Le management par projet : Qu en est - il auj ourd hui? Les auteurs

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "www.cadredesante.com Le management par projet : Qu en est - il auj ourd hui? Les auteurs"

Transcription

1 Le management par projet : Qu en est - il auj ourd hui? Yannick BARBIER Les auteurs Le management est un mot très utilisé par les cadres. Mais quelle définition peut on donner à ce mot? De nombreux auteurs définissent le management en quelques verbes. D autres comme H. MINTZBERG ont une définition quelque peu différente. Et pourtant à travers une enquête, on peut découvrir que ces définitions sont bien incomplètes quand il s agit de manager le changement à travers un projet. Prenons comme exemple H. FAYOL [1], pour cet auteur, le management se définit en cinq fonctions : la prévoyance, l organisation, le commandement, la coordination et le contrôle. Ultérieurement ces grandes catégories furent ramenées à quatre : la planification, l organisation, le commandement et le contrôle. Nous retrouvons également ces catégories dans la législation. Selon la loi du 31 juillet 1991, n , relative à la réforme hospitalière, le cadre est garant de la qualité des soins infirmiers, il organise, contrôle et coordonne le travail d équipe. De même la Haute Autorité de Santé (H.A.S.) reprend ces critères pour évaluer le management de l encadrement dans les établissements de santé. L H.A.S. définit le management à travers les premières lettres des verbes suivants : Prévoir, Organiser, Décider, Evaluer, Motiver, soit le PODEM. Ce qui distingue un rassemblement quelconque d hommes, d une organisation formelle, c est avant tout la présence d une autorité, d un manager, dont la tâche est d unir les efforts, dans un but donné. Les premiers travaux de H. MINTZBERG furent consacrés au management [2].Si on demande à un cadre de nous décrire ce qu il fait, il va nous répondre qu il organise, planifie, coordonne, contrôle. Mais paradoxalement, certains vont répondre à la suite de cette brève description qu ils gèrent l imprévu. N est-ce pas là une injonction paradoxale? Ces travaux permettent de définir différemment le management. Cet auteur divise le management en trois catégories, elles-mêmes divisées en rôles.

2 La première catégorie liée aux rôles interpersonnels se décompose en trois parties : L un des rôles décrit est lié au symbole qu incarne le «chef». De par sa fonction, il est obligé d assister à certaines cérémonies de l entreprise et d autres plus informelles pour le personnel qu il encadre, comme aller au mariage d un de ses subordonnés par exemple. Le cadre est chargé de l organisation d où son rôle de leader. Certaines de ses activités impliquent directement son leadership. Il doit savoir encourager, motiver ses employés. L influence du manager est la plus évidente dans son rôle de leader. Son autorité formelle l investit d un grand pouvoir potentiel, son leadership détermine en grande partie la façon dont il peut l employer. Le dernier rôle de cette catégorie nommée «les rôles interpersonnels» est d être un agent de liaison. Le cadre est en quête permanente d informations qui pourraient lui être utiles, il passe donc beaucoup de temps à construire un réseau autour de lui. Selon une étude de MINTZBERG, il est surprenant de constater que les managers passent beaucoup plus de temps avec leurs pairs et d autres personnes extérieures à leur organisation qu avec leurs propres subordonnés et encore moins de temps avec leur hiérarchie. La seconde catégorie décrit le s rô le s lié s à l in fo rm atio n. Le fait d avoir un rôle de liaison permet au cadre d avoir beaucoup plus d informations que son équipe. La recherche d informations est une des clés de la profession de manager. Dans le rôle d observateur actif, le cadre scrute en permanence son entourage à la recherche d informations. Un de ses rôles est de diffuser ces informations à ses subordonnés qui n y ont pas accès. Les informations propres à son groupe doivent être diffusées à l extérieur. C est alors son rôle de porte-parole qu il exerce. Cette fonction fait partie intégrante de son métier. Elle est très importante pour communiquer des informations aux personnes influentes. L information a une grande importance, mais elle n est pas une fin en soi. Elle sert à prendre des décisions, à orienter la direction d une nouvelle organisation. Cette

3 optique décisionnelle est décrite à travers les quatre rôles de cette troisième catégorie : les rôles décisionnels. C est par son rôle d entrepreneur que le manager va construire les projets pour l institution dans laquelle il travaille. Il est important de relever que la décision de mettre en place un projet émerge de décisions prises les unes après les autres. La mise en place d un nouveau projet peut être supervisée ou déléguée par le dirigeant. Ainsi, il peut superviser plusieurs projets à la fois. Alors que le rôle d entrepreneur décrit le manager comme l initiateur volontaire du changement, le rôle de régulateur montre celui-ci comme répondant involontairement aux pressions. Ici, le changement se fait en dehors de son contrôle. Le manager est aussi un répartiteur de ressources. Il doit savoir répartir les différentes activités qu on lui demande. C est à lui que revient la responsabilité de ce qui doit être attribué et à qui, dans l organisation. Il est chargé de l élaboration de la structure. Cette tâche va lui permettre de répartir certaines activités en fonction des ressources pour lui donner du temps. Le dernier de ces rôles décisionnels est celui de négociateur. Il est clair que le manager va consacrer une grande partie de son temps à négocier. Cela fait partie intégrante de ses rôles car il est le seul à détenir toutes les informations sur son organisation, et surtout sur ses ressources. L enquête A travers un mémoire pour mes études de cadre de santé, a été réalisée une enquête auprès de 280 agents hospitaliers (IDE, AS, ASH) [3] par questionnaire et de cinq cadres de santé par des entretiens. L objet de cette enquête était de recueillir le ressenti des agents vis à vis du management des cadres de proximité lors de la mise en place de projets institutionnels et les façons de faire des cadres pour mener à bien ces projets. L élément qui semble être le plus important est le mode de management. 84 % des agents enquêtés par questionnaires souhaitent un management de type «participatif». Les cadres interrogés disent tous être dans ce style de management, même si l analyse de leurs entretiens montre qu ils adaptent tous les styles mis à part le style dit «laisser faire». A chaque projet, ils commencent par en informer les

4 agents, afin de réaliser un appel à candidature pour travailler sur le projet. Paradoxalement, trois quarts des agents disent à travers le questionnaire ne jamais être sollicités. Il est apparu après l analyse de cette enquête que les agents n arrivent pas à se projeter, à imaginer le projet tant que celui-ci n est pas mis en uvre. Certaines personnes ne comprennent pas les textes législatifs ou n arrivent pas à se les approprier. Ce qui semble être accentué, moins les agents sont qualifiés. Une véritable relation d aide doit alors s établir entre l équipe et le cadre de santé, afin d aider les agents à s imaginer le projet et à s approprier les textes de lois. Cette aide devra donc être plus soutenue en fonction des catégories de personnel. Cette relation d aide peut s établir avec des intervenants extérieurs au service. La participation d autres acteurs, n appartenant pas au service n est pas un frein au projet mais bien au contraire une aide. C est ainsi que certains cadres font appel à la formation continue pour mettre en place un projet. Il s agit de donner du sens au projet. Pour cela l élaboration et l annonce d objectifs clairs sont essentielles. Une relation de confiance est également nécessaire entre le cadre et l équipe. Pour établir cette relation de confiance, il semble important que le cadre donne des informations de façon authentique et soit le plus «transparent» possible sur le projet. 55% des agents interrogés pensent que la résistance au changement sera moins grande lors de la mise en uvre, si le cadre participe à l élaboration du projet dans sa globalité. Comment réussir à diminuer cette résistance, si l équipe n a pas confiance en son cadre? Il a été mis en évidence que la communication autour du projet était un point essentiel afin de rencontrer le moins de résistance possible. En effet, le fait de parler des avantages mais aussi des inconvénients du projet facilite la mise en uvre par la diminution des résistances au changement. Cette relation de confiance repose donc sur la fiabilité et l authenticité des informations délivrées. Est également ressorti de l enquête que le cadre de santé doit savoir motiver, communiquer, fédérer, être ferme et tenace. La motivation passe par la valorisation du travail de chacun, et la délégation. Quoi de plus motivant pour un agent que de se voir confier une mission par son supérieur hiérarchique? La communication doit s établir dès le début du projet. Certains cadres vont même jusqu à signifier qu au début le projet allait être une surcharge de travail. Mais il s agit là aussi d être honnête, ce qui contribue à établir un climat de confiance. Le rôle du

5 cadre est également de savoir fédérer son équipe autour du projet. Pour cela le management dit «participatif» est apparu comme un point important. A travers les questionnaires, il est demandé aux cadres, pilotes de projet de savoir être fermes et tenaces pour aller au bout. L information est un point important. Les agents revendiquent la nécessité d être informés tout au long du projet. 82% des enquêtés pensent qu un projet ne peut aboutir si les échanges sur l organisation du travail sont insuffisants. Cependant les cadres pensent qu une information est essentielle au début du projet, mais par la suite ils estiment que l information ne doit être délivrée qu aux grandes étapes du projet. Selon les cadres interrogés, «Trop d infos tuent l info». Très peu de cadres ont parlé d évaluation. Cependant un cadre m a parlé d autoévaluation. En envoyant les agents en formation, dès leur retour ces derniers vont mettre des choses en place. Puis comme tous les agents ne partent pas en même temps en formation les sessions suivantes vont évaluer ce qui a été mis en place par leurs collègues et ainsi de suite. Cette façon d évaluer semble intéressante, car ce n est pas la hiérarchie qui évalue. De plus le travail de chacun est valorisé. Au travers de cette enquête, nous percevons que le cadre a bien d autres actions que celles citées dans le PODEM. Le manager qu est le cadre doit savoir prévoir, organiser, décider, évaluer et motiver, mais pour le management du projet cela ne suffit pas. L information dont parle MINTZBERG est aussi essentielle. Mais l enquête montre que pour mener à bien un projet, la confiance, la ténacité, la fermeté, la relation d aide, la communication et la participation sont des points importants. On peut alors se demander quelle évaluation aura l HAS, au moment de l évaluation du management des cadres dans la deuxième version de l accréditation? Notes : [1] Fayol H., Administration industrielle et générale, DUNOD, 1918 [2] H. MINTZBERG, Le management, voyage au centre des organisations, Editions d organisation, Paris, 2001, pp 21 à 45. [3] Lire IDE : Infirmiers(ières) diplômé(e)s d Etat, AS : Aides soignant(e)s, ASH : Agents des Services Hospitaliers

6 This document was created with Win2PDF available at The unregistered version of Win2PDF is for evaluation or non-commercial use only.

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso

M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina

Plus en détail

Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises

Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises Tahar Tahar RAHMANI Immeuble le Vénitien - 27 Bv Charles Moretti 13014 Marseille France Tel : +33 (0)4 91 02 62 69 /

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

Symposium International sur les Technologies de l Information.

Symposium International sur les Technologies de l Information. Symposium International sur les Technologies de l Information. Sheraton, Alger, 9-11 décembre 2002 I ntégration des technologies de l information dans l entreprise algérienne. Conséquences sur l organisation

Plus en détail

SPECIFICATION ET DESCRIPTION DU MULTICAST FIABLE DANS ETOILE

SPECIFICATION ET DESCRIPTION DU MULTICAST FIABLE DANS ETOILE page 1 / 10 Date : 19 décembre 2002 Origine : INRIA RESO Dossier : MULTICAST Titre : SPECIFICATION ET DESCRIPTION DU MULTICAST FIABLE DANS E Référence : Multicast version 0 État : DRAFT VERSIONS SUCCESSIVES

Plus en détail

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under

Plus en détail

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort

Plus en détail

Communication MANAGERIALE, comment la renforcer? Convention E&M du 25 novembre 2011 Muriel.humbertjean@tns-sofres.com

Communication MANAGERIALE, comment la renforcer? Convention E&M du 25 novembre 2011 Muriel.humbertjean@tns-sofres.com Communication MANAGERIALE, comment la renforcer? Convention E&M du 25 novembre 2011 Muriel.humbertjean@tns-sofres.com L étude exclusive Echantillon représentatif de1300salariés de GRANDES ENTREPRISES (+

Plus en détail

TP 1 et 2 de Réseaux en Master 1 Informatique : Assemblage d un réseau, configuration d adresses IP sous Linux et Windows

TP 1 et 2 de Réseaux en Master 1 Informatique : Assemblage d un réseau, configuration d adresses IP sous Linux et Windows TP 1 et 2 de Réseaux en Master 1 Informatique : Assemblage d un réseau, configuration d adresses IP sous Linux et Windows Auteur : Olivier GLÜCK, Université Lyon 1 Objectifs - répartition des adresses

Plus en détail

VISUAL GESATEL. La gestion commerciale n a jamais été aussi facile!

VISUAL GESATEL. La gestion commerciale n a jamais été aussi facile! La gestion commerciale n a jamais été aussi facile! LES AVANTAGES Transformation de tous vos documents au format PDF, HTML, WORD, EXCEL. Envoi direct de tous vos documents via Internet. Récupérez sans

Plus en détail

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE» IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

En cas de partage avec des «side pots», chaque pot est traité séparément en commençant par les extérieurs.

En cas de partage avec des «side pots», chaque pot est traité séparément en commençant par les extérieurs. Règlement du poker par la Fédération Belge de Poker Règlement officiel pour la Belgique des tournois nationaux et internationaux. Ce règlement est basé dans la majorité des points sur le règlement officiel

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité

TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité TPE/PME: salarié compétent en prévention des risques professionnels : Transformer une obligation réglementaire en opportunité Objectif de la réunion Connaître et comprendre la nouvelle réglementation Intérêt

Plus en détail

FICHE DE FONCTION - 04

FICHE DE FONCTION - 04 FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité

Plus en détail

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES Manuel Murgia Page 1 19/08/2006 LES FONDEMENTS DU MANAGEMENT

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

Le passage d un ordre de bourse, sa comptabilisation et la gestion des conflits d intérêts

Le passage d un ordre de bourse, sa comptabilisation et la gestion des conflits d intérêts Le passage d un ordre de bourse, sa comptabilisation et la gestion des conflits d intérêts Animé par : Mme Astou Diop NIANG Séminaire COSUMAF Libreville les 4,5 et 6 Novembre 2006 SOMMAIRE 1. DEFINITIONS

Plus en détail

EVALUATION 360 MODE D EMPLOI

EVALUATION 360 MODE D EMPLOI EVALUATION 60 MODE D EMPLOI NARRATIF EVALUATION 60 Définition L entretien annuel d appréciation est la méthode la plus répandue actuellement. Or, une autre pratique se développe, il s agit de l évaluation

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle

Plus en détail

STYLE PROFESSIONNEL M(me) Prénom NOM Employeur Date Cette synthèse est confidentielle et ne peut être diffusée sans l accord de la personne évaluée. EXTRAIT DE 17 PAGES SUR 42 AU TOTAL RAPPORT DE SYNTHÈSE

Plus en détail

Configuration de votre compte Zimbra Desktop Client

Configuration de votre compte Zimbra Desktop Client Configuration de votre compte Zimbra Desktop Client Avant de pouvoir utiliser Zimbra Desktop.Vous devez d'abord entrer les paramètres de votre compte actuel. Si c estla première fois que vous ouvrez Zimbra

Plus en détail

N 2 Mars 2005. Identifier les compétences managériales des infirmières chefs par l'évaluation à 360 1. L évaluation des compétences

N 2 Mars 2005. Identifier les compétences managériales des infirmières chefs par l'évaluation à 360 1. L évaluation des compétences N 2 Mars 2005 Identifier les compétences managériales des infirmières chefs par l'évaluation à 360 1 Joëlle Durbecq 2 Cliniques Universitaires St-Luc Bruxelles Le monde hospitalier est en pleine restructuration.

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Plus en détail

Pré-requis en termes législatifs et réglementaires Présentation de cas. bernard.marchal@laposte.fr Alger décembre 2002

Pré-requis en termes législatifs et réglementaires Présentation de cas. bernard.marchal@laposte.fr Alger décembre 2002 Pré-requis en termes législatifs et réglementaires Présentation de cas 1 Réseau maillé télécom: Web mondial = Internet Intranet // Extranet Outils: moteurs de recherche (pages html) mail, transactions

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

LE MANAGEMENT. Voyage au centre des organisations. Traduit par Jean-Michel Behar et révisé par Nathalie Tremblay. Deuxième édition revue et corrigée

LE MANAGEMENT. Voyage au centre des organisations. Traduit par Jean-Michel Behar et révisé par Nathalie Tremblay. Deuxième édition revue et corrigée HENRY MINTZBERG LE MANAGEMENT Voyage au centre des organisations Traduit par Jean-Michel Behar et révisé par Nathalie Tremblay Deuxième édition revue et corrigée, 1990, pour l édition originale., 1998,

Plus en détail

Le Parlement Jeunesse du Québec

Le Parlement Jeunesse du Québec Le Parlement Jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 56 E LÉGISLATURE Projet de loi n 3 Loi sur le revenu de citoyenneté Présenté par M. Guillaume Rivest Ministre de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par

L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier Etude réalisée par Médias sociaux L influence des médias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un

Plus en détail

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.

Intérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe. Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu

Plus en détail

360 leaders : quoiet pour qui

360 leaders : quoiet pour qui 360 leaders : quoiet pour qui Un processus de feedback à la personne Pour le développement durable de son leadership Basé sur un questionnaire structuré s appuyant sur un modèle de leadership Adressé au

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

La communication interne gagne en importance dans les entreprises belges

La communication interne gagne en importance dans les entreprises belges La communication interne gagne en importance dans les entreprises belges Corporate Creative Strategies (www.ccstrategies.be), une agence belge de communication spécialisée en communication corporate, a

Plus en détail

Tableau synoptique du chapitre 5

Tableau synoptique du chapitre 5 Tableau synoptique du chapitre 5 La définition de l employé mobilisé Un employé mobilisé est celui qui fait preuve d un engagement professionnel, stratégique et collectif. Les quatre leviers de la mobilisation

Plus en détail

Catalogue de formations Management:

Catalogue de formations Management: Catalogue de formations Management: Tuteur formateur...page 2 Tuteur Hiérarchique...page 3/4 Réussir sa réunion management...page 5 Animer et diriger son équipe...page 6/7 Les leviers de la motivation...page

Plus en détail

Catalogue de formations. Leadership & développement durable

Catalogue de formations. Leadership & développement durable Catalogue de formations Leadership & développement durable Table des matières La formatrice 3 L Art de prendre de bonnes décisions 4 Mieux communiquer pour mieux collaborer 5 Développer sa capacité d influence

Plus en détail

GRIFES. Gestion des risques et au-delà. Pablo C. Martinez. TRMG Product Leader, EMEA Symantec Corporation

GRIFES. Gestion des risques et au-delà. Pablo C. Martinez. TRMG Product Leader, EMEA Symantec Corporation GRIFES Gestion des risques et au-delà Pablo C. Martinez TRMG Product Leader, EMEA Symantec Corporation Gestion des risques et conformité Principaux soucis Se conformer aux mandats Rester loin des menaces

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen

GUIDE POUR AGIR. Comment identifier ses. SAVOIR-FAIRE et. ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE. Avec le soutien du Fonds social européen GUIDE POUR AGIR Comment identifier ses SAVOIR-FAIRE et ses QUALITÉS J ORGANISE MA RECHERCHE Avec le soutien du Fonds social européen Identifier ses savoir-faire et ses qualités, pour quoi faire? Vous ne

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

Le 360 T&I Evaluations

Le 360 T&I Evaluations Le 360 T&I Evaluations Du développement personnel à la cartographie managériale Qui sommes-nous? Options RH, un cabinet de conseil spécialisé en Management des Hommes et des Organisations Depuis 14 ans,

Plus en détail

Création d entreprise «Survey_Economy» www.doingbusiness.org

Création d entreprise «Survey_Economy» www.doingbusiness.org Création d entreprise «Survey_Economy» www.doingbusiness.org Nous tenons à vous remercier pour votre collaboration au projet Doing Business. Votre contribution et votre expertise dans le domaine de la

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Enquête auprès de femmes et d hommes dans les parlements Aperçu des conclusions principales

Enquête auprès de femmes et d hommes dans les parlements Aperçu des conclusions principales Egalité en politique Enquête auprès de femmes et d hommes dans les parlements Aperçu des conclusions principales Cette brochure reprend les principales conclusions du texte intégral de la publication intitulée

Plus en détail

Référent et management

Référent et management Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail

SYNTHESE ETUDE NATIONALE COMMERCIAUX ET OUTILS CRM Apports des outils CRM pour les commerciaux et enjeux de déploiement

SYNTHESE ETUDE NATIONALE COMMERCIAUX ET OUTILS CRM Apports des outils CRM pour les commerciaux et enjeux de déploiement TRANSPARENCE RESULTAT CHANGEMENT CONVIVIALITE SYNTHESE ETUDE NATIONALE COMMERCIAUX ET OUTILS CRM Apports des outils CRM pour les commerciaux et enjeux de déploiement Etude réalisée par KESTIO en novembre

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

La supervision en soins infirmiers

La supervision en soins infirmiers La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

L observatoire «Entreprise et Santé»

L observatoire «Entreprise et Santé» LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

gestion du stress coaching d équipe coaching d entreprise

gestion du stress coaching d équipe coaching d entreprise évolitude, est un cabinet de coaching et de en management et développement personnel, situé sur Paris et exerçant sur toute la France. Constitué de coachs certifiés et consultants partenaires, évolitude

Plus en détail

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION»

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» «PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» PROMO 7 La formation au coaching QUI SOMMES-NOUS? Nous sommes des coachs professionnels, hommes et femmes, témoins et acteurs de l évolution des

Plus en détail

DevHopons plus que des relations

DevHopons plus que des relations DevHopons plus que des relations TOGO : LES NOUVELLES OFFRES D EMPLOI 21/05/2013 01 ASSISTANT ADMINISTRATIF ET DES RESSOURCES HUMAINES. ATTRIBUTIONS : Placé sous l'autorité hiérarchique du Directeur des

Plus en détail

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 Carol Campbell, Ann Lieberman et Anna Yashkina avec Nathalie Carrier, Sofya Malik et Jacqueline

Plus en détail

Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.

Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm. Une version Word, modifiable, de ce document peut vous être envoyée sur simple demande par mail à l adresse : observatoire-metallurgie@uimm.com Accord national du 13 novembre 2014 relatif à la formation

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières

Plus en détail

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise

Plus en détail

CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE

CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE 1 INTRODUCTION Le présent document a été rédigé par le groupe de travail «Certification» du Réseau

Plus en détail

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE BUSINESS INTELLIGENCE : GOALS AND RESULTS OF A PILOT EXPERIMENT INVOLVING SEVEN SMEs FROM BOURGOGNE Ludovic DENOYELLE,

Plus en détail

Enquête CTIP/CREDOC. 22 février 2008 L OPINION DES SALARIÉS ET DES EMPLOYEURS SUR LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET LES RÉFORMES DE L ASSURANCE MALADIE

Enquête CTIP/CREDOC. 22 février 2008 L OPINION DES SALARIÉS ET DES EMPLOYEURS SUR LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET LES RÉFORMES DE L ASSURANCE MALADIE Enquête CTIP/CREDOC L OPINION DES SALARIÉS ET DES EMPLOYEURS SUR LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET LES RÉFORMES DE L ASSURANCE MALADIE 22 février 2008 www.ctip.asso.fr Sondage auprès de 1000 salariés et 300 employeurs

Plus en détail

La collaboration avec les prestataires de soins non réglementés

La collaboration avec les prestataires de soins non réglementés DIRECTIVE PROFESSIONNELLE La collaboration avec les prestataires de soins non réglementés Mise à jour : 2013 Table des matières Introduction 3 Responsabilités générales des infirmières qui collaborent

Plus en détail

OVAL-E LE SYSTÈME D INFORMATION CENTRAL DE LA FFR. Organisation Support - Assistance Juillet 2014

OVAL-E LE SYSTÈME D INFORMATION CENTRAL DE LA FFR. Organisation Support - Assistance Juillet 2014 OVAL-E LE SYSTÈME D INFORMATION CENTRAL DE LA FFR Organisation Support - Assistance Juillet 2014 OVAL-E, BASE DE DONNÉES ADMINISTRATIVE DE LA FFR Base de données centralisée pour tous les aspects administratifs

Plus en détail

Le concept de leadership

Le concept de leadership Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres

Plus en détail

March 2006. Congrès A.B.H. \ Jean-Michel Lebrun. Process Management

March 2006. Congrès A.B.H. \ Jean-Michel Lebrun. Process Management March 2006 Congrès A.B.H. Process Management \ Jean-Michel Lebrun 1/1 Contexte Le concept de «process management» Le concept de «process» a été développé en 1993 par M. Hammer (Reengineering the Corporation)

Plus en détail

Le métier de Supply Chain Manager

Le métier de Supply Chain Manager Le métier de Supply Chain Manager Etude 2004 réalisée par : Vincent BOSSU, David GRESET, François MICAUD, Alexandre PAVIE Etudiants ISLI Bordeaux Ecole de Management Dirigée par : Michel FAVRE BERTIN Professeur

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION Un texte d accompagnement au séminaire de la FORRES 2006 Guy Pelletier, Professeur Université de Sherbrooke Il n y a pas d ascension dans l exercice

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Baromètre : Le bien être psychologique au travail

Baromètre : Le bien être psychologique au travail Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague

Plus en détail

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur

Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur Guide d'auto-évaluation des établissements d'enseignement supérieur avril 2008 Les références européennes pour l auto-évaluation 1 Le processus de Bologne qui vise à créer un espace européen d enseignement

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session

ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE ORGANE INTERGOUVERNEMENTAL DE NEGOCIATION A/FCTC/INB6/DIV/4 DE LA CONVENTION-CADRE DE L OMS 28 janvier 2003 POUR LA LUTTE ANTITABAC Sixième session Participation des organisations

Plus en détail

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé

Plus en détail

- Dossier de presse -

- Dossier de presse - - Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

Bilan de réputation et son débriefing individuel

Bilan de réputation et son débriefing individuel Bilan de réputation et son débriefing individuel 1 1 Témoignages «L'intérêt d'un 360 pour un coach est de recueillir les feedback de vos clients et d'identifier vos forces en termes d'attribut et de compétences.

Plus en détail

GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS

GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions

Plus en détail