L'usine du futur : quel travail dans quel modèle économique?

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1 Conférences ATEMIS L'usine du futur : quel travail dans quel modèle économique? Tommaso Pardi sociologue GERPISA, ENS-Cachan Sandro De Gasparo ergonome ATEMIS ESCP - Paris, le 2 avril 2015

2 L'usine du futur : quel travail dans quel modèle économique? Quel travail dans l usine du futur? Activité et coopération dans la dynamique productive Sandro De Gasparo ergonome, ATEMIS ESCP - Paris, le 2 avril 2015

3 L avenir de l industrie Proposition : l avenir de l industrie se joue dans son rapport au service vers une «industrie au service des services» Conséquences d une telle proposition du point de vue du travail : reconsidérer le processus de production et la place du travail vivant activité la question des usages et la dynamique de la demande coopération transverse l organisation du travail et la fonction managériale coopération interne (H-V)

4 L évolution des formes de mobilisation du travail De nouvelles exigences productives Evolution des modes de consommation (contenu, formes personnalisation / diversification) Volatilité de la demande (temps, «modes», exigences) Instabilité et imprévisibilité des commandes (temporalité, changements ) Adaptabilité / flexibilité du procès de production De nouvelles exigences / nouveaux problèmes pour le travail Capacité à prendre en charge la variabilité de la production : «flexibilité» Capacité à s adapter / adapter le procès à la personnalisation du produit / de l offre Capacité à «gérer» la relation avec le client (de plus en plus directe et exigeante) Capacité à mobiliser et relier des savoir-faire, des compétences, des «expertises» différentes Des registres stratégiques de compétences et de ressources de l activité émergents Des compétences de régulation à des échelles de temps réduites Des compétences d innovation au plus près du procès de production Des ressources immatérielles et symboliques - savoir-faire opératoires et techniques - compétences symboliques - disponibilité psychique et relationnelle accompagnés de la question de la limite dans cette dynamique Quelles conditions pour une mobilisation durable de ces ressources? (développement vs épuisement) 4

5 5 Des tensions fortes dans l usine du présent De nombreux symptômes d une tension forte entre : La recherche de gain de productivité (par) des progrès techniques des économies d échelles l intensification du travail des déterminants classiques de la «productivité industrielle» conditions : - qualité stabilisée (mesurable et normalisée) - procès de production stabilisé («tâche») - contexte socio-économique stable et de nouveaux leviers de valeur par une réponse adaptée à chaque client la flexibilité de la production une offre commerciale ouverte des déterminants de productivité de la «logique servicielle» conditions : - place du travail vivant dans la production : activité relationnelle (synchronisation) stabilité / stabilisation des règles de travail engagement subjectif des travailleurs «standard» pilotage centralisé (organisation) loin du travail «sur mesure» hyper-personnalisation (client) loin du travail (et de l usage)

6 6 Le travail dans la dynamique industrielle (post-)taylorienne classique L «activité» : «accomplissement de la tâche dans des conditions réelles de réalisation pour obtenir les résultats souhaités» écart P/R distinction : - tâche - activité ANTICIPATION! Qualité stabilisée ex ante

7 Le travail dans la dynamique des nouvelles configurations productives L activité face à une double prescription : celle de l organisation prescrite (au sens de la «tâche» : le processus anticipé sur la base d un résultat stabilisé) des personnes en situation (le client / usager / bénéficiaire final, mais également le collègue, le chef ) anticipation aléa événement Demande adaptation Interprétation des intentions de la tâche (subjectivité)?? Qualité adoption Conditions subjectives, sociales, environn. Interprétation des intentions de la demande ex ante ex post «écart» quelle «innovation» «conformité» évaluation? «révélation» Résultat coproduit Demande singulière projection 7

8 8 La place du travail vivant dans le procès de production La production dans une logique servicielle PRODUIT bien (+ service / bien) bien / service CLIENT consommateur coproducteur d un usage PROCES DE PRODUCTION séparation [quoi] / [comment] unité quoi-comment TEMPORALITE diachronique / séquentielle synchronisation

9 La place du travail vivant dans le procès de production La place de l activité dans la production La dynamique de la demande dépasser la logique de la commande (indexée à une offre stabilisée) ou de l hyper-personnalisation («désir») vers une dynamique de la demande comme co-conception d un ensemble bien / service (performance d usage) La dynamique de la coopération dépasser la logique d organisation par segmentation (coordination) et séquentialisation (procédure : tâche) vers une logique de coopération permettant de prendre en charge les enjeux de synchronisation et d arbitrage du travail les enjeux liés aux externalités dans la relation avec les clients / usagers / bénéficiaires La capacité d interprétation des données et des informations (évaluation) dépasser la logique de «progrès» par spécialisation, standardisation, automatisation, numérisation (technique) vers l élaboration d un référentiel partagé créant la capacité de penser le procès productif («doctrine») Des ressources immatérielles à reconnaître et à savoir mobiliser 9

10 Quelles conséquences pour l organisation du travail? L exigence de repenser la nature de la prescription Un au-delà de la TACHE : un [comment] désincarné et déconnecté du [quoi], défini à distance du travail (temps et lieu) Des dispositifs (organisés) pour soutenir, accompagner et développer l activité de travail et la coopération Des dispositifs de régulation du travail réguler le couplage [quoi] / [comment] entre les différents acteurs de la (co)production du point de vue de l activité : un périmètre variable en articulant les trois formes de coopération (H, V, T) Des dispositifs de développement des ressources immatérielles de l activité Les registres de ressources immatériels la compétence dont les connaissances, les savoir-faire, la pensée (capacité à interpréter les événements) la confiance entre acteurs (d où la fiabilité des systèmes techniques, des produits, des processus, des décisions) la pertinence des organisations, des processus et des résultats aux regards des attentes / besoins La santé comme ressource (disponibilité et capacité) et comme résultat (effets de l engagement subjectif) l «entente» comme capacité à s entendre sur le sens des choses (signaux / données, informations, messages Des dispositifs de délibération et de production d une «doctrine» partagée créer des espaces ouverts pour élaborer de la «pensée» la «doctrine» comme ressource collective à la pensée de chacun : enjeu santé performance 10

11 11 L exigence de réinterroger des rapports (et les distinctions) au sein des organisation entre R&D INGENIERIE PRODUCTION COMMERCIAL L exigence de repenser le management pour soutenir le développement des capacités humaines dans l activité les dispositifs d évaluation fondés sur le retour d expérience du travail : comprendre les difficultés rencontrées, identifier les nouvelles solutions opératoires élaborées, accompagner les dynamiques de coopération les dispositifs de professionnalisation, de manière transversale aux qualifications, pour constituer un référentiel de travail partagé, à partir des retours d expériences et des connaissances (techniques et issues des SHS) les dispositifs d innovation, orientée par la performance d usage, prenant appui sur les progrès technologiques et sur les retours d expériences des différentes fonctions de l organisation le management : le mode de mobilisation / développement de cette ressource

12 12 Le rôle et l activité du management de / par la ressource «manager» anticipation «concepteur» «professionnel(s)»?? «bénéficiaire» projection

13 La prise en compte des usages dans la production : un levier pour l innovation? Quelles modalités de prise en compte des usages? : entre mesure des «écarts» et évaluation de nouveaux usages CONNAISSANCES => savoir pour agir > interprétation en référence à une «doctrine» INFORMATIONS DONNEES => différence entre données > intégration selon des références formelles => mesure (quantitative) Actuellement : des systèmes d information automatisées Un risque : limiter la prise en compte des usages à la mesure des écarts aux fonctionnalités attendues Modèle industriel classique : des fonctionnalités pré-établies (via la conception du bien) des dimension tangibles et mesurables la distance entre acteurs : concepteurs, relation client, usagers producteurs A construire : des dispositifs de conception, d analyse et d évaluation des usages Une opportunité : analyser et comprendre les besoins et les usages pour accompagner les innovations fonctionnelles Modèle de l économie de la fonctionnalité et de la coopération des espaces de coopération entre tous les acteurs la dimension émergente et non tangible des besoins et des leviers d innovation l ancrage territoriale de la dynamique économique 13

14 Des questions pour l Usine du Futur à l articulation entre modèle économique et travail dans une dynamique servicielle La nature de la relation entre coopération T et coopération H-V Autrement dit : en quoi un changement de modèle économique dans l industrie implique-t-il un changement du travail La question de l échelle A quelle échelle peut-on penser l Usine du Futur? Une échelle permettant de relier : - la capacité d expression et d analyse des besoins (et des externalités) d un point de vue collectif - la capacité de mettre en relation des acteurs : entrepreneurs, collectivités, usagers, représentants syndicaux - la capacité de penser une dynamique de changement du modèle productif de l entreprise Les enjeux politiques du débat sur l Usine du Futur la dynamique de développement économique que veut-on produire et comment veut-on le produire? la question du travail, en lien avec les sphères de la vie sociale la centralité du travail : enjeu de santé, de socialisation et de développement économique la prise en charge des enjeux politiques du travail par l entreprise par les professionnels par les autres acteurs 14

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