généraux ont été ramenés à 17,5 % des ventes, contre 18,4 % des ventes du quatrième trimestre de l exercice 2012, et ce, en raison surtout de l amélioration de la productivité du personnel des magasins et des effets d échelle de certains coûts fixes sur le volume de ventes plus important pour le quatrième trimestre de l exercice Les frais généraux se sont établis à 98,2 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2013, contre 86,3 M$ pour le quatrième trimestre de 2012, ce qui représente une hausse de 13,8 %. Celle-ci est principalement attribuable à l ouverture d un nombre net de 81 nouveaux magasins depuis la fin du quatrième trimestre de l exercice 2012 et à la prise en compte d une charge salariale de 1,8 M$ résultant de l exercice d options par la haute direction au quatrième trimestre de l exercice Dotation aux amortissements La dotation aux amortissements a augmenté de 2,1 M$, passant de 8,7 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2012 à 10,8 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2013, essentiellement en raison de l amortissement d immobilisations corporelles des nouveaux magasins et d investissements dans du matériel et des projets d automatisation et de technologie de l information. Coûts de financement, montant net Les coûts de financement, montant net, ont baissé de 0,4 M$, passant de 3,1 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2012 à 2,7 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice Cette réduction découle du recul du niveau d endettement et de la réduction des taux d intérêt sur la dette à long terme par rapport au quatrième trimestre de l exercice Charge d impôt sur le résultat Notre taux d imposition effectif pour le quatrième trimestre de l exercice 2013 a été de 27,0 %, comparativement à 28,0 % pour le quatrième trimestre de l exercice 2012, en raison surtout de la modification des taux d imposition réglementaires. Malgré cette baisse du taux d imposition effectif, la charge d impôt sur le résultat a augmenté de 3,8 M$, passant de 24,7 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2012 à 28,5 M$ pour le quatrième trimestre de l exercice 2013, et ce, en raison surtout de la rentabilité accrue. Résultat net Pour le quatrième trimestre de l exercice 2013, le résultat net a atteint 77,1 M$, soit 1,04 $ par action après dilution, contre 63,6 M$, soit 0,84 $ par action après dilution, pour le quatrième trimestre de l exercice Cette amélioration du résultat net est attribuable à une augmentation du résultat opérationnel, contrebalancée en partie par une augmentation de la charge d impôt sur le résultat. 11

12 Situation de trésorerie et ressources en capital Flux de trésorerie (en milliers de dollars) Exercice clos le Exercice clos le 3 février janvier 2012 Variation en $ Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles 1) $ $ $ Flux de trésorerie liés aux activités d investissement... (77 531) (52 660) (24 871) Flux de trésorerie liés aux activités de financement... ( ) ( ) (93 258) Variation des flux de trésorerie, montant net... (17 705) $ $ (34 847) $ 1) L'exercice clos le 3 février 2013 comprend une semaine supplémentaire. Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles Les flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles se sont élevés à 256,3 M$ pour l exercice 2013, comparativement à 173,1 M$ pour l exercice Cette progression s explique principalement par la rentabilité accrue par rapport à l exercice précédent et par l utilisation moindre du fonds de roulement attribuable à une meilleure gestion des stocks au cours de l exercice Flux de trésorerie liés aux activités d investissement Pour l exercice 2013, les flux de trésorerie affectés aux activités d investissement ont totalisé 77,5 M$, comparativement à 52,7 M$ pour l exercice Les achats d immobilisations corporelles ont augmenté de 22,1 M$ au cours de l exercice 2013, par suite surtout de l accroissement des investissements liés à l ouverture de nouveaux et de futurs magasins ainsi qu à l agrandissement, à la relocalisation et à la rénovation de magasins par rapport à l exercice Flux de trésorerie liés aux activités de financement Les flux de trésorerie affectés aux activités de financement pour l exercice 2013 ont totalisé 196,5 M$, montant qui comprend des paiements de 155,9 M$ au titre du rachat d actions ordinaires aux termes de l offre de rachat, des versements de dividendes de 31,0 M$ et des remboursements de capital prévus de 10,4 M$ en vertu de l emprunt à terme au titre de la facilité de crédit de 2010 (selon la définition donnée aux présentes), légèrement contrebalancés par le produit de 1,6 M$ tiré de l émission d actions ordinaires à l exercice d options sur actions. Les activités de financement comprennent aussi les coûts associés à la modification et à la mise à jour de la facilité de crédit de 2010 et à la conclusion de la facilité de crédit de 2012, qui a mené à la conversion de l emprunt à terme en emprunt renouvelable. En comparaison, pour l exercice 2012, les flux de trésorerie affectés aux activités de financement s étaient chiffrés à 103,3 M$, montant qui comprenait un remboursement de capital par anticipation de 80,0 M$ et des remboursements de capital prévus de 11,9 M$ au titre de la facilité de crédit de 2010, déduction faite du solde de 1,4 M$ classé à titre d intérêts réputés, et des versements de dividendes de 13,3 M$. Ressources en capital La Société tire de ses activités opérationnelles suffisamment de flux de trésorerie pour financer sa stratégie de croissance prévue, assurer le service de sa dette et financer son programme de rachat d actions. De plus, au 3 février 2013, la Société disposait d une trésorerie et d équivalents de trésorerie totalisant 52,6 M$ ainsi que d un montant de 85,8 M$ pouvant être prélevé sur la facilité de crédit de 2012, ce qui lui procure une plus grande souplesse pour combler des besoins imprévus en matière de liquidités, s il en est. 12

13 Notre capacité à payer les intérêts sur notre dette, à refinancer celle-ci ou à financer les dépenses d investissement prévues dépendra de notre performance future, laquelle, dans une certaine mesure, sera tributaire de la conjoncture économique, de facteurs d ordre financier, de la concurrence, des lois, du cadre réglementaire et d autres facteurs qui échappent à notre volonté. Compte tenu des activités que nous menons actuellement, nous croyons que les flux de trésorerie provenant de nos activités opérationnelles ainsi que les montants dont nous disposons aux termes de la facilité de crédit de 2012 nous permettront de combler nos besoins en liquidités futurs. Nos hypothèses concernant ces besoins pourraient se révéler inexactes, et les fonds auxquels les sources précitées nous donnent accès pourraient ne pas être suffisants pour nous permettre d assurer le service de notre dette et de pourvoir au règlement de toute charge imprévue. Facilité de crédit Le 10 juin 2010, Groupe Dollarama S.E.C., filiale en propriété exclusive de la Société, a conclu une convention visant une facilité de crédit consortiale garantie de premier rang, entièrement canadienne, de 600,0 M$ (la «facilité de crédit de 2010») composée i) d une facilité de crédit renouvelable de 75,0 M$ et ii) d un emprunt à terme de 525,0 M$ échéant en juin Le 5 octobre 2011, Groupe Dollarama S.E.C. et les prêteurs ont conclu une première convention de modification de la facilité de crédit de Cette convention comprend une nouvelle grille de prix comportant des taux applicables plus avantageux, un nouveau plan d amortissement pour le remboursement de l emprunt à terme et une nouvelle date d échéance de la facilité de crédit renouvelable, soit le 10 juin Le 17 décembre 2012, Groupe Dollarama S.E.C. et la Société, en tant que coemprunteurs (collectivement, les «coemprunteurs» et individuellement, un «emprunteur»), ont conclu la facilité de crédit de 2012, une convention de crédit modifiée et mise à jour qui remplace la facilité de crédit de 2010 et se compose d une facilité de crédit renouvelable de 350,0 M$ échéant en décembre De plus, les coemprunteurs peuvent, dans certaines circonstances et sous réserve de l obtention d engagements supplémentaires de la part des prêteurs existants ou d autres institutions admissibles, demander l augmentation du montant disponible aux termes de la facilité renouvelable d au plus 350,0 M$. Aux termes de la facilité de crédit de 2012, les intérêts sont imputés au taux des acceptations bancaires ou au TIOL, majorés d une prime se situant entre 1,00 % et 2,25 % déterminée en fonction de certains ratios financiers calculés sur une base consolidée. Au 3 février 2013, l encours aux termes de la facilité de crédit de 2012 totalisait 264,4 M$. Par suite de la simplification de la structure d entreprise de Dollarama, y compris la liquidation et la dissolution de Groupe Dollarama S.E.C. au sein de la Société, la Société est devenue l unique emprunteur aux termes de la facilité de crédit de 2012 en date du 4 février La facilité de crédit de 2012 oblige la Société à respecter, sur une base trimestrielle et consolidée, un ratio minimal de couverture des intérêts et un ratio maximal d endettement ajusté en fonction des contrats de location. En date du 3 février 2013, la Société respectait toutes ses clauses restrictives de nature financière. La facilité de crédit de 2012 est garantie par l ensemble des filiales restreintes actuelles et futures de la Société (collectivement, les «parties garantissant l emprunt»). Elle est assortie de créances hypothécaires et de sûretés grevant la quasi-totalité des actifs actuels et futurs des parties garantissant l emprunt, ainsi que d un nantissement des billets intersociétés actuels et futurs et d un nantissement du capital-actions et des parts de société en commandite, selon le cas, des filiales de la Société. La facilité de crédit de 2012 est assortie de clauses restrictives qui, sous réserve de certaines exceptions, limitent la capacité des parties garantissant l emprunt de faire notamment ce qui suit : procéder à des prêts; contracter, prendre en charge ou autoriser d autres dettes garanties, garanties ou privilèges; réaliser des fusions, des acquisitions, des ventes d actifs ou des opérations de cession-bail; déclarer des dividendes, faire des paiements relatifs à des participations en actions ou racheter de telles participations; changer la nature des 13

14 activités; effectuer certaines opérations avec des sociétés du même groupe; et conclure des ententes limitant les distributions des filiales. Dépenses d investissement Pour l exercice 2013, les dépenses d investissement ont totalisé 75,0 M$, montant compensé par les allocations de 6,8 M$ reçues du propriétaire, comparativement à des dépenses d investissement de 53,0 M$ pour l exercice 2012, montant compensé par les allocations de 4,0 M$ reçues du propriétaire. Nous avons ouvert un nombre net de 81 nouveaux magasins au cours de l exercice 2013, comparativement à un nombre net de 52 nouveaux magasins au cours de l exercice La progression des dépenses d investissement résulte principalement du nombre plus élevé de nouveaux magasins ouverts. Obligations contractuelles et engagements commerciaux Le tableau ci-dessous résume nos principales obligations contractuelles en date du 3 février 2013, y compris nos arrangements non comptabilisés et nos engagements. (en milliers de dollars) Total Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Par la suite Obligations contractuelles Location - financement: Obligations liées à des contrats de location simple 1) $ $ $ $ $ $ $ Emprunts à long terme : Facilité de crédit de Paiements d'intérêts 2) Obligation au titre des contrats de location-financement Intérêts sur l'obligation au titre des contrats de location-financement Obligations contractuelles $ $ $ $ $ $ $ Engagements Lettres de crédit et garanties $ 246 $ $ $ $ $ $ Engagements $ 246 $ $ $ $ $ $ Total des obligations contractuelles et des engagements $ $ $ $ $ $ $ 1) 2) Représente les loyers annuels de base, compte non tenu des loyers conditionnels, des frais d entretien des aires communes, des impôts fonciers et d autres frais payés aux propriétaires, éléments qui, ensemble, équivalent à approximativement 40 % de nos charges locatives. Selon les taux d intérêt présumés sur les montants exigibles en vertu de la facilité de crédit de Instruments financiers La Société se sert d instruments financiers dérivés, tels que des contrats de change à terme et des contrats à terme à accumulation pour atténuer le risque inhérent aux fluctuations du dollar américain et de l euro par rapport au dollar canadien. Ces instruments financiers dérivés sont utilisés à des fins de gestion des risques et, à l exception des contrats à terme à accumulation, sont désignés comme instruments de couverture d achats de marchandises prévus. La couverture du risque de change comporte un risque d illiquidité et, dans la mesure où le dollar américain ou l euro se déprécie par rapport au dollar canadien, le recours à des couvertures pourrait causer des pertes plus 14

15 importantes que si aucune couverture n avait été utilisée. Les ententes de couverture pourraient avoir pour effet de limiter ou de réduire le rendement total de la Société si les achats aux taux couverts se traduisaient par des marges moins élevées que si ces achats avaient été faits au taux du jour. Également, dans de telles circonstances, les coûts associés à un programme de couverture peuvent surpasser les avantages qu il procure. La Société documente la relation entre les instruments de couverture et les éléments couverts, tout comme la stratégie et les objectifs de gestion des risques qui l incitent à conclure ces opérations de couverture. Les instruments financiers dérivés sont constatés à la juste valeur, laquelle est établie au moyen des cours du marché. Au cours de l exercice 2013, la nature des risques découlant des contrats de change à terme et la gestion de ces risques n ont connu aucun changement important. L unique contrat à terme à accumulation, conclu par la Société en octobre 2011, est arrivé à échéance en septembre Pour une description complète des instruments financiers dérivés de la Société, se reporter à la note 17 des états financiers consolidés audités annuels de la Société pour l exercice Transactions avec des parties liées Baux immobiliers À l heure actuelle, nous louons 19 magasins, quatre entrepôts, notre centre de distribution et notre siège social auprès d entités contrôlées par Larry Rossy, président du conseil et chef de la direction de la Société, ou par des membres de sa famille immédiate, aux termes de baux à long terme. Les charges locatives associées à ces baux conclus avec des parties liées sont établies selon les conditions du marché et représentaient un montant total d environ 15,5 M$ pour l exercice 2013, comparativement à 15,1 M$ pour l exercice Arrangements non comptabilisés Outre nos obligations au titre de contrats de location simple et de lettres de crédit et garanties décrites à la rubrique «Obligations contractuelles et engagements commerciaux», nous ne sommes assujettis à aucun arrangement non comptabilisé. Méthodes et estimations comptables critiques Pour préparer les états financiers, la direction doit exercer son jugement dans l application des méthodes comptables, faire des estimations et formuler des hypothèses concernant l avenir. Les estimations et autres jugements sont continuellement remis en question. Ils sont fondés sur l expérience de la direction et d autres facteurs, notamment les prévisions d événements futurs raisonnables dans les circonstances. Les paragraphes qui suivent portent sur les jugements et les estimations les plus significatifs que la Société a formulés pour préparer les états financiers consolidés. Évaluation des stocks de marchandises L évaluation des stocks de marchandises en magasin est réalisée selon la méthode de l inventaire au prix de détail au moindre du coût et de la valeur de réalisation nette, les coûts étant déterminés au moyen de la méthode de l inventaire au prix de détail. Selon cette méthode, la valeur des stocks de marchandises est convertie au coût en appliquant un ratio du coût moyen sur le prix de vente. Les stocks de marchandises au centre de distribution ou dans les entrepôts et les stocks en transit en provenance des fournisseurs sont comptabilisés au moindre du coût et de la valeur de réalisation nette, le coût étant déterminé selon le coût moyen pondéré. Les stocks de marchandises comprennent les articles démarqués selon la meilleure estimation de la direction par rapport à leur valeur de réalisation nette, lesquels sont inclus dans le coût des ventes dans la période au cours de laquelle la démarque a été établie. La Société estime sa provision pour démarque en fonction de plusieurs facteurs, 15

16 notamment la quantité de produits à rotation lente ou hors-saison en stock, les statistiques historiques en matière de démarque, les plans de marchandisage futurs et les ruptures de stocks (freinte). La précision des estimations de la Société est tributaire de nombreux facteurs dont certains sont indépendants de sa volonté, notamment l évolution de la conjoncture et des tendances d achat des consommateurs. Historiquement, les estimations relatives aux démarques de la Société ne diffèrent pas considérablement des résultats réels à cet égard. Dépréciation du goodwill et de l appellation commerciale Le goodwill et l appellation commerciale ne sont pas assujettis à l amortissement et sont soumis à des tests de dépréciation annuellement, ou plus fréquemment si des événements ou circonstances donnent à penser que ces actifs se sont dépréciés. La dépréciation est évaluée en comparant la valeur recouvrable de l UGT à sa valeur comptable. Si la valeur comptable de l UGT excède sa valeur recouvrable, une perte de valeur est comptabilisée à l état consolidé du résultat global. La valeur recouvrable de l UGT se fonde sur la juste valeur diminuée des coûts de la vente. La juste valeur diminuée des coûts de la vente correspond au montant pour lequel l UGT pourrait être échangée entre des parties bien informées, consentantes et agissant dans des conditions de concurrence normale, diminué des coûts de la vente. La direction procède à une évaluation des données de marché pertinentes, soit la capitalisation boursière de la Société. Au 3 février 2013 et au 29 janvier 2012, des tests de dépréciation ont été effectués en comparant la valeur comptable du goodwill et de l appellation commerciale à la valeur recouvrable de l UGT à laquelle le goodwill et l appellation commerciale ont été attribués. La direction a établi qu il n y avait pas eu dépréciation. Juste valeur des instruments financiers et des couvertures La juste valeur des instruments financiers est établie selon les taux d intérêt, les taux de change, le risque de crédit, la valeur marchande et le prix actuel d instruments financiers assortis de modalités similaires. À moins d indications contraires, la valeur comptable de ces instruments financiers, particulièrement celle des instruments échéant à moins d un an, comme les soldes de trésorerie et d équivalents de trésorerie, les débiteurs, les acomptes et charges payées d avance, les créditeurs et charges à payer et les dividendes à payer se rapproche de leur juste valeur. Lorsque la comptabilité de couverture s applique, la Société documente officiellement les relations de couverture entre les instruments de couverture et les éléments couverts, ainsi que les objectifs et stratégies de gestion du risque qui sous-tendent les opérations de couverture. Pour ce faire, les instruments dérivés sont jumelés à des engagements fermes ou des transactions prévues. Dans le cadre de la comptabilité de couverture, la Société évalue si les instruments dérivés utilisés comme instruments de couverture sont efficaces pour contrebalancer les variations des flux de trésorerie générés par les éléments couverts. Impôt sur le résultat L établissement de la charge d impôt sur le résultat nécessite une part importante de jugement. L incidence fiscale définitive de certaines transactions et de certains calculs est incertaine. La Société comptabilise des passifs pour les éventuelles questions découlant du contrôle fiscal, selon les estimations de l impôt additionnel à payer. Lorsque le règlement définitif d un enjeu fiscal donne lieu à un montant d impôt différent du montant comptabilisé initialement, l écart se répercute sur les actifs et les passifs d impôt exigible et différé de la période du règlement définitif. 16

17 Prises de positions comptables récentes Modifications comptables futures Ce qui suit est un aperçu des modifications de normes comptables que la Société sera tenue d appliquer au cours des exercices à venir. Sauf mention contraire ci-dessous pour IFRS 9 et IAS 32, les normes s appliqueront aux états financiers des exercices ouverts à compter du 4 février 2013 et peuvent être adoptées de façon anticipée. La Société ne prévoit pas adopter l une ou l autre de ces normes avant leur date d entrée en vigueur. Sauf indication contraire, selon les événements et les circonstances actuels, la Société ne prévoit pas que l adoption de ces normes, en date du 4 février 2013, aura une incidence significative sur son état consolidé du résultat et de la situation financière. La Société continue d évaluer l incidence de ces normes sur ses états financiers consolidés. IFRS 9, «Instruments financiers», porte sur le classement et l évaluation des actifs financiers et remplace les catégories multiples et les modèles d évaluation énoncés dans IAS 39, «Instruments financiers : comptabilisation et évaluation», par un nouveau modèle d évaluation mixte comportant seulement deux catégories : coût amorti et juste valeur par le biais du résultat net. IFRS 9 remplace aussi les modèles pour l évaluation des instruments de capitaux propres, ces instruments étant comptabilisés soit à la juste valeur par le biais du résultat net, soit à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global. Lorsque de tels instruments de capitaux propres sont évalués à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global, les dividendes, dans la mesure où ils ne représentent pas clairement un rendement du capital investi, sont comptabilisés en résultat net. Cependant, les autres profits et pertes (y compris les pertes de valeur) associés à ces instruments demeurent indéfiniment dans le cumul des autres éléments du résultat global. IFRS 9 s applique aux périodes annuelles ouvertes à compter du 1 er janvier En mai 2011, l IASB a publié les normes ci-dessous, que la Société n a pas encore adoptées : IFRS 10, «États financiers consolidés»; IFRS 11, «Partenariats»; IFRS 12, «Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d autres entités»; IFRS 13, «Évaluation de la juste valeur»; IAS 27, «États financiers consolidés et individuels»; et IAS 28, «Participations dans des entreprises associées et des coentreprises» (modifiée en 2011). Ces nouvelles normes s appliquent toutes aux périodes annuelles ouvertes à compter du 1 er janvier 2013, l adoption anticipée étant autorisée. La Société est en train d évaluer l incidence des nouvelles normes et des normes révisées sur ses états financiers consolidés. Un résumé des nouvelles normes est présenté ci-après. o IFRS 10 États financiers consolidés Selon IFRS 10, une entité doit consolider une entreprise détenue lorsqu elle a des droits ou qu elle est exposée à des rendements variables de par sa participation dans l entreprise détenue et qu elle a la capacité d influer sur ces rendements en raison du pouvoir qu elle exerce sur l entreprise détenue. Selon les normes IFRS en vigueur, la consolidation est nécessaire lorsqu une entité a le pouvoir de diriger les politiques financières et opérationnelles d une autre entité de manière à tirer des avantages des activités de cette dernière. IFRS 10 remplace l interprétation SIC-12, «Consolidation entités ad hoc» et des parties d IAS 27. o IFRS 11 Partenariats Selon IFRS 11, un coentrepreneur doit classer sa participation dans un partenariat comme une coentreprise ou une entreprise commune. Les coentreprises seront comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence alors que pour une entreprise commune, le coparticipant comptabilise sa part de l actif, du passif, des produits des activités ordinaires et des charges de l entreprise commune. Selon les IFRS en vigueur, les entités ont le choix de consolider proportionnellement ou de comptabiliser selon la méthode de la mise en équivalence les participations dans des coentreprises. IFRS 11 remplace IAS 31, «Participation dans des coentreprises», et l interprétation SIC-13, «Entités contrôlées conjointement apports non monétaires par des coentrepreneurs». 17

18 o IFRS 12 Informations à fournir sur les intérêts détenus dans d autres entités IFRS 12 établit des obligations en matière d informations à fournir sur les participations dans d autres entités, comme les partenariats, les entreprises associées, les entités ad hoc et les opérations non comptabilisées. La norme reprend les obligations d informations existantes et exige aussi la fourniture d informations supplémentaires importantes concernant la nature des participations d une entité dans d autres entités et les risques qui y sont associés. o IFRS 13 Évaluation de la juste valeur IFRS 13 est une norme globale d évaluation de la juste valeur qui précise les exigences en matière d informations à fournir s appliquant à toutes les normes IFRS. La nouvelle norme précise que la juste valeur est le prix qui serait obtenu pour la vente d un actif, ou payé pour transférer un passif, dans le cadre d une transaction ordonnée entre les intervenants du marché, à la date de l évaluation. Elle établit également des informations à fournir sur l évaluation de la juste valeur. Selon les IFRS en vigueur, les lignes directrices sur l évaluation de la juste valeur et les informations à fournir à ce sujet sont réparties entre des normes spécifiques qui exigent des évaluations de la juste valeur et qui, dans de nombreux cas, ne découlent pas d une base d évaluation claire ni d informations à fournir uniformes. o Modification d IAS 1 Présentation des états financiers Ces modifications d IAS 1 obligent les entités à séparer les éléments présentés dans les autres éléments du résultat global en deux groupes, selon qu ils peuvent ou non être reclassés en résultat net ultérieurement. Les éléments qui ne seront pas reclassés, comme les réévaluations découlant d IAS 19, seront présentés séparément des éléments pouvant être reclassés ultérieurement, comme les profits et pertes différés sur les couvertures de flux de trésorerie. Les entités qui décident de présenter les autres éléments du résultat global avant impôt devront présenter de façon distincte les montants d impôt liés aux deux groupes d éléments. o Modifications d autres normes Risques et incertitudes De plus, des modifications ont été apportées à des normes existantes, notamment IFRS 7, «Instruments financiers : Informations à fournir», IAS 27, «États financiers individuels» (modifiée en 2011), IAS 28 (modifiée en 2011) et IAS 32, «Instruments financiers : présentation». Les modifications apportées à IFRS 7 imposent la présentation d informations sur les effets de la compensation des actifs financiers et des passifs financiers ainsi que des accords s y rattachant sur la situation financière d une entité. IAS 27 traite de la comptabilisation des filiales, des entités contrôlées conjointement et des entreprises associées dans les états financiers non consolidés. IAS 28 a été modifiée afin d étendre son champ d application aux coentreprises et de tenir compte des modifications liées aux IFRS 10 à 13. IAS 32 porte sur les incohérences lors de l application des directives sur la compensation et s applique aux états financiers des périodes annuelles ouvertes à compter du 1 er janvier Le contrôle et l amélioration des activités sont des préoccupations constantes au sein de la Société. La compréhension et la gestion des risques font donc partie intégrante du processus de planification stratégique de la Société. Le conseil d administration exige de la haute direction de la Société qu elle détermine et gère de façon appropriée les principaux risques liés aux activités commerciales de la Société. 18

19 Les principaux risques et incertitudes qui pourraient avoir une incidence importante sur les résultats opérationnels futurs de la Société sont regroupés dans les catégories suivantes : risques liés à nos activités opérationnelles; risques financiers; risques de marché; risques liés aux ressources humaines; risques liés à la technologie; risques liés à la stratégie et à la structure de société par actions; risques liés à la poursuite des activités; risques juridiques et réglementaires. La Société gère ces risques de façon continue et s est dotée de lignes directrices dans le but de gérer ces risques de manière à réduire leur incidence financière. Elle souscrit également une garantie d assurance complète, à coût raisonnable, qui la protège contre la plupart des événements assurables. De plus, la Société recueille et analyse régulièrement des données économiques et des informations sur ses concurrents, et la haute direction tient compte des résultats de ces analyses au moment de prendre des décisions stratégiques et opérationnelles. La Société ne peut toutefois garantir que les lignes directrices élaborées et les mesures prises donneront le résultat escompté. Risques liés à nos activités opérationnelles Charges opérationnelles et coût des marchandises Notre capacité d offrir des marchandises de qualité à de faibles prix dépend d un certain nombre de facteurs indépendants de notre volonté, comme le coût des marchandises, les fluctuations du taux de change, l augmentation des coûts de main-d oeuvre (notamment les augmentations du salaire minimum), l augmentation des frais de location et d occupation, le coût du carburant et l inflation, facteurs qui peuvent tous diminuer notre rentabilité et avoir des conséquences défavorables sur nos flux de trésorerie. Nous croyons que nos prix fixes allant jusqu à 3,00 $ nous procurent la souplesse nécessaire pour répondre aux augmentations de coûts en rajustant le prix de vente de certains articles. Cependant, rien ne garantit que nous continuerons de compenser convenablement nos coûts, étant donné la fourchette de prix limitée que nous offrons. Rien ne garantit que nous pourrons continuer à faire supporter les hausses de coûts à nos clients. Les fluctuations du taux de change ont des répercussions importantes sur le coût des marchandises. Toutes nos ventes sont libellées en dollars canadiens, mais nous achetons la majeure partie de nos marchandises auprès de fournisseurs étrangers en dollars américains. Par exemple, comme nous importons une partie importante de nos marchandises de Chine, le coût des marchandises subit l incidence de la fluctuation du renminbi (la monnaie chinoise) par rapport au dollar américain et du dollar américain par rapport au dollar canadien. Nous avons conclu des ententes de couverture du risque de change en dollars américains pour diminuer le risque lié aux fluctuations des taux de change, mais nous n avons conclu aucune entente visant la couverture du risque de fluctuation du renminbi chinois par rapport au dollar américain. Nos coûts de main-d œuvre sont en grande partie indépendants de notre volonté, étant déterminés par le salaire minimum réglementé dans chaque province, mais l amélioration de la productivité découlant de diverses initiatives opérationnelles compense en partie les coûts supplémentaires liés aux hausses du salaire minimum. Nos frais de location sont élevés, mais la nature à long terme de nos baux nous permet de prévoir avec justesse les frais pour les années à venir. Nous avons été en mesure de négocier des baux à des conditions avantageuses dans le passé et nous aurons amplement le temps de nous préparer à d éventuelles hausses de loyer. 19

20 De plus, une augmentation du prix du carburant ou un supplément carburant pourraient également augmenter nos frais de transport et, en conséquence, avoir des répercussions sur notre rentabilité. L inflation et une évolution défavorable de l économie au Canada, où nous achetons et vendons des marchandises, ainsi qu en Chine et dans d autres parties de l Asie, où nous achetons une grande partie de nos marchandises importées, peuvent avoir une incidence négative sur nos marges, notre rentabilité et nos flux de trésorerie. Toute incapacité de notre part à réagir rapidement à ces situations et à d autres situations semblables qui auraient pour effet d augmenter nos coûts de marchandise et nos charges opérationnelles risquerait d avoir des conséquences défavorables importantes sur nos activités et nos résultats financiers. Sélection des marchandises et réapprovisionnement Notre succès dépend largement de notre capacité à toujours trouver, choisir et acheter des marchandises de qualité à des prix intéressants en remplacement des produits sous-performants et à offrir un plus grand assortiment de produits. En général, nous ne concluons pas de contrats à long terme concernant l achat ou la mise au point de produits et nous devons continuellement rechercher des occasions d achat auprès de nos fournisseurs existants et de nouvelles sources d approvisionnement, pour lesquels nous sommes en concurrence avec d autres magasins à bas prix, dépanneurs, magasins de vente au rabais et marchands de masse. Même si nous croyons avoir tissé des liens solides et durables avec nos fournisseurs, nous pourrions ne pas réussir à maintenir un approvisionnement continu et croissant en marchandises de qualité à des prix intéressants. L impossibilité de trouver ou d acheter la quantité nécessaire de marchandises à des prix concurrentiels pour remplacer des produits désuets ou non rentables pourrait avoir des conséquences défavorables importantes sur nos activités et nos résultats financiers. Importations et chaîne d approvisionnement Nous dépendons largement des marchandises importées, l une de nos stratégies commerciales clés consistant à nous approvisionner en marchandises de qualité directement auprès des fournisseurs qui offrent les plus bas prix. Les marchandises importées sont généralement moins chères que les marchandises locales et contribuent largement à nos marges de profit favorables. L importation de marchandises pourrait devenir plus onéreuse ou être impossible, ou les livraisons pourraient prendre plus de temps, pour un certain nombre de raisons, notamment les suivantes : a) une interruption dans l acheminement des marchandises importées essentiellement causée par une pénurie de matières premières, un arrêt de travail, une fermeture d usine, la faillite d un fournisseur, l inflation, une grève ou l agitation politique dans un pays étranger, b) un problème de transport, notamment une pénurie de conteneurs ou l augmentation des tarifs d expédition maritime imposés par les transporteurs, c) une crise économique ou un différend international, d) une augmentation des coûts d achat ou d expédition des marchandises découlant de la rupture des relations commerciales normales entre le Canada et les pays étrangers avec lesquels nous faisons affaire, e) l imposition de droits d entrée, de contingents d importation et d autres sanctions commerciales, et f) la modification des taux ou des politiques de change et de la conjoncture économique locale, notamment l inflation dans le pays d origine. La réalisation d un ou plusieurs de ces risques pourrait avoir des conséquences défavorables importantes sur nos activités et nos résultats financiers. S il devient plus coûteux ou impossible d importer des marchandises, nous pourrions être incapables de trouver à temps des sources de remplacement pour répondre à la demande. Les produits de remplacement peuvent également être de moins bonne qualité et plus chers que ceux que nous importons actuellement. Une interruption dans l acheminement des marchandises que nous importons ou une augmentation de leur coût causée par ces facteurs ou d autres facteurs pourrait diminuer considérablement notre chiffre d affaires et nos profits et avoir des conséquences défavorables importantes sur nos activités et nos résultats financiers. Nous estimons avoir de bonnes relations avec nos fournisseurs et être capables d obtenir des conditions et des prix concurrentiels de leur part. Cependant, nous achetons nos produits à coups de commandes ponctuelles et nous avons très peu de contrats d achat à long terme, de garanties d approvisionnement régulier ou de garanties de coût des produits. Si nous ne maintenons pas de bonnes relations avec nos fournisseurs, ou si le coûts de production des produits augmentent par suite de l augmentation prolongée ou répétée des prix de 20

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