commerce international.

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1 De l él équilibre général g à la macroéconomie conomie et au commerce international. Cours Roger Guesnerie

2 L équilibre général g Walrasien : La perspective. Le point de vue de l él équilibre général Un point de vue «systémique». La relation / tout aux parties, «rationalité collective du système». Equilibre général g s oppose s à équilibre partiel. Walras/Marshall. L équilibre général g Walrasien Historiquement, à l intersection de trois options. Préoccupation «systémique», Hypothèse de rationalité,, Mathématisation. Hasard ou nécessitn cessité? Le modèle walrasien : Le modèle mathématique matique d un d monde peuplé d agents rationnels. Et organisé autour de marchés élémentaires La «moulinette» bourbakiste. Le modèle d Arrowd Arrow-Debreu-Mc Kenzie. La théorie des ensembles plutôt que la théorie des fonctions. Le «marginal escamoté» : convexité au lieu de différentiabilit rentiabilité Beaucoup de nouveaux outils.

3 Le cadre formel Walrasien Economie abstraite : Un espace de biens : R n Ménages h, u(h,.)/x(h) Entreprises j, [Y(j)] R n Définition :Etat réalisabler x(h) X(h), y(j) Y(j), h,j Σ x(h) =Σ= y(j)+w Dimensionnalité : (H+J)n J)n-n H=2, n=2 2 Boîte d Edgeworth. d Etat efficace au sens de Pareto. Equilibre Walrasien. prix p*, Offre =demande chacun des marchés, h D(h,p h,p*,p*.w(h)+ *,p*.w(h)+σ j t(h,j) π(j,p *))= j n(j,p*)+ h w(h) p*.w(h)+σ j t(h,j) π(j,p*) : richesse de M.h.

4 Etats réalisables, équilibres, optimas : efficacité et bien-être être.

5 L équilibre général g Walrasien : Retour sur les caractéristiques ristiques. Un monde stylisé : «idéalisation» des réalitr alités économiques. Production, Consommation Fonctionnement des marchés. Contraintes du Gouvernement. Une vocation transversale. Arrow Debreu plus que Walras Hypothèses qualitatives minimales / les fondamentaux. Résultats qualitatifs générauxg raux Des messages essentiels/éco. marché : eq. général. Le tout plus que ses parties../ Le Cœur C et le deuxième théor orème de l él économie normative. Existence multiplicité et calcul de l él équilibre

6 L équilibre général g Walrasien : Mérites et limites du pt de vue transversal. Une extraordinaire plasticité des applications: La généralitg ralité en gloire! Statique ou inter-temporel temporel (théorie du capital). Avec ou sans incertitude (finance). Avec ou sans bien collectif. Une force du modèle. Au sein d une d application, une extraordinaire variété des mondes possibles. Eco d éd échanges : tte fcnt excès s de demande : M-D-SM Pas de conclusions robustes? Non, robustes / générales. g Prédictions spécifiques : ingrédients supp. qual././quantit Une justification inattendue du pt de vue Walrasien..

7 L équilibre général g Walrasien : Mérites et limites / la stylisation et l analysel Mérites et limites de la schématisation. Une référence r rence idéalis alisée,.. Parfois extensible (+-) ) facilement. Monnaie Source de tranversalité et de «centralité» : Magna Carta Pertinente même en dehors de son champ strict d applicationd Exemple : concurrence oligopolistique, Modèle à générations,. Mérites et limites / l analyse l : critique interne au modèle. Une grande acuité de l analyse. l Des impasses : l él émergence des prix d éd équilibre.. Des points aveugles : comment expliquer la rationalité des anticipations? Mérites et limites / l analyse l : critique externe au modèle Formalisme : Une vision limitée e des déterminants d de l actionl Production du «progrès s technique»,

8 L équilibre général g moderne. Spécifique plutôt que transversal Des mondes particuliers : nombre et caractéristiques ristiques des agents. Processus de production, Horizon Accent mis sur un phénom nomène ne : Accumulation du capital.. Echange entre pays. La distribution du revenu.. Retour sur l idl idéalisation des marchés. «Pouvoir de marché». Formes et contraintes de l él échange (marchés s d assurances..) d Retour sur les impasses et les points aveugles. Impasse : une théorie plus plausible de la formation des prix. Un début d de réflexion r sur la logique et les conséquences de l auto-réalisation.

9 La macroéconomie conomie Pas de définition d abstraite Tire son origine de la grande crise. Associée e au développement d des réflexions r les plus influents sur la crise de 1929 Equilibre «général»,, au sens ou Keynes met en cause les recettes Marshallienne d éd équilibre partiel / défaillance d de la demande globale Se développe d en parallèle le avec la Comptabilité nationale Les grands modèles macro-économ conométriques.. La statistique des séries s temporelles. Deux caractéristiques ristiques une problématique de l él équilibre «général» une vue «agrégée» de l activitl activité économique Scindée e en deux branches. La macroéconomie conomie de «court terme» Fluctuations à court terme de l activitl activité, politiques monétaires et budgétaires taires La croissance de long terme Accumulation du capital, du savoir.. Dichotomie en question

10 La modélisation macroéconomique Macroéconomie conomie de court terme. Transversalité faible Agrégée e (1,2,3 biens) ou non Agent représentatif ou agents hétérogènes. Stylisation des comportements et des marchés. Oui, modèles standards Extension monnaie Non concurrence oligopolistique, assurance.. Retour sur l analyse. l Fixation des prix Equilibres à taches solaires.. Macroéconomie conomie de long terme. Transversalité faible Agrégée e (1,2 biens) ou non Agent représentatif ou agents hétérogènes. Stylisation des comportements et des marchés. Oui, modèles standards Concurrence oligopolistique, Retour sur l analyse. l Connaissances techniques endogènes. nes. Pas indépendant..

11 Le commerce international La problématique : Ouverture du commerce entre nations : Autarcie, échange restreint ou Libre échange. Une théorie fondée e sur l analyse l de la première «mondialisation» Hekscher,, Ohlin, puis Samuelson Qui met l accent l sur Les gains à l échange, Les effets revenus : rémunr munérations des facteurs.. La modélisation. Point de vue d éd équilibre général, g nécessaire.. n Formes modernes Concurrence oligopolistique, Progrès s technique endogène. ne. La fragmentation de l activitl activité de production.

12 Les macroéconomies conomies d inspiration walrasienne RBC et IS-LM flexible!

13 Les modèles d équilibre général Transversal Désagrégé (Néo)-Walrasien Semi-transversal Semi-désagrégé Post-Walrasien Spécifique Agrégé Non-Walrasien

14 Le modèle IS-LM Histoire : Une schématisation du monde, 4 biens, monnaie, titres, bien de consommation et travail. associée à Hicks et véhicule v du keynésianisme des manuels des années 60. Le parti : Ici la version «walrasienne» Sans micro-fondements explicites. Les hypothèses. Une entreprise agrégée e : Q=f(L) Un ménage m représentatif : offre de travail L* Epargne rémunr munérée e au taux i. Prix du bien p Les comportements. Investissement I(i), décroit d avec i. Demande de monnaie : M/p=L(i,Q), monnaie moyen de transaction. Le ménage m reçoit pq,, demande pc= = c(pq pq), propension à consommer c.

15 La courbe LM Les marchés. 4 marchés, p, w, i, 1. Equilibre sur 3 marchés suffit. Raisonnons à p donné. La courbe LM : Intérêt i augmente, Q doit augmenter pour que la demande de monnaie reste la même et égale l offre l constante. D où la courbe LM i LM Q

16 La courbe IS Les marchés. 4 marchés, p, w, i, 1. Equilibre sur 3 marchés suffit. Raisonnons à p donné. La courbe IS : L équilibre sur le marché des biens s és écrit : Q=cQ cq+i(i) Q=(1/1-c)I c)i(i) Noter complexifications c(i), I(i,Q i,q) i IS Q

17 IS-LM Rappel P fixé. Q(p) intersection de IS-LM f(q(p) = L*?, si oui, on peut choisir w / équilibre Si p varie Voir ci-dessous _ équilibre.

18 Le cadre. Le modèle de croissance canonique. Un bien, capital ou bien de consommation. Le capital se déprd précie. Un consommateur représentatif. Optimum. Les équations. Offre de travail égale 1. C(t)+I(t) =Y(t)=f(K(t)), f =F(K,1) rendement constants. K(t+1)=I(t)+(1-d)K(t) Objectif : β t U(C(t)), 0,,, Planificateur, agent représentatif.

19 Le modèle de croissance canonique. Caractéristiques ristiques Un bien, un agent Planificateur et générations g Agent représentatif. Offre de travail inélastique Population constante. Contraintes. Accumulation et déprd préciation Optimum : Rendement de l él épargne de l époque t. Equation d Euler d nécessairen Mécanique? Règle d or d augmentée e? Théor orème de l autoroute l : K*(t) K** K**

20 L optimum comme équilibre de Point de vue marchés à terme. consommateur représentatif. Au début d des temps p t prix aujourd hui pour une unité du bien disponible à l époque t Contrainte budgétaire inter-temporelle temporelle Point de vue producteur : Planifie opérations à 0. Equilibre inter- temporel

21 Optimum comme équilibre de Point de vue marchés s séquentiels. s d un consommateur ω Tous identiques A chaque périodep Une contrainte budgétaire. Un marché du travail Un marché financier Equilibre de plans de prix et d anticipations d de prix

22 Digressions sur la condition d Euler d et la convergence. Equation d Eulerd Avec utilité isoélastique. Optimisation en temps continu : C Kom Ko K

23 Equilibre général g avec chocs de Le cadre. Consommateur représentatif. Accumulation du capital. Chocs sur la fonction de production. La résolution. r Problème récursif r (équation de Bellman) La solution Hypothèses particulières. res. Solutions explicite. productivité