Avenir de la SNCF performances du système ferroviaire français
|
|
- Agathe Patel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L heure de vérité Vous avez été plusieurs centaines de cheminot(e)s à nous exprimer vos opinions, vos craintes et vos attentes. FiRST a pour objectif de se faire l ambassadeur de vos demandes auprès des décideurs : Ministère des Transports et Direction SNCF. Ce sera désormais chose possible grâce à vos réponses. Ce sondage nous permet d être au plus proche de vos attentes réelles, et de ne pas penser et décider de votre avenir à votre place. Les réponses aux questions ont été classées en fonction du score qu elles ont récolté. Certaines confirment sans appel votre attachement au Statut, à l Entreprise et à sa réglementation du travail. D autres pointent du doigt les carences en termes de reconnaissance, de rémunération, de transmission des compétences, de dialogue social Selon la phrase habituelle, «la marge de progrès» de l entreprise est conséquente pour peu qu elle veuille s atteler à la réduire. En adhérant à FiRST, en soutenant ainsi nos démarches, vous pouvez prendre votre destin en main. Bonne lecture! Le Panel des sondés: Hommes : 86 % Femmes : 14 % Exécution : 45 %, Maitrise 43 %, Cadres 25 %, pas de Cadre Supérieur Répartition par domaines : Infra (DCF, Equipement ingénierie,..) : 59 %, Voyageurs (GL, TER, Gare et Connexions, ECT, ) : 15 %, Fret : 10 %, Services Communs (dont directions centrales, SUGE, Administratifs) : 11 % Avenir de la SNCF performances du système ferroviaire français L avenir de la maison-mère SNCF : 1) 52 % La SNCF a un avenir mais elle doit s adapter et se moderniser en permanence. 2) 19 % La SNCF n a plus d avenir. 3) 18 % La SNCF n a d avenir qu à travers son groupe. 4) 11 % La SNCF reste une référence en termes de transport, son avenir n est pas compromis. Page 1
2 L avenir de la SNCF est essentiellement lié : 1) 42 % A la politique européenne. 2) 29 %Aux orientations arrêtées par les pouvoirs politiques français 3) 15 % A la politique menée par la direction générale de la SNCF. 4) 9% Au marché des transports. 5) 5 %Aux performances des cheminots. Réponses classées par ordre d importance Le système ferroviaire français 1) 39 % Il nous faut une SNCF unifiée en charge des transports comme des infrastructures. 2) 25 % De toute façon, il n y a plus rien à faire, la SNCF va éclater. RFF et les entreprises privées récupéreront les activités rentables. 3) 18 % Doit être amélioré sans remettre en question la séparation entre l opérateur (SNCF) et l Infrastructure (RFF) 4) 9 % Une holding à l Allemande, avec la SNCF comme chapeau, c est un retour à une forme d unicité et c est eurocompatible). 5) 7 % C est une usine à gaz qu il faut entièrement remettre à plat. 6) 6 % Fonctionne bien ; ne touchez à rien. SNCF et service public : Pour vous, la SNCF est : 1) 56 % Une entreprise commerciale avec des missions de service public. 2) 18 % Une entreprise de service public. 3) 18 % entreprise qui se moque du monde depuis que les usagers sont devenus des clients. 4) 8 % Une entreprise commerciale comme une autre Page 2
3 L organisation interne de l entreprise, c est : 1) 57 % La direction se retranche derrière les directives et autres règlements européens pour cloisonner encore plus les services et les personnels. 2) 23 % Un gros bazar : on se demande comment les trains peuvent encore circuler plus ou moins à l heure et dans toutes les conditions de sécurité 3) 16 % On a fait pour le mieux face aux exigences internes et européennes qui exigent de nombreuses séparations organisationnelles. 4) 3 % Ne se prononcent pas. 5) 1% Un modèle d efficacité SNCF et sécurité des circulations : Selon vous, le niveau de sécurité des circulations, depuis 20 ans : 1) 41 % Reste constant : la SNCF a su maintenir un niveau de sécurité acceptable face à toutes les contraintes qui ont pesé sur elle. 2) 37 % N est plus la priorité pour la SNCF, les impératifs économiques prennent le dessus. 3) 12 % S est amélioré : la sécurité des circulations reste la priorité absolue de la SNCF. 4) 4% S est dégradé : la sécurité, c est pour les vieux. 5) 4 % Ne se prononcent pas. 6) 2 % J ai désormais peur de prendre le train. SNCF : privatisation, sous-traitance, recours à des dirigeants noncheminots : C est, pour vous : 1) 54 % Le début de la fin de la SNCF. 2) 25 % Une charge pour la SNCF : les missions externalisées coûtent au final plus cher qu elles ne rapportent. 3) 9% Certaines missions ne sont pas du ressort d un transporteur ferroviaire et doivent être externalisées. 4) 6 % On ne peut y échapper si l on veut maintenir ce qui reste de la SNCF. 5) 4% Une solution pour redonner au rail de l efficacité et le mettre en mesure de récupérer des parts de marché. 6) 2 % Ne se prononcent pas. Page 3
4 Les acquis des cheminots Statut Cheminots : 1) 61 % Le Statut des cheminots fait partie des acquis sociaux et ne doit pas être remis en cause. 2) 20 % Le Statut des cheminots doit évoluer en fonction des contraintes économiques et sociales de la SNCF. 3) 15 % Le Statut des cheminots doit être maintenu et étendu à l ensemble des salariés de la SNCF qui le souhaitent. 4) 4 % Le Statut des cheminots n a plus de sens, il est condamné à disparaitre depuis que la SNCF raisonne à l échelle du groupe. 5) 0% Le Statut des cheminots est un boulet qui handicape la SNCF par rapport à la concurrence. Ceux qui acceptent le principe d une évolution du Statut et ont coché la question 2 consentiraient les évolutions suivantes : 1) 59 % Je suis prêt (e) à faire des concessions sur certains points du Statut dans le cadre d un accord gagnant-gagnant. 2) 34 % Le Statut doit être maintenu pour les agents actuellement en activité mais peut être renégocié pour les nouveaux embauchés 3) 7 %Je suis prêt(e) à faire des concessions sans contrepartie, il y va de l avenir du Statut luimême, voire de la survie de la SNCF. Journée de carence (questionnaire établi avant la suspension de la journée de carence) : La journée de carence est : 1) 70 % Une mesure injuste qui doit être combattue. 2) 20 % Une mesure de justice sociale visant à éviter les dérives et à équilibrer les comptes de la CPR. 3) 10 % Une mesure douloureuse mais incontournable. Cadre social «harmonisé» : La SNCF et de nombreux décideurs politiques souhaitent l élaboration d un «cadre social harmonisé» à l attention des salariés des transports ferroviaires. Le statut des cheminots disparaîtrait au profit d une convention collective «de haut niveau». Cette démarche aurait pour objectif d assainir les conditions de concurrence entre opérateurs et de limiter le dumping social à l ouverture des marchés. Pour vous, le cadre social harmonisé, c est : 1) 53 % Une attaque déguisée contre les acquis sociaux des cheminots. Il ne faut rien négocier du tout. Page 4
5 2) 39 % L obligation, pour les organisations syndicales, de négocier au mieux pour trouver un équilibre entre le maintien des parts de marché au sein de la SNCF et la préservation d un maximum d acquis. 3) 8 % Une nécessité si la SNCF ne veut pas perdre des parts de marchés considérables, comme lors de l ouverture du fret à la concurrence. Les emplois sont plus importants que le Statut. Conditions de travail Environnement professionnel Conditions de travail : Les conditions de travail des cheminots sont : 1) 58 % Identiques à celle des autres entreprises : la SNCF est devenue une entreprise comme une autre. 2) 27 % Meilleures que dans les autres entreprises. 3) 15 % Pires qu ailleurs. Mon travail au quotidien : 1) 29 % Je ne suis pas reconnu(e) dans mes efforts. 2) 21 % Il faut bien travailler pour nourrir sa famille. 3) 19 % Vivement la retraite! 4) 18% Je suis de plus en plus stressé(e). 5) 13 % Je me sens pleinement épanoui(e). Mes relations avec la hiérarchie : 1) 36 % Ah bon, un hiérarchique, il est où? Encore en réunion à l autre bout de la France? 2) 33 % Il faut bien des chefs pour faire avancer le travail. 3) 16 % Difficiles, le niveau d exigence est trop important. 4) 15 % Excellentes, on ne peut rêver mieux. Réorganisations Mutations : En cas de réorganisation interne, 1) 45 % J accepterais de travailler pour une entreprise du groupe SNCF si on maintient mes avantages et si l on assure ma formation. 2) 36 % J accepterais une mobilité géographique et fonctionnelle au sein de la SNCF par nécessité de service à condition d obtenir des compensations honnêtes. 19 % des personnes interrogées ont refusé de répondre à cette question, ce qui peut se traduire par le refus catégorique de toute mobilité Page 5
6 Si l Entreprise envisageait le transfert d une partie de son personnel vers le secteur privé, comme le supposent les réflexions en cours pour les agents du TER : 1) 46 % J exige que la SNCF se débrouille pour maintenir mes acquis sociaux sans être contraint(e) de me déplacer loin voire de changer de métier. Il appartient à l entreprise de prendre ses responsabilités. 2) 40 % Je suis prêt(e) à faire des efforts, mais je veux rester employé(e) de la SNCF. Mon entreprise doit assumer les conséquences financières de ses réorganisations 3) 10 %. J accepterais d être transféré(e) à une entreprise privée pour conserver un emploi proche de mon domicile même si je dois faire quelques concessions sur la réglementation du travail. 4) 4 % J accepterais d être transféré(e) à une entreprise privée avec maintien des acquis pour ne pas être muté(e) à l autre bout de la France. Reconnaissance professionnelle et rémunération Rémunération 1) 51 % La SNCF peut mieux faire. 2) 25 % La rémunération des cheminots, c est une misère. 3) 24 % La rémunération des cheminots est honnête. des cheminots Contrepartie des performances de l entreprise et des efforts Ces contreparties doivent prendre la forme 1) 60 % D une augmentation salariale et, pour partie, de dispositifs ponctuels tels que reversements, dividendes salariaux, intéressement, participation 2) 27 % D une augmentation salariale exclusivement. 3) 10 % De dispositifs ponctuels exclusivement pour ne pas alourdir durablement la masse salariale et nuire à l efficacité de l entreprise. 4) 3 % D aucune contrepartie pour les salariés. La SNCF doit réinvestir les surcroits de richesse qu elle dégage pour assurer son développement. Contrepartie des performances individuelles 1) 63 % Les contreparties doivent faire l objet d un équilibre entre récompense individuelle et récompense collective. 2) 27 % Les contreparties des efforts individuels ne peuvent être que collectives car chaque cheminot concourt au résultat obtenu. 3) 10 % Les contreparties doivent être exclusivement individuelles. Je n ai pas à partager avec d autres le fruit de mes efforts et de mes sacrifices. Page 6
7 Déroulement de carrière : mérite, ancienneté, panachage 1) 59 % Le déroulement de carrière, c est à la tête du client, rien à voir avec le professionnalisme des agents. 2) 17 % Le déroulement de carrière, à la SNCF, c est une véritable opportunité pour moi. 3) 16 % Ma carrière, elle est derrière moi. 4) 8 % Le déroulement de carrière, c est un parcours du combattant, les meilleurs arrivent en premier. Transmission des compétences Pour vous, la transmission des compétences entre cheminots : 1) 81 % C est une nécessité absolue dans laquelle l entreprise ne s implique pas assez. 2) 16 % Se fait bien, elle permet de bien appréhender ses missions. 3) 3 % C est inutile, l entreprise doit se moderniser, des compétences nouvelles doivent émerger. Retraites La réforme du régime spécial, c est pour moi : 1) 52 % Une injustice flagrante : le contrat passé lors de mon embauche prévoyait mon départ à une date précise, j ai été floué(e). 2) 38 % Un rendez-vous manqué : le régime spécial aurait dû évoluer, mais dans le cadre de vraies négociations avec de vraies contreparties. 3) 10 % Une évolution normale : on doit travailler plus longtemps, parce qu on vit plus longtemps. Sinon, qui alimente les caisses de retraite? Un retour en arrière de l âge de départ à la retraite à temps plein est-il pour vous : 1) 66 % Un sujet qui doit refaire l objet de discussions : pourquoi pas des dispositifs de retraite à la carte compte-tenu du chômage grandissant, une révision des critères de décote, une véritable reconnaissance de la pénibilité. 2) 24 % Une exigence absolue : l injustice de la réforme des régimes spéciaux doit être réparée. 3) 10 % Une ineptie : en avançant l âge de la retraite, c est la retraite elle-même qui est menacée. Dialogue social Droit de grève Pensez-vous que la loi dite sur le service minimum : 1) 51 % N a pas eu d impact sur le dialogue social. Page 7
8 2) 38 % A dégradé le dialogue social. 3) 11 % A amélioré le dialogue social à la SNCF. La rigidification de l exercice du droit de grève a été : 1) 66 % Un frein dans l exercice du droit de grève. 2) 24 % Une bonne chose, il y avait trop de grèves inutiles. 3) 10 % Je ne fais pas grève. Le durcissement récent de la loi, en particulier les perspectives de sanction à l égard des cheminots se déclarant grévistes et qui finalement iraient travailler, c est : 1) 44 % Une nouvelle atteinte au droit de grève. 2) 38 % Une atteinte à la possibilité de changer d avis. 3) 18 % Une bonne chose, il faut être clair dans ses intentions. A la SNCF, le dialogue social : 1) 41 % Le dialogue social, c est le monologue de la Direction, ça ne débouche sur rien. 2) 29 % Seul le rapport de force permet d obtenir des avancées. 3) 28 % Permet de déboucher sur des avancées raisonnables dans le cadre des négociations. 4) 1 % Est efficace et productif. Le changement de Président de la République, c est pour vous : 1) 51 % C est blanc bonnet et bonnet blanc. Les principales dispositions sont arrêtées, et si elles évoluent favorablement, ce ne sera qu à la marge. 2) 38 % Le nouveau Président tentera de faire pour le mieux avec la marge de manœuvre dont il dispose. J ai bon espoir mais à l impossible nul n est tenu. Il fera le maximum pour préserver le Statut. 3) 8 % Une bonne nouvelle pour la SNCF, un retour à l unicité, la fin de RFF, une politique de coopération plutôt que la concurrence débridée, le maintien intégral du Statut. 4) 3 % Sarkozy, reviens! MERCI POUR VOTRE CONTRIBUTION! Tél : cheminots@syndicat-first.fr Page 8
Enquête auprès du grand public sur le projet de réforme du système ferroviaire Vague 2 Juin 2014
Enquête auprès du grand public sur le projet de réforme du système ferroviaire - Vague 2 - JF/AM N 112299 - JUIN 2014 Contacts Ifop : Jérôme Fourquet / Adeline Merceron Département Opinion et Stratégies
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF
COMMUNIQUÉ PARIS, LE 12 FEVRIER 2015 RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF Préambule : le présent communiqué s inscrit dans le contexte de la mise en œuvre de la Loi du 4 août 2014 portant réforme ferroviaire
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détailACCORD DU 24 JUIN 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE
Plus en détailLes autres obligations :
COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é
Plus en détailRenouvellement des infrastructures ferroviaires de la ligne Paris - Limoges - Toulouse en gare de Limoges, 25 juin 2009
Renouvellement des infrastructures ferroviaires de la ligne Paris - Limoges - Toulouse en gare de Limoges, 25 juin 2009 LE RENOUVELLEMENT DU RÉSEAU : UNE PRIORITÉ DE RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE Le Plan de rénovation
Plus en détailRéforme de la formation professionnelle
MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes
Plus en détailLA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses
LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailAujourd hui, il est consultant dans les domaines de Paie, Déclarations et Ressources Humaines.
Emploi Salarié Retraité Document réalisé par Albert CREPALDI, septembre 2008 Présentation : Albert CREPALDI a passé toute sa carrière depuis 1970 dans le monde du service paie et RH, au sein d une grande
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailSNCF RFF : Décryptage en Français
SNCF RFF : Décryptage en Français Quel entrepreneur, autre que suicidaire serait capable d endetter une économie nationale entière. Tout en reconnaissant que sa productivité est inférieure au marché de
Plus en détail«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP1, 18 février 2014, GIE AGIRC-ARRCO
«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP, 8 février 204, GIE AGIRC-ARRCO Ref : 204-7 Le 8 février 204, Gérard Rivière, Directeur de la Caisse Nationale
Plus en détailCrise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations
11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailMINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. Convention collective nationale
MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3265 Convention collective nationale IDCC : 1672. SOCIÉTÉS D ASSURANCES (6 e édition. Juillet 2003) Brochure
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE
TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE Réussissons une réforme juste SOMMAIRE I. CE QUI NE CHANGE PAS, CE QUI CHANGE 3 II. QUESTIONS/RÉPONSES 7 1 - J APPARTIENS À UN CORPS DE
Plus en détailL e m o t d u p r é s i d e n t
Hi ver 2015 L e m o t d u p r é s i d e n t Au nom de mes collègues du Conseil d administration de l ACGL, je vous souhaite une belle et heureuse année 2015. C est avec enthousiasme que notre association
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailRéforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?
Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :
Plus en détailRéforme territoriale Questions-réponses sur la situation des personnels
L'ÉTAT SATION BLIQUE Réforme territoriale Questions-réponses sur la situation des personnels Vous travaillez dans un Conseil régional ou un Conseil départemental ÎÎJe travaille dans un Conseil régional,
Plus en détailblgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :
2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet
Plus en détailMichel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER
Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE
Plus en détailImpact d une restructuration sur l adhésion à un régime de prévoyance
Mois Mois Mise à jour décembre 2008 En bref L objet de cette fiche est d étudier les différentes hypothèses qui peuvent exister lors d une opération de restructuration et les conséquences sur le régime
Plus en détailQu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?
Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,
Plus en détailPanorama sur les femmes entrepreneures et l assurance
Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance 2013 Objectifs et méthodologie L'objectif de ce panorama est de mettre en évidence les différences de postures, de comportements et d'image entre hommes
Plus en détailFICHE OBLIGATIONS LEGALES
FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins
Plus en détailComment améliorer la performance de la paie?
Comment améliorer la performance de la paie? La performance est aujourd hui un enjeu majeur des cabinets Le 67 e Congrès de l ordre des experts-comptables, qui s est tenu à Paris début octobre, a mis en
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailLES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS
ACCORD RELATIF AU COMPTE EPARGNE TEMPS Entre la Direction Générale de la société Herakles, représentée par Philippe BOULAN, en sa qualité de Directeur des Ressources Humaines, D une part, Et les organisations
Plus en détailDroit de grève. Qu est-ce qu une grève?
Droit de grève Qu est-ce qu une grève? La grève est un droit fondamental reconnu à tous les salariés (cadres, ouvriers, employés, précaires, apprentis etc.) par la Constitution française. A ce titre, elle
Plus en détailGuide. de la copropriété
Guide de la copropriété 3F acteur majeur de l'habitat social 3F construit et gère des logements sociaux. Son parc s élève à près de 190 000 logements dont plus de 100 000 en Île-de-France. 3F est composé
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailParticipation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret
Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs
Plus en détail17/05/2011. la DGITM en date du. ferroviaires. France de
VB/KM/LAE 16/05/2011 17/05/2011 Observations de l UTP sur le projet de décret sur les gares de voyageurs ett les infrastructures de services (version mars 2011) Ce document reprend les observations des
Plus en détailDossier retraite. Profil 1B. Année de naissance. Profil 1A
Dossier retraite Mise à jour : 10/03/2014 Vos ressources De quelles ressources disposerez-vous lors de votre départ en retraite? Elles sont de 5 natures : - La retraite sécurité sociale dite retraite de
Plus en détailLa location de son entreprise
La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de
Plus en détailbonnes raisons pour ne pas se syndiquer
10 bonnes raisons pour ne pas se syndiquer 1 LES SYNDICATS, C EST RINGARD! Si vous pensez que les syndicats ne sont pas adaptés aux problèmes de notre époque, alors il ne tient qu à vous pour que ça change.
Plus en détailLe développement des compétences
Le développement des compétences Comment, qui Pas LE modèle mais UN modèle Je vous propose * Portrait de la région * D où je viens la performance * Pourquoi ce choix et les thèmes abordés * Arrivé du nouveau
Plus en détailDiscours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon
Alain Carrupt, Président syndicom, syndicat des médias et de la communication Fleurier 11.30 et Yverdon 18.30 Discours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon (Seul le texte parlé fait foi!) Les travailleuses
Plus en détailUne version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.
Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.com Accord national du 13 novembre 2014 relatif à la formation
Plus en détailLMD. Expertise comptable COLLECTION. Le meilleur. du DCG 3. Droit social. 2 e ÉDITION. Marie-Paule Schneider Maryse Ravat.
LMD COLLECTION Expertise comptable Le meilleur du DCG 3 Droit social 2 e ÉDITION Marie-Paule Schneider Maryse Ravat Sup FOUCHER «Le photocopillage, c est l usage abusif et collectif de la photocopie sans
Plus en détailCOMPTE EPARGNE TEMPS (CET)
COMPTE EPARGNE TEMPS (CET) Les principales évolutions du CET 1994 : LOI Giraud -Légalisation du report des CP -Lutte contre le chômage 2000 : LOI Aubry - Accompagnement de la mise en place des 35 heures
Plus en détailTOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS
TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,
Plus en détailSans tabou ni langue de bois
LE TRAIT D UNION Pour une véritable politique contractuelle Les négociations salariales concernant les 43 000 salariés de la branche Caisse d épargne ne peuvent se limiter à un dialogue stérile et caricatural.
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération
FICHE TECHNIQUE Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération SOMMAIRE : I) LES ACCORDS ET PLANS D ACTION EN FAVEUR DES SALARIES
Plus en détailCe questionnaire est une attaque caractérisée contre l existence et le bien-fondé de votre syndicat.
Page 1 sur 6 Ce questionnaire est une attaque caractérisée contre l existence et le bien-fondé de votre syndicat. Le comité SEV-TPG vous propose de vous inspirer de nos commentaires et remarques. Il s
Plus en détailDignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR
Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Politique en matière de respect de la dignité de la personne au travail La BEI vise à offrir un environnement de travail favorable, qui aide et encourage
Plus en détailObjet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire.
Raison Sociale : SIRET : Adresse : À, le / / Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire. Madame, Monsieur, La Direction de l'entreprise 1 a pris
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailModèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé
Modèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé La direction de l entreprise.. (forme juridique et dénomination sociale) dont le
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial
Plus en détail«Quelle solution paie pour votre organisation?»
«Quelle solution paie pour votre organisation?» Internalisée, externalisée, assistée Choisir sa solution paie en fonction de son organisation ou Adapter son organisation à sa solution paie? Quels sont
Plus en détailBIENVENUE À LA SNCF LIVRET D ACCUEIL RH
BIENVENUE À LA SNCF LIVRET D ACCUEIL RH DIRECTION COHÉSION & RESSOURCES HUMAINES DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES ÉPIC SOMMAIRE BIENVENUE À LA SNCF...4 LA SNCF, UN GRAND GROUPE MULTIMODAL...5 MÉMO...6
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailContribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement
Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement (Les renvois à des diapositives sont en référence au PPT présenté lors du CA et de la réunion des directeurs de composantes)
Plus en détailLa réforme : une opportunité pour la fonction formation
Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon
Plus en détailXXVI E ASSISES DE LA TRADUCTION LITTÉRAIRE
XXVI E ASSISES DE LA TRADUCTION LITTÉRAIRE COLLOQUES TRADUIRE ÉROS 73 TRADUCTION / ÉDITION : ÉTAT DES LIEUX DELPHINE RIVET 86 COLLOQUES QUI sont les traducteurs aujourd hui? Comment leur rémunération a-t-elle
Plus en détailDécision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux
Décision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux Sur papier à en-tête de l entreprise M À, le Objet : Généralisation de la complémentaire santé
Plus en détailformation Des formations pour enrichir vos compétences Février - Mars 2011
Des formations pour enrichir vos compétences formation Février - Mars 2011 1 rue de la Paix BP 0506 53005 LAVAL CEDEX 02 43 59 24 00-02 43 59 24 01 cga.mayenne@cgamayenne.org - e www.cgamayenne.org GESTION
Plus en détailCOMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES
Cette traduction non officielle de la version anglaise du document original est fournie à titre d information seulement et n a pas de valeur juridique. ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE
Plus en détailLES CROYANCES LIMITANTES
1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance
Plus en détailRémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices
Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices 1. Contexte Les travaux du groupe de travail de place constitué au début de l année 2009 à la demande des pouvoirs publics ont
Plus en détailEditorial Elus de CE, délégués du personnel, membres
Sommaire Le droit à formation 1 - Droit à la formation 2 des représentants du personnel Des élus titulaires du CE................................ 2 Des membres du CHSCT............................... 2
Plus en détailLE SYSTÈME DE RETRAITE
LE SYSTÈME DE RETRAITE Le contexte Les questions posées Les réponses Les enjeux syndicaux > Le contexte Un système universel mais disparate 100 ans pour étendre la couverture vieillesse de base à toute
Plus en détailCOMMENT DEVENIR RICHE?
FINADOC www.finadoc.com et www.conseils-financiers.com Prendre de la hauteur de vue sur la finance et le patrimoine. De meilleures décisions en toute indépendance. COMMENT DEVENIR RICHE? Bureaux : 270
Plus en détail1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé
1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé Il convient tout d abord de s entendre sur le vocabulaire et de s assurer que l on parle de la même chose. Le terme «marge» est ambigu. Couramment utilisé dans le langage
Plus en détailLoi sur la sécurisation de l emploi
Dossier de presse JUIN 2013 Loi sur la sécurisation de l emploi contact presse : cab-tef-presse@cab.travail.gouv.fr Tél. 01 49 55 31 02 1 Sommaire Les origines du texte page 3 De la grande conférence à
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailSanté et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)
Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre
Plus en détailFiche obligation légales. Entreprises de 50 à 299 salariés. Etat du droit après la promulgation de la loi du 4 août 2014
Fiche obligation légales Entreprises de 50 à 299 salariés Etat du droit après la promulgation de la loi du 4 août 2014 pour l égalité réelle entre les femmes et les hommes Pour rendre plus effective l
Plus en détailEtude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.
Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,
Plus en détailSYSTEME NATIONAL DE RETRAITE
SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE I.- PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE L assurance vieillesse n a été instituée pour l ensemble des salariés qu en 1953 ; avant cette date, quelques corporations
Plus en détailConsommer en 2010 : pas moins, mais mieux!
Paris, 21 janvier 2010 Communiqué de presse 21 ème Observatoire Cetelem de la Consommation Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Depuis plus de 20 ans, L'Observatoire Cetelem décrypte, analyse et
Plus en détailObservatoire des courtiers d assurance. Point 0 - Avril 2011
Observatoire des courtiers d assurance Point 0 - Avril 2011 APRIL Courtage Un réseau de 11 sociétés grossistes spécialistes. Une large gamme de plus de 140 produits sur tous les segments de marché et toutes
Plus en détailet de solidarité Châteauroux Jeudi 26 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Châteauroux Jeudi 26 juin 2014 1 Une volonté gouvernementale réaffirmée é «Quevontfaireleschefsd entreprise de ce soutien qui n est pas une mesure ponctuelle mais
Plus en détailDébat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008
Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions
Plus en détailModèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé
Modèle de décision unilatérale mettant en place un régime complémentaire frais de santé L entreprise Forme juridique, au capital de dont le siège est à Code NAF n SIRET Effectif salarié : Représentée par
Plus en détailInterventions de l Agence Wallonne pour l Intégration des Personnes Handicapées dans le domaine des aides individuelles
Interventions de l Agence Wallonne pour l Intégration des Personnes Handicapées dans le domaine des aides individuelles Agoria 2012 Arrêté du 14 mai 2009 du Gouvernement wallon fixant les conditions et
Plus en détailRemplacement de 4 escaliers mécaniques en gare de Limoges Bénédictins. Avril 2011
Remplacement de 4 escaliers mécaniques en gare de Limoges Bénédictins Avril 2011 Le renouvellement du réseau, une priorité de Réseau ferré de France Le plan de rénovation du réseau national Depuis 2006,
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité du portage salarial et s applique aux personnes titulaires d un contrat de travail en
Plus en détailCONVENTION DE PORTAGE
S.A.R.L. au capital de 9 000 - SIRET : 505 565 568 00018 RCS Toulouse Siège social : 9 les hauts de Cante 31380 Montastruc la Conseillère code NAF : 741G Tél. : 0971 333 814 Fax : 05 34 26 19 34 Courriel
Plus en détailLe Transport en commun public urbain et Son impact sur l économie le cas de Tunis "résumé"
Le Transport en commun public urbain et Son impact sur l économie le cas de Tunis "résumé" Dans nos pays et depuis longtemps, les questions de financement direct du transport en commun public ont monopolisé
Plus en détailGuide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels. Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne
Guide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne 1 Sommaire 3 Introduction 4-6 Faites votre choix Une fiche d identité des
Plus en détailModèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé
Modèle de décision unilatérale instituant un système de garanties collectives complémentaire obligatoire frais de santé La direction de l entreprise.. (forme juridique et dénomination sociale) dont le
Plus en détailMobilisation en faveur de l emploi des seniors
Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la
Plus en détailLa loi sur la mobilité des fonctionnaires
MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT La loi sur la mobilité des fonctionnaires De nouveaux outils au service d une vraie carrière collection Ressources
Plus en détailDossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011
Dossier de presse Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales Du 18 au 25 novembre 2011 2 Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales - 18 au 25 novembre 2011
Plus en détail«Protection sociale complémentaire et obligation du chef d'entreprises : atouts pour de nouvelles missions rémunératrices»
«Protection sociale complémentaire et obligation du chef d'entreprises : atouts pour de nouvelles missions rémunératrices» N 2/automne 2005 Supplément du francilien N 51 Revue de l Ordre des experts-comptables
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détail