Banque Mondiale Fonds Monétaire Arabe
|
|
- Coraline Mathieu
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ministère de l Economie et des Finances Direction du Trésor et des Finances Extérieures Banque Mondiale Fonds Monétaire Arabe Le fonds d assurance hypothécaire Damane Assakane: Retour d expérience et perspectives futures Regards et enseignements sur le Fogarim dans le Programme Ville sans bidonville (PVSB) Casablanca 14 Octobre 2014 Olivier Toutain. Consultant
2 2004 Le programme «Villes sans bidonville» (PVSB) Objectif de résorber l ensemble des bidonvilles en milieu urbain à l horizon env ménages (1,8 million habitants) dans plus de bidonvilles et 85 villes. Promotion du fonds de garantie FOGARIM à destination du PVSB, identifié comme pouvant «contribuer à faciliter le financement du relogement des ménages de bidonvilles en habitat collectif et en auto construction» Implication des banques : «Salaf Al Baraka-Fogarim» - BMCE, «Iskane Dar Darek Imtiaz» - CIH, «Sakane mabrouk manzil» - Banque Populaire, Crédit Agricole, Wafa Attijari,.. 2
3 De multiples initiatives destinés à accompagner l accès au financement du logement des ménages du PVSB : Plan de formation au FOGARIM par le MHU, appui de la banque sociale Shore Bank à l éducation financière des ménages dans le cadre du programme Cities Alliance, appui et formation d accompagnateurs au crédit logement par l USAID, etc.. Lancement de la caravane Fogarim par le MHU Mise en place des guichets Fogarim au sein des Inspections Régionales Expérimentations des «Plateformes de Détail» sur les opérations du PVSB Partenariat BMCE Bank Al-Amana et fondation Zakoura de délégation de la gestion des prêts FOGARIM auprès des ménages éligibles 3 Un accompagnement des bailleurs de fonds et acteurs de coopération (Banque Mondiale, Cities Alliance AFD, USAID)
4 ménages traités en Environ ménages/an baraques démolies par an en moyenne entre 2005 et villes et centres déclarés VSB Bilan et interrogations Les résultats de l étude d impact social de la résorption des bidonvilles par Al Omrane Programme PARHIB Al Omrane AFD - Des opérations dans cinq villes (Casablanca, Agadir, Kénitra, Ain el Aouda et Berkane) parcelles pour ménages. 2 enquêtes ménages (été fin 2011 début 2012) Le crédit bancaire a concerné 23% des ménages du PARHIB pour un montant moyen de Dhs (en auto construction) 46% à Sidi Laarbi - Ain El Aouda, 25% à Taddert - Agadir
5 Incertitudes et risques associés à l endettement Des situations de grande difficulté pour des ménages ayant souvent contracté des crédits importants ( DH) avec des remboursements mensuels élevés ( DH) et sur des durées très longues (17-24 ans). Des surendettements fréquents : doubles crédits (microcrédit - prêt bancaire - prêt consommation) Le poids des nouvelles dépenses (électricité, eau, transport,..) sur le budget des ménages Les habitants ont des activités et des revenus souvent irréguliers, saisonniers, informels (56% des actifs sont des journaliers) 5
6 Montée des impayés Taux sinistralité ens. Fogarim 2,4% 4,2% Taux sinistralité VSB Fogarim 5% 9,1% Oujda 29%, Berkane 25%, Tanger 20% A Ain El Aouda, plus d un tiers des ménages ont des traites impayées en 2012, plus de 50% aujourd hui Inquiétude et angoisse de nombreux ménages de perdre leur lot face aux échéances des remboursements qu ils ont parfois beaucoup de mal à assumer (des taux d endettement souvent supérieurs à 50% des revenus). Les entretiens font remonter «les maladies dues au stress, la dépression, la crainte, la peur du lendemain face aux traites» 6
7 Confusion des habitants, voire des acteurs, par rapport au FOGARIM et des perceptions souvent brouillées : «le FOGARIM, c est l Etat, c est l INDH, ce n est pas la peine de payer». L Economiste du 11 novembre 10. Logement social: Compromis le Fogarim? 7 Une instrumentalisation politique et sociale par les acteurs locaux, les effets «boule de neige» sur les sites, le contrecoup 2011
8 Un faible niveau de connaissance sur le FOGARIM et le crédit bancaire par des populations souvent sous alphabétisées La confusion des habitants entre la maîtrise d ouvrage technique des opérations et le crédit bancaire Des prêts souvent concédés dans l urgence (Agadir, Ain el Aouda,.. ). Les pressions parfois exercées par l Autorité locale pour accélérer la démolition des baraques Des banques confrontées à des situations auxquelles elles n étaient souvent pas préparées. 8
9 Bilan et Enseignements Une leçon à méditer à partir des expériences passées (Agadir, Ain el Aouda) Un effacement progressif des actions d accompagnement engagées au profit des impératifs de production du PVSB. Une absence de capitalisation Les problèmes rencontrés posent en partie la question des dispositifs de proximité et d accompagnement des familles notamment sur la question du financement de leur logement. Difficulté à séparer la question du financement du logement de celle de l habitat Les ménages bidonvillois ne sont pas indifférenciés et ne peuvent pas être traités de manière uniforme. 9
SECTEUR DE L HABITAT AU MAROC
SECTEUR DE L HABITAT AU MAROC SWOT ANALYSIS Forces - Exonérations fiscales pour inciter les promoteurs immobiliers à l'investissement ; - Elaboration d'un contrat programme 2004-2007 entre les opérateurs
Plus en détailListe des établissements de crédit et organismes assimilés Décembre 2009. 798, Angle Boulevard Ghandi et Boulevard Brahim Roudani - Casablanca
Liste des établissements de crédit et organismes assimilés Décembre 2009 Banques AL BARID BANK ARAB BANK PLC ATTIJARIWAFA BANK BANK AL-AMAL 798, Angle Boulevard Ghandi et Boulevard Brahim Roudani - 174,
Plus en détailArchitecture du système bancaire marocain
Architecture du système bancaire marocain 2009-2010 SOMMAIRE RAPPEL HISTORIQUE LE PAYSAGE BANCAIRE MAROCAIN L'ACTIVITE DES BANQUES RAPPEL HISTORIQUE - 2 éme moitié du 19 ème siècle: apparition des premiers
Plus en détailSystèmes de garantie hypothécaire: Problèmatique et pratiques internationales
LE FONDS D ASSURANCE HYPOTHÉCAIRE DAMANE ASSAKANE : RETOUR D EXPERIENCE ET PERSPECTIVES FUTURES Atelier International du Ministère de l Economie et des Finances avec le concours de la Banque Mondiale et
Plus en détailTarification. des Opérations de caisse. Services relatifs aux comptes. Frais et commissions 8 (1)
Services relatifs aux comptes 1. Ouverture de comptes de comptes courants Gratuit 2. Délivrance de carnets de chèques 2.1 Au guichet Gratuit 2.2 Envoi sous plis recommandé avec accusé de réception 25 DH
Plus en détailFonds de garantie. Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques.
Fonds de garantie Fond Oxygen : Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques. - PME existantes ayant au moins 6 mois d activité et des relations avec
Plus en détailRéforme de la loi sur les crédits à la consommation. (source : Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi, mars 2010)
Réforme de la loi sur les crédits à la consommation (source : Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi, mars 2010) Introduction Le crédit est utile et nécessaire à la vie des ménages. Ce
Plus en détailAGREMENT. Maghrib n 22 du 20 chaoual 1430 (10 juillet 2009) 1424 (22 décembre 2003) Maghrib n 17 du 20 chaoual 1429 (20 octobre 2008)
Liste des établissements de crédit, des banques off shore, des sociétés intermédiaires en matière de transfert de fonds et des associations de micro-crédit I - Etablissements de crédit agréés en qualité
Plus en détailmonnaie Dar As-Sikkah, entité appartenant à Bank Al-Maghrib, fabrique les pièces de Et les billets de banque en circulation
Monnaie Un peu d histoire... Avant l apparition de la monnaie, il y avait le troc, qui constitue l échange d un produit contre un autre d une valeur équivalente Mais celui-ci posait de nombreuses contraintes
Plus en détailINTRODUCTION AUX TECHNIQUES BANCAIRES
1 INTRODUCTION AUX TECHNIQUES BANCAIRES Introduction Générale Le système bancaire et financier d un pays désigne un ensemble d institutions, de marchés, d instruments financiers et de circuits qui permettent
Plus en détailLOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement
LOI ALUR Copropriétés prévention et traitement Ministère Copropriétés les principales dispositions de la loi Alur Prévention de l endettement et de la dégradation Traitement curatif Prévention de l endettement
Plus en détailDirection Générale des Impôts. Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux
Direction Générale des Impôts Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux Edition 2010 Direction Générale des Impôts Service de la Communication Rue Haj Ahmed Cherkaoui, Agdal, Rabat Tél. : 212 (0)
Plus en détailEcole Supérieur de Management Appliqué. Introduction. concurrentiel, la banque doit tout mettre en oeuvre pour être rentable, développer
Introduction En qualité d'entreprise commerciale et dans un monde de plus en plus concurrentiel, la banque doit tout mettre en oeuvre pour être rentable, développer une réelle stratégie de marché, respecter
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailPRESENTATION AFD- juin 2004
PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première
Plus en détailINVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan
INVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan FINANCES & CONSEIL MEDITARRANEE 23 Octobre Avril 2012 I. Généralités Superficie Capitale Villes principales Langue officielle Monnaie Population 710 000 Km² Rabat
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailConseil de Surveillance du 23 février 2012
AIDES AUX MENAGES EN DIFFICULTE ARTICLE R. 313-19-3 V DU CCH ---- En application de l article R. 313-12 du code de la construction et de l habitation, l UESL peut déterminer par recommandation les modalités
Plus en détailPRESENTATION DETAILLEE DE LA LOI LAGARDE
PRESENTATION DETAILLEE DE LA LOI LAGARDE REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION I DEVELOPPER LE CREDIT RESPONSABLE FICHE 1 Des cartes de fidélité plus responsables FICHE 2 Encadrer la publicité pour empêcher
Plus en détailProcédures Questionnement Réponses apportées Recommandations et avis de l IT CCAPEX
En association avec PREFET DU RHÔNE Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées du Rhône 2012 2015 Commission de coordination des actions de prévention des expulsions locatives
Plus en détailEcoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST. Les EST sont des établissements supérieurs public. Diplôme préparé : D.U.T
Ecoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST sont des établissements supérieurs public Ministère de Tutelle : Ministère de l'éducation Nationale de l'enseignement Supérieur de la Formation des Cadres
Plus en détailLE PROFIL DU CONSOMMATEUR MAROCAIN
LE PROFIL DU CONSOMMATEUR MAROCAIN Le profil du consommateur Marocain 1. La population en chiffres Population totale : 31.992.592 Population urbaine : 55,0% Population rurale : 43,6% Densité de la population:
Plus en détailDevenez propriétaire au Maroc avec la BMCI
GUIDE DE L IMMOBILIER POUR LES ÉTRANGERS NON RÉSIDENTS AU MAROC Devenez propriétaire au Maroc avec la BMCI 01 SOMMAIRE INTRODUCTION 04 I - INFORMATIONS PRÉALABLES À TOUTE ACQUISITION IMMOBILIÈRE AU MAROC
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détail1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :
1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)
Plus en détailCréations / prises de participations d Entreprises Publiques autorisées par décret - Article 8 de la loi sur la Privatisation -
s / prises de participations d Entreprises Publiques autorisées par décret - Article 8 de la loi sur la Privatisation - Etablissement Demandeur Nature de Société Activité Références du décret l opération
Plus en détailà l accès aux fonctions publiques selon le mérite ; à l accès à l eau et à un environnement sain ; au développement durable.»
1 CONSTITUTION DU ROYAUME DU MAROC, TITRE II, LIBERTES ET DROITS FONDAMENTAUX, Article 31 «L Etat, les établissements publics et les collectivités territoriales œuvrent à la mobilisation de tous les moyens
Plus en détail11, Avenue Bir Kacem - Souissi 10 100 Rabat. 4, Allée des Roseaux 20 000 Casablanca
11, Avenue Bir Kacem - Souissi 10 100 Rabat 4, Allée des Roseaux 20 000 Casablanca ASSOCIATION AL AMANA RAPPORT D AUDIT EXERCICE 2007 Juin 2008 Au Conseil d Administration Association AL AMANA Rabat RAPPORT
Plus en détailLa gestion déléguée. l expérience de la LYDEC
NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD Partenariat Public-Privé Privé pour le développement du secteur énergétique en Afrique Vendredi 30 avril 2004 - Marrakech La gestion déléguée de la distribution de l'électricité
Plus en détailLOI LAGARDE DU 1ER JUILLET 2010
LOI LAGARDE DU 1ER JUILLET 2010 PORTANT REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Les principales mesures de la loi LAGARDE FICHE 2 Le point sur l entrée en vigueur des principales
Plus en détailLe Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF
Le Comité Consultatif du Secteur Financier L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Lucien Bernadine Secrétariat général du Comité consultatif du secteur financier Vendredi 21 mars
Plus en détailLa réforme du crédit à la consommation «Lagarde»
La réforme du crédit à la consommation «Lagarde» Sommaire 1. Les objectifs de la réforme 2. Le calendrier 3. Les changements apportés 4. Les nouveaux documents 5. Pour en savoir plus 2 1. Les objectifs
Plus en détailCMP-Banque, une banque municipale et sociale
CMP-Banque, une banque municipale et sociale Un acteur de la politique sociale CMP-Banque, la banque du Crédit Municipal de Paris, est une institution bancaire ancienne et singulière où la responsabilité
Plus en détailVeuillez trouver ci-joint la communication de Monsieur le Gouverneur à l occasion du forum international des finances et des affaires tenu à
Veuillez trouver ci-joint la communication de Monsieur le Gouverneur à l occasion du forum international des finances et des affaires tenu à Casablanca du 2 au 5 décembre 2003. PRÉSENTATION DE MONSIEUR
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailPrêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES RÉSUMÉ MÉTHODOLOGIQUE
Prêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES Statistiques voisines Périodicité Ponctualité Propriété Ce fichier reprend les informations concernant les prêts hypothécaires accordés par la SWCS aux personnes
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs
Plus en détailLE SURENDETTEMENT DES MENAGES
LE SURENDETTEMENT DES MENAGES PRESENTATION DU DISPOSITIF EXTERNE BANQUE DE FRANCE 1 Endettement et surendettement des ménages Interventions successives du législateur 1989 : première loi (dite loi Neiertz)
Plus en détailCONSEIL DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE. Bulletin des interpellations et des questions orales
CONSEIL DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE Bulletin des interpellations et des questions orales Commission du logement et de la rénovation urbaine REUNION DU MARDI 23 AVRIL 2002 Conseil de la Région de
Plus en détailSOMMAIRE EDITO ETUDE SECTORIELLE CHIFFRES CLES ACTUALITE JAIDA ACTUALITE SECTEUR 1-ETUDE SECTORIELLE
EDITO LA LETTRE D INFORMATION DE JAIDA MAI 2013 L année 2012, a été sans aucun doute une année de restructuration pour le secteur du microcrédit qui a été caractérisé par des grands projets de restructurations.
Plus en détailDOSSIER. Douja. qui l a visé le
DOSSIER D INFORMATION Douja Promotion Group pe Addoha Programme D émission De Billets De Trésorerie Mise à jour annuelle du dossier d information relativee à l année 2013 PLAFOND DU PROGRAMME DE L EMISSION
Plus en détailLa procé duré dé suréndéttémént
La procé duré dé suréndéttémént Vous commencez à avoir des difficultés à rembourser vos crédits et plus généralement vos dettes non professionnelles? Il ne faut pas attendre que votre situation soit trop
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailSynthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3
Semaine du 20/04/2015 au 24/04/2015 Synthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3 Sur le plan international - Etats-Unis : Croissance de 2,7% attendue Sur le plan national -
Plus en détailCarte PLATINUM : Le passeport pour un univers de services VIP
Carte PLATINUM : Le passeport pour un univers de services VIP CARTE PLATINUM Visa Platinum, la carte bancaire haut de gamme par CIH BANK Bien plus qu une carte bancaire classique, la carte Visa Platinum
Plus en détailInsurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014
Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailSOMMAIRE. Calendrier de publication des textes d application de la loi portant réforme du crédit à la consommation et lutte contre le surendettement.
SOMMAIRE Calendrier d entrée en vigueur des principales dispositions de la loi portant réforme du crédit à la consommation et lutte contre le surendettement. Calendrier de publication des textes d application
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION (BILAN DE LA 1 ERE ANNEE DU PROGRAMME INJAZ)
NOTE DE PRESENTATION (BILAN DE LA 1 ERE ANNEE DU PROGRAMME INJAZ) Préambule L usage des technologies de l information et de la communication (TIC) est un facteur essentiel pour l émergence de la société
Plus en détailDOSSIER PRE-INSTRUCTION
DOSSIER PRE-INSTRUCTION ACCES HEBERGEMENT EN RESIDENCE SOCIALE NOTICE Le dossier de pré-instruction doit obligatoirement être rempli par un travailleur social. Il est indispensable que le demandeur entreprenne
Plus en détailCrédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011
Crédit Consommation Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Sommaire Les points clés de la réforme Les changements Notre philosophie de la réforme Les changements Notre philosophie Le crédit : - est
Plus en détailn 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau
n 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau n 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau Sommaire Le Credit Bureau I-Contexte et Objectifs 5 II-Cadre Légal et
Plus en détailTarifs et Conditions extrait des prix et services (ttc) au 01/01/2013
Tarifs et Conditions extrait des prix et services (ttc) au 01/01/2013 Sommaire Extrait standard des tarifs...3 Ouverture, fonctionnement et suivi de votre compte...4 Relevés de votre compte...4 Services
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l enseignement supérieur de la recherche scientifique et de la Formation des Cadres
ROYAUME DU MAROC Ministère de l enseignement supérieur de la recherche scientifique et de la Formation des Cadres CONCOURS NATIONAL D ACCÈS AUX ÉCOLES DE MANAGEMENT (CNAEM) (ENCG / ESI) NOTICE ÉDITION
Plus en détailCCAPEX FORMULAIRE DE SAISINE
PRÉFECTURE DE LA LOZERE CCAPEX FORMULAIRE DE SAISINE Date de la saisine : Organisme à l'origine de la saisine : Nature de la saisine : Origine de la saisine : Bailleur Organisme payeur aides au logement
Plus en détailà l accès aux fonctions publiques selon le mérite ; à l accès à l eau et à un environnement sain ; au développement durable.»
1 CONSTITUTION DU ROYAUME DU MAROC, TITRE II, LIBERTES ET DROITS FONDAMENTAUX, Article 31 «L Etat, les établissements publics et les collectivités territoriales œuvrent à la mobilisation de tous les moyens
Plus en détailUne banque démarre son activité sans un euro de dépôt
Une banque démarre son activité sans un euro de dépôt INTRODUCTION Le cas présenté ci-après permet de comprendre le fonctionnement général d une banque mais reste un cas d école purement théorique. Imaginons
Plus en détailQui sommes-nous? Nos atouts
Présentation de la société Qui sommes-nous? BFI est spécialisée depuis 1994 dans l édition et l intégration de solutions destinées aux banques et institutions financières. Bien implantée sur le marché
Plus en détailBMCE Direct. Guide d utilisateur Entreprise SOLUTION DE BANQUE A DISTANCE. www.bmcebank.ma. 140 Avenue Hassan II - Casablanca, Maroc
BMCE Direct SOLUTION DE BANQUE A DISTANCE Guide d utilisateur Entreprise 080 100 8100 www.bmcebank.ma 140 Avenue Hassan II - Casablanca, Maroc Bienvenue dans BMCE Direct, L e nouveau service Banque à distance
Plus en détailPrésentation moyens humains et matériels de Tract Consult
Présentation moyens humains et matériels de Tract Consult Sommaire Présentation de la socièté TRACT Consult Compétences Moyens Matériels Représentations & Perspectives Références Présentation 1/3 1- Date
Plus en détailZones franches et places financières offshore au Maroc
Zones franches et places financières offshore au Maroc Actualisation au 1 mai 2002 MINEFI DREE/TRÉSOR Soucieux de consolider sa politique d ouverture commerciale, d améliorer ses capacités d exportation
Plus en détailPRESENTATION INVESTISSEUR
PRESENTATION INVESTISSEUR Groupe Banque Populaire Février 2014 Sommaire I. Aperçu Macro-économique II. Secteur bancaire marocain III.Présentation du Groupe Banque Populaire IV.Analyse financière du Groupe
Plus en détailAvancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise
Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances
Plus en détailLOI LAGARDE DE REFORME DU CREDIT A LA
CHRISTINE LAGARDE MINISTRE DE L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE ET DE L EMPLOI LOI LAGARDE DE REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION 1ER NOVEMBRE 2010 LE 1 ER NOVEMBRE ENTRENT EN VIGUEUR LES MESURES DE LA LOI LAGARDE
Plus en détailProgramme de Surveillance et de Suivi Environnemental et Social. Projet d aménagement de la ville nouvelle de ZENATA. Avril 2014
Programme de Surveillance et de Suivi Environnemental et Social Projet d aménagement de la ville nouvelle de ZENATA Avril 2014-1 - SOMMAIRE 1 ZENATA : VILLE DURABLE... 3 2 LES OBJECTIFS DE LA MISSION...
Plus en détailCatalogue. E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation. FormaLearning Notre expertise pédagogique au service de vos projets!
Catalogue E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation E-learning Banque, fi nance, assurance Initial Le compte bancaire La procuration Les incidents de fonctionnement du compte Les moyens de paiement
Plus en détailLes Crédits et ouverture de crédit
Les Crédits et ouverture de crédit Contexte général Besoin d une nouvelle voiture, votre machine à lessiver tombe en panne ou besoin d effectuer quelques travaux dans votre maison? De grosses dépenses
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailLa FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire
La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé
Plus en détailDéfis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays
Office National de l Electricité et de l Eau Potable (ONEE) Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays Novembre 2014 PARC DE PRODUCTION DIVERSIFIE Tiers nationaux
Plus en détailNOTRE MISSION VOTRE SÉCURITÉ
NOTRE MISSION VOTRE SÉCURITÉ 1 VM SECURITE Création : Fondée en 1992 Siège : Casablanca-Aïn sebaâ Spécialité : Sécurité électronique, Gestion technique et énergétique du bâtiment. Filiale du groupe Ventec
Plus en détailSemaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014
Semaine de la finance pour les enfants et les jeunes Journées portes ouvertes du 10 au 14 mars 2014 La monnaie Les moyens de paiement La banque La bourse Qui protège l épargne et les dépôts du public dans
Plus en détailPublication de comptes financiers du secteur privé non-financier
Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à
Plus en détailLe PNQ, Pour Promouvoir la Performance
Direction de la Qualité et de la Surveillance du Marché Ministère de l Industrie, du Commerce, de l Investissement et de l Economie Numérique Angle Avenue Kamal Zebdi et rue Dadi, Hay Riad - Rabat Téléphone
Plus en détailloi de séparation et de régulation des activités bancaires
loi de séparation et de régulation des activités bancaires Plus de transparence, plus de concurrence et une meilleure protection des clients face à des frais bancaires excessifs Plafonnement des commissions
Plus en détailDECISION FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE :
FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE : N dossier familial (IODAS) : Centre Médico-Social de Mende Travailleur Social Travailleur
Plus en détailPOUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier
BREST 28 et 29 NOVEMBRE 2013 POUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier Présentation de la SPLA SOREQA SPLA à vocation métropolitaine crée
Plus en détailLE FONDS NATIONAL DE GARANTIE
LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66
Plus en détailPLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage
70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne
Plus en détailLe Fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers
Note d information Le Fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers Face à l augmentation des difficultés que rencontraient les emprunteurs dans le remboursement de leurs
Plus en détailLes principaux crédits et les pièges à éviter
Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies
Plus en détailQu est-ce que le crédit?
Qu est-ce que le crédit? NIVEAU 9 11 Dans cette leçon, les élèves examineront les différents types de cartes de crédit offertes ainsi que les avantages et les inconvénients d acheter à crédit. Cours Initiation
Plus en détail«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3
«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?
Plus en détailConférence Internationale - Finance Islamique IFC 2013. Youssef BAGHDADI. Khalil LABNIOURI
Conférence Internationale - Finance Islamique IFC 2013 Youssef BAGHDADI Khalil LABNIOURI - Président du directoire de Dar Assafaa Litamwil - 23 ans d expérience financière - Ex Directeur Général Adjoint
Plus en détailC.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social
C.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social Détection précoce du surendettement Preventive action on over-indebtness Jean-Louis KIEHL, Président Maxime PEKKIP, Responsable
Plus en détail3- TABLEAU DES CASH FLOW
0 3- TABLEAU DES CASH FLOW 2002 Créances de l'actif circulant 212 564 112 536 168 337 Dettes du passif circulant (2 632) (1 634) (909) Provisions cumulées Besoin en fond de roulement 209 932 110 902 167
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Crédit, rachat de crédit : que pensent les internautes? Contact presse : mael.resch@empruntis.com 01.55.80.58.
DOSSIER DE PRESSE Crédit, rachat de crédit : que pensent les internautes? Contact presse : mael.resch@empruntis.com 01.55.80.58.66 Empruntis.com en partenariat avec Market Audit a mené une étude auprès
Plus en détailUne solution d investissement dédiée
Une solution d investissement dédiée aux Marocains du Monde Mot du Président Partout dans le monde, la diaspora marocaine développe, aujourd hui, une expertise et un savoir faire qui lui ont permis d
Plus en détailLe Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) en Charente
Charente SolidaritéS www.charentesolidarites.org Le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) en Charente Dernière mise à jour le 26/06/2015. Le présent document ne constitue qu un outil de travail. En
Plus en détailGuide auto. Et si votre boîte à gants pouvait contenir toutes les
Guide auto Et si votre boîte à gants pouvait contenir toutes les informations utiles sur la route? AFMA vous offre ce guide Auto pour répondre à toutes vos questions sur votre assurance Auto et sur les
Plus en détailSOMMAIRE 1 L IMMOBILIER PROFESSIONNEL...
Page 5 SOMMAIRE 1 L IMMOBILIER PROFESSIONNEL... 7 1.1 L IMMOBILIER INDUSTRIEL... 7 1.1.1 Le développement des zones industrielles au Maroc... 7 1.1.1.1 L insuffisance des zones industrielles traditionnelles...
Plus en détailSommaire. I. Problématique :...3 1. Contexte de l étude :...2 2. Présentation :...2
Sommaire Remerciements Sommaire des tableaux et illustrations Introduction.. Error: Reference source not found I. Problématique :...3 1. Contexte de l étude :...2 2. Présentation :...2 II. RECHERCHE DOCUMENTAIRE
Plus en détailRéglementation de l'activité bancaire
Annexe 1 La nature des garanties qui sous-tend une adjudication de crédit sont classées comme suit : Effets de Première Catégorie : 1 Bons du Trésor Bons d équipement Effets représentatifs de crédits bancaires
Plus en détailPRESENTATION SOCIETE GENERALE D INGENIERIE THERMIQUE ET ELECTRIQUE
D INGENIERIE THERMIQUE ET ELECTRIQUE PRESENTATION SOCIETE GENERALE D INGENIERIE THERMIQUE 71, Rue AL Fourat Résidences les 2 Palmiers App N Maârif Casablanca Tel : 212 (0) 522 25 27 90 / Fax : 212 (0)
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détail1 Assurance hypothécaire, caution, fonds de garantie : le cas de la SGFGAS
Atelier Damane Assakane 1 Assurance hypothécaire, caution, fonds de garantie : le cas de la SGFGAS 2 Education financière et maîtrise du risque de l accession à la propriété : l expérience de l ANIL Bernard
Plus en détail