CHIFFRES-CLÉS CONJONCTURE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHIFFRES-CLÉS CONJONCTURE"

Transcription

1 CHIFFRES-CLÉS CONJONCTURE entreprises artisanales dans le val d oise une ressource economique majeure pour le département 2 % 36 % 43 % 7 % 12 % 40 % 40 % 12 % 42 % 4 Vexin Vallée de l Oise 7 % 2 % agglomération de cergy-pontoise vallée de montmorency plaine de france secteur est aeroport roissy CDG 39 % Val d oise 10 % 42 % 30 % 15 % 45 % 40 % 3 Rives de seine 7 % Alimentation bâtiment fabrication services autres 13 % 3 9 % 44 % % Val d Oise

2 chiffres cles Val d Oise entreprises source RM au 31/12/14 L artisanat représente près de actifs dont salariés 9,33 % de l artisanat francilien 1 entreprise sur 3 du département 137 entreprises artisanales pour habitants 4,7 milliards de chiffre d affaires (estimation)

3 L ARTISANAT EN CHIFFRES P.4 Classification d une entreprise artisanale P.4 Les chiffres clés de l artisanat du Val d Oise P.4-5 La répartition Hommes-Femmes P.5 L artisanat au sein des territoires du Val d Oise P.5 Répartition des créations d entreprises dans le Val d Oise P.6 Le taux de création d entreprise des territoires P.6 Les immatriculations et les radiations depuis 10 ans P.7 Les principales causes de radiations en P.7 La répartition des entreprises par statut juridique P.8 L âge moyen des dirigeants P.8 La répartition des entreprises par tranche d âge P.8 Le taux de pérennité des entreprises P.9 La qualification des chefs d entreprises P.9 focus : transmission d entreprise P.10 La note de conjoncture P.12 L activité P L emploi P L investissement P La trésorerie P SOMMAIRE 3 SYNTHÈSE P.22

4 L artisanat en chiffres classification d une entreprise artisanale CHIFFRES CLÉS Deux critères définissent l entreprise artisanale : La nature de son activité : exercice d une activité principale de production, de réparation, de transformation ou de prestation de service. Le nombre de salariés : pas plus de 10 salariés au moment de la création. Le «droit de suite» permet au-delà de garder son rattachement au secteur des métiers. La Nomenclature d Activités Française de l Artisanat (NAFA) recense 250 métiers répartis en quatre secteurs : Alimentation, Bâtiment, Fabrication, Services. Ces métiers s exercent aussi bien sous statut individuel (quel que soit le régime social et fiscal : micro-entreprise, auto-entrepreneur, EIRL) qu en société (EURL, SA, SARL, SAS, SASU, etc. ). Autres 39 % 42 % 10 % Alimentation Boucher, charcutier, boulanger, pâtissier, poissonnier, restauration à emporter, traiteur, Maçon, plombier, menuisier, électricien, serrurier, charpentier fabrication Bijoutier, fabricant de meuble, habillement, mécanicien général, imprimeur, prothésiste dentaire services Taxis, coiffeur, esthéticienne, fleuriste, pressing, réparateur automobile, cordonnier, maréchal ferrant, Autres 4 Les Chiffres clés de l artisanat dans le val d oise L artisanat du Val d Oise dénombre entreprises au , représentant 9,33% de l artisanat francilien ( entreprises artisanales), 1,55% de l artisanat national ( entreprises artisanales en France). Le nombre d entreprises artisanales dans le Val d Oise a légèrement augmenté entre 2013 et 2014 (environ 2%) mais ce chiffre croît depuis 6 ans. Les secteurs Services et Bâtiment représentent, à eux deux, prêt de 82% de l artisanat du Val d Oise. Les secteurs de l Alimentation et de la Fabrication se partagent les 18% restant. En observant les quatre secteurs d activité, l artisanat valdoisien se démarque de l Îlede-France et de l ensemble de la France, dans le domaine des Services. En effet, en Îlede-France, les Services représentent 37% de l activité contre seulement 32% au niveau national. On peut constater une forte croissance des activités liées au secteur des services depuis plusieurs années (augmentation de 4% entre 2013 et 2014 et de 19% environ entre 2010 et 2014) liée à une hausse de la demande des services à la personne. A contrario, on remarque deux secteurs de l artisanat faiblement représentés dans le Val d Oise et en Île-de-France : l Alimentation et la Fabrication, avec une proportion de 8% pour l Alimentation et 10% pour la Fabrication dans le Val d Oise (9% et 12% respectivement en Île-de-France). Au niveau national, ces deux secteurs représentent ensemble 28% de l artisanat. 9 % 1 42 % 42,4 % 40 % Val d Oise Ile de France France 10 % 12 % 17 % 39 % 37 % 32 %

5 Les Chiffres clés de l artisanat dans le val d oise (suite) Le secteur de l alimentation ne constitue que 7,6% de l artisanat du Val d Oise et diminue chaque année (passe de 7,7% [en 2013] à 7,5% en 2014). Deux explications : la forte progression du secteur des activités de services (qui passe de 38,7% à 39,6% en 2014) et l érosion d un mode de consommation depuis plusieurs années, conséquence des choix d aménagement opérés. Évolution du nombre d entreprises Le secteur Fabrication est en stagnation avec une évolution (négative) maîtrisée de - 0,64% entre 2014 et 2013 et - 0,52% entre 2010 et Mais son poids dans l artisanat Val d Oisien diminue depuis quatre années et ne représente plus que 10,2% contre 18% en L industrie ayant été impactée depuis le début de la crise (que ce soit dans le domaine de l automobile, l aéronautique, ), l appel à la sous-traitance chute CHIFFRES CLÉS la répartition hommes/femmes 81,9 % 18, On remarque une légère hausse de la proportion de femmes dirigeantes entre 2013 et Ce ratio reste globalement constant. Cependant, il n égale pas encore le niveau de 2011 avec une représentation d environ 22% de femmes dirigeantes. Au niveau national, le taux de femmes est de 20%. L artisanat au sein des Territoires du Val d Oise Vexin 1 vallée de montmorency 7 % Vallée de l Oise 14 % agglo. de cergypontoise 6 % plaine de france 27 % Rives de seine 20 % secteur est La Vallée de Montmorency, le Secteur Est et les Rives de Seine-Parisis ont une attractivité élevée avec respectivement 18%, 20% et 27% des entreprises artisanales. A l opposé, la Plaine de France, la Vallée de l Oise ainsi que le Vexin ont une activité artisanale plus faible (ils représentent chacun moins de 10% de l activité artisanale du Val d Oise). Deux territoires enregistrent une augmentation du nombre d entreprises artisanales par rapport à 2013 : Rives de Seine-Parisis et le Secteur Est, avec une hausse respective de 8 et 1 point de pourcentage. La Vallée de Montmorency perd quant à elle près de 9,7 points de pourcentage. Pour autant ce territoire reste dynamique, enregistrant entre 2013 et 2014, une hausse du nombre d entreprises artisanales plus conséquente que sur les autres territoires. Explications : La forte croissance du territoire Rives de Seine- Parisis s explique par la fusion du territoire Rives de Seine et de la communauté d agglomération du Parisis. 5

6 L artisanat en chiffres répartition des créations d entreprises dans le val d oise CHIFFRES CLÉS 6 Deux territoires se démarquent au niveau du nombre de créations d entreprises artisanales : Rives de Seine-Parisis et le Secteur Est. A eux seuls, ils représentent un peu plus de 50% des créations d entreprises artisanales de l année Le Vexin et la Plaine de France ne représentent que respectivement 5,04% et 5,32% des créations d entreprises. Les créations d entreprises dans le secteur artisanal représentent 1/3 du nombre total d entreprises créées dans le Val d Oise en le taux de création d entreprise des territoires Le Taux de création d entreprise d un territoire se définit par le rapport entre le nombre d immatriculations enregistrées au Répertoire des Métiers (RM) sur une année donnée et le nombre d entreprises répertoriées au 31/12 de la même année. Pour 2014, le taux s élève à 20,30% dans le département. Ainsi l artisanat du Val d Oise se régénère à hauteur de 1/5ème par an. Le Secteur Est affiche le plus fort dynamisme avec une vitalité artisanale qui s établit à près de 2. Ce territoire profite certainement de l influence de l aéroport Roissy-Charles de Gaulle. plaine de france Rives de seine secteur est Vallée de l Oise vallée de montmorency Vexin agglo. de cergy-pontoise Ensemble plaine de france Rives de seine secteur est Vallée de l Oise vallée de montmorency Vexin agglo. de cergy-pontoise Nombre immatriculations ,79 % 180 / 18,54 % 846 / 27,92 % 950 / 20,2 221 / 18,67 % 553 / 12,95 % 164 / 20,35 % 478 / 5,32 % 6,36 % 5,04 % 16,86 % 14,77 % 20,30 % / / Nombre entreprises / / / / / / / 24,4 27,25 % L agglomération de Cergy-Pontoise, le Vexin ainsi que Rive de Seine-Parisis ont un poids moins important qu en 2013 (environ -1 point de pourcentage pour l agglomération de Cergy-Pontoise ainsi que pour le Vexin et environ -3 points pour Rive de Seine-Parisis). Malgré cela, l agglomération de Cergy-Pontoise a toujours un poids économique important (20,35%) dans le département. La vitalité économique de la Vallée de l Oise enregistre une augmentation nette de 4 points de pourcentage par rapport à 2013, liée à la hausse des immatriculations constatée entre 2013 et 2014 (+15 %).

7 Les immatriculations et les radiations (depuis 10 ans) Le nombre d immatriculations a très légèrement diminué de -0,6% entre 2013 et 2014 mais reste globalement constant depuis Cette baisse a commencé après 2011 (diminution de 5,32% depuis 2011). L analyse des radiations montre une forte baisse (42,5%) de leur nombre entre 2013 et Elle est rattachée à l écart important, entre 2013 et 2014, des radiations d offices. Celles-ci, mises à part les radiations 2014 (1 671), sont en correspondance avec celles de 2013 (1 665). Le solde annuel Immatriculations - Radiations redevient positif malgré la légère baisse d immatriculations dans l année A contrario de 2013, le nombre d immatriculations d auto-entrepreneurs en 2014 a pratiquement retrouvé le niveau de 2012 avec auto-entrepreneurs immatriculés. Ce statut représente plus de 33% des immatriculations de l année. D autre part, l enregistrement des Sociétés par Actions Simplifiée (SAS) ne cesse d augmenter, connaissant une forte croissance depuis 2013 au détriment des immatriculations des Sociétés À Responsabilité Limitée (SARL) qui elles, subissent une forte détérioration de 2013 à 2014 (-15%). Ce changement s explique par un fort engouement des nouveaux entrepreneurs pour le statut SAS par un attrait social et fiscal. immatriculations % autres activités 35 % 7 % 7 % 4 CHIFFRES CLÉS 7 les principales causes de radiation en % radiations d office 5 % Naturelles (décès, maladies, retraite, vente, évolution professionnelle ) 13 % Commerciales (cession, changement de département, transformation ) 10 % Judiciaires (radiation d office, liquidation, incapacité au métier ) 32 % autres 9 % Divers 1 économiques (difficultés financières, mise en sommeil, charges trop lourde, manque de travail, de débouchés ) Les radiations d office représentent environ 20% des causes de radiation globales, elles constituent le traitement administratif des entreprises ayant quitté le Val d Oise (NPAI), les cessations d activité INSEE, les jugements de clôture pour insuffisance d actif, l interdiction de gérer procée, la fin de cessations temporaires au délai de 12 mois expiré En excluant les radiations d office, on peut constater que les principales autres causes de radiation en 2014 sont les causes commerciales et économiques. Un quart des entreprises a été radié en 2014 pour ces 2 raisons.

8 La Répartition des entreprises par statut Juridique CHIFFRES CLÉS 8 19 % auto-entrepreneurs 5 % entreprise individuelle artisanale et commerçante 24 % entreprise individuelle artisanale L âge moyen des dirigeants 10 % >60 ans 2 50 à 60 ans <30 ans 22 % 30 à 40 ans 32 % 40 à 50 ans 2 % De plus, près de 20% (soit 1/5) des dirigeants d entreprises plus de artisanales 30 ans seront susceptibles de partir à la retraite dans les 5 à 7 ans à venir. Par conséquence, la question se 6 pose % de la pérennité de ces entreprises, du maintien 14 du tissu % économique 21 à 30 ans artisanal et du savoir-faire ainsi que des emplois et activités Moins qu elles d un engendrent. an 15 % 52 % Sociétés 75 % sarl L âge moyen des dirigeants d entreprise artisanale s établit à 45 ans. On remarque que la majorité des dirigeants a un âge compris entre 36 et 55 ans. Contrairement aux dirigeants entre 46 et 55 ans, les jeunes de moins de 25 ans sont très faiblement représentés avec une proportion de 3,26%. On peut en conclure un faible engouement des jeunes pour l entreprenariat dans l artisanat. 9 % sas 4 % sasu 1 eurl L artisanat francilien est représenté à 60% par des sociétés et à 40% par des entreprises individuelles. La tendance est différente dans le Val d Oise qui voit cet écart se resserrer (52% et 48% respectivement). 10 % En 2014, dans le Val d Oise, on remarque <30 que ans la forme juridique la plus représentée est >60 la ans SARL. Celle-ci constitue à elle seule pratiquement 86% des sociétés enregistrées au RM. Le statut de SAS est en hausse de 2 points 22 de pourcentage % du à son attractivité. Le statut d auto-entrepreneur a pris environ 30 4,3 à points 40 ansde pourcentage par rapport à La part du statut EIRL ne représente que 0,14% avec uniquement 24 entreprises au RM. Depuis sa création, ce statut rencontre beaucoup de difficultés pour être adopté 2 par les entreprises artisanales. 50 à 60 ans 6 % 21 à 30 ans 30 % 4 à 10 ans 32 % 40 à 50 ans La répartition des Entreprises par tranche d âge 2 % plus de 30 ans 14 % Moins d un an 15 % 11 à 20 ans 33 % 1 à 3 ans La plus grande partie des entreprises (environ 63%) a une espérance de vie comprise entre 1 et 10 ans. La proportion d entreprises dépassant les 10 ans est d environ 22,8%. Cela montre la solidité des entreprises artisanales du département. Par ailleurs, plus d une entreprise valdoisienne sur deux a plus de 3 ans : âge auquel une entreprise peut être qualifiée comme mature. Comparée à 2013, la proportion d entreprises dites matures a augmenté, en particulier le nombre d entreprise ayant une espérance de vie comprise entre 4 à 10 ans (leur nombre a augmenté de 6,7% entre 2013 et 2014). Mais globalement, hors entreprises de 4 à 10 ans, la répartition par tranche d âge reste assez similaire à celle de 2013.

9 Le taux de pérennité des entreprises Nous observons, en 2014, une baisse générale des taux de pérennité par rapport à Le taux de pérennité des entreprises à 5 ans est passé de 55% à 46% (soit une baisse de plus de 9 points). Les taux de pérennité à 1 et 3 ans ont une plus faible baisse que le taux à 5 ans (baisse respective d environ 3 et 6 points de pourcentage). Près d une entreprise artisanale valdoisienne sur deux atteint les 5 ans d existence. Les entreprises artisanales valdoisiennes ont un taux de pérennité à 3 et 5 ans proche des taux de survie moyen à 3 et 5 ans des entreprises franciliennes. la qualification des chefs d entreprises 49 % chefs d entreprise qualifiés 5 chefs d entreprise qualifiés chefs d entreprises avec qualification d artisans Pérénnité à 5 ans Pérennité à 3 ans pérennité à 1 an 46 % 63 % 86 % On remarque que moins de 50% des chefs d entreprises et conjoints collaborateurs n ont pas de qualification. Pour créer une entreprise artisanale, il faut soit une qualification (CAP minimum en lien avec le métier) soit une expérience d au moins 3 ans dans le domaine souhaité, soit embaucher un employé qualifié. Parmi ces chefs d entreprise, on dénombre : artisans - 27 artisans d art - 38 maîtres artisans - 2 maîtres artisans dans le métier d art La qualité d Artisan est reconnue aux chefs d entreprises, à leurs conjoints collaborateurs, aux dirigeants sociaux (gérants, PDG, etc.) titulaires d un diplôme de niveau V (CAP, BEP) dans le métier exercé ou justifiant de 3 ans d expérience dans celui-ci. Le titre de Maître Artisan reconnaît la haute qualification du chef d entreprise. Ce titre est attribué soit par le Président de la CMA, soit par la Commission Régionale des Qualifications. chefs d entreprises avec qualification de maîtres artisans CHIFFRES CLÉS 9 17 % femmes 83 % hommes 2 femmes 79 % hommes

10 focus transmission d entreprise focus 10 prévoyez-vous de transmettre prochainement votre entreprise? 75 % 25 % On constate que 75% des dirigeants des entreprises interrogées n envisagent pas de transmettre leur entreprise prochainement. Certains d entre eux n ont également pas encore réfléchi à la question de la transmission. D autres l envisagent mais n y ont que vaguement pensé. raison de la transmission Pour tous les dirigeants interrogés, la transmission d entreprise est considérée comme un lien logique avec la retraite. Qu ils en soient proches ou, ils n envisagent pas la transmission de leur entreprise pour une autre raison (tel qu un changement d activité, de métier ou autres, etc.). Dans la majorité des cas, les dirigeants transmettront leur entreprise pour en assurer la pérennité, («maîtriser l avenir»). Pour certains, la seconde raison de la transmission a une dimension financière privée : «obtenir des bénéfices financiers de la vente afin de compléter leur retraite». Tout en donnant la priorité à l acte de transmettre, certains dirigeants arrêteront leur activité à l âge de la retraite même s ils ne trouvent pas de repreneur. On peut y voir une «volonté d arrêter leur métier après un nombre élevé d années d exercice», et mesurer aussi l usure de la vie professionnelle. avis des dirigeants sur le meilleur moment pour commencer à se soucier de la transmission d entreprise Pour près de 7 dirigeants sur 10, le meilleur âge pour se soucier de la transmission d entreprise se situe autour de la retraire soit après 55 ans. 38% pensent qu il faudrait commencer à se soucier de la transmission d entreprise 3-4 ans avant la retraite. 3 supérieur à 60 ans modalité de transmission 25 % location gérance 13 % gratuit 12 % entre 45 et 49 ans 19 % entre 50 et 54 ans 3 enre 55 et 59 ans 62 % vente

11 meilleur type de repreneur 43 % personne externe connaissant le métier 19 % Membre de la famille 3 salarié Tous les dirigeants interrogés ont, en premier lieu, pour souhait de transmettre leur entreprise à une personne connaissant le métier : que ce soit un membre de la famille (19% d entre eux), un salarié de l entreprise (38%) ou une personne externe connaissant le métier (43%). Plus de la majorité d entre eux (57%) ont une préférence pour transmettre à une personne qu ils connaissent. Cela peut souligner le fait que transmettre à une personne «de confiance» s avère rassurant pour le maintien et le bon fonctionnement de l entreprise après la retraite. 1 dirigeant sur 2 préfére transmettre à un salarié, le choix de transmettre à une personne externe arrive en second. 44% des dirigeants préfèrent transmettre à une personne extérieure à l entreprise, mais connaissant le métier. On peut y lire une préférence, permettant d éviter tout conflit interne futur entre salariés. Cela souligne aussi l importance particulière de sensibiliser les salariés très en amont du projet. focus les raisons d un frein à la transmission précautions en cas de force majeur? 11 problème de financement du repreneur difficulté à trouver repreneur complexité et poids juridique et fiscal incertitude économique autres 24 % 24 % 24 % 20 % 14 % autre 73 % aucune 13 % Mandat posthume Pour le dirigeant, le frein à la transmission est autant une difficulté à trouver un repreneur, qu une «certaine complexité de l environnement juridique et fiscal» liée à ce domaine. Ces 2 raisons représentent près de 50% des causes provoquant un frein à la transmission. Mais les problèmes de financement rencontrés par le repreneur, ne doivent pas être minimisés (ils sont d égale importance que les deux causes précédentes); ils jouent également un rôle de frein, combinés à l incertitude économique. Les autres causes concernent le poids de la décision des banques déjà évoqué, mais aussi le sentiment de doute de repreneurs potentiels concernant la rentabilité de l entreprise à reprendre. On remarque que 73% des dirigeants interrogés n ont pris aucune précaution pour assurer la transmission de leur entreprise en cas de force majeure (décès, maladies, divorce ).

12 la note de conjoncture l activité conjoncture 16 % 35 % 4 année % 3 36 % 1 er semestre % Ne se proce pas 20 % Augmentation 14 % Diminution 57 % prévision 2 e semestre 2015 Stabilité l activité des entreprises Toute considération d échantillon mise à part, globalement, la part des dirigeants d entreprise artisanale ayant constaté une amélioration de leur activité et du chiffre d affaires a diminué de 14 points en 2014 par rapport à On remarque tout de même que plus de 6 entreprises sur 10, ont une activité économique plutôt positive. L activité des entreprises au 1 er semestre 2015 est en amélioration par rapport à Environ 1/3 des dirigeants d entreprises ont noté une amélioration de leur activité, soit une augmentation de 17 points. Les perspectives du second semestre 2015 sont ponctuées d incertitudes pour près de 10% des dirigeants interrogés (une incertitude moins élevée qu en 2014 à la même période). Pour plus d un chef d entreprise sur 2, l activité de leur entreprise restera stable durant le second semestre ; ils sont en général assez optimistes vis-à-vis de leur entreprise par rapport aux semestres précédents % 25 % 32 % 3 33 % 2 24 % 43 % 33 % 36 % 2 35 % stabilité diminution augmentation ne se proce pas le volume d activité au 1 er semestre 2015 Le secteur Fabrication est le secteur le plus touché par une diminution de son activité durant le premier semestre Le secteur des Services est celui dont l activité a le plus augmenté durant ce premier semestre. Ceci est en corrélation avec le constat observé d une forte hausse de la demande de services à la personne. Alimentation fabrication services

13 l activité (suite) Opinion des chefs d entreprise sur leur activité En grande majorité, les dirigeants pensent que leur entreprise a une activité normale. Toutefois, plus d un quart des entreprises se considèrent en sous-activité. On observe également que les avis sur l évolution de la situation économique à venir sont mitigés mais restent encore majoritairement optimistes. 2/5 des dirigeants envisagent tout de même une dégradation de la situation économique. On constate de manière générale, que les dirigeants sont moins pessimistes pour leur entreprise que sur l évolution de la situation économique et le climat des affaires dans le Val d Oise. 27 % sous activité 63 % activité normale les causes de dégradations 2 principales raisons peuvent expliquer la dégradation de l activité : l incertitude économique ainsi que la concurrence, même si le niveau de demande faible n est pas neutre, tout comme le poids des charges sociales. 19 % autres 16 % ne se proce pas difficulté de recrutement 9 % sur activité 3 % coût des MP 25 % concurrence poids des charges sociales 13 % niveau de demande faible 23 % incertitude de l environnement économique conjoncture 13

14 la note de conjoncture l emploi conjoncture 39 % 6 Emploi de salariés 61% des entreprises interrogées déclarent employer des salariés ; en moyenne, ces entreprises déclarent avoir 3 salariés. Les données provenant de l INSEE montrent que 57 % des entreprises artisanales du Val d Oise sont des entreprises «employeuses» et comptent en moyenne 3,4 salariés. Le nombre d entreprises employant des apprentis est de 28% (des entreprises interrogées). Ce rapport est plutôt favorable. On peut noter que plus l entreprise compte de salariés, plus le recours aux apprentis est important. On dénombre près de 6% des entreprises artisanales ayant 0 salarié qui emploient un ou plusieurs apprentis contre environ 42% des entreprises ayant 6 salariés. Cela montre l importance du rôle du salarié maître d apprentissage, mais aussi les limites d action de l artisan travaillant seul. Oui Non 16 % 84 % Difficultés de recrutement au 1 er semestre 2015 Au cours du premier semestre 2015, les artisans ont rencontré quasiment la même part de difficulté de recrutement qu en 2014 à la même date. En grande majorité, ils soulignent qu ils ont du mal à recruter (problème de qualification et de motivation). Pour d autres, ils ont tout simplement du mal à trouver des candidats aux postes proposés. Cela met en quelque sorte en lumière, le besoin d accompagnement des dirigeants dans le domaine des ressources humaines et de la formation des jeunes % sans conjoint 74 % 2 Emploi du conjoint dans l entreprise La contribution du conjoint à la vie de l entreprise artisanale peut se faire sous plusieurs formes : - sous forme de salariat, - sous statut de conjoint collaborateur. Ainsi, on peut constater, dans les entreprises interrogées, que moins d un quart (21%) des dirigeants emploient leur conjoint au sein de l entreprise. Et parmi eux, seulement 27% le rémunèrent. La part de dirigeants employant leur conjoint a augmenté de 6 points de pourcentage par rapport à l année précédente mais la proportion de conjoints rémunérés a très fortement diminué (baisse de 32 points de pourcentage).

15 l emploi (suite) 4 % En majorité des femmes 29 % en majorité des hommes 1 En forte majorité des femmes Autant d hommes que de femmes 4 En forte majorité des hommes Répartition Hommes-Femmes dans l entreprise Sans trop de surprise, on retrouve une forte majorité d hommes présents dans les entreprises artisanales du Val d Oise. En effet, environ 77% des entreprises artisanales en sont majoritairement constituées. Ces chiffres suivent quelque peu la même tendance que les années précédentes. Ce rapport correspond à la répartition hommes/femmes chez les dirigeants d entreprises. Cette forte inégalité peut s expliquer par la proportion assez importante du secteur du bâtiment dans l artisanat du Val d Oise, secteur «qualifié» de «masculin». A l inverse, dans le secteur des métiers de services, imprégné par les métiers de l esthétique, de la beauté, des soins à la personne, on retrouve une majorité de femmes. Notons également que près de 47,5% des entreprises du secteur des services n emploient aucun salarié contre 31,25% pour ceux du secteur bâtiment. ÉVOLUTION DES EFFECTIFS des entreprises Dans le contexte économique actuel, l enquête affiche que 20% des entreprises ancent avoir recruté en 2014, soit 11 points de plus que l année Plus de 95% des entreprises maintiennent au moins leur effectifs si ce n est embauchent au cours du 1 er semestre Ce constat se vérifie également pour les prévisions du second semestre De manière générale, on constate une tendance à la stabilité depuis plusieurs années. Bien qu étant dans un contexte économique prospère et en stagnation, on peut constater que dans le Val d Oise, les chefs d entreprises artisanales ont plus embauché que licencié contrairement à la globalité de l Île-de-France qui compte une même proportion d embauches et de licenciements pour l année Ce qui montre l importance de l emploi dans l artisanat valdoisien. Les créations de poste représentent environ 63% des embauches et le contrat utilisé le plus souvent est le CDI (représentant 60% des contrats utilisés). Malgré cela, on remarque également que plus d un quart des contrats mis en place sont des contrats à durée déterminé (CDD). conjoncture 20 % 7 % 14 % 5 % 16 2 % % 4 % ne se proce pas recrutement licenciement maintien des effectifs % année % 1 er semestre prévision 2 e semestre 2015

16 l emploi (suite) conjoncture 16 2 % ne se proce pas 2 des contrats d apprentissage Le Renouvellement 70 % 5 la formation des dirigeants d entreprise 8 19 % année % 1 er semestre % 33 % prévision 2 e semestre 2015 l embauche des apprentis après leur formation 44 % 5 % ne se proce pas Emploi d apprentis la formation des salariés Parmi les entreprises artisanales ayant des apprentis, 70% envisagent de renouveler les contrats de leurs apprentis actuels. Mais environ 44% d entre eux n envisagent pas de les embaucher après la formation. Durant l année 2014, près de 19% des dirigeants d entreprises artisanales interrogés ainsi que plus d un tiers de leurs salariés ont suivi une ou plusieurs formations. Si nous constatons une baisse au premier semestre 2015, cette dynamique autour des formations va revenir à la hausse pour le second semestre 2015; les dirigeants envisagent beaucoup plus de se former (32% d entre eux) et de former leurs salariés (34%). 66 % 34 % année % 20 % 1 er semestre % 6 35 % prévision 2 e semestre 2015 ne se proce pas

17 l emploi (suite) 7 % comptabilité, gestion 12 % informatique, bureautique 14 % autres 6 formation technique liée au métier l investissement 3 % langues 2 % marketing juridique les domaines de formation Les formations les plus suivies sont celles liées aux métiers de l entreprise. Les dirigeants se tournent pour plus de la majorité (62%) vers des organismes privés afin de se former. Les Chambres de Métiers et de l Artisanat arrivent en 2 e choix pour le lieu de formation avec 19% des formations suivies en leur sein. Ainsi, en période de crise économique, les dirigeants d entreprises accordent donc une certaine importance à la formation, dans le but de se spécialiser ou d améliorer leurs compétences actuelles, de se démarquer de la concurrence («sortir du lot»), dans le but d offrir une meilleure prestation afin de fidéliser et capter de nouveaux clients. conjoncture ne se proce pas 60 % Non 39 % année 2014 ne se proce pas 72 % 2 1 er semestre % ne se proce pas 76 % 2 prévisions 2 e semestre 2015 les entreprises qui ont investi La proportion d entreprises ayant investi en 2014 est plus grande qu en 2013 (+6 points). De plus, on peut constater que cette proportion, avec 39 %, est presque deux fois plus grande que celle qu affichaient les prévisions concernant le 2 e semestre Elle est proche de celle de l Île-de-France qui compte 41% de dirigeants ayant investi. Au premier semestre 2015, la part d entreprises ayant investi a très légèrement augmenté par rapport au premier semestre 2014 (augmentation d environ 1 point). Les prévisions du second semestre 2015 sont similaires aux prévisions faites l année précédente pour le même semestre. Toutefois, elles montrent un écart de -7 points par rapport à l investissement du 1 er semestre. Ce résultat est à rapprocher de l indicateur du volume d activité (p.12) où 9 % des dirigeants se ne procent pas. ne se proce pas 7 Non 2 70 % 30 % 73 % 27 % 6 32 % les investissements au 1 er semestre 2015 Le bâtiment est le secteur où les entreprises ont le moins investi durant le premier semestre Mais malgré tout, il reste très proche du taux d investissement des autres secteurs. Alimentation Il faut surtout retenir que, globalement, moins d un tiers des entreprises ont investi au cours du premier semestre fabrication services 17

18 l investissement (suite) conjoncture 18 ne se proce pas 39 % + de % entre et de % + de entre et de année er semestre 2015 montant des investissements en Les montants des investissements en 2014 restent à peu près équivalents aux investissements de l année précédente (+1 point pour la tranche < de ; la tranche comprise entre et reste assez stable et la tranche > diminue de 3 points). Mais la tranche d investissement supérieure à représente toujours près de 40% des investissements en Sa proportion a d ailleurs augmenté au premier semestre Prêt Bancaire 2 Crédit bail 5 Autofinancement 29 % Prêt Bancaire 25 % credit bail 46 % Autofinancement année er semestre 2015 principaux mode de financement des investissements En 2014, 51% des chefs d entreprises ont eu recours à l autofinancement pour leurs investissements. Par rapport à 2013, cette proportion a diminué de 10 points de pourcentage. Ainsi, en résultent des parts de financement par prêt bancaire et par actions de leasing [crédit bail] plus élevées (+3 points et +5 points respectivement). Au premier semestre 2015, la tendance montre une augmentation de ces 2 modes de financement (leasing et prêts bancaires). On remarque donc que les dirigeants, malgré les taux d intérêts bas pratiqués, ont une plus forte tendance à se tourner vers le Leasing. Mais l autofinancement reste toujours le principal moyen de financer l investissement. Autres investissements Acquisition ou agencement de locaux Achat de matériel informatique/ bureautique Accroissement du parc machine/ outillage/véhicule Renouvellement des machines, outillage ou véhicule Mise aux normes ou mise en conformité 23 % 26 % 3 % 9 % 22 % 23 % 32 % 35 % 7 % 4 % nature des investissements réalisés La principale nature des investissements concerne le renouvellement de machines, outillages ou véhicule qui représente environ 1/3 des investissements. La baisse générale des investissements entre 2013 et 2014 peut s expliquer de deux façons : une confiance mesurée de la part des dirigeants (corrélée par les prévisions du volume d activité [un dirigeant sur deux pense que son activité sera stable]) ou peut être l incertitude de l activité économique pouvant provoquer ce frein. Mais la hausse des investissements de croissance au premier semestre 2015, tels que le renouvellement et l accroissement du parc machines, outillages et/ou véhicules, montre un regain de confiance de la part des dirigeants sur l avenir de leur entreprise. Ils expriment également un besoin de moderniser leur outil de travail, pour mieux répondre à la demande et/ou attirer de nouveaux clients, et se positionner face à la concurrence. Année er semestre 2015

19 la trésorerie 17 % améliorée 3 dégradée l ÉVOLUTION DE LA TRÉSORERIE 52 % Maintenue Au cours de l année 2014, la trésorerie des entreprises s est globalement maintenue. On note que près de 69% des entreprises ont une trésorerie stable voire en amélioration. Cependant près d un tiers des entreprises constatent également une dégradation de leur trésorerie. Par rapport à l année 2013, la proportion d entreprises ayant une trésorerie stable a augmenté de 10 points de pourcentage et le nombre d entreprises dont la trésorerie s est dégradée a également augmenté (+ 4 points) % 5 % Ne se proce pas 6 Non 27 % actuellement 2 e semestre % Cession en cas de problème 27 % entreprises confrontées à des problèmes de trésorerie Actuellement, plus de 61% des dirigeants d entreprises artisanales déclarent ne pas avoir de problème de trésorerie. Cette proportion équivaut à celle du 1 er semestre % des entreprises ayant rencontré des difficultés de trésorerie au premier semestre 2015 pensent pouvoir y remédier pour le second semestre. Pour le deuxième semestre 2015, on estime à 27% la part des entreprises touchées par des problèmes de trésorerie. Ce taux est inférieur au premier semestre. Les perspectives de cet indicateur semblent donc favorables. Parmi les entreprises interrogées ayant des problèmes financiers, un peu plus d un quart envisage de céder leur activité en raison de ces difficultés. conjoncture 19

20 la trésorerie (suite) conjoncture 65 % Non 35 % services 5 42 % fabrication 5 42 % 57 % 43 % Alimentation 2 % insuffisance de vos prix de vente 2 % erreur de gestion 9 % accroissement des délais de paiement clients 2 % accroissement du prix des matières premières 16 % autres ne se proce pas 33 % Diminution du niveau d activité de l entreprise 6 % factures impayées par les clients 29 % charges trop importantes 20 les problèmes de trésorerie au 1 er semestre 2015 Durant le premier semestre 2015, le secteur d activité connaissant le moins de problèmes de trésorerie est le secteur des Services. Le constat que le secteur de la Fabrication soit un des 2 secteurs ayant une proportion assez haute de ses entreprises ayant des problèmes de trésorerie, est corrélé par le fait qu au premier semestre 2015, ce secteur compte la même proportion d entreprises étant en sous-activité (soit 42%). Les causes de dégradation de la trésorerie On remarque que les 2 raisons principales de dégradation de la trésorerie des entreprises artisanales du Val d Oise sont la diminution du niveau d activité des entreprises, ainsi que les coûts trop importants des charges qu elles supportent (représentant respectivement 1/3 et 30 % des causes de dégradation).

21 la trésorerie (suite) ne se proce pas Les solutions utilisées pour remédier aux difficultés de trésorerie Une des principales solutions, que les entreprises rencontrant des problèmes de trésorerie conçoivent, est de diminuer le salaire du dirigeant (plus d une entreprise sur 5 envisage cette solution). La seconde solution la plus envisagée est la solution bancaire (prêt, découvert, etc. ). De plus, 1/3 des dirigeants envisagent des solutions différentes comme augmenter leur temps de travail (sans augmenter leur rémunération), faire de la publicité, se mettre en avant ou encore relancer/trouver des accords avec les clients. Les chefs d entreprise choisissent d abord de s impliquer personnellement (avec des actions telles que l apport personnel, la baisse des prélèvements, etc.) avant de penser à licencier les salariés. autres négociation d échéanciers (fournisseurs, organismes sociaux et fiscaux) licenciement d un ou plusieurs salariés diminution de vos prélèvements ou de celui du dirigeant limitation des investissements apport personnel solutions bancaires 2 % 3, % 12 % 7 % 12 % 23 % 33 % conjoncture 21

22 synthese synthèse secteur Alimentation bâtiment fabrication services indicateurs activité emploi investissement trésorerie 22 conjoncture 2014 L activité a, pour la grande majorité des entreprises artisanales, été globalement stable au cours de l année L évolution de l activité est fortement corrélée à la politique de consommation des ménages. Le taux de pouvoir d achat des ménages stagne de nouveau en 2014 (sa variation est de 0,4% par rapport à l année 2013 [chiffre INSEE]). Au niveau de l emploi, dans la globalité, les entreprises interrogées, quel que soit leur secteur d activité, ont une tendance au maintien des emplois. On remarque également que chaque secteur affiche un ratio embauche/licenciement positif et que plus de 9 entreprises sur 10 ont maintenu ou augmenté leur masse salariale au cours du 1 er semestre 2015, tout secteur d activité confondu. L état des investissements se comporte de la même manière que l emploi. Les entreprises ne sont pas en grande phase de croissance mais beaucoup plus dans une optique de renouvellement, de maintien, voire pour certaines d accroissement de leur équipement. Seules 2/5 e des entreprises ont investi durant l année 2014 et cette proportion a diminué au cours du 1 er semestre Mais elles ont investi un montant plus élevé. Le mode de financement le plus utilisé par ces entreprises est l autofinancement. Près de 3 entreprises sur 5 affirment avoir maintenu ou augmenté leur trésorerie en Le secteur le moins touché par la diminution de trésorerie est celui des Services qui compte seulement un quart de ses entreprises touchées contre environ un tiers dans les autres secteurs d activités. On remarque également une constante d une année sur l autre, dans les choix des dirigeants dans les solutions pour remédier à leur difficulté de trésorerie. Le constat est le suivant : les dirigeants préfèrent s impliquer eux-mêmes (baisser leur salaire, puiser dans leurs ressources personnelles) plutôt que de diminuer leur masse salariale, afin de maintenir leur activité et résoudre leur problème de trésorerie. D année en année, le nombre d entreprises artisanales continue de croître dans le Val d Oise. L année 2014 montre de nouveau que les entreprises essayent de maintenir leur positionnement sur leur marché, voire de l accroître, tout en essayant de préserver les emplois dans une situation économique incertaine. Échantillon : Étude sur quatre indicateurs : l activité, l emploi, l investissement et la trésorerie. 900 entreprises artisanales ont été interrogées selon une répartition prenant en compte les quatre secteurs d activités : Alimentation, Bâtiment, Fabrication et Services, ainsi que la répartition géographique du Val d Oise en 7 territoires définis par la Chambre de Métiers et de l Artisanat. 386 questionnaires ont pu être exploités.

23

24 la Chambre de Métiers et de l Artisanat du Val d Oise l expertise au quotidien pour les entreprises ARTISANALES La cma95 c est aussi activité 2014 Près de personnes reçues dont entreprises ou dirigeants Val d Oise 1 avenue du Parc Cergy-Pontoise Cedex Annexe 3 rue Ls Perrein Villiers-le-Bel contacts téléphoniques dont avec des entreprises artisanales, formalités effectuées par le CFE-RM, ayant permis d enregistrer immatriculations, radiations 994 participants aux 51 Stages de Préparation à l Installation proposés, représentant heures de formation, heures stagiaires participants aux 50 stages de formation continue inscrits au catalogue, représentant 259 sessions programmées, 190 sessions réalisées (73 % de taux de réalisation), heures de formation, heures stagiaires de présence. Près de apprentis accueillis dans les centres de formation de l Institut des Métiers de l Artisanat (I.M.A) pour les 10 métiers enseignés, les 28 diplômes préparés (du CAP au BTS). Un taux de réussite aux examens de 7 en moyenne, un taux de placement dans l emploi (CDI ou CDD) à 6 mois proche de 80 %. La cma95 c est encore Trois sites d intervention Cergy : Appui aux entreprises, Formation par l apprentissage, Eaubonne : Formation par l apprentissage, Villiers le Bel : Appui aux entreprises, Formation par l apprentissage. 148 salariés au service de l artisanat sur les trois sites, dont 30 au contact direct des dirigeants artisanaux. Ce document est le fruit d un travail fourni par un étudiant en Master d Économie quantitative de l Université de Cergy-Pontoise. La note de conjoncture 2014 a été réalisée entre le 1 er mai et le 30 juin 2014, à partir de l envoi d un questionnaire adressé à un échantillon représentatif de l artisanat du Val d Oise de entreprises. 300 questionnaires ont été exploités suite à l enquête téléphonique. réalisation

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse

Plus en détail

ETUDE THEMATIQUE. Parution janvier 2015 CHIFFRES CLEFS SOMMAIRE L ARTISANAT DE L ALIMENTATION EN HAUTE-NORMANDIE.

ETUDE THEMATIQUE. Parution janvier 2015 CHIFFRES CLEFS SOMMAIRE L ARTISANAT DE L ALIMENTATION EN HAUTE-NORMANDIE. ETUDE THEMATIQUE L ARTISANAT DE L ALIMENTATION EN HAUTE-NORMANDIE Parution janvier 2015 CHIFFRES CLEFS 3 311 entreprises 3 471 établissements 2 198 établissements employeurs 5 971 salariés 1 551 apprentis

Plus en détail

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine Statistiques Baromètre 2013 Réalisés par Avec le soutien financier de Président de la CMA92 Daniel GOUPILLAT 1 000 entreprises artisanales supplémentaires dans les Hauts-de-Seine!

Plus en détail

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine Statistiques Baromètre 2012 Réalisés par Avec le soutien financier de Président de la CMA92 Daniel GOUPILLAT Présent dans les secteurs de l Alimentation, du Bâtiment,

Plus en détail

Dossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011

Dossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011 Dossier de presse Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales Du 18 au 25 novembre 2011 2 Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales - 18 au 25 novembre 2011

Plus en détail

REPRISE - CREATION D ENTREPRISE

REPRISE - CREATION D ENTREPRISE REPRISE - CREATION D ENTREPRISE Stage de préparation à l installation Une équipe de chargés de développement économique à votre écoute Vous souhaitez devenir chef d entreprise, la Chambre de Métiers et

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes

Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en

Plus en détail

P0 C M B N 50782#05 NOTICE DÉCLARATION DE CRÉATION D UNE ENTREPRISE C OMMERCE MÉTIERS BATELLERIE PERSONNE PHYSIQUE Merci de bien vouloir fournir les renseignements demandés qui ont un caractère obligatoire.

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en 20 points

Ce qu il faut savoir en 20 points Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant

Plus en détail

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE

COMMINGES 2010. Etude portant sur l Artisanat en zones d activités. Contribution de CMA Haute-Garonne. Octobre 2010. Canton de BOULOGNE- SUR-GESSE BOULOGNE- SUR-GESSE Canton de AURIGNAC MONTREJEAU SAINT-MARTORY SAINT-GAUDENS SALIES-DU- SALAT BARBAZAN Canton d'aspet de SAINT-BEAT COMMINGES 2010 Etude portant sur l Artisanat en zones d activités LUCHON

Plus en détail

Un moyen de limiter les risques

Un moyen de limiter les risques du Bâtiment er Trimestre Aquitaine de votre Centre de Gestion Agréé édito Dans ce nouveau numéro de l Observatoire du bâtiment, votre Centre de gestion fait le point sur le nouveau régime d Entrepreneur

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

Le guide des formalités

Le guide des formalités Le guide des formalités Tout au long la de votre vie, CMA 30 est là... Sommaire Quelques rappels importants permettant de faciliter la réalisation des formalités auprès du Service Formalités des Entreprises

Plus en détail

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE

ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012. Philippe PAYET MEFPIE ENQUETE AGROALIMENTAIRE 2012 Philippe PAYET MEFPIE Introduction... 3 L Entreprise et son dirigeant... 4 L entreprise et son marché... 6 L entreprise et son personnel... 9 Projets de recrutement... 11 En

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais. L artisanat de la région. Nord - Pas de Calais

Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais. L artisanat de la région. Nord - Pas de Calais Chambre de métiers et de l artisanat de région Nord - Pas de Calais L artisanat de la région Nord - Pas de Calais Éditorial...5 I. État et évolution de l artisanat du Nord-Pas de Calais... 7 1. 46 341

Plus en détail

Ce dossier est édité par l Observatoire de l Association Nationale pour la Formation Automobile

Ce dossier est édité par l Observatoire de l Association Nationale pour la Formation Automobile Ce dossier est édité par l Observatoire de l Association Nationale pour la Formation Automobile Service études et prospectives 2 rue Capella Rond point Vega 44483 Carquefou Cedex 02.28.01.08.01 observatoire@anfa-auto.fr

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement

Plus en détail

Note de synthèse 2012

Note de synthèse 2012 ARTISANAT DU BTP - EDITION N 2 NOVEMBRE 2014 Note de synthèse 2012 DANS CE NUMERO 2 ème publication de l Observatoire des formations à la prévention, cette notre présente les principaux chiffres clés de

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte» ou à titre

Plus en détail

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...

Plus en détail

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR

REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR REGIME DE L AUTO-ENTREPRENEUR 1 Remarques introductives Statut mis en œuvre par la loi de Modernisation de l Economie du 4 août 2008 Statut en vigueur à compter du 1er janvier 2009 Site internet : http://www.auto-entrepreneur.cci.fr/

Plus en détail

DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ

DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ P0 Auto-entrepreneur DÉCLARATION DE DÉBUT D ACTIVITÉ AUTO-ENTREPRENEUR PERSONNE PHYSIQUE M G U I D B E F K T ACTIVITÉ COMMERCIALE, ARTISANALE, LIBÉRALE reçue le 1 bis 6 VOUS NE BÉNÉFICIEZ DE CE RÉGIME

Plus en détail

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages

Plus en détail

AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015

AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015 AUTO ENTREPRENEURS NOUVEAUTES 2015 Introduction A compter du 1 er janvier 2015, certaines conditions de l auto entreprise changent : un seul statut unique immatriculation obligatoire aux chambres consulaires

Plus en détail

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2 Dossier de presse La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche Synthèse page 2 Le contexte de la campagne page 5 Le déroulement de la campagne page 7 Faits

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Atlas Artisanat. de Haute-Garonne. Chambre de Métiers et de l Artisanat Haute-Garonne. Janvier 2012. Etat des lieux et Perspectives

Atlas Artisanat. de Haute-Garonne. Chambre de Métiers et de l Artisanat Haute-Garonne. Janvier 2012. Etat des lieux et Perspectives Chambre de Métiers et de l Artisanat alimentation services bâtiment production Atlas Artisanat de Janvier 2012 Etat des lieux et Perspectives Réalisé par Karima BELKALEM Service Etudes Statistiques et

Plus en détail

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :

Plus en détail

les travailleurs non-salari

les travailleurs non-salari Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM. À jour au 1 er janvier 2015 Le point sur ( ) SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2015 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur

Plus en détail

La protection sociale du travailleur indépendant

La protection sociale du travailleur indépendant La protection sociale du travailleur indépendant On en parle aujourd hui A chaque statut, son régime social A chaque activité, son régime social Un interlocuteur social unique Une protection sociale complète

Plus en détail

Chambre de Métiers et de l'artisanat de la SAVOIE

Chambre de Métiers et de l'artisanat de la SAVOIE FORMALITES - REPERTOIRE DES METIERS Extrait d'immatriculation au Répertoire des Métiers (ressortissant - gratuit si envoi au mail de l'entreprise) 2 Extrait d'immatriculation au Répertoire des Métiers

Plus en détail

La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans

La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans - 1 - Les statistiques en bref La création d entreprise par les jeunes de moins de 30 ans Données de cadrage socio-démographique sur les jeunes en France 24 % des Français de 18 ans et plus sont âgés de

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le point sur. Auto-entrepreneur SPÉCIAL DOM Le point sur SPÉCIAL DOM Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte»

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Auto-entrepreneur. À jour au 1 er janvier 2014

Le régime. L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Auto-entrepreneur. À jour au 1 er janvier 2014 Le point sur ( ) Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2014 L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par

L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier Etude réalisée par Médias sociaux L influence des médias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un

Plus en détail

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur

L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut. Le régime. Le point sur. Auto-entrepreneur Le point sur Le régime Auto-entrepreneur L activité déclarée sous le régime auto-entrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se lancer «à son compte», par un

Plus en détail

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission

Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE Les clés pour réussir votre mission 2 L APPRENTISSAGE, UN PARCOURS «GAGNANT - GAGNANT» Côté entreprise : C est

Plus en détail

www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ')

www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') Permettre à des jeunes de devenir apprentis, c est leur offrir une vraie chance de réussite professionnelle et c est apporter de la richesse à votre entreprise. La Chambre

Plus en détail

ÊTRE ARTISAN. Pourquoi pas Moi?

ÊTRE ARTISAN. Pourquoi pas Moi? ÊTRE ARTISAN Pourquoi pas Moi? l rtisanat, c est quoi? Des Métiers créatifs qui permettent de s exprimer et d évoluer Des Métiers ouverts qui concernent les secteurs les plus divers Des Métiers porteurs

Plus en détail

Mmes, MM les Directeurs du RSI Mmes, MM les agents comptables du RSI Mmes, MM les responsables des organismes conventionnés du RSI

Mmes, MM les Directeurs du RSI Mmes, MM les agents comptables du RSI Mmes, MM les responsables des organismes conventionnés du RSI Circulaire N 2008/008 Le 30 janvier 2008 Origine : Destinataire : Direction des Retraites, du Recouvrement, des Clients et de l Animation du réseau (DIRRCA) : Direction du recouvrement Pôle réglementation

Plus en détail

ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002. Les Distributeurs du Secteur Dentaire

ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002. Les Distributeurs du Secteur Dentaire ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002 Les Distributeurs du Secteur Dentaire [EDITO]. Le marché du matériel dentaire reste un domaine relativement parcellarisé sur le territoire français. Il est couvert par plus de

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» «Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des

Plus en détail

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À

LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À LES NOUVELLES MESURES RELATIVES À L AUTO-ENTREPRENEUR, L EIRL ET LES ARTISANS Salon des entrepreneurs de PARIS 5 février 2015 MESURES RELATIVES À L AUTO- ENTREPRENEUR Pour rappel L auto-entrepreneur est

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

Le régime. L activité déclarée sous le régime autoentrepreneur. Auto-entrepreneur. À jour au 1 er janvier 2015

Le régime. L activité déclarée sous le régime autoentrepreneur. Auto-entrepreneur. À jour au 1 er janvier 2015 Le point sur ( ) Le régime Auto-entrepreneur À jour au 1 er janvier 2015 L activité déclarée sous le régime autoentrepreneur peut être exercée à titre principal, par exemple, par un chômeur qui veut se

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées

L Observatoire de l Artisanat de Midi-Pyrénées L artisanat en Midi- Atlas Edition 2015 L Observatoire de l Artisanat de Midi- www.artisanat-mp.fr Sources : Observatoire de l artisanat Midi-, répertoire des métiers au 31/12/2014 URSSAF Midi- «Mieux

Plus en détail

Services à la personne

Services à la personne Enquête régionale auprès des entreprises agréées 2010 Services à la personne Midi-Pyrénées En France : > 390 000 emplois créés depuis 2005 > Près de 2 millions de salariés dans les services à la personne

Plus en détail

TRAVAILLEURS INDEPENDANTS

TRAVAILLEURS INDEPENDANTS TRAVAILLEURS INDEPENDANTS Questions Réponses sur votre PROTECTION SOCIALE Salon des Entrepreneurs - Paris 4 et 5 février 2015 Principaux statuts juridiques Statut Travailleur indépendant Salarié Régime

Plus en détail

CUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation

CUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation CUSTOM SOLUTIONS SA Société anonyme au capital de 4.863.050 Siège Social : 135, avenue Victoire Z.I. de Rousset-Peynier 13790 ROUSSET RCS AIX EN PROVENCE B 500 517 776 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management et gestion commerciale de l Université de Cergy- Pontoise - UCP Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation

Plus en détail

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR

AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE Les notes de l Juin 2007 OBSERVATOIRE PARTENARIAL LYONNAIS EN ECONOMIE RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE L entrepreneuriat est une priorité pour le développement économique de l

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont  N 4 N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité

Plus en détail

Zoom. Partenaire des entreprises et du territoire libournais. www.libourne.cci.fr

Zoom. Partenaire des entreprises et du territoire libournais. www.libourne.cci.fr Zoom sur Partenaire des entreprises et du territoire libournais Actualisé le : 15/01/2015 Info juridique : L auto-entrepreneur n existe plus! Depuis la loi Artisanat, commerce et petite entreprise (dite

Plus en détail

Diplômes et insertion professionnelle

Diplômes et insertion professionnelle Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats

Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Plan de l intervention 1. Contexte du projet 2. Statut du projet Partie

Plus en détail

pour réussir ensemble

pour réussir ensemble Tout un monde de solutions pour réussir ensemble Devenir Artisan Partager Informer Se former Développer Communiquer Créer Accompagner Transmettre Innover Recruter Evaluer Conseiller 8, boulevard Salvador

Plus en détail

1 - Salaires nets tous secteurs confondus

1 - Salaires nets tous secteurs confondus N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.

Plus en détail

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL

FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,

Plus en détail

Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises

Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises dxhnfjkmdqsjkfgvw Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises Paris, le 05 mai 2010 Pour la 3ème année consécutive, Ciel, N 1 français des logiciels de gestion pour petites

Plus en détail

Formation >>> Fleuriste. >>> Pour répondre à vos préoccupations du moment >>> Pour préparer l avenir de votre entreprise

Formation >>> Fleuriste. >>> Pour répondre à vos préoccupations du moment >>> Pour préparer l avenir de votre entreprise r, esthéticienne, cordonnier, fleuriste, teinturier pressing, pâtissier, chocolatier, boulanger, poissonnier, t r, charcutier, ambulancier, taxi, prothésiste dentaire, charpentier, menuisier, chaudronnier,

Plus en détail

3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives

3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives 4 ème édition Paris, le 27 janvier 2012 3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives Les points clés Le régime de l auto-entrepreneur, un potentiel énorme de croissance

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

L ARTISANAT 1 ère entreprise de France. L apprentissage : Passeport pour l emploi

L ARTISANAT 1 ère entreprise de France. L apprentissage : Passeport pour l emploi L ARTISANAT 1 ère entreprise de France L apprentissage : Passeport pour l emploi le cad de la chambre de Métiers et de l artisanat des conseillers spécialistes de l apprentissage et de l emploi l apprentissage

Plus en détail

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes

Plus en détail

Un climat des affaires conforté

Un climat des affaires conforté JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée

Plus en détail

SOMMAIRE. Ce document présente les principales mesures de cette loi pouvant intéresser les commerçants, les artisans et les très petites entreprises.

SOMMAIRE. Ce document présente les principales mesures de cette loi pouvant intéresser les commerçants, les artisans et les très petites entreprises. Nouvelles mesures Plus d informations sur www.apce.com Loi relative à l artisanat et commerce et aux très petites entreprises Loi n 2014 du 18 juin 2014, parue au journal officiel du 19 juin 2014 Ce document

Plus en détail

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives

Plus en détail

Le Statut Auto-Entrepreneur

Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur en 10 points http://www.declaration-auto-entrepreneur.com L auto-entrepreneur est caractérisé par différents points clés. Lorsque l ont décide de

Plus en détail

F.A.Q www.laboiteaservices.com

F.A.Q www.laboiteaservices.com F.A.Q www.laboiteaservices.com Innovation : Une nouvelle façon d acheter un service 1. Généralités... 1 2. Le statut auto-entrepreneur... 4 3. Salarié C.E.S.U... 6 4. Je suis sans emploi... 6 5. Je suis

Plus en détail